lundi 31 octobre 2016

Gradignan (33) : suicide d'un détenu au centre pénitentiaire

Un homme de 39 ans s'est pendu dimanche après-midi, à la prison de Gradignan, à l'heure de la promenade
Un homme de 39 ans, placé en détention provisoire au centre pénitentiaire de Bordeaux-Gradignan s'est donné la mort par pendaison dimanche 30 octobre.
C'est son codétenu qui l'a découvert, vers 16 heures, au retour de la promenade.
L'homme s'est semble-t-il pendu avec sa ceinture, dans sa cellule, située dans le bâtiment A. Il était décédé à l'arrivée des secours
http://www.sudouest.fr/2016/10/31/gradignan-33-suicide-d-un-detenu-au-centre-penitentiaire-2553074-2780.php

Rouen: un mort dans un accident de chasse

Un homme d'une cinquantaine d'années est mort hier dans la forêt de Caudebec-lès-Elbeuf, près de Rouen (Seine-Maritime), lors d'une partie de chasse selon une information de Normandie-Actu. La victime aurait été atteinte par une balle de gros calibre.
Le substitut du procureur de la République, un médecin légiste et la police scientifique se sont rendus sur les leiux. Une enquête a été ouverte et chacun des 32 chasseurs sur place lors de l’accident, ont été auditionnés
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

dimanche 30 octobre 2016

Rue (Somme) : un automobiliste meurt en percutant un arbre

Dans le hameau de Arry, sur la commune de Rue (Somme), un accident de la route a fait un mort, a-t-on appris auprès de la gendarmerie de la Somme. Le conducteur de l'automobile est mort sur le coup, alors qu'il a percuté un arbre le long de la D938.

L'épais brouillard de ce matin pourrait être à l'origine de l'accident.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/somme

Violent incendie à Pantin : un mort, deux blessés

Un violent incendie s’est déclaré dans un immeuble de sept étages à Pantin ce samedi peu après 17 heures, rapporte Le Parisien.
Le feu a pris dans un appartement au 2e étage et s’est très vite propagé aux 3e et 4e étages. Lorsque les secours sont arrivés sur place, ils n’ont pu que constater le décès d’une femme dans le logement d’où était parti le feu. Une autre habitante a été dégagée de l’immeuble, dans un état grave et hospitalisée. Une troisième femme a été blessée plus légèrement et hospitalisée.
Tous les résidents de la copropriété, "belle et en bon état" selon le maire, ont été évacués. Les habitants de sept appartements endommagés devront être relogés.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2016/10/29/violent-incendie-a-pantin-un-mort-deux-blesses

samedi 29 octobre 2016

Dordogne : un artisan se tue sur la route

L’homme, âgé de 39 ans, a perdu le contrôle de son fourgon à la sortie d’un virage, vendredi après-midi.
Un artisan périgourdin a péri vendredi dans un accident de la circulation. Les faits se sont produits aux environs de 16 h 30, sur la commune de Beauronne.
À la sortie d'un virage de la départementale 40, le professionnel a perdu le contrôle de son fourgon. Le véhicule a heurté deux arbres et fini sa course couché sur le flanc. Les pompiers et le Smur, qui se sont rendus sur place, n'ont rien pu faire pour sauver le malheureux. Il est décédé sur les lieux du drame. Son passager, un homme de 21 ans, a été légèrement blessé dans le choc. Il a été conduit à l'hôpital.
Le défunt se trouve être un horticulteur-paysagiste. Natif de Grande-Bretagne, il était installé de longue date en Dordogne. Il demeurait non loin du lieu de l'accident, dans la commune de Saint-Michel-de-Double. Le drame s'est noué sur le chemin du retour
http://www.sudouest.fr/2016/10/29/un-artisan-se-tue-sur-la-route-2550853-1728.php

Suicides et polémique à La Poste : la lettre du facteur de Pontarlier comme détonateur

La voix est faible et, très vite, se brise. « De là-haut, il doit bien rigoler. Il aurait été heureux de voir ça », souffle Laurence, la sœur de Charles Griffond, qui a mis fin à ses jours cet été.
Non loin de son corps, avait été découverte une lettre à l’intention de L’Est Républicain, dans laquelle le quinquagénaire accusait La Poste de l’avoir « totalement détruit ». Une étincelle qui, en quelques semaines, se mue en incendie dans la grande maison jaune et bleue, d’autant plus que les langues se délient et que d’autres faits embarrassants pour La Poste sont médiatisés.
Dos au mur, même s’il s’en défend,le groupe a annoncé mardi ouvrir une « négociation sur les métiers et les conditions de travail des facteurs (N.D.L.R. : au nombre de 70.000 en France) » et suspendre les réorganisations de ses centres de distribution jusqu’à mi-décembre, date espérée pour la fin des tractations. Ce qui engendre un gel des suppressions d’effectifs (de 3.000 à 5.000 facteurs de moins par an, depuis 2005). L’ensemble des syndicats représentatifs est associé à cette démarche.

« J’aimerais mieux qu’il soit là pour voir tout ça »

« Mon frère a voulu que sa lettre soit publiée pour ça. En l’écrivant, il savait très bien ce qu’il faisait. Sur La Poste, il a été lucide jusqu’au bout. Il voulait que ça change… Il faut que ça change ! Il y a une telle omertà. Les gens se taisent car ils ont peur, il y en a tellement qui sont en souffrance. Charles aimait les gens, il rendait beaucoup de services, il était très humain. Il a voulu aider jusqu’au bout », insiste sa sœur Laurence.
La maman de Charles Griffond, Nicole, est également émue : « J’aimerais mieux qu’il soit là pour voir tout ça, mais c’est formidable si ça a provoqué quelque chose. Ça nous fait du bien. »
Pour Julien Juif, secrétaire départemental de Sud PTT-25, c’est bien la funeste lettre du facteur pontissalien qui a déclenché cette polémique nationale. « Tous les voyants sont au rouge. Sincèrement, je n’ai jamais eu autant de collègues qui m’appellent en craquant, en pleurant. On est dans une spirale où il devient impossible de faire le travail dans le temps imparti. » Au sujet du dialogue promis par la direction, le syndicaliste craint une chose : « Que ce soit juste un effet d’annonce pour calmer le jeu. »
Un scepticisme partagé par Jean-Yves Segard, à l’initiative d’un collectif de postiers qui, depuis deux mois, se battent pour faire entendre leur détresse. « Pour moi, c’était le suicide de trop. Je me suis identifié à ce collègue. Il existe une espèce de déni de la direction qui, dans ces situations, évoque toujours des raisons personnelles et familiales. »
La médiatisation de plusieurs suicides avait déjà fortement ébranlé La Poste en 2011-2012. Un rapport (dit « Kaspar ») avait été réalisé et « un grand dialogue » - selon les termes du groupe - avait été ouvert. L’histoire se répète. « À l’époque, il y avait eu quelques mesures, mais rien d’impactant au final sur les conditions de travail », estime Jean-Yves Segard.
En mémoire de son frère Charles, Laurence, elle, veut garder espoir et ne mâche pas ses mots : « Tout ça, c’est un premier grand pas. Il faut bien commencer par quelque chose. La Poste, ce sont des menteurs. J’ai encore de la colère. »

La naissance d'une polémique nationale

L’ultime geste de Charles Griffond a été le déclencheur d’une « dynamique » d’ampleur nationale, progressivement alimentée par la médiatisation d'autres affaires à charge, et par une montée en puissance de la mobilisation syndicale.
La non-prise en compte d’un AVC sur le lieu de travail à Villeneuve-d’Ascq (07/09), une tentative de suicide dans un bureau de poste de Montpellier (18/10) et la réaction désespérée, dans l’Aisne, d’une intérimaire qui finit par brûler son sac de courriers (20/10), notamment, ont été largement relayés. Une enquête menée par RTL - selon laquelle neuf salariés se seraient suicidés en trois ans - a aussi fait beaucoup de bruit.
Ce climat de défiance a pris une tournure décisive mi-octobre, lorsque huit cabinets d’experts agréés par le ministère du Travail ont adressé une lettre ouverte au PDG de La Poste et au gouvernement, leur demandant de réagir au plus vite face à la « dégradation rapide des conditions de travail » constatée.

http://www.estrepublicain.fr/edition-haut-doubs/2016/10/29/pontarlier-il-avait-accuse-la-poste-avant-de-se-suicider-la-famille-du-facteur-emue-par-la-mobilisation-nationale

vendredi 28 octobre 2016

Ariège : un motard tué sur la route à Montégut-Plantaurel

Un motard a été tué ce vendredi matin vers 7 heures dans un choc avec une voiture sur la commune de Montégut-Plantaurel, a-t-on appris auprès des pompiers de l'Ariège.
Il semble que le motard a percuté une voiture dont le conducteur sortait de son domicile. Le motard a été tué sur le coup. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/ariege

Un motard tué dans un choc avec une voiture

Un motard âgé de 20 ans a été tué, ce matin vers 7 heures, dans un choc avec une voiture. Le choc a eu lieu alors que le conducteur de l'automobile sortait de chez lui. La moto arrivait sur la RD 919. Le motard a été tué sur le coup dans l'accident.
Les gendarmes ont ouvert une enquête.

