On est déjà bien au-dessus des chiffres enregistrés en 2011 (11 morts) et 2012 (13) sur la même zone géographique. Une véritable hécatombe qui reste difficilement explicable. « On retrouve bien quelques tendances classiques comme la vitesse (lire ci-contre), le non-respect de la signalisation ou l’alcool et les stupéfiants dans certains accidents. Mais il n’y a pas vraiment de tendances qui se dégagent. On retrouve des conducteurs débutants bien évidemment, mais aussi des gens expérimentés parmi les victimes. Et il n’y a pas vraiment de secteur accidentogène qui se dégage. Il n’y a rien de vraiment flagrant », convient le capitaine Schumacher, responsable de la compagnie de gendarmerie de Roanne.
« Une dramatique spirale »
« Les analyses que nous faisons ne nous permettent pas de trouver la solution pour enrayer cette hécatombe. On a pourtant très fortement augmenté notre activité de contrôles de vitesse et d’alcoolémie, mais cela n’enraye pas cette dramatique spirale », regrette l’officier. La solution est finalement entre les mains de chaque usager de la route : être prudent et respecter le code de la route.http://www.leprogres.fr/faits-divers/2014/08/23/accidents-le-roannais-fait-figure-de-tres-mauvais-eleve-avec-18-morts-depuis-janvier
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