samedi 31 octobre 2015

A Vif (Isère), une femme s'asperge de white spirit et s'immole par le feu

Vers 15 heures, ce vendredi 30 octobre, une femme a tenté de s'immoler par le feu. Elle est très grièvement blessée. Son compagnon, qui a voulu intervenir, est lui aussi brûlé.
C'est à l'extérieur, dans le lotissement où elle réside, que cette femme, d'une quarantaine d'années, s'est aspergée de white spirit et a tenté de s'immoler par le feu. Elle a été médicalisée par le SMUR et transférée par hélicoptère à l'hôpital Edouard Herriot de Lyon, dans un état jugé très sérieux.

Un homme de 45 ans, son compagnon, a tenté de lui venir en aide. Il est gravement brûlé et a été transféré au service déchocage du CHU Grenoble-La Tronche.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/vif-isere-elle-s-asperge-de-white-spirit-et-s-immole-par-le-feu-841303.html

Un avion de ligne russe s'écrase dans le Sinaï avec 224 personnes à bord, des corps retrouvés

Un avion de ligne russe s'est écrasé au dessus du Sinaï, en Egypte, avec 224 personnes à bord. Une grande confusion a régné ce matin après que l'appareil n'a plus donné de contact avec les services du contrôle aérien. Mais le Premier ministre égyptien affirme que l'avion s'est écrasé dans la zone désertique du Sinaï, des débris de l'appareil ont en effet été retrouvés. "Les avions de l'armée ont retrouvé les débris de l'avion (...) dans une région montagneuse, 45 ambulances ont été envoyées dans la zone pour évacuer les morts et les blessés", précise un communiqué des autorités égyptiennes. Les secours ont découvert les corps de cinq enfants et tentent d'extraire des corps d'une partie de l'appareil, l'avion s'étant brisé en deux. 
Que sait-on des circonstance du crash ?  L'accident s'est produit dans la région d'Hassana, une zone montagneuse du centre de la péninsule, peu après le lever du jour. Un haut responsable de l'autorité de contrôle de l'espace aérien a indiqué à l'AFP que la communication a été coupée avec cet avion charter 27 minutes après son décollage. Le pilote aurait fait part par radio d'un problème technique et aurait demandé à pouvoir atterrir sur l'aéroport le plus proche, Le Caire. Mais l'avion a ensuite perdu de l'altitude rapidement, avec une descente de 6000 pieds minutes, toutefois moins importante qu'une tombée à pic. Rien n'indique qu'il s'agisse d'un attentat ou d'un tir de missile dans la région. 
Qui étaient les passagers ? Deux cent quatorze personnes, des touristes russes pour la plupart, se trouvaient à bord de l'appareil. La liste des passagers fait état de 14 enfants. Il s'agirait principalement de touristes puisque Charm el-Cheikh reste une station balnéaire très prisée malgré les tensions dans la région. 
Une cellule de crise à Saint-Pétersbourg. Les autorités russes n'ont pas communiqué sur cet accident d'avion mais une cellule de crise a été mise en place à l'aéroport de Saint-Petersbourg, lieu de destination du vol.  "J'attends mes parents, je leur ai parlé au téléphone quand ils étaient déjà dans l'avion, et puis j'ai entendu les infos", se lamente Ella Smirnova, une jeune femme de 25 ans en état de choc à l'aéroport Pulkovo de Saint-Petersbourg. "Je vais continuer d'espérer qu'il soient vivants jusqu'au bout mais peut-être que je ne les reverrai plus jamais", lâche-t-elle au milieu d'autres proches de passagers en larmes. Des ambulances arrivaient en milieu de journée à l'aéroport de Saint-Petersbourg et les autorités ont affrété des bus pour transporter les familles dans un hôtel proche, rapporte un journaliste de l'AFP sur place.
 

Une boîte de nuit prend feu à Bucarest : 26 morts et 154 blessés

Vingt-six personnes sont mortes vendredi soir suite à un violent incendie dans une discothèque à Bucarest. Selon des témoins, une explosion pourrait être à l'origine du drame.
Vingt-six personnes sont mortes vendredi soir suite à un violent incendie dans une discothèque à Bucarest, a annoncé le ministre roumain de l'Intérieur Gabriel Oprea. Le ministère de l'Intérieur avait annoncé auparavant le décès de 25 personnes. Selon le secrétaire d'Etat du ministère de l'Intérieur Raed Arafat, 154 personnes ont été blessées et conduites dans différents hôpitaux de la capitale roumaine. Environ 200 personnes, dont de nombreux jeunes, s'étaient donnés rendez-vous dans la boîte de nuit "Colectiv" pour un concert du groupe de hard-rock "Goodbye to Gravity" qui faisait la promotion de son nouvel album.
Selon des témoins cités par les médias locaux, une explosion s'est produite au moment où avait lieu un feu d'artifice, suivie d'un violent incendie. "C'est une grande tragédie", a déclaré le ministre de l'Intérieur. "Je suis ébranlé et ma douleur est profonde suite à la tragédie qui a eu lieu ce soir dans le centre de la capitale. C'est un moment très triste pour notre nation", a de son côté réagi le chef de l'Etat Klaus Iohannis sur sa page Facebook.

vendredi 30 octobre 2015

Nord : un étudiant retrouvé mort dans sa chambre

Le corps, en état de décomposition avancée, a été découvert lors d'une banale opération de désinsectisation. Un jeune étudiant de 22 ans originaire de Mayotte a été retrouvé mort mercredi dans sa chambre de la résidence Galois, sur le campus de la Cité scientifique de Villeneuve-d'Ascq (Nord).


D'après La Voix du Nord qui a révélé l'information, une autopsie sera pratiquée ce vendredi pour en savoir plus sur ce décès encore mystérieux. Selon les premières constatations, la chambre était fermée de l'intérieur et il n'y avait aucune trace de lutte.

«Cela faisait plusieurs semaines que nous sentions des odeurs bizarres, affirme l’un de ses voisins cité par le quotidien régional. Nous l’avions signalé aux personnes chargées de l’entretien.» C'est finalement à la suite d'une opération de désinsectisation de toute la résidence qu'El Anfani Abdallah a été découvert sans vie dans son lit, caché sous des couvertures. A en juger par l'état de décomposition du
cadavre, la mort pourrait remonter à plusieurs semaines.

«Ici, on se dit bonjour, au revoir, c'est tout»

D'après les locataires de la résidence, les discussions entre étudiants se font rares, ce qui expliquerait que personne dans le bâtiment n'a constaté l'absence de l'étudiant mahorais. «Ici, on se dit bonjour, au revoir quand on se croise, c’est tout, assure un étudiant d'origine africaine. Je ne connais même pas la personne qui habite en face de chez moi. Beaucoup de jeunes sont plongés dans leurs études.»

Ancien étudiant à l'université Lille-1, El Anfani Abdallah ne s’était pas réinscrit à la rentrée 2015. Le CROUS ne s’en est pas pour autant inquiété. «Nous demandons aux étudiants de régulariser leur dossier en envoyant une copie de leur carte mais à cette période de l’année, tous n’ont pas encore réalisé ces démarches», confie sa directrice adjointe. L’organisme accompagnait d'ailleurs le jeune homme socialement pour des retards de loyers.

L'
enquête en cours est menée par le commissariat de Villeneuve-d’Ascq.

http://www.leparisien.fr/

Pujols-sur-Ciron (33) : collision mortelle sur l'A62

Une des personnes impliquées n'a pas survécu. Un accident de la circulation est survenu ce vendredi matin peu après huit heures sur l'A62, dans le sens Bordeaux-Toulouse. La collision, pour l'heure inexpliquée, s'est produite à Pujols-sur-Ciron entre deux voitures, sur la voie de droite.
Quatre personnes se trouvaient à bord des véhicules. Un homme de 82 ans est décédé. Deux personnes sont blessées, dont l'une grièvement.
La circulation a été coupée sur cet axe le temps de l'intervention des secours. Un important bouchon de plus de 4 km s'est rapidement formé.
Selon le centre régional d'information et de circulation routière, il est conseillé de sortir à l'échangeur 2 de Podensac pour rattraper l'autoroute à Langon et d'éviter l'échangeur pour entrer sur l'A62.
http://www.sudouest.fr/2015/10/30/pujols-sur-ciron-33-collision-mortelle-sur-l-a62-2170585-2932.php

Hautes-Pyrénées : trois morts dans une collision entre une voiture et un poids-lourd

Un accident entre une voiture et un camion poids-lourd a fait trois morts cette nuit vers 5 heures du matin au carrefour de la D21 et de la D10 à Campuzan.
Trois jeunes de 22 et 17 ans se sont tués ce matin dans un accident de la route à Campuzan dans les Hautes-Pyrénées. Leur véhicule a violemment percuté à 5h30 un camion transportant du bitume sur la rd 21.
Le poids lourds s'est renversé et la voiture des victimes a terminé sa course dans une propriété voisine, tuant ses 3 occupants sur le coup. Le chauffeur du poids lourd, blessé, a été hospitalisé. Les secours sont toujours sur place.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/30/2207464-trois-morts-collision-entre-voiture-poids-lourd.html

jeudi 29 octobre 2015

Le bâtonnier touché par balles au tribunal de Melun "dans un état critique"

Le bâtonnier de Melun, touché jeudi matin par des coups de feu tirés par un avocat dans son bureau du tribunal, se trouve dans "un état critique", selon des sources proches du dossier. Ces mêmes sources citées par l'AFP avaient un peu plus tôt affirmé que le bâtonnier Henrique Vannier était décédé.