C'est la 21e victime que l'on déplore sur les routes d'Ariège depuis le début de l'année 2016.
La préfecture poursuit les opérations de contrôles routiers. Le week-end dernier, policiers et gendarmes ont effectué 64 opérations de contrôles et réalisé 374 dépistages d'alcoolémie.
121 infractions ont été relevées dont 99 pour dépassements de vitesse dont deux ont entraîné le retrait immédiat du permis de conduire.
http://www.ladepeche.fr/communes/montegut-plantaurel,09202.html

jeudi 27 octobre 2016

323 SDF morts dans la rue depuis le début de l'année

Alors que la trêve hivernale débute le 1er novembre, pendant laquelle l'expulsion d'un locataire ne sera pas possible, le Collectif "Les Morts de la Rue" a dévoilé ce mercredi le nombre de personnes sans domicile fixe mortes dans la rue recensé depuis le début de l'année.
Au 25 octobre, au moins 323 personnes étaient comptabilisées, à Paris, Strasbourg, Marseille, Lyon... "Ils sont probablement six fois plus (...) La réalité nous est inconnue: peut-être dix fois plus de décès que ceux que nous citons" souligne le Collectif : la liste dressée par l'association grâce aux informations provenant de diverses sources - "particuliers, associations, institutions, médias" - est "non exhaustive" et peut "comporter des erreurs". 

Un peu plus de 48 ans en moyenne

Le profil de ces personnes mortes dans la rue? 48,2 ans en moyenne. En 2015, 498 décès de personnes SDF avaient été recensés, à 49 ans en moyenne. Des chiffres extrêmement éloignés de l'espérance de vie moyenne en France selon l'Insee: 85 pour les femmes et 78,9 ans pour les hommes en 2015, rappelle BFM TV.
Sur la chaîne, Cécile Rocca, coordinatrice de l'association, a précisé que le froid est loin d'être la première cause de décès des personnes dormant dans la rue : "Il y a plus de morts par suicides que de morts de froid dans la rue".
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2016/10/26/323-sdf-morts-dans-la-rue-depuis-le-debut-de-l-annee

mercredi 26 octobre 2016

Une sexagénaire décède dans un accident de la route entre Larringes et Champanges en Haute-Savoie

Une femme de 60 ans est décédée dans un accident de la route ce midi en Haute-Savoie, sur la départementale entre les communes de Larringes et Champanges
Les secours ont été appelés à 12h30. L'accident impliquait un poids lourd et une voiture, dont la conductrice, une femme âgée d'une soixantaine d'années, est décédée. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie

Loire-Atlantique: accident dans la centrale thermique de Cordemais, un mort

Un salarié d'une entreprise sous-traitante travaillant pour EDF est mort ce mardi après avoir chuté de plusieurs mètres alors qu'il intervenait sur un chantier de rénovation de la centrale thermique de Cordemais en Loire-Atlantique. Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances de l'accident et la direction du groupe va instaurer une cellule psychologique à disposition de l'ensemble des collègues de la victime
Drame à la centrale thermique de Cordemais en Loire-Atlantique. Un salarié d'une entreprise sous-traitante travaillant pour EDF est mort ce mardi 25 après avoir chuté de plusieurs mètres alors qu'il intervenait sur "un chantier de rénovation de la centrale", a annoncé l'entreprise dans un communiqué.
En fin de matinée, les salariés de la centrale thermique située entre Nantes et Saint-Nazaire ont entendu la sirène d'alarme retentir, raconte France 3 Pays de la Loire. Ils ont ensuite vu l'hélicoptère jaune des services de secours atterrir sur le site. D'après leur dires, un de leurs collègues aurait chuté d'un échafaudage haut d'une dizaines de mètres. Le malheureux serait décédé sur place.
Les pompiers de la Loire-Atlantique ont confirmé leur intervention pour un blessé grave sans donner plus de précisions. Le communiqué d'EDF s'est quant à lui bien gardé de préciser le corps de métier ni l'entreprise de sous-traitance de la victime. "Malgré les efforts déployés, le salarié est décédé suite à sa chute", s'est contenté d'indiquer le groupe, assurant que les salariés de la centrale de Cordemais "sont profondément attristés par ce décès et adressent leurs plus sincères condoléances à la famille et aux proches de la victimes".
Une enquête a été ouverte et la direction de la centrale va instaurer une cellule psychologique à disposition de l'ensemble des personnes travaillant sur le site, déjà endeuillépar le passée par des drames du genre. En novembre 2015, deux ouvriers étaient morts après être tombés d'une passerelle de huit mètres de haut sur un autre chantier de Cordemais. 
http://www.francesoir.fr/rubrique/faits-divers

mardi 25 octobre 2016

Biarritz : un homme de 23 ans se tue à moto

L'accident est survenu samedi au petit matin. Le deux-roues a terminé sa course dans des voitures en stationnement
Samedi, il est 5h30 lorsque les secours sont appelés avenue de la Marne à Biarritz. Un motard vient de chuter sur l'une des artères principales de la cité balnéaire
Les pompiers, les policiers et le Smur se déplacent sur les lieux. La moto a terminé sa course dans des voitures en stationnement, à hauteur du n° 38 de l'avenue.

Un choc très violent

L'homme, un Biarrot de 23 ans, a chuté et subi un très violent choc à la tête. Malgré le port d'un casque homologué, le motard est tué dans l'accident. Le décès est constaté par un médecin du Smur. Le motard est seul en cause dans la collision.
Une enquête a été ouverte par la Brigade des accidents du commissariat de Biarritz.
Les policiers vont auditionner les proches du défunt, dont des amis avec lesquels il a passé la soirée et une partie de la nuit de vendredi à samedi.
http://www.sudouest.fr/2016/10/24/biarritz-un-homme-de-23-ans-se-tue-a-moto-2545640-4037.php

Gard rhodanien : le jeune conducteur se tue en percutant un platane

Sortie de route mortelle sur la RD 980 pour un jeune automobiliste de 19 ans originaire de Saint-Gervais.
La journée de dimanche 23 octobre a débuté par une triste nouvelle… Il était un peu plus de 5 heures, lorsqu'un accident de la route s'est produit sur la RD 980, sur la commune de Saint-Michel-d'Euzet. Un jeune homme de 19 ans, originaire de Saint-Gervais a, semble-t-il, perdu le contrôle de son véhicule, une Renault Clio. Pour des raisons qui ne sont pas encore déterminées, la voiture a quitté la chaussée pour finir sa course contre un des platanes qui bordent la route. Un choc très violent. Le bloc-moteur a été retrouvé à plus de dix mètres de la carcasse de la voiture.

La chaussée dangereusement glissante

Très vite arrivés sur place, les sapeurs-pompiers de Bagnols-sur-Cèze et le médecin du Smur de l'hôpital de Bagnols ont découvert le conducteur très grièvement blessé. Malgré la rapidité de la prise en charge par les secours, le jeune homme est décédé sur place.
Une enquête diligentée par le communauté de brigade de gendarmerie de Pont-Saint-Esprit est en cours afin de déterminer si d'autres causes sont à l'origine de cet accident. D'après les premiers éléments recueillis auprès de cette même gendarmerie, il semble que les très fortes précipitations qui se sont abattues sur le Gard rhodanien dans la nuit de samedi à dimanche aient contribué à rendre la chaussée dangereusement glissante.
http://www.midilibre.fr/2016/10/24/le-jeune-conducteur-se-tue-en-percutant-un-platane,1413981.php

lundi 24 octobre 2016

Crash d'un avion : les cinq victimes sont des douaniers français

Un avion s'est crashé ce lundi matin, au décollage, à l'aéroport de Malte. L'appareil se dirigeait vers la Libye. L'accident a fait cinq victimes, toutes de nationalité française, indique Times of Malta en milieu de matinée. 
Le gouvernement maltais a confirmé à midi que les cinq victimes sont des douaniers français.
Des médias ont dans un premier temps parlé d'un avion luxembourgeois affrété par Frontex à destination de la Libye mais l'agence européenne de contrôle des frontières a rapidement démenti
http://www.dna.fr/actualite/2016/10/24/au-moins-cinq-morts-dans-le-crash-d-un-avion

Un jeune de 19 ans se tue en voiture près de Bagnols-sur-Cèze

L e conducteur, âgé de 19 ans, a perdu le contrôle de son véhicule sur  la RD980 à la hauteur de Saint-Michel-d'Euzet ce dimanche à 5 h.
Ce dimanche, peu après 5 h, un homme âgé de 19 ans circulait en voiture sur la RD980 à la hauteur de Saint-Michel-d'Euzet, sous la pluie battante, venant de Saint-Gervais. Il a perdu le contrôle de son véhicule et s'est jeté contre les platanes qui bordent cette route. Le jeune homme est décédé malgré la prise en charge commune des pompiers et du Smur de Bagnols-sur-Cèze.
http://www.midilibre.fr/2016/10/23/saint-michel-d-euzet-sortie-de-route-mortelle,1413723.php

dimanche 23 octobre 2016

Chauray (79) : décès de l'un des piétons renversé par une voiture

Les victimes, âgées de 68 et 73 ans, ont été renversées et gravement blessées par une voiture conduite par un jeune homme de 22 ans alors qu'ils traversaient la route sur un passage protégé et alors que le nuit était tombée.
En état d'arrêt cardiaque à l'arrivée des secours, l'homme a pu être réanimé par le Samu et conduit comme son épouse à l'hôpital de Niort. Il a ensuite été évacué vers le CHU de Poitiers où il est décédé en cours de nuit.
Une enquête de police est ouverte "homicide involontaire et blessures involontaires sans incapacité par manquement délibéré à une obligation de sécurité ou de prudence" envers le jeune conducteur de la voiture, un habitant de Chauray. Il n'était pas sous l'emprise d'alcool ou de produits stupéfiants au moment des faits.

