dimanche 28 avril 2013

Explosion d'un immeuble : deux morts


Explosion à reims, dimanche 28 avril par UnionArdennais

Explosion d'un immeuble : deux morts

REIMS (Marne). Dimanche vers 11h30 un immeuble situé Allée Beethoven dans le quartier Wilson s'est effondré faisant deux morts, un blessé grave et neuf blessés légers. Le bilan est provisoire.
Il était 11h30 quand les habitants du quartier Wilson ont entendu un grand boum. Le bout d'une des trois barres de l'allée Beethoven venait de s'écrouler. Dans un premier temps, le bilan faisait état d'un mort et dix blessés. Mais une heure plus tard, ce dernier s'est alourdi. On parle désormais de deux morts, un blessé grave et neuf blessés légers.
Dans le quartier, c'est la stupeur. Personne ne s'attendait à un tel drame. Très secoués, les voisins essaient d'obtenir des renseignements auprès des forces de police, sans succès. Une cellule de crise a été installée à l'intérieur de l'école. Le maire, Adeline Hazan ainsi que le sous-préfet se sont immédiatement rendus sur place.
Le bout d'immeuble est éventré. De nombreux pompiers fouillent les décombres. Une équipe cynophile a été appelée en renfort. Les images rappellent terriblement l'explosion de Witry-les-Reims survenue au début du mois de mars.

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/explosion-dun-immeuble-deux-morts

Accident mortel sur l'A8: appel à témoins

Un carambolage, jeudi soir, vers 23h45 à hauteur de Saint-Laurent-du-Var, a coûté la vie à un automobiliste. Un Cagnois de 44 ans, qui circulait au volant d'une Opel Corsa, n'a pas survécu à ses blessures.

L'accident s'est produit sur la chaussée nord, peu avant la sortie Cagnes-sur-Mer. Outre l'Opel Corsa, un Renault Scenic, une 307 et une 206 ont été impliquées.

Le peloton motorisé de la gendarmerie, chargé de l'enquête, a déjà pu reconstituer une partie du scénario mais « il reste des zones d'ombre », explique un adjudant. « Toutes les informations peuvent nous être utiles, même celles qui paraissent anodines ».

Il est notamment vraisemblable que la victime était en dehors de son véhicule quand elle a été percutée.

Les témoins de l'accident peuvent contacter la gendarmerie de Mandelieu au 04.93.18.45.93.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/accident-mortel-sur-la8-appel-a-temoins.1237730.html

Portet. Un motard se tue sur l'autoroute

Un nouvel accident tragique de deux-roues s'est produit hier soir, vers 22 heures, sur l'A64, entre Toulouse et Portet. Un homme d'une vingtaine d'années a trouvé la mort dans des circonstances que l'enquête devra préciser. Selon des témoins, il roulait sur sa moto, dans le sens Toulouse-Portet lorsqu'il a, pour une raison indéterminée, perdu le contrôle de son engin. Il a été projeté avec une telle force qu'il est passé au-dessus du terre-plein central. Un conducteur qui venait dans le sens inverse n'a rien pu faire pour l'éviter. Le motard a été traîné sur plusieurs centaines de mètres avant que la voiture ne s'immobilise. La victime est restée coincée plusieurs minutes sous le véhicule. Malgré l'arrivée rapide des secours, il n'a pu être ranimé. Hier soir, les occupants de la voiture étaient très choqués. Les policiers procédaient aux premières constatations.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/28/1615652-accident-un-motard-se-tue-sur-l-autoroute.html

Un retraité se tire une balle dans un commissariat de Sète

Un retraité de 64 ans s'est suicidé par arme à feu, tôt dimanche matin, dans le commissariat central de Sète (Hérault), sous les yeux des policiers impuissants.
Un retraité de 64 ans s'est suicidé par arme à feu, tôt dimanche matin, dans le commissariat central de Sète (Hérault), sous les yeux des policiers impuissants.

Le désespéré, qui n'a pas expliqué le mobile, ni les raisons de son geste à cet endroit, s'est présenté avec un fusil de chasse et s'est tiré une balle dans l'entrée de l'hôtel de police.
 

samedi 27 avril 2013

Neige dans les Pyrénées-Orientales : un conducteur meurt écrasé par son auto

Cet automobiliste aurait perdu le contrôle de son véhicule en descendant de la station d'Eyne où il passait le week-end en famille.
La neige est tombée abondamment depuis ce matin dans les Pyrénées-Orientales. Et c'est sans doute ce qui a coûté la vie à un automobiliste originaire de Laroque des Albères. Comme le rapporte L'indépendant sur sont site, ce conducteur aurait perdu le contrôle de son véhicule en descendant de la station d'Eyne où il passait le week-end en famille.
Voyant sa voiture glisser, le malheureux aurait tenté de sauter du véhicule avant que ce dernier ne se retourne sur lui pour l'écraser.

Circulation difficile dans la région
La circulation était particulièrement difficile ce matin dans toutes les PO. Depuis le milieu de l'après-midi, la tendance est en revanche à l'amélioration, notamment dans le col du Puymorens.
Dans l'Hérault, mais cette fois en raison des retours de vacances, de nombreux ralentissements et même des bouchons étaient signalés sur l'A9, entre Montpellier et Saint-Jean-de-Védas notamment (dans les deux sens). La fin de journée s'annonce difficile dans ce secteur.

http://www.midilibre.fr/2013/04/27/neige-dans-les-pyrenees-orientales-un-conducteur-ecrase-par-son-auto,687115.php

Sortie de route mortelle en Meuse

L’équipe médicale du SAMU 55 a tout tenté pendant plus de quarante-cinq minutes pour réanimer la victime. Mais Thibaut Pierre, 24 ans, originaire de Conflans-Jarny n’a pas survécu à l’accident
Le jeune homme était seul à bord de sa voiture ce vendredi vers 18 h 15 lorsqu’il en a perdu le contrôle, sur la départementale 65 qui relie la commune de Maucourt-sur-Orne à Gincrey. Le véhicule a quitté la route en sortie de virage, a heurté un arbre et a terminé sa course dans le pré voisin. La pluie n’avait cessé de tomber de la journée et la chaussée était glissante.
Le choc a été très violent, comme en témoignent les traces laissées par la voiture dans l’herbe et son état à l’arrivée. Le moteur du véhicule a en effet été retrouvé quelques mètres plus loin.
Huit pompiers venus d’Étain et de Verdun étaient mobilisés sous les ordres du lieutenant Bernard Norroy, chef de groupe, ainsi qu’une équipe de gendarmes sous les ordres du capitaine Thierry Schmitt, de Verdun.
Les maires des communes de Maucourt-sur-Orne et de Mogeville étaient également sur place. Cette route, soulignent-ils, a déjà connu deux accidents de la route par le passé.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/04/27/sortie-de-route-mortelle-en-meuse

Marsannay-la-Côte : un drame et des questions après la mort d’un motard de 24 ans

Alors qu’il circulait sur la route de Corcelles, cette voie zigzagante qui part de Marsannay et qui rejoint Corcelles-les-Monts (ou l’inverse), le conducteur, originaire de Haute-Savoie (74), a perdu le contrôle de son véhicule à deux roues et est venu s’encastrer dans une voiture qui descendait en face. Il en est mort après plusieurs minutes de tentatives de réanimation du Samu.

« Ce n’est pas la première fois »

De son côté, la conductrice de la voiture, âgée de 42 ans, habitante de Corgoloin, était encore très choquée jeudi soir vers 20 heures, avant d’être transportée vers l’hôpital par les secours.
Contacté ce vendredi, Jean-François Gondellier, le maire de Marsannay, s’est exprimé sur la dangerosité de cette voie de circulation. « Je suis très affecté par ce problème, car ce n’est malheureusement pas la première fois que nous avons un accident mortel à cet endroit », a-t-il dit. « La semaine dernière, nous avons mis en place une signalisation particulière de vitesse conseillée dans le virage pour alerter et informer »

« Que peut-on faire ? »

Et le maire de Marsannay-la-Côte d’ajouter : « Ce qui est arrivé mercredi soir est dramatique. La question qu’il faut que l’on se pose aujourd’hui est : “Que peut-on faire pour que cela ne se renouvelle pas ?”. » Le premier édile annonce qu’une réunion devrait être faite avec les autorités « pour analyser les causes et les raisons et voir si l’on peut faire quelque chose ».

http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2013/04/27/marsannay-la-cote-un-drame-et-des-questions-apres-la-mort-d-un-motard-de-24-ans

Fusillade d'Istres : "marche blanche" sur les lieux du drame

Plusieurs centaines de personnes ont participé samedi matin à une "marche blanche" dans le quartier de l'Aupierre à Istres (Bouches-du-Rhône), là où un jeune de 19 ans a abattu 3 personnes jeudi, a constaté un journaliste de l'AFP.
En tête du cortège se trouvaient des membres des familles des victimes, portant pour certains des portraits de leur proches disparus. Le maire d'Istres, ainsi que plusieurs élus municipaux, étaient dans le cortège avec de nombreux Istréens. Ils ont défilé sur environ 200 m, dans ce lotissement qui borde l'étang de Berre.

