Un homme de 43 ans a été tué par une chute de pierre samedi après-midi alors
qu'il grimpait une via ferrata aux Orres, dans les Hautes-Alpes, a-t-on appris
auprès du parquet de Gap.
Vers 14h samedi, un bloc de pierre s'est
détaché et a percuté le crâne, protégé par un casque, de cet homme originaire de
Château-Arnoux, dans les Alpes-de-Haute-Provence.
http://lci.tf1.fr/filnews/france/un-homme-decede-dans-un-accident-de-via-ferrata-dans-les-hautes-7394545.html
Les drames de la vie sont ici Drames et enquêtes sur ces évènements douloureux.....
samedi 30 juin 2012
92: un mort dans un incendie
Un homme de 80 ans est décédé vendredi en fin de journée dans l'incendie de son appartement à Montrouge (Hauts-de-Seine), a-t-on appris samedi de source policière, confirmant une information du Parisien.fr.
Vers 19H30, les pompiers sont intervenus sur un feu d'appartement dans un immeuble de quatre étages. Sur le balcon d'un logement, ils ont découvert le corps sans vie d'un retraité qui s'était réfugié là pour échapper aux flammes, selon la même source.
Lors de l'intervention, un sapeur-pompier a été blessé à la main.
Un habitant de l'immeuble a été pour sa part légèrement intoxiqué par les fumées, a précisé la source policière.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/06/30/97001-20120630FILWWW00422-92-un-mort-dans-un-incendie.php
Vers 19H30, les pompiers sont intervenus sur un feu d'appartement dans un immeuble de quatre étages. Sur le balcon d'un logement, ils ont découvert le corps sans vie d'un retraité qui s'était réfugié là pour échapper aux flammes, selon la même source.
Lors de l'intervention, un sapeur-pompier a été blessé à la main.
Un habitant de l'immeuble a été pour sa part légèrement intoxiqué par les fumées, a précisé la source policière.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/06/30/97001-20120630FILWWW00422-92-un-mort-dans-un-incendie.php
Un enfant de 7 ans se noie au large d'une jetée
Une dramatique noyade est survenue, en début d’après-midi, sur la plage des Chalets de Gruissan. Deux frères, âgés de 7 ans et 11 ans se sont fait emporter par de forts courants au large de la jetée.
Les enfants ont été ramenés, inconscients, sur le sable. Le plus jeune est malheureusement décédé. Quant à son frère aîné, il a été transporté dans un état critique au centre hospitalier de Montpellier
http://www.midilibre.fr/2012/06/30/dma-un-enfant-de-7-ans-se-noie-en-mer,526059.php
Les enfants ont été ramenés, inconscients, sur le sable. Le plus jeune est malheureusement décédé. Quant à son frère aîné, il a été transporté dans un état critique au centre hospitalier de Montpellier
http://www.midilibre.fr/2012/06/30/dma-un-enfant-de-7-ans-se-noie-en-mer,526059.php
Côte-d'Or : un homme de 25 ans meurt percuté par un TGV, retards en série
Nouveau problème de circulation sur le réseau ferré. Après la mort d'un jeune homme de 25 ans percuté par un TGV à proximité de la gare de Genlis, près de Dijon, samedi matin, six TGV ont connu des retards allant jusqu'à deux heures, selon la SNCF et la gendarmerie qui privilégient la thèse du suicide.
Vers 10 heures, un TGV assurant la liaison Zurich Paris entrait en gare de Genlis lorsque, dans des circonstances indéterminées, il a mortellement percuté la victime, originaire du Jura.
Après intervention des gendarmes et des pompiers, le TGV transportant quelque 300 passagers, a pu repartir avec deux heures quinze de retard, selon la SNCF. La circulation ayant été interrompue sur cette portion de voie classique, six TGV à destination de Zurich, Paris ou Besançon ont enregistré des retards de 30 minutes à deux heures, a-t-elle ajouté.
Dans la nuit de vendredi à samedi, une panne de motrice sur un TGV parti de Paris à direction de Grenoble et d'Avignon, avait provoqué d'importantes perturbations pour plusieurs centaines de passagers et affecté la circulation de sept autres TGV.
http://www.leparisien.fr/transports/cote-d-or-un-homme-de-25-ans-meurt-percute-par-un-tgv-retards-en-serie-30-06-2012-2072251.php
Vers 10 heures, un TGV assurant la liaison Zurich Paris entrait en gare de Genlis lorsque, dans des circonstances indéterminées, il a mortellement percuté la victime, originaire du Jura.
Après intervention des gendarmes et des pompiers, le TGV transportant quelque 300 passagers, a pu repartir avec deux heures quinze de retard, selon la SNCF. La circulation ayant été interrompue sur cette portion de voie classique, six TGV à destination de Zurich, Paris ou Besançon ont enregistré des retards de 30 minutes à deux heures, a-t-elle ajouté.
Dans la nuit de vendredi à samedi, une panne de motrice sur un TGV parti de Paris à direction de Grenoble et d'Avignon, avait provoqué d'importantes perturbations pour plusieurs centaines de passagers et affecté la circulation de sept autres TGV.
http://www.leparisien.fr/transports/cote-d-or-un-homme-de-25-ans-meurt-percute-par-un-tgv-retards-en-serie-30-06-2012-2072251.php
Fenioux (17) : un scootériste de 30 mortellement percuté par une voiture
Lorsque les secours sont parvenus, hier, vers 1h30, sur le site de la collision entre un scooter et une voiture, ils ne purent que constater le décès du pilote du deux toues à moteur : un homme âgé de 30 ans, natif de Saint-Jean-d'Angély.
Le scooteriste circulait sur la D127, sur la commune de Fenioux (entre Saint-Jean-d'Angély et Saint-Savinien) lorsqu'il a été percuté par l'arrière par une BMW conduite par un homme d'une soixantaine d'années. L'automobiliste s'est tout de suite arrêté.
La compagnie de gendarmerie de Saint-Jean-d'Angély est en charge de l'enquête visant à déterminer les circonstances exactes de cet accident mortel. Il a été procédé aux dépistages de rigueur.
http://www.sudouest.fr/2012/06/30/fenioux-17-un-scooteriste-de-30-mortellement-percute-par-une-voiture-758408-1343.php
Le scooteriste circulait sur la D127, sur la commune de Fenioux (entre Saint-Jean-d'Angély et Saint-Savinien) lorsqu'il a été percuté par l'arrière par une BMW conduite par un homme d'une soixantaine d'années. L'automobiliste s'est tout de suite arrêté.
La compagnie de gendarmerie de Saint-Jean-d'Angély est en charge de l'enquête visant à déterminer les circonstances exactes de cet accident mortel. Il a été procédé aux dépistages de rigueur.
http://www.sudouest.fr/2012/06/30/fenioux-17-un-scooteriste-de-30-mortellement-percute-par-une-voiture-758408-1343.php
Lacanau : un homme se noie, emporté par une baïne
Hier, un peu avant 16 heures, un homme âgé d'une trentaine d'années est décédé des suites d'une noyade sur le périmètre de la plage centrale de Lacanau. Malgré la tentative de réanimation des sauveteurs et du médecin urgentiste du Samu, qui avait été déposé sur la plage par l'hélicoptère Dragon 33 de la Sécurité civile, la victime - il s'agirait d'un touriste - n'a pu être ramenée à la vie.
Selon un témoin, l'homme qui évoluait à proximité du rivage au nord du poste de secours de la plage centrale se serait fait emporter par une baïne, alors qu'il pratiquait du bodyboard, « mais sans palmes ». Dans des vagues de plus de 1,50 m et pris au piège d'un fort courant accentué par la marée descendante, la situation est rapidement devenue critique. Avant que les sauveteurs n'interviennent, deux surfeurs ont pu rejoindre le baigneur au large, dont la planche avait été arrachée par les vagues. L'un des deux surfeurs est parvenu à regagner la plage avec la victime, mais il était trop tard.
Depuis le début de la saison estivale, c'est le deuxième baigneur qui décède sur les plages du littoral girondin. Le 16 juin dernier, au Porge, une femme jeune Américaine de 22 ans avait perdu la vie. Mercredi, le préfet de la Gironde Patrick Stefanini avait passé un message de prévention sur le risque des baïnes.
http://www.sudouest.fr/2012/06/30/un-homme-se-noie-emporte-par-une-baine-757560-2921.php
Selon un témoin, l'homme qui évoluait à proximité du rivage au nord du poste de secours de la plage centrale se serait fait emporter par une baïne, alors qu'il pratiquait du bodyboard, « mais sans palmes ». Dans des vagues de plus de 1,50 m et pris au piège d'un fort courant accentué par la marée descendante, la situation est rapidement devenue critique. Avant que les sauveteurs n'interviennent, deux surfeurs ont pu rejoindre le baigneur au large, dont la planche avait été arrachée par les vagues. L'un des deux surfeurs est parvenu à regagner la plage avec la victime, mais il était trop tard.
Depuis le début de la saison estivale, c'est le deuxième baigneur qui décède sur les plages du littoral girondin. Le 16 juin dernier, au Porge, une femme jeune Américaine de 22 ans avait perdu la vie. Mercredi, le préfet de la Gironde Patrick Stefanini avait passé un message de prévention sur le risque des baïnes.
http://www.sudouest.fr/2012/06/30/un-homme-se-noie-emporte-par-une-baine-757560-2921.php
La voiture s'enroule contre un pin parasol : deux morts
Il était 23 h 30, jeudi, lorsque les pompiers ont été alertés d'un accident de la circulation sur la rocade Ouest de Marmande. Sur place, pompiers et médecins du SMUR ne pouvaient que constater le décès de la conductrice et de sa passagère. Il s'agit pour la première d'Anne-Laure Johandin, 37 ans, demeurant à Castelnaud-sur-Gupie, qui exerçait le métier de magasinière chez le concessionnaire Renault de Marmande. La passagère, Stéphanie Bolzan, 32 ans, demeurait à Marmande. Selon les éléments de l'enquête de la gendarmerie+++, la Citroën Saxo dans laquelle se trouvaient les deux femmes venait d'emprunter la rocade au rond-point de Leclerc et se dirigeait vers celui de Lannara pour ensuite prendre la direction de Casteljaloux. C'est juste avant le pont enjambant la Garonne que des traces de freins ont été relevées. Le véhicule a ensuite traversé la chaussée pour aller s'enrouler autour d'un pin parasol. L'enquête devrait pouvoir déterminer les circonstances de cet accident, le plus meurtrier depuis le début de l'année, mais il semblerait que la vitesse n'y soit pas étrangère sur une route limitée à 90 km/h.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/30/1390997-marmande-la-voiture-s-enroule-contre-un-pin-parasol-deux-morts.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/30/1390997-marmande-la-voiture-s-enroule-contre-un-pin-parasol-deux-morts.html
Un Lavelanétien trouve la mort dans un accident
Un Lavelanetien de 51 ans s'est tué hier en milieu d'après-midi à l'entrée de La Bastide-de-Bousignac. L'homme s'est encastré dans un platane alors qu'il tentait un dépassement.
Yves Loos était âgé de 51 ans. Ce Lavelanetien s'est tué hier après-midi aux alentours de 16 heures alors qu'il roulait à bord de son véhicule dans le sens Laroque-d'Olmes/Mirepoix sur la route départementale 625 à l'entrée de La Bastide-de-Bousignac.
Plusieurs témoins présents au moment de l'accident s'accordent sur le fait que le conducteur était en train de tenter de doubler, dépassant une ligne continue sur cette route bordée de platanes, quand pour une raison indéterminée, son véhicule s'est brusquement déporté vers la gauche pour aller s'encastrer seul dans l'un des arbres.
Yves Loos était marié et père d'une enfant. Cet homme discret était connu pour sa gentillesse et sa serviabilité à Lavelanet et au lycée Albert Jacquard où il travaillait jusqu'à hier comme agent de service. Le maire de Lavelanet Marc Sanchez s'est confié « très choqué », à l'annonce de la malheureuse nouvelle.
Des prélèvements sanguins ont été effectués sur le corps de la victime pour tenter de déterminer les raisons de la perte de contrôle de son véhicule. Comme le conducteur était en train de doubler au moment de l'accident, il est possible que la vitesse soit à l'origine de la violence du choc et de son issue dramatique.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/30/1390898-un-lavelanetien-trouve-la-mort-dans-un-accident.html
Yves Loos était âgé de 51 ans. Ce Lavelanetien s'est tué hier après-midi aux alentours de 16 heures alors qu'il roulait à bord de son véhicule dans le sens Laroque-d'Olmes/Mirepoix sur la route départementale 625 à l'entrée de La Bastide-de-Bousignac.
Plusieurs témoins présents au moment de l'accident s'accordent sur le fait que le conducteur était en train de tenter de doubler, dépassant une ligne continue sur cette route bordée de platanes, quand pour une raison indéterminée, son véhicule s'est brusquement déporté vers la gauche pour aller s'encastrer seul dans l'un des arbres.
Discret et gentil
Les gendarmes de la brigade de Mirepoix et la brigade motorisée de Foix venue en renfort, ainsi que les pompiers venus sur place, n'ont pu que constater le décès de l'homme tué sur le coup dans la violence du choc.Yves Loos était marié et père d'une enfant. Cet homme discret était connu pour sa gentillesse et sa serviabilité à Lavelanet et au lycée Albert Jacquard où il travaillait jusqu'à hier comme agent de service. Le maire de Lavelanet Marc Sanchez s'est confié « très choqué », à l'annonce de la malheureuse nouvelle.
Des prélèvements sanguins ont été effectués sur le corps de la victime pour tenter de déterminer les raisons de la perte de contrôle de son véhicule. Comme le conducteur était en train de doubler au moment de l'accident, il est possible que la vitesse soit à l'origine de la violence du choc et de son issue dramatique.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/30/1390898-un-lavelanetien-trouve-la-mort-dans-un-accident.html
Il meurt écrasé par un tracteur à 22 ans
Un homme de 22 ans a été tué vendredi, écrasé par un tracteur, lors d'une opération de bûcheronnage dans un massif de Haute-Savoie à 1.400 mètres d'altitude, a-t-on appris auprès de la gendarmerie, confirmant une information du journal régional Le Dauphiné libéré. "L'homme se trouvait sur un sentier et tenait la portière d'un tracteur, conduit à faible allure par son patron, quand il a été happé par une roue de l'engin forestier", a déclaré la gendarmerie de Haute-Savoie.
Dans cette zone montagneuse de la combe d'Ire, située dans le massif des Bauges, les secours, alertés par les collègues de la victime, ont dû intervenir avec un hélicoptère. "Il a pu être dégagé mais, malgré une tentative de réanimation, il est décédé peu de temps après", a précisé la gendarmerie.
