vendredi 30 novembre 2012

Collonges-au-Mont-d'Or: un feu de chambre fait une victime de 88 ans

Une femme de 88 ans, a été découverte morte, vendredi dans sa chambre, à Collonges-au-Mont-d'Or
Son corps a été découvert par la gardienne de la propriété aux environs de 13h30. Les pompiers sont intervenus pour éteindre le feu qui est resté très localisé. La gendarmerie a ouvert une enquête pour déterminer l'origine du sinistre. Pour l'heure, aucune thèse n'est privilégiée.


 

Interpellation d'un homme s'accusant du meurtre du chef de la police de Saint-Arnoult-en-Yvelines

Un homme s'est rendu vendredi en début d'après-midi à la gendarmerie s'accusant du meurtre du chef de la police municipale de Saint-Arnoult-en-Yvelines (Yvelines), retrouvé mort, a-t-on appris de source proche de l'enquête confirmant une information du Parisien. Il a été placé en garde à vue.
Selon ses dires, il aurait tué à coups de couteau la victime découverte sur son lieu de travail. Les gendarmes de la Brigade de recherches de Rambouillet et de la section des recherches de Versailles ont été saisis.
Le policier, Crédric Josso, a été tué à coups de couteau par l'ex-mari de sa concubine, dit dans un communiqué le Syndicat de défense des policiers municipaux, cité par Reuters. Les enquêteurs privilégient la thèse d'une crime passionnel.

http://www.20minutes.fr/ledirect/1053504/interpellation-homme-accusant-meurtre-chef-police-saint-arnoult-en-yvelines

Pau : la mère aurait reconnu avoir tué ses deux enfants

La mère de famille de 35 ans soupçonnée d'avoir tué ses deux enfants, Noé, 6 ans, et Evan, cinq mois, mercredi soir à Pau, a été placée sous le régime de la garde à vue jeudi en fin de journée. Son état de santé, tant mental que physique, nécessite cependant qu'elle reste à l'hôpital.
C'est là que les enquêteurs de la Police judiciaire ont cependant pu l'interroger. Elle aurait notamment reconnu avoir tué ses deux enfants, évoquant une intention suicidaire de sa part et son incapacité à laisser ses enfants seuls une fois morte. Selon les premiers éléments de l'enquête, cette ingénieure chercheuse employée à l'Université de Pau souffrait d'une grave dépression chronique, et a été suivie à plusieurs reprise par des spécialistes.
On ignore encore la cause de la mort des deux frères, découverts mercredi en fin de journée dans le sous-sol de la maison familiale, de l'avenue Fouchet, à Pau, où un incendie avait été allumé par leur mère. Laquelle a été retrouvée dans un état de prostration un couteau à ses côtés, et incommodée par les fumées de l'incendie. C'est son mari et père des deux enfants qui a donné l'alerte en rentrant du travail. Ce dernier est toujours hospitalisé au centre hospitalier des Pyrénées après le choc de la découverte.
Le parquet de Pau attend désormais les conclusions de l'autopsie pratiquée ce matin, et pourrait ouvrir une information judiciaire pour meurtre sur mineurs de moins de 15 ans.

http://www.sudouest.fr/2012/11/30/pau-la-mere-aurait-reconnu-avoir-tue-ses-deux-enfants-895117-4344.php

Haute-Saône : elle s'immole pendant le sommeil de ses enfants

Terrible tragédie hier soir en Haute-Saône où une mère de famille s'est immolée par le feu pendant le sommeil de ses enfants.
Le drame a eu lieu vers 22 h 30 dans la commune de Villars-le-Pautel. Alors que ses enfants de 11 et 13 ans dormaient à l'étage, la jeune femme de 36 ans s'est aspergée de 15 litres d'essence au rez-de-chaussée de son domicile, situé rue Dessous. Et elle a mis le feu. Son mari, qui se trouvait à proximité a tenté d'intervenir pour étouffer les flammes, d'abord avec une couverture, ensuite avec un extincteur qu'il est allé chercher dans un bâtiment mitoyen. Il a lui même été blessé en essayant d'éteindre les flammes.
Le geste désespéré de la mère de famille qui n'a pas survécu a aussitôt provoqué un incendie dans l'habitation. Réveillés, les deux enfants ont évacué les lieux par leurs propre moyens, mais sans voir le drame qui s'était joué au rez-de-chaussée. L'adolescente de 13 ans et le garçonnet de 11 ans sont allés chez des voisins. Ce sont eux qui ont alerté les pompiers. Lesquels ont mobilisé leurs moyens pour ce qui avait été annoncé comme un incendie classique.
Le couple s'était installé dans la commune depuis deux ans. Des problèmes familiaux pourraient expliquer cette effroyable tragédie.
Les deux enfants étaient encore ce vendredi matin pris en charge par le propriétaire du logement du couple, lequel réside en face.

http://www.estrepublicain.fr/fil-info/2012/11/30/haute-saone-elle-s-immole-pendant-le-sommeil-de-ses-enfants

Un automobiliste se tue sur la RN31

Hier soir, un Fismois de 26 ans s'est tué lors d'une perte de contrôle sur la RN31. La route a été coupée dans les deux sens.
La route a encore tué dans le nord rémois. Hier soir, vers 21 h 45, un automobiliste de 26 ans a trouvé la mort sur la RN31, quelques dizaines de mètres seulement après avoir quitté le département de l'Aisne, entre Mont-Notre-Dame et Fismes.
Domicilié dans cette dernière commune, le jeune homme circulait seul à bord d'une Peugeot 306 lorsqu'il en a perdu le contrôle pour une raison qui reste à déterminer.
Aucun témoin n'a assisté à l'accident mais d'après les constatations, la voiture s'est déportée sur la gauche de la route où elle a heurté le talus avant de rebondir et de s'immobiliser sur le toit, sur la voie de droite.
C'est un corps sans vie que les pompiers de Fismes et Reims ont hélas découvert dans l'habitacle. D'importants moyens de gendarmerie ont été dépêchés sur les lieux : la brigade de Fismes, chargée de l'enquête, mais également ses collègues de Braine et la brigade motorisée de Soissons. La nationale 31 a été coupée dans les deux sens, provoquant une longue file de camions et voitures à l'arrêt. Elle était toujours fermée aux environs de 23 h 30, pour une réouverture envisagée vers minuit.
Cet accident mortel est le cinquième en un mois - pour autant de victimes - sur les routes de l'arrondissement de Reims. Le précédent datait seulement de mardi matin, sur la RD966 à Brimont, également dans une zone limitrophe de l'Aisne (il a coûté la vie à un automobiliste venu percuter un camion qui circulait en sens inverse).
Le 8 novembre, sur cette même RN31, c'est un piéton qui a été mortellement percuté par une voiture en traversant la chaussée près de Muizon.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-automobiliste-se-tue-sur-la-rn31

Perte de contrôle sur l'A72 : un automobiliste décède à la suite d'un malaise

Un homme âgé de 38 ans est décédé jeudi soir sur l’A72 entre Balbigny et Montbrison. Selon les premières constatations, l’automobiliste aurait été victime d’un malaise avant de perdre le contrôle de son véhicule vers 17h50. La circulation a été perturbée sur le secteur pour permettre l’intervention des secours

L'homme circulait dans une Citroën C3 Picasso, dans le sens Clermont-Ferrand / St Etienne, lorsqu'il a été victime d'un malaise. Son véhicule est allé finir sa course dans le grillage du talus de l'autoroute.
Malgré l'intervention de nombreux secouristes, l'automobiliste n'a pu être réanimé et est décédé sur place.
Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances précises de l'accident.

Un appel à témoins est lancé à toute personne qui se trouvait sur les lieux au moment des faits. Contactez la gendarmerie de Feurs au 04 77 27 07 80


http://www.leprogres.fr/loire/2012/11/29/perte-de-controle-sur-l-a72-un-automobiliste-decede-a-la-suite-d-un-malaise

Une sexagénaire se suicide

Jeudi matin, peu avant 6 h, une habitante de Vic-la-Gardiole, âgée de 61 ans, a placé son véhicule en travers des voies à hauteur de passage à niveau situé à l’entrée de la commune. Un TER en provenance de Sète roulant à plus de 100 km/h a heurté la voiture de plein fouet. Le véhicule a été traîné sur près d’un kilomètre.
Rapidement, les pompiers des casernes environnantes et les gendarmes de Villeneuve-lès-Maguelone et du Peloton de secours de Castelnau, encadrés par le lieutenant-colonel Aldebert, sont arrivés sur place. Il a fallu de longues heures pour dégager la voiture encastrée dans la motrice du train. Ce n’est qu’ensuite que la victime a pu être désincarcérée.
Une enquête est en cours. Le conducteur du train a été entendu par les gendarmes. Une lettre a été retrouvée au domicile de la Vicoise ; ce qui confirme la thèse du suicide. Le fonctionnement des barrières automatiques du passage à niveau n’est pas en cause.

http://www.midilibre.fr/2012/11/29/sncf-un-drame-et-des-usagers-dans-la-galere,602973.php

Un automobiliste meurt percuté par un train dans l'Hérault

Un automobiliste a perdu la vie ce jeudi matin dans un accident de la circulation, à Vic-la Gardiole, dans l'Hérault. Son véhicule a été percuté par un train reliant Narbonne à Marseille, selon le service du centre opérationnel d'incendie et de secours (Codis) qui a également fait état d'une interruption du trafic.
L'accident s'est produit à 5h43 sur un passage à niveau protégé par une demi-barrière pour une raison encore inexpliquée dans une zone assez éloignée nécessitant un kilomètre de marche aux sauveteurs, a précisé cette même source.
Aucun des 30 passagers du train n'a été blessé. Ils devraient être transférés en bus vers leur destination finale, a indiqué le Codis. Le trafic régional est totalement stoppé dans les deux sens entre Montpellier et Sète, a-t-il ajouté, soulignant que les opérations de secours avec le levage risquaient de prendre du temps.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/29/1501550-un-automobiliste-meurt-percute-par-un-train-dans-l-herault.html

jeudi 29 novembre 2012

Soupçonnée d'avoir tué ses 2 enfants

La mère des deux enfants de 6 ans et 5 mois retrouvés morts et partiellement calcinés hier dans un pavillon de Pau est soupçonnée de les avoir tués avant de tenter de mettre fin à ses jours, a-t-on appris aujourd'hui auprès du parquet. Selon les éléments recueillis, la piste de l'agression extérieure est "complètement exclue", de même qu'une hypothèse accidentelle, a indiqué le procureur de la République de Pau, Jean-Christophe Muller.