"Douleur, haine, incompréhension"

Les habitants, le visage grave, souvent revêtus de blanc, portaient pour certains des bouquets ou une fleur, qu'ils ont laissés en plusieurs endroits du parcours, notamment là où certaines des victimes ont été abattues.
Le cortège s'est arrêté brièvement à l'endroit même où l'une d'entre elles a trouvé la mort, pour se recueillir quelques secondes, avant d'aller jusqu'au bord de l'étang de Berre.
A l'issue de la marche, certains proches ont remercié les habitants d'être venus si nombreux.
"C'est très dur, on passe par des sentiments de douleur, de haine, d'incompréhension", s'est ému peu avant la marche Eric, le frère d'un homme tué alors qu'il bricolait dans son jardin. "La douleur va durer, il va falloir se reconstruire. Une instruction va commencer, on va se porter partie civile", a-t-il poursuivi.
"En tant qu'élu, on fait mille choses (...) et d'un coup, comme ça, un impondérable que vous ne pouvez pas maîtriser vous gâche une partie de votre vie d'élu. La vie est gâchée pour mes administrés, mais c'est ma vie gâchée aussi", a déclaré le maire d'Istres François Bernardini. "On est impuissant, d'un coup, comme ça. On se souviendra de la base d'Istres, du club de foot, et de la tuerie," a-t-il déploré, visiblement touché.
"Pour les familles, pour tout, c'est obligé qu'on soit là", a expliqué de son côté une voisine, Arias Bariza, qui connaissait le tueur présumé, qu'elle décrit comme "très seul". "Ca fait trois jours que je dors pas. Il était à côté de chez moi. Ce sont des innocents, il n'y a pas de mots, c'est terrible".

http://tempsreel.nouvelobs.com/faits-divers/

Coëtlogon. Un jeune homme de 22 ans décède dans un incendie

Ce samedi matin, un jeune homme de 22 ans est décédé à la suite d'un incendie survenu dans une maison d'habitation située dans le bourg de la commune de Coëtlogon (22), près de Merdrignac. Les pompiers ont été appelés vers 7 h par les habitants de la maison. A leur arrivée, les secours ont tenté, en vain, de réanimer l'occupant de la chambre dans laquelle le feu aurait démarré. Deux autres personnes, deux hommes âgés de 19 et 42 ans, intoxiqués par les fumées, ont été pris en charge et transportés au centre hospitalier de Pontivy. L'intervention, qui a mobilisé les pompiers de Merdrignac, Plémet, Plessala, Loudéac et Ménéac, s'est achevée peu avant 10 h. L'enquête pour déterminer les causes du sinistre a été ouverte par les gendarmes de Plémet.

http://www.letelegramme.fr/local/cotes-d-armor/rostrenen-loudeac/lacheze/coetlogon/coetlogon-un-jeune-homme-de-22-ans-decede-dans-un-incendie-27-04-2013-2085525.php

Narbonne : un pensionnaire meurt asphyxié dans son studio

Une cigarette tombée sur un matelas serait à l’origine du drame survenu, vendredi, dans le foyer-logement Le château.
De l’extérieur, on ne voyait rien. C’est seulement en entrant que l’infirmière a vu la fumée." Yves Delhaye, le directeur de la résidence pour valides et semi-valides Le château, à Leucate, est sous le choc. Hier matin, l’un de ses locataires a perdu la vie dans l’incendie de son petit studio.
L’alerte a été donnée à 8 h 30 par le personnel médical de la structure venu prodiguer les soins journaliers au pensionnaire. Âgé de 62 ans, l’homme était handicapé et se déplaçait en fauteuil roulant. Il avait reçu une première visite, à 6 h 45, au cours de laquelle rien d’anormal n’avait été décelé.

L’alarme incendie ne s’est pas déclenchée
Selon les premières constatations, le feu a pris sur le matelas. Connue pour être un gros fumeur, la victime, morte asphyxiée par les fumées, aurait pu s’endormir avec une cigarette, ou avoir fait un malaise.
Toujours est-il que l’alarme incendie ne s’est pas déclenchée. "C’est vrai que cela nous interroge, avoue le directeur de la structure. Peut-être les fumées n’étaient-elles pas encore assez épaisses..." Sinon une sonnerie aurait retenti, et alerté les locataires alentour. "Même le fils du voisin venu rendre visite à son père vers 8 h n’a rien vu ni entendu", confirme Yves Delhaye. Alors même que le foyer-logement avait anticipé sur la législation en équipant tous les pavillons semi-autonomes de la structure, par mesure de sécurité, en attendant un déménagement dans de nouveaux bâtiments, toujours à Leucate, prévu d’ici deux ans.
Une enquête est en cours
À leur arrivée sur place, les sapeurs-pompiers n’ont malheureusement rien pu faire. L’homme était décédé. Originaire de Poitiers, le sexagénaire s’était installé dans la maison de retraite en 2003, alors qu’elle était encore municipale, avant d’être rachetée il y a quelques années par le groupe Sigma.
Vendredi, toute la matinée, une équipe de la brigade de gendarmerie de Leucate a effectué des relevés, épaulée par un technicien spécialisé en investigation criminelle venu de Carcassonne, afin de déterminer les causes exactes du sinistre.

http://www.midilibre.fr/2013/04/26/un-pensionnaire-meurt-asphyxie-dans-son-studio,686652.php

Drame d'Allinges : Témoignages émouvants des survivants

vendredi 26 avril 2013

Mort du parapentiste après une de 15 mètres

Un spectaculaire accident de parapente s'est produit hier, vers 15 h 20, à proximité du stade de Haybes, juste derrière le restaurant Le Robinson.
Selon les premières constatations, le pilote aurait été surpris par une rafale de vent, perdu le contrôle de son engin et se serait finalement écrasé après une chute d'environ quinze mètres.
Par chance, le sac à dos qu'il portait aurait permis d'amortir le choc. Tant est si bien que la victime - un pilote expérimenté membre du club Pointe Ardennes parapente - était consciente au moment où les secours l'ont prise en charge.
Le parapentiste, âgé de 54 ans et domicilié à Charleville, souffrirait du dos. Il a été transporté par les sapeurs pompiers de Fumay-Haybes à l'hôpital Manchester, afin d'y être soigné et d'y subir divers examens.
Il y a deux ans, Haybes avait déjà été le théâtre d'un accident de parapente. C'était le 15 juillet 2011. Ce jour-là, un passionné belge, âgé de 37 ans, avait heurté plusieurs arbres.
Gravement touché, il n'avait finalement pas survécu à ses blessures.

http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/le-parapentiste-serieusement-blesse-apres-une-de-15-metres

Marsannay-la-Côte : à 24 ans, il meurt à moto

Un jeune homme de 24 ans est décédé jeudi soir à Marsannay-la-Côte suite à un accident de moto. Alors qu’il circulait sur la route de Corcelles, cette voie zigzagante qui part de Marsannay et qui rejoint Corcelles-les-Monts (ou l’inverse), le conducteur, pour une raison actuellement indéterminée, a perdu le contrôle de son véhicule à deux roues et est venu s’encastrer dans une voiture qui descendait en face.
Le jeune homme, qui, selon nos informations, résiderait dans le département de la Côte-d’Or ou dans celui de la Haute-Savoie, n’est pas mort sur le coup. Sachant que l’appel aux secours a été passé vers 18 h 30, les sapeurs-pompiers de Dijon-Transvaal et le Service d’aide médicale urgente (Samu) se sont rapidement rendus sur les lieux. Le Samu a tenté de réanimer le motard pendant plusieurs minutes. Sans succès. De son côté, la conductrice de la voiture, âgée de 42 ans, habitante de Corgoloin (canton de Nuits-Saint-Georges), était encore particulièrement choquée hier soir vers 20 heures, avant d’être transportée vers l’hôpital par les secours.
Les moyens dépêchés sur les lieux de l’accident ont été importants, notamment trois véhicules des soldats du feu, plusieurs véhicules des gendarmes de Gevrey-Chambertin, deux de la Brigade motorisée (BMO) de Velars-sur-Ouche ainsi que le commandant adjoint de l’Escadron départemental de sécurité routière de la Côte-d’Or (EDSR 21).
Pendant plusieurs heures, la circulation n’a pas été coupée, mais ralentie par le passage alternatif des véhicules à côté de cet accident mortel.
Enfin, à cet endroit où les promeneurs ne sont pas rares, un certain nombre de personnes ont assisté, visiblement très perturbées, à cette impressionnante intervention.
Une enquête est en cours.

http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2013/04/26/marsannay-la-cote-a-24-ans-il-meurt-a-moto

Un enfant de 11 ans retrouvé pendu dans sa chambre près de Montpellier

Le corps d'un garçon de 11 ans et demi a été découvert pendu dans sa chambre vendredi en début d'après-midi à Clermont-L'Hérault. Les enquêteurs ne privilégient aucune piste pour le moment.
Le garçon a été trouvé par sa mère, en début d'après-midi, pendu à la barrière de son lit mezzanine avec une ceinture de judo autour du cou. La famille habite à Clermont-L'Hérault à une quarantaine de km à l'ouest de Montpellier. Aucune hypothèse n'est privilégiée, a-t-on expliqué de source judiciaire.
Les enquêteurs n'ont en particulier pas retrouvé de lettre, ni de téléphone portable dans sa chambre et l'enfant, qui travaillait bien à l'école et s'entendait bien avec ses parents, n'avait pas d'antécédent psychiatrique connu. Les parents, en état de choc, n'ont pas encore pu être entendus par les gendarmes de Lodève, chargés de l'enquête
 

Allemagne: il tue un élu puis se suicide

Un homme a fait irruption dans un bâtiment administratif de Hameln (nord-ouest de l'Allemagne) et a tué un élu avant de se donner la mort, aujourd'hui.

L'homme abattu était président de la communauté de communes rurales de Hameln-Pyrmont (Basse-Saxe), a-t-on précisé de même source. "Le tireur a ensuite retourné son arme contre lui", selon la police.

La victime, Rüdiger Butte, est un ancien policier qui avait notamment été directeur du bureau des Affaires criminelles de Basse-Saxe (2001-2005).

La police n'a livré aucun élément sur la personnalité du tireur et sur le mobile.



http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/26/97001-20130426FILWWW00414-allemagne-deux-morts-suite-a-des-tirs.php

Nord : 2 morts dans un accident de la route

Deux hommes ont été tués et un autre a été très grièvement blessé dans un accident de la route dans la nuit de jeudi à vendredi à proximité du Centre historique minier de Lewarde (Nord), a-t-on appris auprès des secours et de la préfecture.
Aux environs de 23 heures 45 jeudi, un véhicule transportant quatre hommes - dont l'âge n'a pas été communiqué - qui semblait rouler à vive allure, a percuté le muret d'entrée du Centre historique minier après que le conducteur a perdu le contrôle, a indiqué la préfecture du Nord.
Un des passagers a été transporté dans un état grave à l'hôpital de Valenciennes et son pronostic vital est "fortement engagé", a-t-on précisé de même source. Le quatrième occupant du véhicule a également été blessé, mais son pronostic vital n'est pas engagé, selon la préfecture.
 