Lège-Cap-Ferret : un cadavre découvert sur la plage
C'est un promeneur étranger qui a fait la macabre découverte. Ce jeudi, en tout début d'après-midi, vers 13 heures, il a découvert sur le sable, en bordure de l'océan, le corps d'un homme, couché face contre terre. A peu près à 500 m au nord de la plage accessible depuis l'impasse des Pêcheurs, à Lège-Cap-Ferret.
Cet homme, Dominique Jean-Buisson, est âgé de 57 ans et vit à Brenat, dans le Puy-de-Dôme. Il faisait l'objet d'une recherche pour disparition inquiétante, depuisla veille, mercredi 21 heures. Ne le voyant revenir alors qu'il était parti se baigner à la plage du Truc-Vert mercredi vers 17 heures, son épouse avait alerté les services de gendarmerie.
Le Parquet de Bordeaux a ordonné une autopsie.
http://www.sudouest.fr/2012/06/28/lege-cap-ferret-un-cadavre-decouvert-sur-la-plage-756416-3246.php
Cet homme, Dominique Jean-Buisson, est âgé de 57 ans et vit à Brenat, dans le Puy-de-Dôme. Il faisait l'objet d'une recherche pour disparition inquiétante, depuisla veille, mercredi 21 heures. Ne le voyant revenir alors qu'il était parti se baigner à la plage du Truc-Vert mercredi vers 17 heures, son épouse avait alerté les services de gendarmerie.
Le Parquet de Bordeaux a ordonné une autopsie.
http://www.sudouest.fr/2012/06/28/lege-cap-ferret-un-cadavre-decouvert-sur-la-plage-756416-3246.php
vendredi 29 juin 2012
FEUQUIERES-EN-VIMEU (80) Un motard meurt dans une collision avec une voiture
Un motard a été tué dans une collision avec une voiture à
Feuquières-en-Vimeu, ce vendredi après-midi.
Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident survenu sur la D29, un peu avant 12 h 45, serait dû à un refus de priorité de la part de l'automobiliste.
Si cette dernière est indemne, malgré un lourd choc psychologique, le motard est mort sur le coup.
La circulation dans le sens Feuquières-en-Vimeu / Oisemont a été coupée jusqu'à 16 h 30 environ.
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Picardie-Express/Un-motard-meurt-dans-une-collision-avec-une-voiture
Selon les premiers éléments de l'enquête, l'accident survenu sur la D29, un peu avant 12 h 45, serait dû à un refus de priorité de la part de l'automobiliste.
Si cette dernière est indemne, malgré un lourd choc psychologique, le motard est mort sur le coup.
La circulation dans le sens Feuquières-en-Vimeu / Oisemont a été coupée jusqu'à 16 h 30 environ.
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Picardie-Express/Un-motard-meurt-dans-une-collision-avec-une-voiture
Deux morts dans un accident d'ULM en Haute-Vienne
Les occupants d'un ULM, un père et son fils selon les premiers éléments de
l'enquête, ont péri après que leur appareil s'est écrasé vendredi en début
d'après-midi sur la commune de Pierre-Buffière (Haute-Vienne), a-t-on appris
auprès des gendarmes et de la préfecture.
http://lci.tf1.fr/filnews/france/deux-morts-dans-un-accident-d-ulm-en-haute-vienne-7393839.html
http://lci.tf1.fr/filnews/france/deux-morts-dans-un-accident-d-ulm-en-haute-vienne-7393839.html
Un garçonnet de 2 ans entre la vie et la mort après être tombé dans une piscine
Jeudi soir, vers 21 h, les nouvelles sur l’état de santé d’un petit garçon de 2 ans n’étaient malheureusement pas très rassurantes puisque les médecins ne pouvaient pas se prononcer sur ses chances de survie. Héliporté dans un état critique vers le service de réanimation pédiatrique de l’hôpital Lapeyronie à Montpellier, la vie de ce petit bonhomme ne tenait plus qu’à un fil.
Système de sécurité réglementaire
Quelques heures plus tôt, aux alentours de 15 h 30, il avait eu le malheur de vouloir satisfaire sa curiosité et s’était approché de trop près de la piscine familiale. Un bassin construit en dur doté d’un système de sécurité réglementaire. En l’espèce, une clôture érigée tout autour. Mais le destin en a décidé autrement et il a échappé à la vigilance de sa maman qui s’était absentée un très court instant et qui n’avait pas fait attention que le portillon était resté ouvert.
Alertés de sa chute dans l’eau, les pompiers ont immédiatement pratiqué un massage cardiaque qui a permis de lui faire redémarrer le cœur. Dès lors, pour lui et pour ses proches, les prochaines vingt-quatre heures seront déterminantes.
Système de sécurité réglementaire
Quelques heures plus tôt, aux alentours de 15 h 30, il avait eu le malheur de vouloir satisfaire sa curiosité et s’était approché de trop près de la piscine familiale. Un bassin construit en dur doté d’un système de sécurité réglementaire. En l’espèce, une clôture érigée tout autour. Mais le destin en a décidé autrement et il a échappé à la vigilance de sa maman qui s’était absentée un très court instant et qui n’avait pas fait attention que le portillon était resté ouvert.
Alertés de sa chute dans l’eau, les pompiers ont immédiatement pratiqué un massage cardiaque qui a permis de lui faire redémarrer le cœur. Dès lors, pour lui et pour ses proches, les prochaines vingt-quatre heures seront déterminantes.
Valenciennes : un sapeur-pompier volontaire de 19 ans décède dans un accident de moto
L'émotion était plus que palpable, hier soir, jeudi, rue des Poilus à Valenciennes. Elle se lisait sur les visages des quelques sapeurs-pompiers présents sur le lieu du drame. Ces derniers viennent de perdre l'un des leurs, Laurent Reversé, un volontaire de 19 ans, dans un accident de moto.
Il est peu après 23 h 30 quand le jeune Valenciennois quitte son astreinte au centre de secours de Valenciennes. Quelques instants plus tard, à quelques centaines de mètres seulement de l'avenue du Faubourg de Cambrai, il perd le contrôle de son deux roues dans des circonstances qui restent à déterminer.
Selon les premiers éléments de l'enquête, il serait seul en cause. Aucune trace au sol ne trahit la moindre tentative de freinage. Il reste aux enquêteurs les marques de pneus abandonnées sur la face externe du trottoir qui s'étalent sur une dizaine de mètres, avant un impact sur un candélabre. La moto gît un peu plus loin, couchée sur le sol.
Alertés de l'accident, les secours Valenciennois se rendent immédiatement sur place, mais sans jamais imaginer qu'il s'agit de l'un des leurs. Au premier contact, ils reconnaissent Laurent et l'intervention prend alors une toute autre dimension. Le motard est en arrêt cardio-respiratoire. Et les manoeuvres de réanimation s'avèrent inutiles. Le médecin du SMUR de Valenciennes déclare le décès de la jeune victime. Les équipiers, et néanmoins amis de Laurent, qui se trouvaient dans l'ambulance sont sous le choc. Le chef de groupement, Stéphane Beauventre, le commandant Olivier Dubusse, responsable du centre de secours, et le médecin-commandant Valéry Lecoeuvre se sont aussitôt rendus sur place. Un soutien psychologique a été mis en place dans la nuit pour accompagner les collègues sapeurs-pompiers.
http://www.lavoixdunord.fr/region/valenciennes-un-sapeur-pompier-volontaire-de-19-ans-ia27b0n548406
Il est peu après 23 h 30 quand le jeune Valenciennois quitte son astreinte au centre de secours de Valenciennes. Quelques instants plus tard, à quelques centaines de mètres seulement de l'avenue du Faubourg de Cambrai, il perd le contrôle de son deux roues dans des circonstances qui restent à déterminer.
Selon les premiers éléments de l'enquête, il serait seul en cause. Aucune trace au sol ne trahit la moindre tentative de freinage. Il reste aux enquêteurs les marques de pneus abandonnées sur la face externe du trottoir qui s'étalent sur une dizaine de mètres, avant un impact sur un candélabre. La moto gît un peu plus loin, couchée sur le sol.
Alertés de l'accident, les secours Valenciennois se rendent immédiatement sur place, mais sans jamais imaginer qu'il s'agit de l'un des leurs. Au premier contact, ils reconnaissent Laurent et l'intervention prend alors une toute autre dimension. Le motard est en arrêt cardio-respiratoire. Et les manoeuvres de réanimation s'avèrent inutiles. Le médecin du SMUR de Valenciennes déclare le décès de la jeune victime. Les équipiers, et néanmoins amis de Laurent, qui se trouvaient dans l'ambulance sont sous le choc. Le chef de groupement, Stéphane Beauventre, le commandant Olivier Dubusse, responsable du centre de secours, et le médecin-commandant Valéry Lecoeuvre se sont aussitôt rendus sur place. Un soutien psychologique a été mis en place dans la nuit pour accompagner les collègues sapeurs-pompiers.
http://www.lavoixdunord.fr/region/valenciennes-un-sapeur-pompier-volontaire-de-19-ans-ia27b0n548406
Dans le coma après avoir reçu une pierre de 6 kg dans la figure
Un habitant de Ganges est plongé dans un coma artificiel, son état suscitant la plus grande inquiétude, après avoir été violemment blessé par un jet de pierre.
Les faits remontent au début du mois et restent encore assez flous. Dans la nuit du 2 au 3 juin, du côté de la rue Vaquerie, une première altercation a opposé deux riverains, sur fond de soirée bien arrosée. Des coups de bâton sont alors donnés et un troisième protagoniste est arrivé pour se mêler à la bagarre, lui aussi fortement alcoolisé.
Chances de survie sont extrêmement minces
C’est alors que l’un des riverains, âgé de 47 ans et travaillant dans la maçonnerie, se serait emparé d’une pierre d’un poids de 6 kg, qu’il aurait envoyée vers le troisième homme. Selon l’enquête menée par la brigade de gendarmerie de Saint-Martin-de-Londres, ce dernier aurait esquivé le bloc, avant de s’en saisir et de le lancer à la face de la victime, qui, entre-temps, s’était emparé d’une nouvelle pierre sans avoir le temps de la lancer.
Le quadragénaire a été grièvement blessé à la tête et ses chances de survie sont extrêmement minces.
Les gendarmes, saisis d’une plainte de la famille, ont réussi à retrouver l’auteur présumé du jet de pierre quelques jours après la bagarre.
Il a été placé en garde à vue puis présenté au parquet, qui a ouvert une information judiciaire. Le mis en cause a été remis en liberté, sous contrôle judiciaire. Les investigations se poursuivent pour déterminer les responsabilités de chacun.
http://www.midilibre.fr/2012/06/29/dans-le-coma-apres-avoir-recu-une-pierre,525347.php
Les faits remontent au début du mois et restent encore assez flous. Dans la nuit du 2 au 3 juin, du côté de la rue Vaquerie, une première altercation a opposé deux riverains, sur fond de soirée bien arrosée. Des coups de bâton sont alors donnés et un troisième protagoniste est arrivé pour se mêler à la bagarre, lui aussi fortement alcoolisé.
Chances de survie sont extrêmement minces
C’est alors que l’un des riverains, âgé de 47 ans et travaillant dans la maçonnerie, se serait emparé d’une pierre d’un poids de 6 kg, qu’il aurait envoyée vers le troisième homme. Selon l’enquête menée par la brigade de gendarmerie de Saint-Martin-de-Londres, ce dernier aurait esquivé le bloc, avant de s’en saisir et de le lancer à la face de la victime, qui, entre-temps, s’était emparé d’une nouvelle pierre sans avoir le temps de la lancer.
Le quadragénaire a été grièvement blessé à la tête et ses chances de survie sont extrêmement minces.
Les gendarmes, saisis d’une plainte de la famille, ont réussi à retrouver l’auteur présumé du jet de pierre quelques jours après la bagarre.
Il a été placé en garde à vue puis présenté au parquet, qui a ouvert une information judiciaire. Le mis en cause a été remis en liberté, sous contrôle judiciaire. Les investigations se poursuivent pour déterminer les responsabilités de chacun.
Une femme se noie dans la Garonne
Une femme de 70 ans a trouvé la mort, hier, dans la Garonne à Toulouse. Selon les premiers éléments, celle-ci se serait mise à l'eau du côté du quai de La Daurade. Vers 16 heures, des témoins l'ont vue se débattre. Ils ont appelé les secours. Les pompiers sont arrivés avec leurs véhicules de plongée et ont récupéré le corps sous le pont Saint-Pierre. Une enquête est ouverte pour déterminer s'il s'agit d'un suicide ou d'une baignade (pourtant interdite) qui aurait mal tourné.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/29/1390227-une-femme-se-noie-dans-la-garonne.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/29/1390227-une-femme-se-noie-dans-la-garonne.html
Le propriétaire girondin abattu par un locataire pour une simple dette
Depuis mardi soir, Éric Clochet, 53 ans, dort au centre pénitentiaire de Gradignan. Cet habitant de Saint-Paul-de-Blaye a été mis en examen pour avoir assassiné Jean-Claude Subileau, le 17 mars dernier. Les gendarmes de la Section de recherches (SR) de Bordeaux-Bouliac ont travaillé dans plusieurs directions et l'étau s'est finalement resserré sur Éric Clochet qui était un des locataires de Jean-Claude Subileau.
Interpellé à son domicile, le suspect a d'abord nié les faits avant de passer aux aveux le deuxième jour de sa garde à vue. Relancé régulièrement parce qu'il ne payait pas ses loyers, il avait une dette de 3 000 euros. Lorsque Jean-Claude Subileau lui a donné rendez-vous le 17 mars, Éric Clochet s'est présenté armé de son fusil de chasse de calibre 12. Il avait donc prémédité son geste. Les deux hommes n'ont vraisemblablement pas discuté. Le locataire a éliminé son propriétaire en lui tirant une cartouche en pleine tête.
Le corps de la victime n'a été découvert que le lendemain par des voisins. Dans un premier temps, les gendarmes de Blaye ont supposé qu'il avait mis fin à ses jours mais, très vite, l'hypothèse d'un crime a été privilégiée. En raison de la complexité des investigations, les enquêteurs de la SR ont été sollicités par le parquet de Bordeaux. Un coordinateur de scène de crime (Cocrim) et un analyste criminel (Anacrim) ainsi que des techniciens de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie (IRCGN) sont intervenus sur les lieux qui ont été passés au peigne fin. « Nous avions très peu d'indices matériels », reconnaît le colonel Frédéric Bonneval, commandant la Section de recherches.
Le couple ne roulait pas sur l'or
Correspondant de presse dans le milieu du cyclisme, Jean-Claude Subileau était très connu dans le Blayais où il suivait toutes les courses d'amateurs. « Je suis arrivé parmi les premiers et j'ai vraiment été choqué », déclarait le lendemain des faits Bernard Villeneuve, premier adjoint de Saint-Paul-de-Blaye. C'était un ami, on se voyait souvent, je ne comprends pas ce qui a pu se passer ».