Les personnes témoins de l'accident ou qui auraient été en contact avec le conducteur après l'accident sont invitées à appeler le commissariat de Niort : 05 49 28 72 00

http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/deux-sevres

Avignon : un homme meurt percuté, route de Marseille

L 'identification est en cours. L'homme, âgé d'une vingtaine d'années, a été percuté en traversant la chaussée ce samedi 22 octobre. 
Un homme d'une vingtaine d'années est mort ce samedi, sur la voie rapide d'Avignon, direction Marseille. Les policiers cherchent à toujours à identifier le jeune homme. Il a été tué vers 5 heures, en traversant la chaussée, au sud de la ville. La victime a été percutée de plein fouet par une voiture où se trouvait un couple.
http://www.midilibre.fr/2016/10/22/avignon-un-homme-meurt-percute-route-de-marseille,1413583.php

samedi 22 octobre 2016

Aisne: un motard d'une vingtaine d'années se tue à Courtemont-Varennes

En fin de journée ce samedi, un motocycliste d’une vingtaine d’années est mort dans une sortie de route à l’entrée de la commune de Courtemont-Varennes, dans le sud de l’Aisne
Malgré plusieurs tentatives de réanimation sur les lieux de l’accident, les sapeurs-pompiers axonais n’ont pu que constater le décès d’un motard d’une vingtaine d’années ce samedi soir sur la D1003. D’après les premières informations recueillies sur place, le jeune homme circulait en direction de Dormans lorsqu’il a - pour des raisons encore indéterminées - perdu le contrôle de sa moto à l’entrée de la commune de Courtemont-Varennes, dans le sud de l’Aisne.
Une enquête a immédiatement ouverte par la gendarmerie.
http://www.lunion.fr/node/826233

Aude : l'agriculteur mort en plantant des oignons a été décapité

L 'agriculteur de 39 ans victime d'un accident de travail jeudi à Fanjeaux aurait été étranglé et décapité par son écharpe coincée.
Un agriculteur originaire de Bram a perdu la vie jeudi, vers 9 h, alors qu'il travaillait sur une parcelle de la commune de Fanjeaux. Il était avec son demi-frère en train de planter des oignons mécaniquement, lorsque son écharpe a été happée par l'embout d'une benne relié à la prise de force d'un de leurs deux tracteurs.
L'accident est survenu alors qu'il actionnait le système de levage pour faire le plein de tubercules dans le réservoir de la planteuse. Il aurait été étranglé et décapité par son écharpe coincée. Alertés, les secours se sont rapidement rendus sur les lieux, mais ils n'ont pu que constater le décès de cet homme de 39 ans.
http://www.midilibre.fr/2016/10/21/aude-l-agriculteur-mort-en-plantant-des-oignons-a-ete-decapite,1412831.php

vendredi 21 octobre 2016

Un agriculteur bramais trouve la mort à Fanjeaux

Un effroyable accident du travail a coûté la vie, hier, à un jeune agriculteur bramais qui travaillait, aux côtés de son frère, à planter des oignons, dans un champ à Fanjeaux.
Un horrible accident du travail a coûté la vie à Nicolas Raynaud, agriculteur au domaine du Moulin-de-l'Eau à Bram. L'accident s'est produit peu après 9 heures, hier, sur la commune de Fanjeaux. L e jeune agriculteur travaillait dans une parcelle sur le domaine de Las Brugues, situé au sud-est de la commune, une parcelle que lui avaient prêtée les propriétaires Luc et Cédric Vialaret. Avec son demi-frère, Nicolas était en train de planter mécaniquement des oignons. Que s'est-il passé ? L'enquête ouverte par les gendarmes de Bram et Alzonne déterminera les circonstances exactes. Mais selon nos sources, il semblerait que ce soit l'embout de la benne transportant les oignons, relié à la prise de force d'un second tracteur, qui ait happé l'écharpe que portait le jeune agriculteur alors que le système de levage pour faire le plein de tubercules du réservoir de la planteuse était actionné. Les services de secours (pompiers de Bram et Samu) se sont transportés sur les lieux très rapidement dès qu'ils ont été alertés, mais n'ont pu que constater le décès de M. Raynaud. Nicolas avait 39 ans. Il était le fils d'Alain Raynaud, retraité de la police, qui a repris le bien de ses parents situé à la sortie de l'agglomération de Bram en direction du canal du Midi.

«Un jeune agriculteur discret et pointu»

Après avoir passé une quinzaine d'années dans les Pyrénées-Orientales sur une exploitation horticole, Nicolas était revenu à Bram récemment pour épauler la famille dont l'exploitation a beaucoup grandi en développant des cultures porte-graines, semences de maïs, de tournesol, culture d'asperges et autres légumes. Un agriculteur discret, pointu, professionnel et passionné, et très dynamique disent, de la malheureuse victime, ses proches dans le milieu agricole du secteur. Il devait reprendre la pépinière Combrié à Bram. «C'est une catastrophe», relevait Claudie Méjean, maire de la commune. «Un drame», abonde Denis Juin, son collègue de Fanjeaux.
Ce dernier rappelait que de tels accidents arrivent malheureusement. «Il y a quelques années, pareil drame s'était produit sur la commune de Villasavary. Cela ne pardonne pas».
 

jeudi 20 octobre 2016

La fillette gravement blessée à Sète n'a pas survécu

Son pronostic vital était engagé. La fillette transportée de toute urgence lundi dernier au CHRU de Montpellier après avoir été renversée par une fourgonnette à Sète n'a pas survécu à ses blessures et s'est éteinte hier mercredi.
L' accident s'était produit lundi avenue du Maréchal Juin à Sète. L'enfant, de 8 ans, avait échappé à la surveillance de ses parents et avait couru dans la rue avant d'être renversée par un véhicule. La famille de la jeune victime , originaire de Lyon. allait prendre le bateau pour passer ses vacances au Maroc

http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/herault

Tuée par un train à Laigneville (60)

Hier soir, vers 23h, une femme a été percutée par un train de marchandises à Laigneville dans l'Oise. Les circonstances ne sont pas encore clairement établies mais selon les premiers éléments de l'enquête, il s'agirait d'un accident
Les faits se sont produits en gare de Laigneville dans l'Oise mercredi soir peu après 23h : une femme promenant son chien aux abords des voies a été percutée par un train de marchandises qui se rendait en gare de Paris Nord.
Elle a été tuée sur le coup. 


http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/oise

Hérault : une quinquagénaire sauvée du suicide

U ne quinquagénaire disparue depuis deux jours a été sauvée du suicide, grâce aux efforts coordonnés de la police et de la gendarmerie et des pompiers du Sdis. 
Elle avait disparue depuis lundi midi de Mauguio, où elle vivait depuis septembre dernier dans un  camping-car depuis sa sortie de soins psychiatriques. Les policiers de la sûreté départementale saisie du signalement depuis mardi midi,  avait ouvert une enquête pour disparition inquiétante, de cette femme dépressive, qui avait quitté son domicile rudimendaire en voiture. Grâce à son portable, une géolocalisation est lancée. Elle conduit les équipages sur le secteur de Vailhauquès  et Clapiers. Malgré les recherches, elle reste introuvable.

Allongée dans la garrigue inanimée

Jusqu'à ce mercredi matin grâce à la la coopération inter-services avec la gendarmes, qui a permis d'engager un hélicoptère pour survoler la zone. La malheureuse est repérée allongée dans la garrigue, inconsciente. Faisant craindre le pire. 
Par chance,  le Service départemental d'incendie et de secours n'étaient pas loin. Des pompiers qui faisaient leur séance de sport non loin, sont rapidement intervenus avec le matériel adéquat. La victime a ainsi pu être évacuée vers le CHU dans les plus brefs délais. 
http://www.midilibre.fr/2016/10/19/herault-une-quinquagenaire-sauvee-du-suicide,1412197.php

mercredi 19 octobre 2016

Paris : retrouvée morte à côté de son bébé

«Lundi vers 13 heures, une résidente est venue trouver les équipes en nous disant que le bébé avait beaucoup pleuré pendant la matinée. Comme la maman ne répondait pas, ils sont entrés et ont trouvé le corps sans vie de la résidente ainsi que son fils qui était en pleurs», a expliqué un porte-parole de l’association Armée de Salut.
Les secours ont été appelés et la police a constaté le décès. «Cette jeune femme était suivie et traitée pour des problèmes d’addiction à la drogue», a précisé ce porte-parole. 
L’enfant de 22 mois a été confié à l’hôpital Trousseau pour un examen médical et psychologique et va être orienté vers une famille d’accueil.
La mère et son enfant vivaient au Palais de la femme, un centre d’hébergement et de stabilisation accueillant 50 résidentes dont 20 avec enfants dans le 11e arrondissement de paris. Une cellule d’écoute a été ouverte sur place.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2016/10/18/paris-retrouvee-morte-a-cote-de-son-bebe

mardi 18 octobre 2016

Un homme de 54 ans perd la vie sur la route de Montricoux

Un automobiliste de 54 ans est décédé dans un accident de la route, survenu dimanche soir, vers 20 heures, sur la route de Montricoux (RD 958), à Nègrepelisse. Selon les premières constatations effectuées par les gendarmes, le conducteur de la BMW aurait perdu le contrôle de son véhicule avant de finir dans le fossé et de heurter un arbre. Sous la violence du choc, l'homme seul dans sa voiture a été grièvement blessé. Les sauveteurs ont tout mis en œuvre pour le maintenir en vie. Pris en charge par une équipe du Samu et les sapeurs-pompiers, Philippe Cottura, ébéniste et menuisier domicilié à Nègrepelisse s'est finalement éteint au cours de son trajet vers le centre hospitalier de Montauban.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour comprendre les circonstances exactes de cet accident. Il s'agit du vingt-et-unième mort sur les routes du département depuis le début de l'année, contre 18 l'an dernier, sur la même période.
http://www.ladepeche.fr/communes/negrepelisse,82134.html