Drame de l'A13 : des peines de 5 à 20 ans de prison

jeudi 25 avril 2013

A 90 ans, il meurt sous son tracteur

Un tracteur s'est retourné mercredi à Saint-Pierre-de-Vassols, tuant son propriétaire, un nonagénaire.

Un homme de 90 ans a été tué hier dans un accident de tracteur à Saint-Pierre-de-Vassols. L'engin se serait retourné. Le corps a été retrouvé par la famille, inquiète de ne pas voir revenir le nonagénaire à l'heure du dîner. Arrivés sur place vers 20h, les pompiers ont constaté que l'homme était mort depuis plusieurs heures.

http://www.francebleu.fr/personnes/france-bleu-vaucluse-152897

Longvic : le frère de l’homme ayant sauté du toit était mort de la même façon

Nous relations ce mercredi l’affaire d’un homme de 35 ans, habitant de Longvic, qui s’est suicidé vers 1 h 40 dans la nuit de lundi à mardi du toit d’un immeuble de 10 étages situé rue du Bief-du-Moulin. Nous précisions que cet homme, qui est mort après avoir sauté dans le vide, avait des soucis psychologiques et qu’il avait des tendances dépressives. Face à ce fait divers, plusieurs de nos lecteurs se sont demandés s’il était suivi par les services sociaux de la mairie de Longvic.

Il faisait l’objet d’un suivi

Contactée hier par téléphone, la mairie nous a indiqué qu’il était effectivement connu de leurs services, notamment car il était en recherche d’emploi. Il faisait partie d’une famille recomposée qui comporterait sept enfants. Selon la mairie de Longvic, « il vivait chez ses deux parents car il n’était pas en mesure de s’assumer seul ».
En outre, « depuis son plus jeune âge, il n’était pas bien psychologiquement, voir psychiatriquement ». Il était suivi par le Centre médico psychologique (CMP) de Longvic, qui dépend du Centre hospitalier la Chartreuse de Dijon.
Enfin, selon nos informations, nous avons appris que son frère se serait suicidé de la même manière il y a quelques années. Un tragique événement qui l’aurait beaucoup marqué.

http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2013/04/25/longvic-le-frere-de-l-homme-ayant-saute-du-toit-etait-mort-de-la-meme-facon

Metz : Llya, 3 ans, meurt dans un incendie

« Je suis le papa, je suis le papa. Où est ma fille ? Où est-elle ? » Les mots de ce père de famille aux forces de police trahissent son désespoir après le drame. Hier, il est 14 h 20 lorsque les pompiers de Longwy sont appelés pour un important incendie dans une habitation.
À l’arrivée des pompiers, dans cette petite rue de Saulnes, la mère de famille, traumatisée, est parvenue à sortir par ses propres moyens avec un garçonnet de 5 ans. Mais le drame se joue encore à l’intérieur de la maison. Au premier étage, une petite fille, tout juste âgée de trois ans, est prisonnière des flammes et des fumées et n’en sortira pas.
En ce début d’après-midi, la petite Llya Sitler se repose dans sa chambre. Sa mère et son frère sont occupés au rez-de-chaussée lorsqu’une odeur de brûlé se dégage fortement. La mère de famille ne perd pas de temps et évacue son fils qui a trouvé refuge chez une voisine. Elle tente ensuite, à plusieurs reprises, de s’introduire dans l’habitation pour sauver sa benjamine.
Avec l’intensité des flammes, l’air devient irrespirable et fait échouer toute tentative de sauvetage. Malgré l’intervention rapide du Smur et des sapeurs-pompiers de Longwy et Audun-le-Roman, la petite fille décède une heure plus tard.
La mère ainsi que son fils ont été transportés à l’hôpital de Mont-Saint-Martin pour y subir des examens. Le père, absent au moment des faits, est resté sur place avec l’aînée, une fillette de 10 ans. En état de choc, il a été pris en charge par les sauveteurs. Selon les premiers éléments de l’enquête, le départ du foyer se situerait à l’étage, dans un réduit à proximité de la chambre et empêchant d’y accéder.
Toutefois, hier soir, les circonstances de l’incendie restaient inconnues. Les bâtiments mitoyens n’ont pas été touchés. Sur place, le maire, Adrien Zolfo, évoque « une famille bien intégrée dans la commune. Les enfants y sont scolarisés. Llya devait faire sa première rentrée en septembre prochain. »

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/04/25/llya-3-ans-meurt-dans-un-incendie-dhgc

Ger. Un motard tué sur le coup après une violente collision avec une voiture

C'est un dramatique accident qui s'est produit, il y a deux jours, à Ger, sur la route de Tarbes : au carrefour de la D63 et de la RN117, à la sortie du village, une BMW s'engage vers la gauche, en direction de Tarbes. Au même moment, venant de la direction de Soumoulou, se présente une moto. La moto est très violemment percutée sur son côté gauche, fait une embardée terrible et vole en éclats. Un riverain décrit une scène d'apocalypse : «Le choc a été très violent, il y avait de gros morceaux qui volaient partout». Les sapeurs-pompiers de Soumoulou, Tarbes et Pontacq sont arrivés très rapidement sur les lieux, mais il n'y avait, hélas ! plus rien à faire pour le malheureux motard, tué sur le coup. Tous les riverains dénoncent depuis déjà longtemps la dangerosité de ce carrefour : l'accident qui vient de se produire ravive fortement leurs inquiétudes. Le maire de Ger, lui aussi, dénonce la problématique de ce carrefour et juge «très insuffisants les aménagements qui ont été faits par le conseil général. Ce qu'il faut pour garantir la sécurité, c'est un rond-point à cet endroit».

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/25/1613930-un-motard-tue-route-de-tarbes.html

Haute-Saône: un homme meurt en s'immolant dans la rue

Un homme de 34 ans s'est tué en s'immolant par le feu jeudi matin en pleine rue dans un village de Haute-Saône, entre la mairie et la pâtisserie familiale.
Drame à Saint-Loup-Sur-Semouse. Un homme de 34 ans s'est donné la mort en s'immolant par le feu jeudi matin dans le village de Haute-Saône. Le trentenaire s'est aspergé d'essence vers 6 heures du matin avant de mettre le feu à ses vêtements, a indiqué la vice-procureure du tribunal de Vesoul.

Malgré l'intervention des pompiers, l'homme est décédé sur place. Il avait subi plusieurs hospitalisations en hôpital psychiatrique et manifestait des tendances suicidaires, a-t-elle ajouté. Une enquête a été confiée aux
gendarmes de Haute-Saône. Une autopsie a été ordonnée.
 

Haute-Savoie:une fillette retrouvée morte

Une fillette de 2 ans et demi, qui avait échappé pendant quelques instants à la surveillance de son père, est morte aujourd'hui en Haute-Savoie, probablement noyée dans un cours d'eau, à la frontière franco-suisse, a-t-on appris auprès de la police et du parquet. La fillette avait disparu vers 11H30 d'une copropriété de Gaillard, située à quelques dizaines de mètres de la rivière Le Foron, qui longe la frontière.

D'importants moyens ont été mobilisés pour la retrouver, notamment des pompiers français et suisses, des policiers d'Annemasse et d'Annecy, ainsi qu'un hélicoptère de la gendarmerie. "Un corps pouvant correspondre à celui de la fillette a été découvert vers 16H00 dans Le Foron, à environ 1 km du lieu de la disparition", a indiqué le parquet de Thonon-les-Bains dans un communiqué. "Les causes du décès ne sont pas établies. L'hypothèse d'une noyade accidentelle semble la plus probable", a-t-il ajouté.

Selon la police, les parents de la fillette étaient en train de déménager de Gaillard vers Clarafond-Arcine (Haute-Savoie).
La mère était restée dans la nouvelle maison de Clarafond-Arcine pendant que son mari était retourné chercher quelques affaires avec sa fille à Gaillard. La fillette a disparu pendant un moment d'inattention


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/24/97001-20130424FILWWW00735-haute-savoieune-fillette-retrouvee-morte.php

mercredi 24 avril 2013

Yvelines : un enfant meurt écrasé par un camion

Un petit garçon de trois ans est décédé ce mercredi à l’hôpital de Meulan-Les Mureaux (Yvelines) où il avait été transporté par ses parents après avoir été renversé par un camion.

Les faits se sont déroulés vers 17 h 30 rue Jean-Jacques Rousseau, dans le quartier de la Vigne Blanche aux Mureaux. 

Pour une raison inconnue, le garçonnet a été renversé par un camion. L’enfant est décédé peu après son admission à l’hôpital.

De source policière, le chauffeur du camion incriminé s’est présenté de lui-même au commissariat des Mureaux.


http://www.leparisien.fr/les-mureaux-78130

Un gendarme meurt à l'entraînement

Un secouriste du peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de Chamonix a été mortellement blessé aujourd'hui par une chute de pierre lors d'un entraînement sur l'Aiguille d'Argentière, dans le massif du Mont-Blanc.

L'accident est intervenu à 15H30 au-dessus du refuge d'Argentière. "Une pierre s'est décrochée et a blessé mortellement" le gendarme qui escaladait une paroi, selon la gendarmerie.

Âgé de 35 ans, maréchal des logis-chef, l'homme était entré dans la gendarmerie en 2002 et avait rejoint le PGHM de Chamonix le 1er septembre 2007.

Une cérémonie militaire sera organisée à Chamonix pour lui rendre hommage en fin de semaine ou lundi.

Unité d'élite du secours en montagne, le PGHM de Chamonix a été créé en 1958 et effectue plusieurs centaines de secours par an, essentiellement sur le massif du Mont-Blanc.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/24/97001-20130424FILWWW00652-un-gendarme-meurt-a-l-entrainement.php

Longvic : il saute du toit d’un immeuble de dix étages

Un homme de 35 ans, habitant de la commune de Longvic, a été retrouvé mort au sol vers 1 h 40 dans la nuit de lundi à mardi au niveau du numéro 9 de la rue du Bief-du-Moulin. L’homme est monté sur le toit de cet immeuble de dix étages avant de se jeter dans le vide.