À l'issue de trois mois d'investigations menées sur commission rogatoire de la juge d'instruction Marie-Noëlle Billaud, les enquêteurs ont donc confondu Éric Clochet. Ce dernier est sans emploi. Son épouse travaille dans les vignes et le couple ne roulait pas sur l'or. Il louait une modeste maison à Jean-Claude Subileau au lieu-dit Les David, à Saint-Paul-de-Blaye. Interrogé quelques heures après la découverte du drame, il avait trouvé un alibi qui tenait la route. Mais les gendarmes n'ont jamais lâché cette piste qui s'est avérée la bonne.
Dans un communiqué, le parquet a tenu, hier, à souligner « l'excellence du travail, complet et minutieux, effectué par les différents services d'enquête de la gendarmerie nationale ».
Le fusil récupéré
Le tireur avait pris soin de ne laisser aucune trace et avait également caché l'arme du crime. Lors de son audition, il a indiqué aux enquêteurs où elle se trouvait. Le fusil de chasse a été récupéré et placé sous scellé judiciaire.
Les investigations ne sont cependant pas terminées. Les gendarmes vont désormais s'attacher à comprendre comment et depuis quand Éric Clochet, qui bénéficie toujours de la présomption d'innocence, a eu l'idée de tuer son propriétaire. Des expertises psychologiques et psychiatriques vont être réalisées en détention. Elles seront produites devant la cour d'assises qui aura à juger l'assassin à l'issue de l'instruction.
http://www.sudouest.fr/2012/06/29/l-assassin-est-un-locataire-756859-3151.php
Interpellé à son domicile, le suspect a d'abord nié les faits avant de passer aux aveux le deuxième jour de sa garde à vue. Relancé régulièrement parce qu'il ne payait pas ses loyers, il avait une dette de 3 000 euros. Lorsque Jean-Claude Subileau lui a donné rendez-vous le 17 mars, Éric Clochet s'est présenté armé de son fusil de chasse de calibre 12. Il avait donc prémédité son geste. Les deux hommes n'ont vraisemblablement pas discuté. Le locataire a éliminé son propriétaire en lui tirant une cartouche en pleine tête.
Le corps de la victime n'a été découvert que le lendemain par des voisins. Dans un premier temps, les gendarmes de Blaye ont supposé qu'il avait mis fin à ses jours mais, très vite, l'hypothèse d'un crime a été privilégiée. En raison de la complexité des investigations, les enquêteurs de la SR ont été sollicités par le parquet de Bordeaux. Un coordinateur de scène de crime (Cocrim) et un analyste criminel (Anacrim) ainsi que des techniciens de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie (IRCGN) sont intervenus sur les lieux qui ont été passés au peigne fin. « Nous avions très peu d'indices matériels », reconnaît le colonel Frédéric Bonneval, commandant la Section de recherches.
Le couple ne roulait pas sur l'or
Correspondant de presse dans le milieu du cyclisme, Jean-Claude Subileau était très connu dans le Blayais où il suivait toutes les courses d'amateurs. « Je suis arrivé parmi les premiers et j'ai vraiment été choqué », déclarait le lendemain des faits Bernard Villeneuve, premier adjoint de Saint-Paul-de-Blaye. C'était un ami, on se voyait souvent, je ne comprends pas ce qui a pu se passer ».
À l'issue de trois mois d'investigations menées sur commission rogatoire de la juge d'instruction Marie-Noëlle Billaud, les enquêteurs ont donc confondu Éric Clochet. Ce dernier est sans emploi. Son épouse travaille dans les vignes et le couple ne roulait pas sur l'or. Il louait une modeste maison à Jean-Claude Subileau au lieu-dit Les David, à Saint-Paul-de-Blaye. Interrogé quelques heures après la découverte du drame, il avait trouvé un alibi qui tenait la route. Mais les gendarmes n'ont jamais lâché cette piste qui s'est avérée la bonne.
Dans un communiqué, le parquet a tenu, hier, à souligner « l'excellence du travail, complet et minutieux, effectué par les différents services d'enquête de la gendarmerie nationale ».
Le fusil récupéré
Le tireur avait pris soin de ne laisser aucune trace et avait également caché l'arme du crime. Lors de son audition, il a indiqué aux enquêteurs où elle se trouvait. Le fusil de chasse a été récupéré et placé sous scellé judiciaire.
Les investigations ne sont cependant pas terminées. Les gendarmes vont désormais s'attacher à comprendre comment et depuis quand Éric Clochet, qui bénéficie toujours de la présomption d'innocence, a eu l'idée de tuer son propriétaire. Des expertises psychologiques et psychiatriques vont être réalisées en détention. Elles seront produites devant la cour d'assises qui aura à juger l'assassin à l'issue de l'instruction.
http://www.sudouest.fr/2012/06/29/l-assassin-est-un-locataire-756859-3151.php
Le Havre : deux enfants abandonnés trois jours par leur père
Au Havre, deux enfants de quatre et six ans ont été abandonnés trois jours par leur père. Ce sont les voisins qui ont alerté jeudi les pompiers selon France 3 Normandie. Les deux enfants avaient été livrés à eux-mêmes dans un appartement du quartier Mont Gaillard.
Les enfants auraient été retrouvés en état de malnutrition légère, ils n'avaient que des céréales à manger. Les deux enfants ont été transportés à l'hôpital Jacques Monod.
Contactée, la mère affirme que le père qui avait la garde des enfants serait en vacances en Espagne avec un troisième enfant.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-havre-deux-enfants-abandonnes-trois-jours-par-leur-pere-29-06-2012-2070643.php
Les enfants auraient été retrouvés en état de malnutrition légère, ils n'avaient que des céréales à manger. Les deux enfants ont été transportés à l'hôpital Jacques Monod.
Contactée, la mère affirme que le père qui avait la garde des enfants serait en vacances en Espagne avec un troisième enfant.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-havre-deux-enfants-abandonnes-trois-jours-par-leur-pere-29-06-2012-2070643.php
Accident mortel de Villiers-le-Bel en 2007 : un policier à la barre
"Ce rendez-vous est très attendu par les familles
des victimes", souligne l'avocat des parties civiles, Me Jean-Pierre Mignard.
"Cela va bientôt faire cinq ans qu'elles attendent ce moment". Ce moment c'est
le procès du policier qui conduisait le véhicule entré en collision avec une
moto, en novembre 2007 à Villiers-Le-Bel
(Val-d'Oise). Deux adolescents avaient trouvé la mort. Poursuivi pour "homicides
involontaires", ce policier de 35 ans comparait vendredi devant le tribunal
correctionnel de Pontoise. Franck Viallet qui se trouvait avec trois autres
policiers dans la voiture le soir du drame, encourt une peine de trois ans de
prison et de 45.000 euros d'amende.
Une incertitude plane néanmoins sur la tenue du procès, qui pourrait être
renvoyé en raison de la mise en examen récente du prévenu pour "faux
témoignage". Le fonctionnaire est soupçonné d'avoir menti sur la vitesse de la
voiture au moment de la collision, en déclarant avoir respecté la limitation de
vitesse, ce qu'un rapport d'expertise a démenti. Ses trois collègues, malgré des
déclarations similaires, n'ont jusqu'à présent pas été inquiétés par la justice.
"Ces deux affaires sont radicalement distinctes. Elles peuvent être jugées
indépendamment l'une de l'autre", estime Me Mignard. Selon une source
judiciaire, les juges pourraient néanmoins décider d'attendre que l'enquête sur
ce point du dossier soit close avant de juger l'affaire, pour ne pas avoir à se
prononcer sur la base de témoignages faisant l'objet d'une
instruction.
Flambée de violences
La mort de Moushin et Lakamy, le 25 novembre 2007, avait entraîné deux jours de violentes échauffourées entre jeunes et forces de l'ordre à Villiers-le-Bel. Une centaine de policiers avaient été blessés par des tirs d'armes à feu durant cette flambée de violences.
L'enquête sur la collision avait dans un premier temps semblé écarter toute responsabilité des policiers. Une ordonnance de non-lieu avait ainsi été rendue par un juge d'instruction de Pontoise le 23 octobre 2009. Mais la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Versailles avait infirmé cette décision et ordonné un supplément d'information. M. Viallet, mis en examen pour homicides involontaires, avait finalement été renvoyé en correctionnelle en septembre 2011.
Selon un rapport d'expertise, le véhicule de police était en phase d'accélération au moment de l'accident, et roulait à près de 64 km/h - au lieu des 50 km/h autorisés - sans gyrophare ni avertisseur. Les deux adolescents circulaient de leur côté sur une moto qui n'était pas destinée à la route, dépourvue de freins et d'éclairage, à une vitesse supérieure à la limite autorisée. Ils ne portaient par ailleurs pas de casque et n'avaient pas respecté une priorité à droite.
Flambée de violences
La mort de Moushin et Lakamy, le 25 novembre 2007, avait entraîné deux jours de violentes échauffourées entre jeunes et forces de l'ordre à Villiers-le-Bel. Une centaine de policiers avaient été blessés par des tirs d'armes à feu durant cette flambée de violences.
L'enquête sur la collision avait dans un premier temps semblé écarter toute responsabilité des policiers. Une ordonnance de non-lieu avait ainsi été rendue par un juge d'instruction de Pontoise le 23 octobre 2009. Mais la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Versailles avait infirmé cette décision et ordonné un supplément d'information. M. Viallet, mis en examen pour homicides involontaires, avait finalement été renvoyé en correctionnelle en septembre 2011.
Selon un rapport d'expertise, le véhicule de police était en phase d'accélération au moment de l'accident, et roulait à près de 64 km/h - au lieu des 50 km/h autorisés - sans gyrophare ni avertisseur. Les deux adolescents circulaient de leur côté sur une moto qui n'était pas destinée à la route, dépourvue de freins et d'éclairage, à une vitesse supérieure à la limite autorisée. Ils ne portaient par ailleurs pas de casque et n'avaient pas respecté une priorité à droite.
Il vivait avec le cadavre de sa mère, décédée depuis 3 mois
C’est une macabre découverte qu’ont faite les policiers de Bordeaux ce mardi. Un homme âgé de 51 ans conservait à son domicile le corps sans vie de sa mère, décédée il y a trois mois.
Le fils, qui était sous curatelle, avait décidé d’attendre de « gagner au loto pour payer à sa mère une sépulture décente ». Les policiers ont découvert à leur arrivée dans l’appartement des scènes de désolation, avec des tas d’immondices jonchant le sol. Dans une pièce, le quinquagénaire avait entreposé le cadavre, recouvert de plusieurs couvertures afin de limiter l’odeur de décomposition. « Il aspergeait les couvertures avec de l'antiseptique et de l'insecticide », précise une source policière.
L’homme a été pris en charge par les services sociaux.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/28/1389351-bordeaux-il-vivait-avec-le-cadavre-de-sa-mere-decedee-depuis-3-mois.html
Le fils, qui était sous curatelle, avait décidé d’attendre de « gagner au loto pour payer à sa mère une sépulture décente ». Les policiers ont découvert à leur arrivée dans l’appartement des scènes de désolation, avec des tas d’immondices jonchant le sol. Dans une pièce, le quinquagénaire avait entreposé le cadavre, recouvert de plusieurs couvertures afin de limiter l’odeur de décomposition. « Il aspergeait les couvertures avec de l'antiseptique et de l'insecticide », précise une source policière.
L’homme a été pris en charge par les services sociaux.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/28/1389351-bordeaux-il-vivait-avec-le-cadavre-de-sa-mere-decedee-depuis-3-mois.html
jeudi 28 juin 2012
Accident mortel dans l'Orne. Une collision frontale entre un poids lourd et une voiture
Un accident mortel sur les routes de l’Orne s'est produit ce jeudi après midi, vers 15h, sur la RN 12, au niveau de Saint-Maurice-Les-Charencey, lieu dit Champthierry.
Il s'agit d'une collision frontale entre un poids lourd et une voiture. Les secours sont sur place. La route est coupée dans les deux sens de circulation. Des déviations sont en place. On ne connaît pas encore les circonstances de ce tragique accident
Haute-Saône : un trentenaire retrouvé mort dans un appartement
Le corps sans vie d'un jeune homme de 32 ans originaire de Montbéliard a été retrouvé ce matin à Vereux Haute-Saône dans l'appartement d'un ami chez qui il avait passé la nuit. Les deux compères, qui ne s'étaient visiblement pas vus depuis longtemps, s'étaient retrouvés pour la soirée dans ce logement situé dans une bâtisse du centre du village.
C'est le locataire des lieux qui a fait, en se réveillant, la macabre découverte. Une autopsie sera pratiquée afin de déterminer les raisons d'un décès pour le moment inexpliqué, même si la thèse criminelle paraît la moins probable.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/06/28/haute-saone-un-trentenaire-retrouve-mort-dans-un-appartement
C'est le locataire des lieux qui a fait, en se réveillant, la macabre découverte. Une autopsie sera pratiquée afin de déterminer les raisons d'un décès pour le moment inexpliqué, même si la thèse criminelle paraît la moins probable.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/06/28/haute-saone-un-trentenaire-retrouve-mort-dans-un-appartement
Un motard de 20 ans se tue en Haute-Saône
Hier, aux alentours de 19h30, pompiers et policiers sont intervenus pour un accident grave de la circulation, à Frotey-lès-Vesoul.
Un camping-car, qui était stationné sur une aire de repos, au bord de la RN19, dans la montée de Frotey-lès-Vesoul, a entrepris un demi-tour sur la route, traversant ainsi la ligne blanche.
Le chauffeur, un Hollandais de 63 ans, n'a sans doute pas vu la moto qui, de Vesoul, montait la côte en direction de Lure.
Les deux véhicules se sont percutés. Le motard, un jeune homme âgé de 20 ans et demi, originaire de Maseveaux (Haut-Rhin), a été gravement blessé à la cage-thoracique, et présentait des hémoragies internes. Il a été transporté à l'hôpital de Vesoul par les pompiers et devait être transféré à l'hôpital de Besançon ce matin, mais son pronostic vital était fortement engagé, et le jeune homme a succombé à ses blessures dans la nuit.
Le chauffeur du camping-car, choqué, a été placé en garde en vue et en cours d'audition. L'ensemble des dépistages (alcoolémie et stupéfiants) réalisé sur ce dernier se sont avérés négatifs, comme ceux de la victime.
