jeudi 31 décembre 2015

Collision frontale sur la route de la mer entre Lunel et La Grande-Motte : un père et son fils de 9 ans décédent, 2 blessées graves

Vers minuit la nuit dernière, sur la D61 longeant la mer entre Lunel et la Grande-Motte (Hérault), 2 voitures se sont percuté de face et ont pris feu. Un père et son fils  (9 ans) sont morts.La fille (13 ans) et la conductrice de l'autre voiture (25 ans), blessées grièvement, ont été hospitalisées
Au niveau d'un pont, à Marsillargues, sur la route de la mer entre les communes héraultaises de Lunel et La Grande-Motte, une collision frontale a été fatale à un père de 42 ans et son fils de 9 ans.

Le drame s'est produit aux alentours de minuit, dans la nuit du 30 au 31 décembre. Les véhicules se sont embrasés.

Une jeune fille de 13 ans a pu s'extraire de la voiture familiale. Elle est grièvement blessée, tout comme la conductrice de l'autre voiture, une Lunelloise de 25 ans. Elles ont été hospitalisées.

27 sapeurs pompiers ont été mobilisés par cet accident mortel.

La D61 a été coupée pendant quelques heures. Ce matin du 31 décembre, la circulation était rétablie.

  http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/herault/collision-frontale-sur-la-route-de-la-mer-entre-lunel-et-la-grande-motte-un-pere-et-son-fils-de-9-ans-decedent-2-blessees-graves-893959.html

A10 : un mort et 4 blessés dans un accident provoqué par un sanglier

Une personne a été tuée et quatre autres blessées mercredi soir après un accident de voiture causé par un sanglier sur l'autoroute A10, à hauteur de la bretelle de sortie de Saintes (Charente-Maritime), ont indiqué jeudi les secours.

Une personne a été tuée mercredi dans un accident de la route provoqué par un sanglier sur l'autoroute A10 en Charente-Maritime. Selon les premiers éléments sur l'accident, survenu peu avant 22H00, le véhicule, qui circulait dans le sens Bordeaux-Paris avec cinq membres d'une même famille à bord, n'aurait pu éviter l'animal qui a traversé l'autoroute, le conducteur perdant alors le contrôle de la voiture.


Une femme de 60 ans, éjectée du véhicule lors de l'impact, a été tuée dans l'accident, et un homme du même âge grièvement blessé. Trois autres occupants, une femme de 20 ans, et deux hommes de 35 et 61 ans, ont été légèrement blessés.

Selon un rapport ministériel datant de 2012, quelque 170 accidents corporels en moyenne (mais des milliers de collisions) avec des animaux sauvages sont recensés chaque année sur les routes, engendrant une douzaine de tués et plus d'une centaine de blessés.

Retrouvé mort devant sa voiture, chemin de Ribaute

Un homme de 60 ans a été retrouvé mort, hier, en milieu de matinée, à proximité de son véhicule stationné chemin de Ribaute, à Toulouse, une zone très à l'écart de la ville.
Un impact de projectile a été retrouvé sur le corps de la victime, à hauteur du thorax. Un pistolet a également été découvert tout près du corps. Une fois l'alerte donnée par un riverain, les policiers et les pompiers se sont rendus sur les lieux, au bout du chemin de Ribaute. Les forces de l'ordre et les secours ont constaté le décès du malheureux sexagénaire. La piste d'un acte volontaire était alors privilégiée même si des investigations supplémentaires étaient en cours. Lors de l'enquête, les policiers se sont rendus au domicile de la victime. Sur place, ils ont découvert un écrit, expliquant les raisons de son geste. Un acte désespéré en pleine période de fêtes de fin d'année.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/31/2247641-retrouve-mort-devant-sa-voiture.html

mercredi 30 décembre 2015

Landes : un corps retrouvé après l'incendie d'un cabanon

Ce n'était au départ qu'un feu de cabanon. Il s'est révélé bien plus dramatique. Appelés vers 21 heures mardi soir, dans une propriété d'Angresse, les pompiers de Capbreton et Saint-Vincent-de-Tyrosse ont découvert dans les décombres, une fois le sinistre maîtrisé, un corps calciné
Ce cabanon à structure en bois était en fait un garage, abritant une voiture et un bateau. Les soldats du feu ont par ailleurs dû faire face à des explosions de bouteilles de gaz durant leur intervention. Mais à aucun moment la possibilité de trouver une personne dans le bâtiment ne leur a été signalée.
L'enquête devra en dire plus sur les causes du sinistre et la présence de la victime. Le cabanon est situé derrière une maison donnant sur la route de Saint-Vincent-de-Tyrosse. Elle est occupée par un octogénaire et son fils, ce dernier étant absent au moment de l'incendie. 
Ce mercredi matin, les gendarmes étaient toujours sur place.
http://www.sudouest.fr/2015/12/30/landes-un-corps-retrouve-apres-l-incendie-d-un-cabanon-2230491-3452.php

Un pilote d'ULM tué par l'hélice de son appareil

Un propriétaire d'ULM, âgé de 70 ans, qui réalisait l'entretien de son appareil sur l'aérodrome d'Issoire dahns le Puy-de-Dôme, est décédé après avoir été frappé par l'hélice de sa machine, a-t-on appris aujourd'hui auprès des gendarmes.

L'homme, décrit comme un "passionné", "très expérimenté" et "bon mécanicien", était secrétaire du comité régional ULM Auvergne et de son club Les Ailes Volantes d'Issoire. L'accident est survenu hier. "Le moteur a pu se mettre inopinément en route lorsqu'il bricolait sur son engin. La victime a pris une pale du rotor arrière de son appareil sur le crâne. Elle est morte sur le coup", ont indiqué les gendarmes, confirmant
une information du journal La Montagne.

"On peut aussi supposer qu'il a trébuché sur sa machine en faisant des réglages sur son moteur, que l'on peut faire lorsque ce dernier est allumé", a également souligné le président du club d'Issoire, Claude Robert. Une autopsie est prévue demain pour permettre de déterminer les causes exactes de la mort.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/12/30/97001-20151230FILWWW00074-un-pilote-d-ulm-tue-par-l-helice-de-son-appareil.php

Collision fatale à une cycliste à Vauthiermont (90)

A 15 h ce mardi après-midi, une cycliste, qui roulait sur la route entre Vauthiermont et Fontaine, a été percutée par une camionnette. Le choc a été fatal à la femme de 56 ans originaire d'Eguenigue.
Selon le conducteur du véhicule, très choqué après les faits, la cycliste aurait fait un écart.
Malgré l'intervention des pompiers, la victime n'a pu être ramenée à la vie.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/12/29/collision-fatale-a-un-cycliste-a-vauthiermont

mardi 29 décembre 2015

Le Havre: deux morts dans un incendie

Un incendie provoqué par du linge qui séchait sur un radiateur électrique a causé la mort de deux personnes près du Havre, en Seine-Maritime, cette nuit, a-t-on appris de source policière. Le sinistre s'est produit vers 1h du matin, dans un petit immeuble de quatre étages, à Sainte-Adresse, station balnéaire au nord du Havre.

Un homme de 28 ans serait involontairement à l'origine de l'incendie. Il avait fait sécher des vêtements sur un radiateur électrique, créant un départ de feu. Pour échapper à l'incendie, l'homme a sauté par la fenêtre du deuxième étage mais a fait une chute mortelle, a-t-on indiqué de même source. Une femme de 51 ans, habitant dans un appartement voisin, est morte asphyxiée par les fumées, qui ont provoqué l'intoxication de quatre autres personnes.

Cinq occupants de l'immeuble ont été secourus à l'aide de la grande échelle, vingt autres sont sortis indemnes, selon les pompiers. Les résidents ont pu regagner leur domicile en début de matinée. Au total, 41 sapeurs-pompiers et 13 engins ont été dépêchés sur place. Le parquet du Havre a ouvert une enquête.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Un jeune homme retrouvé pendu en lisière de forêt

Un jeune homme d'une vingtaine d'années s'est donné la mort par pendaison ce lundi vers 16h18 à Brumath. Son corps a été retrouvé rue du Stade en lisière de forêt, à proximité des terrains de tennis. Les secours n'ont pas pu le réanimer.
http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2015/12/28/un-homme-retrouve-pendu-en-lisiere-de-foret

Un piéton mortellement fauché à Toulouse

2015, année noire sur les routes de Haute-Garonne. Une nouvelle fois, hier, un accident de la circulation a coûté la vie à un piéton. Les faits se sont produits vers 14 h 34, sur les allées de Guyenne, dans le secteur de la Faourette à Toulouse. Un homme de 65 ans, qui marchait sur un trottoir, a été mortellement fauché par un automobiliste.
Selon des témoins, un véhicule Chrysler Voyager de couleur sombre conduit par un homme a fait un écart afin d'éviter une Peugeot 208 qui se trouvait arrêtée entre la voie de droite et le milieu de la chaussée. Dans sa manœuvre, l‘automobiliste, qui roulait rapidement, a percuté l'aile gauche de la 208. Après ce choc, il a perdu le contrôle de sa voiture qui a mordu sur le trottoir, en face du numéro 11 des allées de Guyenne, au niveau d'un arrêt de bus.
C'est là que marchait, dos à la scène, Yves Lechenetier, 65 ans, un habitant de cette rue. L'automobiliste a heurté une borne incendie qui se trouvait là avant de faucher le piéton et de le propulser contre un troisième véhicule, une Opel Astra, arrêté sur le côté de la route.
La victime, prise en étau, a été très grièvement blessée. Prévenus par des témoins, les sapeurs-pompiers ainsi que les médecins du Samu se sont très rapidement rendus sur place. Malgré leurs efforts, ils n'ont pu ranimer la victime qui est décédée sur le coup.
Les policiers de la brigade des accidents se sont rendus sur les lieux où ils ont procédé aux premières constatations. Ils ont auditionné les témoins mais également le conducteur du Chrysler Voyager en cause. D'après les premiers éléments recueillis sur place, l'homme n'avait pas consommé d'alcool et n'était pas sous l'effet de produits stupéfiants. Extrêmement choqué, il a dû être conduit à l'hôpital à l'issue de son audition.
Hier après-midi, en pleine période de vacances scolaires, de nombreux habitants du quartier, sous le choc, sont restés sur les lieux.
Ce nouveau drame porte à quatorze le nombre de tués sur les routes de Haute-Garonne, en zone police, en 2015. Il y en avait eu huit en 2014.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/29/2246527-un-pieton-mortellement-fauche-a-toulouse.html

lundi 28 décembre 2015

Avion: une dispute familiale le soir de Noël vire au drame

Vendredi 25 décembre, une Avionnaise de 61 ans a perdu la vie alors qu’elle était hospitalisée à la suite d’une plaie par arme blanche, dont sa fille de 27 ans pourrait être responsable.
Le drame s’est joué dans la nuit du 24 au 25 décembre. Le soir du réveillon de Noël, alors qu’une femme de 27 ans devait passer la nuit du réveillon chez son petit ami et sa famille, le programme est chamboulé, sans doute à cause d’une dispute dans le couple. Reste que cette femme décide alors de retourner seule chez sa mère, qui passe la soirée en compagnie de son concubin à son domicile d’Avion, dans le quartier République.