« Il n’avait aucune chance »

Ce mardi matin, l’état de mort apparente a été confirmé par un médecin. La victime était apparemment connue pour avoir des soucis psychologiques. Il avait des tendances dépressives. Ce mardi matin, l’examen du corps n’a rien révélé de suspect laissant entrevoir autre chose qu’un suicide.
Lorsque nous nous sommes rendus sur place hier après-midi, les voisins que nous avons rencontrés n’avaient pas assisté à la scène nocturne et ne connaissaient que très peu, voire pas du tout, cet homme visiblement assez perturbé dans sa vie de tous les jours. En revanche, une certaine émotion était encore perceptible. « Sauter de cette hauteur, c’est juste inimaginable ; il n’avait aucune chance de survivre », estimait un jeune homme du quartier, tandis que nous apprenions la nouvelle du suicide aux autres.

http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2013/04/24/longvic-il-saute-du-toit-d-un-immeuble-de-dix-etages

Sembas (47) : un conducteur se tue lors d'une sortie de route

La route a fait une nouvelle victime. La huitième dans le département depuis le début de l’année. Il était un peu plus de 18h30, ce mardi après-midi, quand était annoncé le décès accidentel de Paul-Louis Canzian, né en février 1985 à Condom, dans le Gers.
L’homme venait de succomber à un accident de la circulation, survenu au lieu-dit « Prat Néou », sur la commune de Sembas, à proximité de la route départementale 212. Selon les premières constatations des gendarmes de la compagnie de Villeneuve-sur-Lot, l’automobiliste aurait effectué une sortie de route après un virage.

Son véhicule, de type Ford Focus, serait alors parti dans des vrilles avant de s’immobiliser, enfin, après avoir violemment percuté une habitation.
Paul-Louis Canzian a été éjecté hors de l’habitacle et projeté à même le sol, où il a été retrouvé en état d’arrêt cardiaque par les pompiers de Sainte-Livrade-sur-Lot et le Smur de Villeneuve-sur-Lot, dépêchés à son secours. Une vitesse mal maîtrisée pourrait être à l’origine de ce nouveau drame routier, survenu dans une portion du réseau particulièrement escarpée et sinueuse.
Le défunt, qui venait de quitter son travail, à moins d’un kilomètre de sa sortie de route, voulait regagner son domicile, à Laugnac. Paul-Louis Canzian était employé du haras de Thouars où la nouvelle de sa disparition a provoqué un choc parmi les employés.
« On est tous abattus », commentait tristement hier soir un des responsables du site quelques heures après d’avoir appris la terrible nouvelle.
Ce nouvel accident de la route, qui intervient après des dernières semaines particulièrement meurtrières sur le front de la sécurité routière, replace le Lot-et-Garonne sur de mauvaises bases statistiques, avec selon la gendarmerie, plus de tués en cette période de l’année que l’année dernière à la même époque.

http://www.sudouest.fr/2013/04/24/il-decede-apres-une-sortie-de-route-1034245-3875.php

Vosges : une jeune fille de 24 ans décède dans un choc frontal

Une collision frontale entre deux véhicule s'est produite ce matin dans les Vosges entre les Thons et Fouchécourt.

Une collision frontale entre deux véhicule s'est produite ce matin dans les Vosges entre les Thons et Fouchécourt. L'information a été relatée par nos confrères de Vosges Matin.
Une conductrice est indemne. La seconde, âgée de 24 et originaire de Isches, est décédée

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/04/23/vosges-une-jeune-fille-de-24-ans-decede-dans-un-choc-frontal

Sembas. Un jeune homme perd la vie dans une dramatique sortie de route

D'après les premiers éléments recueillis par les gendarmes, le jeune homme, à la sortie d'un virage, a perdu le contrôle de son véhicule. Après avoir mordu l'herbe sur le bas-côté, la voiture a tout d'abord percuté le talus d'un terrain, poursuivant sa course jusqu'à un poteau, qu'elle percutait aussi, le projetant contre une maison. Le véhicule s'arrêtait enfin contre le muret de cette même maison. Sous l'impact du violent choc, le conducteur Paul Canzian a été éjecté de l'habitacle. Paul Canzian sortait de son travail et rentrait chez lui à Laugnac. Cette route, il la faisait tous les jours. L'enquête ouverte par les gendarmes devrait déterminer avec précision les circonstances exactes de cette embardée mortelle mais la vitesse semble être la cause de cette dramatique sortie de route.
Était également présente sur les lieux, la maire de Sembas, Nadine Chaubard.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/24/1613210-sembas-sortie-de-route-mortelle.html

Carcassonne. Leur fils s'était suicidé à 13 ans : ils déposent plainte contre X

La famille d'Alexandre Tranchand vient de déposer contre plainte contre X. Le 23 février, le jeune garçon de 13 ans, s'était donné la mort. Pour ses proches, Alexandre a été victime de maltraitance au sein de son collège.
Vendredi, par le biais de leur avocat, Gaëlle Tranchand, son mari et les grands-parents du jeune Alexandre, ont décidé de porter plainte contre X avec constitution de partie civile. «Nous voulons savoir pourquoi Alexandre a mis à des jours», explique Gaëlle, sa mère. Le 23 février, le premier jour des vacances, l'adolescent s'était pendu dans sa chambre en ne laissant aucune explication. L'enquête de police ouverte le jour du drame n'a rien permis de mettre en évidence, c'est du moins la conclusion du procureur de la République de Carcassonne. «Il m'est apparu, a écrit Antoine Leroy, que les relations qu'entretenait votre fils avec son environnement scolaire étaient normales, en tout cas conformes à ce que peuvent vivre la grande majorité des collégiens à ces âges-là». Pour le parquet de Carcassonne, l'affaire est donc classée.
«Nous ne pouvons nous contenter de ces conclusions, estime Gaëlle Tranchand. Il faut aller plus loin et pousser l'enquête. Tous les enfants de la classe d'Alexandre n'ont pas été entendus». Car pour la mère d'Alexandre, il ne fait aucun doute que son fils a mis fin à ses jours car il était victime de maltraitance au sein de l'établissement scolaire. «J'ai eu plusieurs témoignages en ce sens depuis la mort d'Alexandre», relate Gaëlle.
Chargé de défendre les intérêts de la famille, Me Eric Zerbib du barreau de Toulouse affirme lui aussi que toutes les investigations n'ont pas été menées à bien. «Les parents et les grands-parents d'Alexandre ne sont pas animés par un esprit de vengeance, précise l'avocat. Ce que nous attentons, rajoute-t-il, c'est la vérité rien de plus».
Car comme les parents d'Alexandre, Me Zerbib pense que «beaucoup de personnes savaient ce qui se passait au sein du collège Jeanne d'Arc, et certaines n'ont pas rempli leur mission d'éducateurs». Et de conclure en une question : «Ce drame était-il prévisible ?»
http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/24/1612763-carcassonne-ils-deposent-plainte-contre-x.html

mardi 23 avril 2013

Un salarié de Renault se suicide

Un salarié de Renault s'est suicidé dans la nuit de dimanche à lundi sur son lieu de travail à l'usine de Cléon (Seine-Maritime), laissant une lettre dans laquelle il dénonce "pression" et "chantage" de la part du groupe, a-t-on appris mardi auprès de la CGT.

Agé de 35 ans et père de deux enfants, ce mécanicien qui travaillait de nuit, a été retrouvé pendu lundi au petit matin sur le site, où il était employé depuis 2000, a précisé à l'AFP Pascal Le Manach, délégué syndical CGT.

"Il a laissé sur place deux lettres, l'une pour sa famille et l'autre à l'attention de la direction, dans laquelle il dénonce les pressions", a dit le syndicaliste.

Dans ce second courrier, l'ouvrier a écrit selon cette source : "Merci Renault. Merci ces années de pression, chantage au nuit. Où le droit de grève n'existe pas. Ne pas protester sinon gare. La peur, l'incertitude de l'avenir sont de bonne guerre, paraît-il ? Tu expliqueras ça à mes filles, Carlos", allusion à Carlos Ghosn, le PDG du groupe.

La salarié, "excellent ouvrier" et "non-syndiqué", "faisait l'objet de pressions de la direction depuis qu'il avait pris activement part aux grèves contre le projet d'accord compétitivité-emploi cet hiver", a précisé M. Le Manach.

"La direction l'avait notamment menacé de le faire redescendre en équipe (de jour), avec une perte financière très importante à la clé", a ajouté le syndicaliste.

La CGT a demandé la tenue lundi d'un Comité d'hygiène et de sécurité exceptionnel "pour montrer la responsabilité de Renault dans ce décès", a-t-il dit.


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/04/23/97002-20130423FILWWW00610-un-salarie-de-renault-se-suicide.php

Cédric décède dans une collision

Un motard de 33 ans a trouvé la mort lors d'une collision avec une voiture survenue dimanche soir à Fismes. L'enquête est en cours pour déterminer les circonstances de l'accident.
Situé faubourg d'Epernay à Fismes, le carrefour formé par la rue René-Letilly, la rue des Chailleaux et la rue des Glacis est décrit comme « dangereux » par de nombreux habitants. Des accidents y sont régulièrement signalés mais jamais l'intersection n'avait connu un drame pareil à celui survenu dimanche soir.
Vers 19 h 45, un habitant de la commune, Cédric Boulanger, 33 ans, y a perdu la vie au guidon de sa Yamaha 800 cm3. Le jeune homme est entré en collision avec une voiture dans des circonstances que la brigade locale cherche toujours à déterminer.
Les gendarmes ont d'ailleurs entamé une enquête de voisinage, hier matin, pour tenter de retrouver des témoins de l'accident ou des personnes qui auraient vu circuler l'un ou l'autre des véhicules dans les instants précédant la dramatique collision.
L'automobiliste en garde à vue
Seul à bord d'une Ford Focus, l'automobiliste venait de la rue des Chailleaux. D'après ses déclarations, il a marqué le stop avant de redémarrer et de s'avancer rue Letilly sans voir la moto qui arrivait peut-être sur sa gauche, depuis le centre-ville de Fismes.
L'impact s'est produit au niveau du pare-chocs. Déviée de sa trajectoire, la Yamaha a été projetée de l'autre côté de la rue, contre un pylône électrique situé à une dizaine de mètres du carrefour. La collision avec le poteau s'est malheureusement révélée fatale pour le motard. En arrêt cardiaque à l'arrivée des secours, Cédric Boulanger n'a pu être réanimé. Il était le père d'une petite fille.
L'automobiliste demeure lui aussi à Fismes. Ses premières explications étaient confuses, en contradiction avec les constatations matérielles
Il a été ramené à la brigade locale où les gendarmes continuaient de l'interroger, hier après-midi, pour tenter de faire toute la lumière sur ce tragique accident. Son audition se déroule sous le régime de la garde à vue.
C'est le deuxième accident mortel de moto depuis le début de l'année 2013 dans la Marne