La "mort violente" des deux enfant pourrait avoir été "donnée par leur mère", a poursuivi le magistrat, précisant qu'une enquête de police avait été ouverte mercredi soir pour "homicides volontaires sur mineurs de 15 ans". "Nous ne savons pas encore ce qui a causé la mort des enfants", a-t-il dit, ajoutant qu'une autopsie allait être pratiquée "dans les 24h".

L'alerte a été donnée mercredi vers 18H40 par le père qui rentrait du travail et avait aperçu de la fumée sortir du sous-sol de son pavillon. C'est là que les secours, qui n'ont eu aucune difficulté à maîtriser le feu, ont retrouvé les corps, en partie calcinés, des deux enfants de 6 ans et 5 mois. Leur mère était à côté d'eux, prostrée et dans un état de "sidération", selon M. Muller. "Lors de sa prise en charge par les secours, elle a eu un comportement qui laisse penser que son intention initiale était de mettre fin à sa vie après avoir tué ses enfants", a-t-il dit.

Un couteau a également été retrouvé à proximité mais on ignore s'il a été utilisé, a indiqué M. Muller. La mère, qui a ingéré une quantité importante de fumée, se trouvait toujours hospitalisée à Pau jeudi après-midi et n'a pu être entendue, mais ses jours ne sont pas en danger. Extrêmement choqué, son mari a lui aussi été hospitalisé. Il a toutefois pu confier que sa femme souffrait, depuis de nombreuses années, de "troubles de la personnalité", a rapporté M. Muller.

Le couple, âgé d'environ 35 ans et inconnu de la justice et de la police, venait de s'installer dans ce pavillon dans le courant de l'été. La jeune femme, enseignante à l'Université de Pau et des Pays de l'Adour, avait repris son emploi le 12 septembre après son congé maternité. Son époux est ingénieur. Une cellule psychologique a été mise en place à l'école où était scolarisé l'aîné des enfants


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/29/97001-20121129FILWWW00658-soupconnee-d-avoir-tue-ses-2-enfants.php

Pau : un quartier sous le choc après l'incendie qui a tué deux enfants

L'avenue Fouchet, un quartier pavillonnaire du nord de Pau, était sous le choc ce jeudi matin après l'incendie mortel qui a tué deux frères, âgés de 6 ans et 5 mois mercredi soir. La famille avait emménagé au mois de mai. Dans le voisinage, peu de gens avaient pu faire leur connaissance. "J'ai vu comme tout le monde qu'ils avaient refait leur clôture, mais c'est tout", explique une habitante du quartier.
Un peu plus loin, à l'Institution Saint-Dominique, située à 200 mètres de la maison où s'est déroulé le drame, et où était scolarisé l'aîné de 6 ans, on a mis en place une cellule psychologique pour écouter ses camarades de CP / CE1. Quatre psychologues de l'Education nationale les ont écoutés le matin après que la directrice a fait le tour des classes pour expliquer "l'accident très grave d'hier soir".

Elle aussi présente dès 8 heures, une psychologue de l'enseignement catholique restera à l'école ce jeudi après-midi pour écouter les enfants qui le souhaitent.
L'enquête par la police judiciaire est en cours. Le procureur de la République Jean-Christophe Muller a évoqué hier soir un incendie criminel et "l'hypothèse d'un drame familial". Il doit faire un point sur l'enquête à 15 heures.

http://www.sudouest.fr/2012/11/29/pau-un-quartier-sous-le-choc-apres-l-incendie-qui-a-tue-deux-enfants-894006-4344.php

Un Baumois se tue sur la route du Noirmont

Besançon. Un accident de la route a coûté la vie à un habitant de Baume-les-Dames, mardi matin, dans le Jura suisse.
Il était aux environs de 11 h 45, lorsqu’une voiture circulant entre Le Noirmont et Le Boéchet s’est déportée sur sa gauche au passage d’une bosse. Elle est alors venue percuter un camion qui roulait en sens inverse.
Le conducteur, Loris Grisot, 36 ans, a semble-t-il été surpris par ce dos-d’âne, situé au lieu-dit « Sur le Gez », sur lequel il a perdu le contrôle de son véhicule.
Désincarcéré dans un état grave par les secours helvétiques, ce père de deux enfants a ensuite été héliporté vers l’hôpital de Porrentruy. Il est malheureusement décédé durant le vol.
Quant au conducteur du camion, très choqué, il est indemne.
La route a été bloquée durant cinq heures pour permettre les opérations de secours et de déblaiement de la chaussée.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/11/29/un-baumois-se-tue-sur-la-route-du-noirmont

Un éleveur tué par son taureau

 Un éleveur de 56 ans a été tué par un taureau à Saint-Nicolas d'Aliermont, près de Dieppe (Seine-Maritime), a-t-on appris aujourd'hui auprès des gendarmes.

L'accident s'est produit hier vers 17h30 alors que l'éleveur s'occupait de son bétail. Subitement un taureau de plusieurs centaines de kilos a foncé sur cet homme, l'a encorné puis piétiné.

Grièvement touché notamment à la tête, l'éleveur a succombé à ses blessures malgré les soins prodigués sur place par un médecin du Samu. La cellule d'identification criminelle de la gendarmerie s'est rendu sur les lieux et a conclu à un accident du travail.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/29/97001-20121129FILWWW00564-un-eleveur-tue-par-son-taureau.php

Pau. 2 enfants morts dans un incendie, la piste du drame familial envisagée

Deux enfants de 6 ans et 5 mois ont perdu la vie mercredi, à Pau, dans l’incendie d’une maison. Leur mère a été intoxiquée et hospitalisée au CHU de Pau. La piste d’un drame familial est envisagée.
C’est le père des deux enfants qui a donné l’alerte aux secours hier, vers 18h30. A leur arrivée sur les lieux, les pompiers et la police ont découvert les corps des deux enfants, partiellement carbonisés, dans le sous-sol de la maison.
Le père, très choqué, a également été hospitalisé. Selon le parquet, il aurait inhalé des fumées. Ingénieur, l’homme rentrait du travail lorsqu’il a constaté le départ de feu au sous-sol du pavillon familial.
Les deux parents sont âgés de 35 ans. La mère, également ingénieur et professeur à l’université de Pau et des Pays de l’Adour, était en congé maternité.
Selon le parquet, la piste du drame familial est envisagée, sans autres précisions. Une enquête de flagrance a été ouverte sous la direction du parquet pour « homicides volontaires sur mineurs ». Une autopsie du corps des enfants sera pratiquée ce jeudi ou vendredi, à Toulouse.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/29/1501593-pau-2-enfants-morts-dans-un-incendie-la-piste-du-drame-familial-envisagee.html

Ain : un automobiliste tué par la chute d'un arbre déraciné par le vent

Un arbre est tombé mercredi soir en raison des fortes rafales de vent sur une route départementale de l'Ain, faisant un mort, le conducteur d'une voiture dont le toit a été écrasé.
Le conducteur d'une voiture a été tué mercredi soir dans l'Ain par la chute d'un arbre. Le toit du véhicule a été écrasé par l'arbre, tombé en raison des fortes rafales de vent sur la route départementale 70, du côté de Bouligneux. La victime, père de deux enfants, était âgée de 35 ans et revenait de la chasse, seule dans son véhicule.

L'arbre, qui se trouvait à 5 mètres en bord de route et était probablement déjà en partie déraciné, est tombé pile au moment de son passage sur la chaussée, alors que le vent soufflait à une centaine de km/h. La voiture s'est encastrée entre deux branches. Le département de l'Ain n'était pas concerné mercredi par une alerte particulière de Météo France
 

Mortellement fauché sur la route de Narbonne

Un homme de 43 ans, Paulo Jorge Santos, a été mortellement fauché par une voiture, mardi soir, sur l’ancienne 113 entre Trèbes et Carcassonne.
Il était un peu plus de 21 h 30 quand le conducteur d’une Opel cabriolet de couleur bleu a aperçu, au dernier moment, l’individu qui déambulait en plein milieu de la chaussée : le choc fut inévitable. Sur place, les médecins du Smur n’ont pu que constater le décès du quadragénaire écrasé par deux ou trois véhicules qui, à la différence du premier conducteur, ne se sont pas arrêtés.
Des neuroleptiques en cause ?
Selon l’enquête de police qui ne fait que débuter, il semblerait que Paulo Jorge Santos, sans domicile fixe, logeait depuis deux nuits à l’hôtel Formule 1 qu’il entendait, par cette périlleuse entreprise, rejoindre. Les analyses toxicologiques n’ont pu être menées à bien pour l’heure faute de médecin légiste disponible sur Carcassonne : elles devraient l’être ce jeudi.
Elles permettront de dire si la victime avait consommé de l’alcool ou pris des médicaments : des neuroleptiques ayant été retrouvés dans sa chambre. Les analyses pratiquées sur le conducteur (alcool, stupéfiants...) se sont quant à elles révélées négatives et il semblerait que la vitesse ne soit pas, non plus, en cause.
Nez de clown et incantations
Par ailleurs, l’enquête de voisinage a permis aux fonctionnaires de recueillir des témoignages faisant état du comportement dangereux de la victime. Depuis deux ou trois jours, plusieurs automobilistes l’avaient en effet aperçue errant sur les voies de circulation de la 113 et l’avaient évité au dernier moment...
Si Paulo Jorge Santos était défavorablement connu des services de police, il l’était aussi pour son côté original en centre-ville qu’il arpentait de long en large quelques fois avec un nez rouge de clown, ou pour ses incantations devant la fontaine de Neptune, sur la place Carnot. L’enquête policière se poursuit.

http://www.midilibre.fr/2012/11/28/mortellement-fauche-sur-la-route-de-narbonne,602382.php