Le bâtonnier du barreau de Melun, Henrique Vannier, 44 ans, se trouve toujours dans un état critique ce jeudi matin après qu'un avocat à qui il devait notifier sa suspension a fait irruption dans son bureau et lui a tiré dessus, selon des sources proches du dossier. Ces même sources, citées par l'AFP, avaient un peu plus tôt affirmé qu'il était décédé.
L'avocat, Joseph Scipiliti, domicilié à La Rochette, en périphérie de la préfecture de Seine-et-Marne, avait été suspendu pour trois ans par l'ordre des avocats de Melun après avoir adressé des lettres de menaces au bâtonnier, toujours selon nos informations. Il était, de ce fait, interdit d'accéder au tribunal. Une interdiction qui avait été levée aujourd'hui.  
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/

mercredi 28 octobre 2015

Intempéries dans le Gard: VIDÉO. Un mort à Saint-Christol-lez-Alès

Des pluies torrentielles se sont abattues sur le département du Gard, ce mercredi, et en particulier sur les Cévennes. Si l’épisode météorologique est terminé selon la préfecture, le département demeure toutefois toujours en vigilance orange inondations.
Selon Midi Libre, un homme aurait perdu la vie, dans une sortie de route, du côté de Saint-Christol-lez-Alès. Le conducteur aurait perdu le contrôle de son véhicule, par manque de visibilité.

Une partie d’Anduze submergée

Plusieurs cours d’eau sont sortis de leurs lits : le Gardon, à Anduze, est monté à 6,92 m exactement, un record depuis les intempéries de 2002, lorsqu’il avait atteint les 10,25 m, indique Midi Libre. Une partie de la ville d’Anduze a été en partie submergée par les eaux, plusieurs commerces ont été inondés et des véhicules emportés.
http://www.20minutes.fr/montpellier/1719231-20151028-intemperies-gard-video-mort-saint-christol-lez-ales

Un piéton meurt renversé par une voiture à Cruet, en Savoie

Un homme de 38 ans est mort après avoir été renversé par une voiture, mardi 27 octobre vers 20 heures, à Cruet (Savoie).

L'homme marchait sur la route départementale 1006 lorsqu'il a été percuté par un véhicule.

Malgré les tentatives de réanimation des pompiers, l'homme est décédé sur place

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/savoie/un-pieton-meurt-renverse-par-une-voiture-cruet-en-savoie-839231.html

Collision à Tombeboeuf : la conductrice est décédée

Lundi vers 17 heures à Tombeboeuf, au croisement des départementales 254 et 667, l'insécurité routière a fait une 35e victime à la suite d'une collision qui s'est produite entre un fourgon conduit par un artisan de 63 ans, domicilié à Tonneins, et une voiture. La conductrice, âgée de 49 ans, de Gaujac, a été grièvement blessée. Elle est décédée dans la soirée à l'hôpital de Marmande. Sa passagère, 20 ans, de Gaujac également, a dû être désincarcérée de l'habitacle entièrement disloqué. Un enfant de 12 ans se trouvait dans la voiture. Ils ont été également transportés au centre hospitalier de Marmande. Ils n'ont été que légèrement blessés. Une déviation a été mise en place, le temps que les pompiers et les médecins du SMUR de Villeneuve portent les premiers secours. La circulation est redevenue normale sur les deux axes en début de soirée. Une enquête est ouverte sur les circonstances du drame.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/28/2206023-tombeboeuf-la-conductrice-est-decedee.html

mardi 27 octobre 2015

Il la pousse du 7e étage et descend l'achever

Un homme a tenté dimanche, en début de soirée, de tuer sa femme en la défenestrant, dans un immeuble du Blanc-Mesnil en Seine-Saint-Denis, raconte Le Parisien.

Le mari de 28 ans aurait poussé sa femme du 7e étage, puis serait descendu muni d'un couteau, pour la poignarder. La jeune femme de 25 ans a été sauvée par des témoins qui ont réussi a contrôler son mari.

Il a été interpellé par la BAC. Son épouse elle, a été transportée à l'hôpital où elle se trouve entre la vie et la mort

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/10/27/97001-20151027FILWWW00046-il-la-pousse-du-7e-etage-et-descend-l-achever.php

Guivry: Après la mort des deux passagers, le conducteur accidenté sur l'A26 est décédé à son tour

Un jeune homme et une femme de 21 ans, originaires de Guivry près de Chauny, étaient décédés dans un accident sur l’A26 dans le Nord dans la nuit de samedi à dimanche. Grièvement blessé, le conducteur est décédé des suites de ses blessures.
« J’ai appris la nouvelle ce matin » exprime d’une voix grave, la maire de Guivry Nadine Podevin. Romain Giammusso, le conducteur de la voiture accidentée samedi sur l’A26 dans le Nord, est décédé à son tour, rapportent nos confrères de l’Aisne Nouvelle.
Ses deux passagers, Nicolas Scheirs et Prescillia Serin avaient déjà perdu la vie dans ce dramatique accident. Le jeune homme de 21 ans, qui a été pompier volontaire, serait décédé dans la nuit de dimanche à lundi à l’hôpital. Prescillia Serin et lui étaient parents d’un petit garçon de deux ans et demi. Selon Nadine Podevin, le défunt avait prévu de donner son corps à la science.
Une autopsie est en tout cas prévue à Cambrai ce mardi matin.
http://www.lunion.com/node/581299

lundi 26 octobre 2015

Montgibaud : il meurt chargé par son bélier

Un homme de 89 ans est décédé ce 26 octobre 2015 à Montgibaud en Corrèze. Alors qu'il rendait visite à son troupeau, la victime a été chargée par un bélier. 
Dramatique accident ce 26 octobre 2015. Alors qu'il effectuait sa visite quotidienne à son troupeau d'ovins situé au lieu dit La Régaudie à Montgibaud en Corrèze, un éleveur a été chargé par un bélier. Malgré l'intervention des pompiers, l'homme de 89 ans n'a pas survécu à ses blessures. Il est décédé sur place en fin de matinée. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/correze

Un mort dans un accident à Saint-Quentin-sur-Isère

Ce dimanche 25 octobre au soir, un automobiliste est mort dans un accident de la route à hauteur du Lieu-dit "Le Château" à Saint-Quentin-sur-Isère (Isère).  
C'est à la suite d'une sortie de route inexpliquée, dans une ligne droite, que l'homme, âgé de 46 ans, est décédé. Sur la RD1532, son véhicule a quitté la chaussée, vers 22h10, effectuant plusieurs tonneaux. A l'arrivée des secours, la victime était en arrêt cardio-respiratoire, et, malgré la tentative de réanimation des pompiers, le médecin du SMUR n'a pu que constater son décès.

Lors de l'intervention des secours, les gendarmes ont régulé la circulation et les automobilistes n'ont roulé que sur une voie pendant 1h30. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere

Vitré (35) : trois morts dans un accident de la route

Hier soir, à Châtillon-en-Vendelais, trois personnes - un couple de septuagénaires et jeune homme - sont décédées suite à une collision frontale entre leurs voitures. L'accident a eu lieu aux alentours de 19h.
C'est sur la RD 108, entre Châtillon-en-Vendelais et Vitré, qu'a eu lieu l'accident. Deux voitures, une VW Mini rouge et une Citroën C4 gris clair, se sont percutées de face vers 19h, hier soir. Vu l'état des véhicules, le choc a été terrible.

Trois personnes sont décédées dans l'accident : un couple de personnes âgées et un jeune homme. Ils étaient en arrêt cardiaque à l'arrivée des secours et n'ont pas pu être ranimées.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/

dimanche 25 octobre 2015

Saint-Quentin Fallavier (Isère): un TGV percute un piéton sur la ligne Lyon/Marseille

L'homme, dont on ne connaît ni l'âge ni l'identité, a été percuté à hauteur de la rue des Perdrix, à Saint-Quentin-Fallavier. Il est décédé. Une enquête est ouverte.

Cet "accident de personne", comme le nomme la SNCF, a entraîné d'importantes perturbations. Trois trains ont ainsi été bloqués à Valence. Au total, près de 4000 passagers ont été concernés par la déviation du trafic.

La circulation SNCF est revenue à la normale vers 18h30.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/saint-quentin-fallavier-un-tgv-percute-un-pieton-sur-la-ligne-lyon-marseille-837017.html

Fusillade à Marseille : 3 morts dont 2 adolescents

Une fusillade s'est produite cette nuit vers 2 heures à la cité des Lauriers, dans les quartiers nord de Marseille, selon France info. Des rafales de 9 mm ont atteint plusieurs personnes. Le bilan provisoire fait état de 3 morts dont 2 adolescents de 14 et 15 ans. La troisième victime était âgée de 23 ans. Sur place les marins-pompiers ont tenté en vain de réanimer les victimes. D'importants moyens de police ont été déployés.
La cité des Lauriers est situées dans le 13e arrondissement de la cité phocéenne. C'est l'arrondissement le plus peuplé -88 000 habitants- mais c'est surtout celui qui compte le plus de cités : environ 35 (Les Lauriers, les Oliviers, Le Clos, Frais Vallon...). Il est réputé pour être gangréné de réseaux de drogue responsables de nombreux règlements de comptes.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/10/25/fusillade-a-marseille-3-morts-dont-2-adolescents

samedi 24 octobre 2015

Un homme se jette d’un pont sur la ligne TGV

Ce samedi, vers 15h40, un TGV reliant Marseille à Lyon, a percuté une homme qui venait de se jeter sur la voie ferrée, depuis un pont, au niveau de la commune de Saint-Quentin-Fallavier.
Après le choc, le train, lancé à grande vitesse, s’est arrêté quelques kilomètres plus loin au niveau de la commune de Grenay. Il y est resté stationner jusqu’à 18 heures environ pour permettre aux sapeurs-pompiers et aux forces de l’ordre d’intervenir pour la victime. Il s’agit d’un homme dont on ne connait pas l’identité. Le malheureux est décédé.
Selon nos informations, si l’accident n’a pas eu d’impact sur le trafic TER, il en a eu sur la ligne TGV. Plusieurs trains ont été détournés par la ligne classique entre Mâcon et Valence.

http://www.ledauphine.com/isere-nord/2015/10/24/un-homme-se-jette-d-un-pont-sur-la-ligne-tgv

Collision en Gironde : une cérémonie d'hommage prévue mardi

Une cérémonie en hommage aux victimes de l'accident de car de Puisseguin (Gironde) aura lieu mardi à Petit-Palais, en présence de François Hollande, indique l'Elysée.

