samedi 30 novembre 2013

Accident de chasse: Un apiculteur amateur tué par mégarde

Le chasseur a tiré après «avoir vu quelque chose bouger» dans un fourré, sans avoir formellement identifié sa cible...
Un apiculteur amateur de 50 ans qui s'occupait de ses ruches sur un terrain privé à Clans, dans la vallée de la Tinée (Alpes-Maritimes), a été tué dans un accident de chasse samedi, selon les gendarmes.
Un sexagénaire qui participait à une battue au gros gibier près de ce terrain boisé et escarpé a tiré dans sa direction après «avoir vu quelque chose bouger» dans un fourré, sans avoir formellement identifié sa cible, selon les premiers éléments de l'enquête confiée à la compagnie de Puget-Théniers.
La victime a été atteinte d'une «balle de gros calibre» et est décédée rapidement malgré l'arrivée des secours, ayant eu une artère fémorale sectionnée, selon la même source.
Le chasseur, «fortement choqué», a dû être hospitalisé et n'a pu être placé dans l'immédiat en garde à vue. Il devrait être mis en examen pour «homicide involontaire».

http://www.20minutes.fr/societe/1257355-20131130-accident-chasse-apiculteur-amateur-tue-megarde

Glasgow : le bilan monte à huit morts

Huit personnes sont mortes dans l'accident d'un hélicoptère de la police qui s'est écrasé vendredi soir sur un pub à Glasgow en Ecosse, parmi lesquelles les trois occupants de l'appareil, a annoncé samedi la police écossaise. "Nos collègues de l'équipage de l'hélicoptère sont morts. Les cinq autres personnes tuées étaient dans le bâtiment", a déclaré lors d'un point presse le responsable de la police écossaise, Stephen House, ajoutant que "14 personnes sont grièvement blessées".

http://www.lejdd.fr/International/Depeches/Glasgow-le-bilan-monte-a-huit-morts-641281

Homme mort découvert sur un bateau dans l'étang de Thau : un suicide ?

Ce samedi matin, vers 9 h 30, un hélicoptère des pompiers avait localisé un bateau signalé disparu : à bord, le corps d'un homme sans vie.
En milieu d'après-midi, ce samedi, peu d'informations filtraient encore sur la découverte faite au matin vers 9 h 30 par l'hélicoptère Dragon 34 des sapeurs-pompiers. Après qu'une disparition avait été signalée, vers 7 h 30, l'appareil avait en effet pu localiser, à l'occasion du survol de la lagune, une embarcation dérivant sur l'étang.
Selon les toutes dernières informations recueillies, un canot semi-rigide de la brigade de gendarmerie maritime de Sète a ensuite pu  aborder le bateau de plaisance, qui avait dérivé au gré du vent de nord vers le sud du bassin de Thau sur la zone dite des "tocs", un banc de sable parallèle à la route du lido. Et les militaires constater la présence à bord du corps d'un homme sans vie.


L'embarcation aurait ensuite été confiée à un canot de la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM), qui l'aurait pris en remorque jusqu'au port de Mèze. Des auditions seraient actuellement en cours mais selon une source proche de l'enquête, il pourrait s'agir d'un suicide.

http://www.midilibre.fr/2013/11/30/un-bateau-n-est-pas-rentre-au-port-de-sete-un-helicoptere-survole-la-zone,790528.php

Incendie mortel d’un chalet à Roppeviller

Ce matin, vers 6 h 30, un chalet en bois a pris feu à Roppeviller, dans le Pays de Bitche. Une trentaine de sapeurs-pompiers du territoire ont été mobilisés pour arriver à limiter le sinistre important. L’ensemble du bâtiment a été détruit et un corps sans vie a été repéré dans la maison. Il s’agit du propriétaire, un cinquagénaire originaire de Siersthal.

http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2013/11/30/incendie-mortel-d-un-chalet-a-roppeviller

Un étudiant de 22 ans retrouvé mort au pied d’une grue à Lyon

Ce sont des ouvriers qui ont découvert le corps vers 8 heures alors qu’ils allaient prendre leur poste sur un chantier d’un immeuble à l’angle des rues Jaboulay et du Brigadier Voituret proche de la place Jean-Macé (Lyon 7e)

Le jeune homme, un étudiant originaire d’Auxerre, gisait sur le dos au fond d’une fosse de 8 mètres de profondeur au pied d’une grue haute d’une dizaine de mètres. La police s’oriente vers la piste accidentelle.

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/11/29/un-etudiant-de-22-ans-retrouve-mort-au-pied-d-une-grue-a-lyon

vendredi 29 novembre 2013

Georgette et Bernard, 86 ans, les suicidés du Lutétia seront enterrés lundi

Georgette et Bernard, tous deux âgés de 86 ans, ont mis fin à leur jour dans un chambre du Lutétia le 22 novembre. Les obsèques auront lieu lundi au Père Lachaise.

L'avis d'obsèque a été publié ce vendredi dans les carnets du Monde. Ils ont "sereinement mis fin à leurs jours,  heureux d'avoir pu mener ensemble, tout près de leurs enfants et avant les  accidents du grand âge, la vie qu'ils aimaient": les obsèques de Georgette et  Bernard, 86 ans, qui se sont suicidés au Lutetia, auront lieu lundi.
Bernard Cazes, "officier de la Légion d'honneur, ancien du Commissariat  général du Plan, chroniqueur et essayiste", et Georgette Béros-Cazes,  professeur de lettres, qui résidaient à Issy-les Moulineaux, dans les  Hauts-de-Seine, avaient été retrouvés morts au matin du 22 novembre dans une  chambre du grand hôtel parisien.
C'est le personnel de chambre qui a fait la découverte en début de matinée. Sur le lit de leur chambre d'hôtel, main dans la main, le couple venait de se donner la mort. Le couple avait minutieusement préparé son passage à l'acte. Il avait laissé dans la chambre plusieurs lettres en évidence dont une "dans laquelle ils expliquaient leur geste", a précisé une source proche de l'enquête. Les deux octogénaires avaient commandé leur petit déjeuner "sans doute pour que le personnel les découvre".
La chambre était parfaitement en ordre au moment de la découverte des corps.
D'après certaines sources, le motif de ce passage à l'acte pourrait être lié à une maladie de l'un des deux époux mais cette information n'était pas confirmée samedi matin
 

Thierry serait devenu SDF après avoir tué accidentellement sa fille

Mon père n’est pas mort dans l’indifférence » souligne l’une des filles de Thierry, dont le corps a été retrouvé il y a quelques jours au fond d’une cour, avenue du 91e Régiment d’infanterie, dans le quartier du Faubourg-de-Pierre à Mézières.
Les policiers ont indiqué que sa mort, due à une hémorragie œsophagienne (une maladie souvent liée à l’alcoolisme) remontait à « au moins dix à quinze jours ». Mais la fin tragiquement solitaire de cet ex-employé communal de Blagny, devenu sans domicile fixe, ne reflète pas l’attention que lui portait sa famille.
« Nous ne l’avons pas abandonné, ni mis dehors », explique sa fille, « il lui restait cinq enfants, dont la dernière a 14 ans et il avait six petits-enfants ». Tous tentaient régulièrement de conserver le contact avec lui, malgré ses longs silences, qui pouvaient durer parfois plus de 6 mois.

« Il s’est mis à boire de plus en plus »

« Il y a 11 ans, il avait tué accidentellement ma sœur, à la chasse dans un bois de Euilly, près de Carignan », révèle-t-elle avec peine, « l’arme s’est déclenchée d’un coup ». Suite à ce drame, Thierry a perdu son travail. « Et puis il a perdu son permis de conduire, et s’est mis à boire de plus en plus. » Il vivait dans la rue depuis quatre ou cinq ans, après s’être peu à peu coupé de ses proches. « Mon dernier contact avec lui remonte à deux ans. Il ne pouvait plus vivre avec ça, c’est pour cette raison qu’il s’est mis à boire. Pour oublier l’accident, pour oublier ma sœur », souffle sa fille, encore choquée par le décès de son père. Il avait 54 ans, « mais paraissait 75 ans ».
Hanté par son passé, l’ex-employé communal dormait souvent dans un foyer. C’est d’ailleurs là qu’une chaîne nationale de télévision avait immortalisé son visage il y a trois ans, dans le cadre d’un reportage diffusé au journal de 13 heures.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/thierry-serait-devenu-sdf-apres-avoir-tue-ia0b0n259296

Paris: Un enfant de trois ans chute du cinquième étage

Il est tombé de la fenêtre d'un hôtel du boulevard Barbès, dans le 18e arrondissement...
Un garçon de trois ans a chuté ce vendredi matin vers 11h de la fenêtre d’un hôtel du boulevard Barbés, dans le 18e arrondissement, a révélé Europe1. Contactée par 20 Minutes, la préfecture de police de Paris a confirmé l’accident, indiquant que l’enfant, monté sur une chaise, avait basculé et est tombé du cinquième étage. L’enfant, dans un état grave, a été transporté à l’hôpital Necker. Son pronostic vital est «très engagé», a précisé la police.
D’après Europe1, la mère de l’enfant, d’origine sénégalaise, louait la chambre d’hôtel depuis trois jours et cherchait un appartement à louer. La brigade de protection des mineurs de la police judiciaire va mener une enquête pour déterminer les circonstances précises du drame.

http://www.20minutes.fr/societe/1256977-20131129-paris-enfant-trois-ans-chute-cinquieme-etage

La mort à Maleville.