Accident mortel en gare de Frouard (54)

Gros émoi hier en gare de Frouard en début de soirée. Peu après 19 h 30, un jeune homme d’une quinzaine d’années a été percuté par un train TER sur la ligne Nancy-Metz. Où il a trouvé la mort.
Les pompiers arrivés sur place, depuis les casernes de Pompey, Nancy-Gentilly et Nancy-Joffre, sous le commandement du lieutenant Florian Wattelet, n’ont rien pu entreprendre pour le sauver. Quelques passagers qui patientaient en gare s’étaient certes approchés, mais il était déjà trop tard.
Aussitôt, la nouvelle s’est propagée dans la communauté roumaine résidant sur le territoire, et des dizaines de personnes, dont la famille de la victime, se sont précipitées sur les lieux du drame. L’émotion était palpable et la tension visible sur place, mais la foule est restée très calme, dans l’attente de réponses.
Les gendarmes se sont eux aussi rendus sur les lieux, à commencer par la brigade de Frouard, bientôt rejointe par la cellule d’investigation criminelle, et la brigade de recherche de Nancy. Sur le théâtre des opérations a été également dépêchée une patrouille de réservistes, soit au total une douzaine de personnes dirigées par le capitaine Grosse qui ont pu sécuriser les lieux et mener les premiers constats.
Aucune hypothèse n’a été avancée officiellement. Même s’il semble que la thèse de l’accident soit la plus probable. Dans l’assistance, il se disait d’ailleurs que la victime se serait trouvée sur la voie au moment de l’accident. Voulant traverser d’un quai à l’autre jusqu’à la gare, le jeune homme n’aurait pas réalisé qu’un train s’apprêtait à passer. Lequel train s’est d’ailleurs arrêté quelques centaines de mètres plus loin après le choc, distance nécessaire à un freinage d’urgence. Mais aucun témoignage direct n’est remonté pour l’instant aux oreilles des enquêteurs, qui font d’ailleurs savoir que toute personne détenant des informations sur le drame peut s’adresser à la brigade de Frouard.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-agglomeration/2016/10/18/accident-mortel-en-gare-de-frouard

lundi 17 octobre 2016

Allemagne: Une explosion chez le chimiste BASF fait plusieurs disparus et des blessés

Dramatique incident en Allemagne. Plusieurs personnes sont portées disparues et d’autres ont été blessées après une explosion ce lundi en fin de matinée sur un site du chimiste BASF à Ludwigshafen dans l’ouest du pays, selon les autorités et l’entreprise.
« L’explosion suivie d’incendies est intervenue lors de travaux sur un système de pipelines », a indiqué le groupe allemand BASF dans un communiqué, faisant état, tout comme la ville de Ludwigshafen, de « plusieurs personnes blessées et d’autres encore portées disparues ».

Un incendie « d’ampleur »

Les causes de l’accident n’ont pas été déterminées, et BASF a appelé les populations voisines « à éviter de rester à l’extérieur et à garder portes et fenêtres fermées ». Les opérations de « vapocraquage » sur place, un procédé dans l’industrie chimique, ont été arrêtées.
La police locale a elle fait état d’un incendie d’ampleur sur le site et des images diffusées sur les réseaux sociaux montraient une épaisse colonne de fumée noire s’élever au-dessus du port fluvial de la ville. Un navire des pompiers a été déployé, selon la mairie.
Sur son compte Twitter, la ville a fait savoir que des habitants se plaignaient d’irritations des voies respiratoires.
Le site industriel de Landeshafen Nord où l’explosion a eu lieu traite, selon l’agence allemande DPA, des gaz, des liquides inflammables et des gaz liquéfiés
http://www.20minutes.fr/monde/explosion/

Nîmes : il s'immole dans son appartement, devant ses proches

U n homme est mort dans l'incendie de son appartement, ce dimanche 16 octobre, vers 12 h 30, à Nîmes.
Un drame s'est produit ce dimanche 16 octobre, vers 12 h 30, sur les hauteurs de Nîmes. Un homme d'une cinquantaine d'années s'est immolé par le feu, devant trois de ses proches.
Un incendie a aussitôt ravagé l'appartement situé au 3e étage. Celui-ci était entièrement ravagé par les flammes lorsque les pompiers sont arrivés sur les lieux. Ils ont découvert le corps sans vie dans les décombres.

La famille prise en charge

La compagne du défunt et ses deux enfants - un garçon et une fille - qui se trouvaient dans l'appartement sont saines et sauves. Ils ont bénéficié d'une prise en charge médicale et psychologique.
Un voisin, qui souffrait d'une insuffisance respiratoire, a également été secouru. Tout comme une sexagénaire qui a fait un début de malaise cardiaque.
http://www.midilibre.fr/2016/10/16/il-s-immole-devant-sa-famille,1410166.php

dimanche 16 octobre 2016

Les obsèques de Pierre Tchernia ont eu lieu dans l'intimité en Bretagne

Les obsèques de Pierre Tchernia, décédé il y a une semaine à l'âge de 88 ans, ont été célébrées samedi à Névez, dans le Finistère, où le célèbre "Monsieur Cinéma" de la télévision française possédait une maison.
L'animateur Arthur, avec qui Pierre Tchernia avait coanimé "Les Enfants de la télé", sur France 2, puis sur TF1, jusqu'en 2006, était présent dans la petite ville du Finistère, au sud de Pont-Aven. La cérémonie était privée et la presse n'avait pas accès à la salle, où elle se déroulait. Toutefois, des habitants de la commune avaient été conviés à y participer.
"C'était quelqu'un de discret. Je l'ai croisé une fois, mais je n'ai pas osé le déranger", a témoigné une habitante. "Il allait faire des courses dans le village comme tout le monde, mais on n'osait pas l'aborder. C'était un personnage", a ajouté une autre femme.
Après la cérémonie, qui a duré près d'une heure, un cortège d'environ 150 personnes a accompagné le véhicule des pompes funèbres, qui se dirigeait vers le cimetière.
Fils d'un immigré ukrainien, né à Paris en 1928, Pierre Tchernia avait participé à l'ORTF en 1949 à la création du premier journal télévisé, qu'il avait ensuite quitté en 1955 pour devenir créateur et animateur d'émissions de variétés ("La clé des champs", "La boîte à sel").

De 1966 à 1988, il s'était imposé comme la référence cinématographique de la télévision, avec une série d'émissions où il transmettait son goût pour le septième art, de "Monsieur Cinéma" à "Mardi cinéma". Sans oublier "L'Ami public numéro 1", puis "SVP Disney", qui a pendant 14 ans a marqué le jour de Noël avec des extraits des classiques de Walt Disney.

Il a aussi mis en scène cinq oeuvres de Marcel Aymé (dont "Le Passe-muraille" et "Héloïse") pour la télévision, et réalisé notamment "Le Viager" avec son ami Michel Serrault, ainsi que quelques dessins animés pour le cinéma.

Après l'annonce de son décès, le président de la République François Hollande avait rendu hommage à cette "mémoire vivante de la télévision française (...) un homme de l'audiovisuel public, d'une télévision qui informe, qui éduque et qui divertit".

D'autres responsables politiques et de nombreuses personnalités de la télévision, parmi lesquels Michel Drucker, Pierre Lescure, Laurent Ruquier ou Jean-Pierre Pernaut notamment, avaient salué sa mémoire.

Troissereux (60) : accident mortel ce matin

Nouvel accident de la route ce matin sur la D901, à la hauteur de Troissereux. Un motard a perdu la vie dans des circonstances encore floues
Après la nuit terrible et plusieurs accidents de la route survenus dans l'Aisne, c'est à Troissereux qu'a eu lieu un nouveau drame ce matin. Vers 10h30, les pompiers ont été appelés suite à un accident de la route impliquant un motard, sur la D901. La victime est décédée
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/oise/troissereux-60-accident-mortel-ce-matin-1110095.html

Un pilote de moto trouve la mort après une collision avec une voiture sur la DN97

Samedi, vers 19h30, une collision s'est produite entre une moto et une voiture sur la DN97, à l'ouest de Pignans.            
Le pilote du deux roues, est malheureusement décédé après la collision.
Du côté de la voiture, on compte un blessé.
Le SMUR de Draguignan est intervenu, ainsi qu'un hélicoptère, un véhicule de désincarcération et un véhicule de secours et d'assistance aux victimes sous la responsabilité d'un chef de groupe.
http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers

Un balcon s'effondre à Angers: 4 morts et une dizaine de blessés

Quatre personnes sont décédées et plus d'une dizaine d'autres ont été blessées, certaines "sérieusement" mais sans être en danger de mort, après l'effondrement d'un balcon dans un immeuble d'Angers. Selon les premiers éléments de l'enquête, une dizaine de personnes se trouvait sur le balcon, situé au troisième étage de l'immeuble, lorsque l'accident s'est produit, peu avant minuit, samedi. L'immeuble était récent. 
Parmi les blessés, "certains sont sérieusement blessés, mais pour aucun le pronostic vital n'est engagé", a déclaré à la radio France Info, Michel Pichon, directeur de garde du CHU (centre hospitalier universitaire) d'Angers  Les blessés "ont tous 20 ans à peu près", selon lui. "Ce sont certainement des étudiants", a-t-il ajouté.