Choc frontal à Céran : un mort dans une voiture sans permis
Arthur Grolleau était un artisan maçon très réputé à Puycasquier. Mais c'était aussi un bon vivant que les excès avaient contraint à se déplacer avec une voiture sans permis. Mardi soir, c'est à bord de ce véhicule qu'il s'est déporté sur la voie de gauche, au croisement de la RD 105 et de la RD 241 à Céran. Une voiture qui arrivait en face l'a percuté de plein fouet. Protégé par la carrosserie, le conducteur de la voiture n'a été que très légèrement blessé. Arthur, en revanche, a fait un arrêt cardiaque. Réanimé par le médecin du Samu 32, il a pu être transporté à l'hôpital d'Auch. Mais il n'a pas survécu à un deuxième arrêt du cœur dans la nuit. Il avait 63 ans. Son décès porte à douze le nombre des victimes de la route dans le Gers depuis le début de l'année.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/28/1388989-choc-frontal-un-mort-dans-une-voiture-sans-permis.html
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/28/1388989-choc-frontal-un-mort-dans-une-voiture-sans-permis.html
Mort d'Erane et Andy : les mères ont déposé plainte pour homicide volontaire
Les mères des deux cousins retrouvés noyés dans une piscine privée d'Eysines
(Gironde) ont déposé une plainte pour homicide volontaire, alors que la police
semble pour sa part privilégier la thèse de l'accident, a-t-on appris jeudi de
source proche du dossier. Les mères d'Erane et Andy, deux cousins âgés de sept
ans retrouvés morts mardi dans la piscine de la maison où leur absence a été
constatée samedi, déclenchant sur le moment d'importantes recherches dans cette
ville proche de Bordeaux, ont déposé cette plainte contre X mercredi auprès du
commissariat de la capitale girondine. Auparavant le père d'Erane, Pierre-Alain
Sylva, avait dans un message adressé à l'AFP indiqué que certains proches ne
voulaient pas croire qu'il pouvait s'agir d'un accident: "Nous ne croyons pas à
la thèse de l'accident.
http://lci.tf1.fr/filnews/france/mort-d-erane-et-andy-les-meres-ont-depose-plainte-pour-homicide-7392235.html
http://lci.tf1.fr/filnews/france/mort-d-erane-et-andy-les-meres-ont-depose-plainte-pour-homicide-7392235.html
Guyane : 2 militaires tués dans une opération contre des orpailleurs
C'est un épisode d'une rare violence dans la lutte
des forces de sécurité contre l'orpaillage. Mercredi, deux militaires ont été
tués et deux gendarmes grièvement blessés dans une opération conjointe entre
l'armée et la gendarmerie contre des chercheurs d'or clandestins en Guyane.
Les deux militaires faisaient partie du 9e RIMa, qui participe aux opérations
"Harpie" contre les orpailleurs. L'un est un caporal-chef de 32 ans, père d'un
enfant, l'autre un adjudant de 29 ans. Le pronostic vital des deux gendarmes
n'est pas engagé, selon le colonel Didier Laumont, commandant de gendarmerie de
la région. Ils faisaient partie d'un groupe revenu à proximité des lieux où, un
peu plus tôt, un hélicoptère de la gendarmerie avait essuyé des tirs, dans la
région de Dorlin, qui se situe sur l'immense territoire de la commune de
Maripasoula.
Cet hélicoptère participait à une opération de sécurisation de la zone devant permettre l'installation progressive d'une société minière légale dans cette région qui est un haut lieu isolé de l'orpaillage clandestin en Guyane depuis près de 20 ans, sans accès terrestre depuis le littoral. Des géologues devaient initialement se rendre sur place dès jeudi.
Cet hélicoptère participait à une opération de sécurisation de la zone devant permettre l'installation progressive d'une société minière légale dans cette région qui est un haut lieu isolé de l'orpaillage clandestin en Guyane depuis près de 20 ans, sans accès terrestre depuis le littoral. Des géologues devaient initialement se rendre sur place dès jeudi.
"Très vive émotion du gouvernement"
Vers 10h heure locale, l'hélicoptère a essuyé des tirs,
blessant légèrement un gendarme à la cuisse. "C'est comme si quelqu'un avait
vidé le chargeur de son pistolet sur l'hélicoptère", a rapporté un témoin.
Il y a eu au moins six impacts de tir sur l'appareil. Vers 13h, les
autorités décidaient de déposer à quelque 2 km de l'incident une douzaine de
gendarmes et 18 à 20 militaires. Après avoir marché une centaine de mètres sur
un sentier bordé de forêts, ils ont essuyé un feu nourri. "Ils sont tombés
dans une embuscade", a assuré la préfecture. Les deux militaires et les
deux gendarmes touchés étaient en tête du groupe.
Le ministre des Outre-mer, Victorin Lurel, est attendu sur place jeudi matin pour "rendre hommage aux deux militaires tués et se rendre au chevet des blessés". Les ministres des Outre-mer, de l'Intérieur, Manuel Valls, et de la Défense, Jean-Yves Le Drian ont exprimé leur "très vive émotion" à la suite du décès de deux militaires. Les trois membres du gouvernement ont salué "l'engagement" des militaires décédés dans cette opération "ainsi que celui de tous les militaires dans la lutte contre l'orpaillage clandestin". Ils condamnent "avec la plus grande fermeté" cette attaque "contre des représentants de l'autorité républicaine".
Le ministre des Outre-mer, Victorin Lurel, est attendu sur place jeudi matin pour "rendre hommage aux deux militaires tués et se rendre au chevet des blessés". Les ministres des Outre-mer, de l'Intérieur, Manuel Valls, et de la Défense, Jean-Yves Le Drian ont exprimé leur "très vive émotion" à la suite du décès de deux militaires. Les trois membres du gouvernement ont salué "l'engagement" des militaires décédés dans cette opération "ainsi que celui de tous les militaires dans la lutte contre l'orpaillage clandestin". Ils condamnent "avec la plus grande fermeté" cette attaque "contre des représentants de l'autorité républicaine".
Saint-Georges-de-Didonne : accident mortel sur la D140
Un jeune Royannais de 27 ans a trouvé la mort hier soir vers 22 heures au lieu-dit Boubes sur la départementale 140. A l'entrée du hameau, alors qu'il circulait en direction de Médis, il a perdu le contrôle de sa voiture qui a effectué plusieurs tonneaux avant de terminer sa course dans un champ. Son passager, un jeune homme de 25 ans a été légèrement blessé
http://www.sudouest.fr/2012/06/27/saint-georges-de-didonne-accident-mortel-sur-la-d140-755280-1538.php
http://www.sudouest.fr/2012/06/27/saint-georges-de-didonne-accident-mortel-sur-la-d140-755280-1538.php
mercredi 27 juin 2012
Bordeaux : le corps repêché dans la Garonne est bien celui du disparu
Le corps repêché lundi dans la
Garonne à Bordeaux est bien celui du jeune homme aperçu se débattant dans le
fleuve avant de disparaître dans l'eau lors de la Fête de la musique, a indiqué
mercredi parquet, qui a confirmé la thèse de la noyade. "Suite à la découverte
du corps d'un homme repêché dans les eaux de la Garonne (...), le procureur de
la République a ordonné une autopsie confiée à deux médecins légistes experts et
réalisée ce jour à l'Institut médico-judiciaire de Bordeaux", indique ce
communiqué.
"Ces opérations ont permis d'identifier très vraisemblablement la victime par la présence d'un tatouage spécifique". Il s'agit d'un jeune marginal de 29 ans, originaire de Marseille. "Cette identité correspond à celle apposée sur les documents retrouvés dans le sac à dos retiré du fleuve", ajoute le parquet.
La semaine dernière, lors de la Fête de la musique, un homme avait été aperçu vers 2h00 se débattant dans la Garonne en plein centre de Bordeaux, avant de disparaître dans l'eau.
"Ces opérations ont permis d'identifier très vraisemblablement la victime par la présence d'un tatouage spécifique". Il s'agit d'un jeune marginal de 29 ans, originaire de Marseille. "Cette identité correspond à celle apposée sur les documents retrouvés dans le sac à dos retiré du fleuve", ajoute le parquet.
La semaine dernière, lors de la Fête de la musique, un homme avait été aperçu vers 2h00 se débattant dans la Garonne en plein centre de Bordeaux, avant de disparaître dans l'eau.
Un motard de 36 ans tué dans une collision
Un motard de 36 ans a trouvé la mort, hier soir, vers 19 h 30, sur la commune de Saint-Géniès-des-Mourgues (Hérault), près de Castries.
Pour une raison inconnue, à une intersection, il est entré en collision avec une voiture. Cet habitant de Boisseron (Hérault) est décédé des suites de ses blessures.
http://www.midilibre.fr/2012/06/27/dma-un-motard-de-36-ans-tue-dans-une-collision,524192.php
Pour une raison inconnue, à une intersection, il est entré en collision avec une voiture. Cet habitant de Boisseron (Hérault) est décédé des suites de ses blessures.
http://www.midilibre.fr/2012/06/27/dma-un-motard-de-36-ans-tue-dans-une-collision,524192.php
Morts au destop dans le Gers : vers une enquête criminelle
«On ne communique pas sur cette affaire criminelle. » Ces quelques mots d'un gendarme proche de l'enquête indiquent que l'hypothèse d'un double suicide n'est clairement plus privilégiée dans l'affaire de la résidence Villalodge, à Fleurance, où a été retrouvé vendredi soir le corps sans vie de Geneviève Montès, âgée de 54 ans. Ce qu'ont découvert les gendarmes ce soir-là pourrait donc être, finalement, une scène de crime. Elle était allongée sur le lit, un homme de 56 ans gravement intoxiqué au Destop à ses côtés et une bouteille du déboucheur liquide non loin.
Selon nos informations, Geneviève Montès, propriétaire d'un salon de coiffure à L'Isle-Jourdain, aurait quitté précipitamment son établissement jeudi midi, laissant notamment quelques affaires et son ordinateur portable allumé. Jusqu'à vendredi soir, vers 23 heures, et l'annonce de son décès, ses proches sont restés sans nouvelles alors qu'elle devait fêter, la veille au soir, l'anniversaire de son petit-fils dans le Tarn-et-Garonne.
Le parquet reste prudent
Selon les premières constatations du médecin légiste ce soir-là, les deux individus auraient ingurgité du Destop, un produit hautement toxique. La principale victime présentait aussi quelques traces ou hématomes sur le visage ou le cou mais apparemment aucune trace de lutte sous les ongles et sur les mains. Aucun stigmate de bagarre (griffure ou autre) ne semble avoir été observé, non plus, sur le corps de l'homme.
Les résultats de l'autopsie pratiquée hier matin devaient être connus en fin de journée. Mais le parquet préfère rester très prudent dans cette affaire alors que l'un des deux principaux protagonistes est toujours hospitalisé à Rangueil, à Toulouse. « C'est délicat, explique le procureur Alix Chaumeton. L'enquête suit son cours lentement car nous n'avons toujours pas pu interroger cet homme. »
Le fils unique de Geneviève Montès, quant à lui, est persuadé qu'il ne peut s'agir d'un suicide. « Ma mère n'était absolument pas suicidaire, livre Frédéric Boutines. Elle devait venir le soir même à la maison fêter l'anniversaire de son petit-fils. Elle avait prévu d'aller acheter un cadeau pour mon fils dans l'après-midi avant de nous rejoindre, chez nous, à Verdun-sur-Garonne. »
Selon lui toujours, sa mère et l'homme que l'on a retrouvé grièvement blessé, près d'elle, ne formaient pas un couple. « Ils se connaissaient depuis quelques mois seulement, depuis décembre ou janvier dernier, reprend-il. Ce monsieur lui avait proposé un toit parce qu'elle était en difficulté à l'époque. Mais elle n'était pas sa compagne et comptait d'ailleurs quitter cette habitation très prochainement. Elle nous a fait part, dernièrement et à plusieurs reprises, de son désir de partir. »
Candidat aux municipales
Frédéric Boutines ne connaissait pas cet homme ni son adresse exacte dans la cité lomagnole. Ce dernier, qui a travaillé à Paris jusqu'au début des années 90, est encore salarié dans le bâtiment. Âgé de 56 ans, il s'est notamment présenté aux élections municipales de 2008, à Fleurance, sur une liste divers droite d'opposition.
Son audition, espérée dans les prochains jours, devrait permettre aux enquêteurs d'y voir un peu plus clair. Pour l'heure, le Fleurantin est encore considéré comme témoin. D'autant plus qu'en l'état actuel de l'enquête, aucune piste n'est véritablement écartée.
http://www.sudouest.fr/2012/06/27/vers-une-enquete-criminelle-754470-2386.php
Selon nos informations, Geneviève Montès, propriétaire d'un salon de coiffure à L'Isle-Jourdain, aurait quitté précipitamment son établissement jeudi midi, laissant notamment quelques affaires et son ordinateur portable allumé. Jusqu'à vendredi soir, vers 23 heures, et l'annonce de son décès, ses proches sont restés sans nouvelles alors qu'elle devait fêter, la veille au soir, l'anniversaire de son petit-fils dans le Tarn-et-Garonne.
Le parquet reste prudent
Selon les premières constatations du médecin légiste ce soir-là, les deux individus auraient ingurgité du Destop, un produit hautement toxique. La principale victime présentait aussi quelques traces ou hématomes sur le visage ou le cou mais apparemment aucune trace de lutte sous les ongles et sur les mains. Aucun stigmate de bagarre (griffure ou autre) ne semble avoir été observé, non plus, sur le corps de l'homme.
Les résultats de l'autopsie pratiquée hier matin devaient être connus en fin de journée. Mais le parquet préfère rester très prudent dans cette affaire alors que l'un des deux principaux protagonistes est toujours hospitalisé à Rangueil, à Toulouse. « C'est délicat, explique le procureur Alix Chaumeton. L'enquête suit son cours lentement car nous n'avons toujours pas pu interroger cet homme. »
Le fils unique de Geneviève Montès, quant à lui, est persuadé qu'il ne peut s'agir d'un suicide. « Ma mère n'était absolument pas suicidaire, livre Frédéric Boutines. Elle devait venir le soir même à la maison fêter l'anniversaire de son petit-fils. Elle avait prévu d'aller acheter un cadeau pour mon fils dans l'après-midi avant de nous rejoindre, chez nous, à Verdun-sur-Garonne. »
Selon lui toujours, sa mère et l'homme que l'on a retrouvé grièvement blessé, près d'elle, ne formaient pas un couple. « Ils se connaissaient depuis quelques mois seulement, depuis décembre ou janvier dernier, reprend-il. Ce monsieur lui avait proposé un toit parce qu'elle était en difficulté à l'époque. Mais elle n'était pas sa compagne et comptait d'ailleurs quitter cette habitation très prochainement. Elle nous a fait part, dernièrement et à plusieurs reprises, de son désir de partir. »
Candidat aux municipales
Frédéric Boutines ne connaissait pas cet homme ni son adresse exacte dans la cité lomagnole. Ce dernier, qui a travaillé à Paris jusqu'au début des années 90, est encore salarié dans le bâtiment. Âgé de 56 ans, il s'est notamment présenté aux élections municipales de 2008, à Fleurance, sur une liste divers droite d'opposition.