Hier vers 15 h 50, un septuagénaire circulait sur le CD1 dans le sens Villefranche-Lanuéjouls lorsque, pour une raison encore indéterminée, son véhicule - une ZX Citroën break de couleur blanche - a fait une embardée. La voiture s’est déportée sur la droite. Là, elle a d’abord mordu le bas-côté, avant de sectionner un pylône de télécommunications. Suite à quoi, le véhicule plongea vers le ruisseau situé en contrebas et se retourna pour se retrouver, quasiment, sous le pont. C’est lors de la sortie de route que le malheureux conducteur a été éjecté. Sur place, hier après-midi les enquêteurs de la compagnie de gendarmerie de Villefranche-de-Rouergue, autour de leur commandant Jean-Stéphane Viallefont, semblaient privilégier la thèse d’un malaise. «Pour l’instant ce n’est qu’un conditionnel», nuançait le patron de la compagnie. En pays Villefranchois, chacun le sait, le CD1, en particulier dans sa portion de «Printegarde», où s’est noué le drame, est une route considérée comme particulièrement accidentogène. La présence du train arrière de la ZX, retrouvé dans un pré de l’autre côté de la voie, à une cinquantaine de mètres de là, témoigne aussi de la violence du choc. Un élément qui aurait pu engendrer des conséquences plus dramatiques encore si, par malheur, un autre véhicule était arrivé au moment de l’accident.
Quant à la victime, elle vivait seule dans une maison du lieu-dit «la Tarenquie» sur la commune de Lanuéjouls. Un hameau se situant à à peine quelques hectomètres du lieu de l’accident. Durant les opérations, un important dispositif de sécurisation de l’axe avait été mis en place.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/29/1763582-il-trouve-la-mort-pres-de-chez-lui.html

Drame des Estivales à Montpellier : elle regrette d'avoir été "irresponsable ce soir-là"

La jeune femme en état d'ivresse qui avait fauché en août 2011 des piétons à Montpellier, faisant un mort et deux blessés, dont un aujourd'hui lourdement handicapé, a été condamnée ce jeudi à 5 ans de prison, dont 3 avec sursis.
Dans cette affaire, le vice-procureur de la République a d'abord requis lors du procès ce jeudi, à l'encontre de Lara Petit, 24 ans : 5 ans de prison, dont 2 avec sursis. "Il faut une sanction exemplaire, à la hauteur des conséquences de ce drame", avait-il fait valoir.
Lors du procès de ce jeudi : les passagers avec elle dans la voiture, avant ce terrible accident d'août 2011, ont déclaré qu'elle avait bu 2 verres place Jean-Jaurès, et entre 4 à 6 verres aux Estivales. Ces mêmes passagers lui ont demandé, à plusieurs reprises, de s'arrêter. Elle roulait trop vite et a fini par perdre le contrôle de son véhicule... "Ceux qui étaient à côté de vous étaient votre conscience et vous ne les avez pas écoutés", a déploré Me Claude Benouycef pour la partie civile.
Elle regrette d'avoir été "irresponsable ce soir-là"
Si elle a bien reconnu avoir bu, se reprochant son inconscience, elle a aussi admis qu'elle ne savait pas pourquoi elle avait perdu le contrôle de sa voiture à ce moment-là. En fin d'audience, l'automobiliste s'est tournée vers les victimes et leurs familles et elle a "demandé pardon" assurant qu'elle regrettait d'avoir été "irresponsable ce soir-là".
Au final, elle a été condamnée à 5 ans de prison dont 3 avec sursis. Mise à l'épreuve, obligation de soins et annulation de son permis de conduire pendant 2 ans.

http://www.midilibre.fr/2013/11/28/drame-des-estivales-a-montpellier-elle-regrette-d-avoir-ete-irresponsable-ce-soir-la,789938.php

jeudi 28 novembre 2013

Avignon: un SDF retrouvé mort

Un SDF âgé d'une cinquantaine d'années a été retrouvé mort aujourd'hui, dissimulé dans des buissons, par des agents municipaux à Avignon, un décès probablement lié au froid.

Des agents municipaux ont découvert le sans-abri allongé sur des cartons alors qu'ils débroussaillaient vers 11H30, un espace vert, selon une source proche de l'enquête.

"Il campait au bord du Rhône, près de la gare TGV", a précisé le procureur de la République à Avignon, Bernard Marchal. "Il est sûrement mort d'hypothermie", a-t-il ajouté.

Une source policière avait indiqué un peu plus tôt que l'homme souffrait d' "une santé très précaire" et que "les températures négatives de la nuit n'avaient pas dû favoriser" son état.

Les températures sont descendues jusqu'à moins trois degrés dans la nuit de mercredi à jeudi à Avignon, selon Météo France.
Un examen du corps est prévu dans les prochains jours pour déterminer avec exactitude les causes de la mort.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/11/28/97001-20131128FILWWW00510-avignon-un-sdf-retrouve-mort.php

Nantes: un adjoint se suicide au commissariat

Un adjoint de sécurité de 24 ans s'est suicidé aujourd'hui au commissariat de Nantes avec son arme de service.

Le jeune homme, qui s'occupait de l'accueil du commissariat central de Nantes, place Waldeck-Rousseau, s'est suicidé dans les toilettes peu après 13 heures, a-t-on appris de sources policières.

Un point de presse était prévu en fin d'après-midi à l'hôtel de police.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/11/28/97001-20131128FILWWW00431-nantes-un-adjoint-se-suicide-au-commissariat.php

Drame de Dolus-d'Oléron (17) : la plainte du père des jumeaux tués est recevable

Mercredi, Jean-Marc Delaurent, garagiste à Dolus-d’Oléron, a informé la presse que la plainte pour homicide involontaire qu’il avait déposée avec sa femme, sa fille et son fils, contre deux gendarmes de Saint-Pierre-d’Oléron, avait été jugée recevable par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Poitiers. L’arrêt date de début novembre.
Cette plainte va donc être jointe au dossier d’instruction, traité à La Rochelle, concernant la mort accidentelle, la nuit du 14 au 15 août 2011, de Nathan et Quentin Delaurent, des jumeaux de 15 ans. Les deux jeunes revenaient avec des amis de la fête de la mer de la Cotinière (Saint-Pierre-d’Oléron) et circulaient à scooter sur la D 734 lorsqu’ils ont été fauchés et tués sur le coup par un camion benne.

Réactions en chaîne
Le chauffeur avait fait un écart sur la gauche en voyant deux autres scootéristes au sol. Ces deux jeunes avaient chuté à la suite d’un défaut de conduite d’un autre pilote de deux-roues à moteur. Cet homme, âgé de 37 ans, sans rapport avec le groupe de jeunes, était ivre.
Si le chauffeur du camion et le pilote ivre ont été mis en examen pour homicides involontaires, Jean-Marc Delaurent n’a de cesse, depuis, de demander que toute la lumière soit faite sur ce drame. Il veut que la justice examine la responsabilité potentielle des deux gendarmes qui, lors de la fête de la mer, avaient constaté l’état d’ivresse d’un homme, à pied, qui s’avérera être par la suite le pilote alcoolisé du deux-roues, un des maillons du drame.
Cet homme n’avait pas été placé en cellule de dégrisement « et a donc pu reprendre son scooter pour rentrer chez lui à Grand-Village », indiquait, en mars dernier, à « Sud Ouest », Jean-Marc Delaurent. Hier, il persistait et signait que la gendarmerie avait commis une faute.
Saisie de ce pan supplémentaire de l’affaire (déjà à l’instruction concernant la mort des jumeaux) par le père de famille, la procureure de la République de La Rochelle n’avait pas engagé, au printemps, de poursuites contre les deux gendarmes, considérant que « le lien de causalité [avec la mort des jumeaux] n’apparaissait pas suffisant ». Le père, avec comme avocats Me Gilbert Collard et Me Thierry Mudry, déposait alors une plainte avec constitution de partie civile. Mais le vice-président d’instruction délivrait, le 30 avril, une ordonnance d’irrecevabilité. La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Poitiers a donc infirmé cette ordonnance. Ce volet de l’affaire est maintenant entre les mains de la juge d’instruction, qui devrait entendre les deux gendarmes et déterminer si elle les met ou non en examen.
« Je ferai appel si ces deux gendarmes ne sont pas mis en examen pour homicide involontaire », indique d’ores et déjà Jean-Marc Delaurent.

http://www.sudouest.fr/2013/11/28/deux-gendarmes-vises-par-une-plainte-1242431-1681.php

Erquy. Une plaisancière retrouvée morte

Une femme de 57 ans est décédée cet après-midi au large d'Erquy (22), alors que la personne qui l'accompagnait était en action de plongée. A sa remontée vers 15h30, celle-ci a constaté que la femme n'était plus à bord et a donné l'alerte.
Deux bateaux de pêche, l'Ecume et le Boucanier, deux vedettes de la SNSM, un avion Jetstream de la base aéronavale de Lann-Bihoué et un hélicoptère Caïman de Lanvéoc-Poumic ont été mobilisés.
C'est finalement l'hélicoptère, arrivé sur zone peu après 16h30, qui a repéré le corps de la plaisancière. Elle n'a pas pu être réanimée.

http://www.letelegramme.fr/local/cotes-d-armor/rostrenen-loudeac/pleneuf/erquy/erquy-une-plaisanciere-decede-pendant-la-plongee-de-son-compagnon-27-11-2013-2318068.php

Un mort dans un choc frontal à Besançon

Besançon. Un accident de la circulation a fait un mort et deux blessés vers 12 h 30, à Besançon. La collision, un choc frontal, s’est produite rue Francis Clerc, à hauteur de la rue du Refuge. L’un des véhicules, conduit par une femme d’une soixantaine d’années, s’est déporté sur sa gauche dans des circonstances encore indéterminées. Il est venu percuter de plein fouet la voiture arrivant en face, dans laquelle la passagère avant, Denise Lestrade, 91 ans, est décédée. Sa fille était au volant. Les deux conductrices ont été transportées à l’hôpital.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/11/27/un-mort-dans-un-choc-frontal-a-besancon

mercredi 27 novembre 2013

Vaulx-en-Velin : un collégien se tue en chutant d'un mur d'escalade

La victime, âgée de 11 ans et scolarisée au collège Henri-Barbusse, se trouvait sur la tour d'escalade du Mas-du-Taureau, ce mercredi après-midi, lorsqu'il a fait une chute d'au moins 15 mètres
Le drame s'est déroulé ce mercredi après-midi sur la tour d'escalade, installée dans le quartier du Mas-du-Taureau à Vaulx-en-Velin. Un élève de 11 ans, scolarisé au collège Henri-Barbusse, a fait une chute de 15 à 20 mètres alors qu'il effectuait une descente en rappel.
L'activité, qui se tenait dans le cadre des mercredis sportifs du collège organisés par l’UNSS, était surveillée par un professeur d'éducation physique de l'établissement scolaire.
La jeune victime a été prise en charge dans un état extrêmement grave. Son décès a été constaté à son arrivée à l'hôpital.

