mardi 30 septembre 2014

Drame d'Illfurth : «Mon tonton a assassiné mes parents»

Le procès de Mickaël Kersten a débuté hier aux assises du Haut-Rhin. Dans la nuit du 3 au 4 juillet 2012, l’accusé, armé d’une carabine, a tiré sur son beau-frère et sa belle-sœur, Roland et Carine Basso, ainsi que sur sa femme Angélique. Tous trois décéderont. Le drame s’est déroulé à la maison éclusière d’Illfurth, où quatre enfants des deux couples étaient présents.
Détenu en milieu hospitalier depuis sa tentative de suicide deux grosses semaines après les faits, commis dans la nuit du 3 au 4 juillet 2012, Mickaël Kersten est sous anxiolytiques. Sa voix s’en ressent, son débit est un peu ralenti quand il s’exprime depuis le box des accusés de la cour d’assises du Haut-Rhin, à Colmar, où s’est ouvert hier son procès. Jusqu’à demain mercredi, ce Normand d’origine, âgé de 34 ans, est jugé pour le meurtre de sa femme Angélique et pour l’assassinat de Carine et Roland Basso, un drame qui s’est déroulé au domicile des époux Basso, la maison éclusière d’Illfurth.
Séparé de la mère de son premier enfant, un fils né en 2006 qui vit en Bretagne, Mickaël Kersten rencontre Angélique Moyeux en 2009 via internet. Le couple s’établit d’abord en Bretagne. Mais Angélique, demi-sœur de Roland Basso, souhaite revenir dans sa région d’origine, l’Alsace, et en février 2012, les époux Kersten s’établissent à Mulhouse où, grâce à la famille de sa femme, Mickaël trouve un travail de chauffeur-livreur.
Le 3 juillet 2012, Angélique et Mickaël viennent s’installer pour 15 jours chez les Basso, à Illfurth. Roland, employé de Voies navigables de France, et Carine, qui travaille au service expédition de L’Alsace , sont à la veille de partir en vacances en Turquie avec leurs enfants. Il est prévu que les Kersten gardent la maison et les animaux de la famille.
Le soir du 3 juillet, tout le monde partage le dîner dans un restaurant d’Illfurth avant de rentrer à la maison éclusière, où le drame va se dérouler dans la nuit. L’accusé, qui s’est exprimé sur son parcours hier matin (lire ci-dessous), ne devrait en donner sa version qu’aujourd’hui. Mais dans l’après-midi de ce premier jour du procès, la cour a commencé à aborder ces faits à travers divers témoignages. Et notamment celui, poignant, de la fille aînée des Basso, qui avait alors 14 ans.
« Mon père avait une balle en plein milieu de la tête et ma mère était en train d’agoniser »
Hébergée avec son petit frère chez un oncle et une tante depuis qu’elle est orpheline, aujourd’hui en apprentissage en coiffure, la jeune fille avait préparé un texte que, dans un premier temps, l’émotion et les sanglots ne lui ont pas permis de lire devant les jurés. Mais elle a trouvé les mots pour évoquer de façon plus spontanée cette nuit d’horreur durant laquelle elle dormait au salon avec son cousin âgé de 8 ans, le fils d’Angélique.
« Je me suis réveillée, il devait être 4 h, et Mickaël était assis sur le canapé. Il m’a dit : ‘‘Donne-moi tes mains, on fait un jeu.’’ Il a posé ses mains sur mon cou et ma poitrine. J’ai crié. Il a sorti un couteau, me l’a mis sur la gorge et m’a dit : ‘‘Si tu cries encore une fois, je te tue !’’ J’ai appelé mes parents, mais ils ne venaient pas » , entame-t-elle. Les poignets attachés par un lien – un serflex – que lui a passé son oncle, l’adolescente parvient à monter au premier étage. Elle entre dans la chambre de ses parents. « Mon père avait une balle en plein milieu de la tête et ma mère était en train d’agoniser dans une marre de sang » , raconte-t-elle.
Avant de prendre la fuite avec son frère, âgé de 12 ans, par une fenêtre en passant par le toit, la fille Basso appelle les secours. La présidente, Laurence Glasser, donne lecture de son message : « On a tué mes parents au 31, rue de Spechbach. Venez vite, ma mère est en train de mourir ! Mon tonton a assassiné mes parents… » Dans une autre chambre à l’étage, Angélique Kersten est, elle aussi, dans un état critique. Dans la pièce se trouve le bébé qu’elle a eu avec l’accusé, une fillette alors âgée de 9 mois.
Avec sa carabine 22 long rifle à crosse coupée, Mickaël Kersten a tiré une balle dans la tête de chacune des trois victimes. « À très courte distance, probablement moins de 10 cm » pour Roland Basso, 39 ans, décédé « après une période agonique, probablement inférieure à une demi-heure ». Un tir « à distance » pour Carine Basso, qui succombera deux jours plus tard, le 6 juillet. Un tir « à bout touchant » pour Angélique Kersten, dont le décès a été prononcé en fin d’après-midi, le 4 juillet. Ces précisions ont été apportées à la cour hier par les médecins légistes qui ont procédé aux autopsies.
Le trentenaire a pris la fuite, mais il s’est rendu le matin même du drame après avoir appelé la police depuis une cabine de Brunstatt, à 7 h 16, disant avoir tué sa « bonne femme ». Il a d’abord expliqué son geste « par un mal-être » lié en grande partie à la distance entre lui et son fils resté en Bretagne avec sa mère. « Il disait que depuis son arrivée en Alsace, il ne se faisait pas du tout à la région et il tenait pour responsable de cette situation essentiellement son épouse et les membres de sa belle-famille » , expose à la cour l’officier de la brigade de recherche de la gendarmerie d’Altkirch qui a mené l’audition.
« Il ne se faisait pas à la région »
L’enquêteur indique aussi que l’accusé a d’abord justifié la présence de l’arme par la volonté de se suicider devant sa belle-famille, avant d’affirmer qu’il aurait voulu se débarrasser de cette carabine dans le canal. « Vous a-t-il dit pourquoi il aurait renoncé à se suicider ? » , interroge l’avocate générale Ariane Boulle. « Il nous a dit : ‘‘Je n’en ai pas eu le courage et après, j’ai eu un moment de réflexion et je me suis dit que ce qui se passe, ce n’est pas de ma faute, c’est de la faute de mon épouse et de ma belle-famille.’’ » Il est pourtant apparu – divers témoins l’ont confirmé hier – que le couple Kersten projetait de retourner vivre en Bretagne à la rentrée 2012. Angélique semblait accepter cette perspective et un bail – non signé – pour un logement là-bas a même été retrouvé.

http://www.lalsace.fr/actualite/2014/09/30/mon-tonton-a-assassine-mes-parents

La collision frontale fait un mort

Hier vers 7 heures, sur la D 964, commune de Caussade, a eu lieu une collision frontale entre un bus scolaire, vide de tout écolier, qui débutait sa tournée, et un véhicule circulant dans le sens Montricoux-Caussade. Les sapeurs-pompiers de Caussade, arrivés rapidement sur les lieux avec un Vsab (véhicule de secours aux asphyxiés et aux blessés), rejoints par une équipe du Samu 82, n'ont pu que constater le décès du conducteur, seul à bord du véhicule Renault 19 immatriculé en Corrèze. Les gendarmes de Caussade, sous la direction du capitaine Bruno Escamilla, ont sécurisé les lieux de l'accident et régulé le trafic routier, dense à cette heure.
Une enquête diligentée par les gendarmes a été ouverte afin de déterminer les circonstances de cet accident mortel. La chaussée, rendue glissante par la pluie, pourrait être un des facteurs déterminants dans cette terrible collision. En effet, au sortir d'une courbe à droite, le conducteur a subitement perdu le contrôle de son véhicule, lequel a quitté sa trajectoire initiale pour venir percuter de plein fouet le bus scolaire circulant normalement dans le sens Caussade-Montricoux. Sous la violence du choc, le conducteur est décédé au volant de son véhicule. Le conducteur du bus scolaire et son accompagnateur, tous deux choqués, n'ont pas été blessés.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/30/1961807-la-collision-frontale-fait-un-mort.html

lundi 29 septembre 2014

Eure : un mort et un blessé grave dans un accident entre une voiture et une moto

 
Un accident est survenu ce dimanche (28 septembre) en fin d'après-midi sur la route départementale 313 à proximité de Honguemare-Guenouville (Eure). Une moto est entrée en collision avec une voiture.

Les sapeurs-pompiers de l’Eure sont intervenus pour porter secours aux blessés, mais n’ont rien pu faire pour le pilote de la moto, âgé de 33 ans, décédé sur le coup. Sa passagère de 38 ans a été gravement blessée et transportée vers le CHU de Rouen, par l’hélicoptère du Samu. Les deux victimes habitent en Seine-Maritime.

Dans la voiture, les trois personnes à bord sont indemnes. Trois ambulances ont été dépêchées, soit une quinzaine de sapeurs-pompiers pour l’intervention. Une enquête a été ouverte et confiée à la gendarmerie de Routot pour déterminer les circonstances exactes de ce drame.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/09/28/eure-2-blesses-graves-dans-un-accident-entre-une-voiture-et-une-moto-560386.html

Haute-Loire. Percutée par un bus, une adolescente décède à Yssingeaux

Un drame s’est produit ce lundi matin à la gare routière de Lantreuil, à Yssingeaux. Dans des circonstances exactes qui restent à déterminer, une adolescente de 16 ans, en classe de seconde au lycée privé, a été percutée par un bus de transport scolaire alors qu’elle se trouvait à pied.
Malgré les soins prodigués sur place par les sapeurs-pompiers et le SAMU, la jeune victime n’a pas survécu à ses blessures.


http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/09/29/percutee-par-un-bus-une-adolescente-decede-a-yssingeaux

GARD. Découverte du corps d’un disparu lors des inondations

Le corps d’un septuagénaire de Saint-Martin-le-Minier, disparu lors des inondations dans la nuit du 17 au 18 septembre, a été retrouvé ce dimanche dans les gorges de la Vis.
C’est un automobiliste qui a fait la macabre découverte depuis la route, a déclaré le chef du groupement de la gendarmerie du Gard le lieutenant-Colonel Poty à l’AFP.
Le corps gisait à quelques kilomètres de Saint-Martin-le-Minier. Des recherches avaient été menées dès la disparition de cet homme vu pour la dernière fois la nuit des inondations, alors qu’il traversait le pont du village à pied.
«Nous avons réussi à identifier la personne disparue grâce aux signes distinctifs que nous connaissions», a précisé le lieutenant-Colonel Poty.


http://www.leprogres.fr/faits-divers/2014/09/28/decouverte-du-corps-d-un-disparu-lors-des-inondations

dimanche 28 septembre 2014

Un mort dans un accident sur la rocade de Toulouse

Un jeune conducteur âgé de 20 ans a trouvé la mort dans un accident sur la rocade de Toulouse dans la nuit de samedi à dimanche. Selon France3, l’accident dont les détails ne sont pas encore déterminés aurait eu lieu à proximité de la Cépière au sud de l’agglomération. Un autre homme aurait été grièvement blessé dans cet accident dramatique et aurait été transporté à l’hôpital Purpan.

http://www.toulouse7.com/2014/09/28/mort-accident-rocade-toulouse/

Un homme tué dans une rue de Besançon

Un homme de 35 ans a été tué hier soir à l'arme blanche dans la rue à Besançon, dans des circonstances qui restent à éclaircir, a indiqué le parquet de Besançon.

