Dimanche, vers 02 heures, une dizaine de gendarmes étaient intervenus à La Ferté-Saint-Aubin pour séparer deux cousins qui se battaient dans la rue, après avoir passé la soirée chez des amis. Un militaire du peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (PSIG) d'Orléans a fait usage de son pistolet électrique pour maîtriser l'un des deux hommes. "Le Taser a été utilisé dans des conditions normales, dans un contexte de violence et d'attroupement", a indiqué Franck Rastoul, procureur de la République d'Orléans.
Une enquête en recherche des causes de la mort a été ouverte par le parquet. "L'enquête doit établir s'il y a un lien de causalité directe entre l'usage du Taser et le décès. Pour l'instant, rien n'est avéré ni écarté", a précisé le procureur de la République. Une autopsie de la victime sera pratiquée mardi à l'institut médico-légal de Tours (Indre-et-Loire).
Le gendarme auteur du tir a été entendu par les militaires de la section de recherches d'Orléans, chargés de l'enquête. "Aucune faute n'est, à cette heure, retenue contre lui", ajoute le magistrat. "Le Taser est en cours d'exploitation, notamment pour connaître précisément le temps d'utilisation", a-t-il ajouté.
Une enquête en recherche des causes de la mort a été ouverte par le parquet. "L'enquête doit établir s'il y a un lien de causalité directe entre l'usage du Taser et le décès. Pour l'instant, rien n'est avéré ni écarté", a précisé le procureur de la République. Une autopsie de la victime sera pratiquée mardi à l'institut médico-légal de Tours (Indre-et-Loire).
Le gendarme auteur du tir a été entendu par les militaires de la section de recherches d'Orléans, chargés de l'enquête. "Aucune faute n'est, à cette heure, retenue contre lui", ajoute le magistrat. "Le Taser est en cours d'exploitation, notamment pour connaître précisément le temps d'utilisation", a-t-il ajouté.
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