dimanche 26 août 2018

Gardanne : un policier trouvé mort à son poste

Un policier municipal a été trouvé mort hier matin dans les locaux de la police municipale
 de Gardanne. Aussitôt alertés, les sapeurs-pompiers de la caserne d'Aix-en-Provence ont
 envoyé des secours qui n'ont pu que constater sur place le décès de la victime, des suites
 de ses blessures, causées par une arme à feu - son arme de service.
Si, selon les premiers éléments de l'enquête, la thèse du suicide est envisagée,
 aucune autre hypothèse n'est exclue. Une autopsie était pratiquée hier après-midi,
 et de premières auditions chez les policiers municipaux étaient diligentées. 
La compagnie de gendarmerie comme la municipalité n'étaient pas en mesure 
hier de communiquer sur les circonstances de la tragédie.
L'homme, âgé entre 30 et 40 ans, serait resté plus tard que ses collègues vendredi soir 
après la fin de sa journée de service. C'est l'équipe du samedi matin, en prenant son poste, 
qui aurait découvert la victime.

vendredi 24 août 2018

Finistère: un boulanger tué devant chez lui

Un homme a été tué par balle et son épouse blessée jeudi peu après minuit à Plonévez-du-Faou (Finistère). Le couple a été pris pour cible à son domicile alors qu'il partait travailler, selon une source proche de l'enquête. Le tireur est activement recherché.
"C'était des gens qui ne posaient pas problème, totalement ordinaires, des gens qui travaillent bien", a déclaré le maire de Plonévez-du-Faou, Guy Rannou, qui s'est rendu sur place. Il a précisé que le femme de 25 ans gravement blessée "était hors de danger". Le compagnon, âgé de 44 ans, était boulanger à Quimper.
L'enquête a été confiée à la brigade de recherches de Châteaulin (Finistère). Une autopsie doit être réalisée ce vendredi, a précisé le parquet de Quimper. La justice estime que le couple n'a pas été ciblé par hasard. D'importants moyens sont mobilisés pour retrouver le tireur, rapporte Ouest-France.
Plonévez-du-Faou est une commune rurale d'environ 2.000 habitants, située dans le centre du département breton.

mercredi 22 août 2018

Warlaing : un agriculteur tué par une piqûre de frelon asiatique ?

hebergement d'image
*Un homme de 58 ans originaire de Warlaing, près de Douai, est décédé le 12 août dernier des suites d'une piqûre d'insecte. Il serait mort d'une piqûre de frelon asiatique, comme l'affirme La Voix du Nord qui a révélé l'information. Ce que n'est "pas en mesure de confirmer" la préfecture du Nord. 

Les autorités confirment en revanche que cet agriculteur a bien succombé à "un choc anaphylactique suite à une réaction allergique". Selon le quotidien régional, le quinquagénaire aurait été piqué à la cuisse le 10 août alors qu'il se trouvait au volant de sa voiture. Il aurait alors perdu connaissance et fini sa course dans un poteau. Un témoin qui lui a porté secours aurait remarqué "le pied gonflé" de la victime, et vu un frelon asiatique dans l'habitable du véhicule.


"Méconnaissable"


Quelques heures plus tard à l'hôpital de Valenciennes, la victime était "méconnaissable tant son corps avait gonflé" rapporte La Voix du Nord, qui cite la sous-préfecture de Douai. Le dard de l'insecte aurait été découvert dans la cuisse de l'agriculteur, et le frelon asiatique mort aurait été retrouvé dans sa voiture. L'homme est décédé deux jours après d'un choc anaphylactique

Si la piqûre du frelon asiatique est plus douloureuse que celle d’une guêpe ou d’une abeille, elle n'est pas plus dangereuse, indiquent les service de l'ARS (agence régionale de santé).

En cas de piqûre : lavez et désinfectez l'endroit où vous avez été piqué.

Si la piqûre a eu lieu sur la main, retirez bagues et bracelets. Attention, en cas de piqûres multiples, d’antécédent d’allergie au venin ou en cas de gêne respiratoire suite à la piqûre : appelez le 15 !