Un important dispositif de sécurité a été déployé autour du bâtiment, situé dans le centre-ville de la préfecture du Maine-et-Loire. Plusieurs dizaines de pompiers sont intervenus.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

samedi 15 octobre 2016

Le combat des parents continue

Que s’est-il passé ce matin du 9 février dernier au camp militaire de la Courtine, dans le département de la Creuse ? Quelles ont été les circonstances exactes de la mort de Mickaël Lavocat, élève officier en 3e année de l’école spéciale militaire de Saint-Cyr Coëtquidan ? Qu’est-ce qui a pu pousser ce jeune homme de 22 ans, équilibré et promis à un bel avenir professionnel, à mettre fin à ses jours avec son arme de service au dernier jour de son stage ? Huit mois après le drame qui a bouleversé leur vie, les parents du défunt se posent toujours ces mêmes lancinantes et éprouvantes questions. Et d’autres encore… « Cela me ronge de l’intérieur, confie la maman, Weyneshet Lavocat. Je n’ai pas encore réussi à faire mon deuil. Tout ce que je veux, c’est que toute la lumière soit faite sur le décès de mon fils. »

Affaire classée sans suite

Ouverte pour « recherche des causes de la mort », l’enquête du parquet de Guéret avait été requalifiée en « provocation au suicide » au lendemain des déclarations des parents dans les DNA. Ils avaient pointé du doigt les nombreuses incohérences figurant dans le dossier, à commencer par la cause du suicide : le prétendu décès d’un père, bien vivant. De quoi faire naître de sérieux doutes sur les premières constatations des gendarmes. Fin mai, le procureur de la République de Guéret rendait publiques les conclusions des nouvelles investigations. Les enquêteurs confirmaient la thèse du suicide et mettaient hors de cause l’encadrement militaire. Le dossier était classé sans suite dans la mesure où, selon le procureur, aucune infraction pénale n’était caractérisée.
Écartés de la procédure, face au silence pesant de l’institution militaire, estimant qu’on leur met sciemment des bâtons dans les roues, les parents ne se satisfont pas de cet épilogue judiciaire. « J’ai l’impression que l’on essaie d’étouffer l’affaire », glisse la maman.
A-t-on examiné toutes les hypothèses, dont celle de l’accident causé par un tiers ? Qui est à l’origine de la rumeur sur le supposé décès de son père ? Mickaël a-t-il subi des pressions ? Comment a-t-il pu se procurer une balle aussi facilement ? Se trouvait-il dans un baraquement ou sur le terrain lorsque sa mort est survenue ? Pourquoi n’avoir pas fait procéder à un examen balistique ? Des questions sans réponse qui soulignent les « zones d’ombre et les contradictions » du dossier. Ils s’en sont émus dans un courrier adressé au ministre de la Défense pendant l’été. Ils lui ont demandé que l’enquête judiciaire soit reprise « sur des bases plus solides » et d’avoir accès, le cas échéant, au contenu de l’enquête de commandement. Nouvelle désillusion : la réponse, rédigée par le service des affaires juridiques du ministère, se contente de résumer les différentes étapes de l’affaire et ne laisse aucune place à un quelconque espoir au sujet d’un éventuel réexamen de l’affaire.
Début août, les parents de Mickaël Lavocat ont adressé une autre lettre, cette fois au président de la République. Émanant d’un membre de l’état-major particulier de la présidence, la réponse qu’ils viennent de recevoir, aussi brève qu’impersonnelle, se révèle toute aussi décevante à leurs yeux.
« Je ne me laisserai pas décourager », promet Weyneshet Lavocat. Son combat continue. Cela pourrait passer par une plainte avec constitution de partie civile auprès d’un juge d’instruction.

http://www.dna.fr/defense/2016/10/15/le-combat-des-parents-continue

vendredi 14 octobre 2016

Finistère: un curé se jette d'un viaduc après avoir quitté la messe

Un prêtre a abandonné ses fidèles en pleine messe jeudi soir à Morlaix dans le Finistère pour courir jusqu'au viaduc qui enjambe la ville et se jeter dans le vide, a-t-on appris aujourd'hui auprès de la police, qui a précisé que ses jours n'étaient pas en danger. "Après sa célébration le prêtre a ôté sa soutane pour aller se jeter du viaduc", a indiqué à l'AFP cette source policière, qui a précisé que l'homme s'était cassé le fémur après être tombé dans un bosquet.
Le curé, qui célébrait la messe dans l'église Saint-Melaine, s'est jeté peu après 19H00 depuis une extrémité de ce viaduc qui culmine à 61 mètres de haut et sur lequel passent les trains de la ligne Paris-Brest. "Il a été hospitalisé, mais ses jours ne sont pas en danger", a assuré la même source policière, évoquant "une tentative de suicide".
"On ne sait pas le pourquoi de ce geste", a réagi de son côté un responsable du diocèse interrogé par l'AFP, précisant que le prêtre, âgé d'une trentaine d'années, avait été opéré dans la matinée. "On l'entoure fraternellement", a-t-il ajouté. Un prêtre de Sainte-Mère-Église (Manche), âgé de 50 ans, s'était suicidé en décembre 2013, un geste que le diocèse de Coutances avait à l'époque qualifié de "rarissime en France". Dans un article relatif à ce drame, le journal La Croix évoquait une surcharge de travail et de responsabilités pour les jeunes prêtres.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Béziers : le piéton renversé était décédé des suites de ses blessures

L a conductrice qui l'a renversé assure qu'elle ne l'a pas vu sur le passage protégé. Elle était jugée par le tribunal correctionnel de Béziers.
C'était le 26 janvier 2014 à 11 h 45, sur l'avenue Gambetta à Béziers. Cette jeune mère de famille descend vers la gare au volant de sa voiture, son enfant est à l'arrière. Elle ne voit pas l'octogénaire qui s'est engagé sur un passage piéton. C'est le choc. La victime décède un mois plus tard des suites de ses blessures.

Des excuses pour la famille

À la barre du tribunal correctionnel, ce lundi, la conductrice tient d'abord à s'excuser auprès de la famille, présente à l'audience. Son père a le même âge, et elle semble particulièrement affectée. Son casier judiciaire est vierge, le test d'alcoolémie est négatif, il n'y a pas de traces de freinage indiquant une vitesse excessive, mais les analyses ont montré qu'elle avait fumé du cannabis quelques jours auparavant. Le principe n'est plus actif, mais la consommation est interdite. Elle a tout de suite reconnu cet usage, exceptionnel selon elle.
La partie civile souligne que la famille n'est pas "habitée par un sentiment de vengeance" et regrette qu'aucune personne présente sur les lieux de l'accident n'ait acceptée de témoigner par écrit. Les dommages et intérêts ayant déjà été réglés, l'avocat demande juste le règlement des frais de justice.

Six mois de prison avec sursis

Pour le représentant du parquet : "L'homicide involontaire est insatisfaisant pour tout le monde. Ce n'est pas une délinquante, le principe des stupéfiants n'était plus actif, la vitesse n'était pas excessive, le véhicule était arrêté sur le passage piéton. Le lien de causalité directe entre les blessures et le décès a été établi." En répression, il requiert six mois de prison avec sursis, la suspension du permis pendant six mois et une amende pour la contravention.
L'avocat de la défense souligne : "Ce n'est pas le procureur qui fait peur à ma cliente, mais c'est vous, la famille, parce qu'elle se reconnaît en vous. Elle n'est pas là pour se défendre mais pour assumer ses responsabilités, le reste de la procédure ne l'intéresse pas." Le tribunal a suivi les réquisitions du parquet. La prévenue devra payer une amende de 200 € et régler 1 000 € pour les frais de justice de la partie civile.

http://www.midilibre.fr/2016/10/12/le-pieton-decede-des-suites-de-ses-blessures,1407885.php

jeudi 13 octobre 2016

Deux morts dans un grave accident sur le chantier de la télécabine d'Artouste

Un véhicule tout-terrain avec deux personnes à bord s'est renversé ce jeudi en fin de matinée sur la piste qui mène à la station d'Artouste. le conducteur et le passager sont morts. Les secours sont sur place avec un hélicoptère de la Gendarmerie
Des hommes du peloton de gendarmerie de haute montagne d'Oloron (PGHM) et un médecin du Smur se sont rendus sur place à bord d'un hélicoptère de la gendarmerie.
L'accident grave s'est produit ce jeudi en fin de matinée sur le chantier de la télécabine d'Artouste : le 4X4 s'est renversé, les deux personnes à bord sont mortes. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/pyrenees-atlantiques/bearn

Besançon : après une agression, un jeune homme de 17 ans est victime d'une commotion cérébrale

VICTIME D’UNE COMMOTION CÉRÉBRALE, « il ne se souvient que d’une chose », explique Nadia, sa maman, « avoir affiché sur son portable le trajet pour rejoindre un copain au centre-ville… ».
Il était aux environs de 1 h du matin, dans la nuit du jeudi 29 au vendredi 30 septembre. Yann, qui fêtera ses 18 ans le 18 octobre, avait accompagné des copains au Cousty, rue de Dole. « Il avait préféré changer d’ambiance et il a quitté la salle seul. » L’ami, que Yann devait rejoindre, a fini par s’inquiéter de ne pas le voir arriver. Contactant les potes avec lesquels le jeune homme se trouvait au Cousty, « ils ont décidé d’entamer les recherches et l’ont retrouvé vers 3 h du matin, déambulant, hagard, pieds nus, en slip et tee-shirt quai Veil-Picard, à hauteur du Savanah. »

Commotion cérébrale

Impossible pour le garçon qui présentait une plaie et une bosse au front, des blessures et griffures aux pieds et sur le corps de se souvenir de quoi que ce soit. Ses amis l’ont hébergé chez eux avant de prévenir ses parents le lendemain matin.
« Son père est allé déposer plainte aussitôt mais nous avons cherché à savoir de notre côté ce qui s’était passé », poursuit Nadia. Les parents de Yann entament alors un porte-à-porte rue de Dole, où le périple de leur fils a débuté. « Déjà, on n’a rien retrouvé : ni ses vêtements, ni ses papiers, son portable ou les clefs de l’appartement. »