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/11/27/vaulx-en-velin-un-collegien-se-tue-en-chutant-d-un-mur-d-escalade

Le forcené de l'Yonne s'est pendu...sa femme gravement blessée

L'homme qui s'était retranché chez lui mercredi matin à Villethierry, dans l'Yonne, avec un enfant de 6 ans, après avoir tiré sur sa compagne, a été retrouvé pendu. Le négociateur du GIGN ne parvenant pas à entrer en contact avec l'homme retranché, son équipe est entrée dans le domicile et a trouvé le père, mort. Son fils a quant à lui été découvert sain et sauf dans sa chambre.
Dans la matinée, une équipe du GIGN avait quitté Satory, dans les Yvelines, pour se rendre sur place ou un négociateur de la gendarmerie était déjà présent. Plus tôt, l'homme aurait tiré sur son épouse avec une arme à feu. "Blessée à la tête, elle a pu être évacuée et transportée au centre hospitalier", précisait le quotidien régional L'Yonne républicaine, indiquant que son pronostic vital était engagé.
 

Violente collision frontale

JALONS (51). Le choc a été violent. Brutal. La carcasse de l’Opel Vectra, immatriculé dans l’Oise, peut en témoigner. Si le toit a été découpé pour extraire la jeune victime, l’avant du véhicule, entièrement détruit, témoigne de l’intensité de la collision.
Hier, sur les coups de 8 h 30, le conducteur de l’automobile circulait sur la départementale 3, dans le sens Epernay-Châlons, à hauteur de Jâlons.
Pour des raisons inconnues, il s’est déporté sur la gauche, percutant de plein fouet un poids lourd. Le camion, qui transportait des pâtisseries industrielles, a fini sa course dans le fossé.

La victime
dans un état grave

Après avoir été stabilisée sur place, la victime a été emmenée au centre hospitalier de Châlons dans un état grave. L’autre chauffeur s’en sort indemne.
Cet accident a provoqué la fermeture de la D3 pendant plusieurs heures, le temps d’évacuer le blessé et de sortir le poids lourd des champs.

http://www.lunion.presse.fr/region/violente-collision-frontale-ia3b24n257758

Laragne-Montéglin: la principale toujours dans un état grave

L’état de santé de Sylvie Eynaud, principale du collège des Hauts de Plaine de Laragne-Montéglin, est toujours très inquiétant.  La quinquagénaire victime d’un accident vasculaire cérébral n’a pu être opérée et son pronostic vital était malheureusement toujours engagé, hier soir.
La principale du collège a été la victime, jeudi dernier, d’une agression verbale par un parent d’élève. Le rectorat, par voie de communiqué de presse a assuré tout son soutien à Sylvie Eynaud, à qui il a “d’ores et déjà accordé la protection juridique du fonctionnaire et fait part de son entière solidarité avec tous les personnels du collège”.

Le conseiller principal d’éducation en arrêt

Ces derniers se retrouvent assez seuls cependant. Sylvie Eynaud devait, depuis quelque temps déjà, travailler sans l’intendant qui gère d’habitude les affaires financières de l’établissement. Depuis le grave incident, jeudi, la principale n’est plus là. Et le conseiller principal d’éducation est lui aussi en arrêt depuis hier.
En l’absence de personnel responsable, l’internat a été fermé hier. Tous les élèves internes ont dû réintégrer leur foyer.
Depuis presque le début de l’année scolaire, le collège attend une infirmière.

http://www.ledauphine.com/faits-divers/2013/11/26/la-principale-toujours-dans-un-etat-grave

mardi 26 novembre 2013

Piéton fauché par un TGV : le trafic Paris-Bordeaux perturbé

Le trafic ferroviaire était fortement perturbé ce mardi, en début de soirée, sur l'axe -Bordeaux, avec des retards allant jusqu'à deux heures. Ces perturbations font suite à la d'une personne heurtée par un TGV près de Poitiers, a-t-on appris auprès de la et des secours.

L'incident est survenu vers 17h35 en gare de Ligugé, à 10 km au sud de Poitiers (Vienne), lorsqu'un piéton a été tué par un TGV Bordeaux-Lille transportant 300 passagers, a-t-on précisé de mêmes sources, sans pouvoir dire s'il s'agissait d'un suicide ou d'un accident.

La victime était un homme âgé d'une trentaine d'années, a-t-on par ailleurs indiqué de source proche de l'enquête.

Le trafic ferroviaire a été interrompu sur l'axe Paris-Bordeaux dans les deux sens pendant environ une heure, le temps de l'intervention des secours, forces de l'ordre et techniciens, mais a pu reprendre au ralenti et en alterné sur une voie vers 18h30.

Une douzaine de trains au total ont été affectés, six TER dont les passagers devaient être acheminés par des cars, et au moins six TGV pour lesquels les retards pourraient atteindre jusqu'à deux heures, a-t-on précisé auprès de la SNCF.


http://www.leparisien.fr/transports/pieton-fauche-par-un-tgv-le-trafic-paris-bordeaux-perturbe-26-11-2013-3352047.php

Rouen : une femme fauchée par un TGV

Une jeune fille d'une vingtaine d'années a été tuée mardi matin après avoir été fauchée par un TGV de la ligne Le Havre - Paris - Marseille, en gare de Barentin, en Seine-Martime, a-t-on appris par la SNCF.
La victime a traversé les voies sans emprunter le passage souterrain, et a été happée par le TGV qui arrivait à vive allure.

Aucun des 98 voyageurs du TGV n'a été blessé selon la SNCF qui a mis en place une cellule de crise. Le TGV a été immobilisé à Barentin pendant trois heures et le conducteur, choqué, a été évacué. L'accident a impacté la circulation de seize trains, dont six ont été annulés. Un service d'autocars a été mis en place. Le trafic devait revenir à la normale dans le courant de l'après-midi.
 

Appel à témoins suite à la collision mortelle d'Espira-de-l'Agly

Les services de gendarmerie lancent un appel à témoins afin de rechercher l’automobiliste en fuite suite à une dramatique collision avec une moto, qui a coûté la vie au pilote âgé de 39 ans dimanche soir, à Espira de l’Agly.
Vers  18  heures, un véhicule de marque Citroën Xantia de couleur grise, et immatriculé dans l’Aveyron, circulait sur la route départementale 117 dans le sens Perpignan-Estagel. Pour une raison encore indéterminée, le véhicule a heurté une Harley Davidson de 1942 qui le précédait. Le conducteur a pris la fuite à l'issue en abandonnant sa voiture sur les lieux.

Toute personne en mesure de fournir des éléments quels qu'ils soient sur le comportement du conducteur avant l'accident, les circonstances de la collision, ou l'identité de l’individu recherché, est priée de contacter la gendarmerie de Rivesaltes au plus vite au 04.68.64.09.50.

http://www.lindependant.fr/2013/11/25/espira-de-l-agly-appel-a-temoins-suite-a-la-collision-mortelle,1816748.php

Un autre couple d'octogénaires se suicide à Paris

Deux retraités de 84 et 81 ans ont mis fin à leurs jours chez eux à Paris, idniqué mardi une source policière, quatre jours après le suicide d'un autre couple d'octogénaires dans un palace parisien. "Ce couple s'est visiblement suicidé en absorbant des médicaments", a expliqué cette source.

Les deux retraités ont été retrouvés par la femme de ménage dans leur chambre, dans l'ouest de la capitale. Ils ont laissé "un courrier dans lequel ils expliquent leur geste", selon cette source. La femme de ménage a trouvé un mot devant la chambre lui indiquant de "ne pas entrer parce qu'elle trouverait leurs corps", a relaté à l'AFP la gardienne de cet immeuble cossu, situé à deux pas de l'Hôtel des Invalides. Selon elle, une seconde lettre avait été rédigée "avec des consignes sur les personnes à prévenir". "On ne pouvait pas prévoir. C'était des petits vieux sympas", a expliqué à l'AFP un des voisins du couple. Selon une autre habitante de l'immeuble, la femme avait "eu un cancer et était handicapée". "Elle avait du mal à marcher, elle avait des béquilles. Mais ils allaient au théâtre, ils sortaient", a-t-elle confié à l'AFP.
 
Un couple d'octogénaire s'est donné la mort au Lutetia 
Vendredi,
un mari et sa femme, tous deux âgés de 86 ans, ont été retrouvés morts dans la chambre d'un grand hôtel parisien, le Lutetia. Ils avaient décidé de se suicider dans cette chambre après y avoir passé leur dernière nuit ensemble. Le couple avait été retrouvé vendredi matin par le personnel.

Ces deux octogénaires avaient aussi laissé une lettre dans laquelle ils expliquaient leur geste. Ils avaient été retrouvés sur le lit, "un sac plastique sur la tête et se tenant la main", a expliqué une autre source policière.



  http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/un-autre-couple-d-octogenaires-se-suicide-a-paris-8318686.html

Cannibalisme à Nouilhan : «Léopold Pédèbidau est mort en martyr»

Rapidement, le centre du village a été submergé par un flot de voitures, notamment le long de la route principale, comme la métaphore d’une émotion collective.
La petite église de Nouilhan n’était pas assez grande pour accueillir celles et ceux qui sont venus dire un dernier adieu à «Popaul». Environ 300 personnes ont assisté aux obsèques de Léopold Pédèbidau, concélébrées par l’abbé Thierry-Joseph Béguin et le diacre Robert Chauveau. La demeure de Dieu était réservée seulement à la famille et aux proches.
À l’extérieur, un haut-parleur a été installé pour que l’assistance puisse écouter la cérémonie dans les meilleures conditions. Ceux qui connaissaient Léopold, de près ou de loin, se sont succédé devant le registre des condoléances.