Le président de la République s'est entretenu ce samedi avec la maire de Petit-Palais, "pour lui faire part de sa solidarité face à cette épreuve" et "il a été convenu avec elle et avec le préfet d'organiser une cérémonie mardi en hommage aux victimes" en présence de François Hollande, de proches des victimes, d'élus locaux et de membres du gouvernement

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/10/24/97001-20151024FILWWW00088-collision-en-gironde-une-ceremonie-d-hommage-prevue-mardi.php

Collision frontale dans le Cantal : Un cyclomotoriste de 16 ans a trouvé la mort

Un jeune garçon de 16 ans a trouvé la mort ce vendredi matin à Ydes dans le Cantal : L'accident s'est produit à 7h40 dans une rue du bourg. Une collision frontale a eu lieu entre le jeune pilote du cyclomoteur et un véhicule léger. Le cyclomotoriste, originaire de Ydes, n'a pas survécu au choc. La conductrice de la voiture, âgée de 21 ans, est indemne. Les circonstances de cet accident restent indéterminées.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne/cantal/collision-frontale-dans-le-cantal-un-cyclomotoriste-de-16-ans-trouve-la-mort-836355.html

Un jeune motard se tue à Eze

Un Azuréen de 27 ans a succombé à ses blessures, ce vendredi peu avant 17h, à la suite d'un accident de moto survenu deux heures plus tôt sur la Moyenne Corniche.
Le drame est survenu vers 14h30, à la sortie d'Eze-village, en direction de Monaco
Le malheureux a été médicalisé sur place, puis transféré sous escorte par les gendarmes vers l'hôpital Pasteur à Nice, où il est décédé au service réanimation.
Selon les premières constatations des gendarmes, aucun autre véhicule ne serait impliqué dans ce nouveau drame routier, qui alourdit encore le tribut payé par les deux-roues.
http://www.nicematin.com/nice/un-jeune-motard-se-tue-a-eze.2376090.html

Collision mortelle en Gironde : le bilan pourrait encore s'alourdir

Une terrible collision entre un autocar et un camion a fait 43 morts et quatre blessés graves vendredi en Gironde. Les victimes, brûlées vives, sont pour la plupart des personnes âgées mais aussi un enfant. Au lendemain du drame, les circonstances s'éclaircissent mais des doutes subsistent.
Il s'agit de l'accident de la route le plus meurtrier depuis 1982. 43 personnes ont perdu la vie, vendredi, dans une collision entre un autocar et un camion. Le drame s'est produit peu avant 7h30 sur la commune de Puisseguin, sur la route départementale 17 en Gironde. Les deux véhicules se sont embrasés aussitôt.
Huit passagers de l'autocar ont réussi à sortir du piège du brasier: vendredi soir, deux personnes se trouvaient "dans un état critique", avec pronostic vital engagé, selon le Procureur. Deux autres sont dans un état grave, mais leur vie n'est pas en danger. Quatre personnes sont plus légèrement blessées.
 
• 41 ou 42 personnes mortes à l'intérieur du bus ?
Ce samedi matin, le bilan reste incertain, un doute subsistant sur le nombre de personnes décédées, 41 ou 42, à bord de l'autocar. Si la seconde hypothèse devait se vérifier, le bilan final s'alourdirait à 44 morts. "On peut avoir des personnes inscrites qui ne se trouvaient pas dans ce car, et l'inverse. Il y avait une liste dans le car qui n'a pas pour l'instant été retrouvée", a déclaré le Procureur de la République de Libourne, Christophe Auger, qui dirige l'enquête, lors d'une conférence de presse. "C'est pour ça que j'ai annoncé 41 ou 42 victimes", a-t-il ajouté, expliquant que le bus "prenait des passagers à différents endroits, sur les communes" avec, semble-t-il, une "dernière étape à Petit-Palais", d'où le bus est parti aux alentours de 7 heures pour une excursion d'une journée dans les Pyrénées-Atlantiques.
Le chauffeur du camion, âgé d'une trentaine d'années, fait partie des morts, de même que son fils de trois ans. Chauffeur "expérimenté", il était le fils du responsable d'une société de transports basée à Saint-Germain-Clairefeuille (Orne). Il était allé livrer du bois et était sur le retour.
 

vendredi 23 octobre 2015

Rhône : Un très jeune couple et leur bébé se tuent dans un accident de voiture

Pour l’instant, personne ne sait réellement comment le drame est survenu. Ce matin, les corps de trois personnes ont été retrouvés sur l’autoroute A89 au niveau de la commune de Saint-Germain-Nuelles, dans le Rhône. Il s’agit d’un très jeune couple, à peine âgé de 20 ans et de son bébé.
C’est un routier qui a alerté les secours après avoir vu que le véhicule des jeunes parents gisait en contrebas de l’autoroute. Le couple et l’enfant ne se trouvaient plus dans la voiture d’où ils ont été éjectés après plusieurs tonneaux. Tous trois étaient décédés à l’arrivée des pompiers.

Aucun témoin de l’accident

« Il n’y a aucun témoin visuel. L’accident a peut-être eu lieu pendant la nuit. On ne sait pas », expliquent les secours. A priori, cette famille était originaire du Sud-Ouest et se trouvait en vacances dans la région.
http://www.20minutes.fr/lyon/1715775-20151023-rhone-tres-jeune-couple-bebe-tuent-accident-voiture

Drame d'Haubourdin : l'épouse et ses enfants "morts par étouffement"

Par ailleurs, des prélèvements sanguins permettront peut-être de détecter des traces d'alcool ou de somnifères chez les victimes.
Quatre des cinq membres d'une même famille retrouvés morts mercredi soir à leur domicile d'Haubourdin, près de Lille, sont morts "par étouffement", a-t-on appris jeudi de source judiciaire."Des difficultés financières". "L'épouse et les trois enfants sont morts par étouffement", a précisé jeudi le procureur de la République de Lille Frédéric Fèvre, après que des autopsies ont été pratiquées. Cette conclusion laisse supposer que le père de famille a tué tous les siens avant de mettre fin à ses jours. "Des prélèvements ont été effectués, notamment sanguins, pour voir s'il y a des traces d'alcool ou de somnifère" sur les victimes, a-t-il ajouté. Selon le procureur, la famille n'était pas en situation de surendettement mais traversait "des difficultés financières". La sûreté urbaine de Lille a été chargée de l'enquête.
Cinq corps. Les corps des trois enfants, une fille de dix ans et deux garçons de quatre ans et six mois, ainsi que celui de la mère, 40 ans, et du père, 42 ans, avaient été découverts dans la soirée de jeudi par les pompiers à l'intérieur de la maison d'habitation, dans une partie résidentielle de cette petite ville de 15.000 habitants à 7 km à l'ouest de Lille. C'est la tante et la nounou des enfants qui, sans nouvelles de la famille, avaient donné l'alerte mercredi. 
Un écrit du père. Le père avait été retrouvé pendu, tandis que les quatre autres corps gisaient sur des lits, sous une couverture. L'homme avait "laissé un écrit, daté du 16 octobre, expliquant son geste", avait indiqué mercredi le procureur.

jeudi 22 octobre 2015

Un alpiniste américain trouve la mort dans le massif du Mont Blanc

L'accident s'est produit vers 21H dans la voie Gina du sommet des Droites. A 3700 m d'altitude, le père, un américain de 61 ans, a dévissé dans la descente et chuté sur une quarantaine de mètres. Coincé dans la paroi et extrêmement choqué, son fils de 15 ans a donné l'alerte.

Le brouillard empêchant l'hélicoptère du PGHM de décoller, l'adolescent a dû passer la nuit sur un éperon rocheux, en contact permanent avec les secouristes. Avec l'amélioration des conditions météorologiques, il a finalement été récupéré vers 7H30 ce matin. Il ne souffre que d'une légère hypothermie.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie/chamonix/un-alpiniste-trouve-la-mort-dans-le-massif-du-mont-blanc-835033.html

Marne: un facteur se suicide à Rilly-la-Montagne

C’est sa fille adolescente qui l’a trouvé. Ce dimanche, un facteur de 52 ans s’est pendu à son domicile. Ce lundi, ses collègues de la plateforme de Rilly-la-Montagne ont appris la nouvelle avec stupeur. Mais, comme le soulignent nos confrères de France 3 Champagne-Ardenne, pas forcément avec étonnement. La semaine dernière, le facteur aurait évoqué sa fatigue et sa difficulté à supporter la restructuration du site de distribution du courrier où il travaillait depuis 25 ans.
Dans le cadre de cette restructuration, un poste de facteur avait été supprimé à Rilly-la-Montagne. Selon France 3 Champagne-Ardenne, dans d’autres sites marnais, des transformations du même ordre sont à l’œuvre. Deux postes sont ainsi supprimés au niveau de la plateforme de distribution du quartier Colbert à Reims. Au mois de février, les sites de Bétheny et Saint-Remi connaîtront les mêmes bouleversements. Une réorganisation que La Poste de la Marne justifie par la nécessité de s’adapter à la baisse des flux de courrier. Une réunion entre la direction et les syndicats est d’ailleurs prévue ce vendredi 23 octobre.
En ce qui concerne le cas particulier de ce postier de Rilly-la-Montagne, La Poste réfute tout lien entre ce suicide et la réorganisation du service. Dimanche, avant que le drame ne soit connu, les gendarmes en avaient conclu qu’« une séparation » et des « problèmes professionnels » pouvaient en être à l’origine.
Interrogée, la famille a déclaré aux enquêteurs qu’il ne s’était jamais remis de sa séparation d’avec sa femme il y a 7 ans et qu’il avait sombré dans la dépression dès cette époque, se repliant sur lui-même. Son changement au travail, prévu ces jours-ci, est intervenu sur ce terrain psychologique particulièrement fragilisé. Mais les collègues du défunt contestent le lien avec la séparation en soulignant que le divorce date d’il y a 8 ans.
Une minute de silence a été observée ce mardi par les postiers de l’agglomération rémoise à la mémoire de leur collègue.
http://www.lunion.com/node/577544