D'après les premiers éléments de l'enquête, il a probablement été victime d'un coup de couteau fatal à la carotide, a précisé à l'AFP la vice-procureure Margaret Parietti.

Selon de premiers témoignages, le trentenaire se trouvait dans la rue avec des amis vers 23H00, dans le quartier réputé sensible de Planoise, lorsqu'il s'est éloigné du groupe. Il serait revenu quelques instants plus tard, titubant, en se tenant le cou, a ajouté la magistrate. La victime est décédée dans le véhicule des pompiers, prévenus par des témoins.

"On ne sait pas ce qui s'est passé, les témoins doivent être entendus et plusieurs éléments restent à éclaircir", a déclaré la vice-procureure.

Trois personnes présentes sur les lieux ont été placées en garde à vue pour être entendues, a-t-elle dit, soulignant qu'à ce stade de l'enquête, elles n'étaient pas suspectées du meurtre. Une autopsie a été ordonnée par le parquet.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/28/97001-20140928FILWWW00056-un-homme-tue-dans-une-rue-de-besancon.php

Ponsonnas : une femme se jette du pont... avec son chien

C’est une automobiliste qui, en voyant une voiture arrêtée au beau milieu du pont de Ponsonnas, warnings allumés, hier vers 7 heures, a donné l’alerte.
Sur place, les gendarmes de la compagnie de La Mure ont fouillé le véhicule et y ont trouvé la lettre désespérée d’une femme qui voulait manifestement commettre l’irréparable.
Des recherches ont aussitôt été entreprises par les sapeurs-pompiers et le corps de cette Grenobloise de 35 ans, ainsi que le cadavre de son chien, ont été retrouvés au pied du pont dont elle s’était jetée avec l’animal.
Les sauveteurs de la CRS des Alpes sont alors intervenus sur les lieux et ont pris les dépouilles en charge.

http://www.ledauphine.com/isere-sud/2014/09/27/une-femme-se-jette-du-pont-avec-son-chien

samedi 27 septembre 2014

Yvelines : Un motard de 26 ans trouve la mort sur la D 191

Un accident mortel s’est produit vendredi soir sur la D191 au niveau des Essarts-le-Roi (Yvelines), une commune proche de Rambouillet. Un motard de 26 ans est décédé lors d’une collision avec un véhicule léger à un croisement.Fortement choquée, la conductrice de la voiture  a été transportée par hélicoptère à l’hôpital Beaujon de Clichy (Hauts-de-Seine).
La D191 a été totalement coupée à la circulation pendant plus de deux heures.


http://www.leparisien.fr/les-essarts-le-roi-78690/yvelines-un-motard-de-26-ans-trouve-la-mort-sur-la-d-191-27-09-2014-4169383.php

JURA. Arbois: le corps d’un quinquagénaire retrouvé dans les eaux de la Cuisance

Le corps sans vie d’un homme a été découvert à la surface de la Cuisance, vendredi vers 19 heures à Arbois. La victime âgée de 58 ans et souffrant de troubles dépressifs, aurait mis fin à ses jours selon les premiers éléments de l’enquête. La voiture de cet Arboisien, était stationnée dans les environs du Décrochoir, le lieudit où son corps a été découvert. Les pompiers ont rencontré quelques difficultés pour récupérer le défunt à cet endroit où l’accès à la rivière est très escarpé et très accidenté.

http://www.leprogres.fr/jura/2014/09/27/le-corps-d-un-quinquagenaire-retrouve-dans-les-eaux-de-la-cuisance

Licencié, il décapite une de ses collègues

Un porte-parole du FBI n’a pas souhaité faire de commentaires dans l’immédiat. Mais il n’y avait aucune indication à ce stade qu’une enquête était menée pour un éventuel lien terroriste. Le suspect, qui a été blessé par balle et est actuellement à l’hôpital dans un état stable, «semble avoir choisi ses victimes au hasard», a indiqué lors d’une conférence de presse le porte-parole de la police de la ville de Moore, Jeremy Lewis.
«Il ne visait personne en particulier (...) il semblerait qu’elles (les victimes) se soient trouvées sur son passage lorsqu’il est entré» dans les locaux, a-t-il ajouté. La tragédie s’est déroulée jeudi au sein d’une société alimentaire de l’Oklahoma, dans le sud des Etats-Unis, où travaillait le suspect, identifié comme Alton Nolen, 30 ans.
Après avoir appris qu’il venait d’être licencié, «Nolen est allé sur le parking, il a conduit son véhicule jusque devant l’entrée de la société (...) puis s’est rendu par l’entrée principale jusqu’à la réception», avait expliqué plus tôt Jeremy Lewis dans un communiqué. «Nolen est tombé sur (sa collègue) Colleen Hufford et l’a tuée avec un couteau. Durant cette attaque, Nolen a coupé la tête de la victime», a ajouté le porte-parole.
Le suspect a ensuite attaqué un autre collègue avec un couteau, avant de se faire tirer dessus par le directeur d’exploitation de la société. La deuxième victime et le suspect ont tous deux été conduits à l’hôpital, où ils se trouvaient dans un état stable. «Après avoir interrogé des collègues de travail de Nolen, nous avons appris qu’il avait récemment tenté de convertir à la religion musulmane plusieurs employés», a précisé le porte-parole.
En raison de la nature du meurtre, la police locale a fait appel au FBI. Cette tragédie intervient à la suite d’une série de décapitations d’Occidentaux publiées dans des messages vidéos sur internet et menées par des combattants djihadistes, dont trois par l’organisation Etat islamique (EI) active en Syrie et en Irak et une par un groupe en Algérie qui lui est lié.
Lors de la conférence de presse, le porte-parole de la police a souligné que le suspect «n’était pas prêt de s’arrêter si (le directeur) ne l’avait pas stoppé dans sa course». La société Vaughan Foods pour laquelle travaillait Nolen était sous le choc. «Nous sommes choqués et profondément attristés par ces événements», a-t-elle dit dans un communiqué, précisant qu’elle fournirait conseils et soutiens psychologiques à son personnel.
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2014/09/26/licencie-il-decapite-une-de-ses-collegues

vendredi 26 septembre 2014

Bron : une femme se tue en sautant d’un pont sur la bretelle d'autoroute

Une femme a mis fin à ses jours en se jetant d’un pont sur la bretelle entre l’A43 et le boulevard périphérique à Bron ce vendredi vers 15h15, à la hauteur de l’échangeur à Bron.
La victime a sauté depuis le pont qui dessert le parc de Parilly, sur les voies de circulation en direction du sud, où elle aurait été percutée par une voiture.
A l’arrivée des secours, cette femme de 47 ans avait succombé à ses blessures. Pour permettre l’intervention des secours, trois voies de circulation ont été neutralisées et un bouchon de près de cinq kilomètres s’est formé sur le boulevard Laurent-Bonnevay entre Villeurbanne et Bron.


http://www.leprogres.fr/actualite/2014/09/26/bron-une-femme-se-tue-en-sautant-d-un-pont

Floirac (33) : accident du travail mortel

Un homme de 59 ans a été tué après s'être retrouvé coincé entre le charriot élévateur qu'il conduisait et une benne ce vendredi matin 26 septembre vers 10 heures, chez Chausson matériaux, rue Marcel-Paul, dans la zone d'activité de la Jacquotte à Floirac.
Les secours sont intervenus très rapidement mais le quinquagénaire avait déjà perdu la vie. L'inspection du travail et les policiers de la brigade de sûreté urbaine du commissariat des Hauts de Garonne sont venus sur place afin de déterminer les circonstances dans lesquelles cet accident est survenu.

http://www.sudouest.fr/gironde/floirac/

Accident à Castelnaudary : une femme de 25 ans décède dans la nuit près de la gare

Un drame s'est produit dans la nuit de jeudi à vendredi peu après 2 heures du matin près de la gare de Castelnaudary.
Une voiture arrivant à vive allure a percuté un muret. Les deux occupants du véhicule ont été immédiatement éjectés en raison de la violence du choc.