Une prière pour les parents du meurtrier

Sous le ciel grisonnant et bas de ce lundi morose de novembre, le cercueil couvert de bouquets de fleurs est arrivé discrètement, dans le véhicule des pompes funèbres, quelques instants avant le début de la cérémonie. Dans un silence recueilli, à peine troublé par la cloche de l’église, la messe s’est déroulée, comme un linceul qu’on pose délicatement sur le visage d’un supplicié.
L’abbé Thierry-Joseph Béguin a rendu un vibrant hommage à la victime lors de son oraison funèbre : «Léopold est mort en martyr et Jésus aimait les martyrs. Nous ne sommes pas là pour rappeler ce qui s’est passé, tout le monde le sait, mais pour accompagner Léopold à sa dernière demeure».
Le prêtre a également invité l’assemblée à prier «pour les parents du meurtrier, qui ne comprennent pas ce qui leur arrive». Juste après la célébration, Léopold Pédèbidau a été inhumé dans le petit cimetière attenant à l’église. Comme un ultime «au revoir» dans la plus stricte intimité

http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/26/1761142-cannibalisme-a-nouilhan-leopold-pedebidau-est-mort-en-martyr.html

Enfant de 4 ans tué à Toulouse : le père, en garde à vue, l'a projeté plusieurs fois au sol

Un père d'une quarantaine d'années a été interpellé dans la nuit de dimanche à lundi à Toulouse après la découverte du corps de son fils de 4 ans, grièvement blessé et qui est décédé peu après l'arrivée de la police. Le petit garçon a succombé à un "fracas crânien" après avoir été projeté plusieurs fois au sol.
Un homme a été placé en garde à vue lundi, après la découverte du corps de son fils de quatre ans qu'il est soupçonné d'avoir tué en le projetant au sol au moins à deux reprises, a-t-on appris de sources proches de l'enquête.
Il fait tombé son fils du haut d'un parking


Visiblement hors de lui, l'homme âgé d'une quarantaine d'années aurait lancé l'enfant vers 2 heures du matin une première fois d'un parking en surplomb attenant à son immeuble de Montaudran, un quartier résidentiel du sud-est de Toulouse. L'enfant serait tombé d'environ quatre mètres de haut sur le macadam donnant accès, en contrebas, à la partie du parking en sous-sol.
Les secours n'ont pas pu sauver le petit garçon
Son père serait descendu, peut-être par la volée de marches longeant le parking, et aurait à nouveau projeté son fils au sol de sa hauteur. Plusieurs voisins, alarmés par les cris de l'enfant alors que son père n'était pas encore passé à l'acte, ont alerté les policiers. A l'arrivée des policiers et des pompiers, l'enfant a été retrouvé inanimé, très grièvement blessé. Il était alors déjà en arrêt cardiaque. Malgré les soins d'urgence, les secours ne sont pas parvenus à le réanimer.
On ignore les raisons de son acte
L'homme, extrêmement agité, a été placé en garde à vue. On ignore les raisons de son acte. Côté contexte familial : les parents de l'enfant vivent séparés. Ce drame a été précédé par une plainte de la mère contre le père qu'elle accusait de lui avoir mordu la joue samedi au moment où elle lui remettait le garçon en garde pour le week-end.
Les policiers ont fouillé l'appartement du père. Ils ont saisi son ordinateur. Ils ont également fouillé son véhicule, garé à proximité du parking, emportant un sac d'écolier qui était posé à côté du siège enfant sur la banquette arrière.
Le profil du père
Sur la page Facebook du suspect apparaît le visage d'un jeune homme mince et athlétique, aux fines dreadlocks. Cette page fait la part belle à sa passion pour les arts martiaux vietnamiens, qu'il pratiquait semble-t-il en compétition.
Lundi matin, peu d'habitants de la résidence bien tenue et arborée où il vivait, ont déclaré le connaître, à l'exception d'Éric, la cinquantaine, qui a décrit, sous couvert de l'anonymat, un homme affectueux avec son enfant. Ce père, qui selon ce voisin, vivait dans cette résidence depuis au moins deux ans, semblait "normal" et n'était pas asocial. Les voisins l'avaient même vu à un repas de quartier dans la résidence depuis son installation

http://www.midilibre.fr/2013/11/25/toulouse-un-pere-arrete-apres-la-mort-de-son-fils-de-4-ans,787979.php

lundi 25 novembre 2013

Limay : un enfant retrouvé pendu

Un enfant de 12 ans a été retrouvé pendu ce lundi soir, peu après 18 h 30, dans sa chambre, à son domicile de Limay (Yvelines). Le garçon était hébergé dans une famille d'accueil. Ce sont les parents de cette famille qui l'ont découvert.

Il a été rapidement pris en charge par les secours et transporté à l'hôpital dans un état désespéré. 


 
Son pronostic vital est engagé.

On ne connait pas encore les raisons de son geste.


http://www.leparisien.fr/yvelines-78/limay-un-enfant-retrouve-pendu-25-11-2013-3348895.php

Laragne-Montéglin : la principale du collège victime d'une rupture d'anévrisme

L’histoire de l’altercation entre un parent d’élève et la principale du collège de Laragne Mme Eynaud, prend des proportions dramatiques. Ce jeudi, la chef d’établissement a été prise à partie par un parent d’élève, lequel lui aurait craché dessus.
Ce dimanche, la principale a été victime d'une rupture d'anévrisme. Elle a été transportée dans un état grave à Marseille et est tombée dans le coma. L'Inspecteur d'académie recommande la prudence au moment de faire le lien entre les deux faits.
La principale a quant à elle recueilli le soutien de professeurs et de parents d’élèves qui ont manifesté ce lundi matin.

http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2013/11/25/laragne-monteglin-agressee-jeudi-la-principale-du-college-fait-une-rupture-d-anevrisme

Pyrénées-Orientales : un motard mortellement percuté par une voiture

Un motard a perdu la vie dans un accident avec une voiture à Espira-de-l'Agly dans les Pyrénées-Orientales dimanche dans la soirée. Le conducteur de l'automobile a pris la fuite. 
Dramatique fin de week-end sur les routes des Pyrénées-Orientales. Un motard a perdu la vie, dimanche, vers 19 heures, dans des circonstances que l’enquête doit affiner. Mais les premiers constats effectués par la gendarmerie de Rivesaltes ne laissent pas de place au doute.
Le motard revenait d'une commémoration


L’accident concerne une moto et une voiture, circulant sur la route départementale 117, dans le sens Peyrestortes - Espira-de-l’Agly. Pour une raison encore inconnue, le véhicule léger a percuté par l’arrière le motard, qui revenait d’une journée de commémoration en mémoire des déportés juifs de France. Les deux véhicules, une Citroën Xantia immatriculée dans l’Aveyron et une Harley Davidson 1942, étaient littéralement encastrés l’un dans l’autre.
Délit de fuite du conducteur
Quand les secours sont arrivés, ils se trouvaient à environ 200 m du corps gisant du motard, témoignant de la force de l’impact. Pire : la Xantia était vide, le conducteur ayant pris la fuite après l’accident, en prenant soin d’enlever les clés du contact... Sur place vers 18 h, les pompiers de la brigade de Rivesaltes ont dépêché une dizaine d’hommes pour secourir le blessé, accompagnés des médecins du Samu. Malheureusement, après une heure d’efforts, le motard, qui n’avait plus que quelques centaines de mètres à parcourir pour arriver chez lui, était déclaré décédé.

http://www.midilibre.fr/2013/11/25/un-motard-mortellement-percute-par-une-voiture,788048.php

Un participant au marathon de La Rochelle décède après la course

L'homme a été victime d'un malaise cardiaque sur la ligne d'arrivée...
Un homme de 51 ans est décédé quelques heures après un malaise cardiaque survenu sur la ligne d'arrivée du marathon de La Rochelle auquel il participait dimanche, a-t-on appris lundi auprès des organisateurs. La victime, prise d'un malaise vers 14h00 en franchissant la ligne, a été aussitôt prise en charge par un médecin et des secouristes puis dirigée au poste médical, a indiqué à une correspondante de l'AFP Jean-Michel Dauchez, président de l'association organisatrice.
Le coureur, originaire de Vendée, est décédé des suites de son malaise à 20h20 à l'hôpital de La Rochelle. Quelque 5.700 personnes participaient à la 23e édition du marathon de La Rochelle qui vit pour la première fois un tel drame, a indiqué M. Dauchez, rappelant que la course, outre des postes de secours tous les 4 km, disposait également de secouristes à vélo et à moto

http://www.20minutes.fr/sport/1254321-20131125-participant-marathon-rochelle-decede-apres-course

Décès d'un enfant de 4 ans, projeté par son père du toit d'un parking

Un homme de 35 ans a été interpellé à Toulouse, dans la nuit de dimanche à lundi, après que son fils de 4 ans a été découvert grièvement blessé. L’enfant, victime d’une chute, est décédé des suites de ses blessures peu de temps après l’arrivée des secours.
Les faits se sont déroulés dans le quartier de Montaudran, vers 2h du matin. Visiblement très en colère, le père aurait projeté son enfant de plusieurs mètres de hauteur, depuis le toit d’un parking. Il l’aurait à nouveau projeté au sol de sa hauteur.
Ce sont des voisins, alarmés par les cris de l’enfant avant que l’homme ne passe à l’acte, qui ont prévenu la police et les pompiers. A leur arrivée, les secours n’ont pu réanimer le petit garçon, très grièvement blessé et déjà en arrêt cardiaque.
Extrêmement agité, l’homme a également blessé deux policiers lors de son arrestation, avant d’être placé en garde à vue. L’enquête a été confiée à la brigade criminelle de la sûreté départementale

http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/25/1760422-deces-enfant-4-ans-projete-pere-toit-parking.html