Drame familial dans le Nord : cinq membres d'une même famille retrouvés morts à leur domicile

Les corps des trois enfants, dont le plus jeune était âgé de 6 mois, celui de la mère et celui du père, qui était pendu, ont été découverts dans la maison familiale à Haubourdin, dans la banlieue de Lille, mercredi soir.
L'alerte a été donnée par la tante et la nourrice des enfants, qui étaient sans nouvelles de la famille. Cinq membres d'une même famille ont été retrouvés morts mercredi soir dans leur domicile d'Haubourdin, dans la banlieue de Lille, a indiqué la police. Les corps des trois enfants, une fillette de 10 ans et deux garçons de quatre ans et six mois, celui de la mère de 40 ans et celui du père, 42 ans, ont été découverts dans la maison familiale.
Le père s'est pendu et a "laissé un écrit, daté du 16 octobre, expliquant son geste. Il a évoqué le surendettement et de grosses difficultés financières", a expliqué le procureur de Lille Frédéric Fèvre, qui a confié l'enquête à la sûreté urbaine de Lille. Un imposant périmètre de sécurité a été établi autour de cette maison de briques de deux étages donnant sur une placette avec parking, situé dans un quartier résidentiel d'Haubourdin à 7 km à l'ouest de Lille.A l'intérieur de ce périmètre, les policiers de l'identité judiciaire étaient à l'oeuvre.
 
Les pompiers sont intervenus vers 20h
 
Les corps des victimes ont été retrouvés sur des lits, sous une couverture. "Il n'est pas exclu qu'au moins l'une d'entre elles ait été étouffée", a préciséle procureur. Une quinzaine de riverains étaient également présents sur place. Beaucoup d'entre eux étaient en pleurs. Ils ont entendu arriver les pompiers vers 20h. "Cette famille n'était pas installée là depuis très longtemps, depuis un an environ. Ici, c'est un quartier extrêmement calme et résidentiel, les enfants y font souvent du vélo et de la trottinette", a déclaré à l'AFP Christelle, une voisine.
 
De source proche du dossier, la famille n'avait plus donné signe de vie depuis plusieurs jours. "C'est le quartier le plus calme de la ville. Tout le monde se connaît. Je suis ici pour témoigner notre soutien et apporter une aide, si tant est que c'est possible dans ces circonstances", a ajouté le premier adjoint de la ville, Jean-Luc Lesaffre
 

mercredi 21 octobre 2015

Lourde collision frontale : un Lot-et-Garonnais trouve la mort

Une fois encore la route a tué et une fois encore, un conducteur Lot-et-Garonnais a trouvé la mort hier, lors d'un dramatique accident routier dans le Tarn-et-Garonne...
Des débris de véhicules sur plus de 200 mètres sur la RD 813, une circulation pour partie paralysée en amont de Lamagistère provoquant un important bouchon jusqu'à Golfech et également en Lot-et-Garonne, le terrible et macabre accident impliquant deux automobiles dont un ayant perdu la vie et un poids lourd, a mobilisé jusqu'en milieu de soirée un important dispositif de secours.

Jérôme Mendez, 37 ans, un habitant de Clermont-Soubiran a succombé dans la collision

Il était près de 17 h 15 lorsqu'une automobiliste au volant d'une «Renault Espace» qui circule sur la RD 813, se déporte, pour une raison encore indéterminée, sur l'autre voie. En face un chauffeur poids lourd tente d'éviter la collision et se déporte. Une manœuvre qui ne lui permettait toutefois pas d'éviter de percuter ce véhicule, puis un second qui suivait l'automobiliste s'étant déportée. L'impact quasi frontal avec le deuxième automobiliste au volant d'une «Mercédes classe A» est terrible. Grièvement blessé, son occupant, Jérôme Mendez, 37 ans, un habitant de Clermont-Soubiran, est en arrêt cardiaque à l'arrivée des premiers secours. Sur place, en effet, le commandant des pompiers Valenciens, Guy Castet fait appel à d'importants moyens face à la situation. Ce sont ainsi près de trente pompiers provenant de quatre centres de secours qui sont alors mobilisés sur les lieux (Valence-d'Agen, Saint-Nicolas-de-la-Grave, Dunes et Moissac). Alors qu'une première équipe tente de réanimer Jérôme Mendez, une autre est mobilisée pour désincarcérer l'automobiliste enchevêtrée dans l'amas de tôle de son «Renault Espace». Grièvement blessée, cette femme âgée de 42 ans qui souffrait de plusieurs fractures, a été évacuée par une ambulance médicalisée du SAMU 47. En état de choc, le chauffeur du poids lourd âgé de 47 ans, a été transporté au centre hospitalier de Moissac. Également sur les lieux, le patron de la compagnie de gendarmerie de Castelsarrasin, le capitaine Didier Protois supervisait les quatre patrouilles mobilisées pour assurer la fluidité du trafic routier, une circulation alternée étant mise en place, ainsi que les nombreuses constatations à réaliser sur les lieux de l'accident
 

mardi 20 octobre 2015

Macabre découverte sur une aire d'autoroute, près de Sélestat

Un homme d’environ 60 ans a été découvert mort dans sa voiture sur l’aire de repos du Haut-Koenigsbourg, sur l’A35 ce matin, vers 8 h 30. Il s’agirait d’un geste désespéré.
http://www.dna.fr/edition-de-selestat-centre-alsace/2015/10/20/macabre-decouverte

La mort du petit Lucas plonge Jœuf dans l’effroi

Un moment terrible pour les parents », confie André Corzani, le maire de Jœuf. La triste nouvelle est tombée hier soir : Lucas, 7 ans, a succombé à ses blessures. Le petit garçon avait été héliporté jeudi après-midi au CHRU de Nancy, après avoir reçu sept coups de couteau en pleine rue, à Jœuf. Opérée durant de nombreuses heures, la petite victime avait été placée en coma artificiel. Les dernières nouvelles évoquaient, samedi, un état jugé préoccupant mais stable.
Les ultimes espoirs se sont effondrés hier. Dans la matinée, selon nos informations, l’enfant était déclaré en état de mort cérébrale. C’est-à-dire que le cerveau ne donnait plus d’ordres aux autres organes. Ceux-ci continuaient à fonctionner grâce à l’appareil auquel l’enfant était branché. La terrible décision de le couper de la machine qui le maintenait en vie a été prise en fin d’après-midi. « Autant l’espoir, entretenu par la marche silencieuse de dimanche, était grand, autant le choc de la nouvelle est violent », s’épanche André Corzani. La marche silencieuse : celle organisée dimanche matin où près de 3.000 personnes avaient exprimé leur soutien à Lucas, ses parents, son grand frère, son beau-père et les autres membres de sa famille. « Ce grand rassemblement a été un appel à toujours plus d’humanité malgré la cruauté du geste », poursuit le maire.

Responsable pénalement

L’élu, « profondément affecté tout comme le reste de la population », fait référence à celui qui est passé de la peau de l’agresseur à celle du meurtrier : Dany Crapanzano, un voisin de Lucas, n’a pas hésité à porter sept coups de couteau au garçonnet jeudi après-midi rue Clemenceau, alors qu’il revenait de l’école et qu’il se trouvait à quelques dizaines de mètres de chez lui. Cet individu de 30 ans a été neutralisé par un policier au repos qui promenait son chien. Parvenant à prendre la fuite, le Jovicien s’est ensuite rendu de lui-même au commissariat de Briey.
Une chapelle ardente sur les lieux du drame
Le psychiatre qui l’a examiné en garde à vue a parlé de troubles psychotiques ayant altéré le comportement du mis en cause au moment de commettre l’inconcevable. Altéré et non aboli. « Il demeure donc responsable pénalement », avait déclaré le procureur de Briey, lors d’une conférence de presse vendredi matin. Avant de se dessaisir au profit de son homologue de Nancy.

