Selon la gendarmerie, la vitesse n'est pas en cause dans l'accident qui a coûté la vie à une jeune femme de 22 ans ce mardi.
La violente collision qui s’est produite mardi 12 novembre 2013, peu après 15 h 30, sur une route départementale à Avessac, dans le nord de la Loire-Atlantique, a fait un mort, une femme de 22 ans, et un blessé, un homme de 47 ans, président d’une association locale de lutte contre les maladies génétiques.
Du gas-oil sur la chaussée
D’après la gendarmerie, « la vitesse n’est pas la cause » dans ce tragique accident. La chaussée était « mouillée » et « recouverte par endroits de tâches de gas-oil ». À la sortie d’un virage, l’Opel Corsa de la jeune femme s’est déportée après avoir fait un aquaplaning puis a été percutée par un monospace qui arrivait dans l’autre sens.
Dans un premier temps, l’état de santé du conducteur, né à Redon et domicilié à Avessac, avait été jugé très préoccupant. D’après un officier de Châteaubriant, « aucun organe vital n’a été touché. Il souffre de côtes cassées et est rentré chez lui ».
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