Unis dans la douleur à Bar-le-Duc

Bar-le-Duc. « Mes bébés, mes bébés », en arrivant sur le lieu du rassemblement en vue de la marche blanche, Sébastien laisse éclater sa douleur. Celle d’avoir perdu, il y a une semaine, ses trois enfants : Marina, 5 ans, Alan 3 ans, et Alycia, 2 ans, tous les trois étouffés avec un oreiller par leur mère qui avait la garde de deux d’entre eux et hébergeait ce week-end là son aînée, placée depuis plus de trois ans en famille d’accueil.
Sans que personne ne se permettre de juger l’acte commis par cette maman décrite comme aimante, les participants à la marche blanche ont fait preuve de dignité pour rendre un ultime hommage à ceux que tous nomment « les trois petits anges. »
Après que le cortège a défilé dans les rues de Bar-le-Duc, les uns après les autres les participants sont allés jusque dans l’immeuble où vivaient les petits. Devant la porte de l’appartement sur laquelle les scellés n’ont pas été retirés, chacun a déposé une fleur, une bougie, un petit mot, une peluche.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/11/24/unis-dans-la-douleur-a-bar-le-duc

dimanche 24 novembre 2013

Le père suspecté d'avoir tué ses 2 enfants dans la Drôme a tenté de se suicider

L'homme de 34 ans, originaire de Meurthe-et-Moselle, suspecté d’avoir tué ses deux enfants il y a huit jours à Livron (Drôme) , a été hospitalisé dans un état grave ce dimanche matin à l’hôpital.

L'homme de 34 ans, originaire de Meurthe-et-Moselle, suspecté d’avoir tué ses deux enfants il y a huit jours à Livron (Drôme) , a été hospitalisé dans un état grave ce dimanche matin à l’hôpital Lyon Sud après avoir tenté de mettre fin à ses jours à la maison d’arrêt de Corbas. L'information a été révélée par nos confrères du Progrès.
L’homme se serait tailladé le cou en cellule. Il avait déjà fait une tentative de suicide après le drame la semaine dernière.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/11/24/le-pere-suspecte-d-avoir-tue-ses-2-enfants-dans-la-drome-a-tente-de-se-suicider

Ronchin: un sexagénaire meurt ce dimanche matin dans un incendie

Les pompiers de Lesquin ont été alertés ce dimanche matin vers 8 heures par une voisine : un incendie s’est déclaré au 208 de la rue Salengro à Ronchin. Son propriétaire, un homme âgé de 67 ans, est mort brûlé.


C’est la voisine d’en face qui a donné l’alerte. Elle a vu de la fumée qui se dégageait de l’arrière de la maison, où vivait la victime. Elle a prévenu le voisin de gauche  : tous les deux avaient l’habitude de rendre visite au sexagénaire, de santé fragile. Ils lui faisaient ses courses ou lui ramenaient de la soupe.
Malheureusement, à leur arrivée, les pompiers de Lesquin n’ont pu que constater le décès du Ronchinois, qui vivait seul dans la maison familiale.
L’homme était couché. Selon les premiers éléments recueillis, le domicile ne disposait pas de source de chaleur. L’hypothèse accidentelle semble la plus probable  : la lampe de chevet pourrait avoir mis le feu à la couverture synthétique.
Les murs étaient noircis de fumée, mais le feu ne s’est pas étendu au reste de la pièce. Des fonctionnaires de la police judiciaire sont sur place. Leur enquête tentera de déterminer les causes du sinistre. Un médecin légiste est passé examiner le corps.
Le maire de Ronchin, Alain Rabary, s’est également déplacé sur les lieux du drame.
http://www.nordeclair.fr/info-locale/ronchin-un-sexagenaire-meurt-ce-dimanche-matin-dans-un-incendie-jna57b0n315415

REIMS (51). Une personne décède à la sortie du stade Delaun

A la sortie du stade Auguste-Delaune ce samedi soir, une personne est décédée en marge du match Reims - PSG. D'après nos informations, cette personne aurait été victime d'un malaise cardiaque. c'est un accident, il n'a en aucun cas été victime d'une altercation. Il s'agit d'un homme dont on ne connaît pas l'âge pour le moment.
A 20 heures, les abords du stade étaient calmes et la journée s'est plutôt bien passée.
A lire dans nos éditions de dimanche, le reportage de notre journaliste qui a passé sa journée dans les coulisses de ce match, du côté des forces de l'ordre.

http://www.lunion.presse.fr/region/reims-51-une-personne-decede-a-la-sortie-du-stade-delaune-ia231b0n256070

Elle tente de mettre fin à ses jours en s’immolant

Les sapeurs-pompiers de Bletterans sont intervenus, samedi, vers 16 heures, à Fontainebrux, route de Bletterans, pour porter secours à une femme de 49 ans qui a tenté de mettre fin à ses jours en s’immolant par le feu.
C’est un voisin qui l’a aperçue dans son jardin qui a donné l’alerte. Brûlée sur une grande partie du corps malgré l’intervention de son mari, la victime, une assistante maternelle qui fait partie du conseil municipal de la commune, a été transportée au centre hospitalier des grands brûlés de Lyon.
Son pronostic vital est engagé. Il s’agit du second cas d’immolation en moins d’une semaine dans le Jura. Lundi dernier, une employée municipale de Conliège avait mis fin à ses jours.

http://www.leprogres.fr/jura/2013/11/23/fontainebrux-une-femme-de-49-ans-tente-de-mettre-fin-a-ses-jours-en-s-immolant

samedi 23 novembre 2013

Mende : un quinquagénaire meurt dans un incendie

Cet habitant du quartier de Fontanilles, lourdement handicapé aurait accidentellement  mis le feu avec une cigarette.
Samedi, un homme âgée d'une cinquantaine d'années a trouvé la mort dans l'incendie de son appartement. Cet habitant de Fontanilles très lourdement handicapé était connu et bien intégré dans la vie du quartier. C'est vers 5h50 que sa voisine de l'appartement situé au dessus a entendu crier. Une alarme s'est ensuite déclenchée. Très rapidement, la Police ainsi que les pompiers étaient sur place. Mais il était déjà trop tard pour l'homme, décédé par asphyxie. Ce dernier aurait mis le feu à son matelas alors qu'il  fumait une cigarette dans son lit. Mais tandis que le feu se propageait il n'aurait pas pu se dégager, à cause de son handicap. 
La Police a dû faire évacuer une trentaine de personnes de l'immeuble. Elles ont été accueillies dans un gymnase du quartier avant de pouvoir réintégrer leurs habitations. 

http://www.midilibre.fr/2013/11/23/mende-un-quinquagenaire-meurt-dans-un-incendie,787269.php

Eure : un mort dans un incendie

Un homme a trouvé la mort et 12 personnes ont été hospitalisées après l'incendie d'un petit immeuble à Brionne, dans l'Eure dans la nuit de vendredi à samedi, a-t-on appris par la gendarmerie. Vers 4h30 du matin, un feu a pris dans un appartement au deuxième étage de cet immeuble du quartier de "la vallée aux boeufs" qui compte 19 logements sociaux. Au total, 12 personnes ont été transportées dans les hôpitaux de Bernay et d'Evreux, la plupart incommodées par les fumées ou très choquées.
On ignore encore si l'incendie est d'origine accidentelle ou criminelle. L'appartement où le feu s'est déclaré est occupé par une mère et son fils mais ce dernier était introuvable samedi matin.
 

Haute-Saône : il force un passage à niveau et se tue

Un homme de 47 ans est mort vendredi soir à Champagney (Haute-Saône) après avoir forcé le passage à niveau d’une voie de chemin de fer avec son véhicule qui est entré en collision avec un train régional.
Une berline est entrée en collision avec un TER circulant entre Lure et Belfort. Il était aux alentours de 22 h 15. A Champagney, le passage à niveau, formé de demi barrières était baissé. D’après une adolescente, âgée de 17 ans, témoin direct de la scène, le conducteur aurait profité du terre-plein et contourné délibérément les barrières. Mais au même moment l’arrière de la voiture a été happé par le TER 783333 qui circulait en direction de Belfort à la vitesse de 110 km/h, sans passager à bord. La victime, Fabrice Baverel, habitant de Plancher-Bas (Haute-Saône) est décédée sur le coup. Des analyses toxicologiques ont été ordonnées.
Cet accident a engendré jusqu’à deux heures de retard sur deux trains : le Paris Belfort train N° 1843, bloqué à Lure et le N° 4282 Strasbourg-Nice arrêté en gare de Belfort. Vers 2 heures du matin, la circulation ferroviaire et routière était à nouveau rouverte.


http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/11/23/il-force-un-passage-a-niveau-et-se-tue

Un Albigeois se tue contre un platane

Il était environ 15 heures, hier, Edouard Laperruque, un Albigeois âgé de 93 ans, circulait en direction du centre-ville sur la route de Cordes, au volant de sa Peugeot 205. Arrivé à hauteur du garage Renault, après l’intersection menant à Castelnau-de-Lévis, et pour une raison indéterminée, il a subitement quitté sa voie de roulement avant d’aller percuter de plein fouet un platane situé sur la gauche de la chaussée. Lorsque les secours sont arrivés sur place, ils ont médicalisé la victime dans l’ambulance des sapeurs-pompiers alors que les médecins du Samu lui prodiguaient les premiers soins. En vain, Edouard Laperruque n’a pu être ramené à la vie. Les policiers albigeois chargés de l’enquête ont procédé aux constatations d’usage. Ils n’ont relevé aucune trace de freinage, ce qui pourrait accréditer la thèse du malaise.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/23/1759343-un-albigeois-se-tue-contre-un-platane.html

Marseillan : un homme tombe d'une embarcation et disparaît en mer

Vendredi vers 21 h 30, les pompiers ont été appelés pour secourir deux hommes en difficulté au large de Marseillan, entre Agde et Sète. Un des deux était toujours recherché à 1 h 30 du matin.
"Nous avons un homme à la mer", confirmait vendredi soir le CrossMed de Toulon. Une alerte a été lancée vers 21 h 30 lorsqu'un des deux occupants d'une embarcation semi-rigide (et non une barge comme indiqué au départ par les secours), partis pêcher en fin d’après-midi, est tombé à l’eau, à deux milles nautiques au large de Marseillan, entre Agde et Sète.
Le second prévient les secours
Le second a prévenu les secours. Le CrossMed, alerté par les pompiers, a dépêché deux vedettes de la SNSM d’Agde, un canot tous temps de la SNSM de Sète, l’hélicoptère Dragon 34 de la Sécurité Civile et le Dauphin de service public de la Marine nationale. Ils ont récupéré un seul occupant. Celui tombé à l’eau était toujours recherché à 1h30. Les opérations étaient compliquées par une mer très mouvementée.

http://www.midilibre.fr/2013/11/22/marseillan-un-homme-disparait-en-mer,787178.php

vendredi 22 novembre 2013

Dinant: un meurtre dans une étable maquillé en suicide?