L'un des deux passagers, une jeune femme âgée de 25 ans est décédée dans l'accident. L'autre occupant, un homme d'une vingtaine d'années, gravement blessé, a été transporté par le SMUR aux urgences de Carcassonne.
Selon les premières constatations faites sur place par les gendarmes de Castelnaudary, il semblerait que la vitesse soit la principale cause du drame. L'enquête déterminera si d'autres facteurs sont à l'origine de ce nouvel accident mortel dans l'Aude

http://www.lindependant.fr/2014/09/26/castelnaudary-une-femme-de-25-ans-decede-cette-nuit-dans-un-accident-de-la-circulation-pres-de-la-gare,1934464.php

Un homme de 90 ans décède dans la collision

Le Russey. Il était un peu plus de 18 h ce jeudi soir lorsque, pour des raisons qui restent à déterminer, le conducteur d’un véhicule qui roulait dans le sens Le Russey – Morteau, au lieu-dit La Combe au Page, s’est déporté à gauche de sa voie de circulation. Deux personnes se trouvaient à son bord.
En face, trois voitures, dans lesquelles ne se trouvait qu’un seul conducteur sans passager à ses côtés, se suivaient et n’ont malheureusement pas pu éviter la collision.
Le choc frontal entre les deux premières voitures a été particulièrement violent. Les secours ont dû désincarcérer les occupants du véhicule à l’origine de l’accident et en ont retiré le corps sans vie d’un homme de 90 ans, originaire du village. Le conducteur, gravement blessé, raccompagnait la victime chez elle. Son état a nécessité un héliportage vers l’hôpital de Besançon.
L’homme de la voiture d’en face, légèrement blessé, a été conduit à l’hôpital de Montbéliard. Ceux impliqués dans le suraccident n’ont pas été touchés.
Les pompiers de Morteau, de Villers-le-Lac et du Russey, sous les ordres du lieutenant Jobard, ont quitté les lieux vers 21 h. La circulation a été rétablie dans la foulée.
D’après les premières constatations et le témoignage des conducteurs indemnes, le véhicule qui arrivait en face se serait déporté. Une enquête de gendarmerie est en cours.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/09/25/un-homme-de-90-ans-decede-dans-la-collision

jeudi 25 septembre 2014

Accident de la route mortel : après le drame, le choc

Janine Gibert, maire de Gargas, tremblait encore mercredi pour son homologue de Saint-Rustice, Edmond Aussel : «Il a eu une chance extraordinaire.» La veille au soir, peu avant 21 h 30, l'élu avait été victime d'un accident de la route où un jeune homme de 23 ans, Benjamin Parrimond, a trouvé la mort.
Ce soir-là, les deux élus rentraient ensemble d'une réunion à L'Union. Edmond Aussel venait de déposer sa consœur à Gargas et de reprendre la route vers Saint-Rustice. Dix minutes plus tard, Janine Gibert recevait un coup de fil de l'édile : «J'ai tout de suite compris qu'il lui était arrivé quelque chose.»
L'accident s'est produit sur la D45, route de Mouissagues. Selon l'enquête de gendarmerie, Benjamin Parrimond, 23 ans, et un de ses amis, âgé de 21 ans rentraient de Villeneuve-lès-Bouloc et se rendaient à Labastide Saint-Sernin, où réside le second. Dans un dépassement à hauteur de Gargas, leur Citroën Xantia s'est trouvée face au Berlingo d'Edmond Aussel qui arrivait en sens inverse. Dans le choc, Benjamin Parrimond a été éjecté. En arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée des secours, le jeune homme, qui résidait à Montberon mais avait habité enfant la commune de Gargas, n'a pas pu être ranimé.
Son passager, lui, a été choqué. Le maire de Saint-Rustice et la conductrice de la voiture dépassée, également percutée par la Xantia, ont pour leur part été brièvement hospitalisés pour des radios de contrôle.
Selon l'enquête, confiée à la gendarmerie, l'accident aurait pour cause la manœuvre dangereuse du conducteur de la Xantia, qui a effectué son dépassement en sortie de virage. Une analyse d'alcoolémie est en cours.

http://www.ladepeche.fr/communes/gargas,31211.html

Hervé Gourdel: mort d'un homme "humble", passionné de montagne

Père de deux enfants et guide de haute montagne, le Niçois Hervé Gourdel laisse le souvenir d'un grand professionnel, humble et passionné.
Un visage buriné par cette nature à laquelle il aimait tant se mesurer. Un sourire discret résumant son tempérament "humble", "calme", "posé"... Et, dissimulée sous d’épais sourcils, toute la vivacité de ce montagnard azuréen.
Cette lueur qui brillait si fort dans les yeux d’Hervé Gourdel ne s’éteindra jamais. Dans un acte de barbarie inqualifiable, les bourreaux d’Hervé ont privé garçon de 16 et une fille de 21 ans de leur père. Ils ont enlevé à Françoise, institutrice sur la côte, le compagnon de sa vie.
Un grand professionnel
Mais, ses assassins ne pourront jamais effacer le souvenir qu’Hervé laisse derrière lui, telle une cordée rassurante qui court du littoral niçois jusqu’aux cimes du Mercantour, et à laquelle se raccrochent aujourd’hui ses si nombreux amis.
Parmi ceux-là, les collègues guides de haute montagne des Alpes-Maritimes.Tous saluent le "professionnalisme" d’Hervé Gourdel. Son "tempérament". Ses qualités de "pédagogue".
"Un bouquin ouvert sur la nature"
"Un bouquin ouvert sur la nature", c’est ainsi que Serge Adam, 72 ans, depuis sa taverne du Pelago au Boréon, résume Hervé.
A Saint-Martie-Vésubie, où il exerçait son métier de guide, Hervé avait lancé il y a 15 ans une formation d’accompagnateur de Montagne. Il aimait avant tout partager cette passion à laquelle il avait lui-même succombé, dès "tout petit", en suivant les pas de son père, Jean.
Ce dernier, ingénieur chimiste, avait quitté en 1954 sa Bretagne natale pour s’installer à Nice et se lancer en compagnie d’Hervé à l’assaut de quelques sommets azuréens.
Guide à Saint-Martin-Vésubie
Hervé, lui, a poursuivi seul son ascension. Toujours plus haut. Il a fait la prestigieuse école nationale de ski et d’alpinisme de Chamonix. Tout logiquement il fut incorporé dans les chasseurs alpins d’Annecy lors de son service militaire.
Et puis, en 1987, il est revenu à Saint-Martin-Vésubie créer sa propre société de guide avec d’autres collègues. Au travers de cette activité il a fait découvrir les cimes du Mercantour à des centaines de randonneurs.
Dans leurs souvenir, Hervé Gourdel ne s’éteindra jamais. Il est toujours là, figé à jamais dans nos mémoires comme ces instantanés qu’ils aimait tant capturer dans son objectif.
L’autre grande passion d’Hervé, c’était la photographie.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/herve-gourdel-mort-dun-homme-humble-passionne-de-montagne.1917254.html

Une octogénaire qui circulait à vélo décède percutée par une voiture

ANGLURE (51). Une femme de 84 ans est décédée mardi, en fin de journée, à Anglure, près de Sézanne. Cette habitante d’Anglure circulait à vélo quand elle a été percutée par une voiture au niveau d’un carrefour situé à la sortie de cette commune du Sud-Ouest marnais. Elle venait de faire des courses au supermarché. Malgré les efforts des secours pour la réanimer, l’octogénaire a succombé à ses blessures. La conductrice de la voiture est indemne.
Les circonstances exactes de l’accident restent à déterminer avec précision. Le carrefour n’est pas accidentogène et bénéficie d’une bonne visibilité. À l’heure de l’accident, les conditions climatiques étaient bonnes.

http://www.lunion.presse.fr/

mercredi 24 septembre 2014

L'otage français Hervé Gourdel décapité par ses ravisseurs

hebergement d'image
Hervé Gourdel, le ressortissant français qui a été enlevé dimanche soir à Tizi Ouzou, à 110 km à l'est d'Alger, a été décapité par ses ravisseurs, a-t-on appris mercredi en fin d'après-midi. L'information a été révélée dans une vidéo du groupe algérien, "Jund al-Khilafa" ("L'Armée du Califat"), auteur du rapt. Intitulé "message de sang pour le gouvernement français", cette vidéo a été publiée par le site Internet "SITE Intel group", qui relaie les messages de différents groupes djihadistes.
On y voit d'abord Hervé Gourdel prononcer quelques mots. Sous la contrainte, il livre un message, en français, à François Hollande : "Hollande, tu as suivi le bourricot de Obama". Et de s'adresser à ses proches : "Françoise, Anouk, mes parents, je vous aime." Puis un terroriste au visage masqué parle pendant plusieurs minutes avant de procéder à l'acte fatal.
Hervé Gourdel, un guide de haute montagne de 55 ans originaire de Nice, avait été kidnappé dans la région montagneuse de Kabylie alors qu'il effectuait une randonnée. Le groupe algérien, "Jund al-Khilafa" ("L'Armée du Califat"), lié à l'organisation de l'Etat islamique (EI), avait revendiqué le rapt dans une vidéo publiée lundi soir. Il menaçait d'exécuter l'otage français si Paris ne mettait pas fin à ses raids aériens en Irak. "Je vous conjure, Monsieur le Président, de faire tout ce qui est en votre pouvoir pour me sortir de ce mauvais pas", déclarait le Français.
 

Un jeune motard se tue à Hyères dans un accident de la route

Un accident de la route a fait un mort lundi en fin de journée à Hyères. La collision entre un motard et une voiture s'est produite à 18h45 heures à l'intersection de la route de Nice et de la route de Pierrefeu à hauteur du pont de la 1ere DFL.
On en sait plus ce mercredi sur le terrible accident de la route qui a causé le décès d’un motard, lundi en fin de journée, à Hyères. La collision s’est produite, à 18h45, au carrefour de la route de Pierrefeu et de la route de Nice. Intersection très accidentogène car les voitures qui marquent le stop en arrivant de Pierrefeu ont très peu de visibilité sur la circulation arrivant de l’Est. C’est exactement ce qui s’est passé lundi.
Manque de visibilité
Une dame qui séjourne régulièrement dans la région et qui arrivait en voiture de la route de Pierrefeuamarqué l’arrêt réglementaire, mais c’est en redémarrant qu’elle n’a pu éviter la moto qui arrivait de Mauvanne. Bien que, selon les premiers éléments de l’enquête menée par la brigade accident et délits routiers du commissariat d’Hyères, ni la vitesse, ni l’alcool ne seraient en cause, la collision a été très violente et a causé la mort du pilote.
Il s’agit de Christophe Biasotto, un Hyérois âgé de 36 ans. Le décès a été constaté sur place par le médecin du Smur. La conductrice très choquée a également été prise en charge. Un accident venu rappeler la dangerosité de ce carrefour sur lequel les services de secours et de police interviennent régulièrement. En particulier sur des accidents impliquant des deux roues, plus vulnérables en cas de collision.

http://www.varmatin.com/hyeres/un-jeune-motard-se-tue-a-hyeres-dans-un-accident-de-la-route.1860606.html