Autopsie ce mardi

Aussi bien face aux enquêteurs de Briey que devant les magistrats de la cité ducale, Dany Crapanzano n’aurait donné aucune explication à son geste fou. Avant d’être incarcéré vendredi après-midi par un juge des libertés et de la détention, le trentenaire a simplement déclaré ne pas vouloir s’exprimer sans la présence d’un avocat, la profession étant actuellement en grève. Mis en examen au départ pour tentative de meurtre sur mineur de 15 ans, le Jovicien va voir son chef d’inculpation évoluer. « Il va désormais être poursuivi pour homicide volontaire. Mais la peine encourue ne change pas : il risquait déjà la perpétuité », indiquait hier soir une source proche de l’affaire. L’autopsie du petit Lucas devrait être pratiquée aujourd’hui.
Au même moment, plusieurs dizaines de personnes se sont réunies dans la rue Clemenceau, installant même une chapelle ardente sur les lieux du drame. Manifestant leur émotion mais aussi leur colère

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/10/20/la-mort-du-petit-lucas-plonge-joeuf-dans-l-effroi

lundi 19 octobre 2015

Lyon: Un homme se tire une balle dans la tête dans une station du métro

L’alerte a été donnée ce lundi matin vers 7h30 lorsqu’un agent de ligne a découvert le corps dans une cabine d’ascenseur. Un homme de 67 ans a mis fin à ses jours à la station de métro Monplaisir-Lumière, à Lyon, en se tirant une balle dans la tête.
La thèse du suicide semble la plus plausible. Une lettre a été retrouvée à côté du malheureux, précise Keolis, gestionnaire des transports en commun lyonnais. La victime l’avait adressée à son ancienne épouse, lui faisant part de son intention de se donner la mort.
Un périmètre de sécurité a été établi autour de l’ascenseur pour permettre aux enquêteurs d’intervenir et aux secouristes d’évacuer le corps mais l’exploitation de la ligne D du métro n’a pas été perturbée.
http://www.20minutes.fr/lyon/1712759-20151019-lyon-homme-tire-balle-tete-station-metro

Drame familial à sainte-Marie-des-Champs : le procès s'ouvre lundi à Rouen

La vie de deux familles a basculé le 23 avril 2013 à Sainte-Marie-des-Champs.

Julie, 32 ans et son compagnon Bruno, 43 ans sont morts poignardés chez eux en pleine journée. Trois enfants âgés de 4 à 12 ans étaient dans la maison. Des voisins du lotissement ont été les témoins impuissants de la mort du couple.

Le même jour, un homme de 45 ans, fonctionnaire à l'assemblée nationale était arrêté dans sa fuite dans le train en partance pour Paris. Il était l'ex-mari et père des enfants de la jeune femme. Emmanuel M. portait des marques de sang.

Au cours de l'enquête, on découvrira qu'un conflit opposait les deux anciens conjoints. Il portait sur le droit de visites des 2 enfants en bas-âge.

Le procès d'assises devra cerner la personnalité de l'accusé, les circonstances exactes du double homicide et établir si l'homme était atteint d'un trouble psychiatrique ayant aboli ou altéré son discernement.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/rouen
Ste Marie des Champs : rappel des faits du drame famillial

Loire-Atlantique : un enfant de deux ans meurt percuté par le camion de son père

Un tragique accident est venu endeuiller la commune de La Plaine-sur-mer, en Loire-Atlantique, ce samedi soir. Un enfant âgé de deux ans est mort percuté par la camionnette que conduisait son père, rapporte France 3 Pays de la Loire.
Les faits se sont déroulés samedi, vers 19 heures. Un chef d’entreprise avait passé la journée à travailler dans son atelier, en compagnie de son fils de deux ans. Ce père de famille s’apprêtait à rentrer à son domicile. Au volant de son petit camion, il a effectué une banale marche arrière, pensant que son enfant était dans le véhicule avec lui. Malheureusement, ce n’était pas le cas. Le petit garçon a été heurté par la camionnette. Le choc lui a été fatal, il est décédé sur le coup.
La gendarmerie de Pornic est en charge de l’enquête. Elle devra notamment déterminer comment l’enfant a pu échapper à la surveillance de son père. Le maire de La Plaine-sur-mer, Michel Bahuaud, s’est rendu sur les lieux du drame, raconte Ouest France. Il a rencontré le couple très éprouvé et en état de choc.
http://www.ladepeche.fr/faits-divers/

dimanche 18 octobre 2015

Joeuf: marche silencieuse pour le petit Lucas

Quelque 1.700 personnes ont marché en silence, dimanche à Joeuf (Meurthe-et-Moselle), en soutien à la famille de Lucas, 7 ans, poignardé jeudi par un homme souffrant de troubles psychiatriques et plongé depuis dans un coma artificiel.

La foule, émue, s'est réunie à 11H00 devant la mairie, où la grand-mère de Lucas a lu un message remerciant, au nom des parents qui se trouvent à l'hôpital, toutes les personnes présentes pour leur soutien. Le cortège, silencieux, a ensuite marché une demi-heure, sous un ciel gris et par un temps froid, jusqu'au lieu du drame avec en tête le grand frère de Lucas, Paolo, qui portait une photo du jeune garçon.

"Toute mon énergie, je la mets pour mon frère. Je suis sûr qu'il va se réveiller lundi", a-t-il dit. Dans la foule, une maman, venue avec ses deux enfants dont un dans la même école que Lucas, a expliqué, en larmes, que son fils avait insisté pour venir et apporter un petit mot pour la victime, disant que c'était "un super héros".

Au premier rang du cortège se trouvaient des proches de la famille et les grands-parents de Lucas. A l'arrivée dans l'impasse où le petit garçon s'est fait poignarder à sept reprises jeudi alors qu'il rentrait de l'école dans cette commune de 6.700 habitants à une trentaine de km au nord-ouest de Metz, la grand-mère a une nouvelle fois remercié les personnes présentes et a brandi le doudou de son petit-fils, un coussin avec un mouton dessus.
Le grand-père, effondré, a espéré que son petit-fils se réveillerait "sans séquelle".
Lucas, opéré et hospitalisé à Nancy depuis le drame, était toujours dimanche dans un état grave mais stationnaire. Son agresseur présumé, un homme né en 1985, a été mis en examen vendredi pour "tentative d'homicide aggravé par la circonstance que les faits ont été commis sur mineur de 15 ans" et placé sous mandat de dépôt.

L'homme, mis en fuite au moment des faits par un policier qui n'était pas en service, s'était ensuite rendu au commissariat de police de Briey. Il s'est depuis muré dans le silence devant les enquêteurs sans pouvoir expliquer son geste.

D'après un expert qui l'a examiné, l'homme souffre de "troubles psychiatriques" qui ont altéré son jugement, sans toutefois l'abolir. Il est de ce fait responsable pénalement et encourt la réclusion à perpétuité.

http://video.lefigaro.fr/figaro/video/ce-journaliste-americain-teste-une-voiture-sans-conducteur/4563539384001/

Marche blanche à Aubervilliers en hommage à Fossary, l'adolescent tué à l'arme blanche

Plusieurs centaines de personnes ont défilé en silence, samedi, en mémoire de l'adolescent de 16 ans retrouvé mort à Pantin la semaine dernière. Ses proches ont lancé un appel au calme.

Ils ont marché pendant près d'une heure. Derrière une banderole "Fossary, plus jamais ça", plusieurs centaines de personnes ont défilé samedi à Aubervilliers pour rendre hommage à l'adolescent de 16 ans poignardé à mort le week-end dernier à Pantin. Les participants à cette "marche blanche", emmenée par la mère, le frère et la soeur de Fossary Sanha, ont parcouru dans un silence de plomb cette commune populaire du nord-est parisien. Les proches du jeune homme, décrit comme "généreux et plein d'humour", ont ensuite lancé un message en forme d'appel au calme.
 
"Ce drame fait mal, mais il ne faut pas que ça continue, qu'il y ait d'autres jeunes victimes, ici ou à la Courneuve. Ils ont fait une bêtise, ils vont assumer leurs responsabilités, faisons confiance à la justice", a lancé un proche de la famille devant le cortège, arrêté devant la mairie d'Aubervilliers à l'issue de la marche. L'adolescent aurait été victime d'un règlement de comptes entre bandes rivales issues de Seine-Saint-Denis, selon son entourage. Il a été tué dans la nuit de samedi à dimanche de trois coups de couteau par une dizaine de personnes, qui l'ont laissé gisant dans son sang sur le trottoir avant de prendre la fuite à bord d'une voiture retrouvée à La Courneuve.
 
Les agresseurs n'ont pas encore été identifiés
Pascal Beaudet, le maire PCF de la ville, a appelé à une minute de silence, en présence des maires des communes voisines de Pantin et Aubervilliers. Interrogé sur l'avancée de l'enquête, il a appelé à "laisser le temps à la police de faire son travail méticuleusement, sur un sujet aussi sensible." Confrontés à la "loi du silence", les enquêteurs peinent à identifier les agresseurs. Selon l'entourage de l'adolescent, c'est pour venger sa mort que des élèves du lycée Le Corbusier habitant La Courneuve ont été pris à partie lundi après-midi par des élèves résidant eux à Aubervilliers.
 