Le suicide de l’épouse d’un fermier de Dinant n’en serait finalement pas un, selon les informations de L’Avenir. La dame de 43 ans avait été retrouvée pendue dans l’étable, le mardi 12 novembre. Mais l’enquête de la police fédérale révèle finalement que le décès pourrait être requalifié de meurtre.
Les premières constatations sur place avaient mené à la thèse d’un suicide. La dame de 43 ans, issue de Sorinnes, a donc été inhumée une semaine après son décès. Mais l’enquête de la police fédérale révèle qu’il s’agirait plutôt d’un meurtre. Le mari de la défunte a en effet été placé sous mandat d’arrêt et aurait fait des aveux.
Le parquet de Dinant a annoncé une future communication sur cette affaire.

http://www.lameuse.be/72/regions/namur/actualite

Un couple d’octogénaires se suicide dans un grand hôtel parisien

Un mari et sa femme, tous deux âgés de 86 ans, se sont suicidés dans la chambre d’un grand hôtel parisien après y avoir passé leur dernière nuit ensemble, a-t-on appris vendredi de source policière.
Le couple, qui a été retrouvé vendredi matin par le personnel de cet hôtel de luxe du VIe arrondissement parisien, avait laissé dans leur chambre une lettre «dans laquelle ils expliquaient leur geste», a précisé cette source.
Le couple avait commandé leur petit déjeuner «sans doute pour que le personnel les découvre», a-t-elle expliqué.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/11/22/un-couple-d-octogenaires-se-suicide-dans-un-grand-hotel-parisien

Larrazet. Retrouvée morte dans son fourgon en feu

Dans les premières heures de ce jeudi matin, de violents coups de vent et de très abondantes précipitations sont tombées sur l’ensemble du département. C’est le cas sur la RD 928 qui va en direction de Beaumont-de-Lomagne. Une conductrice au volant d’un fourgon Peugeot Boxer roule vers Larrazet. Dans une courbe à gauche au bas de la descente tout d’un coup la conductrice perd le contrôle de son véhicule qui semble-t-il après avoir pris un peu plus de vitesse va percuter et pulvériser le parapet d’un pont qui enjambe un petit ruisseau (le Marso ) pour plonger sept mètres en contrebas. Il est à ce moment 0 h 45 environ. Personne ne passe sur la route mais un voisin entend le bruit du choc et surtout voit des flammes car l’avant du fourgon s’embrase. Les pompiers de Beaumont-de-Lomagne rapidement en action éteignent le feu et cherchent des victimes. L’habitacle est dévasté, les sièges brisés. On demande l’aide du camion-grue d’ADLTP à Montauban pour remonter la carcasse. Entre-temps les secours découvrent au fond du véhicule le corps sans vie (1) d’une femme qui s’avère être la conductrice et l’unique occupante du véhicule. Il s’agit d’une habitante de Larrazet Magalie Bocquet 42 ans demeurant rue de la Dîme dans le haut du village. Les gendarmes de la COB de Beaumont et de l’EDSR 82 détermineront les causes de cet accident (vitesse, défaillance technique et aussi si la conductrice avait au moment du choc la ceinture de sécurité ou non). Depuis 1960 c’est au moins la sixième fois que le parapet du pont est refait suite à un accident.
(1)Cet accident porte à 25 le nombre des tués sur les routes en Tarn-et-Garonne depuis le premier janvier 2013contre 27 en 2012 à pareille époque.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/22/1758345-larrazet-retrouvee-morte-dans-son-fourgon-en-feu.html

« Maxime était joyeux »

«Perdre un enfant, je ne le souhaite à personne, c’est horrible », sanglote Olivier Bortolin. Son fils, Maxime, est ce jeune homme décédé accidentellement dimanche au petit matin à Nancy. « Après une fête, une soirée étudiante », reprend son père qui tient à préciser le contexte. Oui, il y a eu consommation d’alcool mais pas dans des quantités phénoménales. « Apparemment, il avait bu trois bières et une quatrième boisson ». Le taux de ses copains n’excédait pas 1 g/l.
Le drame s’est ensuite noué sur fond de défi vraisemblablement. Tandis qu’un quatrième jeune homme est reparti vers l’appartement occupé par Maxime, en colocation depuis deux mois, l’étudiant et deux copains ont eu la malheureuse idée de forcer le chantier Pertuy de l’Île de Corse. Histoire de goûter à une vue imprenable sur Nancy. Pour cela, ils ont décidé de se percher sur une des grues installées dans ce quartier en pleine rénovation. Selon son père, une fois dans la cabine, Maxime aurait trébuché sur les charnières de la trappe, soigneusement refermée, et aurait basculé dans le vide. Sous les yeux de ses copains. « C‘est juste de la malchance. Il ne s’était pas mis en tête de se balader sur la flèche ou je ne sais quoi. Maxime a perdu l’équilibre. Il a essayé de se rattraper… Il est tombé à l’aplomb ».
Une petite bulle de réconfort
Il balaie les images de ce cauchemar : « Maxime était joyeux, convivial, il aimait la fête… On ne savait pas qu’il comptait autant d’amis ». La marche blanche organisée mercredi soir par ses camarades de l’Ecole nationale supérieure en génie des systèmes industriels, a saisi d’émotion Olivier et Valérie Bortolin. Petite, toute petite bulle de réconfort dans leur océan de souffrance. Le cortège a emmené 500 personnes dans les rues de Nancy, derrière une banderole où s’étalait en gros « Tu nous manques déjà beaucoup »…
« Tous ses amis sont bouleversés », chuchote le père de famille. « Maxime courait tout le temps partout. Il n’avait jamais de temps libre ». Il a, entre autres, été à la tête de la section nancéienne de l’association internationale Best (Board of european students of technology), avant de partir dans le cadre du programme d’échanges Erasmus à l’Université de Séville.
Sur le point de boucler sa cinquième année, l’élève-ingénieur en passe d’être diplômé, devait s’offrir dès février prochain 12 mois de césure en Australie. « Il avait déjà ses billets », chuchote à nouveau son père. « C’est dur, très dur », articule-t-il à peine. Le jeune homme de 22 ans sera inhumé aujourd’hui. Le lendemain, son petit frère soufflera ses 20 bougies.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/11/21/maxime-etait-joyeux

jeudi 21 novembre 2013

Une cavalière meurt écrasée par un cheval au galop

Un accident du travail mortel s’est déroulé mercredi, vers 14 h, à la Horse Academy, rue du Golfe à Mooslargue. Selon les premiers éléments de l’enquête, deux entraîneurs étaient en train de galoper lorsqu’un des chevaux s’est cabré et est retombé sur l’un d’eux, une jeune femme qui se trouvait sur une selle dite western. La cavalière, Katharina Freinburger, une Autrichienne âgée de 24 ans, s’est relevée durant quelques secondes, avant de s’effondrer. Les pompiers de Seppois et le Smur de Mulhouse ont tenté de ranimer la jeune femme en arrêt cardio-ventilatoire, en vain. Les gendarmes de Pfetterhouse, ainsi que le lieutenant François Corget, adjoint au commandant de la compagnie d’Altkirch, se sont rendus sur place. Le consulat d’Autriche a été avisé par les gendarmes.

http://www.lalsace.fr/actualite/2013/11/21/une-cavaliere-decede-lors-d-un-galop-tkea

Accident de la circulation sur le N44 : un mort, un blessé grave

Ce jeudi, vers 17 h 30, un accident de la circulation a fait un mort et un blessé grave sur la N44 à hauteur de Soulanges (51). Trois voitures seraient en cause. Pompiers, gendarmes et police sont sur place.
A 18 heures, la nationale, dans les deux sens de circulation, était très fortement perturbée, provoquant d'importants bouchons.


http://www.lunion.presse.fr/accueil/accident-de-la-circulation-sur-la-n44-un-mort-un-blesse-grave-ia0b0n254923

Un blessé grave dans un Incendie à Paris

Une femme âgée a été intoxiquée gravement, dix autres l'ont été mais moins gravement et un pompier a été brûlé au visage au cours d'un feu d'appartement qui a pris dans un immeuble HLM au nord de Paris, ont annoncé les pompiers à l'AFP.
Les pompiers ont été appelés à 10H39 jeudi matin et ils ont mis une heure pour maîtriser le feu qui a pris dans un appartement du 5e étage de cet immeuble qui en compte neuf. Le feu s'était propagé à l'étage supérieur de cet immeuble des années 1960-1970 situé rue de Meaux, dans le 19e arrondissement.
La personne qui se trouve dans un état grave est une femme âgée de plus de 80 ans qui a été fortement intoxiquée. Les dix autres personnes intoxiquées, moins gravement, ont été hospitalisées, selon les pompiers de Paris. Le pompier légèrement brûlé n'a pas été hospitalisé.
 

Une femme tuée par un train à un passage à niveau dans le Val d'Oise

Une femme âgée de 40 ans a été tuée, percutée par un train jeudi matin à un passage à niveau à Deuil-la-Barre dans le Val-d'Oise.

