Elle est décédée jeudi après-midi au centre hospitalier
régional de Besançon,
Une nourrice de 52 ans qui avait été grièvement blessée par balle par son voisin
octogénaire fin janvier est décédée après plusieurs semaines dans le coma, a
indiqué vendredi le parquet de Vesoul.
Le 31 janvier, peu avant midi, elle avait été prise pour cible par son voisin, un chasseur de 86 ans connu dans le village comme un homme irascible posant des problèmes de voisinage. Armé d'un fusil de chasse, il avait visé la tête de sa victime qui venait de sortir de chez elle avec un enfant dans une poussette. L'assistante maternelle, qui se rendait à la descente du car scolaire pour aller chercher des enfants dont elle avait la garde, avait été touchée par plusieurs projectiles.
L'octogénaire avait été mis en examen pour "tentative d'assassinat" sur la nourrice et "mise en danger d'autrui", concernant l'enfant en sa compagnie. Il a été écroué. Suite au décès de la victime, il doit être reconvoqué devant le juge d'instruction pour être mis en examen pour "assassinat". L'homme "ne regrette pas vraiment et donne l'impression d'avoir réalisé un acte de chasse", avait indiqué le procureur de Vesoul Jean-François Parietti au moment des faits, précisant que le tireur "en voulait à la victime, sans vraiment dire pourquoi, ni donner d'explication rationnelle sur son passage à l'acte".
Le 31 janvier, peu avant midi, elle avait été prise pour cible par son voisin, un chasseur de 86 ans connu dans le village comme un homme irascible posant des problèmes de voisinage. Armé d'un fusil de chasse, il avait visé la tête de sa victime qui venait de sortir de chez elle avec un enfant dans une poussette. L'assistante maternelle, qui se rendait à la descente du car scolaire pour aller chercher des enfants dont elle avait la garde, avait été touchée par plusieurs projectiles.
L'octogénaire avait été mis en examen pour "tentative d'assassinat" sur la nourrice et "mise en danger d'autrui", concernant l'enfant en sa compagnie. Il a été écroué. Suite au décès de la victime, il doit être reconvoqué devant le juge d'instruction pour être mis en examen pour "assassinat". L'homme "ne regrette pas vraiment et donne l'impression d'avoir réalisé un acte de chasse", avait indiqué le procureur de Vesoul Jean-François Parietti au moment des faits, précisant que le tireur "en voulait à la victime, sans vraiment dire pourquoi, ni donner d'explication rationnelle sur son passage à l'acte".
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