Quatre lycéens ont été légèrement blessés lors de cet affrontement qui a impliqué une cinquantaine de jeunes munis pour certains de barres de fer, selon une source policière. Trois ont été conduits à l'hôpital. Depuis cet incident, la police surveille les abords de tous les lycées d'Aubervilliers et de La Courneuve, et des CRS ont été mobilisés pour patrouiller à la cité des 4000.
 

samedi 17 octobre 2015

Picquigny (80) : accident mortel cette nuit sur la D936

Il était 4h30 cette nuit lorsqu'un jeune conducteur qui transportait 3 autres personnes a perdu le contrôle de son véhicule. Un des passagers arrière, âgé de 20 ans a été tué.
D'après les premiers éléments de l'enquête, la vitesse serait à l'origine de l'accident. Le conducteur aurait perdu le contrôle de son véhicule sur la D936 à hauteur de Picquigny,dans la Somme. Il était 4h30.
Le bilan est lourd : un mort et trois blessés, transportés par les pompiers au centre hospitalier d'Amiens.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/somme/picquigny-80-accident-mortel-cette-nuit-sur-la-d936-831905.html

La petite fille était affamée et battue

Zouboudou et Assiati, deux Comoriens, ont tout l'air de gens très ordinaires, voire banals. Lui est carreleur, elle mère au foyer. Un Monsieur et une Mme Tout-le-Monde, à un détail près. Ils ne sont pas vraiment des parents comme tout le monde. Lorsqu'ils quittent leur pays pour venir s'installer en France, leur fille Tania a 2 ans. Elle restera chez sa grand-mère à Mayotte, le temps pour les parents de trouver un logement. La petite voyagera un peu plus tard, pour rejoindre ses parents et entamer sa scolarité en maternelle, en 2004. Elle effectuera toute sa scolarité à Tarbes et entrera en 6e au collège de Lannemezan. C'est au cours de cette rentrée, en 2014, que l'établissement fait un signalement : la petite a volé un peu d'argent à l'un de ses professeurs. Elle est convoquée et elle explique qu'elle voulait s'acheter à manger. On remarque alors qu'elle présente de nombreuses marques sur les jambes et, plus curieux, après enquête auprès de la cantine, qu'elle se jette littéralement sur la nourriture. Les parents sont eux aussi convoqués et ce qu'on va découvrir est assez stupéfiant. Depuis plusieurs mois, la gamine est enfermée dans une sorte de réduit, dans le noir, volets et fenêtre fermés par du fil de fer, porte verrouillée. Quatre fois par semaine, elle est privée de dîner, bouclée dans ce qui lui sert de chambre pendant que ses parents, eux, dînent devant la télé. Quand elle rentre de l'école, pas de goûter non plus. Régulièrement, elle est battue avec un «shengoué», un fouet comorien, fait de branchages fins. À la barre, les parents semblent tomber des nues : «Mais je travaille justement pour qu'elle ait à manger et qu'elle ait la force de travailler à l'école». Stupeur de la présidente : «Et les coups de shengoué ?», demande-t-elle. «C'est juste quand elle est punie. C'est comme ça aux Comores, les enfants reçoivent le shengoué. Je sais qu'en France, c'est pas pareil. Et puis, c'est elle qui ne voulait pas manger, elle n'aime que ce qu'il y a à la cantine. Nous, on mange le traditionnel : du riz, du manioc, des bananes, du poisson. Elle aime pas ça. Alors, elle mange pas. On la punit parce qu'elle veut s'échapper.» En fait d'évasion, c'est que la petite avait réussi un soir à dénouer le fil de fer pour pouvoir respirer un peu par la fenêtre et voir le jour. Et si le shengoué, le fouet paternel, ne suffit pas, il y a le bâton manié par maman. Et la mère ne retient pas beaucoup ses coups non plus. Quand elle est fouettée par le père, l'enfant pleure, alors madame se réfugie dans la cuisine, pour n'avoir pas à entendre les supplications de sa fille : «Non, c'est pas vrai ça !, se défend-elle. C'est mal transcrit, c'est tout.» Ben voyons. Et comme un seul homme, les deux parents vont lâcher le mot magique : culture. «Chez nous, c'est comme ça qu'on fait ! C'est notre culture.» La présidente sursaute : «On affame les enfants chez vous ?» «Mais non, elle était pas affamée…» «Ah bon ? Pourquoi a-t-elle volé un professeur ? Pourquoi se gave-t-elle à la cantine ? Pourquoi enfourne-t-elle du pain dans ses poches ? Aucun enfant ne fait ça, sauf s'il a faim. Il n'y a aucune culture au monde qui affame les enfants.» Depuis cette rentrée, la petite a été placée en foyer et ne veut surtout pas en sortir : «Si vous aviez traité votre enfant normalement, elle voudrait vous retrouver. Même certains enfants battus gardent le lien avec leurs parents et souhaitent les retrouver. Pas votre fille. C'est dans votre culture aussi de vous désintéresser complètement de votre enfant depuis qu'elle est placée ?», relève la magistrate. Partie civile et procureure sont atterrées : «Ce dossier donne la nausée, dira Me Toujas. J'entends bien qu'il puisse y avoir une exception culturelle. Mais que vaut l'exception culturelle quand on bafoue les droits les plus élémentaires de son enfant ? Même les animaux protègent leurs petits et les nourrissent. La question de la déchéance parentale se pose.» La procureur Trébuchet va dire elle aussi sont écœurement : «Quand tant de faits sont cumulés, ça devient insupportable. On ne peut pas accepter cette explication d'exception culturelle. Ces deux-là mentent sans arrêt. Cette enfant a été tellement maltraitée qu'elle ne veut plus quitter son foyer, plus revoir ses parents. C'est rarissime».
Les parents indignes n'ayant aucun casier, ils ont été condamnés à 12 mois de prison avec sursis et devront payer 1.500 € de dommages et intérêts au conseil départemental, administrateur ad hoc.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/17/2199402-la-petite-fille-etait-affamee-et-battue.html

vendredi 16 octobre 2015

Un enfant de douze ans se pend près de Nancy

Le jeune garçon, victime de moqueries dans son collège, se serait suicidé au domicile familial, à Custines près de Nancy. Une enquête a été ouverte

Un jeune garçon de douze ans a été retrouvé pendu à son domicile de Custines, au nord de Nancy (Meurthe-et-Moselle). C'est sa mère qui l'a découvert, jeudi soir en rentrant du travail, relatent nos confrères de L'Est Républicain.
Il semblerait que l'enfant ait fait l'objet de moqueries au collège Louis-Marin de Custines, où il était scolarisé. Une enquête a été ouverte, et des enseignants et camarades de classe de la victime ont commencé à être auditionnés vendredi matin. Une cellule de soutien psychologique a également été mise en place dans l'établissement, où la fête prévue pour Halloween a été annulée
http://www.dna.fr/actualite/2015/10/16/un-enfant-de-douze-ans-se-pend-pres-de-nancy

Calais : un migrant meurt percuté par une navette à la sortie du tunnel sous la Manche

Un migrant est mort après avoir été percuté par un train de marchandises Eurotunnel aux abords des quais du tunnel, à Coquelles près de Calais, a-t-on appris de sources concordantes.
Un migrant est mort après avoir été percuté par un train de marchandises Eurotunnel aux abords des quais du tunnel, à Coquelles près de Calais, a-t-on appris de sources concordantes
A leur arrivée vers 02h15, les secours ont constaté qu'il était impossible d'identifier l'âge, le sexe ou la nationalité de la personne, parce que son "corps a été déchiqueté sur plus de 400 m" juste après l'impact, a indiqué à l'AFP le Centre opérationnel d'incendie et de secours (Codis) du Pas-de-Calais. L'accident est survenu alors que le train, une navette de marchandises Eurotunnel en provenance de Grande-Bretagne, rejoignait le quai côté français, a précisé un porte-parole d'Eurotunnel.
 
Aucune perturbation du trafic n'a été causée par l'accident, a ajouté cette source.Ce décès porte à 16 le nombre de migrants tués depuis le 26 juin dans le Calaisis en essayant de rallier l'Angleterre. Entre 4000 et 5000 migrants, venant principalement d'Afrique de l'Est, du Moyen-Orient et d'Afghanistan, vivent à Calais et dans ses environs dans des conditions précaires, tandis qu'un millier se trouvent un peu plus à l'est dans la région de Dunkerque dans l'espoir de rallier l'Angleterre.

jeudi 15 octobre 2015

Un élagueur tué par la chute d'un arbre

L'accident s'est produit mercredi après-midi à Sérignac sur Garonne en Lot-et-Garonne. Alors qu'il élaguait un peuplier, l'homme s'est retrouvé coincé sous l'arbre qui a versé. En arrêt cardiaque à l'arrivée des secours, il n'a pas pu être ranimé.
Il était 14h53 quand l'accident a eu lieu. Un ouvrier agricole élagueur a été grièvement blessé par la chute d'un peuplier au lieu dit "Billeau" à Sérignac sur Garonne en Lot-et-Garonne. Les secours qui sont intervenus rapidement sur place ont constaté qu'il était en arrêt cardiaque. Malgré les soins prodigués, l'homme âgé de 53 ans n'a pas pu être réanimé, il est décédé sur les lieux de l'accident.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/lot-et-garonne/un-elagueur-tue-par-la-chute-d-un-arbre-829991.html

Caux-et-Sauzens : un motard de 45 ans décède dans une collision

Mercredi, en fin d'après-midi, un accident entre une automobile et une moto a coûté la vie au pilote du deux-roues, âgé de 45 ans et domicilié à Belvèze-du-Razès. C'est sur la route de Montréal, au croisement des RD 48 et RD 119, qu'est survenu l'accident au niveau de la commune de Caux-et-Sauzens. Aux environs de 18 h, et dans des circonstances qui restent encore à préciser, le motard serait entré en collision avec la voiture qui venait en sens inverse. 
Alertés, les policiers carcassonnais, les sapeurs-pompiers de Carcassonne, sur place avec VSAB et fourgon de secours routier, ainsi qu'une équipe du Smur du centre hospitalier de Carcassonne sont intervenus pour réguler la circulation et prendre en charge le motard, en vain. Le conducteur et le passager de l'automobile sont eux sortis indemnes de la collision.

http://www.lindependant.fr/2015/10/15/caux-et-sauzens-un-motard-de-45-ans-decede-dans-une-collision,2098885.php

Aude : mort depuis 15 jours chez lui à Coursan

M ardi 13 octobre, à Coursan dans l'Aude, des voisins, alertés par l'odeur émanant de l'habitation mitoyenne et
inquiets de ne pas apercevoir leur voisin, ont alerté les pompiers.

C'est à 12 h 30 qu'ils ont fait la macabre découverte d'un cadavre en état de décomposition très avancée. Il s'agit d'un homme de 61 ans d'origine espagnole, vivant seul. Cela faisait 15 jours que les voisins n'avaient pas vu cet homme apparemment dépourvu de famille. Les gendarmes et les pompiers ont constaté sur place que la porte d'entrée
était fermée de l'intérieur et sont passés par la fenêtre du balcon. Ils ont découvert dans les toilettes l'individu décédé
en état de décomposition avancée.