Carcassonne. Un homme écrasé par plusieurs voitures sur la rocade

Que s'est-il passé hier soir, sur le coup de 21 h 30 sur la rocade entre Trèbes et Carcassonne ? Mystère. Entier mystère. Sur le coup de 23 heures, le corps quasi-dénudé d'un homme, gisait sur la voie de gauche de la rocade entre Trèbes et Carcassonne, juste en face de l'hôtel¨Odotel, dans l'attente, pathétique, d'être «enlevé» par les pompes funèbres. Un peu plus d'une heure et demie plus tôt, les services de secours ont reçu des appels de deux automobilistes effarés, qui venaient de rouler sur le corps de cet homme. Et aucun n'a pu expliquer, à notre connaissance, comment le malheureux, qui serait âgé (il s'agit d'une estimation en raison de l'état de sa dépouille) d'une quarantaine d'années a pu se retrouver au beau milieu de la voie rapide. L'équipe médicale du SMUR de Carcassonne a très vite constaté le décès de cette personne, et s'en est allée. Tandis que personne, aux alentours, ne semblait la connaître et/ou la réclamer. Sur place, se trouvait la totalité des effectifs de la police nationale disponibles, dont les techniciens de police scientifique qui ont procédé aux constatations d'usage sur le défunt tandis que les métrages et relevés étaient effectués par la brigade en service. Plusieurs témoins ont été conduits au poste pour être entendus. Et l'enquête est en cours. La gendarmerie nationale a été mise à contribution car il a fallu fermer totalement l'accès à la rocade et l'ensemble des véhicules se dirigeant vers Carcassonne a été renvoyé sur des itinéraires de délestage.
Qui est la victime ? D'où est-elle ? Bien des questions se posent, et les réponses ne seront données qu'aujourd'hui.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/28/1499927-carcassonne-ecrase-par-plusieurs-voitures-sur-la-rocade.html

mercredi 28 novembre 2012

Pau: 2 enfants morts dans un incendie

Deux enfants de 6 ans et demi et 5 mois ont péri aujourd'hui en fin d'après-midi à Pau dans l'incendie d'une maison et leur mère a été intoxiquée, a-t-on appris auprès des pompiers et du parquet. Les pompiers ont été alertés vers 18H40 par le père. A leur arrivée, ils ont découvert les corps des deux enfants brûlés dans la maison, située au nord de Pau, a-t-on ajouté sans autres précisions. La mère, intoxiquée par les fumées, a été hospitalisée à Pau. Très choqué, le père a lui aussi été hospitalisé, a-t-on ajouté. Une enquête de police est en cours.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/28/97001-20121128FILWWW00733-pau-2-enfants-morts-dans-un-incendie.php

Bourg-Argental: un adolescent en arrêt cardio-respiratoire après un accident

Un accident de la circulation impliquant trois véhicules s’est produit ce mercredi soir peu avant 17 heures sur la route départementale 1082 à la sortie de Bourg-Argental.
Deux blessés graves sont à déplorer dont un adolescent âgé de douze ans en arrêt cardio-respiratoire et une seconde victime âgée d’une trentaine d’années. Son état de santé reste très préoccupant. La voie a été coupée par les services de la gendarmerie afin de permettre l’intervention des secours venus d’Annonay, St-Sauveur-en-Rue et Bourg-Argental.

http://www.leprogres.fr/loire/2012/11/28/bourg-argental-un-adolescent-en-arret-cardio-respiratoire-apres-un-accident

Un motard se tue sur le boulevard périphérique

Domicilié à Mareuil-sur-Aÿ, un motard de 38 ans a trouvé la mort près de Châlons-en-Champagne.
Il est près de 21 h 45, samedi, quand un motard de 38 ans se tue sur le boulevard périphérique nord-ouest de Châlons-en-Champagne. Domicilié à Mareuil-sur-Aÿ, Arnaud Breuzon perd le contrôle de son deux-roues sur le rond-point desservant la RD3 - dite route d'Epernay.
Selon un témoin, il heurte le trottoir du terre-plein central, le plot de balisage puis le panneau de signalisation de sens unique. Il repart sur sa droite, cogne le trottoir et traverse les broussailles. Il dévale enfin le grand fossé en bas duquel il chute, tandis que sa Yamaha de grosse cylindrée continue de rouler.
Quand les sapeurs-pompiers arrivent sur place, ils trouvent le malheureux gravement blessé, inconscient et en arrêt cardio- respiratoire. Malgré les efforts du médecin urgentiste dépêché sur place, il est impossible de le ranimer.
Passionné de grosses cylindrées
Arnaud Breuzon était un passionné de motos et de grosses cylindrées. Depuis l'accident qui lui a coûté la vie, les témoignages se succèdent pour évoquer sa mémoire. « Mon frère, c'était la joie de vivre, un véritable boute-en-train… », nous confiait hier, Céline, la jeune sœur d'Arnaud.
Marié à Stéphanie, Arnaud Breuzon résidait depuis quelques mois seulement à Mareuil-sur-Aÿ. Tireur-développeur dans un labo photos d'Epernay, il consacrait tout son temps libre à sa famille, Loulou, son fils de 11 ans qu'il chérissait plus que tout au monde, ses amis.
« Sans oublier la moto ! » ajoute sa sœur. « Depuis son plus jeune âge, Arnaud était passionné de motos, de grosses cylindrées. Ses amis ? C'était tous des motards. Il est parti trop tôt mais au moins il est mort de sa passion… ».
Arnaud Breuzon était âgé de 38 ans. Il laisse une épouse, un fils, un frère, une sœur, des parents et de nombreux amis « Je voudrais qu'on ait aussi une pensée pour Jack D, son ami de toujours », termine Céline.


http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-motard-se-tue-sur-le-boulevard-peripherique

Un chauffeur écrasé par son propre camion

Un chauffeur routier a été écrasé par son propre camion mardi soir à Amiens après être sorti de sa cabine pour une raison inconnue, provoquant un important accident.

Le poids-lourd circulait sur une rue en pente quand le chauffeur est sorti de sa cabine et s'est fait écraser par son véhicule.

Selon une source policière, l'homme se trouvait à l'extérieur de la cabine et a voulu remonter, mais s'est trouvé coincé entre le véhicule et un mur.

L'homme est mort et le véhicule a poursuivi sa route et s'est finalement encastré dans un coffret GDF. Il s'agissait d'un camion de livraison de véhicules, qui était sur le point de livrer son chargement.

Le camion, qui a pris feu, a par ailleurs abîmé sept véhicules légers et plusieurs façades de maisons.

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Picardie-Express/Un-chauffeur-ecrase-par-son-propre-camion
Une fillette de deux ans est morte brûlée hier soir dans la baignoire du domicile familial à Pélussin (dans la Loire), en raison d'une probable mauvaise manipulation de l'eau chaude, a-t-on appris aujourd'hui auprès des pompiers et du parquet de Saint-Etienne.

Son frère jumeau qui se trouvait avec elle, brûlé à un pied, a pour sa part été transporté à l’Hôpital Nord du CHU de Saint-Etienne.

Il semblerait qu’une manipulation du robinet d’eau chaude par l’un des enfants soit à l'origine du drame, la petite fille ayant une santé particulièrement fragile depuis sa naissance, a précisé le parquet.

Appelés par le père des enfants, les secours n’ont rien pu faire pour ramener à la vie la fillette.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/28/97001-20121128FILWWW00407-une-enfant-de-2-ans-meurt-brulee.php

Castelnaudary. Un jeune de 24 ans se tue, route de St-Papoul

Un jeune homme de 24 ans qui, tout récemment avait été pensionnaire de l'accueil de jour, rue du Collège, a trouvé la mort, hier, dans un effroyable accident de la circulation. Il était 10 h 15, hier, quand sapeurs-pompiers et gendarmes ont été appelés, route de Saint-Papoul. Une Citroën ZX break venait de s'encastrer dans l'avant d'un poids lourd. Le conducteur, seul à bord, est semble-t-il décédé sur le coup. Quand au chauffeur du camion, s'il s'en tire sans blessure physique, il était néanmoins très choqué et soutenu par son «patron», M. Costamagna
Que s'est -t-il donc passé qui pourrait expliquer le drame ?
La route est sinueuse mais avec une bonne visibilité. Il semblerait que la victime ait perdu le contrôle de son véhicule à la sortie d'un virage. Il avait plu. La chaussée était-elle glissante ? Vitesse excessive ? Inadaptée ? Toujours est-il que la voiture aurait fait des écarts avant de s'encastrer dans l'avant du camion de la société toulousaine TVG qui transporte de la terre pour l'usine Terreal. Il aura fallu près d'une heure et quart aux secours pour désincarcérer le malheureux.
Les gendarmes - ils étaient huit sous les ordres du capitaine Alibert, commandant en second de la compagnie de Carcassonne, ont ouvert une enquête. À 15 heures, la circulation était toujours coupée sur la départementale 103 et une déviation par les Crozes avait été mise en plac.
On sait peut de choses sur la victime, sur ce garçon âgé de 24 ans, originaire de la région parisienne et qui vivait dans le secteur depuis quelques temps. Il n'avait d'adresses connues que celles de foyers dans le secteur. Romain Poulot était un homme marginalisé et la voiture qu'il conduisait lui avait été donnée ou vendue, par une connaissance de Fontiers-du-Razès. Elle n'était même pas assurée...

http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/28/1500169-castelnaudary-un-jeune-de-24-ans-se-tue-route-de-st-papoul.html

Agression du boulanger à Bioule : le témoin clé de l'affaire retrouvé pendu

Hier, Benjamin, 23 ans était toujours hospitalisé à Toulouse-Purpan. Après avoir frôlé la mort, il a été opéré et ses jours ne sont plus en danger. Lundi, vers 3 h 30, ce jeune boulanger de Bioule, domicilié à Penne (Tarn) a reçu plusieurs coups de marteau à la tête (lire notre édition d'hier). Alertées par les hurlements, les deux cogérantes de la boulangerie sont descendues de leur appartement situé au-dessus du magasin. Dans le fournil, elles ont aperçu une silhouette coiffée d'une capuche s'acharner sur la victime. Puis disparaître dans la nuit.
Rapidement, l'enquête s'est orientée vers Nathaël. Cet apprenti de la boulangerie était en congé de maladie pour une entorse à la cheville. Un peu plus de trois heures après l'agression, les gendarmes se sont alors rendus à son domicile familial de Montricoux. A leur arrivée, le jeune homme de 19 ans a sauté par la fenêtre de sa chambre et a pris la fuite. Activement recherché durant toute la journée de lundi, il est resté introuvable. Même pour ses proches qui n'ont eu aucune nouvelle de lui.
Puis, hier, vers 12 heures 45, un habitant de Montricoux a fait une bien triste découverte au fond d'une grange de sa propriété située un peu l'écart du village, au lieu-dit Gilat. Le cadavre d'un jeune homme pendu n'était autre alors que celui de Nathaël. Il connaissait très bien les lieux, puisqu'il s'agissait de la maison de l'un de ses copains d'enfance actuellement étudiant en Australie. Une autopsie sera pratiquée aujourd'hui ou demain.
Dans toute cette étrange affaire, les enquêteurs veulent d'abord avoir la confirmation qu'il s'agit bien d'un suicide. Puis, bien évidemment, ils souhaitent toujours savoir si Nathaël a été ou non pour quelque chose dans l'agression au marteau de son collègue de travail à la boulangerie.
Dans leurs premières déclarations aux gendarmes, les deux cogérantes de la petite entreprise artisanale ont cru en effet reconnaître «la démarche» de Nathaël quittant le fournil. L'audition de Benjamin, dès que son état de santé le permettra, pourra également éclairer les enquêteurs.
Par ailleurs, la brigade de recherches de Montauban et les gendarmes de la brigade de Nègrepelisse cherchent aussi un mobilise plausible à l'accès de folie qui aurait pu s'emparer de Nathaël pour commettre une agression d'une violence aussi inouïe. Outre le marteau, les gendarmes avaient retrouvé un tournevis et une scie égoïne auprès de la victime. Les deux jeunes hommes n'ont jamais défrayé la chronique. Benjamin est employé dans la boulangerie depuis cinq ans. En apprentissage depuis un an et demi à la Michette de Bioule, Nathaël allait passer son CAP en juin prochain. Pour les deux cogérantes de la boulangerie, les «deux jeunes hommes s'entendaient parfaitement bien au travail. Il n'y avait jamais eu d'histoire entre eux. C'est incompréhensible. On ne saura peut-être jamais ce qui s'est passé…» explique Florence.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/28/1500522-agression-du-boulanger-a-bioule-le-temoin-cle-de-l-affaire-retrouve-pendu.html