Le pronostic vital de la victime n’était pas engagé

Alors que la soirée familiale se prolonge tard dans la nuit, une dispute entre la mère et la fille éclate à un peu plus de 3 heures du matin. Les raisons de l’altercation sont encore inconnues. Selon les premiers éléments d’enquête, la fille se serait saisie d’un couteau de cuisine et aurait blessé sa mère dans le haut du dos.
Alertés, les secours arrivent sur place et prennent en charge la sexagénaire, blessée mais consciente et dont le pronostic vital ne semble pas engagé. Sa fille est, quant à elle, interpellée par les services de police, également sur place.
La victime sera auditionnée par les policiers lors de son hospitalisation, le vendredi 25 décembre en début de matinée. À 11 heures, alors que son état semblait stable, elle décède. Une autopsie doit être réalisée pour connaître les causes exactes du décès.
Suite à sa garde à vue, sa fille de 27 ans a été déférée devant le parquet de Béthune, ce samedi 26 décembre dans l’après-midi. Il a été décidé de sa mise en détention provisoire, tandis qu’une instruction pour homicide vient d’ouverte pour faire la lumière sur cette affaire

http://www.lechodelalys.fr/l-avenir-de-l-artois/fait-divers

Un nouveau-né retrouvé mort dans une poubelle

Un nouveau-né a été retrouvé mort dans la commune de Bignac, en Charente hier. L'enfant avait été abandonné dans une poubelle, selon le journal local La Charente Libre. Âgé de trois jours, le nouveau-né était enveloppé dans une couverture lorsqu'il a été découvert par un piéton.

Transporté au centre hospitalier de Girac par le Smur d'Angoulême, le nourrisson n'a pas survécu. L'enquête a été ouverte par la gendarmerie mais l'identité de la mère, âgée de seulement 25 ans, est déjà connue. "C'est une jeune fille équilibrée, sans histoire. Sa famille est très soudée, généreuse, s'investit beaucoup dans la commune, et a toujours pris soin de ses enfants. Pour nous c'est incompréhensible", a témoigné le maire de Bignac.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Coup de tournevis : une femme entre la vie et la mort

Que s'est-il passé dans l'intimité d'un jeune couple, dans la nuit de samedi à dimanche à Toulouse ? C'est ce que les policiers de la sûreté départementale de Haute-Garonne cherchaient à établir hier après l'admission à l'hôpital d'une jeune femme dans un état critique.
L'affaire débute au milieu de la nuit lorsqu'un homme de 21 ans dépose sa compagne aux urgences de l'hôpital avant de repartir comme si de rien n'était.
En examinant la patiente, le personnel soignant s'aperçoit qu'elle souffre au niveau de l'abdomen où un bout de tournevis brisé est retrouvé profondément planté. Les services de police sont prévenus tandis que la jeune femme reçoit les premiers soins. Son pronostic vital est engagé.

Il ingurgite de l'eau de javel

Un peu plus tard dans la nuit, alors que l'enquête a déjà débuté, l'homme se présente de nouveau à l'hôpital. Cette fois, c'est lui qui est pris en charge. Il explique en effet qu'il a bu de l'eau de javel. Il est à son tour soigné par les urgentistes. Sa vie n'est pas en danger. Une fois remis sur pied, l'agresseur présumé est remis aux policiers et placé en garde à vue dans les locaux du commissariat central. Hier, les enquêteurs cherchaient à comprendre l'enchaînement des événements qui ont conduit à un tel déferlement de violence. La thèse d'une dispute conjugale qui vire au drame était fortement privilégiée.
Le suspect a-t-il voulu mettre un terme à ses jours en ingurgitant un liquide dangereux après avoir conscience de son geste ? L'hypothèse semblait probable. De son côté, la victime devait être opérée.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/28/2245986-coup-tournevis-femme-entre-vie-mort.html

dimanche 27 décembre 2015

Accident mortel sur l'A13 au sud de Rouen

Le corps d'une victime a été retrouvé ce dimanche matin à Oissel (Seine-Maritime) en contrebas d'un pont enjambant la Seine. On en sait plus sur les circonstances de l'accident : deux conducteurs impliqués ont quitté les lieux à pied !

Bloqué sur la chaussée

C'est tôt ce matin (27 décembre), entre 4 et 5 heures du matin, qu'un accident a eu lieu sur l'autoroute A13, entre Tourville la Rivière et Oissel, dans le sens Paris- Rouen. Selon les premiers éléments communiqués en milieu de matinée par la préfecture et la gendarmerie, un premier accident aurait eu lieu lorsqu'après une perte de contrôle une voiture de marque Renault a heurté les glissières de sécurité du pont qui enjambe la Seine et s'est retrouvée (après le choc) immobilisée sur les voies de circulation, sans phares ni feux arrières.

Il abandonne sa voiture

Selon les précisions apportées ce midi à la rédaction de France 3 Haute-Normandie par le capitaine Gérard (adjoint au chef d'escadron départemental de la sécurité routière de l'Eure) le conducteur de la voiture accidentée et immobilisée sur les voies de circulation de l'autoroute (et présentant donc un danger) a abandonné son véhicule, a quitté les lieux et est parti à pied  !

Descendu pour porter secours

Dans un second temps, deux véhicules se seraient arrêtés plus loin (entre le point kilomètrique 111 et la sortie 22 vers Oissel) pour porter secours au conducteur de la Renault immobilisée, en ignorant qu'elle était vide...

Dans un troisième temps, un véhicule  serait arrivé, aurait heurté la Renault accidentée (qui est partie en toupie) et un des hommes descendus pour porter secours aurait été percuté puis projeté en l'air. Là encore, le conducteur  de cette voiture aurait abandonné son véhicule et serait parti à pied !

Prévenus, les Sapeurs-Pompiers et les gendarmes sont arrivés rapidement, n'ont trouvé ni blessés ni conducteurs. C'est la femme de l'homme descendu pour porter secours, qui inquiète de ne pas revoir son mari, a demandé aux gendarmes où il était.

Les gendarmes ont alors effectué des recherches, et c'est en contrebas du pont, sur le territoire de la commune de Oissel, que l'homme a été retrouvé sans vie, vraisemblablement projeté du pont vers la berge de la Seine.

Délit de fuite ?

Ce matin, les gendarmes (compétents sur les voies de l'autoroute) auditionnaient des témoins et des mis en cause. C'est ainsi qu'ils ont retrouvés, chez eux, les deux conducteurs des voitures abandonnées. Après avoir quitté les lieux de l'accident,  ils étaient rentrés à pied à leur domicile.
C'est le Parquet de Rouen, (qui a chargé le peloton autoroutier de Bourg-Achard de l'enquête), qui va décider d'éventuelles poursuites pour délit de fuite.
L'enquête va devoir déterminer les circonstances exactes de cet accident  mais aussi  les raisons de la fuite des deux conducteurs : défaut de permis ? Défaut d'assurance ? Etat d'ivresse ? 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/rouen/accident-mortel-sur-l-a13-au-sud-de-rouen-892251.html

Accident de quad aux Cluses : une femme, éjectée, décède à l’hôpital

Ce samedi peu après 14 h 30, les secours ont été appelés pour intervenir suite à un accident de quad qui s’est produit sur une piste carrossable menant à un mas. Une femme âgée de 57 ans, qui effectuait une sortie en famille, a vraisemblablement été éjectée de son engin, pour une raison non déterminée.
Elle a rapidement été prise en charge par les sapeurs-pompiers, puis évacuée dans un état grave par l’hélicoptère Dragon 66 jusqu’au centre hospitalier.
La victime n’a pas survécu à ses blessures et est décédée aux urgences de l’hôpital en fin d’après-midi.
http://www.lindependant.fr/2015/12/26/accident-de-quad-aux-cluses-une-femme-ejectee-decede-a-l-hopital,2133909.php

Mort d'un plaisancier de 64 ans tombé à l'eau en rade de Brest

Malgré l'intervention des secours, un plaisancier de 64 ans, tombé à l'eau de son voilier en rade de Brest, est mort samedi.
Un plaisancier de 64 ans, tombé à l'eau de son voilier en rade de Brest, est mort samedi, malgré l'intervention des secours, a annoncé la préfecture maritime (Premar) de l'Atlantique à Brest dans un communiqué.