Choisey : morte écrasée par la portière de sa voiture

Le corps sans vie d’une femme de 74 ans a été découvert par l’un de ses voisins, mardi vers 16h30, à Choisey, près de Dole.
La septuagénaire a été victime d’un accident alors qu’elle était semble-t-il en train de rentrer sa voiture dans son garage. Alors que le véhicule était engagé dans la pente qui mène en contrebas du pavillon, la septuagénaire a tenté de s’extirper de l’habitacle pour une raison inexpliquée. Poussée par le montant de l’entrée du garage, la portière s’est refermée au moment où la septuagénaire n’avait eu le temps de sortir que partiellement de son véhicule.
D’après les premières constatations faites sur place, elle serait morte par asphyxie, coincée au niveau du thorax entre la portière et le montant. À leur arrivée, les secours n’ont pu que constater le décès, qui a pu intervenir plusieurs heures auparavant. Madeleine Roy, qui avait perdu son mari en mars dernier, était très impliquée dans la vie de la paroisse et de la communauté religieuse.

http://www.leprogres.fr/jura/2014/09/24/morte-ecrasee-par-la-portiere-de-sa-voiture

mardi 23 septembre 2014

Guillaume Evrard, pilier de l'AS Tournefeuille, décède après un malaise au triathlon de Toulouse

Guillaume Evrard, pilier de l'AS Tournefeuille, est décédé cette nuit à 4 heures du matin au CHU de Toulouse des suites d'un malaise survenu à l'issue de sa participation au triathlon de Toulouse organisé ce week-end à la Ramée. Les proches de la victime mettent en cause le dispositif médical de l'épreuve et le délai d'intervention des secours pour prodiguer les premiers soins. Avant de rejoindre Tournefeuille cette saison, Guillaume Evrard jouait sous les couleurs de Muret. Il laisse sa compagne et ses deux jeunes enfants dans une immense douleur.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=33964&WS=291720_2501986&WA=6690

Pontoise : il tue son père et blesse sa sœur et son beau-frère

Un père de famille de 59 ans a été tué par son fils souffrant de problèmes psychiatriques, à Pontoise (Val-d’Oise), dans la nuit de lundi à mardi. Le présumé de 24 ans a également grièvement blessé sa sœur de 26 ans ainsi que son compagnon âgé de 37 ans. Tous deux ont été hospitalisés.
Leur pronostic vital est engagé.
Ce lundi soir, la famille aurait alerté les pompiers suite au comportement jugé inquiétant du fils. Celui-ci a alors été conduit à l’hôpital, d’où il est reparti dans la nuit. C’est alors qu’il est rentré chez lui vers 3 heures et s’en est pris à ses proches, tuant son père de plusieurs coups de couteaux. C’est la sœur, blessée, qui a pu alerter les secours.
Le fils se serait rendu sans difficulté à l’arrivée de la police. Il a été interné à l’unité psychiatrique de l’hôpital de Pontoise.

http://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/pontoise-il-tue-son-pere-et-blesse-sa-soeur-et-son-beau-frere-23-09-2014-4157579.php

Territoire de Belfort : mort défenestré à Bougenel

Un jeune homme a perdu la vie, hier vers 20 h, après une chute d’au moins sept étages, devant l’immeuble de la résidence Jean-Paul-Sartre, rue Deferre à Belfort.
Il s’agit d’un homme de 20 à 30 ans, probablement un des étudiants hébergés dans l’immeuble. La police débutait hier soir son enquête devant, notamment, permettre une identification formelle.
Selon de premiers témoignages recueillis sur place, la thèse du suicide, éventuellement de l’accident, paraît devoir être privilégiée. L’homme a été vu sur la façade avant la chute.
Il est décédé sur le coup.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/09/23/mort-defenestre-a-bougenel

lundi 22 septembre 2014

Le Havre : il meurt après s'être blessé avec sa scie électrique

On appelle ça un lapidaire. Il s'agit d'une grosse disqueuse électrique qui sert à couper de la pierre ou du béton. C'est avec ce type d'outil qu'un habitant du quartier du Mont Gaillard (dans la ville haute du Havre) effectuait des travaux pour remplacer des fenêtres.

Hier, en fin d'après midi, pour une raison qui reste à déterminer, l'appareil a entaillé la chair du bricoleur au niveau de la cuisse et a coupé l'artère fémorale.  Arrivés très rapidement sur place, les secours n'ont rien pu faire pour sauver cet homme âgé d'une quarantaine d'années.

Extrêmement choqués, les proches de la victime ont été entendus par la police.
Ce lundi matin, le commissariat du Havre précisait à la rédaction de France 3 Le Havre-Baie de Seine, que bien la cause accidentelle  ne fasse aucun doute, une enquête est en cours…


http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/09/22/le-havre-il-meurt-apres-s-etre-blesse-avec-sa-scie-electrique-555934.html

AZF : mémoire, douleur et divisions devant les grilles

Plusieurs centaines de personnes ont commémoré hier le treizième anniversaire de la catastrophe AZF. La cérémonie officielle se tenait pour la première fois devant l'entrée reconstituée de l'ancienne usine. Mais les divisions sont toujours là.
Pour la première fois depuis la catastrophe AZF du 21 septembre 2001, anciens salariés, victimes, familles de victimes, Toulousains et officiels se sont réunis devant les grilles récupérées de l'ancienne usine. Entre les deux postes de garde reconstitués à l'identique après un an de travaux, le décor semble «plus familier ». Il n'en est pas moins douloureux. Les minutes de silence se succèdent avec des participants différents, devant la stèle des disparus de l'association Mémoire et solidarité d'abord, puis devant le mémorial aux disparus une centaine de mètres plus loin. Le retentissement de la sirène, à 10 h 17, serre toujours les gorges. Il précède la lecture, par Gérard Ratier, président de l'association des familles endeuillées, des noms des 31 victimes.

Remise des clés

Un peu à l'écart, Abdelkader Daoud, sous-traitant à l'usine AZF, fait partie des 2 500 blessés de ce 21 septembre. «C'est une journée difficile. J'étais à 50 mètres du cratère, j'ai perdu des collègues. Mais cette usine, c'est aussi 25 ans de ma vie et je n'y ai pas passé que des mauvais moments », témoigne le Toulousain, les yeux au bord des larmes, avant d'aller découvrir, dans le poste de garde Sud, reconverti en salle municipale, les photos de l'ancienne usine et du site. Les clés du poste de garde Nord, tout de verre et de métal, ont été symboliquement remises à l'association Mémoire et Solidarité qui regroupe la plupart des anciens salariés. «Nous voilà enfin dans un décor plus familier», souffle son président Jacques Mignard pour qui la catastrophe «reste toujours inexpliquée». «C'est aujourd'hui le jour où Toulouse se souvient, où nos pensées vont vers les blessés, les disparus, les endeuillés mais c'est aussi celui où nous refusons l'antagonisme des mémoires. Ce lieu dit ce qu'il s'est passé ici pendant huit décennies. Le 21 septembre ne doit pas effacer la mémoire industrielle de notre ville. Une mémoire n'efface pas l'autre » a souligné le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/22/1956231-azf-memoire-douleur-et-divisions-devant-les-grilles.html

Drame de Lamalou : "On ne pouvait pas prévoir ce qui allait arriver"

L e maire, Philippe Tailland, s'explique après la dramatique nuit qui a endeuillé Lamalou-les-Bains.
Comment avez-vous géré les quatre derniers jours qui viennent de s'écouler après la catastrophe ?
Je dois reconnaître qu'il y a eu un petit flottement durant une demi-journée. Nous avons manqué d'organisation et tout le monde voulait tout faire. Mais très vite les choses se sont mises en place. Nous avons organisé des réunions, deux par jour à 9 h et 17 h, pour coordonner toutes les actions. Et finalement, tout s'est bien passé ces quatre derniers jours.
Une véritable chaîne de solidarité s'est mise en place. Quel est votre sentiment face à cet élan spontané ?
J'en suis extrêmement surpris, et de la meilleure des façons. On parle beaucoup d'individualisme... je peux vous dire qu'il n'en a pas été question, ici, à Lamalou. Les gens sont venus d'eux-mêmes apporter leur aide. Par exemple, un restaurant, qui ne se trouve pas sur la commune, m'a proposé de fournir des repas aux bénévoles.
À l'heure actuelle, comment peut-on venir en aide aux sinistrés ?
Du côté des vêtements, inutile d'en envoyer plus. La salle du théâtre en est pleine. Pour la prise en charge des sinistrés, c'est pareil. Dès la première nuit, nous avions 313 offres d'hébergement. En revanche, la ville a subi de gros dégâts. Là, la solidarité intercommunale a bien fonctionné et fonctionnera encore. J'ai vu des maires, des amis, venir bottés pour nous prêter main-forte. Mais le plus important, maintenant, au-delà de la remise en état de Lamalou, c'est de recenser les personnes en grande difficulté sociale qui ont tout perdu et qui ne nous demandent rien. Nous devons les aider.
"Comment aurais-je pu deviner qu'une telle vague allait dévaster le camping ?"
Une enquête est ouverte pour tenter d'établir les responsabilités. Regrettez-vous de ne pas avoir ordonné l'évacuation du camping ?
Je regrette qu'il y ait eu des morts. En tant que maire, il est difficile d'aller au-devant des gens après une telle catastrophe. Je suis satisfait d'avoir pu m'expliquer avec des personnes qui auraient pu nous en vouloir. Mais comment aurais-je pu deviner qu'une telle vague allait arriver et dévaster le camping et ses environs. Enfin, je suis heureux qu'une enquête soit ouverte. Elle permettra, notamment, de savoir si toutes les mesures prises dans le passé sont les bonnes (Ndrl : le plan de prévention du risque inondation).
Aviez-vous, mercredi soir, toutes les informations nécessaires pour prendre les décisions qui s'imposaient ?
Oui. Entre 19 h et 20 h, mercredi, j'ai effectué une reconnaissance dans la commune. L'Orb ne menaçait pas, le Bitoulet non plus. Juste avant la vague qui a balayé le camping, il n'y avait rien d'inquiétant, même si l'alerte orange avait été déclenchée. On ne pouvait pas prévoir ce qui allait arriver.
Vous avez été élu en mars dernier. Pensez-vous que le risque inondation a été correctement pris en compte sur Lamalou ?
Oui. Nous avons des plans de préventions des risques bien établis. Cependant, je regrette qu'il n'y ait pas eu d'échanges entre l'ancien maire et moi sur des dossiers importants, comme celui des inondations et de leur prévention. La fonction d'élu ne s'arrête pas aux opérations de dépouillement. Il y a eu des passations de pouvoir entre chefs de services mais rien entre maires.
"Je ne veux jeter la pierre à personne"
Selon vous, si l'embâcle qui s'est formé sur le Bitoulet avait été traité, la catastrophe se serait-elle produite ?
On va pouvoir le dire précisément dans les jours qui viennent. Ce qui est sûr, c'est que cet embâcle n'était pas constitué de bois mort mais bien d'arbres qui ont été déracinés. Leurs racines se sont entremêlées, certaines se sont fixées à la végétation environnante et tout cela a fait barrage. Jusqu'à la rupture.
À qui incombe l'entretien du Bitoulet ?
Sur notre territoire, à la commune et à certains riverains qui ne peuvent pas faire n'importe quoi. À Lamalou, les berges de Bitoulet étaient entretenues. Mais en amont, le nettoyage incombe à d'autres structures. Je ne veux jeter la pierre à personne. L'enquête qui est en cours doit faire toute la lumière.