L’enquête des parents

Par contre, le père et la mère de Yann ont certainement découvert où s’était produite l’agression. « On a rencontré des gens blasés qui nous ont raconté l’ambiance des fins de semaines à proximité du Cousty, les cris, les bagarres, les multiples pétitions pour dénoncer ces nuisances à répétition. Et nous avons trouvé un possible témoin qui a été réveillé par une altercation au niveau des garages qui font face à la boulangerie Au Sucre roux. Il a vu deux hommes se battre et deux filles qui criaient. Il a mis fin à l’altercation en criant depuis sa fenêtre puis, estimant que le garçon qui venait de s’écrouler après avoir reçu un coup, n’était plus en danger, l’avait refermée. Son agresseur était grand et avait une voix très efféminée. »
De son côté, la police a entamé ses investigations et les parents de Yann comptent énormément sur l’exploitation des bandes de vidéosurveillance pour identifier les agresseurs de leur fils. D’autant plus que la première altercation dont il semble avoir été victime n’explique pas tout. « Il y a certainement eu une deuxième phase au cours de laquelle il s’est fait dépouiller de toutes ses affaires… »
Les parents de Yann lancent un appel aux éventuels témoins de l’agression afin qu’ils apportent leur aide à l’enquête de la sûreté départementale qui peut être jointe en appelant le commissariat : 03.81.21.11.22.
 

mercredi 12 octobre 2016

Marne: un mort dans un choc frontal près de Vitry

Un grave accident de la route s’est produit, ce mercredi soir, sur la route départementale 13, entre les villages de Giffaumont-Champaubert et d’Arrigny. Les secours sont actuellement sur place, et viennent en aide aux victimes.
Deux véhicules – une camionnette et une voiture – se seraient percutés de face. Le conducteur de la première est décédé, tandis que l’un des trois enfants qu’il accompagnait est grièvement blessé. Le chauffeur de la suivante a, lui aussi, été blessé dans ce choc frontal. Il a été transporté à l’hôpital.
http://www.lunion.fr/node/820051

Un mort et un blessé dans un accident de scooter

Il était 10h ce matin sur le boulevard Salvador Allende (14e) au niveau du rond-point Pierre Paraf quand un jeune homme, âgé d'une vingtaine d'années, n'a rien pu faire pour redresser la trajectoire du scooter qu'il pilotait. Alors, les deux jeunes ont lourdement chuté et le passager, son petit frère qui serait un adolescent, a succombé à ses blessures. Le conducteur a lui été transporté par les marins-pompiers à la Timone dans un état préoccupant.
http://www.laprovence.com/actu/en-direct/4155325/un-mort-et-un-blesse-dans-un-accident-de-scooter.html

mardi 11 octobre 2016

Landes : décédé sous sa tondeuse

Un accident domestique a coûté la vie à un octogénaire vendredi, mort étouffé sous son tracteur-tondeuse
Un dramatique accident domestique s'est produit en fin de semaine dernière dans les Landes.
C'est la fille de la victime, inquiète de ne pas avoir de ses nouvelles, qui s'est rendue au domicile de ce Retjonnais de 82 ans, vendredi. Elle a malheureusement découvert son père bloqué sous son tracteur-tondeuse. Il avait déjà perdu la vie.
L'octogénaire avait visiblement entrepris de libérer un objet venu se coincer dans les lames de sa machine, à l'arrêt. Il a donc basculé la tondeuse autoportée, retenue en équilibre par un morceau de bois. Le système n'a pas tenu, et la victime n'a pu se libérer.
Il est décédé dans son jardin, étouffé.
http://www.sudouest.fr/2016/10/11/decede-sous-sa-tondeuse-2530606-3500.php

Chenecey-Buillon : le corps d’une femme découvert en bordure de Loue

Le corps d’une Bisontine, âgée de 60 ans, a été découvert lundi matin, un peu avant midi, en bordure de la Loue, chemin des Forges, à Chenecey-Buillon, dans le Doubs. Les pieds dans l’eau, elle était dans une position laissant comprendre qu’elle avait pu glisser et s’assommer en chutant, avant de décéder.
Des techniciens en investigations criminelles de la gendarmerie se sont néanmoins déplacés, ainsi qu’un médecin qui a émis un obstacle médico-légal à l’inhumation. Une autopsie aura lieu pour déterminer les causes de la mort de la femme. Même si des emballages de médicaments ont été découverts à ses côtés, toutes les hypothèses seront étudiées
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2016/10/11/chenecey-buillon-le-corps-d-une-femme-decouvert-en-bordure-de-loue

lundi 10 octobre 2016

Calais: mort d'un migrant érythréen

Un Erythréen est mort hier soir des suites de ses blessures après avoir été percuté avec sa compagne dans la soirée par un automobiliste britannique sur l'autoroute A16 près de Calais, selon la préfecture aujourd’hui.
L'autre victime d'une trentaine d'années, légèrement blessée, a été pris en charge au centre hospitalier de Calais mais ses jours ne sont pas en danger. L'accident s'est produit dimanche vers 20h30 sur l'autoroute A16 à hauteur de l'échangeur 47 dans le sens Dunkerque-Boulogne-sur-Mer, alors que plusieurs réfugiés tentaient d'ériger des barrages pour ralentir la circulation et essayer de se cacher dans des camions en partance pour la Grande-Bretagne. "Le conducteur de la voiture, pris a partie par des migrants sur le lieu de l'accident, a poursuivi sa route et s'est présenté spontanément aux services de la police aux frontières présents sur le site du Tunnel sous la Manche", a expliqué la préfecture du Pas-de-Calais, précisant qu'une enquête avait été ouverte.
Il s'agit de la 14ème mort d'un migrant dans le calaisis depuis le début de l'année 2016. Aucune date n'est encore officiellement annoncée pour le démantèlement de la "Jungle" où s'entassent entre 7000 et 10.000 migrants. Le Défenseur de droits a affirmé jeudi qu'il "pourrait débuter le 17 octobre".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Meuse : collision mortelle pour une passagère septuagénaire

Ce dimanche, vers 17 h les sapeurs-pompiers de Pierrefitte et de Saint-Mihiel, sous le commandement de l’adjudant-chef James Mathey se sont rendus sur un accident qui venait de se produire sur la D 901 entre le Petit Rumont et Villotte-sur-Aire. Sur place, ils ont immédiatement effectué un dégagement de la passagère d’un des deux véhicules impliqués avant de tenter, sans succès, de la réanimer. Le conducteur quant à lui étant blessé. Ce couple de retraités septuagénaires habitait Mognéville (Meuse).
Dans l’autre véhicule, le conducteur seul à bord, un homme de 60 ans habitant Saint-Mihiel, était atteint aux membres inférieurs. Les deux conducteurs des véhicules ont été transportés au service des urgences de l’hôpital de Bar-le-Duc. Sur place les gendarmes de Saint-Mihiel et de Revigny ont bloqué la D 901 à partir de Petit Rumont jusqu’au village suivant de Villotte-sur-Aire, le temps que les relevés au sol et le dégagement des véhicules, qui bloquaient les deux voies, soient effectués. Impossible, au vu de la position des voitures de pouvoir déterminer les circonstances de l’accident. En effet les premières constatations mettent en évidence un impact sur chaque côté droit des véhicules. L’état de ces derniers démontrant un choc à grande vitesse. Les gendarmes ne pourront avoir d’éclaircissement sur les circonstances exactes de l’accident que lorsqu’ils pourront interroger les deux blessés.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-bar-le-duc/2016/10/09/meuse-collision-mortelle

dimanche 9 octobre 2016

Un jeune Marseillais meurt dans un incendie

Ce samedi à 21 heures, les Marins Pompiers de Marseille ont été alertés pour un feu d'appartement au 59 rue Jean de Bernardi. Lorsqu'ils pénètrent dans l'appartement au 3ème étage, ils trouvent le corps d'un jeune homme, âgé de 25 à 30 ans, qui va malheureusement décéder.
A leur arrivée sur les lieux, les marins-pompiers constatent que les flammes et une épaisse fumée s’échappent de plusieurs fenêtres au 3e étage. Les secours mettent en oeuvre la grande échelle pour procéder à l’extinction du sinistre et ainsi éviter sa propagation aux autres appartements.
A leur arrivée dans l’appartement en feu, les marins-pompiers trouvent une victime en arrêt cardio-respiratoire qui sera déclaré décédée peu de temps après. Les secours mènent des reconnaissances afin de s’assurer que tous les habitants de l’immeuble sont en sécurité, à l’extérieur du bâtiment. Ils prennent en charge et évacuent une quarantaine de personnes, de l’immeuble et des deux immeubles contigus. 

L’appartement de 40 m2 est détruit par le feu et les fumées et la propagation aux autres appartements a été évitée. Cette intervention a mobilisé 7 engins et 25 marins-pompiers.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/bouches-du-rhone/marseille

Montpellier : un mort et un blessé sérieux dans une collision

U n accident de la circulation a eu lieu ce samedi 8 octobre au matin à Montpellier faisant un mort et un blessé sérieux. 
Un grave accident de la circulation s'est produit ce matin à Montpellier aux alentours de 7 h avenue de la liberté dans le centre-ville. Un choc violent entre deux véhicules : une voiture et une camionnette de ramassage d'ordures de la Métropole. La collision a fait un mort, un homme, âgé de 24 ans et un blessé sérieux âgé de 44 ans. Le premier est décédé sur les lieux du drame. 