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/cedric-decede-dans-une-collision

Il saute et meurt d’un immeuble de 10 étages

Un homme de 35 ans, habitant de la commune de Longvic, a été retrouvé mort au sol vers 1 h 40 dans la nuit de lundi à mardi au niveau du numéro 9 de la rue du Bief du Moulin.
Selon nos informations, la piste privilégiée est celle d’une défenestration. L’homme est monté sur le toit de cet immeuble de dix étages avant de se jeter dans le vide. Sur place ce mardi matin, l’état de mort apparente a été confirmé par un médecin.
La victime était connue pour avoir des soucis psychologiques. Il avait des tendances dépressives. Ce mardi matin, l’examen du corps n’a rien révélé de suspect

http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2013/04/23/longvic-un-homme-de-35-ans-retrouve-mort-au-sol

Mort écrasé sous une nacelle

Alors qu’il effectuait des travaux de maintenance sur la nacelle d’un chariot élévateur, un quadragénaire de Rezonville a été écrasé par l’engin. Le drame s’est produit, hier après-midi, dans le hangar de cet auto-entrepreneur situé 5 hameau Flavigny. La victime a été découverte à 16h30 par son épouse.
Les gendarmes de la brigade territoriale d’Ars-sur-Moselle se sont rendus sur place pour procéder aux constatations d’usage en vue de l’enquête. À l’arrivée des secours, Philippe Barré, âgé de 45 ans, était décédé. La piste accidentelle était privilégiée. Toutefois, l’enquête devra déterminer les raisons de ce terrible accident.

http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2013/04/23/mort-ecrase-sous-une-nacelle

Chute mortelle dans une cage d'ascenseur d'une maison de retraite de Saint-Laurent-du-Var

A la maison de retraite «Le Clos Myramis» à Saint-Laurent-du-Var, personnel et résidants sont sous le choc après le décès, dimanche, d’une personne âgée de 89 ans.

Cette dernière est tombée dans la cage de l'ascenseur alors que la cabine était à une autre étage. La pensionnaire aurait réussi à ouvrir la porte dans des circonstances à éclaircir.

Une enquête de police est encours pour élucider les causes de l’accident

http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/chute-mortelle-dans-une-cage-dascenseur-dune-maison-de-retraite-de-saint-laurent-du-v.1229328.html

Un automobiliste ivre au volant percute mortellement un cycliste

Il était environ 14 heures, dimanche, quand l’accident s’est produit sur la départementale 28 qui mène de Montrevel-en-Bresse à Mâcon, à hauteur du lieu-dit Chavannes. À cet endroit, la route est en ligne droite avec une légère montée.
Un automobiliste trop pressé qui roulait en direction de Mâcon a engagé un dépassement hasardeux, et il a percuté de plein fouet un cycliste qui arrivait en face.
L’automobiliste était indemne, mais le cycliste a rapidement été médicalisé par une équipe du Samu dans un état plus que préoccupant. Il a ensuite été transporté au centre hospitalier Fleyriat, de Bourg-en-Bresse, où il est décédé dans la soirée.
La victime, Loïc Étienne, 27 ans, était un coureur de cyclo-cross très connu dans la région. Lorrain d’origine et licencié au Vélo club spinalien, à Épinal, il s’était installé à Lyon avec son amie. Et il s’entraînait fréquemment sur les routes de l’Ain.
Il avait d’ailleurs remporté, en octobre dernier, le cyclo-cross de Bourg-en-Bresse, et en début d’année, après s’être classé vice-champion de Lorraine, il avait pour la première fois disputé les championnats de France de cyclo-cross.
Dimanche, il se rendait à la course cycliste de Jayat pour y rencontrer des amis. Mais pour son malheur, sur cette portion de route réputée accidentogène, non loin de la discothèque La Clé des Chants, Loïc Étienne aura trouvé en face de lui un chauffard en état d’ivresse. Cet homme de 40 ans, originaire de Marsonnas, était toujours en garde à vue, lundi soir, à la gendarmerie de Montrevel-en-Bresse. Il n’aurait « pas vu » le cycliste arrivant en face, a-t-il expliqué aux gendarmes, qui l’ont contrôlé avec une alcoolémie supérieure à la limite autorisée. Il devrait être déféré mardi matin au parquet de Bourg-en-Bresse qui décidera des suites judiciaires.

http://www.leprogres.fr/faits-divers/2013/04/22/un-automobiliste-ivre-au-volant-percute-mortellement-un-cycliste


Asnières: une ado meurt défenestrée

Le site du Parisien rapporte hier soir qu'une adolescente est morte après une chute du le treizième étage d'un immeuble de la rue Emile-Zola à Asnières-sur-Seine, dans les Hauts-de-Seine.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/22/97001-20130422FILWWW00629-asnieres-une-ado-meurt-defenestree.php

lundi 22 avril 2013

Hôpital de Nevers: un médecin se suicide

Un médecin de l'hôpital de Nevers, âgé d'une cinquantaine d'années, s'est suicidé la semaine dernière dans la nuit de mardi à mercredi dans son bureau, a-t-on appris aujourd'hui.

Dans la nuit de mardi à mercredi, vers quatre heures, ce médecin du service pneumologie, qui ne travaillait pas cette nuit-là, s'est rendu à l'hôpital. Le quinquagénaire est allé dans son bureau, où il a enfilé sa blouse avant de se taillader les veines et de se donner un coup de couteau au niveau de la carotide, a précisé une source syndicale.

Le praticien n'a pas laissé de message pour expliquer son geste, a-t-on ajouté.

Une enquête de police a été ouverte, ainsi qu'une enquête interne au sein du Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail de l'établissement, a dit la source syndicale


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/22/97001-20130422FILWWW00532-hopital-de-nevers-un-medecin-se-suicide.php

Lorignac (17) : deux morts dans un accident de la route

Samedi à 19 heures, sur la route départementale 247, un jeune homme domicilié à Archiac et son passager, un habitant de Pons, circulaient dans le sens Lorignac-Champagnolles, quand le conducteur, âgé de 19 ans, a perdu le contrôle de son véhicule, qui s’est écrasé contre un arbre.
L’accident s’est produit en pleine ligne droite, entre le bourg de Lorignac et le lieu dit la Foy. La voiture s’est déportée sur la gauche avant de percuter un arbre sur le côté droit.

Les deux occupants du véhicule ont dû être désincarcérés. Le médecin du Smur (Service médical d’urgence et de réanimation) a constaté le décès du passager, âgé de 21 ans. Le conducteur, très grièvement blessé, a été transporté par l’hélicoptère de la sécurité civile au centre hospitalier de Bordeaux. Le jeune homme a été déclaré décédé dimanche matin, à 3 heures.
Les identités des victimes n’ont pas été communiquées. Selon les informations dont disposait M. Évrard Garnier, le maire de Lorignac, les deux jeunes gens venaient de quitter des amis, samedi en début de soirée, à Saint-Fort-sur-Gironde, et regagnaient Pons. Inquiets de ne pas les voir arriver, les familles, après avoir téléphoné à leurs amis, ont décidé de faire la route en sens inverse. Elles sont ainsi arrivées à hauteur de l’accident, au moment où les secours étaient sur place.
La gravité de l’accident a nécessité l’intervention en nombre de ces secours : les gendarmes de la communauté de brigades de Mirambeau, les pompiers des centres de secours de Mortagne, Saint-Genis-de-Saintonge, Gémozac, et Jonzac, ainsi que les médecins du Samu de cette même ville.

http://www.sudouest.fr/2013/04/22/la-voiture-finit-contre-un-arbre-deux-morts-1031802-1427.php

Un motard ardennais se tue dans l'Yonne

Dimanche 21 avril, une jeune conductrice icaunaise et un motard ont perdu la vie dans une violente collision frontale sur la RN 151, vers 17 heures, sur la commune de Courson-les-Carrières.
D'après nos confrères de l'Yonne-Républicaine, le motard serait originaire des Ardennes. Il revenait vraisemblablement du Bol d'Or, à Magny-Cours dans la Nièvre, quand il a percuté de face une Peugeot 106 qui roulait en direction de Clamecy. L'homme, âgé de 33 ans, et la conductrice, une jeune icaunaise de 24 ans, sont décédés sur les lieux de l'accident.

http://www.lunion.presse.fr/faitsdivers

Un mort dans la version chinoise de "Splash"

La version chinoise de l'émission "Splash, le grand plongeon" a pris une tournure dramatique avec la mort par noyade d'un assistant de l'émission, comme le révèle le site Ozap.com. Agé de 18 ans, l'assistant a péri alors qu'il travaillait avec l'acteur chinois Shi Xiao Long. Les circonstances exactes de la disparition ne sont pas connues.

http://www.lejdd.fr/International/Depeches/Un-mort-dans-la-version-chinoise-de-Splash-603402

Les enfants enfermés à la cave : la famille était suivie par un éducateur

Le père et la belle-mère de deux garçons, maltraités et contraints de dormir dans une cave de Pavillons-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis, ont été mis en examen et placé en détention provisoire vendredi soir.
C'est un des deux garçons, âgé de 12 ans, qui avait réussi à donner l'alerte mercredi soir. Se rendant au commissariat, il avait expliqué aux policiers que lui et son petit frère dormaient dans la cave de leur maison à Pavillons-sous-Bois, dans le 93, et que son père frappait son petit frère de dix ans. Au domicile, les policiers avaient découvert que les enfants étaient obligés de dormir sur un mince matelas "posé au sol", dans la cave de la maison qui était "très sale" et "dans un état de délabrement avancé". La pièce en question était dénuée de fenêtre, de lavabo, d'électricité ou de toilettes.