Le directeur de la rédaction du Monde est décédé

C'est une information LCI, également rapportée par de nombreux médias, dans la soirée. Erik Izraelewicz est décédé mardi des suites d'un malaise cardiaque au siège du quotidien Le Monde, dont il dirigeait la rédaction.

Il avait été hospitalisé mardi en fin d'après-midi après avoir été victime d'un malaise au siège du journal le Monde, dans le XIIIe arrondissement de Paris, avait indiqué le président du directoire du groupe Le Monde, Louis Dreyfus. Mais les secours ne sont pas parvenus à le réanimer.
Le journaliste de 58 ans était également vice-président du conseil de surveillance des hebdomadaires Télérama et Courrier international. Avant de prendre les rênes du Monde, Erik Izraelewicz avait fait toute sa carrière dans les rubriques économiques et dirigé les rédactions des deux quotidiens économiques français, Les Echos d'abord, La Tribune ensuite. Ce natif de Strasbourg au brillant parcours académique (HEC, Centre de Formation des Journalistes, docteur en économie) avait commencé sa carrière à l'Expansion avant de participer à la création, en 1985, de la Tribune.

A partir de 1986, il a passé près de 15 ans au Monde, où il a notamment dirigé le service économique et occupé les postes de correspondant à New York et de rédacteur en chef. De 2000 à 2008, il a exercé des postes à responsabilité au sein du journal Les Echos, qu'il a quitté pour revenir à La Tribune en tant que directeur, après son opposition au rachat du journal par Bernard Arnaud (LVMH).
 

Intervention très délicate des secours après un accident mortel

Une collision frontale entre une voiture et un camion a coûté la vie à un automobiliste sur la RD966 peu avant 8 heures. Un poteau électrique menace de s'effondrer. Il est retenu par la cabine du camion qui transporte des matières dangereuses. La route est totalement coupée. D'importants moyens sont sur place.
Toutes les équipes de secours sont sur le pont depuis 8 heures ce matin. Elles doivent faire face à un empilement de situations délicates : accident de la route avec un mort, la présence de matières dangereuses, le tout dans un environnement périlleux avec un poteau électrique toujours sous tension qui menace de s'écrouler.
D'après les premiers éléments, le conducteur de la voiture, circulait sur la RD 966 en direction de Reims. Son véhicule, immatriculé dans les Ardennes, a percuté de plein fouet un camion qui roulait sur la voie d'en face. Le choc a été fatal au le conducteur.
Le poids lourds a quant à lui fini sa course dans le bas-côté, il a heurté un poteau électrique qui menace de sécrouler.

Le chauffeur est indemne. Il a pu se dégager de sa cabine. Son camion transporte des matières dangereuses et sur place une forte odeur de produits chimiques s'échappe. La cellule chimique des sapeurs pompiers de Reims a été dépêchée sur les lieux.
D'importants moyens sont déloyés. Les hommes d'ErDF doivent dans un premier temps mettre le poteau hors tension pour écarter tout risque lié à la présence de matière dangereuse et permettre aux secours de dégager la victime.
La route est coupée dans les deux sens entre le rond point de Bourgogne et le carrefour de Brimont. Des déviations ont été mises en place.

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/intervention-tres-delicate-des-secours-apres-un-accident-mortel

Accident mortel à Moissac : le conducteur mis en examen

L'accident qui a coûté la vie à une jeune moissagaise âgée de 18 ans, Claire Dorlencourt, samedi vers 5 h 30 du matin sur la RD7, après qu'une Renault Mégane a violemment percuté une habitation située côte de Saint-Laurent à Moissac, ne restera pas sans suite. Après avoir été présenté devant le procureur de Montauban et un juge d'instruction hier en début d'après-midi, le conducteur du véhicule, âgé pour sa part de 19 ans, a été mis en examen pour homicide involontaire avec violence aggravée. En outre, cette mise en examen a été assortie de l'ouverture d'une information judiciaire. Ce qui exprime la volonté du parquet d'avoir un complément d'information de la part des enquêteurs de la gendarmerie de Moissac sur les conditions dans lesquelles a eu lieu cet accident dramatique, qui a provoqué le plus grand désarroi au sein d'une famille et bien plus que de l'émoi auprès de la population moissagaise. En fin d'après-midi, l'hypothèse d'un placement en détention provisoire du jeune homme était envisageable.

En détention provisoire

Ce fut chose faite après que le juge des libertés et de la détention a décidé en début de soirée que le jeune conducteur devait être écroué provisoirement à la maison d'arrêt de Beausoleil, à Montauban.Cette sévérité de la part de la justice pourrait s'expliquer par les résultats des prélèvements sanguins effectués sur le conducteur, avec recherches d'alcool et de stupéfiants, même si, pour l'heure, aucune communication n'a été faite à leurs sujets. Dès dimanche, le procureur de permanence s'était rendu en personne à la gendarmerie de Moissac pour donner l'autorisation de prolonger la garde à vue du jeune majeur. Un déplacement qui disait déjà combien l'accident de samedi matin pourrait avoir valeur d'exemple en matière de lutte contre la délinquance routière et ses affres meurtriers

http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/27/1499315-moissac-accident-mortel-le-conducteur-mis-en-examen.html

mardi 27 novembre 2012

Lugos (33) : deux morts dans une collision

Une collision impliquant deux véhicules s'est produite hier matin, à 8 h 15, sur le CD 110, route reliant Sanguinet, au lieu-dit Lande de la Lougère, à Lugos. Les deux conducteurs ont été tués.
Il s'agit d'Olivier Brieu, 43 ans, demeurant à Gradignan, qui était au volant de la voiture, et de Frédéric Laborde, 37 ans, de Morcenx (Landes), qui conduisait le camion-nacelle qui venait en sens inverse.

Les secours sont intervenus rapidement, mais l'automobiliste est décédé sur le coup et le chauffeur du poids lourd est mort peu de temps après leur arrivée.
Des prélèvements sanguins des deux conducteurs ont été effectués pour analyse et le parquet a demandé une autopsie avec présence d'un officier de police judiciaire. L'enquête a été confiée à la brigade de gendarmerie de Belin-Beliet. Selon les premières constatations, la voiture aurait pu se déporter sur la gauche dans cette ligne droite, pour une raison qu'il reste à déterminer. Au moment où cet accident est survenu, une légère pluie tombait.
82 morts depuis le 1er janvier
Cet accident porte à 82 le nombre de tués sur les routes de Gironde depuis le début de l'année, dont 75 dans le secteur routier contrôlé par la gendarmerie nationale, qui a en charge le périmètre le plus vaste, comparativement aux CRS et à la police nationale.
L'accident survient en effet après la mort d'un motard le 17 novembre dernier au Taillan et d'une jeune conductrice de 20 ans le 23 novembre, à Vayres, là encore lors d'une collision contre un camion.
Dans cette même période, un motard originaire de Saint-Quentin-de-Baron a trouvé la mort lors d'une sortie de route au niveau de la sortie 14 de la rocade bordelaise à Pessac

http://www.sudouest.fr/2012/11/27/deux-morts-dans-une-collision-891243-2980.php

Leogeats (33) : un adolescent de 15 ans tué dans une collision

Un adolescent de 15 ans a perdu la vie ce mardi matin vers 7 h45 près de Langon (33) lors d'une accident de la circulation survenu sur le CD 8.
Il circulait sur un scooter qui est entré en collision avec une automobile.

Vers 9h30, ce mardi, les secours étaient toujours sur place.

http://www.sudouest.fr/2012/11/27/leogeats-33-un-adolescent-de-15-ans-tue-dans-une-collision-891642-2956.php

Accident de Fournets-Luisans (25) : le jeune passager est décédé

Gaëtan Garraud, 20 ans, originaire de La Rochelle, a succombé à ses blessures, dimanche après-midi. Le jeune homme était le passager de la voiture accidentée suite à une sortie de route dans laquelle la conductrice de 18 ans avait été tuée sur le coup en percutant un arbre, samedi matin peu avant l’entrée du village de Fuans, dans le Doubs.
Le week-end dernier aura été particulièrement meurtrier sur les routes de la région. Ce décès porte en effet à quatre (dont trois dans le Doubs et un en Haute-Saône) le nombre de tués dans des accidents de la circulation entre samedi matin et dimanche soir. Avec ces deux jeunes de La Rochelle venus habiter dans le Haut-Doubs pour travailler en Suisse, le motard de Valdoie décédé dimanche midi à Plancher-Bas, en Haute-Saône, et le jeune Rabhat Skakni, 20 ans, qui a perdu la vie en venant s’encastrer dans un arbre à l’entrée de Saint-Vit dans le Doubs où il habitait, chez ses parents.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/11/27/accident-de-fournets-luisans-le-jeune-passager-est-decede

Ain : une sexagénaire tue son fils

Une femme de 63 ans a tué lundi soir son fils de 31 ans en tirant sur lui avec une carabine, dans leur maison dans l'Ain, a-t-on appris mardi auprès du parquet de Bourg-en-Bresse, confirmant une information du journal régional Le Progrès.
La mère et le fils vivaient sous le même toit, à Jujurieux. Ce dernier, qui s'était aménagé un espace personnel dans le garage et la cave de la maison, ne travaillait pas et présentait une forte addiction à l'alcool ainsi qu'aux médicaments de substitution (méthadone), a précisé la procureur de la République de Bourg-en-Bresse, Marie-Christine Tarrare. Lundi soir, peu après 18 heuires, le fils aurait voulu pénétrer de force dans la partie de l'habitation réservée à la mère en tentant de défoncer la porte de communication, a précisé le procureur. La mère, sous l'emprise de l'alcool, aurait pris peur. Elle s'est emparée d'une carabine, tirant plusieurs coups au travers de la porte, selon la même source. Une balle aurait alors atteint la victime.
La mère était interrogée en garde à vue mardi pour comprendre les raisons de son passage à l'acte, tandis qu'une autopsie devra déterminer les causes exactes du décès de son fils.
 