Son audition, espérée dans les prochains jours, devrait permettre aux enquêteurs d'y voir un peu plus clair. Pour l'heure, le Fleurantin est encore considéré comme témoin. D'autant plus qu'en l'état actuel de l'enquête, aucune piste n'est véritablement écartée.
http://www.sudouest.fr/2012/06/27/vers-une-enquete-criminelle-754470-2386.php
Deux ouvriers retrouvés morts sur un chantier à Mandelieu
Deux ouvriers ont trouvé la mort ce mardi matin sur un chantier au domaine du Barbossi à Mandelieu-la-Napoule.
Selon les premiers éléments de l'enquête, une intoxication au monoxyde de carbone serait à l'origine de leur décès.
L'alerte a été donnée ce mardi à 11h. Une trentaine de sapeurs-pompiers ont été déployés sur les lieux.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/deux-ouvriers-retrouves-morts-sur-un-chantier-a-mandelieu.913549.html
Selon les premiers éléments de l'enquête, une intoxication au monoxyde de carbone serait à l'origine de leur décès.
L'alerte a été donnée ce mardi à 11h. Une trentaine de sapeurs-pompiers ont été déployés sur les lieux.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/deux-ouvriers-retrouves-morts-sur-un-chantier-a-mandelieu.913549.html
Un cadavre retrouvé dans le canal Saint-Félix
Un cadavre a été retrouvé ce mercredi matin, flottant dans le canal Saint-Félix, situé près de la sortie sud de la gare de Nantes. Depuis 9 h, la police procède à l’inspection des lieux et au travail de constatation.
La série noire continue pour ce canal : en mars, le cadavre d’un jeune homme de 22 ans, mort par noyade, y avait déjà été retrouvé. C’est aussi là que la disparition inquiétante de Taoufik El Amri, intervenue en 2006 et qui avait fait les gros titres de la presse, avait trouvé son épilogue avec la découverte du corps de cet ouvrier tunisien.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/nantes/nantes-un-cadavre-retrouve-dans-le-canal-saint-felix-27-06-2012-1754191.php
La série noire continue pour ce canal : en mars, le cadavre d’un jeune homme de 22 ans, mort par noyade, y avait déjà été retrouvé. C’est aussi là que la disparition inquiétante de Taoufik El Amri, intervenue en 2006 et qui avait fait les gros titres de la presse, avait trouvé son épilogue avec la découverte du corps de cet ouvrier tunisien.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/nantes/nantes-un-cadavre-retrouve-dans-le-canal-saint-felix-27-06-2012-1754191.php
Rennes. Plus de six cents personnes aux obsèques du collégien décédé
Les obsèques religieuses de Kylian viennent de s’achever à Rennes (Ille et Vilaine).
Une foule d’amis entourait la famille de Kylian, ce matin, à l’église Saint-Yves à Rennes, lors des obsèques de l’adolescent décédé à la suite d’une altercation vendredi, dans la cour de son collège à Cleunay. Aux premiers rangs de l’assistance, Mme George Pau-Langevin, ministre déléguée auprès du ministre de l’éducation nationale, chargée de la réussite éducative, le préfet de région, préfet d’Ille-et-Vilaine, Michel Cadot, et le maire et président de Rennes Métropole, Daniel Delaveau. À leurs côtés, de très nombreuses autres personnalités dont la principale du collège où était scolarisé Kylian, mais aussi Pierre Dréossi, manager général du Stade Rennais dont Kylian était un des licenciés.
La célébration religieuse était présidée par Monseigneur Nicolas Souchu, évêque auxiliaire près Monseigneur Pierre d’Ornellas, archevêque de Rennes, Dol et Saint-Malo. Une célébration dépouillée à laquelle ont été associés, autour des parents et du petit frère de Kylian, les jeunes footballeurs du Stade Rennais ainsi que quel les camarades de classe du collégien baptisé à la veille de son décès. Une célébration qui a conduit l’évêque à reconnaître, lors de son homélie : « Lorsque je regarde le cercueil de Kylian, lorsque je pense à sa mort brutale, lorsque je pense à tous, vous, sa famille, ses amis, la communauté éducative du collège de Cleunay, lorsque je pense à toute cette violence, comme vous, j’ai de quoi m’interroger. »
Un policier de Jolimont se donne la mort avec son arme de service
Une onde de choc a secoué, hier après-midi, les fonctionnaires de police de la ville rose. Ils ont en effet appris que l'un des leurs s'était donné la mort avec son arme de service à son domicile. Ce jeune homme âgé de 28 ans était gardien de la paix au commissariat de Jolimont. Il n'avait pas travaillé les jours précédents mais devait reprendre du service hier matin. Inquiets de ne pas le voir arriver ses collègues ont tenté de le joindre en vain.
En début d'après-midi, ils ont décidé de se rendre à son domicile sur la commune de Saint-Alban, au Nord-Est de Toulouse. Malheureusement, le jeune policier s'était donné la mort à l'aide de son arme. Problèmes personnels ? Professionnels ? On ignorait hier soir les raisons de son geste. Le procureur Boyer s'est déplacé sur les lieux où les enquêteurs ont procédé aux constatations d'usage.
Une cellule d'aide psychologique a été mise en place dès hier pour la famille et les collègues de la victime. L'enquête a été confiée aux gendarmes de la brigade de recherches de Toulouse Saint-Michel avec l'appui de la brigade de Castelginest. Hier, les autorités se sont refusées à tout commentaire. « Nous sommes sous le choc. L'heure est au recueillement », indiquait l'un de ses collègues.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/27/1388164-un-policier-se-donne-la-mort-avec-son-arme.html
En début d'après-midi, ils ont décidé de se rendre à son domicile sur la commune de Saint-Alban, au Nord-Est de Toulouse. Malheureusement, le jeune policier s'était donné la mort à l'aide de son arme. Problèmes personnels ? Professionnels ? On ignorait hier soir les raisons de son geste. Le procureur Boyer s'est déplacé sur les lieux où les enquêteurs ont procédé aux constatations d'usage.
Une cellule d'aide psychologique a été mise en place dès hier pour la famille et les collègues de la victime. L'enquête a été confiée aux gendarmes de la brigade de recherches de Toulouse Saint-Michel avec l'appui de la brigade de Castelginest. Hier, les autorités se sont refusées à tout commentaire. « Nous sommes sous le choc. L'heure est au recueillement », indiquait l'un de ses collègues.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/27/1388164-un-policier-se-donne-la-mort-avec-son-arme.html
Erane et Andy. Vive émotion à l’école du petit Lorientais décédé
L’école d’Erane a appris, en milieu de matinée, le décès du petit Lorientais, retrouvé dans la piscine d’une maison près de Bordeaux. Un drame qui secoue ses camarades, tout comme les enseignants et les parents d’élève.
Une écoute pour enfants et enseignants
C’est le coup de fil d’une maman qui a informé le directeur, peu après 10 h. Elle venait d’apprendre le décès du petit Erane, sur une chaîne d’info continue. dans l’équipe éducative de ce groupe scolaire privé, comptant 425 élèves, l’espoir que le garçonnet et son cousin soient retrouvés vivants s’est éteint brutalement.
La direction de l’enseignement catholique du Morbihan a été rapidement prévenue. Son directeur adjoint a indiqué qu’« une écoute » allait être mise en place, pour les enfants comme pour leurs enseignants, « comme c’est le cas face à de tels drames ». Les enfants parlaient beaucoup de la disparition d’Erane, lundi : leurs enseignants ont préféré leur annoncer eux-mêmes la mauvaise nouvelle, avec le plus de tact possible.
Dans le flot des élèves quittant l’école à 11 h 55, il y a de l’insouciance, de la tristesse, des pleurs. L’innocence de l’enfance confrontée à la violence d’un fait divers. Des fillettes se serrent contre leur papa. Un garçon annonce à sa maman : « Tu sais, Erane, il est mort. » Des larmes coulent sur de jeunes visages, entraînant des pleurs en cascade chez leurs camarades. D’autres écoliers, qui ne réalisent pas forcément la dimension du drame, sont simplement heureux de retrouver leurs parents ou leur nounou pour aller manger.
Parents et enfants perturbés
Dans la foule des parents, une maman s’inquiète : « Mon fils Gildas est dans la même classe qu’Erane. Ils sont quatre, toujours ensemble. À courir, à s’amuser. Cette disparition, ça le perturbait. Quand il s’est endormi lundi soir, il m’a demandé quand Erane reviendrait. Le lendemain matin, il m’a redemandé encore. Ca le travaille. » Gildas sort de l’école, avec sa grande sœur venue le chercher. Il annonce de suite la nouvelle à sa mère. Un peu désemparée, elle répond : « Viens, on rentre à la maison, on va regarder les infos et on va en parler. »
Quelques minutes plus tard, un couple arrive, un peu en catastrophe, prévenue par une amie qui devait récupérer leur fille. Cassandre est effondrée. Elle n’est pas dans la même classe qu’Erane mais c’est « une petite fille très sensible », soufflent les parents. Le papa aurait préféré « que ce soit nous qui l’annoncions à nos enfants ».
Sa femme nuance : « Ce n’est sans doute pas facile pour les enseignants. Les enfants auraient pu l’apprendre ailleurs. Peut-être que prendre les devants était judicieux… Les pères et les mères en auraient obligatoirement, parlé devant l’école, à midi, nos enfants l’auraient appris. Au moins, ils ont une explication. »
Pour les adultes comme pour les enfants, apprendre un tel drame reste un moment extrêmement délicat à gérer, pour lequel il n’y a probablement pas de conditions idéales. La direction de l’enseignement catholique devrait expliquer, en fin d’après-midi, les mesures d’accompagnement envisagées
Une voiture percute un bus à Villeurbanne : deux blessés graves
En fin de matinée, le sable dispersé sur le bitume témoignait de l’accident qui avait eu lieu quelques heures plus tôt.
Hier à 7 heures du matin, rue Lucette-et-René-Desgrand, dans le quartier de Saint-Jean à Villeurbanne, une voiture et un bus sont entrés en collision, violemment. La Golf noire a percuté le bus de la ligne 37 qui arrivait en face, quelques mètres après avoir quitté son arrêt, à deux pas du quartier des Marais qui longe le périphérique. Le choc est violent : le conducteur de la Golf est blessé, sa passagère encore plus grièvement. Selon Keolis - l’exploitant du réseau de transports en commun-, cette dernière a dû être escortée pour être transportée à l’hôpital dans un état grave. Une désincarcération a été nécessaire.
Les circonstances de l’accident n’étaient pas clairement établies hier. Il semble toutefois que le conducteur, âgé d’une vingtaine d’années et qui travaille à Vaulx-en-Velin, aurait perdu le contrôle de son véhicule.
Deux passagers du bus, qui a été évacué, ont été pris en charge par les secours, ainsi que le chauffeur, très choqué. La rue a été fermée à la circulation dans les deux sens pendant trois heures.
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/06/27/une-voiture-percute-un-bus-a-villeurbanne-deux-blesses-graves
Hier à 7 heures du matin, rue Lucette-et-René-Desgrand, dans le quartier de Saint-Jean à Villeurbanne, une voiture et un bus sont entrés en collision, violemment. La Golf noire a percuté le bus de la ligne 37 qui arrivait en face, quelques mètres après avoir quitté son arrêt, à deux pas du quartier des Marais qui longe le périphérique. Le choc est violent : le conducteur de la Golf est blessé, sa passagère encore plus grièvement. Selon Keolis - l’exploitant du réseau de transports en commun-, cette dernière a dû être escortée pour être transportée à l’hôpital dans un état grave. Une désincarcération a été nécessaire.
Les circonstances de l’accident n’étaient pas clairement établies hier. Il semble toutefois que le conducteur, âgé d’une vingtaine d’années et qui travaille à Vaulx-en-Velin, aurait perdu le contrôle de son véhicule.
Deux passagers du bus, qui a été évacué, ont été pris en charge par les secours, ainsi que le chauffeur, très choqué. La rue a été fermée à la circulation dans les deux sens pendant trois heures.
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/06/27/une-voiture-percute-un-bus-a-villeurbanne-deux-blesses-graves
Un automobiliste se tue en tentant d'éviter un contrôle de la BAC
Un automobiliste de 26 ans est décédé ce mardi matin à Millau alors qu'il tentait d'échapper à un contrôle de la Brigade anti-criminalité (BAC).
Les faits se sont déroulés vers 3 heures du matin. Le conducteur qui circulait dans Millau a voulu éviter un contrôle de la BAC. Deux policiers sud-aveyronnais l'ont pris en chasse et ont tiré à deux reprises sur le véhicule en fuite. Selon les premières constatations, aucun impact de balle n'a été retrouvé sur le corps du chauffard. L'homme, qui conduisait une Audi A3, est décédé après avoir perdu le contrôle de son véhicule qui a percuté un poteau.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/26/1387527-millau-un-automobiliste-se-tue-en-tentant-d-eviter-un-controle-de-la-bac.html
Les faits se sont déroulés vers 3 heures du matin. Le conducteur qui circulait dans Millau a voulu éviter un contrôle de la BAC. Deux policiers sud-aveyronnais l'ont pris en chasse et ont tiré à deux reprises sur le véhicule en fuite. Selon les premières constatations, aucun impact de balle n'a été retrouvé sur le corps du chauffard. L'homme, qui conduisait une Audi A3, est décédé après avoir perdu le contrôle de son véhicule qui a percuté un poteau.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/26/1387527-millau-un-automobiliste-se-tue-en-tentant-d-eviter-un-controle-de-la-bac.html
mardi 26 juin 2012
Vieillesse et maladie : l’acte d’amour d’une épouse
Quatre jours après ce drame de la vieillesse conjuguée à la maladie ayant, selon toute vraisemblance, vendredi à Metzervisse, conduit une épouse à tenter de commettre l’irréparable sur son mari avant d’essayer de se suicider, l’état de santé du couple s’est amélioré. Tous les deux hospitalisés depuis les faits, les époux, respectivement âgés de 78 et 81 ans, demeurent sous haute surveillance médicale.
Une amélioration notable a tout de même permis aux gendarmes en charge de cette délicate enquête, d’entendre l’épouse dans le cadre d’une audition libre.
Un énième épisode provoqué par l’octogénaire souffrant d’une dégénérescence liée à son âge, vendredi matin au domicile du couple, aurait eu raison de la patience de son épouse. Elle-même diminuée physiquement par une ostéoporose lourde ainsi qu’une grave dépression, comme l’expliquait il y a peu sa fille.
Quant aux suites judiciaires que le parquet de Thionville compte réserver à ce dossier, elles dépendent encore de nombreux paramètres. « Nous allons attendre de voir comment évolue la santé des époux. Nous verrons alors si nous nous dirigeons vers une qualification criminelle de tentative d’homicide ou des violences volontaires aggravées », a conclu le magistrat.