Les
maltraitances duraient sans doute depuis trois ans, et auraient commencé après le départ de la mère des deux garçons et "l'arrivée de la belle-mère". Celle-ci a un fils de sept ans qui avait lui sa propre chambre, à l'étage, avait ajouté la source judiciaire. Les deux fils du père étaient toutefois scolarisés, mais dans un établissement différent de celui du fils de la belle-mère, qui allait dans une école privée, selon la source judiciaire.
La famille était suivie depuis 2010

A l'issue de leur garde à vue, vendredi soir, le père, un plombier âgé de 39 ans, et sa compagne, sans emploi, âgée de 45 ans, ont mis en examen pour violences sur mineur, défaut de soins mais aussi privation d'aliments, notamment. Le père a expliqué aux enquêteurs que ses fils étaient "insupportables" et qu'ils "cassaient tout". L'homme et la femme ont été placés en détention provisoire. Les enfants, quant à eux, ont été placés à l'aide sociale à l'enfance.
Les parents avaient pourtant fait l'objet d'un signalement de l'école des deux frères. Un éducateur avait été nommé par un juge des enfants en 2010, rapporte Le Parisien.
 

dimanche 21 avril 2013

Milly-sur-Therain Le corps du noyé repêché

Le jeune homme de 20 ans qui était tombé d'une barque samedi en fin d'après-midi dans les étangs de Milly-sur-Thérain, situé à 15 kilomètres au Nord de Beauvais a été retrouvé noyé dimanche matin vers 11 heures. Les pompiers plongeurs qui avaient repris leurs recherches ce matin dès 8h30 ont finalement pu localiser la victime dans une eau opaque où la visibilité n'excédait pas 30 centimètres

http://www.courrier-picard.fr/region/milly-sur-therain-le-corps-du-noye-repeche-ia201b0n61789

dimanche 14 avril 2013

Bonjour à tous

Pour des raisons techniques, nous sommes obligés de cesser la diffusion sur ce blog.
Vous pouvez desormais nous retrouver sur ce blog
 
 
A bientôt de vous voir sur ce nouveau blog
merci
Francis

samedi 13 avril 2013

Tarbes. Elle agresse son mari violent à l'arme blanche

Quand Nora arrive à la barre, en boitillant, maigre comme un clou, le cheveu pendant et terne, on voit tout de suite qu'on peut la ranger dans la catégorie des cabossés de la vie. La catégorie de ceux sur qui le sort s'acharne. Nora est prévenue pour avoir porté pas moins de 6 coups de couteau de cuisine à son conjoint. Une affaire qui aurait pu se terminer aux assises, mais fort heureusement pour lui, Joseph s'en est tiré, malgré des séquelles importantes. «Il ne vous accable pas d'ailleurs…», soupire la présidente Gadoullet. Nora lui jette un œil étonné : «C'est le moins !» L'instruction va révéler que la prévenue est aussi une victime, une victime comme on en voit tant, une victime dont le quotidien est un enfer. Ce soir du 15 octobre dernier est semblable aux autres soirs : Joseph rentre, harassé de boulot, énervé et bourré comme un camion. «Il a même pas parlé à table, alors j'en ai eu marre et je me suis levée pour partir…» Mais ça n'a pas plu à Joseph : il lance une fourchette sur sa femme qui va se planter dans sa jambe. Et comme si ça ne suffisait pas, il lui balance à la tête la télécommande de la télévision. «C'est comme ça souvent, il me jette plein de trucs à la figure. La dernière fois, c'était un cendrier en verre, il a fallu m'opérer parce que j'avais un tendon coupé, j'ai un doigt paralysé maintenant.» Et Nora lève la main, où l'on voit un doigt tout crochu, tout maigre, comme un rameau mort. «Il ne nie pas les faits, mais dit ne pas s'en souvenir,» constate la présidente. «Ben ça, c'est normal, parce que si vous saviez dans quel état il se met le soir, il ne se souvient presque jamais de rien le lendemain. Et c'est toujours devant les enfants, ça, c'est terrible, il ne se rend compte de rien.» Et Nora de se lancer dans le récit de son quotidien : les insultes : «J'ai eu un accident de voiture, alors il me traite d'incapable, de handicapée, de bonne à rien…», les jets d'objets, les coups, les hurlements : «Ce soir-là, même les enfants ont eu très peur, il n'arrêtait pas de hurler. Le petit lui a dit d'arrêter quand il a vu la fourchette plantée dans ma jambe. Mais ça ne finissait jamais. Alors, j'ai pris le couteau sur la table pour qu'il arrête». Au comble de l'affolement et de la terreur, Nora ne s'est même pas rendu compte du nombre de coups de couteau, mais dès que son mari s'effondre, elle se précipite pour le soigner et s'empresse d'appeler les secours. «Pourquoi n'avez-vous jamais porté plainte, avant d'en arriver là ?», s'étonne Élisabeth Gadoullet. La réponse fuse : «Ben, si on l'avait mis en garde à vue à cause de moi, vous pensez que le lendemain, c'était ma fête ! J'ai préféré ne rien dire, ni à ma famille ni à personne». Le syndrome malheureusement classique de la femme battue. Dans son réquisitoire, François Jardin restera très modéré, tout en soulignant la gravité de l'attaque : «La situation s'est retournée contre l'auteur des violences : il est victime de son épouse qui n'en pouvait plus de ses coups et de son alcool». Mais la violence a été telle qu'il va réclamer, et obtenir, 2 ans de prison avec sursis. Joseph, le mari, ne s'était pas porté partie civile et n'était pas présent à l'audience.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/12/1603692-elle-poignarde-son-mari-violent.html

vendredi 12 avril 2013

Ecrasé sous les roues de son poids lourd

Hier matin, alors qu'il s'était glissé sous son véhicule pour procéder à une vérification, un chauffeur routier a été écrasé sous la roue arrière de la remorque.
HIER, vers 8 h 30, à l'entrée de la voie rapide au niveau de l'avenue du Général-de-Gaulle à Charleville-Mézières - direction Sedan - un chauffeur de poids lourd a trouvé la mort dans des conditions effroyables.
Le routier, âgé de 46 ans, a stationné son engin sur le bas-côté de la chaussée, juste après le feu situé à l'entrée de la rocade en direction de Sedan. A cet endroit, il existe une légère déclivité.
Selon les premières constatations, alors qu'il entrait sur la voie rapide, le chauffeur aurait stoppé son ensemble routier immatriculé dans le Gard (30) en raison d'un problème mécanique.

Expertise du camion
Le conducteur se serait alors glissé sous le camion afin de vérifier d'où venait la défaillance.
Malheureusement, les freins du poids lourd ont lâché et le conducteur s'est retrouvé coincé sous les roues arrière de la remorque.
Une douzaine de sapeurs-pompiers et une équipe du SMUR sont intervenus sur place pour porter secours au routier.
Malheureusement, ils n'ont pu que constater son décès.
Selon les secours, la victime serait morte étouffée par le poids des pneus.
Un examen du corps par un médecin légiste a été demandé par le parquet et des investigations sont d'ores et déjà diligentées par les services du commissariat de police de Charleville-Mézières pour déterminer les raisons qui ont poussé cet homme à effectuer cet arrêt. Une expertise du camion sera d'ailleurs effectuée pour savoir pourquoi le système de frein ne s'est pas enclenché.
Le directeur de cabinet de la préfecture des Ardennes, Stéphane Chapellier et un représentant de la municipalité se sont rendus sur les lieux du drame ainsi que des responsables de l'inspection du travail.
En effet, le décès du chauffeur n'est pas considéré comme un accident de la circulation mais comme un accident du travail.
Cet accident a entraîné un énorme bouchon de plus de deux kilomètres sur la RN 43. La voie de droite de la Rocade et la médiane ont été neutralisées dans le sens nord-sud.
Laurent Bony était père de famille et résidait dans le département de la Seine-et-Marne. Il travaillait pour une société de transport Garoise qui a une antenne en Région parisienne


http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/ecrase-sous-les-roues-de-son-poids-lourd

Toulouse. Une retraitée morte chez elle depuis 3 ans

Pompiers et policiers ont découvert hier, dans son appartement du quartier Saint-Cyprien, le corps d'une dame de 76 ans morte chez elle depuis trois ans.
Macabre découverte hier matin, dans le quartier Saint-Cyprien, à Toulouse. Une retraitée de 76 ans, Fernande Broca, a été retrouvée morte, chez elle, dans son appartement, place Olivier, par les secours.
Selon les premières constatations médicales, le décès de cette dame remonterait à 2010. Depuis trois ans, «l'absence» de cette locataire très discrète, dont les volets clos de son appartement donnent sur la rue de la République, n'a donc intrigué personne. Un drame de l'isolement et de la solitude qui a ému certains commerçants de la place. Sans nouvelle d'elle malgré ses tentatives de la contacter depuis plusieurs jours, l'agence locative de Fernande Broca a alerté police-secours hier matin. Vers 10 h 15, policiers et pompiers se sont introduits dans l'appartement, au premier étage de l'immeuble et ont constaté la présence de la dépouille de la malheureuse. Un examen du corps doit être pratiqué prochainement pour déterminer les causes exactes de la mort. Aucune trace suspecte n'a été relevée. Depuis trois ans, les prélèvements de ses factures sur son compte bancaire (loyer, eau et électricité) se faisaient automatiquement, sans éveiller le moindre soupçon. «En cinq ans, j'ai dû la croiser deux fois dans l'escalier de l'immeuble, se souvient sa jeune voisine. En voyant les fenêtres fermées depuis un certain temps, on pensait qu'elle avait rejoint une maison de retraite.» La dernière apparition de Fernande Broca dans un commerce du quartier remonterait au mois de mars 2010. Elle venait de régler, pour une quarantaine d'euros en espèces, des boîtes de médicament. «Elle sortait toujours de l'immeuble avec son panier à commission», relate cet autre commerçant qui se souvient d'une dame de taille moyenne qui allait faire ses courses toujours toute seule. Devant sa porte, «des avis de passage de relevé d'électricité se sont amoncelés ces derniers mois. On pensait qu'elle était partie», déclare un voisin qui trouvait l'immeuble très calme.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/12/1604197-toulouse-une-retraitee-morte-chez-elle-depuis-3-ans.html