Contacté, le médecin traitant a confirmé que la personne était atteinte d'une maladie grave en phase terminale. Le décès a été officiellement constaté, et le parquet avisé. Un drame qui renvoie à l'extrême solitude de certaines personnes, souffrant à la fois de maladie et de leur isolement, loin de leurs proches.
(SOURCE : L'INDEPENDANT)


http://www.midilibre.fr/2015/10/14/aude-mort-depuis-15-jours-chez-lui-a-coursan,1227010.php

mercredi 14 octobre 2015

Lot-et-Garonne : incarcéré suite à l'accident mortel de sa fille, un père se suicide en prison

Le père de Justine Ballanger a mis fin à ses jours dans sa cellule, mardi. Sa fille avait perdu la vie à Bajamont, en avril dernier, lors d'un accident de la route dans la voiture qu'il conduisait 
e dramatique accident survenu le 13 juin dernier à Bajamont avait marqué les esprits. Parce qu'il s'agissait du cinquième décès de la semaine sur la route, à cause du jeune âge de la victime et des circonstances particulièrement tragiques pour la famille.
Justine Ballanger, une jeune fille de 17 ans, avait perdu la vie dans un accident sur la D 656, à hauteur de la commune de Bajamont, passagère de la voiture conduite par son père. Celui-ci, âgé de 46 ans, avait été placé en détention une semaine après, poursuivi pour homicide involontaire aggravé par deux circonstances, son alcoolémie au volant (1,14 gramme) et la violation d'une obligation de prudence ou de sécurité.

Un deuxième véhicule

Le quadragénaire a mis fin à ses jours dans sa cellule de la maison d'arrêt d'Agen mardi matin. Il avait confié peu de temps avant son désespoir à sa compagne. Il supportait difficilement son incarcération, hospitalisé à plusieurs reprises pour y recevoir des soins. Les circonstances de cet accident mortel avaient suscité de nombreuses questions pour les enquêteurs, en juin dernier. En effet, Justine était passagère à l'arrière de la Citroën, véhicule de société de son père, dépourvue de banquette arrière comme de ceinture de sécurité.
 
Il avait confié, il y a peu de temps, son désespoir à sa compagne
 
La justice avait émis l'hypothèse que l'accident aurait pu survenir dans un contexte de course-poursuite avec un autre véhicule précédant la Citroën, occasionnant une tentative de dépassement, soldée par la sortie de route mortelle. Le conducteur de ce deuxième véhicule, interrogé par les gendarmes avait par ailleurs été contrôlé positif aux stupéfiants.

Arrêt de l'action publique

Prise en charge par les secours en état d'arrêt cardio-respiratoire, la jeune victime avait été réanimée et stabilisée avant son transport vers le centre hospitalier d'Agen, où elle avait succombé à ses blessures. Une marche blanche réunissant près de 300 personnes à Agen avait rendu hommage à la jeune fille, scolarisée à Nérac. Le suicide de son père éteint de fait l'action publique.

http://www.sudouest.fr/2015/10/14/le-proces-du-pere-de-justine-n-aura-pas-lieu-2153880-3603.php

Renversé par une voiture, un piéton entre la vie et la mort

Un jeune Toulousain de 22 ans est dans un état grave à l'hôpital Purpan. Lundi soir, il a été renversé par un automobiliste, à l'angle du boulevard Carnot et des allées Roosevelt, à Toulouse.
Les circonstances d'un dramatique accident de circulation dont les contours restent encore très flous font l'objet d'intenses recherches.
Lundi, vers 22 h 15, à l'angle du boulevard Carnot et des allées Franklin-Roosevelt, à Toulouse, un jeune toulousain de 22 ans est renversé par une voiture. Selon les premiers éléments, l'automobiliste se serait arrêté, dans un premier temps, pour se rendre au chevet de la victime. Puis, ce même conducteur aurait pris la fuite à bord d'une Audi noire. L'alerte est donnée rapidement et les secours, pompiers et médecins du Samu, arrivent sur les lieux. La jeune victime, grièvement blessée est transportée au CHU Purpan dans la soirée.
Hier, son pronostic vital était engagé, laissant craindre le pire pour ses proches et sa famille. Les policiers de la brigade accidents, au commissariat central, mobilisés sur cette nouvelle affaire, tentent de recouper les différentes informations qui leur parviennent. Mais à ce stade de leurs investigations, le déroulement des faits reste toujours très imprécis malgré les quelques témoignages recueillis depuis lundi soir.

Étudiant tué le 9 septembre

Par ailleurs, une seconde voiture aurait été vue sur les lieux de l'accident sans que l'on sache exactement si ce véhicule est impliqué ou pas. Afin d'éclaircir leur enquête, les policiers lancent un appel à témoin pour y voir plus clair notamment sur la présence de ces deux hypothétiques voitures (1). Le 9 septembre, un étudiant de 27 ans, avait été mortellement fauché par un automobiliste en fuite circulant à bord d'un Mercedes Vito blanc, dans le quartier du Mirail. Les enquêteurs travaillent toujours sur cette dramatique affaire.
(1) Pour tout renseignement utile à l'enquête, contacter le commissariat central, brigade des accidents : 05 61 12 80 96/05 61 12 74 74/05 61 12 76 62.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/14/2197311-renverse-voiture-pieton-entre-vie-mort.html

mardi 13 octobre 2015

L'homme blessé par balle dans la cité du Plan d'Aou à Marseille est mort

Un jeune homme de 18 ans a été blessé par balle ce lundi en fin de matinée alors qu'il se trouvait dans la rue cité du Plan d'Aou à Marseille. Transporté à l'hôpital, il y est décédé. Les circonstances des faits ne sont pas connues.
Les marins-pompiers sont intervenus pour tenter de réanimer la victime, a-t-on appris auprès d'une autre source proche du dossier. Aucune précision n'a été donnée sur les circonstances de l'agression. Le tireur se trouvait a priori lui aussi dans la rue. La victime aurait tenté de se mettre à l'abris dans un immeuble, en vain. Les policiers déplorent l'absence de témoins.
La victime est décédée avant son arrivée à l'hôpital.
Selon les premiers éléments de l'enquête, le jeune homme a été pris pour cible en fin de matinée dans la rue, où des traces de sang ont été retrouvées.
Il est ensuite parvenu à gagner l'un des immeubles de la cité, où il a frappé aux portes. L'un des habitants lui a ouvert, et a appelé les secours. Les marins-pompiers ont tenté en vain de la réanimer.

La victime, qui présentait des blessures au cou et dans le dos, a été touchée par "une ou plusieurs balles", a précisé la source. Une autopsie doit encore être pratiquée.

Le jeune adulte était connu de la police pour divers délits: vols avec effraction, violences volontaires ou encore infractions à la législation sur les stupéfiants, a ajouté la source.
Le parquet a confié l'enquête à la police judiciaire de Marseille.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/bouches-du-rhone/marseille/un-homme-blesse-par-balle-dans-la-cite-du-plan-d-aou-marseille-828035.html

Perpignan : le Dr. Etienne Giraud l'Herbault tué dans un tragique accident près de Figueres

Pédiatre au centre ville de Perpignan où il a soigné des générations d'enfants, le docteur Etienne Giraud L'Herbault a succombé dimanche à un tragique accident survenu en fin d'après-midi sur la N-260 à hauteur de la commune de Vilajuïga  dans l'Alt Empordà.
Le médecin se trouvait à l'avant d'une Mini, en compagnie de deux amies dont une a également trouvé la mort,  lorsque la conductrice a subitement perdu le contrôle du véhicule. Après une violente embardée, la voiture  a traversé la chaussée et enjambé la glissière de sécurité centrale avant de percuter de plein fouet une auto qui circulait en sens inverse, vers Llança.
Sous le choc, Etienne Giraud L'Herbault et la passagère arrière de la Mini ont été tués sur le coup. La conductrice, grièvement blessée, a été secourue et évacuée par l'hélicoptère sur l'hôpital de Gérone. 
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Quant aux occupants de l'autre véhicule, une mère et sa fille en vacances en Catalogne sud, elles sont sorties indemnes de la collision.
http://www.lindependant.fr/2015/10/12/perpignan-le-dr-etienne-giraud-l-herbault-tue-dans-un-tragique-accident-pres-de-figueres,2097476.php

Drame à Mouscron: Nelly décède alors qu'elle courait après son bus

Alors que la dame âgée de 76 ans, était dans un café avec des amis, elle a vu son bus passer. Ce dernier s’est arrêté à l’arrêt de bus. « Elle a couru pour attraper son bus. C’était mon amie» , raconte, très touché par ce qu’il vient de se passer, un homme qui se trouvait également dans ce café. Tout est allé très vite. La victime a donc couru. Arrivée près du bus, elle a toqué à la fenêtre alors que le conducteur commençait à redémarrer son véhicule. Dans la précipitation, Nelly a chuté au sol, d’après la police. La pauvre femme a été percutée par le bus. « Le chauffeur ne l’a pas vue. Il n’a rien su faire. C’est seulement après que quelqu’un lui a fait signe de s’arrêter » , ont expliqué les secours. « Je n’ai pas vu ce qu’il s’était passé mais j’ai entendu crier » , commente une commerçante voisine. La scène a été très choquante pour les passants et les témoins. La police a d’ailleurs dépêché une assistance psychologique sur place pour les témoins et amis de Nelly.
Le chauffeur a percuté la victime alors qu’il tournait pour reprendre la route dans la Grand-Rue. Le conducteur a été très choqué par cet accident. « Il a été emmené en ambulance à l’hôpital. » Un chauffeur de bus présent tout près du lieu de l’accident a expliqué que «lorsqu’on tourne avec le bus, on ne voit plus la personne qui se trouve à côté du bus. » La route a été bloquée à la circulation le temps de procéder aux constatations d’usage. Le parquet de l’arrondissement judiciaire de Tournai-Mons a été avisé des faits.
http://www.nordeclair.be/86/regions/mouscron/actualite

lundi 12 octobre 2015

Villeurbanne: suicide d'un policier

Un gardien de la paix du commissariat de Villeurbanne (Métropole de Lyon) s'est donné la mort dimanche soir, chez lui, avec son arme de service, a-t-on appris lundi auprès de la direction départementale de la sécurité publique (DDSP) du Rhône.