La seconde option conduirait alors, une fois l’enquête terminée, à un renvoi du dossier, non pas devant les assises, mais devant un tribunal correctionnel.
http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers
Une amélioration notable a tout de même permis aux gendarmes en charge de cette délicate enquête, d’entendre l’épouse dans le cadre d’une audition libre.
Homicide ou violences volontaires ?
Des éléments forcément précieux pour l’évolution judiciaire de ce dossier douloureux mais qui ne font que confirmer le funeste scénario qui aurait dû conduire, vendredi matin, au décès des deux époux. « Le contexte est très particulier, précisait hier le procureur de la République de Thionville, Jean-François Mailhes. Avec deux personnes âgées confrontées à une problématique de fin de vie. L’épouse ne conteste pas les faits tels que reconstitués pour l’instant mais évoque précisément un acte d’amour envers son mari. Elle le voit partir doucement, et dit ne pas le supporter. »Un énième épisode provoqué par l’octogénaire souffrant d’une dégénérescence liée à son âge, vendredi matin au domicile du couple, aurait eu raison de la patience de son épouse. Elle-même diminuée physiquement par une ostéoporose lourde ainsi qu’une grave dépression, comme l’expliquait il y a peu sa fille.
Quant aux suites judiciaires que le parquet de Thionville compte réserver à ce dossier, elles dépendent encore de nombreux paramètres. « Nous allons attendre de voir comment évolue la santé des époux. Nous verrons alors si nous nous dirigeons vers une qualification criminelle de tentative d’homicide ou des violences volontaires aggravées », a conclu le magistrat.
La seconde option conduirait alors, une fois l’enquête terminée, à un renvoi du dossier, non pas devant les assises, mais devant un tribunal correctionnel.
http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers
Bazas : un mort et deux blessés dans un accident de la route
Un accident de la circulation, impliquant un seul véhicule, a eu lieu dans la nuit de lundi à mardi, à 2h45 cours Gambetta à Bazas. Quatre personnes étaient à bord de cette voiture.
Un des passagers, un jeune homme âgé de 25 ans, a été transporté au CHU Pellegrin de Bordeaux, où il est décédé. Deux autres personnes, un homme et une femme, ont été blessées et hospitalisées à Langon.
Suite à une perte de contrôle, le véhicule a roulé sur un terre-plein, percuté un réverbère en béton avant de stopper sa course contre un mur.
http://www.sudouest.fr/2012/06/26/bazas-un-mort-et-deux-blesses-dans-un-accident-de-la-route-754174-2757.php
Un des passagers, un jeune homme âgé de 25 ans, a été transporté au CHU Pellegrin de Bordeaux, où il est décédé. Deux autres personnes, un homme et une femme, ont été blessées et hospitalisées à Langon.
Suite à une perte de contrôle, le véhicule a roulé sur un terre-plein, percuté un réverbère en béton avant de stopper sa course contre un mur.
http://www.sudouest.fr/2012/06/26/bazas-un-mort-et-deux-blesses-dans-un-accident-de-la-route-754174-2757.php
Un homme décède dans une bagarre après un match de foot
Un homme de 42 ans est mort après une violente bagarre qui s'est produite en pleine rue jeudi soir, à Roubaix, à l'issue du match République tchèque-Portugal. Saisie, la PJ de Lille a interpellé deux suspects.
Deux hommes interpellés D'après la police, les deux hommes avec qui il a eu l'altercation seraient revenus à la charge. Il y a eu une bagarre rue des Arts, ou plutôt une agression, « d'une violence inouïe » selon la police judiciaire de Lille, saisie de l'affaire. L'homme a reçu des coups de pied, des coups de poing, sur le corps, sur le visage. Alertés, les pompiers de Roubaix et le Samu sont intervenus en urgence dans cette rue du quartier de l'Épeule. Très mal en point et souffrant d'une hémorragie cérébrale, la victime a été hospitalisée. Elle est décédée quelques heures plus tard de ses blessures.
C'est à partir de là que la police judiciaire de Lille est saisie. Durant le week-end, elle auditionne le principal témoin, à savoir l'ami de la victime.
Par le biais notamment de présentation de photos, elle parvient à identifier deux suspects qu'elle interpelle dans la foulée. Samedi en fin d'après-midi, puis dimanche matin, deux Roubaisiens, âgés de 38 et 44 ans, et par ailleurs déjà connus des services de police, sont donc interpellés à leur domicile. En garde à vue, les deux hommes auraient reconnu avoir eu une altercation avec la victime. Des tâches de sang ont été retrouvées sur une chaussure, a précisé la PJ. Une information judiciaire a été ouverte. Déférés hier soir au parquet de Lille, les deux suspects allaient probablement être mis en examen et placés en détention provisoire.
http://www.nordeclair.fr/Locales/Roubaix/2012/06/26/bagarre-apres-un-match-de-foot-un-homme.shtml
Il a passé la soirée dans un bar de Roubaix, à regarder le match qui opposait la République tchèque au Portugal pour l'Euro 2012. Il était Portugais, il avait 42 ans, et ce soir-là, dans ce bar roubaisien, il était entouré de nombreux autres supporteurs portugais. Ensuite, son équipe a gagné.
Il devait être heureux, sûrement. Il était alcoolisé. Il était accompagné d'un ami. Ils ont quitté le bar. Et puis il y a eu cette première altercation, avec deux autres hommes. Ensuite, toujours accompagné de son ami, il a marché dans Roubaix. Et puis, vers minuit, les choses ont mal tourné.
Il devait être heureux, sûrement. Il était alcoolisé. Il était accompagné d'un ami. Ils ont quitté le bar. Et puis il y a eu cette première altercation, avec deux autres hommes. Ensuite, toujours accompagné de son ami, il a marché dans Roubaix. Et puis, vers minuit, les choses ont mal tourné.
Deux hommes interpellés D'après la police, les deux hommes avec qui il a eu l'altercation seraient revenus à la charge. Il y a eu une bagarre rue des Arts, ou plutôt une agression, « d'une violence inouïe » selon la police judiciaire de Lille, saisie de l'affaire. L'homme a reçu des coups de pied, des coups de poing, sur le corps, sur le visage. Alertés, les pompiers de Roubaix et le Samu sont intervenus en urgence dans cette rue du quartier de l'Épeule. Très mal en point et souffrant d'une hémorragie cérébrale, la victime a été hospitalisée. Elle est décédée quelques heures plus tard de ses blessures.
C'est à partir de là que la police judiciaire de Lille est saisie. Durant le week-end, elle auditionne le principal témoin, à savoir l'ami de la victime.
Par le biais notamment de présentation de photos, elle parvient à identifier deux suspects qu'elle interpelle dans la foulée. Samedi en fin d'après-midi, puis dimanche matin, deux Roubaisiens, âgés de 38 et 44 ans, et par ailleurs déjà connus des services de police, sont donc interpellés à leur domicile. En garde à vue, les deux hommes auraient reconnu avoir eu une altercation avec la victime. Des tâches de sang ont été retrouvées sur une chaussure, a précisé la PJ. Une information judiciaire a été ouverte. Déférés hier soir au parquet de Lille, les deux suspects allaient probablement être mis en examen et placés en détention provisoire.
http://www.nordeclair.fr/Locales/Roubaix/2012/06/26/bagarre-apres-un-match-de-foot-un-homme.shtml
Un adolescent meurt en inhalant du déodorant
L’autopsie réalisée ce lundi matin a confirmé l’hypothèse privilégiée par les enquêteurs. C’est bien l’inhalation d’un déodorant qui a provoqué le décès d’un adolescent, âgé de 15 ans, dans la nuit de vendredi à samedi, à Brest.
La jeune victime venait de passer les heures précédentes à jouer à la console avec son meilleur ami, au domicile de la maman de ce dernier et en sa présence.
Vers 2 h, selon la police, la maman, qui somnolait, a entendu le jeune hôte entrer dans la salle de bains. Quelques minutes après, il n’en était toujours pas sorti. La mère de famille a donc alerté son fils.
À l’aide d’un tournevis, ils ont réussi à forcer la porte de la pièce : le jeune homme s’y trouvait sur le sol, inanimé. Les médecins du Samu ont tenté de le réanimer, pendant près de 45 minutes, en vain. Le décès a été constaté à 3 h 20.
Selon le Parquet de Brest, le jeune homme inhalait régulièrement du déodorant, produit chimique puissant qui a la réputation "de provoquer des hallucinations" et de donner "une voix grave" à ceux qui l’utilisent ainsi.
Plusieurs précédents
Par le passé, plusieurs jeunes gens ont ainsi trouvé la mort en France, notamment en inhalant des produits d’entretien, comme du dépoussiérant pour ordinateur. Ce fut le cas, en 2001, dans la région parisienne, où la victime était aussi un garçon âgé de 15 ans.
Une enquête, réalisée au Texas, a révélé que "des inhalations répétées de produits chimiques peuvent provoquer des étourdissements, des lésions cérébrales permanentes, voire des embolies pulmonaires et des défaillances cardiaques". Les produits font battre le cœur très vite et de manière irrégulière, provoquant l’arrêt cardiaque. Sans que l’on sache pourquoi, l’une des raisons de ce phénomène serait la montée subite de l’adrénaline dans le corps, en réaction à la surprise, à la frayeur ou à l’excitation.
http://www.letelegramme.com/local/finistere-nord/brest/ville/brest-un-adolescent-meurt-en-inhalant-du-deodorant-25-06-2012-1751633.php
La jeune victime venait de passer les heures précédentes à jouer à la console avec son meilleur ami, au domicile de la maman de ce dernier et en sa présence.
Vers 2 h, selon la police, la maman, qui somnolait, a entendu le jeune hôte entrer dans la salle de bains. Quelques minutes après, il n’en était toujours pas sorti. La mère de famille a donc alerté son fils.
À l’aide d’un tournevis, ils ont réussi à forcer la porte de la pièce : le jeune homme s’y trouvait sur le sol, inanimé. Les médecins du Samu ont tenté de le réanimer, pendant près de 45 minutes, en vain. Le décès a été constaté à 3 h 20.
Selon le Parquet de Brest, le jeune homme inhalait régulièrement du déodorant, produit chimique puissant qui a la réputation "de provoquer des hallucinations" et de donner "une voix grave" à ceux qui l’utilisent ainsi.
Plusieurs précédents
Par le passé, plusieurs jeunes gens ont ainsi trouvé la mort en France, notamment en inhalant des produits d’entretien, comme du dépoussiérant pour ordinateur. Ce fut le cas, en 2001, dans la région parisienne, où la victime était aussi un garçon âgé de 15 ans.
Une enquête, réalisée au Texas, a révélé que "des inhalations répétées de produits chimiques peuvent provoquer des étourdissements, des lésions cérébrales permanentes, voire des embolies pulmonaires et des défaillances cardiaques". Les produits font battre le cœur très vite et de manière irrégulière, provoquant l’arrêt cardiaque. Sans que l’on sache pourquoi, l’une des raisons de ce phénomène serait la montée subite de l’adrénaline dans le corps, en réaction à la surprise, à la frayeur ou à l’excitation.
http://www.letelegramme.com/local/finistere-nord/brest/ville/brest-un-adolescent-meurt-en-inhalant-du-deodorant-25-06-2012-1751633.php
Il meurt écrasé par la faucheuse
Hier vers 9 heures, un habitant de Barbazan est décédé après avoir été écrasé par une machine agricole. L'homme âgé de 77 ans s'apprêtait comme d'habitude à conduire son troupeau de vaches dans des prés non loin sur la route de Sauveterre de Comminges. Après avoir quitté son habitation située Grande rue Saint Michel, il s'est donc aventuré sur la route où il a croisé un agriculteur de Luscan qui conduisait un tracteur avec en remorque une faucheuse.
À l'issue de quelques échanges, les deux hommes se connaissant apparemment, le conducteur du tracteur a repris sa route après avoir laissé passer les vaches, sans se rendre compte à aucun moment que le propriétaire du troupeau était tombé sur la route à hauteur semble-t-il de la faucheuse. Sur place, les urgentistes du Samu et les pompiers de Saint-Gaudens n'ont pu que constater le décès de la victime. Les circonstances exactes de l'accident seront déterminées au terme d'une enquête menée par les gendarmes de Barbazan qui étaient sur les lieux du drame.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/26/1386908-barbazan-il-meurt-ecrase-par-la-faucheuse.html
À l'issue de quelques échanges, les deux hommes se connaissant apparemment, le conducteur du tracteur a repris sa route après avoir laissé passer les vaches, sans se rendre compte à aucun moment que le propriétaire du troupeau était tombé sur la route à hauteur semble-t-il de la faucheuse. Sur place, les urgentistes du Samu et les pompiers de Saint-Gaudens n'ont pu que constater le décès de la victime. Les circonstances exactes de l'accident seront déterminées au terme d'une enquête menée par les gendarmes de Barbazan qui étaient sur les lieux du drame.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/26/1386908-barbazan-il-meurt-ecrase-par-la-faucheuse.html
Les corps d'Erane et Andy retrouvés dans une piscine
Macabre découverte. Les corps de deux enfants ont été découverts mardi matin
dans une piscine d'Eysines, près de Bordeaux, trois
jours après la disparition
dans cette localité, d'Andy et Eyrane, deux cousins âgés de sept ans
Selon une source policière, les petits corps auraient été retrouvés dans la piscine de la maison où ils avaient disparu samedi lors d'une fête d'anniversaire. Selon cette source, les corps sont dans la piscine, à l'eau "très sale", de la maison de la rue de l'impasse André Blanc où ils avaient été aperçus pour la dernière fois.
Frustrés de ne pas se baigner
Lundi après-midi le périmètre des recherches avait été élargi jusqu'au lac de Bordeaux et les points d'eau avaient été sondés, les deux enfants s'étant plaints dans l'après-midi de ne pouvoir se baigner, selon un témoignage de la famille.
Erane, originaire de Lorient, se trouvait de passage dans cette ville en banlieue de Bordeaux. Andy, pour sa part habitait Bruges, non loin d'Eysines, avec sa mère.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/cousins-disparus-deux-corps-decouverts-dans-une-piscine-7384840.html
Selon une source policière, les petits corps auraient été retrouvés dans la piscine de la maison où ils avaient disparu samedi lors d'une fête d'anniversaire. Selon cette source, les corps sont dans la piscine, à l'eau "très sale", de la maison de la rue de l'impasse André Blanc où ils avaient été aperçus pour la dernière fois.
Frustrés de ne pas se baigner
Lundi après-midi le périmètre des recherches avait été élargi jusqu'au lac de Bordeaux et les points d'eau avaient été sondés, les deux enfants s'étant plaints dans l'après-midi de ne pouvoir se baigner, selon un témoignage de la famille.
Erane, originaire de Lorient, se trouvait de passage dans cette ville en banlieue de Bordeaux. Andy, pour sa part habitait Bruges, non loin d'Eysines, avec sa mère.