Une famille se noie pour sauver un chien

Deux Américains et leur fils de 16 ans, qui s'étaient jetés dans les vagues pour sauver leur chien, sont morts noyés en Californie samedi. Le chien, lui, est sorti tout seul de l'eau, sain et sauf.

La famille se promenait sur la plage de Big Lagoon près d'Arcata, dans le nord de la Californie, où s'écrasaient des vagues de trois mètres. Un panneau met en garde contre la violence du ressac à cet endroit là.

Le père a envoyé un bâton à son chien, trop près de l'eau. En un instant, ont relaté les autorités, l'animal a été emporté par les flots. "Tout a fait boule de neige à partir de là", résume Bernie Garrigan, un garde-côte.

Gregory, le fils de 16 ans, s'est précipité pour sauver le chien, mais a lui aussi été emporté. Son père, âgé de 54 ans, s'est jeté à son secours, suivi de sa mère, de 57 ans. L'adolescent a finalement réussi à sortir des vagues, mais voyant son père en difficulté, il y est retourné.

Finalement, le chien est ressorti tout seul de l'eau.

Sur le rivage, la fille de 18 ans et la petite amie de Gregory n'ont pu qu'assister au drame qui se déroulait devant elles. Le corps des deux parents a été retrouvé par la suite. Les recherches ont été abandonnées pour retrouver celui du fils.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/27/97001-20121127FILWWW00373-une-famille-se-noie-pour-sauver-un-chien.php

Bayonne : un piéton grièvement blessé sur le BAB

Un homme de 54 ans a été percuté samedi vers 18 heures par une voiture sur le boulevard du BAB à hauteur du quartier Balichon.
La victime venait de s'adresser à un chauffeur de bus et a été happée quelques secondes plus tard alors qu'elle traversait la quatre voies.

Grièvement blessé, l'homme a été pris en charge par le Samu de l'hôpital de Bayonne. Il a été opéré dans la nuit par un neurochirurgien puis placé en réanimation. Le pronostic vital était toujours engagé hier.

http://www.sudouest.fr/2012/11/26/bayonne-un-pieton-grievement-blesse-sur-le-bab-890428-7.php

Lavaur. Un motard grièvement blessé

Un homme de 25 ans au guidon d'un scooter Yamaha 50 cm3 a été victime d'un très grave accident de circulation, hier matin, à 6 h 30, sur la route entre Gaillac et Lavaur, au niveau du rond-point de la Ramière. Hier, en fin d'après midi son état de santé inspirait toujours les plus vives inquiétudes, le pronostic vital était toujours engagé. L'accident s'est produit à l'aube, pour une raison encore indéterminée, le pilote du deux roues, qui circulait en direction de la cité vauréenne, a perdu le contrôle de son engin. Il a heurté de plein fouet un panneau de signalisation avant de finir sa course au milieu du rond-point. Un choc d'une extrême violence. Les sapeurs pompiers, les gendarmes et le SAMU de Lavaur, sont arrivés très rapidement sur les lieux. Souffrant de nombreuses blessures et factures, le jeune homme a été transporté dans un premier temps aux urgences du centre hospitalier de Lavaur. En fin de matinée, la détérioration de son état de santé a nécessité son transfert vers le centre hospitalier régional de Rangueil à Toulouse. La victime de l'accident habite avec ses parents à Brens. Les gendarmes de Lavaur sont chargés d'établir les causes de cet accident.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/26/1498261-lavaur-un-motard-grievement-blesse.html

lundi 26 novembre 2012

Une laborantine se suicide à Lyon

Une laborantine d'un grand hôpital de Lyon, dont le service est en restructuration, s'est donnée la mort en se défenestrant aujourd'hui sur son lieu de travail, a-t-on appris auprès des syndicats et de la direction. Cette femme de 44 ans, mère de deux enfants, s'est jetée par une fenêtre d'un bureau du 5ème étage de l'hôpital de la Croix-Rousse, peu après sa prise de service.

Vers 8H30, une de ses collègues l'a découverte grièvement blessée en bas de l'immeuble. Elle décédait près de deux heures plus tard aux urgences de l'hôpital, a précisé à l'AFP la directrice adjointe de l'hôpital, Jacqueline Barthélémy-Bougault. "A priori, elle n'a laissé aucune lettre" pour expliquer son geste, a-t-elle dit. Elle s'est par ailleurs refusée à évoquer d'éventuels problèmes familiaux, soulignant qu'"une enquête de police était en cours".

"C'est un choc pour le personnel et pour la direction", a souligné Jacqueline Barthélémy-Bougault, qui s'est rendue dans le service. "On est dans la compassion et on observe une grande vigilance et une grande présence vis-à-vis des personnels", a-t-elle ajouté. Cette technicienne, à ce poste depuis "de nombreuses années", travaillait au laboratoire d'exploration fonctionnelle endocrinienne et métabolique, une activité qui devait être transférée le 15 décembre au laboratoire des Hôpitaux Est de Lyon. Pour les syndicats CGT et Sud, "le suicide sur le lieu de travail est le dernier message d'une collègue desespérée qui se trouve devant un obstacle insurmontable pour elle".

Selon la CGT, elle travaillait "depuis plus de vingt ans" au sein d'une "équipe très soudée" de cinq personnes. "Elle n'avait toujours aucune réponse, à trois semaines du changement, sur ce qu'elle allait devenir" et "n'a pas supporté l'incertitude, les fausses promesses, le changement brutal et imposé", a-t-elle estimé. Selon Jacqueline Barthélémy-Bougault, "lorsqu'un service est relocalisé, chaque personne rencontre un conseiller des conditions de travail et peut émettre trois voeux. Et l'institution essaie au maximum de répondre à l'un d'eux". A la demande des syndicats, la direction a convoqué un CHSCT extraordinaire pour jeudi pour, selon les syndicats, "mettre en place les mesures préventives pour qu'il n'y ait plus jamais de tels gestes".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/26/97001-20121126FILWWW00591-une-laborantine-se-suicide-a-lyon.php

Chute à Dijon : l'enfant de six ans est décédé

Steven, six ans, scolarisé à l'école Anjou, avait fait une chute de dix étages hier dimanche à Dijon, dans le quartier de la Fontaine d'Ouche. Il est décédé des suites de ses blessures ce lundi matin en fin de matinée.
Les pompiers et la police avaient été appelés d'urgence ce dimanche après-midi, peu après 15h30, pour un jeune enfant retrouvé inerte au pied d'un immeuble du quartier de la Fontaine d'Ouche, allée de Ribeauvillé. L'un des voisins aurait entendu un bruit sourd avant de prévenir les secours. La victime, un garçon né en 2006, toujours en vie à l'arrivée des secours, avait été transportée au CHU de Dijon. Sa mère, très choquée, avait elle aussi été hospitalisée.

http://www.bienpublic.com/actualite/2012/11/25/dijon-un-enfant-de-6-ans-retrouve-au-pied-d-un-immeuble-peut-etre-tombe-du-10e-etage-d-un-immeuble

Dijon : un enfant de 6 ans chute du 10e étage

Les pompiers et la police ont été appelés d'urgence ce dimanche après-midi, peu après 15h30, pour un jeune enfant retrouvé inerte au pied d'un immeuble du quartier de la Fontaine d'Ouche, allée de Ribeauvillé. L'un des voisins aurait entendu un bruit sourd avant de prévenir les secours. La victime, toujours en vie à l'arrivée des secours, a été transportée au CHU de Dijon. Il s'agit d'un garçon né en 2006. Sa mère, très choquée, a elle aussi été hospitalisée.
Sur place, les services de police ont établi un périmètre de sécurité, en attendant leurs collègues de l'identité judiciaire, notamment pour pénétrer dans l'appartement où est domicilié l'enfant, un logement situé au 10e étage de l'immeuble en question.
Pour l'heure, aucune thèse n'est privilégiée par les enquêteurs. L'hypothèse d'une chute reste toutefois probable puisque la mère et son enfant étaient en train d'installer des décorations de Noël.

http://www.bienpublic.com/actualite/2012/11/25/dijon-un-enfant-de-6-ans-retrouve-au-pied-d-un-immeuble-peut-etre-tombe-du-10e-etage-d-un-immeuble

Doubs: un jeune de 20 ans meurt sur la route

Âgé de 20 ans, un jeune automobiliste a perdu la vie, hier matin, dans un accident de la route. Il était 7 h 30 lorsque le jeune conducteur, circulant sur la route départementale 73, a perdu le contrôle de son véhicule à l’entrée de la commune de Saint-Vit où il demeure chez ses parents. Seul à bord de sa voiture, il est allé s’encastrer dans un arbre et est décédé sur le coup.
La route aura été décidément très meurtrière ce week-end en Franche-Comté. Une jeune fille de 18 ans s’était pareillement tuée samedi matin après avoir perdu le contrôle de sa voiture et avoir heurté un arbre (notre journal du dimanche 25 novembre). La victime et son ami, âgé de 20 ans, grièvement blessé dont le pronostic vital restait toujours engagé hier en début de soirée, étaient venus s’installer dans la région depuis La Rochelle pour travailler en Suisse.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/11/25/doubs-un-jeune-de-20-ans-meurt-sur-la-route