Le blessé incarcéré dans son véhicule

La personne sérieusement blessée lors de l'accident, le conducteur de la petite camionnette, était incarcérée dans son véhicule avant l'arrivée des pompiers sur place. Elle a été transportée à l'hôpital. La collision aurait eu lieu non loin de la cave coopérative de Celleneuve. 
L'intervention a provoqué quelques ralentissements sur l'avenue qui est de nouveau fluide depuis 10 h 30.
http://www.midilibre.fr/2016/10/08/montpellier-un-mort-et-un-blesse-grave-dans-une-collision-en-centre-ville,1405942.php

samedi 8 octobre 2016

Doullens : une marche blanche pour le petit Ethan, décédé du cancer

Ethan est maintenant parti rejoindre les anges au paradis", peut-on lire sur la page Facebook de l'association Ethan Bouteraa, créée pour récolter des fonds.
Cela fait des mois que les parents du petit Ethan, 4 ans et demi, racontent avec douleur les épreuves que leur fils traverse, des nuits blanches aux allers-retours à Paris en passant par les traitements répétés...
Épuisé, Ethan avait entamé une nouvelle chimiothérapie cet été. Mais la maladie a eu raison de lui, et il est décédé lundi dernier, le 27 septembre.
C'est Anne-Sophie, une amie de la famille, qui a souhaité organiser une marche à Doullens, où Ethan vivait. Le cortège partira à 14h de la mairie jusqu'à l'école Tivoli, où il était écolier.  

http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/

La famille Assié pleure Élodie

"On devait être une personne de plus, nous sommes deux personnes de moins".
A Decazeville, la famille Assié pleure Elodie, 35 ans, maman de deux enfants de 12 et 10 ans. Des amis sont venus soutenir la maman Françoise et Frédéric, le grand frère. 
"On ne parvient pas à y croire, c'est trop  dur. Elodie était tonique, joyeuse, attentionnée avec sa famille. Elle était heureuse".
Née à Decazeville le 31 décembre 1980, elle a grandi  au quartier Saint-Michel de Decazeville, où elle a été scolarisée avant de rejoindre le collège de Firmi puis le lycée Saint-Joseph de Villefranche de Rouergue où elle a passé un bac de cuisine suivi d'un diplôme de traiteur.  
Après avoir longtemps travaillé au restaurant d'entreprise de la société Bosch de Rodez, Elodie était gérante depuis quelques années de la cuisine du restaurant d'entreprise de la société Purflux à Marcillac.
"Elle était très travailleuse, elle a toujours travaillé. Elle était passionnée de cuisine, pratiquait aussi la course à pied et la peinture". 
Ce vendredi matin, la famille d'Elodie  et son compagnon  ont été entendus au commissariat de Decazeville dans le cadre de l'enquête judiciaire diligentée par le procureur de la République de Rodez, afin d'apporter aussi un éclairage sur le déroulement de ce qui s'est passé lors de l'accouchement, dans la nuit de mercredi à jeudi.
"Le terme était passé de deux jours, la maternité a appelé pour qu'elle vienne. Les examens ont montré que le bébé était assez haut. Une procédure a été mise en place pour déclencher l'accouchement. Puis les douleurs sont arrivées, de plus en plus fortes jusqu'à en être insoutenables. Le monitoring a montré qu'il y avait un problème pour le bébé, mais à la césarienne, le bébé était déjà décédé. L'état de santé d'Elodie s'est dégradé, on nous a dit en raison d'un problème de coagulation. L'hôpital a parlé un temps de l'amener à Rodez mais c'était trop tard. Elle est morte", explique Françoise Assié.
"Au départ, on ne voulait pas d'une autopsie. Mais elle a été imposée pour l'enquête. Maintenant on veut savoir ce qu'il s'est passé. Selon les résultats de l'enquête, s'il y a eu une faute, je déposerai plainte contre l'hôpital", conclut la maman d'Elodie. 

http://www.ladepeche.fr/communes/decazeville,12089.html

Charente : un jeune homme de 30 ans tué dans un accident à Mouthiers

Dans la nuit de vendredi à samedi, vers minuit, un accident grave s'est produit au lieu-dit "Les Rosiers" à Mouthiers-sur-Boëme. Pour une raison encore inconnue, l'Audi a quitté la route et est tombée en contrebas sur le flanc gauche. L'arrière du véhicule a frappé de plein fouet un arbre.
A l'intérieur, quatre occupants, trois hommes et une femme âgés d'une trentaine d'années. Le passager avant a été éjecté de la voiture. Il est légèrement blessé, tout comme le conducteur du véhicule. A l'arrière, les deux passagers ont du être désincarcérés. Malgré l'intervention des secours, l'un d'eux est décédé. La jeune femme, elle, est grièvement blessée.
Les quatre occupants étaient tous habitants du grand Angoulême

http://www.sudouest.fr/

vendredi 7 octobre 2016

Un chauffard fauche un cycliste et un motard à Carnin : un mort et un blessé

Le conducteur d'une BMW a fauché jeudi après-midi un cycliste et un motard, entre Carnin et Gondecourt. Le cycliste a été tué, le motard souffre d'une fracture. En fuite dans un premier temps, le chauffard s'est présenté plus tard à la gendarmerie
On ne connait pas encore les cironstances exactes de cet accident, mais il est déjà établi que c'est le conducteur d'une BMW, en voulant doubler un vélo, qui a fauché le cycliste et le motard qui arrivait en face, sur la D147 entre Gondecourt et Carnin. Il était 17h30 jeudi lorsque l'accident s'est produit.
Bilan : le cycliste, âgé de 62 ans, a été tué. Le motard de 35 ans a lui été hospitalisé pour une fracture ouverte au pied. Ses jours ne sont pas en danger.
A l'arrivée des secours, le conducteur de la voiture folle avait pris la fuite, en laissant son véhicule accidenté sur place. Il s'est présenté dans la soirée à la brigade de gendarmerie de Phalempin, où il a été placé en garde à vue. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/

Infanticide : les aveux d'une mère - Reportage exclusif 2016

Montbéliard : quand elle arrive pour se recueillir sur la sépulture de son bébé, elle découvre que la tombe a disparu. Son ex-mari a fait procéder à l’exhumation sans qu’elle le sache

Marie avait 17 ans quand elle a porté en terre son premier enfant. C’était un 4 février 1977. David aurait eu 40 ans jeudi. Il est décédé à 4 mois d’une cardiopathie. « C’est terrible pour une mère de perdre un enfant. Depuis quarante ans, je vis avec cette douleur dans le ventre. Cet enfant, je viens de le perdre une seconde fois. On m’a volé sa sépulture, enlevé le droit au recueillement. »
Marie, 56 ans, est en état de choc. Son chagrin est à la dimension de la monstruosité commise. Dans un torrent de larmes qu’elle ne parvient pas à tarir - « mais je vais y arriver car je n’ai pas le droit de flancher »-, elle raconte l’accablement qui l’a saisie quand mardi, une fleur à la main, elle est arrivée au cimetière de Montbéliard pour se recueillir sur la tombe de son fils.
Un rituel maternel. Tous les deux mois depuis trente-neuf ans, ses pas la guident vers son petit trop tôt parti. Là où se trouvait la tombe, plus rien. « Le vide. Le néant. » Plus de stèle, ni plaque, ni fleur. À la place de la tombe, un anonyme et sombre lit de gravier. « J’étais hébétée. Je ne comprenais pas ce qui arrivait », raconte Marie, maman de quatre autres enfants, la voix mouillée par les sanglots. « J’ai couru d’un point à un autre du cimetière. Je hurlais : ‘‘Il est où mon bébé ?’’ J’étais comme folle, le cœur éparpillé. Je ne parvenais pas à admettre l’inconcevable : on avait fait disparaître du cimetière la sépulture de mon enfant. On venait une nouvelle fois de me l’arracher. Même à son pire ennemi, on ne ferait pas une chose pareille. »

Jamais, elle n’aurait accepté qu’on trouble le repos éternel de son enfant

Renseignements pris à la mairie, elle apprend « horrifiée », que les pompes funèbres ont procédé le 11 août dernier à l’exhumation du corps. À la demande expresse d’un proche parent, en l’occurrence le père de l’enfant, d’avec lequel Marie est séparée depuis vingt-quatre ans « après vingt ans de violences conjugales régulières ». Au motif d’une prétendue crémation alléguée par le père, qui a présenté à la mairie une attestation sur l’honneur certifiant que la mère de l’enfant autorisait cette exhumation.
Juste une attestation mensongère. Jamais, la mère n’aurait accepté qu’on trouble le repos éternel de son enfant. Elle a été tenue à l’écart de cette sordide entreprise orchestrée selon elle « uniquement pour nous faire souffrir, mes enfants et moi ». Depuis le mois de juillet dernier, les relations avec son ex se sont particulièrement envenimées. Lorsqu’il a appris qu’il n’était pas le père biologique de sa benjamine âgée de 31 ans. Ce qui a mis le père de famille, domicilié dans le pays de Montbéliard, dans une colère noire. Il s’est répandu en propos obscènes et orduriers sur les réseaux sociaux visant son ex-femme, sa benjamine et le compagnon de celle-ci, maire d’un petit village dans l’arrondissement de Montbéliard. Les trois ont saisi la gendarmerie d’une plainte pour menaces de mort réitérées et diffamation en juillet. La brigade des recherches est chargée de l’affaire. Ce qui conduit Marie à subodorer que cette exhumation a été préméditée et organisée par son ex « par pure vengeance ».
La crémation évoquée relève-t-elle d’un motif fallacieux ? De crémation, il n’y en a pas eu. La tombe ouverte, les employés des pompes funèbres n’ont retrouvé ni cercueil, ni ossements. Comment aurait-il pu en être autrement trente-neuf ans plus tard ? À quatre mois, les os d’un bébé sont loin d’être calcifiés. Le corps est redevenu poussière. La tombe a été refermée. Dans la foulée, le père a rendu la concession à la mairie. Du même coup, la sépulture a été rayée du paysage.
Ce mardi-là, Marie était venue avec une fleur pour partager un instant spirituel avec son petit. Elle est repartie chez elle avec sa fleur et le cœur en morceaux. Au cimetière du Haut à Montbéliard, elle compte y retourner. Pour y ramasser une poignée de gravier là où reposait David et improviser dans son chez elle un semblant de sépulture. « C’est tout ce qu’il me reste. Du gravier… »
Jeudi après-midi, Marie avait rendez-vous à la gendarmerie. Pour déposer plainte. « Pour usage d’un faux document, c’est certain, violation de sépulture, peut-être, je ne sais pas quel est le chef de poursuite pour une entreprise aussi machiavélique. » Marie s’est promise de ne pas craquer et de se bagarrer « parce qu’on n’a pas le droit de faire ça à une maman ».
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2016/10/07/montbeliard-quand-elle-arrive-pour-se-recueillir-sur-la-sepulture-de-son-bebe-elle-decouvre-que-la-tombe-a-disparu-son-ex-mari-a-fait-proceder-a-l-exhumation-sans-qu-elle-ne-le-sache