La victime, résidant à Deuil-la-Barre, a été percutée vers 7h30, alors qu'elle traversait à pied les voies ferroviaires au passage à niveau de Deuil-la-Barre-Montmagny, a précisé une source policière. Elle est morte sur le coup. Selon les premiers éléments de l'enquête, basés sur le témoignage d'automobilistes présents sur la scène au moment de l'accident, la quadragénaire s'est engagée sur les voies alors que les barrières étaient baissées.
"Un premier train est passé. La victime a alors décidé de traverser, alors que les barrières ne s'étaient pas encore relevées. C'est à ce moment qu'elle a été percutée, par un train qui arrivait en sens inverse", a raconté à l'AFP le procureur de Pontoise, Yves Jannier. Selon M. Jannier, le train, qui reliait Luzarches (Val-d'Oise) à la gare du Nord, roulait à environ 90 km/h au moment de l'accident. "C'est la vitesse d'exploitation normale" à cet endroit, a-t-il précisé.
 
D'après la source policière, la victime a sans doute "été surprise" par l'arrivée du train, pensant que les barrières allaient se relever. Le trafic ferroviaire a été fortement perturbé sur la ligne après cet accident. Le trafic a repris en milieu de matinée mais des retards restent à prévoir, et des suppressions et modifications de desserte sont possibles jusqu'à 12h00, selon la SNCF.
 

Accident mortel de chasse à Lisle-sur-Tarn : un employé de mairie pris pour un gibier

Un terrible drame a endeuillé hier soir Lisle-sur-Tarn. Christian Embialet, 56 ans, qui nettoyait sa barque au bord du Tarn, aurait été pris pour un gibier par des chasseurs. Atteint d’une balle, l’employé de mairie est décédé.
Un accident de chasse, stupide diront certains, a coûté la vie hier soir à un homme aimé de tous dans sa commune de Lisle-sur-Tarn. Il était 16 h 45 environ, au lieu-dit «Les Robertes». Christian Embialet, 56 ans, employé aux services techniques de la mairie de Lisle, se trouvait sur les berges du Tarn, occupé à nettoyer sa barque, lui, le passionné de pêche et de chasse. Au même moment, des chasseurs indépendants traquaient justement le sanglier dans ce secteur. Que s’est-il passé ? Les chasseurs ont-ils pris Christian Embialet pour du gibier ? C’était l’une des pistes étudiées hier soir par les gendarmes de Rabastens et Gaillac. Un coup a été tiré et l’employé de mairie a été atteint par un projectile qui se serait logé dans une cuisse. Pour son malheur, la balle aurait sectionné l’artère fémorale. Le blessé a perdu beaucoup de sang.
Sitôt l’alerte donnée, pompiers et Samu ont dépêché des moyens sur les lieux. Pendant une heure, ils ont tout essayé pour sauver Christian Embialet. Hélas, son décès devait être constaté vers 18 heures.
«C’est absolument terrible comme situation. Je suis extrêmement peiné de ce qu’il se passe», réagissait Jean Tkaczuk, le maire, qui rentrait d’urgence à Lisle après avoir été informé de la funeste nouvelle. «Christian Embialet était le n.2 des services techniques, un employé qui a rendu d’éminents services à la commune», souligne l’élu.
À l’instar du maire, tous les Lislois hier soir étaient abasourdis par ce décès si brutal et horrible. «J’habite près de chez lui et je le voyais souvent. Il n’y avait pas plus serviable que lui. Il s’était impliqué au rugby, comme joueur puis dirigeant. Il avait l’amour du clocher et il va beaucoup nous manquer», confiait un de ses amis.
Tous avaient une pensée hier soir pour ses enfants, ses parents, sa sœur et sa compagne. «C’est un jour de profonde tristesse pour la commune », conclut Jean Tkaczuk.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/11/21/1757284-lisle-tarn-employe-mairie-tue-bord-tarn-balle-chasseur.html

Besançon : « Une vie volée, une famille brisée »

La vie volée, c’est celle de Léa Charles, qui avait 15 ans lorsqu’elle a été fauchée par une voiture ce 25 septembre 2010 vers 0 h 15 alors qu’elle traversait la chaussée sur un passage piéton à proximité de la gare Viotte de Besançon. La famille brisée se trouvait au complet ce mercredi sur les bancs de la salle d’audience du tribunal où le conducteur en cause était jugé. Un jeune homme qui était âgé de 22 ans au moment des faits. Ce soir-là, il avait consommé du cannabis avant de prendre le volant. De quoi altérer ses réflexes et sa perception, ce d’autant plus qu’il pleuvait à verse cette nuit-là et qu’il a manifestement omis d’adapter sa vitesse en fonction, celle-ci ayant été évaluée « entre 54 et 64 km/h »selon un rapport d’expert.

Un an ferme requis

Autant de facteurs aggravants pour l’auteur présumé de cet homicide involontaire, que le parquet a développés et tancés avant de requérir trois ans dont deux avec sursis et mise à l’épreuve comportant notamment une injonction de soins, assortis de l’annulation du permis avec interdiction de le repasser avant trois ans.
De son côté, la défense a plaidé la relaxe après avoir pointé « les points d’incertitude » du dossier, tant concernant la vitesse « prétendument excessive » que le fait que « le feu était vert pour les automobilistes lorsque la victime a été percutée sur ce passage piéton. » Le tribunal a mis sa décision en délibéré au 6 décembre prochain.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/11/20/besancon-lea-charles-15-ans-tuee-par-une-voiture

mercredi 20 novembre 2013

Tarn : tué dans un accident de chasse

Un employé municipal de la commune de l'Isle-sur-Tarn (Tarn) a succombé mercredi à un tir de fusil de chasse et deux hommes, un père et son fils, étaient entendus dans la soirée par les gendarmes, a-t-on appris de source proche de l'enquête. La victime, née en 1953, était en train de retirer une barque de l'eau lorsqu'elle a été touchée vers 16h30 par un tir d'arme à feu, a-t-on précisé de même source.
L'employé municipal, ancien joueur de rugby très impliqué dans la vie de cette commune de quelque 4.000 habitants, est décédé peu de temps après, en dépit des efforts des secours pour le maintenir en vie. Selon les premiers éléments de l'enquête, un père et son fils qui chassaient non loin au moment des faits auraient aperçu un sanglier et fait feu. Ils étaient tous deux entendus par les gendarmes du Tarn, qui poursuivaient également dans la soirée leurs constatations sur les lieux du drame. Une autopsie de la victime doit être pratiquée jeudi, a-t-on précisé de source proche de l'enquête
 

Pers-Jussy : décès d'une jeune femme renversée par un véhicule

Une femme de 28 ans, est victime d’un accident de la circulation sur la RD 20 ce matin vers 6h30. Au volant de sa voiture, elle s’immobilise dans un champ à côté de la route.

Elle remonte le champ et longe la voie de circulation à pied, pour trouver du secours. C’est à ce moment-là qu’elle est violemment percutée par un autre véhicule, à moins de 100m de sa voiture accidentée.
Il est environ 6h45.
La victime dans un état très critique est transportée au Centre hospitalier Alpes Léman où elle décèdera deux heures plus tard.
Il ne s'agissait pas d'une enfant de onze ans comme annoncé dans la matinée
 

Saint-Yrieix (16) : collision mortelle sur la RN 10

Mardi soir, vers 20 h 15, un camion frigorifique transportant des oeufs a, pour une raison indéterminée, traversé la RN 10. Enfonçant la glissière de sécurité, il a percuté un véhicule qui arrivait en sens inverse. Le conducteur de la Dodge, âgé de 38 ans, originaire de Merpins, a été éjecté et est mort sur le coup.
Le chauffeur du camion, âgé de 55 ans et originaire des Deux-Sèvres, a été transporté à l'hôpital d'Angoulême dans un état critique.

La circulation sur la RN 10 est coupée dans les deux sens au niveau de Gond-Pontouvre-Angoulême. Des déviations locales sont en cours, néanmoins pour les usagers en transit entre Poitiers et Bordeaux il est conseillé de privilégier l’A 10 pour éviter ce secteur perturbé.

http://www.sudouest.fr/2013/11/19/saint-yrieix-16-collision-mortelle-sur-la-rn-10-1234200-1115.php

Drame du Mont Vial : les circonstances se précisent

Après l'appel à témoins lancé par les gendarmes de la brigade de Roquesteron, l'enquête sur l'accident survenu sur la route du Mont-Vial (commune de Tourette-du-Château) et ayant fait deux morts progresse.
En effet, les enquêteurs ont établi que c'est l'homme qui conduisait et que la Citroën C3 était bien en train de redescendre du Mont-Vial.
Pour autant les causes de la sortie de route ne sont toujours pas déterminées et les résultats des autopsies qui devaient être pratiquées hier ne sont pas connus. La thèse de l'accident se confirme mais les causes restent troubles. Un malaise du conducteur ou une perte d'attention ne sont pas exclus.
La voiture avait dévalé environ 300 m de pente et avait mis le feu à la végétation, mobilisant près de soixante-sept pompiers. Un premier corps avait été retrouvé le soir même par les gendarmes et un autre dans la nuit. Les victimes sont un couple de sexagénaires de la région niçoise dont les identités n'ont pas été communiquées pour le moment.

http://www.nicematin.com/gilette/drame-du-mont-vial-les-circonstances-se-precisent.1517918.html

Un enfant de 2 ans retrouvé mort sur la plage de Berck-sur-Mer

L'enfant retrouvé mort sur la plage n'a pas encore été identifié. Il paraît être âgé d'environ deux ans, selon le procureur de Boulogne-sur-Mer. Une autopsie doit avoir lieu dans la journée.

Le corps sans vie d'un jeune enfant a été retrouvé mercredi matin par des pêcheurs sur la plage de Berck-sur-Mer, dans le Pas-de-Calais.