Après l'alerte donnée par le sémaphore du Portzic, le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) Corsen avait envoyé immédiatement des secours avec plusieurs moyens nautiques, dont un navire des douanes.
Quatre hommes à bord
En milieu d'après-midi, la plaisancier était secouru, inconscient et en détresse respiratoire. Une deuxième personne, parmi les quatre au total embarquées sur le voilier de 8,50m, et qui avait tenté de secourir l'homme tombé à l'eau, a aussi été secourue et prise en charge.
La mort du plaisancier a été prononcée peu après 17h30 selon le communiqué de la Premar

samedi 26 décembre 2015

Un wingsuiter se tue sous le Brévent

Cet après-midi, trois wingsuiters s’élançaient du sommet du Brévent pour un survol de la vallée et un atterrissage aux Moussoux.
Hélas, le vol s’est terminé dramatiquement pour l’un d’eux, qui a « touché » durant le vol.
A l’arrivée des secouristes du PGHM et de l’hélicoptère de la Sécurité civile, à 16h30, l’homme était décédé.
Il s’agit d’un militaire de l’Ecole militaire de haute montagne, basée à Chamonix.

http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2015/12/26/un-wingsuiter-se-tue-sous-le-brevent

Restinclières : l'homme qui a tué sa fille avant de se suicider avait laissé une lettre pour expliquer son geste

Mardi, un viticulteur de 65 ans abattait avec un fusil de chasse sa fille de 41 ans avant de se suicider à Restinclières, au Nord de Lunel dans l'Hérault. Sur place, les enquêteurs ont trouvé un courrier où l'homme, justifie son acte : il ne supportait plus le quotidien de sa fille avec qui il vivait seul, et qui souffrait de troubles psychiatriques, rapporte le Midi Libre. Le geste aurait été mûrement réfléchi.

Les autopsies devraient être pratiquées en début de semaine à l'institut médico-légal de Montpellier, rapporte Midi Libre

http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/herault/lunel

Accident de la route à Lannebert (22) : un mort et plusieurs blessés

Un grave accident de la route s’est produit dans la soirée du 25 décembre, à Lannebert (22). Le conducteur et sa passagère sont décédés.
Sur la route, un accident mortel s'est produit hier soir vers 20 h dans les Côtes d'Armor. Une collision entre 3 voitures qui circulaient sur la départementale 6 à hauteur de Lannebert. A bord d'un des véhicules, un homme de 86 ans et une femme de 84 ans sont décédés. Cette dernière, qui n'a pas immédiatement succombé, avait été évacuée en urgence absolue au centre hosiptalier de Saint Brieuc. Mais elle est à son tour décédée dans la matinée du 26 décembre. Six autres personnes légèrement blessées ou choquées ont, elles, été transportées à l'hôpital de Paimpol. Il s'agit d'une femme d’une soixantaine d’années et d'un couple et de trois enfants.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/accident-de-la-route-lannebert-22-un-mort-et-plusieurs-blesses-891853.html

Narbonne : 2 morts et un blessé grave dans une collision entre une voiture et une moto

Deux personnes ont perdu la vie et une troisième a été grièvement blessée dans un accident de la route impliquant une voiture et une moto, vendredi, à la sortie de Narbonne, rapporte ce samedi L’Indépendant.
Selon le quotidien régional, l’accident a lieu vers 18h30 sur la D6009 en direction de Perpignan, à hauteur de Bages. Pour une raison encore indéterminée, la voiture aurait quitté sa voie et serait venue percuter la moto. Le conducteur du véhicule léger, âgé de 35 ans, et le pilote de la moto, âgé d’une trentaine d’années, sont décédés sur le coup. Le passager du deux-roues, lui, présenté comme un Parisien en vacances, a été grièvement blessé et transféré à l’hôpital de Montpellier. Son pronostic vital est engagé.
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Une enquête de gendarmerie a été ouverte afin de déterminer les causes de l’accident.

vendredi 25 décembre 2015

Hérault : un détenu de 24 ans retrouvé pendu dans la prison de Villeneuve-lès-Maguelone

Un détenu âgé de 24 ans a été retrouvé pendu dans sa cellule à la maison d'arrêt de Villeneuve-lès-Maguelone, près de Montpellier, dans l'Hérault, a-t-on appris de source judiciaire.
Le jeune homme de 24 ans, qui n'était pas libérable avant 2019, avait été sanctionné pour des violences sur un surveillant et était dans une cellule du quartier disciplinaire, a-t-on précisé au parquet de Montpellier.
Une enquête ouverte
Des surveillants l'ont retrouvé pendu jeudi en fin de journée, "au moment de la distribution des repas", a-t-on encore ajouté de même source. Une enquête a été confiée à la gendarmerie.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/herault/montpellier/herault-un-detenu-de-24-ans-retrouve-pendu-dans-la-prison-de-villeneuve-les-maguelone-891577.html

Lavalette (Aude) : pronostic vital engagé pour le pilote de la mobylette

Un jeune de 18 ans a été très grièvement blessé mercredi matin, après une lourde chute contre une barrière au stade municipal.
Transporté par hélicoptère à l’hôpital Purpan de Toulouse, suite à une lourde chute à mobylette au stade municipal de Lavalette, mercredi peu avant midi, un jeune de 18 ans est aujourd’hui entre la vie et la mort. À tel point qu’un pronostic vital a été engagé par les médecins, hier.

Victime inconsciente à l’arrivée des secours
Mercredi, il était 11 h 52 lorsque les secours ont été alertés. À l’arrivée des pompiers sur les lieux de l’accident, la victime, seule en cause, était inconsciente et présentait un important traumatisme facial. Il venait de percuter violemment une des barrières limitant le terrain de football.
Selon nos informations, c’est en circulant sans casque sur la pelouse du stade, que ce jeune de Lavalette a perdu le contrôle de son deux roues. Sur les circonstances précises de cet accident dramatique, la gendarmerie poursuit son enquête, en sachant que des morceaux de cannabis ont été retrouvé à proximité de la victime
http://www.lindependant.fr/2015/12/24/lavalette-aude-pronostic-vital-engage-pour-le-pilote-de-la-mobylette,2133311.php

Perpignan : le Noël calvaire de Sara, privée de ses trois enfants

Où sont Claire 14 ans, Adrien 12 ans et Elisabeth 5 ans ? C'est la question qui hante depuis des mois Sara Grégori, 35 ans leur mère installée à Perpignan (Pyrénées-Orientales). Sara est séparée du père de ses enfants depuis le 12 mai 2014. Le lendemain, par ruse et supercherie, ce franco-argentin était parvenu à retirer les enfants de l'école. Puis il les a emmenés avec lui en Espagne puis en Argentine son pays d'origine. Le père aurait réussi à se faire délivrer des passeports pour voyager avec eux. Depuis, c'est le calvaire pour cette jeune femme qui pensait découvrir l'amour à 19 ans en rencontrant Guillermo Cazenave-Gimenez de 24 ans son aîné. Lui est musicien et se prétend musicothérapeute. «C'est un homme qui ne travaille pas. En quinze ans, il a donné seulement quelques concerts et je ne l'ai jamais vu exercer ses connaissances en musicothérapie. Il vivait d'une allocation adulte handicapé» raconte Sara. L'histoire d'amour a démarré en Espagne. Elle s'est poursuivie en France façon naufrage.

Les enfants n'ont toujours pas été localisés

Le couple s'est installé en France à Lavelanet (Ariège) entre 2001 et 2009. Sara décrit une vie coupée du monde, dans une maison à l'écart avant de rejoindre les Pyrénées-Orientales. «Mon mari ne parlait pas français. Il s'est toujours refusé à étudier la langue alors qu'il est resté en France quinze ans. Il m'a coupée du monde» raconte-t-elle. Depuis 2014, Sara a obtenu de la justice française la garde de ses enfants et leur résidence à Perpignan mais les trois ont disparu et la décision du juge des affaires familiales de Perpignan est aujourd'hui lettre morte. Car les petits n'ont pas pu être localisés. Et les certificats de scolarisation ont débouché sur le mystère le plus absolu.
«A ce jour, je ne sais toujours pas où mes enfants vont à l'école et même s'ils sont scolarisés. Ce dont je doute aujourd'hui. Les seules adresses que mon ex-mari a données sont fausses. Il m'a demandé d'aller en Argentine mais dans le même temps, deux amis à lui, arrivés d'Espagne sont venus me menacer à mots voilés de me faire disparaître si je me rendais sur place» raconte-t-elle. De temps à autre, la jeune femme obtient quelques informations par mail. «Mais je ne suis même sûr que ce sont mes enfants qui rédigent ces phrases» poursuit-elle. Sara réclame la mobilisation des autorités françaises pour que la décision de justice soit enfin appliquée et que les enfants lui soient rendues. Aux dernières nouvelles, Sara a appris que ses trois enfants pouvaient se trouver au Paraguay avec leur père. Sans aucune autre forme de certitude. Hier soir les cadeaux des enfants sont restés à quai à Perpignan faute d'une dernière adresse connue.
 

jeudi 24 décembre 2015

Accident mortel sur l'A51 : deux jeunes pennois tués

On connaît l'identité des deux jeunes personnes qui sont mortes dans l'accident qui a lieu dans la nuit de mardi à mercredi, sur l'A51 à hauteur d'Aix. Il s'agit de deux habitants des Pennes-Mirabeau. Mehdi Hassoun et Laurent Sorelli ont trouvé la mort pour des raisons encore indéterminées sur cette autoroute qui relie Marseille à Manosque.

Ce dernier travaillait dans le salon de coiffure Stud'Hair situé aux Cadeneaux. 
Sur la photo, tirée du Facebook de la commune, on voit plusieurs personnes (beaucoup de jeunes gens) se recueillir devant l'établissement. Des bouquets de fleurs sont posés devant la devanture et les amis de la victime pleurent leur copain disparu.

