L'appareil, un ULM, propriété d'un des pilotes avait été révisé il y a un mois et était en parfait état de vol. Selon les premiers éléments de l'enquête, aucun appel de détresse n'a été envoyé pendant qu'ils étaient en vol, ni de messages échangés avec un autre appareil. D'importants moyens de secours ont été déployés sur la zone entièrement sécurisée pendant plusieurs heures par les gendarmes de la COB de Saint-Antonin et du PSIG de Montauban épaulés par des réservistes de la gendarmerie.
Au moment du crash, le dispositif pyrotechnique de l'appareil n'ayant pas été déclenché et faisait craindre un risque d'explosion, les démineurs étaient appelés à la rescousse. D'autre part, les techniciens d'investigation criminelle du groupement de gendarmerie de Montauban étaient également sur les lieux pour déterminer les causes de cet accident inexplicable. Un peu plus tard, un hélicoptère de la section aérienne de la gendarmerie de Toulouse Blagnac est venu porter main-forte aux investigations pour filmer la zone et détecter d'éventuels débris aux alentours. À cette heure, l'identité des victimes n'avait pas été communiquée
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