Marmande. Macabre découverte sous le pont

Un couple de promeneurs qui marchait sous le pont Renaud-Jean (l'ancien pont de Marmande) a découvert, hier à 15h30, sur les berges de la Garonne, un corps allongé sur la rive, la tête explosée, avec une arme à poing posée sur le sol près de lui. L'homme, âgé entre 50 et 65 ans, ne portait aucun document permettant de l'identifier. L'enquête est menée par la brigade des recherches de Marmande. L'adjoint au commandant de compagnie, le capitaine Alain Gandois, s'est rendu sur les lieux. Des techniciens de la cellule d'investigation criminelle se sont rendus sur les lieux. Sur instruction du parquet, une autopsie sera pratiquée sur le corps aujourd'hui. L'hypothèse du suicide reste à confirmer.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/11/1603354-marmande-macabre-decouverte-sous-le-pont.html

jeudi 11 avril 2013

Lorraine : elle décède quatre heures après avoir accouché, l’anesthésiste relaxé en appel

Au Moyen-Age, Benjamin était le prénom traditionnellement donné aux enfants dont la mère était morte en couches.
Benjamin, jeune Meusien de 10 ans, a perdu sa mère le 5 octobre 2002, quatre heures après sa naissance. Agnès était âgée de 20 ans. Depuis des années, Stéphane Hocquet, son mari, et toute la famille sont persuadés que le centre hospitalier de Bar-le-Duc a commis une faute.
L’instruction, longue de neuf ans, s’est soldée par un non-lieu mais l’appel du parquet a débouché sur le renvoi, pour « homicide involontaire », du médecin anesthésiste devant le tribunal correctionnel. En octobre 2012, le praticien a été relaxé à Bar-le-Duc.

Vers un pourvoi en cassation

Hier, le ciel est tombé sur la tête de Stéphane Hocquet quand il a pris connaissance de l’arrêt de la cour d’appel de Nancy. Le parquet avait requis la culpabilité et une peine de 12 mois avec sursis ainsi que 10.000 euros d’amende mais les magistrats ont confirmé la relaxe.
Les juges nancéiens écrivent qu’« en l’état des éléments contradictoires issus des expertises et eu égard à l’état des connaissances médicales au moment de l’intervention, il n’existe pas d’éléments suffisants pour démontrer l’existence des éléments constitutifs du délit d’homicide involontaire ».
« Je ne comprends pas, c’est incohérent ! », a réagi Stéphane Hocquet. Un proche glisse qu’Agnès « est partie pour rien… ».
Réalisé par césarienne avec péridurale, l’accouchement, délicat, s’était soldé par une déchirure de l’utérus et du col. La mère avait été transportée en réanimation et placée sous surveillance. Le médecin anesthésiste avait été formel : « A la sortie du bloc, à 18 h 10, l’état clinique n’était pas préoccupant. Les résultats du bilan sanguin n’étaient pas inquiétants ».
Deux des trois collèges d’experts qui s’étaient penchés sur le dossier avaient noté que la prise en charge avait été tardive, avaient relevé une tension très basse et un choc hémorragique dès 18 h 10. « Pour eux, la sous-estimation de cet état de choc était responsable du décès de la patiente », avait assuré Me Claude Bourgaux, l’avocat de la famille, lors de l’audience du 6 mars dernier. « Par ailleurs, ils avaient souligné que l’anesthésiste n’avait pas examiné physiquement la malade avant 19 h 20, soit plus d’une heure après ».
Stéphane Hocquet devrait former un pourvoi en cassation.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/04/11/l-anesthesiste-relaxe-en-appel

Fontanes. La foule aux obsèques de Jean-Louis Cubaynes

L'annonce de la disparition accidentelle de Jean-Louis Cubaynes, le 15 février dernier, avait semé la stupeur au village. Retrouvé dans le Lot la semaine dernière et identifié, le deuil pouvait enfin commencer pour la famille.
Samedi, une foule d'amis et d'anonymes lui a rendu un dernier hommage, tant en l'église de Fontanes où se déroulaient les obsèques, qu'au cimetière où Jean-Louis a été inhumé. C'est l'abbé Florent Millet et Jacques Chaubard, le maire du village, qui se sont succédé pour retracer la vie de celui qui vient de la perdre, à seulement 50 ans.
Jean-Louis était né à Puylaroque en 1963. Dès l'âge de 16 ans, il a intégré l'entreprise de maçonnerie d'André Graniou. Ce dernier lui a cédé son affaire en 1996. En 1988, il avait épousé Sylvie Bouzerand et de cette union sont nés Antony, Aloïs et Emma. Jean-Louis était un homme jovial aimant plaisanter. C'est avec beaucoup d'émotion et de ferveur que tous l'ont accompagné à sa dernière demeure.
Que sa famille, ses proches, ses amis et tous ceux qui l'ont connu et côtoyé veuillent bien accepter l'expression de nos plus sincères condoléances.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/10/1601916-fontanes-la-foule-aux-obseques-de-jean-louis-cubaynes.html

mercredi 10 avril 2013

Un Vrignois se tue à moto en Belgique

Dimanche, en Belgique, un accident de moto a coûté la vie à un Ardennais, Roger Doucet, domicilié à Vrigne-aux-Bois.
Le drame s'est produit en fin d'après-midi, sur la RN 810, entre Bouillon et Corbion.

Pour une raison indéterminée, Roger Doucet a perdu le contrôle de son deux-roues et a violemment percuté le rail de sécurité.
Il est décédé sur place, malgré l'intervention rapide des secours. Aucun autre véhicule n'est en cause, selon les premières constatations effectuées par les policiers de Semois-et-Lesse.
La victime, âgée de 47 ans, était le père de deux enfants, Mélanie, 21 ans, et Kévin, 16 ans. Il pratiquait la moto depuis l'âge de 16 ans et tenait un garage à Vrigne-aux-Bois.
Cette mort brutale rappelle pour de multiples raisons celles, survenues au printemps 2009, de deux autres Ardennais : Benjamin et Stéphanie Monclin, qui résidaient à… Vrigne-aux-Bois. Ils étaient également décédés lors d'une balade à moto… sur la même route belge.

À l'époque, l'absence de panneau prévenant un enchaînement de virages sinueux avait été soulignée.
Le corps de Roger Doucet sera rapatrié dans les prochaines heures dans sa famille.
Ses obsèques seront célébrées demain jeudi 11 avril à 14 heures au cimetière de Vrigne-aux-Bois.


http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/un-vrignois-se-tue-a-moto-en-belgique

Dieulouard (54) : un jeune découvert mort ce matin

Un jeune homme de 28 ans a été découvert inanimé, sans doute sous l'effet de stupéfiants, par un facteur ce matin à Dieulouard au nord de Nancy. La victime, qui serait originaire de Ville au Val, un village voisin, gisait dans les parties communes d'un local communal situé sous la Poste. Elle est décédée.
Le corps a été retrouvé vers 6 h 40 par un agent de la Poste qui prenait son service.Les pompiers et les services du SAMU ont immédiatement été mobilisés sur les lieux. Une équipe de réanimation pulmonaire a entrepris des soins mais a interrompu sa tentative vers 7 h 25, contrainte de constater le décès. Du matériel de prise de stupéfiants, comme une seringue, a été retrouvé à côté de la victime. L'endroit est connu pour être régulièrement un refuge de toxicomanes

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/04/10/dieulouard-(54)-un-jeune-decouvert-mort-ce-matin

Vaulx-en-Velin : une adolescente violemment percutée par une voiture

Vers 15h30 ce mardi, une adolescente de 13 ans a été renversée rue du 8 mai 1945 à Vaulx-en-Velin. Polytraumatisée avec notamment une forte blessure à la tête, son pronostic vital a été engagé et elle a été dirigée vers l'hôpital Mère-enfant de Bron.
Selon les premiers témoignages, l’adolescente âgée de 13 ans, originaire de Villeurbanne, a entendu vers 15h30 ce mardi, une connaissance l’appeler alors qu’elle était au niveau du 83 de la rue du 8 mai 1945. Alors qu’elle décidait de la rejoindre en traversant la route, une voiture l’a violemment percutée.
Polytraumatisée, elle a été fortement touchée à la tête. Rapidement prise en charge par les secours, elle a été hospitalisée à Bron et son pronostic vital est engagé.


http://www.leprogres.fr/rhone/2013/04/09/vaulx-en-velin-une-adolescente-violemment-percutee-par-une-voiture

Koh-Lanta. L’infirmière de l’émission se confie

Agnès Auberger, infirmière sur Koh-Lanta, se confie pour la première fois sur les drames qui ont frappé l’édition 2013 de l’émission au Cambodge. Dans une interview accordée à RTL, celle qui travaillait au côté du médecin Thierry Costa dédouane la production et nie toute négligence dans la prise en charge de Gérald Babin, décédé d’une crise cardiaque au premier jour du tournage.
« Il n'y avait aucun signe avant-coureur de cet arrêt cardiaque, de cette mort subite », explique Agnès Auberger. « A aucun moment Gérald ne nous a paru inquiétant. Il parlait, il est resté toujours conscient, il était épuisé après son tir à la corde. On n'intervient pas en urgence pour une personne qui a des crampes. Ce n'est pas une urgence médicale. On voit que Gérald peine à continuer, qu'il s'arrête, qu'il est épuisé mais il ne présente aucun caractère d'intervention d'urgence ».