Sur ce même post, "le sénateur maire des Pennes-Mirabeau, Michel Amiel, et la Ville des Pennes-Mirabeau présentent leurs sincères condoléances aux familles et aux proches des victimes

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3728116/accident-mortel-sur-la51-deux-jeunes-pennois-tues.html

mercredi 23 décembre 2015

Restinclières (Hérault) : il tue sa fille puis se suicide

E moi, ce mercredi après-midi à Restinclières, cette commune de quelque 1 600 âmes située à une dizaine de kilomètres au nord-ouest de Lunel. C'est là, dans une habitation de la Grand-Rue, à quelques mètres de la mairie,  que s'est noué un drame familial.
Dans cette maison dans laquelle vivaient un père et sa fille.  Lorsqu'un agriculteur à la retraité âgé de 65 ans a  fait feu au fusil de chasse sur sa fille, âgée de 41 ans. Un geste fatal à la suite duquel le sexagénaire  a retourné l'arme contre lui pour mettre fin à ses jours. A leur arrivée, les secours n'ont pu que constater le décès des deux personnes.

Drame familial

Ce mercredi en début de soirée, les gendarmes de la brigade de  recherches de la compagnie lunelloise se trouvaient encore sur place pour leurs constatations. Le procureur de la République de Montpellier et un médecin-légiste se trouvaient également sur les lieux. Hier soir, on ignorait encore la genèse de ce drame.  
http://www.midilibre.fr/2015/12/23/restinclieres-herault-il-tue-sa-fille-puis-se-suicide,1261861.php

Collision mortelle entre un scooter et une voiture à Roulans

Un homme de 20 ans est mort ce mercredi sur la route départementale à Roulans dans le Doubs après une collision avec une voiture.
Violente collision entre un deux-roues et une voiture ce mardi soir un peu avant 18h30 entre Roulans et Sechin dans le Doubs. A l'arrivée des secours, le conducteur du scooter, un habitant de Roulans âgé de 20 ans était en arrêt cardio-respiratoire. La victime n'a pas pu être réanimé et est décédé sur place

Agé de 76 ans, le conducteur de l'autre véhicule s'en est sorti indemne. Il aurait refusé la priorité au cyclomotoriste au carrefour des RD 683 et RD 352.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/doubs/collision-mortelle-entre-un-scooter-et-une-voiture-roulans-890481.html

Suicide sur le passage à niveau route de Cugnaux : trafic des trains interrompu

Un TER a percuté vers 15 heures une personne à hauteur du passage à niveau de la route de Cugnaux à Toulouse. Il s'agirait d'un acte désespéré selon les premières constations des secours. Le trafic des trains TER est actuellement interrompu entre Toulouse et Auch.
De grosses difficultés de circulation aussi dans ce secteur de Saint-Cyprien.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/22/2243271-suicide-passage-niveau-route-cugnaux-trafic-trains-interrompu.html

mardi 22 décembre 2015

Drame à Roux: un enfant a chuté dans le canal Charleroi-Bruxelles

Un enfant de 12 ans est tombé dans le canal Charleroi-Bruxelles, à hauteur de la rue de la Victoire à Roux, ont indiqué les pompiers de Charleroi, en début de soirée. 
L'enfant s'est noyé. Les pompiers viennent de le repêcher et tentent de le réanimer. L'enfant jouait au football avec son frère, au bord du canal. 
Il a, semble-t-il, voulu attraper le ballon lorsqu'il est tombé à l'eau.
http://www.dhnet.be/regions

Hérault : une voiture percute un platane à Pézenas, 2 morts

Un violent accident de la circulation s'est produit, ce mardi, peu après 10h30 sur l'avenue de Verdun, à Pézenas, dans l'Hérault. Deux personnes sont décédées.
Un seul véhicule impliqué
Un accident de la circulation impliquant un seul véhicule s'est produit, ce mardi, peu après 10h30 sur l'avenue de Verdun, en centre-ville de Pézenas, dans l'Hérault. Deux personnes sont décédées d'après les pompiers de l'Hérault.

Un véhicule percute un platane
D'après les premiers éléments dont nous disposons, un véhicule a percuté un platane. Les circonstances de l'accident restent à définir mais le conducteur, un septuagénaire, pourrait avoir perdu le contrôle de son véhicule suite à un malaise, d'après la gendarmerie. Les pompiers et les gendarmes sont sur place.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/herault/pezenas/herault-une-voiture-percute-un-platane-pezenas-2-morts-890027.html

Deux personnes retrouvées pendues à Reims

Lundi à 11 heures, deux patients ont découvert un jeune homme pendu à un arbre dans le parc de la maison de santé de Merfy.
Originaire de l’Aisne, la victime suivie en consultation libre dans l’établissement a choisi de se suicider au même endroit que son amie en juin dernier.
Un autre suicide par pendaison - celui d’une vieille personne qui vivait seule - a été découvert lundi midi à son domicile de Cernay-lès-Reims.

http://www.lunion.fr/node/624321

Vandoeuvre : accident mortel au parc des expositions

Un homme est mort au volant de son véhicule ce mardi matin, vers 8 h 15. Le drame a eu lieu sur le parking du parc des expositions à Vandoeuvre. D'après les premières observations, le conducteur a percuté un pylône d'éclairage en fer d'une hauteur d'une vingtaine de mètres à pleine vitesse. Un choc frontal d'une extrême violence sans aucune trace de freinage. Il a été tué sur le coup. Il s'agirait d'un acte désespéré
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-agglomeration/2015/12/22/vandoeuvre-accident-mortel-devant-le-parc-des-expositions

lundi 21 décembre 2015

Accident de chasse: "Mon mari a été tué, une balle en pleine figure

A Quintal, en Haute-Savoie, un fondu de trail a été tué lors d'une battue début décembre. Son épouse, présente à ses côtés ce jour-là, témoigne.
Samedi 5 décembre, 10h30, dans le massif du Semnoz, en Haute-Savoie. Un tir. Une balle. Un homme s'effondre. Gaël, 43 ans, est mortellement touché à la tête au cours d'une sortie d'entraînement. Il pratiquait le trail depuis des années. Mélanie, sa femme, qui l'accompagne, se retourne. Le prend dans ses bras, crie pendant de longues minutes, impuissante. 
Le gamin à l'autre bout du fusil a 19 ans. Lui aussi est un passionné, de chasse. Il fait partie d'un groupe de neuf hommes qui effectuait une battue au gros gibier quand, poursuivant un sanglier, il a tiré en direction du couple. Plus de deux semaines après le drame, Mélanie a décidé d'exprimer sa colère sur Facebook. Des mots relayés par l'athlète professionnel Sébastien Chaigneau et repérés par La Charente Libre. Durs, émouvants, accusateurs et qui interpellent: "Alors, on fait quoi maintenant ?". 
Le témoignage de Mélanie, en intégralité : 
"Cela fait des années que je n'ai pas écrit quelque chose sur Facebook. Mais aujourd'hui c'est différent, on parle de mon mari. On dit beaucoup de choses et il y a beaucoup de commentaires... C'est moi qui l'ai tenu dans mes bras pendant quinze minutes, la tête explosée avant que les secours n'arrivent. Je suis restée seule pendant au moins cinq minutes avant qu'un chasseur ne vienne à mes côtés alors que je hurlais et qu'ils se tenaient à 50 mètres de nous ! Ils ont pris le temps de se mettre d'accord sur leur version des faits. 

"Nous avons respecté les règles, eux pas"

C'était samedi 5 décembre, nous habitons au pied du Semnoz et pratiquons le trail depuis des années. Nous connaissons les périodes de chasse, les signaux et les règles... Ce samedi matin, nous n'avons croisé aucune signalisation sur les chemins que nous avons empruntés. Nous avons, en revanche, croisé un chasseur 100 mètres avant le tir, à qui nous avons gentiment dit bonjour, qui ne nous a pas répondu, qui nous a tourné le dos et qui ne nous a pas dit que, quelques mètres plus haut, se trouvaient 6/7 chasseurs (en battue ???). 
Nous parlions fort tous les deux, j'étais habillée en rose et bleu et le terrain était dégagé et à 10 mètres de la route qui monte au Semnoz. Une minute plus tard, j'ai entendu un coup de feu terrible, je me suis retournée et mon mari était à terre une balle en pleine figure et la mâchoire éclatée. Ce jour-là, nous avons respecté les règles, eux pas. Ce jour-là mon mari n'a pas été victime d'un accident, il a été tué. Ce jour-là, ce sont des assassins que nous avons croisés, la chasse n'est pas un jeu. Mon mari mesurait 1,82 mètre, pesait 83 kg, il n'avait rien d'un sanglier. Il était beau, il avait deux petites filles, nous étions heureux... Alors, on fait quoi maintenant?" 
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/

Las Vegas : Une voiture fonce dans la foule et fait au moins un mort et 37 blessés

Une voiture a foncé dans la foule peu après 18h30 ce dimanche à Las Vegas, aux Etats-Unis, faisant au moins un mort et 37 blessés selon la police. On ignore encore les raisons qui ont poussé le conducteur, placé en garde à vue, à propulser son véhicule dans la foule. Six blessés sont dans un état critique et plus de 25 personnes sont toujours soignées à l’hôpital. Plusieurs blessés sont originaires de Montréal, au Canada.
La police ignore encore si l’accident est volontaire ou non. Les unités anti-terrorisme sont sur les lieux. L’homme qui conduisait la voiture a tenté de s’échapper mais a été rattrapé par la police. Placé en garde à vue, il a été soumis à des tests d’alcoolémie et de substances illicites. Une deuxième personne aurait été présente aux côtés du chauffeur, mais la police n’est pas encore en mesure de l’identifier. Il pourrait s’agir d’un enfant. Un média local, 8 News NOW, a rapporté que le conducteur était une femme.
D'après les dernières déclarations de la police de Las Vegas, il ne s'agirait pas d'un acte terroriste mais que l'acte serait bien intentionnel.