http://www.midilibre.fr//2014/09/21/on-ne-pouvait-pas-prevoir-ce-qui-allait-arriver,1054475.php

dimanche 21 septembre 2014

PLICHANCOURT (51). Un octogénaire meurt au guidon de son quad

Un dramatique accident de la route s’est produit, hier, sur la D 995, à la limite des communes de Plichancourt et Vitry-en-Perthois, à quelques kilomètres à l’est de Vitry-le-François.
Les faits se sont déroulés aux alentours de 12 h 30. Un homme de 80 ans, circulant en quad, quitte la départementale pour rejoindre un petit chemin en terre. Pour des raisons encore inconnues, l’octogénaire perd le contrôle de son véhicule. Vraisemblablement seul au moment des faits, il subit plusieurs tonneaux. La victime est alors éjectée de son quad, avant que l’engin ne lui retombe dessus.
À l’arrivée du Samu et des sapeurs-pompiers de Vitry, l’homme est inconscient. Impuissants, les secours ne peuvent que constater son décès. La victime était originaire de la commune de Vitry-en-Perthois.

http://www.lunion.presse.fr/region/plichancourt-51-un-octogenaire-meurt-au-guidon-de-son-quad-ia231b0n411076

Décès d'un plongeur à Cavalaire

Un homme de 66 ans a été victime d'un arrêt cardio-ventilatoire.  Il était à 20m de profondeur et effectuait une plongée sur l'épave du navire "Togo" situé au large de Cavalaire, quand il a été remonté
Le CROSS-MED  a dépêché sur zone l'hélicoptère Dauphin de service public de la Marine nationale pour hélitreuiller le plongeur qui est décédé à l'hopital St Anne, quelques heures après son arrivée

http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/2014/09/21/deces-d-un-plongeur-cavalaire-555334.html

Émotion et colère à Aubignosc

Blanc. Comme cette marche. Les mouchoirs. Ces roses déposées sur le chemin qu'empruntait chaque jour Franck Di Iorio. La chemise ou le foulard arboré par cette foule d'amis et d'anonymes venus témoigner leur solidarité et leur respect, et signifier leur peine, leur indignation et leur colère face à l'inacceptable.
Noir. Comme la tenue de Corinne, la veuve, entourée d'Enzo et Ludovic. Noir, comme les lunettes de soleil derrière lesquelles se cachent des yeux rougis. Noir, assurément, comme le destin tragique de la victime, "mort pour rien".

"Montrer notre refus de la barbarie"

Ils sont venus par milliers des villages alentours. Amis, élus, anonymes. Dans le silence, sous un soleil de plomb, ils ont attendu au carrefour du Gravat l'arrivée de la famille.
Le cortège s'est ensuite déroulé, lentement, dévoilant l'immensité de la foule, le long des champs transformés en parking, pour faire halte à l'entrée du domaine familial où le maire René Avinens s'exprimera : "Nous sommes là pour marquer notre soutien à la famille et montrer notre refus de la barbarie. Tout était bon chez Franck, ce qui rend ce crime encore plus insupportable. Nous espérons tous que ces êtres abjects seront appréhendés et que la justice saura se montrer implacable. Aussi implacables que l'ont été les assassins de Franck. Je suis convaincu qu'à force de pratiquer la politique de l'excuse permanente, certains petits délinquants finissent par s'octroyer le permis de tuer".

http://www.laprovence.com/article/actualites/3049204/emotion-et-colere-a-aubignosc.html

Loir-et-Cher : un chauffard fauche un piéton, le tuant sur le coup

Un homme de 86 ans a été mortellement fauché vendredi après-midi par un conducteur à Noyers-sur-Cher, dans le Loir-et-Cher. Un vaste appel à témoins a été lancé par la gendarmerie afin de retrouver le chauffard qui s'est rendu coupable de délit de fuite. L'individu a finalement été interpellé quelques heures plus tard.

Mobilisation pour retrouver le suspect

L'accident a suscité beaucoup d'émotion à Noyers-sur-Cher, notamment car la victime est un ancien maire de la commune. Les habitants se sont mobilisés pour retrouver la trace du véhicule du chauffard, signalé comme de couleur blanche avec des traces de chocs et le rétroviseur droit manquant. Le suspect, âgé de 24 ans, a été identifié un peu plus tard dans l'après-midi et interpellé à son domicile. Placé en garde à vue, il a reconnu les faits.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/20/1955777-loir-cher-chauffard-suspecte-avoir-fauche-pieton-tuant-coup.html

samedi 20 septembre 2014

LA NEUVILLE-AU-PONT (51). Un automobiliste meurt noyé

Un drame s’est produit vendredi soir près de La Neuville-au-Pont, un village proche de Sainte-Ménehould. Alertés vers 20  heures, les pompiers ont retrouvé une voiture immergée dans l’Aisne, le long de la RD 982. Le conducteur, né en 1977, était incarcéré à l’intérieur. Il était déjà mort noyé quand les sauveteurs ont pu accéder à lui. En revanche, le passager a pu être sauvé Accident ? Chute volontaire dans le cours d’eau ? Une enquête de gendarmerie est en cours pour déterminer les circonstances précises de cet accident.

http://www.lunion.presse.fr/region/la-neuville-au-pont-51-un-automobiliste-meurt-noye-ia231b0n410640

vendredi 19 septembre 2014

Orage : une septuagénaire retrouvée morte

Un violent orage a perturbé aujourd'hui à la mi-journée le trafic dans le Var, où l'eau est montée dans plusieurs secteurs, notamment à Bandol où une septuagénaire a été retrouvée morte sans qu'un lien avec les intempéries ne puisse encore être établi.

La cause du décès de cette femme de 76 ans ne pouvait être précisée dans l'immédiat, ont indiqué les pompiers et la préfecture du Var. Une autopsie devait être pratiquée demain. La femme a été emportée par les eaux, mais a également eu un problème cardiaque, ont précisé les mêmes sources, sans pouvoir déterminer pour l'instant lequel a précédé l'autre. Elle était apparemment en train de revenir de la plage, sur une voie interdite aux piétons et aux cyclistes, quand elle a été emportée. Les pompiers n'ont pas réussi à la ranimer. "Violent orage sur la région toulonnaise avec grêle et rafales de vent à 126km/h au Cap Cépet, 113km/h à Toulon", a twitté Météo France.

"Après une accalmie, un épisode orageux de même nature que celui de la mi-journée peut survenir selon Météo France, entre minuit et samedi en milieu d'après-midi", a mis en garde vendredi en fin de journée la préfecture du Var, évoquant la possibilité de "fortes averses, rafales de vent et grêle". Joint par l'AFP, la SNCF a indiqué que plusieurs incidents avaient perturbé en début d'après-midi le trafic entre Marseille et Nice, affectant notamment les trains grandes lignes. Une coulée de boue sur les voies a provoqué une première interruption du trafic entre Saint-Cyr-Les-Lecques et Bandol vers 12h30. Selon la SNCF, les gravats ont été complètement nettoyés et le trafic a pu reprendre en début d'après-midi. Un muret s'est effondré le long de la voie, en raison des intempéries près de Carnoul, obstruant là encore les deux voies entre Toulon et Nice. Après une interruption, le trafic a pu également redémarrer, sur une seule voie.

Enfin, l'incendie d'une armoire électrique en gare de Toulon, rapidement circonscrit, a forcé les pompiers à faire évacuer la gare pendant quelques temps. Ces incidents ont provoqué des retards parfois importants, jusqu'à presque deux heures, notamment sur les trains grandes lignes. "On va garder des retards d'au moins une heure" pendant l'après-midi, a estimé une porte-parole de la compagnie. En fin d'après-midi, le trafic était ralenti entre Toulon et Les Arcs, mais la SNCF avait mis en place des bus de substitution. "En raison des conditions météo, le tunnel de Toulon est momentanément fermé", a précisé également la préfecture du Var sur son compte twitter.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/19/97001-20140919FILWWW00351-orage-une-septuagenaire-retrouvee-morte.php