Douaihttps://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/douai

lundi 20 août 2018

Une enfant de 11 ans tuée, sa mère soupçonnée

Une enfant de 11 ans a été découverte ce matin tuée de plusieurs coups de couteau au domicile familial à Dampierre (Jura), sa mère, suspectée du meurtre, a été hospitalisée après s'être mutilée, a appris l'AFP auprès du parquet.
"A 7H30, l'aînée de la famille, âgée de 20 ans, selon ses déclarations, a entendu un cri très violent et, en se levant, est tombée nez à nez avec sa mère armée d'un couteau", a relaté à l'AFP le procureur de la République à Lons-le-Saunier, Jean-Luc Lennon. La jeune femme, également blessée par sa mère, a appelé les secours qui ont découvert dans une chambre à l'étage, l'enfant de 11 ans décédée de plusieurs coups de couteau. "Quatre plaies au niveau de la gorge, deux plaies à la nuque, une plaie au niveau du coeur et une plaie à la main", a détaillé le procureur.
La mère, née en 1972, a été trouvée au rez-de-chaussée, perdant beaucoup de sang après s'être tranché les veines. Elle a été conduite à l'hôpital de Besançon et "ses jours ne sont pas en danger a priori", a précisé M. Lennon. La quadragénaire, qui "serait infirmière", n'a pas encore pu être entendue. "L'hypothèse est une fragilité psychologique de la mère qui reste à confirmer par l'enquête", a avancé le procureur.
Les parents, en instance de divorce, étaient séparés et le père vit à Besançon avec un troisième enfant, un garçon dont l'âge n'a pas été précisé. La fille aînée a été hospitalisée, mais "son pronostic vital n'est pas engagé", selon M. Lennon. Le parquet de Lons-le-Saunier devrait se dessaisir de l'enquête, confiée à la brigade de recherches de Dole, au profit du parquet de Besançon, compétent en matière criminelle.
  1. Flash Actu http://www.lefigaro.fr/flash-actu/

Incendie à Aubervilliers: l'immeuble n'avait "aucune autorisation de logement", selon la maire

dimanche 19 août 2018

Ardres : un homme immolé par le feu sur la voie publique

C'est un passant qui a donné l'alerte, samedi vers 17 heures,  après avoir vu un homme en flammes dans un chemin attenant à l'avenue Charles de Gaulle à Ardres. Rapidement dépêchés sur place, les secours n'ont rien pu faire pour la victime, qui était déjà morte. 

Une enquête de gendarmerie a été ouverte pour déterminer les causes et les circonstances précises de ce drame, mais la thèse du suicide par immolation serait privilégiée.

Ce dimanche matin, l'homme n'avait toujours pas été identifié.



samedi 18 août 2018

Hauts-de-Seine : une mère se suicide sous les yeux de son fils de 11 ans

Le drame s'est déroulé à la gare du RER B de Bourg-la-Reine, dans les Hauts-de-Seine en
 Île-de-France. Vendredi 17 août, deux témoins ont vu une femme se jeter sur les rails 
alors que la train arrivait en gare. Son fils de 11 ans, qui a assisté à la scène, a été pris 
en charge à l’hôpital Béclère à Clamart en attendant l'arrivée du père.
Le temps que les secours interviennent, le trafic du RER B a été interrompu 
pendant plus de deux heures. L'incident s'étant produit à midi, les trains se
 sont remis à circuler sur la ligne à partir de 14h20. 
Comme le rapporte Le Parisien, à cette heure, rien ne permet de 
comprendre pourquoi cette mère de 44 ans s'est suicidée. L'exploitation des images
 des caméras de vidéosurveillance devrait apporter de nouveaux éléments à l’enquête.
Faits divers - Justice https://www.laprovence.com/faits-divers-justice

vendredi 17 août 2018

Wimereux : une fillette de 10 ans meurt noyée dans la piscine d'un camping

Fin de journée dramatique, jeudi 16 août au camping l'Été Indien à Wimereux. Peu après 19h30, les pompiers et le SMUR ont été appelés à y intervenir pour porter secours à une fillette de 10 ans, qui s'était noyée dans une piscine. À  leur arrivé, l'enfant était en arrêt cardio-respiratoire.

La jeune victime a été transportée médicalisée vers le centre hospitalier de Boulogne-sur-Mer, où elle a été déclarée décédée. Son père, et son frère âgé de 8 ans ont été également été hospitalisés, en état de choc. La famille est originaire de Hem, dans le Nord.


Pas de maître-nageur


Selon les premiers éléments de l'enquête de police, la piscine était clôturée et aucun maître-nageur n'était présent au moment des faits. "Le père n'était pas présent avec sa fille au moment du drame. Cette piscine dispose d'un barriérage qui dispenserait, selon la direction du camping, de mettre du personnel de surveillance autour de la piscine. L'enquête se poursuit afin de s'assurer de la conformité de la piscine aux normes de sécurité", précise le parquet de Boulogne-sur-Mer.