Pendant le concours de Miss Univers

L’accident a eu lieu sur Las Vegas Boulevard, aussi connu sous le nom de « Strip », une route principale traversant la ville. La circulation est toujours bloquée au niveau du Paris Las Vegas Hotel, un des grands hôtel-casino de la ville. L e lieutenant de police Peter Boffelli a indiqué que le véhicule se dirigeait vers le nord lorsqu’il est monté sur le trottoir en face de l’hôtel Paris Las Vegas. Le concours de Miss Univers se tenait au même moment au Planet Hollywood de Las Vegas, qui jouxte l’hôtel Paris Las Vegas.

http://www.20minutes.fr/monde/1754519-20151221-las-vegas-voiture-fonce-foule-fait-moins-mort-37-blesses

La petite fille décédée dans l'accident de Verlhac-Tescou est originaire du Tarn

Une fillette de 8 huit ans est décédée dans un choc frontal entre deux voitures qui s'est produit à Verlhac-Tescou, sur une ligne droite. La maman, domiciliée à Salvagnac (Tarn) a été blessée et hospitalisée à Montauban. Son frère âgé de 13 ans a été héliporté dans un état critique vers le centre hospitalier de Toulouse-Purpan.
Un homme de 31 ans qui n'est pas le père des enfants se trouvait également dans le véhicule et a été transporté en ambulance à Toulouse-Purpan. Domicilié aussi dans le Tarn, à Albi, le conducteur de la deuxième voiture, seul à bord de son véhicule a été sérieusement blessé et évacué vers le centre hospitalier de Montauban. Les gendarmes ont ouvert une enquête autour de cet accident. Plusieurs zones d'ombre restent à éclaircir. La personne qui a donné l'alerte vers 4 heures 30 du matin n'a pas attendu l'arrivée des secours sur les lieux de l'accident.
Autre mystère : d'après les premiers témoignages des victimes, une cinquième personne se serait trouvée, au moment du choc, dans la même voiture que les deux enfants et aurait ensuite disparu dans la nature. Des techniciens de l'identification criminelle se sont rendus sur les lieux pour effectuer des investigations
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/20/2242082-petite-fille-decedee-accident-verlhac-tescou-est-originaire-tarn.html

dimanche 20 décembre 2015

Il succombe sous les coups de son épouse

Elle le battait depuis qu'il avait eu un AVC en 2014. Un homme de 64 ans est mort mercredi soir à Saint-Genis-d'Hiersac, en Charente, après avoir été battu par sa femme, nous apprend Sud-Ouest. Les gendarmes découvrent le corps sans vie de cet homme mercredi dernier. Sa femme et son fils expliquent qu'il a fait une chute mortelle. Mais l'autopsie révèle qu'il a reçu des coups violents, couplés à un étouffement qui ont eu raison de lui.

"L'épouse avait l'habitude de frapper son époux depuis qu'il avait été victime d'un AVC en 2014. Son état de faiblesse l'insupportait. Elle utilisait les poings mais aussi tous les objets usuels du quotidien", écrit Sud-Ouest

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Isère : deux morts et un blessé grave dans un accident de voiture à Tignieu-Jameyzieu

Deux jeunes hommes de 18 ans sont morts, dans la nuit du samedi 19 au dimanche 20 décembre, après une sortie de route à Tignieu-Jameyzieu. Le troisième passager du véhicule, âgé de 16 ans, a été gravement blessé.
Deux jeunes de 18 ans sont morts, dimanche 20 décembre peu après 2 heures à Tignieu-Jameyzieu, en Isère, après avoir percuté un arbre en voiture. Le troisième passager, âgé de 16 ans, a été gravement blessé.

C'est au croisement de la rue du Prieuré et de la rue du Village, des voies communales très peu fréquentées, que la voiture des trois jeunes hommes a fait une sortie de route pour s'encastrer dans un arbre. D'après les gendarmes, le véhicule roulait à une vitesse excessive. Des tests ont été réalisés pour déterminer si les victimes avaient consommé de l'alcool ou des stupéfiants.

Les deux passagers avant, âgés de 18 ans, sont morts sur le coup. Le passager arrière de 16 ans a été gravement blessé au bassin et aux membres inférieurs. Il a été transporté à l'hôpital Edouard Herriot de Lyon. Son pronostic vital est très fortement engagé.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/isere-deux-morts-et-un-blesse-grave-dans-un-accident-de-voiture-tignieu-jameyzieu-888859.html

Foulayronnes (47) : une marche blanche pour Eric Simon et Stéphanie Marcassa

Plusieurs centaines de personnes se sont réunies ce samedi matin à 11 heures pour témoigner de leur soutien aux enfants du couple tué le 2 décembre
Les mines sont graves, les larmes jamais bien loin. Le souvenir de ce mercredi 2 décembre a profondément marqué le village. Au petit matin, alors qu'ils emmenaient leurs enfants à l'école, Eric Simon et sa compagne Stéphanie Marcassa ont été tués, sous les yeux de leurs fils de 5 et 10 ans.
Derrière la banderole "Plus jamais ça", avancent en rang serré la famille, les enfants "qui ont tenu à être là", précise Bruno Dubos, maire de Foulayronnes. En effet, la marche a été organisée conjointement avec les familles. Dans la foule des anonymes, les voisins, les copains d'école, comme un besoin de se rassembler. "C'est la commune qui fait corps pour montrer à la famille son affection, sa compassion". Cette marche silencieuse, fait partie du travail de deuil des habitants de la commune, souvent encore choqués. "Nous sommes là par solidarité avec la famille, surtout avec les enfants". Beaucoup de participants sont eux-mêmes parents d'enfants de ces âges. De ce "Plus jamais ça", en noir sur la banderole blanche, il n'est pas question dans les prises de parole officielles. Sans intention de relancer une polémique dans ces moments là," nous avons voulu envoyé un signal, dire qu'il faut être plus attentif quand des alertes de ce type de harcèlement sont lancées", explique le maire.
A la fin de la marche, Gérard Simon, le grand-père des enfants, a tenu à s'exprimer brièvement, pour "remercier les gens de Foulayronnes, de l'Agenais et bien plus loin. Nous élèverons les enfants du mieux possible". 
Quelques jours après le drame, la mairie de Foulayronnes a mis en place une collecte sur Internet via un site de financement participatif. Il dépasse aujourd'hui les 19 000 euros. Une urne est également en place dans la mairie où ce sont plus de 3000 euros qui ont été récoltés. "Pour les enfants, leur éducation future", souligne le maire pour que ces enfants seront "toujours des enfants de Foulayronnes".

http://www.sudouest.fr/2015/12/19/foulayronnes-47-une-marche-blanche-pour-eric-simon-et-stephanie-marcassa-2223003-3697.php

Boulogne : un pêcheur défiguré lors d’un accident en mer, son patron condamné

Le terrible accident se produit le 6 août 2012. Ce jour-là, le navire Notre-Dame-de-Boulogne, de la Coopérative maritime étaploise, part en mer.
Pour la première fois, il s’associe à un autre bateau relié au même chalut. Mais alors que les deux navires sont au large de la Grande-Bretagne, un cordage se rompt brutalement sous la pression du treuil et vient fouetter le visage d’un des pêcheurs qui se trouve à l’arrière. Les blessures, très graves, nécessitent un hélitreuillage à l’hôpital de Bruges.

« J’avais réalisé 300 000 € de travaux »

Les conséquences sont catastrophiques pour la victime : traumatisme facial, fracture du nez, perforation de l’œil droit... Il est en partie défiguré. C’est cette affaire sensible qu’a dû juger ce jeudi le tribunal correctionnel de Boulogne-sur-Mer.
Sur le banc des prévenus, le patron du bateau de pêche, présent d’ailleurs le jour de l’accident et poursuivi pour blessures involontaires. Et sur le banc des parties civiles, son ancien employé.
« Quelques mois avant l’accident, j’avais réalisé 300 000 € de travaux sur ce bateau, a expliqué le premier. Jamais je n’ai voulu qu’un accident pareil arrive. Si j’avais su qu’il y avait un problème avec la bobine du treuil, je l’aurais immédiatement changée. »
La victime estime au contraire que « monsieur était au courant de la panne » et qu’« il n’a jamais pris le temps de la réparer ».

« Ce qui s’est passé est d’autant plus impardonnable qu’il s’agissait d’une avarie connue »

L’avocat du jeune homme énumère ensuite les préjudices dus à l’accident. De quoi faire frémir le tribunal. « On a du mal à imaginer les souffrance de mon client, le nombre d’opérations endurées - et ça n’est pas fini, les retentissements sur sa vie personnelle... Ce qui s’est passé est d’autant plus impardonnable qu’il s’agissait d’une avarie connue. » L’avocate du prévenu insiste au contraire sur le fait que « personne ne savait que c’était la bobine qui était défectueuse ».
Pour la procureure, le patron du Notre-Dame de Boulogne est bel et bien responsable : « Il n’a pas répondu à l’obligation de sécurité qui pesait sur lui en tant qu’employeur ». Elle requiert quatre mois de prison avec sursis assortis d’une amende de 2000 €. Le tribunal la suit dans ses réquisitions.
La question sensible des dommages et intérêts sera tranchée plus tard

http://www.lavoixdunord.fr/region/boulogne-et-ses-environs

samedi 19 décembre 2015

Béziers : un jeune homme tué dans un accident de la route

U n homme âgé de 25 ans est mort ce matin peu avant 7 h dans le quartier de la Devèze, à Béziers, victime d'une violente sortie de route.
Un jeune homme, âgé de 25 ans, est mort ce matin peu avant 7 h dans le quartier de la Devèze, à Béziers. Sa voiture a violemment heurté un arbre à la jonction de l'avenue Michel de l'Hospital et celle des Tamaris. Les circonstances de l'accident restent, pour l'heure, encore floues et font l'objet d'une enquête de la Sécurité publique de Béziers. 
Cet accident porte à 90 le nombre de victimes sur les routes de l'Hérault depuis le début de l'année.
http://www.midilibre.fr/herault/beziers/