Tragique série sur les routes de Dordogne

Les tragédies s'enchaînent cette semaine sur les routes de Dordogne. Ce jeudi matin, André Lavignac, un habitant de Saint-Germain-du-Salembre âgé de 74 ans, a perdu la vie au nord de Saint-Vincent-de-Connezac, à quelques kilomètres du bourg. Avec trois morts en trois jours, le département paie en cette fin d'été un lourd tribut.
Vers 9 h 15, le septuagénaire a perdu le contrôle de sa Peugeot 307 à la sortie d'une courbe de la départementale 709, cette route reliant Mussidan à Ribérac. Son véhicule est parti en travers. Il s'est déporté sur la voie de gauche alors qu'arrivait en sens inverse un utilitaire. Le choc s'est révélé d'une telle violence qu'à l'arrivée des secours, le malheureux était déjà mort. Il est probable que le septuagénaire a été tué sur le coup.
Le conducteur du Citroën Jumping, un homme de 42 ans, s'est trouvé bloqué dans son fourgon. Il a été désincarcéré par les sapeurs-pompiers puis pris en charge par le Smur. Légèrement blessé, mais surtout traumatisé, il a été conduit vers 10 h 45 au centre hospitalier de Périgueux. Les gendarmes se sont chargés de réguler la circulation. Le retour à la normale a eu lieu vers midi.
30 morts depuis le 1er janvier
André Lavignac a-t-il été victime des orages de la nuit ? L'enquête devra clairement déterminer les circonstances de l'accident. Mais si la chaussée sur cet axe se montre de bonne qualité, elle semblait hier porteuse de ce qu'on appelle le « verglas d'été ».
Les chiffres de l'accidentologie en Dordogne sont particulièrement préoccupants. Au 31 août, ils étaient déjà mauvais. On recensait alors 26 morts sur les routes du département, contre 19 à pareille époque. Ayant constaté une recrudescence des comportements dangereux, les services de l'État avaient décidé de mettre le paquet le mois dernier, gendarmes et policiers opérant durant le seul mois d'août 144 contrôles.
Septembre a considérablement alourdi un bilan déjà trop pesant : il est désormais question de 30 personnes tuées sur les routes périgourdines. Alain Laval est mort de ses blessures après un accident de tracteur survenu le 6 septembre, à Sainte-Mondane.
Et cette semaine, la machine s'est dangereusement emballée, les routes prenant trois vies en moins de quarante-huit heures. Mardi matin, Pierre Teillais, 90 ans, a été fauché à un passage piétonnier au Bugue, non loin de chez lui. Mercredi, c'est Ludovic Mondary, 23 ans, qui se tuait à Saint-Saud-Lacoussière, la commune où il venait d'acheter une maison. L'hécatombe s'est poursuivie ce jeudi avec le décès d'André Lavignac, ce septuagénaire qui s'était installé il y a une dizaine d'années à Saint-Germain-du-Salembre et que l'on apercevait à l'occasion aux repas organisés par l'association La Clé du temps.
Face à cette multiplication de drames, la gendarmerie a lancé ce jeudi matin un appel à la vigilance à destination des automobilistes.
Une analyse récente des statistiques périgourdines a démontré que, dans la très grande majorité des cas (plus de quatre cas sur cinq), les principales victimes sont des automobilistes et motards tués à moins de 15 kilomètres de leurs foyers. Les derniers faits enfoncent le clou : les routes les plus dangereuses sont également celles que l'on connaît le mieux.

http://www.sudouest.fr/2014/09/19/tragique-serie-1676150-1980.php

Une femme tuée dans la Haute-Garonne : son compagnon interpellé dans l'Aude

La gendarmerie de l'Aude a déployé une cinquantaine de militaires, jeudi, après 22 h 45, dans le secteur de Bram et Montréal, pour retrouver le compagnon de la jeune femme tuée quelques instants auparavant à coups de couteau, à Vallègue dans la Haute-Garonne. 
Cet homme avait pris la fuite avec son véhicule sur l'A61. En circulant dans le sens Toulouse vers Narbonne, sa voiture était entrée en collision avec un poids-lourd, au niveau de la sortie de Bram. Lorsque les gendarmes ont été avertis, le conducteur avait pris la fuite à pied dans les champs, alors que du sang a été retrouvé dans la voiture. 

Des équipes cynophiles ont été déployés sur le secteur ainsi que le peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie pour retrouver l'individu, tandis qu'un hélicoptère survolait la zone. 
Il a rapidement été retrouvé, blessé visiblement des suites de l'accident, aux abords d'une habitation à Villasavary.  
Il s'agit d'un ancien légionnaire du régiment de Castelnaudary, d'origine malgache, âgé de 35 ans. 
Cet ancien militaire a été rapatrié dans un hôpital toulousain pour être soigné sous surveillance policière, après avoir été placé en garde à vue. 

http://www.lindependant.fr/2014/09/19/une-femme-tuee-dans-la-haute-garonne-son-compagnon-interpelle-dans-l-aude,1931539.php

Un Gersois de 22 ans se tue sur la route

Un jeune Gersois de 22 ans a trouvé la mort à Vic-Fezensac dans la nuit de mercredi à jeudi. Il circulait sur la route de Marambat, en direction du centre vicois, lorsqu'il a perdu le contrôle de son véhicule vers 1 heure du matin hier pour une raison encore inconnue. Il a effectué un ou plusieurs tonneaux puisque sa voiture a été retrouvée sur le toit dans une haie, à l'angle du chemin de la société Delpeyra.
La victime était déjà décédée quand les pompiers, le Samu et les gendarmes sont arrivés. Une enquête a été ouverte par la COB de Vic-Fezensac pour déterminer les circonstances exactes de l'accident. D'après son entourage, sa petite amie résidait à Vic-Fezensac.

Un 14e décès sur les routes

Le jeune homme qui a perdu la vie à Vic-Fezensac était né à Auch et résidait à Beraut, entre Condom et Valence-sur-Baïse, chez ses grands-parents. Le maire du village, Philippe Dufour est d'ailleurs un voisin. «Je le voyais peu car c'était un garçon très indépendant. Ses grands-parents ont déjà dû essuyer de nombreux décès dans la famille et ils étaient très marqués, voir abasourdis. On le répète mais c'est trop tôt : 22 ans, ce n'est pas un âge pour mourir…», regrettait l'édile de Beraut. C'est le 14e décès sur les routes du département depuis le début de l'année.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/19/1954854-un-gersois-de-22-ans-se-tue-sur-la-route.html

jeudi 18 septembre 2014

ARCY-SAINTE-RESTITUE (02). Un jeune motard de 16 ans se tue sur la route

ACTUALISATION A 9 h 15 : On en sait plus sur l'accident qui s'est produit ce matin près d'Arcy-Sainte-Restitue. Une collision a impliqué une moto et un poids lourd. Le jeune pilote du deux roues, âgé de 16 ans, est décédé.

http://www.lunion.presse.fr/region/arcy-sainte-restitue-02-un-jeune-motard-de-16-ans-se-tue-ia231b0n409568

Une marche blanche samedi en hommage à Ilyès

Bagatelle «Stop à la violence», par la voix de sa présidente, Zohra Slimane, appelle à une marche blanche, ce samedi, à la mémoire d'Ilyès El-Ouadouari, 21 ans, mort poignardé de dix-sept coups de couteau, dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 septembre, rue du Périgord, en plein cœur de Toulouse .
Elle rappelle : «Il nous a quittés dans des conditions inacceptables. C'était un garçon travailleur, il allait signer un contrat à durée indéterminée au mois d'octobre chez Airbus.»
La marche blanche aura lieu ce samedi et partira à 14 heures du 22 rue de la Gironde, dans le quartier de Bagatelle, à l'adresse où réside sa famille. Le cortège s'élancera ensuite rue Vestrepain, chemin de Bagatelle, Petit bois, impasse Bachaga Boualem, rue Paul-Lambert, chemin des Iris, jardins de la Faourette, avant de se disperser, dans un nouvel hommage à la jeune victime, rue de la Gironde.
Le collectif espère rassembler un maximum de personnes à la fois en la mémoire d'Ilyès mais aussi pour dire «non à la violence». Les organisateurs ne veulent pas que leur quartier et ses habitants soient stigmatisés. «Nos quartiers regorgent de richesses humaines. Il y fait bon vivre. Ce nouveau deuil ne peut passer ni sous silence, ni sous indifférence. Nous osons encore faire confiance à la justice !».
Ilyès était «une personne tranquille, un jeune qui aimait rire», souligne Zohra Slimane.
Le jeune homme était mort à l'hôpital, le dimanche 7 septembre dans l'après-midi. Il y avait été transporté en fin de nuit par les secours, après avoir été retrouvé, gisant, dans le jardin de la bibliothèque de la rue du Périgord. Selon un témoin, plusieurs personnes s'étaient acharnées sur lui.
Il aurait été la victime d'une rixe qui avait éclaté un peu plus tôt, du côté de la place Arnaud-Bernard. Dans cette affaire, les enquêteurs de la sûreté départementale ont interpellé un suspect qui a été mis en examen pour meurtre et écroué. Les investigations se poursuivent

http://www.ladepeche.fr/article/2014/09/18/1954154-une-marche-blanche-samedi-en-hommage-a-ilyes.html

mercredi 17 septembre 2014

Val d'Oise: Les policiers doivent déposer leurs armes après le suicide de deux collègues

Les quelque 2.000 policiers du département du Val d'Oise doivent tous déposer leurs armes de service après leur travail sur ordre de leur hiérarchie après le suicide de deux de leurs collègues vendredi dernier. Un syndicat de police, Synergie (seconde organisation d'officiers) a jugé cette mesure «inadmissible et inappropriée» tandis que le Direction générale de la police nationale (DGPN) a dit mercredi qu'elle avait été décidée «dans un souci de protection et de prévention».
Selon la DGPN, après le suicide coup sur coup, vendredi, de deux policiers du Val d'Oise à l'aide de leurs armes de service, la directrice départementale de la sécurité publique (DDSP) a demandé «le soir même» à ses troupes de déposer leurs armes en quittant leur service. «C'est à titre conservatoire et provisoire» en «attente» d'une réunion avec la «cellule de veille» dédiée aux suicides et mise en place dans la police, à grande échelle, il y a quelques années.

Cette mesure est une «infantilisation» des policiers, dénonce Synergie

Pour Synergie, cette mesure est une «infantilisation» des policiers et le syndicat met en avant la «mise en danger de leur intégrité» en invoquant à cet égard le règlement général d'emploi de la police sur les armes. Celui-ci stipule que le policier hors service est autorisé à porter son arme de service sur son ressort territorial d'exercice de son métier ou sur son trajet domicile/lieu de travail. Il ne peut alors l'utiliser que dans le cadre de sa fonction.
Sont généralement totalement désarmés les policiers dits «vulnérables» comme ceux fragiles psychologiquement. Synergie exige la levée de la «consigne» mise en oeuvre dans le Val d'Oise, «dans l'intérêt des policiers». Les suicides sont un problème récurrent dans la police et leur taux est un peu plus élevé que celui de la moyenne de la fonction publique et de la moyenne nationale, selon les études réalisées à ce sujet, soit une cinquantaine par an.
Il y en a eu une dizaine cet été, selon plusieurs sources policières, «sans lien direct» établi avec la fonction de policier, ce qu'ont également souligné ces mêmes études. Mercredi, un policier d'une quarantaine d'années s'est donné la mort avec son arme de service dans les locaux du commissariat de police de Salon-de-Provence, a-t-on appris auprès de la police.

http://www.20minutes.fr/societe/1445107-20140917-val-oise-policiers-doivent-deposer-armes-apres-suicide-deux-collegues