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/cousins-disparus-deux-corps-decouverts-dans-une-piscine-7384840.html
Choc frontal à Saint-Vulbas : décès de la femme enceinte de sept mois
Dans le choc frontal entre deux véhicules qui avait fait jeudi à Saint-Vulbas, deux blessés graves, la conductrice de la Golf, une femme de 37 ans, enceinte de sept mois est décédée lundi des suites de ses blessures.
Le jeune femme n'a finalement pas survécu à ses blessures dans ce terrible choc frontal qui avait eu lieu jeudi dernier en fin d'après-midi.
Vers 18 h 15, une Golf et une Megane étaient entrées en collision sur la départementale 20, au niveau de Saint-Vulbas.
L’homme de 52 ans, au volant d’une Mégane, a été éjecté de son véhicule. La conductrice de la Golf, une femme de 37 ans enceinte de sept mois avait dû être désincarcérée. Elle avait été transportée par l’hélicoptère de la sécurité civile Dragon 69, vers l’hôpital Lyon-Sud.
http://www.leprogres.fr/ain/2012/06/25/deces-de-la-cond
Le jeune femme n'a finalement pas survécu à ses blessures dans ce terrible choc frontal qui avait eu lieu jeudi dernier en fin d'après-midi.
Vers 18 h 15, une Golf et une Megane étaient entrées en collision sur la départementale 20, au niveau de Saint-Vulbas.
L’homme de 52 ans, au volant d’une Mégane, a été éjecté de son véhicule. La conductrice de la Golf, une femme de 37 ans enceinte de sept mois avait dû être désincarcérée. Elle avait été transportée par l’hélicoptère de la sécurité civile Dragon 69, vers l’hôpital Lyon-Sud.
http://www.leprogres.fr/ain/2012/06/25/deces-de-la-cond
Frouard : un homme retranché chez lui met fin à ses jours
Il était environ 12h45 lorsque la compagne d'un homme de 52 ans, domicilé rue de Metz, à Frouard, a appelé la gendarmerie de Frouard. Son compagnon, muni d'un fusil de chasse, s'était retranché chez lui.
Deux négociateurs de la brigade de gendarmerie de Frouard se sont rendus sur place pour tenter, en vain, de communiquer avec lui.
A 14h15 l'homme a mis fin à ses jours, dans la petite cour devant chez lui, devant les gendarmes qui n'ont rien pu faire.
Le drame s'est produit non loin du vide-grenier des Frouardises.
http://www.estrepublicain.fr/fil-info/2012/06/24/frouard-un-homme-retranche-chez-lui-met-fin-a-ses-jours
Deux négociateurs de la brigade de gendarmerie de Frouard se sont rendus sur place pour tenter, en vain, de communiquer avec lui.
A 14h15 l'homme a mis fin à ses jours, dans la petite cour devant chez lui, devant les gendarmes qui n'ont rien pu faire.
Le drame s'est produit non loin du vide-grenier des Frouardises.
http://www.estrepublicain.fr/fil-info/2012/06/24/frouard-un-homme-retranche-chez-lui-met-fin-a-ses-jours
lundi 25 juin 2012
Etampes : un adjoint de sécurité se suicide au commissariat
Un adjoint de sécurité s’est suicidé dimanche soir, aux alentours de 21h40, dans les locaux du commissarait d’Etampes. Âgé d’une vingtaine d’années, il a mis fin à ses jours en se tirant une balle en pleine tête avec son arme de service, un Sig 9mm. Selon les premiers élèments de l’enquête, ce drame n’est pas lié aux conditons de travail du jeune homme mais ferait suite à une peine de coeur.
Une cellule psychologique a été mise en place au sein du commissariat.
http://www.leparisien.fr/essonne-91/etampes-un-adjoint-de-securite-se-suicide-au-commissariat-25-06-2012-2064732.php
Une cellule psychologique a été mise en place au sein du commissariat.
http://www.leparisien.fr/essonne-91/etampes-un-adjoint-de-securite-se-suicide-au-commissariat-25-06-2012-2064732.php
Frouard (54) : un homme se suicide non loin de la braderie
A 14 h 15, une détonation déchire l’air. Un frisson parcourt la foule massée derrière le cordon de sécurité, en amont de la rue de Metz. Les gendarmes n’ont pas réussi à ramener à la raison le désespéré assis devant chez lui, armé d’un fusil de chasse.
Le quinquagénaire, un intérimaire de 52 ans domicilié depuis quelques mois seulement dans la commune, a mis fin à ses jours, en dépit des efforts des uns et des autres. Le maire de Frouard, Jean-François Grandbastien, et son adjoint d’astreinte, Pascal Muller qui a suivi en direct l’arrivée des gendarmes et leurs tentatives de négociations, semblent émus par la fin tragique de cet homme en rupture amoureuse.
Ils s’empressent d’aller rassurer les visiteurs et les exposants des Frouardies, grosse brocante annuelle qui se tient non loin du domicile du quinquagénaire. Les plus folles rumeurs ont couru à travers ses allées. Evoquant plusieurs tirs, y compris sur la manifestation.
En revanche, la veille déjà, des voisins l’avaient aperçu au premier étage en train de manipuler son arme. Les gendarmes se sont déplacés mais l’homme a su se montrer assez rassurant et convaincant pour que les militaires estiment leur mission accomplie.
Ce matin, après la visite de sa compagne, il s’est à nouveau emparé de son fusil et a manifesté son intention d’en finir. Sa famille appelée à la rescousse a tenté de le raisonner. Les forces de l’ordre, nombreuses en ce jour de vide-greniers ont elles aussi demandé des renforts. Dont deux négociateurs, spécialisés dans la gestion des situations délicates. A 12 h 45, un PC de crise était installé dans une des salles de la médiathèque, non loin de la petite maison du quinquagénaire, Un périmètre de sécurité était balisé. Les pompiers eux aussi sur place mettaient à l’abri des enfants restés seuls dans un appartement situé en face, et devenu inaccessible pour la maman inquiète… Les militaires tentaient d’ouvrir le dialogue. En vain.
L’enquête a été confiée à la brigade de Frouard.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2012/06/24/la-veille-deja-il-avait-manipule-son-arme
Le quinquagénaire, un intérimaire de 52 ans domicilié depuis quelques mois seulement dans la commune, a mis fin à ses jours, en dépit des efforts des uns et des autres. Le maire de Frouard, Jean-François Grandbastien, et son adjoint d’astreinte, Pascal Muller qui a suivi en direct l’arrivée des gendarmes et leurs tentatives de négociations, semblent émus par la fin tragique de cet homme en rupture amoureuse.
Ils s’empressent d’aller rassurer les visiteurs et les exposants des Frouardies, grosse brocante annuelle qui se tient non loin du domicile du quinquagénaire. Les plus folles rumeurs ont couru à travers ses allées. Evoquant plusieurs tirs, y compris sur la manifestation.
La veille déjà, il avait manipulé son arme
L’homme n’a pourtant pas quitté sa maison, légèrement en retrait de la route principale menant à Pompey. Et il semble bien qu’il n’ait rien tenté d’autre que d’attenter à sa propre vie.En revanche, la veille déjà, des voisins l’avaient aperçu au premier étage en train de manipuler son arme. Les gendarmes se sont déplacés mais l’homme a su se montrer assez rassurant et convaincant pour que les militaires estiment leur mission accomplie.
Ce matin, après la visite de sa compagne, il s’est à nouveau emparé de son fusil et a manifesté son intention d’en finir. Sa famille appelée à la rescousse a tenté de le raisonner. Les forces de l’ordre, nombreuses en ce jour de vide-greniers ont elles aussi demandé des renforts. Dont deux négociateurs, spécialisés dans la gestion des situations délicates. A 12 h 45, un PC de crise était installé dans une des salles de la médiathèque, non loin de la petite maison du quinquagénaire, Un périmètre de sécurité était balisé. Les pompiers eux aussi sur place mettaient à l’abri des enfants restés seuls dans un appartement situé en face, et devenu inaccessible pour la maman inquiète… Les militaires tentaient d’ouvrir le dialogue. En vain.
L’enquête a été confiée à la brigade de Frouard.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2012/06/24/la-veille-deja-il-avait-manipule-son-arme
Mort suspecte d’un enfant de deux ans à Saint-Germain-en-Coglès
Un petit garçon de deux ans est mort, hier soir vers 21 h, dans une propriété située dans la campagne à Saint-Germain-en-Coglès, près de Fougères (Ille-et-Vilaine). La maman du garçonnet a été hospitalisée au centre hospitalier de Fougères.
La jeune femme, âgée d'une trentaine d'années, séjournait chez ses parents cultivateurs suite à des problèmes conjugaux. Ce sont les parents qui ont découvert le petit garçon et la jeune mère dans la chambre à l’étage.
Le parquet de Rennes a ouvert une enquête. Les gendarmes sont chargés des investigations.
Un homme mortellement renversé par un train
Un homme, âgé entre 20 et 30 ans, a trouvé la mort, hier matin vers 7 h 15, sur la voie ferrée au niveau de Crampagna, après avoir été renversé par un train.
Le conducteur de train a freiné sans pouvoir éviter le choc. Le train qui se rendait en Ariège s'est arrêté quelques centaines de mètres plus loin. à son bord, quatre voyageurs avaient pris place.
Aussitôt alertés, les secours se sont rendus sur les lieux. Ils n'ont pu que constater le décès du jeune homme trouvé sans papiers d'identité.
La SNCF a procédé à l'évacuation des quatre voyageurs qui ont été acheminés en taxi jusqu'à leur destination. Le trafic ferroviaire a été totalement interrompu sur la ligne Ariège-Toulouse pendant la matinée d'hier. Un service de substitution par bus a été mis en place au départ et à destination de l'Ariège et de La Tour-de-Carol.
Les trains devaient circuler normalement, hier, en début d'après-midi.
Le conducteur de train a été entendu par les gendarmes et a été relevé par un collègue, selon la procédure de la SNCF.
De leur côté, les gendarmes en charge de l'enquête tentent, depuis hier, d'identifier la victime. Il s'agit d'un homme qui serait âgé entre 20 et 30 ans, qui a été découvert sans papier d'identité. L'enquête va devoir déterminer s'il s'agit d'un suicide ou d'un accident ? Dans le second cas, les enquêteurs vont tenter de savoir ce que le jeune homme faisait sur la voie ferrée à cet endroit-là, à cet horaire-là.
Selon un riverain, le secteur aurait été le théâtre d'un suicide voici quelques années.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/25/1386508-un-homme-mortellement-renverse-par-un-train.html
Le conducteur de train a freiné sans pouvoir éviter le choc. Le train qui se rendait en Ariège s'est arrêté quelques centaines de mètres plus loin. à son bord, quatre voyageurs avaient pris place.
Aussitôt alertés, les secours se sont rendus sur les lieux. Ils n'ont pu que constater le décès du jeune homme trouvé sans papiers d'identité.
La SNCF a procédé à l'évacuation des quatre voyageurs qui ont été acheminés en taxi jusqu'à leur destination. Le trafic ferroviaire a été totalement interrompu sur la ligne Ariège-Toulouse pendant la matinée d'hier. Un service de substitution par bus a été mis en place au départ et à destination de l'Ariège et de La Tour-de-Carol.
Les trains devaient circuler normalement, hier, en début d'après-midi.
Le conducteur de train a été entendu par les gendarmes et a été relevé par un collègue, selon la procédure de la SNCF.
De leur côté, les gendarmes en charge de l'enquête tentent, depuis hier, d'identifier la victime. Il s'agit d'un homme qui serait âgé entre 20 et 30 ans, qui a été découvert sans papier d'identité. L'enquête va devoir déterminer s'il s'agit d'un suicide ou d'un accident ? Dans le second cas, les enquêteurs vont tenter de savoir ce que le jeune homme faisait sur la voie ferrée à cet endroit-là, à cet horaire-là.
Selon un riverain, le secteur aurait été le théâtre d'un suicide voici quelques années.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/25/1386508-un-homme-mortellement-renverse-par-un-train.html
L'enfant de 4 ans porté disparu à Toulouse retrouvé mort
L'enfant de 4 ans porté disparu dimanche soir à Toulouse a été retrouvé mort
dans un lac non loin de l'immeuble où il vivait, a-t-on appris lundi de sources
proches de l'enquête. "L'enfant a été retrouvé dans le lac en immersion", a dit
à l'AFP un membre
http://lci.tf1.fr/filnews/france/l-enfant-de-4-ans-porte-disparu-a-toulouse-retrouve-mort-7383347.html
http://lci.tf1.fr/filnews/france/l-enfant-de-4-ans-porte-disparu-a-toulouse-retrouve-mort-7383347.html
Il escalade à la Tour Eiffel et se jette dans le vide
Une scène terrible dans la nuit de dimanche à
lundi à Paris,
un homme s'est jeté dans le vide après avoir escaladé la Tour Eiffel,
rapporte le site internet leparisien.fr. "Un homme qui se trouvait dans
la structure de la Tour Eiffel s'est
précipité dans le vide", a indiqué à un porte-parole de la Préfecture de
police de Paris. "Il est décédé", a-t-il
précisé. Le grimpeur est tombé entre le 1er et le 2e étage
de la Dame de fer.
Les faits se sont déroulés aux alentours de 23h30. L'homme, qui portait un sac à dos, avait été repéré un peu plus tôt en train d'escalader la dame de fer, et un dispositif de sécurité avait été mis en place autour du monument, a indiqué la Préfecture de Police. En outre, les touristes ont été évacués du bâtiment, qui compte un restaurant réputé. Les pompiers du GREP (groupement de recherche et d'exploration profonde) ont tenté en vain d'intervenir pour l'empêcher de poursuivre son ascension. Alors que l'identité de l'homme n'a pas été précisée, une enquête est en cours pour savoir s'il s'agit ou non d'un suicide.
Les faits se sont déroulés aux alentours de 23h30. L'homme, qui portait un sac à dos, avait été repéré un peu plus tôt en train d'escalader la dame de fer, et un dispositif de sécurité avait été mis en place autour du monument, a indiqué la Préfecture de Police. En outre, les touristes ont été évacués du bâtiment, qui compte un restaurant réputé. Les pompiers du GREP (groupement de recherche et d'exploration profonde) ont tenté en vain d'intervenir pour l'empêcher de poursuivre son ascension. Alors que l'identité de l'homme n'a pas été précisée, une enquête est en cours pour savoir s'il s'agit ou non d'un suicide.
Une jeune femme de 19 ans tuée dans une sortie de route
Une jeune Beaumontoise, Louisa Cuthill, 19 ans, a trouvé la mort, tôt hier matin, dans un accident de la route survenu près du pont de la Rite.