Caudry : un spectacle de danse en hommage à Aurélie Châtelain

Un spectacle a été donné vendredi soir à Caudry en hommage à Aurélie Châtelain. La jeune femme, passionnée de danse, avait été retrouvé morte dans sa voiture à Villejuif en avril dernier. Son meurtrier présumé, Sid Ahmed Ghlam, projetait de commettre des attentats dans cette banlieue parisienne.
Lorsqu'elle a été tuée ce 19 avril 215, Aurélie Châtelain effectuait un stage de Pilatès, une gymnastique douce, à Villejuif pour le week end. Elle était passionnée de sport, et plus encore de danse. Elle en avait fait son métier, et organisait chaque année un spectacle très attendu dans sa ville de Caudry.
Depuis sa disparition, la jeune femme de 32 ans a laissé un vide immense dans le cœur des Caudrésiens.
Vendredi soir, ils lui ont rendu un hommage émouvant, en musique et en danse, avec une motivation et une envie de scène, telle qu'elle l'aurait sans doute voulu elle même.
"Ce spectacle avait lieu tous les ans, c'était elle qui le chapeautait, donc il existait déjà et il existera toujours", nous a confié son amie Christine Pereira,
chorégraphe, et danseuse de la troupe "Esquiss". "Je n'ai donc pas eu besoin de les convaincre. Je pense qu'ils sont venus d'eux-mêmes. Ils avaient ce besoin et cette envie de lui rendre hommage".

Dix associations et 220 danseurs mobilisés pour rendre hommage à Aurélie Châtelain

Pour cet hommage,  dix associations se sont mobilisées bénévolement, à l’appel du Conseil municipal des jeunes.
Une centaine d’heures de travail a permis à 220 danseurs d’exprimer leur talent, mais aussi leur soutien à sa famille et ses proches.
Des performances teintées d’émotions, empreintes de gaieté.
"C'est une fille qui avait toujours un immense sourire, donc on ne pouvait pas se permettre de faire un hommage triste. Je pense que ce n'est pas ce qu'elle aurait voulu", témoigne Dimitri Vernet, Président du Conseil Municipal des jeunes.

Cinq cents Caudrésiens ont assisté à ce spectacle hommage vendredi soir. Les places avaient été vendues en seulement dix jours, pour la bonne cause. Les bénéfices de la soirée vont être distribués à Juliette, la fille d’Aurélie Châtelain, âgée de cinq ans à peine

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/caudry-un-spectacle-de-danse-en-hommage-aurelie-chatelain-888591.html

Le conducteur du véhicule mort dans la collision avec un fourgon hier matin à Nauviale

Un homme de 40 ans, domicilié à Saint-Cyprien-sur-Dourdou, a perdu la vie, hier matin sur la RD 901 à Nauviale, après une collision entre son véhicule et un fourgon. Une enquête a été ouverte par les gendarmes.
Les routes aveyronnaises sont une nouvelle fois endeuillées par un accident mortel.
Il était près de 9 heures, hier, quand pour une raison que l'enquête ouverte par les gendarmes de la brigade de gendarmerie Marcillac-Conques-Rignac devra déterminer, une collision s'est produite sur la RD 901, au lieu-dit Malavals, sur la commune de Nauviale, entre Nauviale et Marcillac.
Selon les premiers éléments recueillis par les forces de l'ordre, sous le commandement de la capitaine Guilhot, adjointe du commandant de la compagnie de Rodez, il semble que le conducteur d'une Volskwagen Polo, circulant dans le sens Nauviale-Marcillac, a perdu le contrôle de son véhicule dans une courbe à gauche. Le véhicule s'est alors déporté sur la gauche et sans doute dérapé, se trouvant alors sur le sens de circulation et dans la trajectoire d'un fourgon qui circulait dans le sens Marcillac-Nauviale, conduit par un homme de 32 ans, domicilié à Meyran et travaillant pour une société artisanale de Druelle.
Le choc était inévitable et fut terrible, le fourgon percutant la Polo latéralement par la gauche. Éjecté, le conducteur âgé de 40 ans domicilié à Saint-Cyprien-sur-Dourdou mais originaire d'hors Aveyron, était tué sur le coup. Les secours, sapeurs-pompiers de Marcillac et du Bassin n'ont pas pu le ranimer.
Blessé et choqué, le conducteur du fourgon a été conduit par les sapeurs-pompiers vers le centre hospitalier de Decazeville d'où il est ressorti dans la journée.
Une circulation alternée a été mise en place par les gendarmes, le temps des opérations de secours et de constatations matérielles pour l'enquête.
 

vendredi 18 décembre 2015

Paris : un médecin se suicide à l'hôpital Pompidou en se jetant par la fenêtre

Les collègues du Pr Jean-Louis Megnien sont sous le choc Jeudi après-midi, ce cardiologue de 54 ans s'est suicidé à l'hôpital européen Georges Pompidou, où il travaillait, en se jetant par la fenêtre d'un étage de l'établissement. L'annonce a été faite ce vendredi par l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), confirmant une information du Figaro.

Selon l'AP-HP, un comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) extraordinaire s'est tenu en urgence ce vendredi matin dans ce même hôpital, «en présence de Martin Hirsch», le directeur général de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris. «Celui-ci a indiqué combien l'institution, touchée par ce drame, prenait au sérieux cet événement tragique», annonçant «la saisine de la cellule d'analyse des suicides», a poursuivi l'AP-HP.

C'est à cette cellule qu'il «appartiendra d'analyser les liens éventuels avec les conditions et l'environnement de travail» du médecin. «Comme elle l'a fait dans d'autres cas», elle procédera «à une analyse complète des circonstances qui ont pu provoquer ce geste», a souligné l'AP-HP. Une enquête policière a été ouverte et les policiers ont saisi les ordinateurs de Jean-Louis Megnien.

En arrêt maladie pendant neuf mois pour une dépression, le cardiologue avait repris le travail lundi. Selon une source syndicale, il aurait notamment souffert des différents événements ayant égratigné l'image de l'hôpital Pompidou, comme les interdictions d'exercer visant le chirurgien star Lantieri ou
les affaires de fichiers illégaux révélées en 2014.
http://www.leparisien.fr/paris-75

Un automobiliste retrouvé mort dans un ravin à Saint-Christophe-sur-Guiers, en Isère

Le GRIMP (Groupe de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux) et les pompiers isérois ont été mobilisés en nombre, ce jeudi 17 décembre aux alentours de 21 heures, après la chute d'un véhicule qui a brutalement quitté la RD520, la route dite des Entremonts.

L'automobiliste, un homme âgé de 47 ans résidant à Rives, a terminé sa course dans le Guiers Vif, à hauteur du lieu-dit "Pas du Frou". Il est décédé. A l'arrivée des secours, le véhicule était immergé aux trois-quarts dans la rivière.

13 véhicules de pompiers sont mobilisés. Mais dans la nuit, un seul pompier a pu descendre en reconnaissance sur le lieu du drame. Il a pu constater qu'un corps se trouvait dans la voiture qui n'a pu être extrait en raison des conditions difficiles d'accès dues aux parois glissantes et friables de la falaise.

Le Peloton de Gendarmerie de Haute Montagne a rejoint l'intervention ce vendredi matin vers 10 heures. Avec les plongeurs de la gendarmerie d'Aix-les-Bains, les militaires devaient remonter le corps et le véhicule. Une enquête est ouverte par la brigade de Saint-Laurent-du-Pont.

Tout est envisagé, y compris la piste du suicide. Le conducteur se serait disputé avec son épouse avant de prendre la route.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/isere-un-automobiliste-termine-sa-route-dans-le-guiers-887661.html

L'accident d'hélicoptères sur le tournage de l'émission "Dropped", en mars, est lié à une erreur de pilotage

Une erreur de pilotage est à l'origine de l'accident d'hélicoptères survenu en mars sur le tournage de l'émission de TF1 "Dropped", annonce l'équivalent argentin du Bureau d'enquêtes et d'analyses, jeudi 17 décembre. La navigatrice Florence Arthaud, la nageuse Camille Muffat, le boxeur Alexis Vastine, cinq membres de l'équipe du tournage et deux pilotes expérimentés argentins sont morts lors d'une collision entre deux appareils.