jeudi 6 octobre 2016

GUESCHART Le pompier décède en élaguant un saule pleureur

Daniel Ogez, sapeur-pompier au centre de secours d’Auxi-le-Château (Pas-de-Calais) avait 58 ans. Il est décédé mercredi 5 octobre, en fin de journée.
Peu après 17 heures, il avait été découvert en arrêt cardio-respiratoire, au 18, rue du Général-Leclerc, à Gueschart. Ce père de famille avait chuté d’un arbre – un saule pleureur – qu’il était en train d’élaguer dans le parc du château, pour rendre service au propriétaire des lieux. Grièvement blessé, Daniel Ogez avait été pris en charge par les pompiers et une équipe du SAMU, avant d’être évacué vers le centre hospitalier d’Amiens sud. Où il est malheureusement décédé, des suites de ses blessures.
«  C’était une personne formidable, un homme charmant. Daniel m’aidait souvent à couper du bois  », témoigne le propriétaire des lieux, un sexagénaire, actuellement cloué dans un fauteuil roulant, encore sous le choc de la perte subite de son «  ami  ».
Fin 2013, le sergent-chef Daniel Ogez, avait reçu, pour 35 années de service, la médaille d’or du ministère de l’Intérieur. «  Daniel était une figure locale ; tout le monde le connaissait. C’était l’homme de l’ombre de la caserne : il faisait en sorte que tout fonctionne bien, se souviennent ses collègues du centre de secours auxilois. C’était également quelqu’un de discret et de très professionnel.  » Daniel Ogez avait été sapeur-pompier professionnel jusqu’au 1er août dernier, date de sa retraite. Il officiait toujours comme pompier volontaire au sein de cette caserne qu’il avait toujours connu. Daniel Ogez laisse derrière lui une épouse, et plusieurs enfants, dont une jeune femme âgée de 18 ans.
Une enquête judiciaire a été ouverte, pour déterminer les causes exactes de cet accident domestique fatal.
http://www.courrier-picard.fr/region/gueschart-le-pompier-decede-en-elaguant-un-saule-pleureur-ia201b0n860461

Bagarre à Agde : la victime est décédée

U ne bagarre avait éclaté en haut de la rue Jean-Roger ce samedi 1er octobre dans la soirée. 
Samedi, peu après 23 h, une bagarre a éclaté en haut de la rue Jean-Roger à Agde, dans le centre-ville ancien. Un homme avait été très gravement blessé et son pronostic vital engagé. Il est décédé dans le courant de l'après-midi de mercredi des suites de ses blessures.

Présenté mardi à la justice

Un suspect avait été interpellé par les policiers du commissariat d'Agde quelques instants après les faits et placé en garde à vue. "Il a été présenté mardi devant le juge des libertés et de la détention, a confirmé le procureur de la République de Béziers Yvon Calvet. Il a été mis en examen pour des faits de violence ayant entraîné une ITT supérieure à 8 jours et incarcéré." Une mise en examen qui va sans doute être requalifiée.
http://www.midilibre.fr/2016/10/05/bagarre-a-agde-la-victime-est-decedee,1404465.php

mercredi 5 octobre 2016

Pays basque : un cueilleur de champignons fait une chute mortelle

Le corps sans vie d'un homme de 67 ans a été retrouvé dans la nuit de mardi à mercredi, par les gendarmes à Lecumberry, près de Saint-Jean-Pied-de-Port
Les proches de cet habitant de Lacarre (Pays basque) se sont inquiétés lorsqu'ils ne l'ont pas vu revenir mardi soir. Ils ont alerté les gendarmes de la compagnie de Mauléon.
Les recherches à pied ont abouti vers 22 heures dans la soirée de mardi. Le cueilleur de champignons, qui était parti seul, a été retrouvé décédé, près d'un arbre, en contrebas d'un sentier. L'homme de 67 ans a fait une chute alors qu'il cheminait dans la commune de Lecumberry, entre l'auberge d'Ahusquy (Aussurucq) et les chalets d'Iraty.
Le décès a été constaté par un médecin et un officier de police judiciaire. Son origine accidentelle ne fait pas de doute.
http://www.sudouest.fr/2016/10/05/pays-basque-un-cueilleur-de-champignons-fait-une-chute-mortelle-2524438-4621.php

Mort de Julien : le CHU de Nancy-Brabois mis en cause ?

Auteur, dans la nuit du 15 au 16 septembre dernier, d’un coup de poing sur Julien Larcher, décédé 4 jours plus tard, Michaël G., 23 ans, a été mis en examen jeudi pour « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner avec guet-apens ou préméditation ». Il a été écroué dans la foulée par le juge des libertés et de la détention qui a relevé l’importance du « trouble à l’ordre public ».
Si l’affaire est dramatique, force cependant est de reconnaître que ce jeune homme, qui réside dans le Pays-Haut, semble n’avoir rien en commun avec ces bandes organisées qui écument parfois les nuits des centres-villes, comme, par exemple, les frères Colin qui, fin 2009 et début 2010, attendaient, au cœur de la cité ducale, leurs proies alcoolisées afin de les dépouiller.
« Il regrette profondément son geste et présente ses excuses à la famille », souligne Me  Jean-Thomas Kroell. « Il n’a jamais voulu cela ». Michaël G., 23 ans, célibataire, vit à Rehon, est issu d’une famille sans histoires et travaille, après avoir passé un CAP de chauffagiste, en CDI dans une usine au Luxembourg. Son casier ne comporte qu’une mention : une ordonnance pénale pour conduite en état d’ébriété. Un problème visiblement récurrent puisque le drame s’est joué sur fond d’alcool.
Pas de scanner cérébral
Dans le communiqué de Me Berna, avocat de la famille de la victime, cette dernière assure qu’elle se battra pour que « toutes les responsabilités » soient « mises à jour ». Une manière de faire comprendre à la justice qu’elle ne pourra faire l’économie de l’étude d’une éventuelle responsabilité du CHU.
Le parquet de Nancy n’est d’ailleurs pas d’un autre avis qui, lors de ses réquisitions d’ouverture d’une information judiciaire, a visé les « violences volontaires », pour lesquelles Michaël a donc été mis en examen, mais également l’« homicide involontaire contre X », qualification clairement orientée vers la prise en charge médicale du jeune Vosgien.
Julien Larcher a été hospitalisé aux urgences à 4 h 30. On aurait diagnostiqué une fracture du nez. Il est ressorti un peu après 11 h, avec un arrêt de travail d’1 jour et une ITT de 14 jours. Ses parents l’ont découvert inconscient dans l’après-midi. Conduit à l’hôpital de Remiremont, le jeune lycéen de Saint-Nabord, dans le coma, a été ensuite transféré sur Nancy.
Logiquement délocalisée à l’Institut médico-légal de Strasbourg, l’autopsie a été réalisée. Les résultats ne sont pas encore connus mais il existe de fortes chances pour que le jeune Vosgien ait succombé suite à une fracture du rocher, un os du crâne, et un « hématome extra-dural ».
La juge d’instruction en charge du dossier devra se pencher sur cette épineuse question : un diagnostic plus poussé et des soins adéquats auraient-ils permis d’éviter cette issue fatale ? En clair, pourquoi ne lui a-t-on pas fait passer par exemple un scanner cérébral qui aurait révélé la présence de cet hématome extra-dural ? Tout semblait en effet imposer cet examen : choc sur la tête, maux de tête, vomissements…

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2016/10/05/mort-de-julien-le-chu-de-nancy-brabois-mis-en-cause

mardi 4 octobre 2016

Un automobiliste meurt percuté par un train

L'accident s'est produit sur la commune d'Aiffres, dans les Deux-Sèvres, aux alentours de 18h hier, comme le rapporte La Nouvelle République. Un homme de 61 ans a été percuté par un TER alors qu'il franchissait un passage à niveau. Il est décédé sur le coup.
Sur place, les pompiers et les services d'urgence n'ont pu que constater le décès du sexagénaire, dont la voiture a été projeté sur le bas-côté. Aucun blessé n'est à déplorer dans le train, seul le conducteur a été trouvé en état de choc.
Ce sont les gendarmes de la brigade de Frontenay-Rohan-Rohan qui ont été mis en charge de l'enquête. Selon les premières constatations, le conducteur n'aurait pas marqué le stop au moment de franchir la voie ferrée.