Agé de 41 ans et père de deux enfants, il était affecté en "brigade de jour" au commissariat de Villeurbanne, a précisé la DDSP du Rhône dans un communiqué.

"Si un tel évènement suscite l'émotion et amène nécessairement à s'interroger sur des difficultés que rencontrait notre collègue, la DDSP du Rhône ne saurait cependant tirer de conclusions hâtives quant aux motifs de ce drame", ajoute-t-elle dans son communiqué.
L'enquête sur les causes de la mort a été confiée à la gendarmerie locale


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/10/12/97001-20151012FILWWW00302-villeurbanne-suicide-d-un-policier.php

La Tour-Blanche (24) : une personne décédée dans l'incendie du château

Un incendie s'est déclaré ce dimanche vers 23 heures dans le château fort de La Tour-Blanche, près de Verteillac
Une femme âgée de 90 ans environ n'a pas pu échapper au sinistre et est décédée. Un homme du même âge, lui, a pu quitter le bâtiment en feu à temps.
Une cinquantaine de pompiers venus de sept centres de secours sont intervenus, avec quatre lances à incendie.
Ce lundi matin, le feu est éteint, mais les pompiers sont toujours sur place pour surveiller le site.

http://www.sudouest.fr/2015/10/12/la-tour-blanche-24-une-personne-decedee-dans-l-incendie-du-chateau-2151776-1886.php

Un homme de 67 ans décède d'un accident de la route samedi soir

Un accident mortel s'est déroulé dans la nuit de samedi à dimanche, à proximité du MIN de Nice (M6202). Il a coûté la vie à un homme de 67 ans.
Malaise. Vitesse. Problème de discernement. État second. Plusieurs questions restaient en suspend dimanche soir, après l’accident qui a coûté la vie à un homme de 67 ans. Ce dernier circulait seul sur son scooter, dans la nuit de samedi à dimanche
Le drame s’est produit au tout début de la M6202, au niveau du Marché d’Intérêt National (MIN). Il était 2h53 quand les premiers secours sont intervenus.
Au pied du pont où se trouve l’échangeur entre le boulevard du Mercantour et la route du bord de mer, c’est là que ce résidant niçois a, semble-t-il, perdu le contrôle de son 125 cm3. Ne prenant pas le virage et finissant sa course contre le pilier central de l’ouvrage.
Sur place, les secours (9 sapeurs-pompiers et une ambulance) ne pouvaient que constater le décès du malheureux qui résidait, seul, rue Jules-Michel, quartier de Bon Voyage à Nice est.
Seule certitude: aucun autre véhicule n’est impliqué dans l’accident, la victime était seule au guidon du scooter. Des analyses toxicologiques en cours permettront de déterminer prochainement si le conducteur du scooter était en pleine possession de ses moyens. L’enquête a été confiée à la brigade accident.
http://www.nicematin.com/nice/un-homme-de-67-ans-decede-dun-accident-de-la-route-samedi-soir.2364558.html

dimanche 11 octobre 2015

Un homme est mort vendredi soir, à Saint-Aunix-Lengros dans un accident de tracteur survenu au lieu-dit Laste. Le malheureux a été découvert vers 17 h 30, par un conducteur qui passait sur le CD 117. Son tracteur, un modèle ne possédant pas de cabine, s'était renversé dans un fossé. Le corps de la victime se trouvait en dessous. Les secours, venus des centres de Plaisance, Marciac et Nogaro, n'ont rien pu faire. L'enquête de gendarmerie devra déterminer comment cet engin agricole a pu sortir de la route dans ce virage, traversant une intersection pour se coucher dans le bas-côté. Perte de contrôle ou défaillance mécanique, l'accident a coûté la vie à Armand Técouère, un chauffeur de camion de 57 ans qui vivait à Ladevèze Rivière. Il effectuait quelques petits travaux avec ce tracteur lorsque le drame est survenu.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/11/2195396-tue-dans-un-accident-de-tracteur.html

Double explosion : le bilan passe à 95 morts à Ankara

22 h 25 : Le bilan du double-attentat suicide passe à 95 morts selon le Premier ministre.
21 h 20 : Au moins 10000 personnes pro-kurdes manifestent ce soir à Istanbul contre le régime.
20 h 25 : Environ un millier de personnes, en très large majorité kurdes, ont manifesté ce samedi place de la République à Paris à l’appel du Conseil démocratique kurde en France (CDKF) pour dénoncer le double attentat. A Marseille, où vit une importante communauté kurde, plusieurs centaines de personnes ont défilé sur la Canebière vers le Vieux Port ce samedi soir scandant « Erdogan assassin ». A Strasbourg, environ 400 personnes se sont mobilisés sur la principale place de la ville pour observer une minute de silence en hommage aux victimes. A Bordeaux, une centaine de personnes ont défilé en silence. Demain dimanche, un défilé traversera Paris en début d'après-midi. Des rassemblements doivent aussi avoir lieu à Lyon et à Toulouse.
18 h 55 : L’attentat n’a toujours pas été revendiqué, mais le Premier ministre turc Ahmet Davutoğlu a pointé du doigt trois mouvements susceptibles, selon lui, d’en être l’auteur: le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), le groupe Etat islamique (EI) et le Parti/Front révolutionnaire de libération du peuple (DHKP-C) d’extrême gauche.
16 h 49 : Le Premier ministre Ahmet Davutoğlu annonce que la Turquie décrète trois jours de deuil national. L’attentat d’Ankara a été commis très probablement "par deux kamikazes" selon lui.
16 h 39 : La chancelière allemande Angela Merkel a déclaré avoir appris cette nouvelle avec « tristesse et consternation », estimant que l’attaque était dirigée contre « les droits civiques, la démocratie et la paix ».L’ambassadeur des Etats-Unis à Ankara, John Bass, s’est déclaré sur Twitter « horrifié ». « Je suis de tout coeur avec les victimes et leur famille », a-t-il ajouté.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/10/10/explosion-dans-une-manifestation-pour-la-paix-a-ankara

samedi 10 octobre 2015

Un homme de 79 ans tue sa femme et se livre à la police

«J'ai tué ma femme». C'est ce qu'a déclaré, à la stupeur générale, un homme de 79 ans hier matin vers 10h en se présentant à l'accueil du commissariat de Castres. Il a fallu quelques minutes aux policiers pour bien comprendre ce que ce Castrais, d'origine portugaise et qui parle avec un fort accent, venait leur confesser. D'autant que ses propos n'étaient pas forcément très clairs. Et c'est en se rendant à son domicile du quartier de Laden à Castres que les enquêteurs ont eu la confirmation qu'il ne s'agissait pas de l'affabulation d'un homme dérangé. Dans l'appartement du rez-de-chaussée de l'immeuble HLM du 2 rue Jean-Boysonne, les officiers de police judiciaire ont découvert le corps sans vie, allongé sur le lit de la chambre, baignant dans son sang, de Laura Beco, 76 ans. Le médecin légiste a immédiatement été appelé sur place ainsi que les policiers de l'identification criminelle afin de procéder aux premières constatations et relevés sur le corps et dans l'appartement. Difficile dans un premier temps de déterminer les causes exactes du décès qui remontait à quelques heures seulement. L'autopsie était en cours hier soir à l'institut médico-légal de Toulouse. Mais des plaies apparentes, notamment au niveau d'un œil, auraient été provoqués par des coups et une arme blanche. Mais aucun couteau n'a été retrouvé sur ou près du corps. Il est possible que le mari l'est lavé et rangé dans la cuisine après son geste d'une rare violence visiblement. Il se serait même changé avant d'aller se livrer à la police. Car aucune trace de sang ou de lutte était visible sur ses vêtements lorsqu'il est arrivé au commissariat. Entendu sur les faits, l'homme a donc bien reconnu avoir tué sa femme. Mais il a ensuite tenu des propos incohérents sur les raisons de son geste avant de devenir muet. Ce qui est sûr c'est que le contexte familial semble compliqué. Les voisins du couple ont évoqué des disputes fréquentes. La police serait d'ailleurs intervenue en début d'année au domicile des retraités pour un différend. Même si cela semblait s'être calmé ces derniers temps. Des tensions qui auraient été confirmées par les membres de la famille qui se sont rendus sur place hier matin dès qu'ils ont appris la sinistre et dramatique nouvelle. Deux filles du couple, qui a plusieurs enfants et petits-enfants sur Castres et les alentours, étaient évidemment effondrées et réconfortées par leurs proches et des voisins. Tout le monde a ensuite été entendu par les policiers de la brigade de sûreté urbaine (BSU) du commissariat chargé de cette sordide affaire. Le parquet de Castres a saisi le pôle d'instruction criminelle de Toulouse. C'est là qu'Horacio Beco va être présenté aujourd'hui ou dimanche à l'issue de sa garde à vue. Il devrait être mis en examen pour homicide volontaire et sans doute écroué.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/10/2194936-homme-79-ans-tue-femme-livre-police.html