Un motard de Valdoie perd la vie dans une collision

Plancher-Bas. Un nouvel accident est venu, hier, allonger la liste des victimes de la route. Il était tout près de midi, lorsqu’une moto circulant sur la RD4, entre Plancher-Bas (70) et Auxelles-Bas (90), en direction de cette dernière localité, s’est déportée sur la voie de gauche dans une courbe à droite, au lieudit « Les Bouquottes », secteur bien connu des services de secours et de dépannage souvent appelés à y intervenir.
Sur une route qu’il connaissait bien pour l’emprunter régulièrement, et nullement connu pour être un fan de vitesse, Lucio Deldo, 65 ans, qui demeurait à Champagney (70) avant d’habiter aujourd’hui à Vadoie (90), n’a semble-t-il pas pu maîtriser la trajectoire de sa moto. La fatalité a voulu que juste à ce moment circulait en sens inverse une berline. Le conducteur, un chasseur de Plancher-Bas qui revenait de pratiquer son loisir favori, a bien tenté, en se déportant dans le fossé droit, d’éviter la collision, mais en vain. La moto s’est littéralement encastrée sous l’avant de la berline.
Rapidement sur les lieux, les pompiers de Plancher-Bas et de Champagney ont trouvé la victime en arrêt respiratoire. Ils ont poursuivi les opérations de massage cardiaque, déjà entamées par un témoin de l’accident, et les tentatives de ranimation durant près de 45 minutes. A son arrivée, le médecin du SAMU 70 a dû, après examen, se résoudre à constater le décès. Entre-temps toutefois, l’hélicoptère de la Protection civile de Mulhouse avait été déclenché. Il s’est posé à proximité de l’accident, mais il n’y avait plus rien à faire.
Le commandant Vion, chef de groupement du SDIS de Haute-Saône, Jean-Louis Simon, adjoint au maire de Plancher-Bas, et les gendarmes de la communauté de brigades Champagney/Melisey étaient également sur place.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/11/26/un-motard-de-valdoie-perd-la-vie-dans-une-collision-xijs

Toujours pas de rentrée pour Alexis, 4 ans et demi

Alexis, 4 ans et demi, atteint d'une maladie génétique rare, ne va toujours pas à l'école maternelle… faute d'auxiliaire de vie scolaire.
«On a parfois le sentiment que les institutions ne nous aident pas. On a un manque d'humanité, un manque d'écoute, un manque de compassion ! » Depuis sept mois, Ludivine et Maxime Benoist, domiciliés à Vavray-le-Grand, se battent pour que leur fils âgé de 4 ans et demi, soit scolarisé comme n'importe quel enfant de son âge.
Des crises de convulsion
Leur fils est atteint d'une maladie générique rare : il souffre du syndrome de Dravet. Une forme rare d'épilepsie diagnostiquée lorsqu'Alexis avait 1 an et demi à peine. « À l'âge de 9 mois, il a fait une crise de convulsion de 45 minutes après une gastro-entérite. Il en a ensuite fait tous les mois », raconte cette maman de 29 ans.
À 4 ans et demi, cet adorable enfant ne parle pas, ne court pas, ne saute pas et n'est pas encore propre. Il a des problèmes de motricité fine et un comportement d'autisme. Il souffre par ailleurs de troubles alimentaires, du sommeil, de la régulation de la température du corps.
« Alexis est très sensible au changement de températures et au choc thermique. L'été dernier, avec les chaleurs excessives, il faisait sans cesse des crises de convulsion », indique-t-elle. Autant dire que les gestes simples de la vie quotidienne peuvent vite se transformer en… bataille.
Ne se décourageant pas, Ludivine et Maxime Benoist déposent en avril dernier une demande d'auxiliaire de vie scolaire (AVS) auprès de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) de Châlons-en-Champagne. Le couple souhaite que son fils fasse sa rentrée à l'école maternelle de Vitry-en-Perthois. Le seul moyen pour Alexis de se sociabiliser, d'évoluer avec des enfants de son âge et de gagner en autonomie.
« Il se remet à marcher à 4 pattes »
Alexis est gardé la majeure partie de la semaine par les grands-parents, agriculteurs à Vavray-le-Grand. La maman, qui a repris son travail d'assistante comptable cette année, n'a pas réussi à trouver d'assistante maternelle. « J'ai appelé pourtant plein de nounous mais aucune d'elles n'a accepté de garder mon enfant. Comme cette maladie n'est pas connue, je crois que les gens en ont peur », confie-t-elle.
Deux jours et demi par semaine, Alexis va tout de même à la Maison de la petite enfance, à Vitry-le-François. Mais à 4 ans et demi, il se retrouve avec des… bébés. « Il vit dans un monde restreint, constate-t-elle. Depuis la rentrée, il n'évolue plus ; il régresse même. Il se remet à marcher à 4 pattes… »
Oui mais voilà, le jeune couple a dû attendre… six mois pour que la MDPH constitue le dossier, puis envoie la notification à l'Inspection académique. À ce jour, toujours pas d'AVS, donc pas de scolarisation… et ce, malgré plusieurs appels téléphoniques.
Ludivine et Maxime Benoist, qui font pourtant partie de l'association « Alliance syndrome de Dravet », se sentent seuls et épuisés. « On mène déjà une vie difficile. Il faut en plus que l'on passe un temps fou dans les démarches administratives ! »
Ils ne comprennent pas cette longue attente. « Nous demandons simplement que notre fils aille à l'école comme tout le monde. Alexis aurait dû faire sa rentrée en septembre. On est le 20 novembre… En plus de son handicap, ça va être difficile pour lui de s'intégrer dans une classe où tous les élèves se connaissent déjà bien ».
Le couple se pose désormais cette question : « comment éduquer notre fils au mieux ? »

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/toujours-pas-de-rentree-pour-alexis-4-ans-et-demi

Une femme pompier tente de s’immoler par le feu

Grièvement brûlée aux membres supérieurs et au visage, une femme officier du corps des sapeurs-pompiers de la Moselle a été prise en charge par le Samu à son domicile de Marly et transférée, vendredi après-midi, à l’hôpital de Mercy. Réaction de la hiérarchie du Service départemental d’incendie et de secours (Sdis), hier : « On ne commente pas pour le moment ce fait divers. » Derrière ces mots linéaires, il y a la volonté de savoir exactement ce qu’il s’est passé avant de se prononcer. Une certaine gêne, aussi.
Selon plusieurs sources, la femme de 58 ans a attenté à sa vie en s’immolant par le feu. Un membre du corps médical décrit « des brûlures au 1 er et au 2 e degrés. Les voies respiratoires n’ont pas été touchées. Son état de santé est rassurant. Concernant son état psychologique, je ne peux pas me prononcer… » Ce n’est pas la première fois que la quinquagénaire arrive à de telles extrémités. En 2010, ce commandant professionnel de 58 ans, docteur en pharmacie, avait absorbé une surdose de médicaments. Un de ses proches note aujourd’hui, avec peine et angoisse, « une terrible escalade. »
Le trait d’union entre les deux faits, le cadre professionnel. Dans une plainte transmise au procureur de la République de Metz, il y a deux ans, elle décrivait un contexte dans lequel « elle se sentait déstabilisée, diminuée, rabaissée depuis des années » par sa hiérarchie. Les mots « humiliation », « harcèlement moral » et « mesures vexatoires » ponctuaient chacune de ses phrases. Un peu honteuse de cette tentative de suicide, elle racontait, le 1 er août 2010 dans nos colonnes, avoir « agi pour que l’on sache ce qui se passe au sein du Sdis. Car cela doit s’arrêter. »

Les victimes attendent les décisions judiciaires

Ses suppliques s’ajoutaient alors à sept autres plaintes pour harcèlement, déposées par des cadres administratives œuvrant au sein de la direction du Sdis, à Saint-Julien-lès-Metz. Autre drame, en juin 2010 : une plaignante absorbait des médicaments sur son lieu de travail et laissait une lettre livrant sa détresse professionnelle.
Cela fait deux ans, déjà. Et depuis ? Une information judiciaire a été ouverte par le parquet. Et les juges se succèdent à un rythme effréné au pôle de l’instruction, sans pouvoir mener les investigations à leur terme. Les victimes « ont le sentiment de ne pas avoir été entendues », regrette l’une d’elles.
La femme commandant se trouve en arrêt maladie depuis plus de deux ans. « Elle espérait reprendre prochainement le travail mais il y a quelques jours, elle me disait que les conditions n’étaient pas réunies. Elle était très angoissée. Elle n’allait de nouveau pas très bien, prétend un collègue. Privée de boulot, elle se sentait très seule. C’est ensuite un engrenage. Jusqu’au jour où elle ira trop loin. »

http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers

Il meurt brûlé dans sa maison

Le drame s'est déroulé samedi au petit matin. Située sur la commune de Tournecoupe, la maison de Guy Abadie s'est retrouvée prisonnière des flammes. Un passant s'est rendu compte qu'un incendie faisait rage à l'intérieur de cette demeure située sur la route de Beaumont vers 7 heures du matin. Une fois prévenus, les voisins ont directement alerté les secours.
«Les flammes étaient deux fois plus hautes que la maison», a déclaré une voisine. Le feu se serait rapidement répandu, le sol de l'étage étant en plancher et retenu par des poutres en bois. Cette vision cauchemardesque a suscité la crainte dans ce village de 300 habitants, sans nouvelle du propriétaire. Lorsque les premiers secours sont arrivés sur les lieux aux alentours de 7 h 40, la charpente était déjà entièrement embrasée. Ainsi, trois unités de sapeurs-pompiers, soit 23 hommes de Saint-Clar, Fleurance et de Beaumont-de-Lomagne, le VSO (véhicule de soutien opérationnel) de Mirande et deux brigades de gendarmerie (Miradoux et Saint Clar) ont été déployés sur place.
Après avoir sécurisé les maisons environnantes, l'incendie a été arrêté. La maison a été entièrement brûlée et une partie du toit s'est effondrée. Son propriétaire est resté introuvable durant toute l'intervention. Mais des témoins ont affirmé l'avoir vu «dans son lit» tard la veille. Un technicien d'investigation criminelle d'Auch est venu sur place afin de chercher la potentielle victime. Dans l'après-midi, un corps carbonisé a été retrouvé. Ce serait celui de Guy Abadie, qui vivait seul dans cette maison depuis le décès de son épouse. Une autopsie viendra confirmer ce décès mais pour les témoins, il n'y a pas de doutes.
Ce nonagénaire, beau-frère de l'ancien maire, le général Durand, était une figure du village. En effet, ce Tournecoupois d'origine était le boulanger local. Il a succédé à son père, lui-même boulanger au village. Sa gentillesse et sa bonne humeur étaient légendaires. Les jeunes Tournecoupois d'alors se souviendront toujours qu'en rentrant du bal le samedi soir, ou plutôt le dimanche matin, Guy leur ouvrait la porte de la boulangerie et leur offrait croissants et chocolatines ! «Tout le monde le connaît ici», avoue Bernard Gendre, conseiller général, présent lors de l'intervention. Guy était décoré de la médaille des Chantiers de Jeunesse. De son union avec Denise, son épouse (décédée), était née leur fille unique Régine. Pour l'instant, l'origine de l'incendie reste indéterminée. Une enquête a été ouverte.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/25/1497704-tournecoupe-il-meurt-brule-dans-sa-maison.html