Orages et crues : un homme se noie, 3 départements du Sud en alerte

L'Hérault et le Gard sont en vigilance orange aux fortes pluies et l'Aveyron en alerte aux crues. Des intempéries qui ont fait une victime dans un autre département, les Pyrénées-Orientales. Dans l'Aveyron et l'Hérault, des routes sont coupées et un pont s'est effondré.
Le Gard et l'Hérault sont toujours en vigilance orange au "très fortes pluies orageuses" jusqu'à jeudi 6h, tandis que l'Aveyron est désormais classé en alerte aux crues. L'Aude n'est désormais plus en alerte (voir notre carte de vigilance météo en bas de l'article). "Depuis le début de l'épisode, il est tombé sur le centre et le nord de l'Hérault de 80 à 220 mm de pluie. Sur le nord-ouest du Gard il est tombé de 60 à 100 mm de pluie", note Météo France. Et "On pourrait encore enregistrer de 80 à 150 mm supplémentaires et localement 150 à 250 mm supplémentaires. Sur l'épisode depuis le début des cumuls ponctuels de 250 à 350 mm sont envisageables."
Dans les Pyrénées-Orientales, département en vigilance jaune, un homme de 68 ans s'est noyé à Argelès-sur-Mer, selon Midi Libre. Le drapeau était rouge au moment du drame. Dans l'Aude, un autre baigneur, âgé de 57 ans, a échappé de justesse à la mort, sur la plage de Leucate. "Un appel à vigilance a été lancé par les gendarmes du secteur en début d'après-midi. Notamment après l'intervention des secours à trois reprises sur Leucate ce mercredi auprès de baigneurs imprudents", indique Midi Libre
L'Hérault et l'Aveyron touchés
Une vingtaine de personnes ont été évacuées après une crue provoquée par de fortes pluies d'orage mercredi dans l'Aveyron. Une vingtaine de personnes ont été évacuées, "par simple mesure de précaution", de leurs habitations du village de Vabres-l'Abbaye, dans le sud-est de l'Aveyron, non loin de l'Hérault, ont indiqué les pompiers. "Il s'agit seulement de maisons cernées par les eaux mais pas de réelles inondations", a précisé à l'AFP un responsable des pompiers de l'Aveyron
 

Un père de famille décède au cours d'un homejacking

Un père de famille, âgé d'une quarantaine d'années, est décédé après avoir été violemment agressé lors d'un cambriolage dans la nuit mardi à mercredi à son domicile à Aubignosc (Alpes de Haute-Provence), a-t-on appris du parquet.
Selon les premiers éléments de l'enquête, vers 1H00 dans la nuit de mardi à mercredi, trois individus se sont introduits dans une maison de ce petit village, situé à une trentaine de kilomètres de Digne-les-Bains, où dormaient un couple et leur fils âgé de 15 ans.

"Plusieurs individus se sont introduits de nuit dans une maison assez retiré du village d'Aubignosc à priori pour perpétrer un cambriolage durant lequel le propriétaire des lieux a trouvé la mort", a indiqué le procureur de la République de Digne-les-Bains, Stéphane Kellenberger.
La famille a été séquestrée, le père et la mère violemment frappés alors que les cambrioleurs étaient à la recherche de bijoux ou d'argent liquide. Les malfrats ont ensuite pris la fuite. Inconscient à l'arrivée des secours, le père est décédé des suites de ses blessures. L'épouse, qui a donné l'alerte, et son fils, tous deux en état de choc, ont été hospitalisés.
Le parquet de Digne-les-Bains a confié l'enquête à la Section de Recherche de Marseille et à la Brigade de Recherche de Forcalquier.

http://www.lindependant.fr/2014/09/17/un-pere-de-famille-decede-au-cours-d-un-homejacking,1930707.php

Drame de Rosières : la douleur et l'incompréhension des proches

Extrême douleur et incompréhension pour les proches de cette mère de famille retrouvée sans vie, lundi, à l’aplomb d’un pont à Rosières-aux-Salines, avec sa fillette de 3 ans à ses côtés.
Une famille anéantie de douleur et qui ne comprend pas. Lundi vers 7 h, le corps sans vie d’une jeune femme de 32 ans était découvert à la verticale d’un pont, sur le territoire de la commune de Rosières-aux-Salines. La victime gisait sur le dos, son enfant de trois ans à ses côtés. Une fillette choquée mais indemne qui a passé une partie de la nuit contre le cadavre de sa mère. D’après les premières constatations, cette habitante de Saint-Nicolas-de-Port aurait chuté depuis l’ouvrage en béton avec son enfant dans les bras. Une chute d’une hauteur de 5 à 6 m, sur le bitume, et qui lui aura été fatale. Le corps de la mère aurait amorti le choc et préservé ainsi la vie de la fillette. Une enfant admise aux urgences pédiatriques de Nancy-Brabois pour des examens de contrôle. Le drame s’est déroulé dans la nuit de dimanche à lundi. L’hypothèse d’un acte désespéré reste la plus probable même si les gendarmes de la Compagnie de gendarmerie de Nancy en charge des investigations, explorent actuellement toutes les pistes.

Le corps autopsié aujourd’hui

« C’est incompréhensible », ressasse en boucle, un proche de la famille. « Personne ne lui connaissait d’envies suicidaires. C’était une jeune femme toujours de bonne humeur, jolie, pétillante, qui prenait soin de sa personne et de sa fille qu’elle adorait. Elle ne traînait pas les bars ni les discothèques et les rares fois où elle sortait, elle donnait sa fille à garder à ses parents et on savait où elle allait. Si l’enquête et l’autopsie viennent à confirmer un tel acte, aucun signe à notre connaissance ne le laissait présager », indique ce proche. La séparation d’avec le père de son enfant voilà quelques mois et plus particulièrement la garde de la fillette, se déroulait a priori sans nuage, à en croire ce proche. « Ce n’était pas un père absent. Il assurait son rôle et s’occupait souvent de la petite, le week-end. D’ailleurs, depuis la sortie de l’hôpital d’enfants, lundi en fin de matinée, c’est lui qui en a la garde. La fillette va plutôt bien pour le moment et ne présente pas de blessures. Elle a également été vue par un pédopsychiatre. C’est une petite fille qui a toujours été très entourée par le clan familial, tout comme sa mère, d’ailleurs ».
Selon ce proche, la trentenaire ne connaissait pas ce secteur de Rosières-aux-Salines. Un pont situé à près de 2 km de la départementale 19 et qu’on rejoint en empruntant un chemin peu carrossable qui serpente au milieu de la végétation. La victime avait déclaré se rendre à Rosières avec sa fille, dimanche en début de matinée, pour chiner à la brocante organisée dans la commune. Un loisir qu’elle affectionnait. Elle n’est jamais revenue à sa maison de Saint-Nicolas-de-Port où elle vivait seule, avec sa fillette, sans problème financier. « On espère que l’autopsie va pouvoir apporter des réponses… » L’acte de médecine légale doit avoir lieu aujourd’hui.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/09/17/elle-adorait-sa-fille-elfl

mardi 16 septembre 2014

Jura. Un homme tente de se suicider en pleine rue

Un désespéré a tenté de mettre fin à ses jours, lundi soir, à Foncine-le-Haut. avec une carabine de chasse.

L’homme a eu la mâchoire arrachée, alors que plusieurs témoins assistaient médusés à la scène. La victime a été héliportée, encore, consciente à Besançon. Son pronostic vital n’est pas engagé.



http://www.leprogres.fr/jura/2014/09/16/un-homme-tente-de-se-suicider-en-pleine-rue

Loire. Un homme retrouvé noyé dans un étang à Feurs

Mardi matin, vers 9h30, des pêcheurs ont trouvé le corps d'un homme qui flottait dans l'étang du domaine du Tilleul, à Feurs
L'homme a été identifié. Il s'agit de Marius Reynaud, 87 ans, qui avait disparu depuis le 13 septembre dernier.

http://www.leprogres.fr/loire/2014/09/16/un-homme-retrouve-noye-dans-un-etang-a-feurs-xbak

Charente-Maritime : un cyclomotoriste mortellement percuté par un camion

Un homme de 30 ans, qui circulait au guidon d'un cyclomoteur, a perdu la vie ce lundi soir vers 17h30 sur la commune de Sainte-Gemme, entre Saintes et Marennes. Il a été heurté par un camion à hauteur du hameau Chez Barrat.

http://www.sudouest.fr/2014/09/15/charente-maritime-un-cyclomotoriste-mortellement-percute-par-un-camion-1672396-1391.php

lundi 15 septembre 2014

Charente : un corps carbonisé retrouvé dans un pavillon

Le drame s'est noué en début d'après-midi, dimanche, rue des Vignes à Cherves-Richemont, en plein milieu du bourg de la commune du Cognaçais. Les pompiers ont été alertés à 15 h 28 par des voisins, qui avaient vu de la fumée sortir du pavillon situé au numéro 4.
Les hommes des centres de secours de Cognac et Jarnac, qui intervenaient avec une échelle et deux fourgons, n'ont pu empêcher la destruction totale de la maison. En revanche, ils ont réussi à éviter une propagation au pavillon jumeau à sa gauche, dont l'habitante était absente.