"Un défaut d'appréciation des pilotes"

"Le facteur déclencheur de cet accident a été le défaut d'appréciation des pilotes de la proximité ou du manque de séparation de leurs aéronefs respectifs, affirme le rapport de la Direction d'enquête des accidents de l'aviation civile (JIAAC). Ce manque d'appréciation a entraîné la collision aérienne des aéronefs sans aucune tentative de manoeuvre évasive ou d'évitement." L'un des deux pilotes aurait pu être ébloui peu avant l'accident.
La JIAAC suggère également que les nécessités du tournage auraient pu conduire les pilotes à commettre une imprudence. "Il est plausible que la nécessité de réaliser des images puisse avoir amené les caméramans à influencer les pilotes ou qu'ils puissent les avoir distraits", écrivent les enquêteurs dans leur rapport de 50 pages, publié en Argentine neuf mois après le drame
http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/crash-en-argentine/

jeudi 17 décembre 2015

Lot-et-Garonne : un homme de 62 ans décède dans un accident de la route

Un 4x4 a été retrouvé mercredi en début d'après-midi, en contrebas de la départementale 661, sur la commune de Cazideroque. Le véhicule, qui circulait dans le sens Dausse-Tournon-d'Agenais, aurait quitté la chaussée pour finir sa course dans un ruisseau, après avoir percuté et détruit un bastingage en bordure de route.
À son bord, un homme de 62 ans, grièvement blessé, est piégé dans l'habitacle. Les secouristes parviennent à l'extraire puis à réanimer le sexagénaire, mais face à ses blessures jugées sérieuses, le médecin sur place sollicite son transport vers le tripode de Bordeaux, au moyen d'un hélicoptère.
L'état de santé de Michel Le Joncour se dégrade avant l'arrivée de l'appareil et cet habitant du Villeneuvois décède à 17 heures, avant son transfert vers l'hôpital. Michel Le Joncour avait été enseignant à l'école Jeanne-d'Arc de Villeneuve-sur-Lot.
La route a été coupée dans les deux sens pendant quatre heures. Ce nouvel accident mortel porte à 38 le nombre de tués sur les routes du département. Une hausse significative, sachant que la macabre statistique était de 20 morts en 2014 et 15 en 2013.
http://www.sudouest.fr/lot-et-garonne/villeneuve-sur-lot/

Retrouvé pendu au cours foucault

Un homme de 38 ans, domicilié à Montauban, a été retrouvé, hier matin, pendu à un arbre, hier, sur une aire de jeux du cours Foucault. Arrivés sur place, les pompiers n'ont rien pu faire pour le ranimer. Le suicide ne fait guère de doutes mais une autopsie sera pratiquée pour confirmer définitivement les causes de ce drame. La police a ouvert une enquête
http://www.ladepeche.fr/article/2015/12/17/2240055-retrouve-pendu-au-cours-foucault.html

mercredi 16 décembre 2015

Un employé des Espaces Verts de Reims s'est suicidé sur son lieu de travail

Important dispositif de sécurité après la découverte d’un corps ce mercredi matin entre Reims et Saint-Brice-Courcelles.
ACTUALISATION 11h30. Les enquêteurs ont conclu à un suicide.
10h30. La personne retrouvée morte est un employé du service des espaces verts de la ville de Reims. Un fusil a été retrouvé à ses côtés. Des vérifications sont actuellement en cours pour déterminer s'il s'agit d'un suicide ou pas...
Important déploiement de police et de secours ce mercredi matin au niveau du 1 rue du Bois-d’Amour, à la limite entre les communes de Reims et de Saint-Brice-Courcelles. Les forces de l’ordre ont établi un périmètre de sécurité autour de cette adresse après la découverte d’une personne décédée de manière suspecte.
http://www.lunion.fr/620034/article/2015-12-16/un-employe-des-espaces-verts-de-reims-s-est-suicide-sur-son-lieu-de-travail

Paris : un mort dans l'incendie d'un appartement

Le feu s'est déclaré mardi soir dans un immeuble situé dans le 20e arrondissement, au nord-est de la capitale
Nouvel incendie mortel à Paris. Quelques mois après le drame de la rue Myrha, qui avait fait huit victimes, un homme a trouvé la mort, dans la nuit de mardi à mercredi, victime des flammes qui ont ravagé son appartement.
Le «feu violent» s'est déclaré peu avant 23 heures dans cet immeuble de la rue Bisson, située au nord-est de Paris dans le XXe arrondissement, près du quartier Belleville. Les pompiers ont mis plus d'une heure à maîtriser les flammes. L'immeuble de trois étages, qui compte six habitations, a été évacué.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/12/16/paris-un-mort-dans-l-incendie-d-un-appartement

mardi 15 décembre 2015

Pont-L'Abbé : une femme décède dans un incendie

Peu avant 6h, le feu a pris au 2è étage d'un petit immeuble de 3 étages, à Pont-l'Abbé. Une femme a perdu la vie, elle avait 68 ans.
L’incendie s’est déclaré chez elle au 2e étage dans la pièce de vie de son appartement
C’est un témoin qui passait dans la rue qui a alerté les pompiers
Les autres locataires ont pu regagner leur appartement

Une enquête a été ouverte par la gendarmerie.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/pont-l-abbe-une-femme-decede-dans-un-incendie-885267.html

Bordeaux : Quentin, malaise mortel devant la clinique

Catherine Castagnera tient entre ses doigts une photo, la dernière de son fils Quentin. Puis vite, elle en montre une, deux autres, qu'elle conserve sur son téléphone. Les larmes sont derrière, mais la colère ne s'est pas tarie. Le 16 décembre 2011, Quentin avait 23 ans, lorsqu'il est mort à l'hôpital Haut-Lévêque de Pessac. La veille, des passants l'avaient trouvé, inanimé, près de son vélo, à 50 mètres de la clinique des Pins Francs (1), rue Jude, à Bordeaux. Visiblement victime d'un problème cardiaque, il convulsait, mais respirait…
Deux personnes ont vite alerté les secours par téléphone, tandis que deux autres couraient vers la clinique. À l'accueil, une standardiste appelle la directrice des soins, cette dernière refuse de bouger. « Nous n'avons pas pour mission de nous déplacer pour intervenir sur la voie publique. Les pompiers ont-ils été avertis ? » Il est 17 heures, le Samu tarde à arriver.

Secouru par des passants et des riverains

Deux mères, qui sortaient de l'école maternelle voisine, décident d'entamer un massage cardiaque pour tenir le jeune homme en vie. Elles s'en sortent bien, l'oxygénation est maintenue. Lorsque le Samu arrive, quinze à vingt minutes après, la clinique est à nouveau sollicitée car il manque un produit d'injection, le Cordarone, un stimulant cardiaque. La clinique délivre le médicament, mais personne ne bouge. Il pleut, or pour utiliser le défibrillateur il faut être au sec, dans la rue, les riverains vont chercher des draps pour protéger le corps de Quentin. A la clinique des Pins Francs, six cardiologues sont en consultation, pas un ne sera alerté du drame qui se noue à leurs portes.
A la clinique des Pins Francs, six cardiologues sont en consultation, pas un ne sera alerté du drame qui se noue à leurs portes.
Quentin a été conduit aux urgences cardiologiques de l'hôpital Haut-Lévêque. Malgré les soins prodigués, il meurt le lendemain, une mort subite en rapport avec la cardiopathie congénitale dont il était affecté. Mais pas seulement. Quinze jours après, Catherine Castagnera se rend à la clinique, elle veut remercier l'établissement pour avoir aidé son fils. « Je ne savais rien, se désole-t-elle. Naïvement, je pensais que la clinique était intervenue. Et là, j'ai découvert la vérité. La directrice de l'école maternelle en face était très en colère. Les riverains aussi. J'ai mené une enquête pendant des semaines, frappant aux portes pour savoir exactement comment les choses s'étaient déroulées. J'ai rencontré les témoins, un par un. J'ai mesuré, avec un mètre, la distance entre l'entrée de la clinique et le lieu où avait chuté Quentin. Je ne dormais plus. Et j'ai fini par prendre un avocat. Mon fils aurait-il pu être sauvé ? »
Entre en scène maître Jean-Christophe Coubris, avocat au barreau de Bordeaux, spécialisé en droit au dommage corporel. Le 7 mai, la première plainte de Catherine Castagnera est déposée, pour non-assistance à personne en danger, au préjudice de son fils Quentin, visant la clinique des Pins Francs.

Le rapport de l'expert

Hélas, la plainte est classée sans-suite. Motif : « L'infraction de non-assistance à personne en danger, dénoncée par la mère de la victime, apparaît comme insuffisamment caractérisée. »
Catherine Castagnera ne désarme pas et porte plainte à nouveau, en se constituant partie civile. Cette fois, un expert est nommé par le juge d'instruction. Médecin cardiologue, l'expert auprès des tribunaux, Hélène Benchimol, a délivré son rapport. « Quentin est mort suite à sa cardiopathie congénitale. Il n'a pu être sauvé malgré la forte mobilisation de tous les intervenants, à l'exception de la directrice des soins de la clinique des Pins Francs, qui a refusé de porter secours à la victime. Elle a négligé d'interroger les témoins et a mal apprécié la situation. Les soins rapides auraient peut-être permis de sauver la victime… »
Audience ce mercredi
Mercredi 16 décembre, quatre ans, jour pour jour, après le décès de son fils, Catherine Castagnera assistera à l'audience en correctionnelle, suite à la plainte déposée pour non-assistance à personne en danger. La directrice des soins sera là pour s'expliquer. « Jusque-là, soupire la mère, elle n'a pas baissé la garde. Elle ne veut pas reconnaître ses torts, au contraire, elle dit : on ne peut pas déplacer le matériel. Un défibrillateur ne se déplace pas ? Les parents d'élèves ont peur désormais, si un enfant a un accident en traversant la route devant la clinique, personne n'interviendra ? Je souhaite qu'il y ait une jurisprudence Quentin Castagnera, pour que jamais cela ne se reproduise. Que sa mort ne soit pas inutile, que l'on cesse de s'abriter de façon aveugle derrière des normes administratives, des règlements internes, ceci pour ne pas assumer les responsabilités qui incombent à tout citoyen. »
La direction de la clinique des Pins Francs, que nous avons contactée, n'a pas souhaité répondre.
(1) La clinique des Pins Francs, spécialisée en cardiologie, appartient au groupe Bordeaux-Nord.