"On a attendu un bon moment"

L’infirmière confie que la production a dans un premier temps envisagé un cas de déshydratation : « il nous parlait, il buvait, il a même pu manger quelques biscuits salés. Ca rentrait tout à fait dans le cadre d'une déshydratation, d'un coup de chaud suite à l'effort qu'il venait de fournir. »
Agnès Auberger révèle tout de même que l’évacuation a tardé car les membres de l’équipe pensaient que Gérald Babin allait récupérer de son malaise : « On était tellement confiants dans sa capacité de récupération qu'on a attendu un bon moment, pensant même qu'il pourrait peut-être participer à la phase finale. On l'a mis à l'ombre, on lui a donné à boire, on l'a perfusé parce qu'il peinait à récupérer. On a essayé de le laisser récupérer un maximum avant de prendre la décision de l'évacuer vers l'infirmerie. »

"Tous les soins nécessaires"

La jeune femme revient également sur la visite médicale subie par Gérald Babin avant d’intégrer le jeu : « Son électrocardiogramme était normal. Il a eu un interrogatoire par le médecin qui l'a vu à ce moment-là. Ainsi que par son médecin traitant. Malheureusement ce sont des cas rares qui arrivent tous les jours. Pour avoir travaillé dans les services d'urgences et au SMUR pendant 21 ans, je sais que c'est une pathologie qui peut rester masquée pendant plusieurs années et qui peut malheureusement apparaitre subitement et tragiquement, qui peut être décelable à l'électrocardiogramme mais qui ne peut ne pas l'être. »
« Il a bénéficié de tous les soins qui lui ont été nécessaires » conclut Agnès Auberger. « Je pense que même sur le territoire français il aurait bénéficié des mêmes soins, donc on ne peut rien dire de plus sur sa prise en charge. »


http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/09/1601576-koh-lanta-l-infirmiere-de-l-emission-se-confie.html

mardi 9 avril 2013

Mirepeix (64) : elle se noie dans le canal

Les pompiers ont été alertés à 9 h 15, ce mardi , par un passant qui a vu le corps d'une femme flotter dans un canal qui longe le gave à Mirepeix.
Des sapeurs de Nay et de Pau ont été envoyés sur place ainsi qu'une équipe du Samu.

A 10 heures, ils avaient réussi à repêcher la victime, au niveau de la rue des Usines. Les secours ont alors prodigué des soins pour tenter de ranimer la dame qui présentait un arrêt cardiaque. En vain

http://www.sudouest.fr/2013/04/09/mirepeix-le-corps-d-une-femme-repechee-dans-un-canal-1019523-4344.php

Soleymieux : une femme de 62 ans décède dans l'incendie de sa maison

Le sinistre s’est déclaré dans la nuit de lundi à mardi, vers minuit et demi, sur la commune de Soleymieux. Selon nos premières informations, un couple était à l’intérieur au moment de l’incendie. Seul le mari a pu s’échapper, sain et sauf, avant l’effondrement de la maison. Sa femme, âgée de 62 ans, a péri sous les décombres de sa maison en feu.

Les pompiers ont réussi à maîtriser l’incendie vers 03h00 du matin dans cette maison de deux étages, les murs s’étant effondrés sous l’effet de la chaleur. Le déblaiement de trois mètres de gravats a débuté mardi matin pour tenter de dégager le corps de son épouse. A 11h30, les recherches étaient toujours en cours.
Selon les déclarations du mari de la disparue, cette dernière dormait à l’étage alors qu’il était descendu vérifier un convecteur électrique d’où émanait une odeur de fumée. Légèrement blessé par les flammes, l’homme âgé de 62 ans a été hospitalisé.

http://www.leprogres.fr/loire/2013/04/09/incendie-mortel-dans-une-maison-a-soleymieux

Le Temple-sur-Lot. Mortellement fauché et traîné par un camion

Une tragédie effroyable s'est produite dans la matinée d'hier au bord de la RD 911 au Temple-sur-Lot. Le corps sans vie d'un homme de 90 ans, Alfiri Dall Agata a été découvert vers 11 h 30 au milieu d'un chemin menant à une carrière. Chemin qui était emprunté hier matin par deux semi-remorques qui faisaient la navette pour décharger depuis l'Intermarché de la terre et des gravats. La victime présentait des lésions importantes d'abrasion à la face et aux genoux. C'est un des chauffeurs qui après avoir vidé sa benne et opéré un demi-tour, a aperçu le vieil homme gisant par terre, mort. Les gendarmes de la cellule d'identification criminelle ont été dépêchés sur place à des fins de constatations techniques, ainsi qu'un médecin légiste.

Traînées de sang

L'inspection des lieux allait rapidement mettre en évidence des épanchements de sang constatés sur une portion de 200 m partant de la route nationale et suivant l'embranchement vers la carrière. Des taches sanguinolentes également relevées sur la partie arrière du camion. Ainsi selon les premiers éléments de l'enquête, un premier scénario semblait s'esquisser hier soir sous réserve d'investigations complémentaires. Alfiri Dall Agata serait sorti de chez lui hier pour aller acheter le journal d'après son épouse. En marchant le long de la route, il a pu être happé par un des camions en rotation, traîné sur une distance de plusieurs mètres, puis lâché par le camion benne au moment de manœuvres chaotiques sur le chemin. Des circonstances à prendre avec prudence en attendant que toute la lumière soit faite sur ce mystérieux décès. Le chauffeur à l'origine de la découverte du cadavre a été interrogé par les gendarmes hier dans l'après-midi. Sous le choc, cet homme a affirmé n'avoir rien vu et n'avoir pas détecté de présence humaine aux abords de son semi-remorque. Une représentante du parquet s'est également déplacée sur les lieux après le drame. Une autopsie a été ordonnée, qui sera pratiquée aujourd'hui à Bordeaux. Il est également acquis que le nonagénaire portait deux prothèses auditives qui pourraient expliquer le fait qu'il n'a pas entendu l'arrivée du camion benne au moment où il a été frôlé, puis mortellement percuté.
Alfiri Dall Agata a été par le passé chef de corps du centre de première intervention des pompiers du Temple-sur-Lot. L'enquête s'oriente vers un accident et un homicide involontaire.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/09/1601241-temple-lot-mortellement-fauche-traine-camion.html

Marseille. Un père tue son bébé et se jette du 7ème étage

Un père de famille âgé de 21 ans est mort ce mardi matin après avoir tué son bébé et s'être jeté du 7ème étage de son immeuble. Le jeune homme, qui habitait dans le troisième arrondissement de Marseille, s'en était pris à sa fille de 13 jours ainsi qu'à la mère de l'enfant qui a été transportée à l'hôpital.
Selon les premières informations, le père de 21 ans aurait mortellement frappé son bébé et la mère aurait été blessée à l'arme blanche. Les jours de cette dernière ne sont cependant pas en danger.


http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/09/1601574-marseille-pere-tue-bebe-jette-7eme-etage.html

Avignon : le bébé de 5 mois n’a pas survécu à l’accident

Blessé puis immédiatement transféré à Marseille après avoir été victime d'un violent accident dimanche vers 12 h 45 sur la route de Morières-les-Avignon, le nourrisson n'a pas survécu à ses blessures.
Le pronostic vital du nourrisson de 5 mois était déjà très engagé lorsqu’il a été extrait de la voiture impliquée dans un choc frontal entre deux véhicules, survenu dimanche sur la route de Morières-lès-Avignon.
Et son transfert par hélicoptère à l’hôpital marseillais de la Timone n’aura pas permis de le sauver. Le bébé, après avoir été maintenu en vie durant plus de 24 h, est finalement décédé. Dimanche, vers 12 h 45, deux Gardois et trois Vauclusiens ont été victimes d’un violent accident.
Un violent choc frontal

Tandis que les Gardois, un homme de 76 ans et son fils de 52 ans circulaient à bord d’une C3, ils se déportent brusquement, pour des raisons qui restent à définir, sur l’autre voie de circulation. Arrive en face un autre véhicule. À bord de la Dacia, un père de famille de 41 ans, le nourrisson puis la mère de 31 ans assise à l’arrière de la voiture à côté de la tante âgée de 34 ans. Le choc est très violent. À tel point que la voiture où se trouve la famille est ensuite projetée et finit par s’encastrer dans un autre véhicule qui circule derrière elle.
Un lourd bilan humain
Malgré l’intervention rapide des pompiers d’Avignon, de Sorgues et de l’Île-sur-la-Sorgues, la jeune tante ne peut être maintenue en vie. Le bilan, avec la disparition de l’ enfant en bas âge, est à présent de deux morts. Les enquêteurs cherchent à présent les raisons qui ont provoqué ce déportement mortel.

http://www.midilibre.fr/2013/04/08/avignon-le-bebe-de-5-mois-n-a-pas-survecu-a-l-accident,674892.php

Castelnaudary. Deux morts dans une collision entre une voiture et une moto

Vers 13 heures, ce dimanche 7 avril, les pompiers de Castelnaudary ont été avertis qu'un accident grave était survenu route de Revel. Aussitôt, ils appellent un hélicoptère pour évacuer les blessés, vite décommandé car ils apprennent que les deux victimes sont décédées.
L'accident a eu lieu route de Revel à la sortie de Castelnaudary, au niveau de l'embranchement des Crozes. Une voiture Renault Twingo immatriculée dans la Haute-Garonne, venant de Revel, s'apprêtait à rejoindre le hameau des Crozes par la voie de contournement. Au moment où le véhicule traversait la route, une moto Yamaha bleue, arrivant à vive allure de Castelnaudary, est venue s'encastrer sur le côté droit de la Twingo. La passagère de la voiture et le motard sont morts sur le coup. Le conducteur, légèrement blessé, a été transporté à l'hôpital de Castelnaudary.

Un choc très violent

D'après un témoin qui roulait dans sa voiture vers Revel, le motard aurait dépassé son véhicule à très vive allure et a heurté violemment la Twingo qui coupait la route pour rejoindre les Crozes.
La gendarmerie, une fois arrivée sur les lieux, a fait les premières constatations, relayée par la police dont c'est le secteur.
Le couple de la Twingo, d'un certain âge, habiterait à l'Union près de Toulouse, et serait venu rendre visite à leur fille qui réside dans une campagne des environs. On n'a pu précisement identifier le motard qui n'avait pas de pièce d'identité sur lui , mais la police a pu déterminer la provenance de la moto qui est immatriculée à Saint-Papoul.
A voir le déplacement de la voiture retrouvée de l'autre côté de la route dans le fossé (côté Crozes), l'impact a dû être très violent. Le corps du motard gisait sur place, sûrement dû au choc avec la voiture l'empêchant d'être propulsé plus loin.
Le maire de Castelnaudary Patrick Maugard était sur les lieux. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes exactes de cet accident. La police doit interroger le seul témoin, le conducteur du véhicule qui a été dépassé par la moto.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/08/1600515-castelnaudary-accident-grave-route-de-revel-deux-morts.html