Une famille sans histoires

À l'intérieur, les pompiers ont fait une macabre découverte, un corps carbonisé, impossible à identifier. Cela justifie la prudence de la gendarmerie, qui n'excluait hier soir aucune hypothèse. Le commandant de la compagnie de Cognac, Stéphane Equipé, qui supervisait l'intervention du peloton et de la brigade de recherche de Cognac, ainsi que d'un technicien de la brigade d'identification criminelle d'Angoulême, ne privilégiait aucune piste.
Selon nos informations, la plus probable semble être celle du drame familial. La maison avait été achetée en 2009 par un couple, avec deux enfants de 8 et 2 ans. La compagne et ses enfants auraient quitté le domicile il y a une quinzaine de jours. La victime pourrait être le propriétaire de la maison. Il semble qu'avant le drame, il a sorti devant la maison un véhicule dans lequel ont été retrouvées des affaires personnelles et une lettre.
Comme les riverains de cette rue paisible, le maire, Alain Riffaud, était sous le choc. La famille était discrète et sans histoires. L'homme, qui aurait entre 35 et 40 ans, était intérimaire. « C'était des gens sympas », confie une voisine. L'enquête devra déterminer si la victime a voulu mettre fin à ses jours, ou si le scénario est différent.

http://www.sudouest.fr/2014/09/15/un-corps-carbonise-1671780-1189.php

Un septuagénaire tue sa fille de 13 ans et se suicide

Un homme de 72 ans a tué par arme à feu sa fille âgée de 13 ans, avant de se donner la mort dans la nuit de vendredi à samedi, dans un endroit isolé près de Dions (Gard), a-t-on appris lundi de source judiciaire.
«Selon les premiers éléments de l’enquête, on se dirige vers un drame familial», a indiqué la procureure de la République à Nîmes, Mme Laure Beccuau, confirmant une information de France Bleu Gard Lozère. «Il y a d’abord un homicide volontaire puis un suicide», a-t-elle précisé.
C’est un promeneur qui a découvert les deux corps samedi matin, celui de la fille dans une voiture et celui de son père à l’extérieur, a précisé la même source. La mère de l’adolescente en état de choc n’a pu être entendue par les enquêteurs.

http://www.dna.fr/actualite/2014/09/15/un-septuagenaire-tue-sa-fille-de-13-ans-et-se-suicide

Un homme meurt poussé sous le tramway à Nice

Un homme d'environ 25 ans est mort dimanche soir après avoir été poussé sur les voies à l'arrivée du tramway. Un suspect a été interpellé.
La scène s'est produite tout près de l'arrêt Jean-Médecin, vers 19h50 ce dimanche soir.
Selon les premières constatations, l'homme aurait été victime d'une bousculade et serait tombé sur la voie alors qu'une rame de tramway arrivait en provenance de la gare et en direction de la place Massena.
Le système de protection qui empêche le tramway de rouler sur un obstacle ne s'est pas déclenché car l'homme n'est pas tombé devant la rame mais sur le côté.
Plusieurs témoins étaient interrogés sur place par la police nationale. Un homme d'une vingtaine d'années, qui pourrait être lié à la bousculade, a notamment été interpellé.
Près de deux heures après les faits, la victime n'avait toujours pas pu être identifiée.
Le tramway, en service depuis 2007, avait connu son premier drame en octobre 2010: une dame de 89 ans avait été mortellement percutée alors qu'elle traversait juste devant une rame.

http://www.nicematin.com/nice/video-un-homme-meurt-pousse-sous-le-tramway-a-nice.1903191.html

dimanche 14 septembre 2014

Rouen: il meurt noyé dans son véhicule

Un jeune homme de 19 ans est mort noyé hier soir dans son véhicule tombé dans la Seine près de Rouen, a-t-on appris auprès des pompiers confirmant une information du site infoNormandie.

Peu avant minuit, le véhicule est tombé dans le fleuve pour une raison inconnue, en bordure d'un chemin de halage à Moulineaux, dans l'agglomération rouennaise. Les deux passagers, qui se trouvaient à bord avec le conducteur, ont réussi à s'extraire du véhicule tombé sur le toit, dans un endroit peu profond du fleuve, mais ils n'ont pas réussi à sortir leur camarade resté coincé dedans.

À l'arrivée des sapeurs-pompiers, le jeune conducteur se trouvait en arrêt cardio-respiratoire et il n'a pu être ranimé. Les deux passagers ont été hospitalisés, l'un pour un traumatisme à l'épaule, l'autre en état de choc, selon les pompiers. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'accident


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/14/97001-20140914FILWWW00092-rouen-il-meurt-noye-dans-son-vehicule.php

L'Etat islamique annonce l'exécution de l'otage britannique David Haines

Une vidéo et quatre photos insoutenables diffusées tard samedi soir sur Twitter. Les images n'ont pas été authentifiées par les services américains et britanniques mais elles montrent la décapitation de l'otage britannique David Haines. C'est samedi soir que l'État islamique a annoncé la mort de l'humanitaire anglais tué de la même façon, avec la même mise en scène sordide (à genoux dans le désert, en combinaison orange) que les deux otages américains tués par les terroristes islamistes ces dernières semaines. À ses côtés, un homme vêtu de noir qui a déclaré : "Ce Britannique doit payer le prix de ta promesse, Cameron [le Premier ministre britannique], d'armer les peshmerga contre l'État islamique." Le jour même, la famille de l'Écossais avait adressé un appel à ses ravisseurs : "Nous vous avons envoyé des messages auxquels nous n'avons reçu aucun réponse. Nous demandons à ceux qui détiennent David de nous contacter", écrivait la famille.
Engagé dans l'humanitaire depuis 1999, David Haines, 44 ans, effectuait sa première mission pour l'ONG française Acted en tant que responsable logistique dans le camp de réfugiés d'Atmeh, un village syrien près de la frontière turque. Il avait été enlevé en compagnie d'un collègue italien alors qu'ils circulaient tous deux le long de la frontière entre la Syrie et la Turquie en mars 2013. Père de deux filles âgées de 4 et 17 ans, il vivait en Croatie. Interrogé récemment par le quotidien anglais The Telegraph, son épouse déclarait : "Il représente tout pour nous. Il est toute notre vie. C'est un homme et un père merveilleux. Personne ne peut comprendre ce que nous sommes en train de vivre
Sur Twitter, le Premier ministre britannique, David Cameron a dénoncé un acte "de pure haine". Il a assuré que le Royaume-Uni fera tout pour "traquer les meurtriers" et "veiller à qu'ils soient traduits en justice".
 

samedi 13 septembre 2014

Chute de vélo mortelle dans la Montagne de Reims

VERZY (51). Après le décès de deux motards - le premier vendredi et le second la nuit dernière -, nous venons d’apprendre le décès d’un cycliste ce samedi vers 11 heures. Week-end noir pour les deux-roues dans la Marne.
Un cycliste d’une cinquantaine d’années a fait une chute mortelle en fin de matinée sur la route entre Verzy et Verzenay, dans le massif de la Montagne de Reims. D’après les témoignages recueillis sur place, la victime aurait mal négocié son virage. En tombant sa tête aurait violemment heurté une pierre. Malgré le port du casque, l’accident lui a été fatal.
L’homme est mort peu de temps après l’arrivée des secours. Une enquête de gendarmerie est ouverte pour déterminer les circonstances exactes de ce nouveau drame de la route.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/chute-de-velo-mortelle-dans-la-montagne-de-reims-ia0b0n407150

Bernard Cazeneuve rend hommage à la policière tuée à Caen

Aube : il met le feu à sa cellule pour se suicider

Un détenu de 63 ans est décédé cette nuit après avoir mis volontairement le feu à sa cellule du centre de détention de Villenauxe-la-Grande, dans l'Aube.

L'homme, fragile psychologiquement, qui avait déjà tenté à plusieurs reprise d'incendier sa cellule, est mort "probablement asphyxié par les émanations de fumée", a précisé le parquet de Troyes confirmant une information de France 3 Champagne-Ardenne.

Le procureur de Troyes a ouvert une enquête pour établir les causes du décès avant une autopsie programmée en début de semaine.
Une trentaine de détenus ont été évacués vers une salle sécurisée le temps de l'intervention des secours avant de regagner leur cellule individuelle


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/13/97001-20140913FILWWW00033-aube-il-met-le-feu-a-sa-cellule-pour-se-suicider.php

vendredi 12 septembre 2014

Une piétonne meurt renversée par une voiture quartier Saint-Cyprien

Une femme de 79 ans est décédée ce vendredi matin dans le quartier de Saint-Cyprien à Toulouse après avoir été percutée par une voiture.
L'accident s'est produit à 8h20. La victime traversait la rue du cimetière Saint-Cyprien avec ses deux chiens quand elle a été percutée par une voiture. Quand les secours sont arrivés sur place, le septuagénaire était décédé. Un de ses chiens est également mort sur le coup.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=33321&WS=291720_2501986&WA=6539

A Puichéric (Aude), ruinée par la grêle, la viticultrice se donne la mort

Une femme de 32 ans s'est suicidée en début de semaine. Son exploitation, pour laquelle elle n'était pas assurée, avait été entièrement grêlée le 6 juillet dernier.
Le sujet, si délicat, n'est pas tabou. Mais, précise Jean-François Rémy, président des Jeunes agriculteurs de l'Aude, "on évite de parler des suicides dans la profession. Même si c'est évident qu'ils sont plus nombreux chez les agriculteurs que dans d'autres professions".

En ce début de semaine, une viticultrice de 32 ans, installée à Puichéric, s'est donnée la mort. Un geste de désespoir sur fond de problèmes personnels, qui a été annoncé aux membres des Jeunes agriculteurs, récemment réunis en bureau.
Un geste par essence difficile à expliquer, mais que la profession relie avec le terrible épisode météorologique subi par le département au début de l'été. Le 6 juillet, un orage de grêle avait détruit 15 000 hectares de vignes dans le département.
  • 15 000 hectares détruits dans l'Aude
     
Parmi les victimes du désastre, cette jeune femme, également conseillère municipale, installée hors cadre : "Tous les faits ont créé un ensemble très complexe qui a généré ce geste", s'attriste Jean-François Rémy.
La jeune viticultrice n'était malheureusement pas assurée. Ruinée, donc, par un orage qui, sur la commune de Puichéric, a également lourdement touché les adhérents des caves. Comme le Cellier du Nouveau Monde, où une quarantaine des 140 adhérents a tout perdu. Parmi eux, seuls 30 % d'adhérents étaient assurés.
L'illustration par l'exemple du problème que Philippe Vergnes, le président de la chambre d'agriculture, pointe du doigt. S'il n'était hier pas encore informé du suicide de la jeune exploitante, Philippe Vergnes préfère rester mesuré dans l'analyse de ce geste : "J'ai perdu un ami vigneron en Bourgogne qui s'est fait sauter le caisson. Mais il était dépressif. Personne n'est à l'abri. Pour cette jeune femme, le fait d'avoir été grêlé a sans doute été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase."
  • "En France, 100 000 hectares sont assurés sur un total de 800 000 en viticulture"
     
Sentiment livré en rappelant qu'en France, "sur 800 000 hectares de vignes, seuls 100 000 sont assurés. Et parmi ces 100 000, 80 000 hectares le sont mal, puisque les viticulteurs assurent un revenu qui ne correspond pas à la réalité. C'est trop cher pour eux. Il y a un problème de fond, sur lequel le ministère travaille" pour éviter de plonger un peu plus dans la détresse les professionnels victimes de la météo.
C'est désormais en préfecture, au sein du comité de gestion de crise, que l'accompagnement des victimes du 6 juillet se poursuit..

http://www.lindependant.fr/2014/09/12/a-a-puicheric-le-geste-de-desespoir-d-une-viticultrice-ruinee-par-la-grele,1928546.php