Un irrépressible besoin de comprendre tourmente les proches des victimes. À Nancy, les proches de Vincent Ismaïl Bulbul, l'un des deux ouvriers décédés lors des explosions de jeudi ne dorment plus. "Depuis ce drame, nous sommes par terre", confie son beau-frère
"Ce jeudi a été très dur. Nos deux familles ont appris la nouvelle par leur employeur. À cet instant, nous ne savions pas s'ils étaient encore en vie."
Après un long trajet, ils arrivent à Bayonne.
Les familles ont désormais besoin de récupérer les cercueils, mais surtout, elles attendent des réponses :
http://www.sudouest.fr/2016/05/16/explosions-a-bayonne-les-proches-des-victimes-temoignent-nous-devons-savoir-2364390-4018.php
"Ce jeudi a été très dur. Nos deux familles ont appris la nouvelle par leur employeur. À cet instant, nous ne savions pas s'ils étaient encore en vie."
Après un long trajet, ils arrivent à Bayonne.
"Nous avons été très bien accueillis par l'hôpital. Mille merci au directeur et à tous les employés, qui nous ont réservé une salle, avec de quoi s'asseoir et se recueillir. Nous avons pu y passer la nuit."
Deux pères de quatre et trois enfants
Vincent Ismaïl Bulbul et son collègue Ali Oruz sont deux salariés originaires de Nancy. Ils étaient détachés par leur entreprise lorraine sur le site bayonnais de Derrichebourg, une entreprise de retraitement de métaux. Le premier avait quatre enfants, le second trois. Ils avaient 48 ans.Les familles ont désormais besoin de récupérer les cercueils, mais surtout, elles attendent des réponses :
"Ce qui est arrivé n'est pas banal (...) Nous devons absolument savoir."
http://www.sudouest.fr/2016/05/16/explosions-a-bayonne-les-proches-des-victimes-temoignent-nous-devons-savoir-2364390-4018.php
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