dimanche 25 novembre 2012

Avignon : un SDF retrouvé mort dans sa tente

Un corps recouvert d'un drap, étendu là, sur le trottoir devant les passants, parmi les livreurs tout à leur activité quotidienne. Triste épilogue, hier matin vers 9h, d'une vie de galère pour un SDF de 32 ans.
Il a été découvert inanimé dans sa tente bleue qu'il avait pris l'habitude d'installer chaque soir pour passer la nuit dans le renfoncement d'un magasin fermé "Terre de Provence", rue de la République en plein centre-ville d'Avignon.
Ce sont des agents de la police municipale, venus le réveiller hier matin qui, face à la victime inanimée, ont donné l'alerte. Sur place, les sapeurs-pompiers accompagnés d'un médecin n'ont pu que constater son décès. Ce SDF était mort depuis trop longtemps pour qu'une réanimation puisse être envisagée.
Pas d'autopsie
Dès lors, la police nationale a envoyé sur les lieux, un fonctionnaire de l'identité judiciaire chargé de procéder aux constatations d'usage. Le trentenaire ne portait pas de marques qui pouvaient laisser penser à une mort violente et l'examen réalisé sur son corps a conclu à une mort naturelle.
Aucune autopsie ne sera donc pratiquée. Ce marginal était visiblement en très mauvaise santé, ancien toxicomane, il était extrêmement fragilisé depuis de nombreuses années. Ce trentenaire, les Avignonnais de l'intra-muros l'avaient vu s'installer voilà quelques mois.
Reconnaissable à sa petite toile de tente bleue facilement dépliable d'une célèbre marque d'équipements de sport, cet homme serait, selon nos informations, originaire de Saint-Rémy. Il avait rejoint la cité des Papes après avoir coupé les ponts avec sa famille qui avait tenté de l'aider à plusieurs reprises sans résultat.
Extrêmement isolé
Cette rupture familiale l'avait manifestement amené dans la rue. Il y évoluait très souvent seul, ne se mêlant pas souvent aux autres sans logis de la rue de la République, s'isolant dans son abri de fortune. Il arpentait le bitume avec un petit chariot contenant quelques effets personnels qu'il tractait avec lui lorsqu'il faisait ça et là la mendicité.
Par ailleurs, ce SDF avait ses habitudes au local de l'accueil de jour du Secours catholique, rue du portail Magnanen.

http://www.laprovence.com/article/actualites/avignon-un-sdf-retrouve-mort-dans-sa-tente

Une femme de 83 ans saute du 17e étage

Une femme de 83 ans s'est suicidée ce matin en sautant du 17e étage d'un appartement situé dans le quartier Saint-Loup (10e arrondissement) à Marseille. L'octogénaire n'a pas pu être ranimée par les secours arrivés sur place.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/25/97001-20121125FILWWW00043-une-femme-de-83-ans-saute-du-17e-etage.php

Un homme s'immole par le feu à Saint-Raphaël

Un Raphaëlois de 65 ans est décédé dans d'atroces souffrances, en s'immolant par le feu.

C'est la thèse qui semble retenue par les enquêteurs. Les faits se sont déroulés à la Pointe des moines, sur le chemin des douaniers, à proximité du Parc Santa Lucia.

Des vêtements, ainsi que des papiers d'identité ont été retrouvés à proximité du corps, entièrement calciné.

http://www.nicematin.com/faits-divers/un-homme-simmole-par-le-feu-a-saint-raphael.1062471.html

Moissac. Il percute un mur, la passagère de 18 ans est tuée sur le coup

Une maison, pour moitié, effondrée sur le bord de la RD 7, les riverains de la côte de Saint-Laurent, à Moissac, ont été, hier matin, réveillés par un effroyable accident de la route, ayant coûté la vie à une jeune Moissagaise de 18 ans.
Il était 5 h 30 lorsqu'un automobiliste de 19 ans qui se rendait en direction de la cité uvale, perd, pour une raison encore indéterminée, le contrôle de sa «Renault Mégane.» Une embardée qui s'est conclue contre le mur d'une habitation. L'impact est terrible au point qu'une partie de la maison s'écroule sur le véhicule. Alertés, les pompiers moissagais avec le renfort de sapeurs de Castelsarrasin et de l'équipe médicale du SAMU portent les premiers secours aux deux rescapés de l'accident : deux Moissagais de 19 ans. Quant à la passagère avant, Claire Dorlencourt, 18 ans, le médecin urgentiste ne pouvait constater que son décès. Avant toutefois de pouvoir la désincarcérer, les secours devaient réclamer l'intervention des agents de GRDF. L'accident ayant causé une importante fuite de gaz en arrachant le compteur de la maison. Durant près de deux heures, munis de masse et de cordes, les soldats du feu ont dû ainsi déplacer une poutre métallique qui avait écrasé une partie de l'habitacle de la «Renault Mégane.» Ce n'est qu'une fois le véhicule dégagé que les pompiers pouvaient extraire de l'amas de tôle le corps sans vie de Claire Dorlencourt.

Le conducteur menace de mort les pompiers

Sur place, le major Jean-Claude Ramos, commandant la brigade de gendarmerie de Moissac et ses hommes, intervenaient pour calmer l'un des deux accidentés qui proféraient des injures et des menaces de mort aux secours. Transporté à l'hôpital de Moissac, il était sanglé à son lit. Dans la matinée, les pompiers agressés déposaient plainte contre l'intéressé. Entretemps, les gendarmes moissagais ont ouvert une enquête pour homicide involontaire. Le conducteur qui était, hier matin, à l'hôpital, devait être placé en garde à vue dans la soirée avant même le résultat de ses analyses sanguines.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/25/1497685-moissac-il-percute-un-mur-la-passagere-de-18-ans-est-tuee-sur-le-coup.html

Poissy : accident mortel entre une voiture et un camion

Un terrible accident s’est déroulé hier matin, à l’aube, sur la D30 à Poissy. Vers 6h30, à proximité de la sortie de l’usine , une Audi A 4 s’est encastrée sous un poids lourd du centre de production du groupe PSA. L’automobiliste aurait pris une voie en contresens à l’entrée d’un rond-point.
Le bilan est très lourd : une femme de 19 ans a été tuée sur le coup et deux des trois autres occupants de la voiture ont été grièvement blessés. Leur pronostic vital est engagé. Le chauffeur du camion, indemne, a été choqué. Cet accident a perturbé la circulation une grande partie de la matinée.

http://www.leparisien.fr/yvelines-78

Varilhes. Prison ferme pour le drame de la quatre-voies

Trois mois de prison ferme, c'est la peine à laquelle a été condamné cet automobiliste reconnu responsable d'un dramatique accident, en juillet dernier, sur la quatre-voies, non loin de Varilhes.
Trois mois de prison ferme pour avoir provoqué le dramatique accident qui s'est produit à Varilhes, le 12 juillet dernier, mais aussi douze mois supplémentaires, la révocation d'un sursis lié à une peine précédente : c'est la peine à laquelle a été condamné Jean-Jacques M…, hier, à Foix. L'homme, devant le tribunal correctionnel, avait protesté de son innocence, expliquant n'être pour rien dans cette tragédie, prétendant ne jamais avoir quitté sa voie de circulation, renvoyant la faute sur les victimes, en quelque sorte. Ses arguments n'ont pas convaincu, loin de là, battus en brèche par de nombreux témoignages. Un motard, qui suivait l'ambulance, a vu le 4X4 de Jean-Jacques M… le doubler à vive allure, suivre l'ambulance de très près, puis la doubler, avant de la percuter en donnant un coup de volant sur sa droite. Une automobiliste a vu le 4x4 «coller au c… de l'ambulance, comme pour intimider le conducteur». Elle a alors pensé : «Il va finir par pousser l'ambulance». Et elle a eu l'impression qu'il était penché vers le fond du véhicule, comme pour prendre quelque chose. C'est également l'impression qu'a eu la conductrice de l'ambulance. Elle roulait à 120 km/h, au moment du choc. «D'un coup, j'ai vu le 4x4 à ma hauteur, explique-t-elle. Il s'est déporté vers le terre-plein central. Il a sursauté, puis a donné un coup de volant à droite». A ce moment, le dépassement n'est pas terminé. L'arrière du 4x4 percute l'aile avant de l'ambulance. Le tout-terrain se retrouve en travers au milieu de la chaussée. Le choc est inévitable. Le tout-terrain est violemment percuté par l'ambulance. Les deux véhicules termineront leur course sur une petite route, en contrebas.
Deux personnes seront grièvement blessées dans cet accident : le conducteur du 4x4 et une octogénaire que l'ambulance transportait au centre hospitalier du Val d'Ariège pour un examen de routine en cardiologie. Victime de plusieurs fractures, la vieille dame s'éteindra le surlendemain de l'accident. Mais l'enquête n'a pas pu établir de liens directs entre le décès tragique de la malheureuse passagère et l'accident lui-même, au grand désarroi de sa famille, et de ses proches, convaincus que ce lien existe bien.
Détenu depuis son interpellation, le jour de l'accident, dans l'attente de son procès, remis notamment pour raisons de santé, Jean-Jacques M… a été incarcéré à nouveau hier soir.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/24/1497160-prison-pour-le-drame-de-la-quatre-voies.html

samedi 24 novembre 2012

Lacadée (64) : Un motard de 43 ans se tue

Samedi aux alentours de 15 heures, à Lacadée (64), un homme de 43 ans, originaire d'Hagetmau qui se rendait à Pau est décédé suite à une collision frontale avec une fourgonnette qui roulait en sens inverse.
L'accident s'est produit sur la RD945 dans la traversée du bourg. Sous le choc, la moto a été éjectée sur le bas-côté et le corps s'est retrouvé sous la voiture.