L'enfant, dont on ne connaît encore ni l'identité, ni le sexe, paraît âgé d'environ deux ans, a indiqué le procureur de Boulogne-sur-Mer, Jean-Pierre Valensi. "Le parquet a saisi le commissariat de Berck d'une recherche des causes de la mort et un médecin légiste s'est rendu sur place pour procéder à la levée de corps", a précisé M. Valensi.
Aucune disparition d'enfant n'avait été signalée dans la région.
D'après les premiers éléments de l'enquête, l'enfant était habillé et ses vêtements n'étaient pas mouillés.
Une autopsie devait avoir lieu dans la journée.
 

« Je suis criminelle »

Les autopsies pratiquées, hier, sur les corps de Marina, 5 ans, d’Alan, 3 ans, et d’Alicia, 2 ans, ont confirmé les déclarations de leur mère, les enfants sont bien morts par asphyxie, étouffés avec un oreiller.
Placée en garde à vue depuis dimanche soir au commissariat de Bar-le-Duc, et auditionnée à trois reprises, la maman, Mercedes, 39 ans, n’a pas varié dans sa version des faits, mesurant même l’ampleur de son geste en affirmant être une criminelle. Devant les policiers, elle a réaffirmé avoir étouffé ses enfants dans la soirée de samedi à son domicile.
« Il semble bien établi que l’élément déclencheur a été les pleurs de la plus grande. Ne parvenant pas à la calmer, elle n’a vu d’autres solutions », déclarait hier soir Rémi Coutin, procureur de la République de Bar-le-Duc. La plus grande de ses trois enfants morte, elle a sorti la petite qui venait de se réveiller de son lit à barreaux pour la conduire dans son propre lit. Là, elle a découvert son fils qui l’attendait. Dans sa logique du moment, elle a mis fin à la vie de ses deux autres enfants. Prenant ensuite le soin de les recoucher, chacun dans son lit, et de les border. Après ce geste fatal, elle a dormi par intermittence, assommée par des médicaments, allant même voir les enfants dans leurs chambres, croyant à un mauvais rêve. Sans pour autant prévenir quiconque du geste qu’elle venait de commettre. Ce n’est que dimanche dans la soirée que les policiers ont découvert l’indicible, la maman n’ayant pas ramené la plus grande dans sa famille d’accueil où elle est placée depuis au moins trois ans. Sur la porte d’entrée, les forces de l’ordre étaient accueillies par une affichette, « Ne pas sonnez, bébé dort », ce qu’ils ont cru en pénétrant sans bruit dans l’appartement et en apercevant les silhouettes enfantines dans leurs lits. Hagarde sur son lit, la maman leur racontait aussitôt ce qui s’était passé.
« C’est certainement l’aboutissement d’un long processus où se mêlent des difficultés sociales, affectives, financières, familiales… Elle vivait aussi une relation compliquée et cachée avec le père des enfants dont elle était séparée. Elle explique qu’il était continuellement sur son dos, qu’il l’épuisait nerveusement. Un état de détresse assez intense qui a pu la conduire à ce geste », poursuit le procureur de la République de Bar-le-Duc.
Une vie parsemée d’embûches, une cellule familiale éclatée dès son enfance, de probables abus sexuels, une vie sentimentale erratique ont certainement contribué à son passage à l’acte sans pour autant l’excuser. Des éléments qui seront pris en considération par le juge d’instruction de Nancy à qui elle a été présentée hier. Mise en examen pour meurtres sur mineurs de 15 ans, elle encourt 30 ans de réclusion criminelle.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/11/20/je-suis-criminelle

mardi 19 novembre 2013

Belgique: deux morts après une explosion dans une raffinerie Total

Deux personnes ont été tuées mardi dans une explosion dans une raffinerie Total à Anvers, dans le nord de la Belgique, a annoncé cette entreprise.
Dans un premier temps, le géant français de l'énergie avait annoncé un bilan d'un mort et de deux disparus, avant de le modifier.
"Nous déplorons deux morts (employés d'un sous-traitant)", indique Total dans un communiqué, précisant que l'explosion s'est produite dans un "système à vapeur d'une unité de production d'essence".
La compagnie précise que les "installations ont été mises à l'arrêt", et assure qu'il n'y a "pas d'impact sur l?environnement".
La raffinerie a été "évacuée" et les installations concernées par l'explosion "sont en cours de sécurisation", souligne Total.
Selon le journal local Gazet van Antwerpen, la soupape d'une turbine à vapeur présentait un problème depuis plusieurs jours et la société de sous-traitance était sur place pour réparer une fuite.
La raffinerie, située dans le nord d'Anvers, est la plus grande et la plus complexe du groupe, et se situe au troisième rang européen. Elle traite 17 millions de tonnes de brut par an, qu?elle convertit en carburants, en combustibles et en produits de base destinés à la pétrochimie.
Total emploie 4.800 collaborateurs en Belgique, dont 3.300 dans la branche raffinage-chimie.

http://www.courrier-picard.fr/france-monde/belgique-deux-morts-apres-une-explosion-dans-une-ia0b0n243547

JURA. Immolation par le feu d’une employée communale : Conliège sous le choc

Le petit village de Conliège s’est réveillé encore sous le choc, ce mardi matin, après qu’une quinquagénaire, employée communale, s’est immolée par le feu lundi soir. Dans la matinée, des élus de la commune ont rencontré les collègues proches, les enseignants, le personnel municipal, ainsi que le mari de la victime.
« Nous réunirons tout le monde la semaine prochaine pour voir si l’intervention d’un psychologue est nécessaire », a commenté le maire, Roger Rey. « L’inspection académique a été alertée. Une psychologue scolaire devrait intervenir pour nous aider à répondre aux éventuelles questions des enfants ». De fait, la quinquagénaire encadrait les élèves à la cantine et à la garderie. Le suicide ne fait aucun doute pour la gendarmerie. Elle a mis fin à ses jours dans un chemin, au-dessus de la rue de Four, non loin de la mairie. Son corps a été découvert par un adolescent qui a lui-même fait l’objet d’une prise en charge médicale.

http://www.leprogres.fr/jura/2013/11/19/conliege-sous-le-choc-apres-l-immolation-par-le-feu-d-une-employee-communale

Yonne: Six morts dans le crash d'un avion de tourisme

D'après le parquet...
Six personnes sont mortes dans le crash d'un avion de tourisme, selon le parquet. L'accident a eu lieu à 11 heures sur la commune de Mouffy, selon les pompiers.
.../... Plus d'informations à venir sur 20 Minutes

http://www.20minutes.fr/societe/1251833-20131119-yonne-six-morts-crash-avion-tourisme

Deux morts dans un accident à la sortie de Nice

L'accident s'est produit juste avant le pont de la Manda, à hauteur de Castagniers, en direction de Nice.
Un Citroën Berlingo qui roulait vers Nice a heurté de plein fouet un poids lourd qui venait en sens inverse. 
Les deux occupants du véhicule utilitaire, une femme de 72 ans et un homme de 33 ans, sont décédés sur le coup. 
D'après les premiers témoignages recueillis sur place, l'homme était au volant. Il aurait été pris d'un malaise qui l'aurait fait dévier de sa voie.
Originaire de Saint-Etienne-de-Tinée, il accompagnait sa voisine à l'hôpital, au chevet de son mari. 
La route a été coupée dans les deux sens pendant un peu plus d'une heure, puis rendue à la circulation aux alentours de 16h.

http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/video-deux-morts-dans-un-accident-a-la-sortie-de-nice.1516002.html

Une quinquagénaire s’immole par le feu dans le village de Conliège

Une quinquagénaire domiciliée à Conliège, employée de la commune, s’est immolée par le feu sur la voie publique, dans le village lundi peu après 16 heures. Elle a été découverte par un garçon d’une douzaine d’années qui promenait son chien.
Les pompiers, le Smur et les gendarmes se sont immédiatement rendus sur les lieux. Il n’y avait malheureusement plus rien à faire pour la victime.

http://www.leprogres.fr/jura/2013/11/18/conliege-une-quinquagenaire-s-immole-par-le-feu

Triple infanticide de Bar-le-Duc : le témoignage du père

Inconsolable, dimanche peu avant minuit à proximité de l’Abribus du quartier, Sébastien, 35 ans, s’est vu interdire l’entrée de l’appartement par les policiers. « Je suis le père des trois enfants. C’étaient mes bébés, mes petites poupées… La maman ne supportait plus d’être séparée de Marina. Elle me l’a encore dit samedi au téléphone, elle avait besoin de tous ses enfants », confie-t-il en fixant le 3e étage de l’immeuble dont les volets sont restés clos.
Le père de famille explique qu’il a vécu pendant huit ans avec sa compagne, Mercédès. « On s’est séparé il y a trois ans, chacun vivait dans son appartement mais je voyais mes enfants chaque week-end ». Sébastien évoque aussi « l’état de dépression » dont semblait souffrir son ex-amie. « Je savais qu’elle était malade, elle avait des rougeurs dans la gorge. Elle avait peur d’avoir un cancer de l’estomac. Elle devait d’ailleurs subir des examens à la clinique ». Une déclaration confirmée par une voisine de l’immeuble qui avait croisé Mercédès dans la semaine.

« Mes enfants ont rejoint le monde des morts… »

Prévenu du drame par son beau-frère qui a aperçu les policiers au pied de l’immeuble de l’OPH, Sébastien estime qu’il « faisait tout » pour ses enfants. « J’ai investi dans les chambres, le frigo et la machine à laver, je leur achetais de la nourriture… Encore une fois, la maman ne supportait plus que sa fille reste en famille d’accueil », martèle-t-il.
Jusque-là assez calme malgré une émotion très palpable, Sébastien, rippeur intérimaire au sein de la société Sita Dectra, se réfugie soudain contre la vitre de l’Abribus et fond en larmes. Il vient d’apercevoir, à travers la cage d’escalier vitrée, le médecin qui descend les corps des trois petites victimes enveloppées dans des draps blancs, qui vont être transportées à l’Institut médico-légal de Nancy. « Mes enfants ont rejoint le monde des morts… », soupire-t-il. Il est 23 h 43.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/11/19/mes-petites-poupees