http://www.sudouest.fr/2015/12/15/quentin-mort-sur-le-trottoir-2217332-2780.php

Neige dure : 3 morts en une semaine

Trois morts en deux week-ends. Les conditions sont actuellement particulièrement dangereuses en montagne avec un manteau neigeux recouvert d'une carapace de glace.
Un mort à Cauterets et un à Luz, l'autre week-end, en hors piste de proximité, et une randonneuse à ski, décédée à Gavarnie ce week-end, le bilan est lourd avec trois morts en montagne en une semaine. Les causes ? «Le déficit d'enneigement et des conditions anticycloniques qui font que l'on a un peu partout de la neige très dure et même de la glace vive», constate le capitaine Julien Passeron, commandant de la CRS montagne. La difficulté, c'est que les gens n'ont pas réellement conscience du caractère actuellement très dangereux de la montagne. En plus, il fait beau, ce qui incite les gens à y aller. «Nous avons plus d'accidents graves dans cette configuration de neige dure que lorsqu'il y a un gros risque d'avalanche», souligne Julien Passeron.
Les pratiquants de ski de randonnée, de raquettes et de randonnée doivent redoubler de prudence. «En ski de randonnée, les couteaux sont indispensables mais ne suffisent pas, il faut mettre les crampons, se munir d'un piolet et porter un casque», invite vivement Julien Passeron. Des crampons bien affûtés «Il faut vraiment avoir un matériel parfaitement adéquat, ainsi des crampons bien adaptés à ses chaussures afin qu'ils ne se détachent pas. Les crampons doivent être bien affûtés pour accrocher sur la glace tellement c'est dur», abonde le chef Julien Hamard, du PGHM de Pierrefitte-Nestalas. Les conditions font que les courses sont plus engagées. Elles nécessitent plus de technicité et de connaissance de la montagne. Ce que ne possède pas forcément la nouvelle génération de pratiquants de ski de randonnée.
«Actuellement, on assiste à une mutation de l'activité ski d e randonnée. Pour se rassurer, les gens vont en station ou à proximité, mais cela n'enlève en rien le danger de la montagne. à Gavarnie, la station était encore fermée, mais la cordée de trois randonneurs qui a dévissé se trouvait sur le domaine skiable», précise Julien Hamard. Les secteurs nord et ouest sont à proscrire car les plus vitrés. Même les versants sud, au moins le matin, sont en neige dure. «La moindre chute sur une neige dure, on est sûr de se faire mal. Et c'est quasiment impossible de s'arrêter», prévient Julien Passeron. Avant d'envisager la moindre sortie, les services de secours en montagne invitent les pratiquants à consulter obligatoirement le bulletin du risque d'avalanche de MétéoFrance qui renseigne aussi sur les conditions d'enneigement et qui est redevenu quotidien depuis hier. «Nous invitons les pratiquants à nous appeler. On essaiera de les orienter vers des courses réalisables», indique Julien Hamard.
En station, le port du casque pour tout le monde est recommandé. Afin d'éviter chutes et collisions, il faut bien maîtriser sa vitesse. Côté météo, cela devrait être un peu voilé mardi et mercredi, donc la nuit cela va moins geler. L'idéal serait qu'il reneige mais il n'y a pas de nouvelles chutes prévues avant au moins dix jours.
PGHM : 05.62.92.71.80.
CRS : 05.62.92.48.24.
http://www.ladepeche.fr/

lundi 14 décembre 2015

Creuse : un enfant attaqué par un rottweitler entre la vie et la mort

Un drame s'est produit dans le bourg de La Courtine, dans la Creuse, dimanche soir. Un chien classé dangereux a attaqué un enfant de douze mois  qui s'était approché de sa gamelle selon une information de la Montagne. Le pronostic vital de l'enfant est engagé.

Les parents de la petite victime, installés depuis peu dans le bourg, étaient venus rendre visite à un couple d'amis lorsque la tragédie s'est produite. Le garçonnet, âgé de douze mois, a en effet échappé à la vigilance des adultes et s'est approché de la gamelle du chien du couple invité. C'est à ce moment-là que l'animal s'en est pris à l'enfant. Avant que les adultes aient eu le temps d'intervenir, le molosse a saisi le garçonnet au niveau de la
tête dans sa puissante mâchoire.

Pris en charge par les pompiers, l'enfant a été évacuée par hélicoptère au CHU de Limoges. Le pronostic vital est engagé. Le chien aurait été d'ores et déjà euthanasié. Les gendarmes poursuivent l'
enquête pour savoir si les circonstances de ce drame sont purement accidentelles ou s'il y a lieu d'engager des poursuites.http://www.leparisien.fr/faits-divers/actualites-informations-videos-faits-divers

Un ouvrier de 22 ans chute d'un toit à Sassenage

Ce matin, le jeune homme effectuait des travaux sur un chantier. Il est tombé du toit, à 10 mètres du sol et se trouve dans un état grave.
Un jeune homme de 22 ans travaillait sur un chantier quand il est tombé du toit vers 9h19 ce matin. La chute de 10 mètres l'a grièvement blessé à la hanche. Il a été pris en charge par une équipe du SMUR et transporté au CHU de Grenoble
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/un-ouvrier-de-22-ans-chute-d-un-toit-sassenage-884665.html

Haute-Saône : Le cri de détresse d’un agriculteur dont l’épouse est hémiplégique

Désespéré, « dans une situation dramatique ». C’est ainsi que Michel Canevarolo se présente tout de go, jeudi matin, dans le hall du conseil départemental. À ses côtés, son épouse ne perd pas une miette du récit qu’il entame. Depuis fin 2002, à la suite d’une maladie nosocomiale contractée à l’hôpital, Josiane est hémiplégique et aphasique. « Dépendante à 100 % pour les gestes de la vie quotidienne », résume son mari.
Hospitalisée pendant plus d’un an, Josiane Canevarolo regagne son domicile de Vantoux-et-Longevelle, près de Gy, en mars 2004. La vie du couple est bouleversée. Michel, exploitant agricole, consacre une bonne partie de son temps à son épouse. En plus d’un quota mensuel de 65 heures d’aide à domicile par un prestataire extérieur, 144 heures d’aidant familial lui sont attribuées chaque mois. « C’est presque un temps plein », commente l’agriculteur.
Pour faire tourner la ferme avec lui, il embauche un salarié. « Mais avec les charges, c’est 25.000 € par an », lâche-t-il. L’exploitation n’est pas assez rentable et les difficultés financières s’installent. « C’est un choix qu’on a fait », commente le sexagénaire. « Ma femme était dépendante et dépressive. Je devais être à ses côtés. »
En 2011, une décision de la Maison départementale des personnes handicapées complique encore la situation du couple, dont le plan d’aide est revu à la baisse. Josiane Canevarolo a pourtant toujours autant besoin d’assistance : l’aide à domicile dont elle bénéficie ne change pas, mais le reste à charge pour elle et son mari augmente. Les difficultés aussi.
Dix mois plus tard, à la demande du couple, la Prestation de compensation du handicap (PCH) versée par le conseil départemental est réévaluée. Avec ce que verse la Sécurité sociale, 2.500 € sont attribués chaque mois pour la prise en charge du handicap de Josiane. Mais en face, la facture du prestataire d’aide à domicile s’élève à 3.000 €. « On n’a pas pu tout payer », concède l’agriculteur. Résultat, face à une ardoise qui atteint aujourd’hui à 28.000 €, le prestataire n’intervient plus chez les Canevarolo depuis le 1er novembre.
Aujourd’hui, ce sont des proches et une bénévole qui se relaient auprès de Josiane. Michel aussi, même s’il est de nouveau seul sur son exploitation, la tête sous l’eau. Épaulé par l’Association des paralysés de France, il a choisi de tirer la sonnette d’alarme auprès du conseil départemental et d’exposer sa situation sur la place publique. En désespoir de cause.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-vesoul-haute-saone/2015/12/14/haute-saone-le-cri-de-detresse-d-un-agriculteur-dont-l-epouse-est-hemiplegique

dimanche 13 décembre 2015

Mons (B) : un grand-père et trois de ses petits-enfants morts dans un incendie

Dramatique incendie, samedi vers 13 heures à Mons dans le Hainaut belge. Un grand-père et trois de ses petits-enfants de 5, 7 et 13 sont décédés, malgré l'intervention de témoins pour tenter de les sauver.

Les enfants se trouvaient chez leurs grand-parents lorsque le feu a pris. L'habitation a été entièrement détruite. "J'ai sorti les enfants, un garçon et deux filles, je crois" a raconté un homme aux journalistes de RTL-Tvi.."Le monsieur, Freddy, je l'ai sorti de la maison, je l'ai mis sur la rue".

"On l'a sorti parce qu'il ne voulait pas sortir. Pour moi, il voulait sauver les enfants", a rapporté une voisine.

Selon RTL-Tvi, la grand-mère et un enfant ont pu être sauvés des flammes, dont l'origine est probablement accidentelle. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/mons-b-un-grand-pere-et-trois-de-ses-petits-enfants-morts-dans-un-incendie-880751.html

Eure : victimes d'un accident, deux jeunes meurent dans un bassin de rétention d'eau

Victimes d'une sortie de route, deux jeunes hommes d'une vingtaine d'année sont morts dans la nuit de vendredi à samedi dans l'Eure. Leur voiture a fini sa course au fond d'un bassin de rétention d'eau.
Deux jeunes hommes d'une vingtaine d'années sont morts dans la nuit de vendredi à samedi dans l'Eure après un accident de la route. La voiture dans laquelle ils se trouvaient a fini sa course dans un bassin de rétention rempli d'eau, a-t-on appris auprès des gendarmes.
 
La troisième personne dans le véhicule, une jeune fille du même âge, a réussi à s'extraire et à donner l'alerte. Mais, malgré les importants moyens de secours déployés, les deux jeunes hommes n'ont pu être sauvés.

 
A l'arrivée des secours, seules les roues émergeaient de l'eau
 
L'accident s'est produit vers 0h30, sur la commune d'Acquigny, au sud de Rouen et non loin de Louviers. Le conducteur a perdu le contrôle de la voiture en abordant un rond-point.
 
Le véhicule a alors franchi un fossé, puis emporté la clôture d'enceinte d'une usine de la zone industrielle, avant de finir sa course sur le toit dans un bassin de rétention situé sur le site de l'entreprise. Quand les secours sont arrivés, seules les roues du véhicule émergeaient du bassin, ont précisé les gendarmes