Une étudiante de 20
ans de l'Université Lyon 2 est morte jeudi d'une
méningite, a
annoncé vendredi l'Agence régionale de santé (ARS). Les
personnes ayant été en contact rapproché avec la jeune femme, identifiées avec
l'aide du service de médecine préventive de Lyon 2, se sont vu prescrire un
traitement antibiotique préventif contre l'infection invasive à méningocoque.
"Il s'agit de quatre personnes, dont ses colocataires et son conjoint", a
précisé à l'AFP le directeur de cabinet de l'université, Pascal Cornet, ajoutant
que la "communauté de l'université, étudiants et personnels, a été informée et
peut consulter le médecin référent s'ils ont des symptômes". L'Université a tenu
à envoyer un message "de pure prudence", a précisé Pascal Cornet, et souhaite
"éviter tout effet de panique".
L'ARS rappelle que l'infection invasive à méningocoque est une maladie peu fréquente en France, qui se transmet directement d'une personne à une autre à partir des sécrétions oro-pharyngées (postillons, toux, etc). Selon les dernières données de l'Institut de veille sanitaire, le taux d'incidence en Rhône-Alpes est de 0,84 cas pour 100.000 habitants, comparable à celui du reste de la France.
L'ARS rappelle que l'infection invasive à méningocoque est une maladie peu fréquente en France, qui se transmet directement d'une personne à une autre à partir des sécrétions oro-pharyngées (postillons, toux, etc). Selon les dernières données de l'Institut de veille sanitaire, le taux d'incidence en Rhône-Alpes est de 0,84 cas pour 100.000 habitants, comparable à celui du reste de la France.
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