Il était 5 h 45 lorsque deux jeunes filles, toutes les deux âgées de 19 ans, regagnaient leur domicile vraisemblablement après une soirée passée sur Beaumont. Au volant d'une « Wolkswagen Golf », la conductrice, une Auterivaise, circule, peu après avoir ramené son frère chez lui, sur la C4 entre Beaumont-de-Lomagne et Le Cause. C'est près du pont de la Rite, au lieu-dit « Envidalot », un petit cours d'eau, que la jeune femme a perdu le contrôle de son véhicule. Une manœuvre qui l'a conduite à quitter la chaussée communale et à faire un tonneau. La « Golf » s'immobilisait alors sur le toit au fond du petit ruisseau, à sec, d'Envidalot.
Consciente à l'arrivée des secours, la jeune femme atteste avoir été surprise par un animal ayant traversé la chaussée au même moment. C'est en voulant l'éviter qu'elle aurait ainsi perdu la maîtrise de son automobile. Une perte de contrôle qui devait être fatale pour sa passagère de 19 ans. Cette dernière aurait été en partie éjectée de l'habitacle du véhicule. C'est coincée entre l'épave et le fossé que les sapeurs- pompiers b-eaumontois l'ont désincarcérée et retrouvée sans vie. Également extraite de l'amas de tôle, la conductrice, blessée, a été acheminée par les soldats du feu aux urgences du centre hospitalier de Montauban. Sur place, les gendarmes de la communauté de brigades (COB) de Beaumont-de-Lomagne ont effectué les constatations et prélèvements d'usage.
Un accident qui fait passer à seize le nombre de tués sur les routes du Tarn-et-Garonne depuis le début de l'année. Ce qui fait grimper à + 2, le nombre de morts par rapport à 2 011. Un mauvais chiffre qui pourrait être plus lourd si la décision du parquet qui se fait toujours attendre ajoute les deux corps repêchés, en mars, dans le canal à Moissac. Ce couple de Portugais ayant été victime d'une funeste sortie de route.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/24/1385959-beaumont-de-lomagne-une-jeune-femme-de-19-ans-tuee-dans-une-sortie-de-route.html
Il était 5 h 45 lorsque deux jeunes filles, toutes les deux âgées de 19 ans, regagnaient leur domicile vraisemblablement après une soirée passée sur Beaumont. Au volant d'une « Wolkswagen Golf », la conductrice, une Auterivaise, circule, peu après avoir ramené son frère chez lui, sur la C4 entre Beaumont-de-Lomagne et Le Cause. C'est près du pont de la Rite, au lieu-dit « Envidalot », un petit cours d'eau, que la jeune femme a perdu le contrôle de son véhicule. Une manœuvre qui l'a conduite à quitter la chaussée communale et à faire un tonneau. La « Golf » s'immobilisait alors sur le toit au fond du petit ruisseau, à sec, d'Envidalot.
Consciente à l'arrivée des secours, la jeune femme atteste avoir été surprise par un animal ayant traversé la chaussée au même moment. C'est en voulant l'éviter qu'elle aurait ainsi perdu la maîtrise de son automobile. Une perte de contrôle qui devait être fatale pour sa passagère de 19 ans. Cette dernière aurait été en partie éjectée de l'habitacle du véhicule. C'est coincée entre l'épave et le fossé que les sapeurs- pompiers b-eaumontois l'ont désincarcérée et retrouvée sans vie. Également extraite de l'amas de tôle, la conductrice, blessée, a été acheminée par les soldats du feu aux urgences du centre hospitalier de Montauban. Sur place, les gendarmes de la communauté de brigades (COB) de Beaumont-de-Lomagne ont effectué les constatations et prélèvements d'usage.
Un accident qui fait passer à seize le nombre de tués sur les routes du Tarn-et-Garonne depuis le début de l'année. Ce qui fait grimper à + 2, le nombre de morts par rapport à 2 011. Un mauvais chiffre qui pourrait être plus lourd si la décision du parquet qui se fait toujours attendre ajoute les deux corps repêchés, en mars, dans le canal à Moissac. Ce couple de Portugais ayant été victime d'une funeste sortie de route.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/24/1385959-beaumont-de-lomagne-une-jeune-femme-de-19-ans-tuee-dans-une-sortie-de-route.html
dimanche 24 juin 2012
Une fête tourne au drame: un Lot-et-Garonnais mortellement percuté
Une fête célébrant le retour d'amis rentrés des Etats-Unis a tourné au drame cette nuit à Saint-Beauzeil dans le Tarn-et-Garonne, coûtant la vie à un Lot-et-Garonnais.
Cet homme de 29 ans, originaire du Villeneuvois, a été violemment percuté par une voiture aux alentours de 4 heures du matin. A son bord se trouvaient plusieurs jeunes avec lesquels il y avait eu des heurts dans la soirée.
D'après des témoignages, une personne de ce groupe s'est "invitée" à la fête qui se tenait dans le village voisin du Lot-et-Garonne. Mais son attitude l'aurait rendu indésirable. Toujours est-il qu'une fois dehors, il a appelé des amis à la rescousse. C'est ainsi que quatre autres personnes l'ont rejoint armées entre autres d'une batte de base-ball. La situation s'envenime, des coups sont échangés. Jusqu'à ce petit groupe soit repoussé de la salle des fêtes.
Ils reprennent leur voiture, puis, pour une raison qui reste à éclaircir, reviennent sur leur pas. Et c'est lors d'une marche arrière effectuée à très vive allure qu'ils ont mortellement percuté l'un des convives. Sans se soucier de la victime qu'ils venaient de heurter, ils ont ensuite pris la direction de Villeneuve.
C'est dans la sous-préfecture lot-et-garonnaise, il y a quelques heures ce dimanche, qu'une patrouille de police a repéré la Golf blanche incriminée. Les cinq personnes impliquées dans ce drame ont été interpellées. Elles sont toutes en garde à vue
http://www.sudouest.fr/2012/06/24/une-fete-tourne-au-drame-un-lot-et-garonnais-mortellement-percute-752365-3900.php
Cet homme de 29 ans, originaire du Villeneuvois, a été violemment percuté par une voiture aux alentours de 4 heures du matin. A son bord se trouvaient plusieurs jeunes avec lesquels il y avait eu des heurts dans la soirée.
D'après des témoignages, une personne de ce groupe s'est "invitée" à la fête qui se tenait dans le village voisin du Lot-et-Garonne. Mais son attitude l'aurait rendu indésirable. Toujours est-il qu'une fois dehors, il a appelé des amis à la rescousse. C'est ainsi que quatre autres personnes l'ont rejoint armées entre autres d'une batte de base-ball. La situation s'envenime, des coups sont échangés. Jusqu'à ce petit groupe soit repoussé de la salle des fêtes.
Ils reprennent leur voiture, puis, pour une raison qui reste à éclaircir, reviennent sur leur pas. Et c'est lors d'une marche arrière effectuée à très vive allure qu'ils ont mortellement percuté l'un des convives. Sans se soucier de la victime qu'ils venaient de heurter, ils ont ensuite pris la direction de Villeneuve.
C'est dans la sous-préfecture lot-et-garonnaise, il y a quelques heures ce dimanche, qu'une patrouille de police a repéré la Golf blanche incriminée. Les cinq personnes impliquées dans ce drame ont été interpellées. Elles sont toutes en garde à vue
http://www.sudouest.fr/2012/06/24/une-fete-tourne-au-drame-un-lot-et-garonnais-mortellement-percute-752365-3900.php
Nuits-Saint-Georges : un ressortissant suisse de 54 ans tué cette nuit sur la RD116 dans une collision
Samedi soir, à 22 h 45, pompiers et gendarmes sont intervenus pour un accident de la circulation survenu sur la RD116. Deux voitures sont entrées en collision. Le conducteur de l’un des deux véhicules est mort sur le coup. Il s’agissait d’un ressortissant suisse âgé de 54 ans. Dans le second véhicule, les deux passagers, des Côte-d’Oriens, en sont sortis indemnes. Le dépistage d’alcoolémie et de stupéfiants s’est révélé négatif.
http://www.bienpublic.com/edition-de-beaune/2012/06/24/accident-mortel-cette-nuit-sur-la-rd116
http://www.bienpublic.com/edition-de-beaune/2012/06/24/accident-mortel-cette-nuit-sur-la-rd116
Un mort dans un accident de scooter à Nice-nord
Un Niçois de 40 ans a trouvé la mort dans un accident de scooter, samedi soir à Nice-nord.
L'accident est survenu peu avant 21 heures, à hauteur du 31, boulevard Gorbella. Malgré les efforts désespérés du Samu et des sapeurs-pompiers pour ranimer la victime, le décès était constaté à 21 h 30.
Pour éviter un véhicule
Selon les premières constatations de police, l'homme descendait en direction du centre-ville au guidon d'un T-Max, quand il a perdu le contrôle du deux-roues lors d'une manœuvre d'évitement.
Un léger contact serait survenu entre un véhicule qui quittait son point de stationnement et le scooter, faisant dévier la trajectoire de ce dernier.
Après avoir louvoyé, celui-ci serait parti heurter violemment un poteau électrique. Les secours ne pouvaient hélas plus rien pour le conducteur.
Le tramway arrêté
Dès lors, la circulation du tramway a été coupée, le temps pour les policiers du service du Quart et de l'identification judiciaire de procéder aux constatations. Les pompes funèbres devaient emmener le corps du défunt.
L'enquête devait être confiée à la brigade des accidents et délits routiers (BADR) de la police nationale.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/un-mort-dans-un-accident-de-scooter-a-nice-nord.911126.html
L'accident est survenu peu avant 21 heures, à hauteur du 31, boulevard Gorbella. Malgré les efforts désespérés du Samu et des sapeurs-pompiers pour ranimer la victime, le décès était constaté à 21 h 30.
Pour éviter un véhicule
Selon les premières constatations de police, l'homme descendait en direction du centre-ville au guidon d'un T-Max, quand il a perdu le contrôle du deux-roues lors d'une manœuvre d'évitement.
Un léger contact serait survenu entre un véhicule qui quittait son point de stationnement et le scooter, faisant dévier la trajectoire de ce dernier.
Après avoir louvoyé, celui-ci serait parti heurter violemment un poteau électrique. Les secours ne pouvaient hélas plus rien pour le conducteur.
Le tramway arrêté
Dès lors, la circulation du tramway a été coupée, le temps pour les policiers du service du Quart et de l'identification judiciaire de procéder aux constatations. Les pompes funèbres devaient emmener le corps du défunt.
L'enquête devait être confiée à la brigade des accidents et délits routiers (BADR) de la police nationale.
http://www.nicematin.com/derniere-minute/un-mort-dans-un-accident-de-scooter-a-nice-nord.911126.html
Un adolescent se noie dans une rivière en Haute-Savoie
Un adolescent âgé d'une quinzaine d'années est mort noyé samedi après-midi à
Rumilly, en Haute-Savoie, après avoir sauté dans une rivière, a indiqué dimanche
la gendarmerie, confirmant une information de France Bleu Pays de Savoie. Le
jeune garçon, "sans doute victime d'une hydrocution", a coulé dans un trou d'eau
profond de quatorze mètres alors qu'il venait de sauter avec des amis de la
berge du Chéran, a indiqué un officier de la gendarmerie. Des recherches sont en
cours pour tenter de retrouver son corps. Des branchages, qui obstruent la
cavité, rendent les opérations de secours particulièrement difficiles, a précisé
la même source.
http://lci.tf1.fr/filnews/france/un-adolescent-se-noie-dans-une-riviere-en-haute-savoie-7382440.html
http://lci.tf1.fr/filnews/france/un-adolescent-se-noie-dans-une-riviere-en-haute-savoie-7382440.html
Un ouvrier boulanger meurt électrocuté
Un homme de 35 ans, domicilié à Miremont, dans le muretain, a perdu la vie tragiquement hier après-midi, dans une boulangerie de Lagardelle-sur-Lèze, où il travaillait.
En manipulant une diviseuse, une machine courante dans les laboratoires de boulanger et servant à accueillir une quantité plus ou moins grande de pâte, cet ouvrier s'est électrocuté avec du 380 volts. Une décharge violente qui ne lui a laissé malheureusement aucune chance.
Aussitôt alertés vers 14 heures, les pompiers et une équipe de médecins du Samu, rapidement arrivés sur les lieux ont tout tenté pour réanimer la victime. Mais en vain.
Des expertises devraient également être effectuées sur l'appareil électrique que l'ouvrier était en train de déplacer au moment de l'accident fatal.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/24/1385828-un-ouvrier-boulanger-meurt-electrocute.html
En manipulant une diviseuse, une machine courante dans les laboratoires de boulanger et servant à accueillir une quantité plus ou moins grande de pâte, cet ouvrier s'est électrocuté avec du 380 volts. Une décharge violente qui ne lui a laissé malheureusement aucune chance.
Aussitôt alertés vers 14 heures, les pompiers et une équipe de médecins du Samu, rapidement arrivés sur les lieux ont tout tenté pour réanimer la victime. Mais en vain.
Enquête
Les gendarmes de la compagnie de Muret ont effectué les premières constatations. Une enquête judiciaire a été ouverte pour comprendre les raisons précises de ce drame. De son côté, l'inspection du travail doit également mener ses propres investigations sur le volet réglementation.Des expertises devraient également être effectuées sur l'appareil électrique que l'ouvrier était en train de déplacer au moment de l'accident fatal.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/06/24/1385828-un-ouvrier-boulanger-meurt-electrocute.html
Un motocycloriste tué dans un choc frontal
Le conducteur d'une motocyclette a été tué, vendredi 22 juin, vers 17 h 40, à
Chèvreville, un village du sud de l'Oise. Selon les premiers éléments de
l'enquête, il tentait de dépasser un bus sur la D69 et a percuté un véhicule qui
roulait en sens inverse. Il a été tué sur le coup. La conductrice de la voiture
a été légèrement blessé.
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Picardie-Express/Un-motocycloriste-tue-dans-un-choc-frontal
http://www.courrier-picard.fr/courrier/Picardie-Express/Un-motocycloriste-tue-dans-un-choc-frontal
Drame de la route rue de Montreuil
Un accident de la route, qui a coûté la vie à une sexagénaire, au niveau du 51 rue de Montreuil dans le XIe arrondissement de Paris, a eu lieu vers 18H00, vendredi 22 juin, a-t-on appris auprès de la Préfecture de police.
L'enquête est en cours mais selon les premiers éléments, une camionnette qui faisait une marche arrière a percuté une dame âgée de 68 ou 69 ans, qui n'a pas vu le véhicule reculer. Les premiers éléments communiqués ne faisaient pas état d'une conduite sous l'emprise de l'alcool. Malgré l'intervention des secours, la victime est décédée sur les lieux de l'accident.
La portion de la rue de Montreuil, en sens unique, où s'est déroulé le drame, était toujours bloquée peu avant 21h. Les enquêteurs effectuaient les constations
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