Les investigations devront déterminer dans quelles circonstances exactes le drame s'est produit. 

L'examen du corps de la fillette pratiqué ce vendredi matin à l'hôpital de Boulogne-sur-Mer par un médecin légiste a confirmé le décès par noyade de la fillette, et son origine accidentelle.


Wimereuxhttps://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/pas-calais/wimereux

jeudi 16 août 2018

Un homme de 80 ans meurt dans l'incendie de son appartement


Ce jeudi matin, à 9h15, un incendie s’est déclaré dans un appartement du 29, rue Arson au deuxième étage. Un homme de 80 ans n’a pas survécu.



Alertés par la fumée, des riverains ont immédiatement appelé les pompiers qui ont évacué l’immeuble.
Aucun autre appartement n’a été touché. Le feu a vite été maîtrisé.
Les pompiers sont toujours sur place pour déterminer les circonstances de cet incendie.
Faits-Divershttp://www.nicematin.com/sujet/faits-divers

mercredi 15 août 2018

Marseille : une femme se suicide en se jetant du toit du Corbusier

Ce matin, vers 9h45, une femme âgée de 45 ans est montée sur le toit du célèbre immeuble
 de la "cité radieuse" du Corbusier à Marseille(8e) et s'est précipitée dans le vide.
Alertés, les marins pompiers de Marseille n'ont pu que constater son décès. 
Les raisons de ce probable suicide ne sont pas connue à cette heure.

mardi 14 août 2018

La fillette de 11 ans est décédée à l’hôpital de Strasbourg

La fillette de 11 ans qui s’était noyée samedi en début de soirée et qui avait été transportée en urgence vitale absolue sur l’hôpital de Strasbourg-Hautepierre est décédée dimanche soir.
Samedi vers 18 h 15, les pompiers avaient été appelés en urgence, le corps d’une fillette venant d’être sorti du plan d’eau de Reiningue au niveau de la zone de baignade autorisée.
Pompiers, médecins du Samu et gendarmes s’étaient retrouvés sur place.
La petite fille, en arrêt cardiorespiratoire, avait été prise en charge et transportée dans un premier temps à l’hôpital Emile-Muller de Mulhouse avant d’être héliportée à l’hôpital strasbourgeois de Hautepierre. Malgré tous les soins et les tentatives de réanimations, les médecins ont dû constater son décès dimanche soir.

Une autopsie du corps requise par le parquet

Les gendarmes de la communauté de brigades de Lutterbach/Morschwiller-le-Bas, épaulés par des enquêteurs de la brigade de recherches de Mulhouse, ont auditionné de nombreux témoins.
La victime, originaire de la région parisienne, était en vacances chez des membres de sa famille à Mulhouse, qui étaient également sur place en cette fin de samedi après-midi.

Noyée dans une zone où elle n’avait plus pied

Elle se trouvait au niveau de la zone de baignade autorisée mais qui, à cette heure-là, n’était plus surveillée. A priori, c’est en passant du petit bassin vers le grand, que l’enfant n’aurait plus eu pied et se serait noyée. L’enquête est toujours en cours et le parquet de Mulhouse a demandé que le corps de la victime soit autopsié.
out autour de Mulhouse https://www.dna.fr/edition-de-mulhouse-et-thann/tout-autour-de-mulhouse

vendredi 10 août 2018

Besançon : un policier annonce son suicide sur Facebook

Thierry Roux, un policier municipal de Besançon âgé de 47 ans s'est donné la mort lundi dernier. 
Avant de passer à l'acte, il s'était exprimé via un live Facebook depuis son domicile dans lequel il disait adieu à ses proches, et notamment ses trois fils.

"Mes envies s'arrêtent là"

"Je voulais simplement vous dire que je vous ai bien aimés et que ce soir je m’en vais définitivement", aurait-il prononcé, calme, dans la vidéo consultée par nos confrères de l'Est Républicain.
"Mon temps sur cette planète est fini. Si je fais cette vidéo, ce n’est pas pour un appel à l’aide mais pour dire que mes envies s’arrêtent là", a conclu Thierry Roux.
Selon le quotidien, il avait confié à son entourage son souhait d'être considéré comme une femme. Il se faisait également appeler "Lucie Anne", a précisé son épouse, évoquant un mal-être au quotidien.
A la Une https://www.dna.fr/