Les secouristes sont intervenus rapidement et la route a été coupée. Une déviation a été mise en place tout l'après-midi.
Cet accident mortel sur deux roues est le 17e pour l'année 2012 dans les Pyrénées Atlantiques.

http://www.sudouest.fr/2012/11/24/lacadee-64-un-motard-de-43-ans-se-tue-889099-4344.php

Un couple retrouvé mort à Trégueux

Un couple a été retrouvé mort à son domicile en début de semaine à Trégueux, près de Saint-Brieuc, mais ces décès ne seraient "pas liés à une intervention extérieure", a-t-on appris aujourd'hui auprès du parquet. "En l'état actuel de nos investigations, ces décès", annoncés samedi par le Parisien, "ne sont pas liés à une intervention extérieure", a-t-on précisé de même source.

Des autopsies ont été réalisées et "leurs résultats devraient être exploités rapidement", a-t-on ajouté de même source, en indiquant ne pas en connaître la teneur. Selon la thèse qui prévaut parmi les enquêteurs, un premier décès accidentel serait d'abord survenu et l'autre membre du couple serait ensuite décédé, soit en raison du choc ressenti, soit peut-être par suicide, a-t-on indiqué. L'épouse, a précisé le parquet, était en arrêt maladie en raison de problèmes psychiques et de dépression.

Les corps avaient été découverts par un artisan, venu mardi soir au domicile du couple pour se faire règler une facture consécutive à des travaux. Selon le parquet, les décès se seraient produits "quatre ou cinq jours avant la découverte" des corps. L'enquête est confiée à la PJ de Rennes.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/24/97001-20121124FILWWW00398-un-couple-retrouve-mort-a-tregueux.php

Fauchée par une moto, une piétonne décède

Une quinquagénaire laonnoise a été percutée violemment par une moto de 49 cm3 alors qu'elle traversait l'avenue. Elle est décédée sur place.
«ON marchait vers le magasin Dia, il y avait beaucoup de voitures qui roulaient doucement et on a entendu un gros bruit de frein. On s'est retourné et on a vu la moto se rabattre, puis se coucher près du trottoir. »
Il est un peu plus de 17 h 30, ce vendredi, avenue du Général-de-Gaulle à Laon. Il fait déjà nuit noire, il pleut fort, l'artère est pâlement éclairée d'une lumière jaunâtre. « Sur le coup, on n'a pas vu la dame. On est arrivé vers le motard. Il était coincé sous sa moto. On l'a dégagé de suite. Il s'est levé, il était bizarre et répétait « Je n'ai rien ». Mais il avait une grande balafre et beaucoup de sang sur l'arrête du nez et la joue. C'est alors seulement qu'on a vu la femme », poursuivent les témoins. « Elle ne bougeait plus. Il y a eu une femme qui est secouriste qui passait en voiture. Elle s'est arrêtée de suite et a commencé à lui porter secours. On a appelé les pompiers. »
Au total, dix sapeurs-pompiers de Laon, sous les ordres de l'adjudant-chef Joly vont prendre en charge le conducteur de cette moto de 49 cm3, un Laonnois d'une quarantaine d'années.

Circonstances à éclaircir

Blessé essentiellement au visage et, semble-t-il, sans réelle gravité, il a été conduit au centre hospitalier de Laon afin de subir une batterie d'examens.
Quant à la femme renversée, il s'agit d'une Laonnoise âgée d'une cinquantaine d'années. Elle se trouvait en arrêt respiratoire à l'arrivée des secours. L'équipe médicalisée du samu, secondée par les sapeurs-pompiers, a tenté pendant plus d'une heure de la réanimer. Vers 18 h 50, le médecin a pris la décision de déclarer le décès.
Pendant ce temps, les policiers en charge de l'enquête se trouvaient à l'hôpital. Le conducteur du deux-roues devait être soumis à un dépistage d'alcoolémie et de produits stupéfiants. Les policiers avaient bon espoir de pouvoir l'entendre dans la soirée pour éclaircir les circonstances précises de l'accident.
Selon les tout premiers éléments de l'enquête, uniquement fondés sur les déclarations de témoins, la piétonne aurait traversé en courant l'avenue. Le deux-roues qui était en train de dépasser la file de voitures, et qui circulait en direction du rond-point Georges-Brassens, ne l'aurait ainsi vue qu'au dernier moment. Un passage piéton se trouve en amont à quelques mètres de l'endroit où la moto a terminé sa course, mais il est encore beaucoup trop tôt pour dire si la victime traversait ou non sur ce passage protégé.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/fauchee-par-une-moto-une-pietonne-decede

Saint-Martin-la-Plaine : il meurt écrasé par un arbre

Un sexagénaire qui coupait du bois, ce samedi matin, aux abords de la rivière séparant les communes de Saint-Martin la Plaine et Genilac, est décédé, écrasé par un arbre de plus d'un mètre de diamètre.
C’est un horrible accident qui s’est produit, ce samedi matin, aux abords de la rivière qui sépare les communes de Saint-Martin la Plaine et Genilac. Occupé à couper du bois, un homme âgé de 69 ans originaire de la commune de Genilac, s’est retrouvé littéralement écrasé par un arbre de plus d’un mètre de diamètre selon les premiers éléments recueillis sur place.
Malgré leur rapide intervention rapide les pompiers et les gendarmes ne pouvaient que constater le décès de la victime. En raison de la difficulté de l’accès au site, de gros moyens ont été mis en œuvre pour parvenir à évacuer la dépouille

http://www.leprogres.fr/loire/2012/11/24/saint-martin-la-plaine-il-meurt-ecrase-par-un-arbre

Vive émotion au collège de Villersexel

Une cellule de soutien psychologique a été mise en place au collège Louis-Pergaud, où est scolarisé l’adolescent de 14 ans très grièvement blessé dans un accident de la circulation mercredi soir. Dès jeudi matin, les 32 délégués de classe de l’établissement ont été réunis par le principal, Rudy Cara. Ce dernier a aussi rencontré l’ensemble des professeurs, ainsi que la classe de l’adolescent entre la vie et la mort.
Un médecin, une assistante sociale, une infirmière et un conseiller d’orientation psychologue ont reçu plusieurs dizaines d’élèves jeudi. Deux professionnels étaient toujours mobilisés, hier, pour aider les collégiens à faire face à ce drame. « L’événement s’est produit en dehors de l’établissement, mais tous les enfants se connaissent », souligne Rudy Cara. « Nous avons 380 élèves, le collège est une grande famille. »
Mercredi vers 17 h 30, à Villersexel (Haute-Saône), le jeune habitant de Moimay circulait sur un cyclomoteur de 50 cm 3 quand il est entré en collision avec une voiture. Alors qu’il était tombé à terre, deux véhicules ont roulé sur le jeune homme. Il a été transporté d’urgence à Besançon. « C’est un élève de 3 e apprécié de tous », souligne le principal. « Les professeurs l’ont tous eu en cours durant sa scolarité. L’équipe enseignante, aussi, a été très marquée par l’accident. »
Poèmes, dédicaces, petits mots… Les collégiens ont écrit de nombreux témoignages d’amitié pour leur camarade. « Nous allons les transmettre à la famille dès que possible », souligne Rudy Cara.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/11/24/vive-emotion-au-college-de-villersexel

Une voiture folle percute un piéton sur une aire de repos de l'A89

Il était environ 14 heures, ce vendredi, quand le conducteur d’un Toyota Rav 4 âgé de 72 ans qui circulait sur l’A89 dans le sens Saint-Etienne/Clermont a perdu le contrôle de son véhicule en rentrant sur l’aire d’autoroute du Haut Forez à hauteur de la commune des Salles. Avant de finir sa course contre l’enseigne de la station service, le 4x4 a fauché une personne installée sur un banc. La victime, un Lyonnais de 25 ans, a été héliportée vers l'hôpital Nord de Saint-Etienne dans un état jugé grave.

http://www.leprogres.fr/actualite/2012/11/23/une-voiture-folle-percute-un-pieton-sur-une-aire-de-repos-de-l-a89

Laburgade. L'adieu à Christelle, abattue par son compagnon

Christelle Fabre, décédée dans les circonstances tragiques relatées dans notre édition du mercredi 21 novembre, repose désormais près de sa famille dans le cimetière de Laburgade. Née à Cahors le 13 février 1996, Christelle était, confie sa mère Micheline «une jeune femme enjouée et douce, avec une grande sensibilité artistique». Elle jouait du piano et avait chanté pendant deux ans dans une chorale avec laquelle elle s'était produite dans les maisons de retraite. Elle avait également fait du théâtre avec une petite troupe locale. Elle laisse quatre enfants orphelins de leur mère, Will-Yann, l'aîné, âgé de 6 ans, né d'une première union qui vit avec son père, Leslie 2 ans, et des jumeaux Alison et Jason, âgés d'un an. Hier après-midi, dans la petite église de Laburgade, une foule nombreuse lui a rendu un dernier hommage, autant de témoignages de soutien pour la mère et les proches de Christelle.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/11/23/1496609-laburgade-l-adieu-a-christelle-abattu-par-son-compagnon.html

vendredi 23 novembre 2012

Blessé par le tir d'un chasseur, le vigneron est décédé

Le vigneron, touché hier par une balle de fusil tirée par un chasseur lors d'une battue aux sangliers dans les vignes entre Martignargues et St-Cézaire-de-Gauzignan, près d'Alès, est mort des suites de ses blessures.
L'agriculteur, âgé de 70 ans, a été touché au ventre alors qu'il taillait ses vignes. Pris en charge par les secours, il est décédé à l'hôpital.

Le parquet d'Alès a ouvert une enquête et des spécialistes étaient toujours sur place vendredi pour déterminer les circonstances de l'accident ajoutant que le carnet de cette battue avait été saisi. Le nombre de chasseurs qui ont participé à cette battue n'a pas été communiqué.
L'auteur présumé du coup de feu a été entendu par les gendarmes et laissé en liberté. Il sera entendu une seconde fois après l'autopsie prévue lundi. Selon les résultats de l'autopsie, une information judiciaire pour "homicide involontaire" pourrait être ouverte lundi.

http://www.midilibre.fr/2012/11/23/gard-blesse-dans-ses-vignes-par-le-tir-d-un-chasseur-le-vigneron-est-decede,599351.php

RER: la victime amputée des 2 jambes

La jeune fille de 18 ans qui avait été poussée par une adolescente hier soir sous une rame du RER à la gare de Yerres (Essonne) a été amputée des deux jambes, a-t-on appris cet après-midi auprès du parquet d'Evry (Essonne). "Elle a beaucoup d'hématomes et de traumatismes", confirme Gilles Charbonnier, procureur adjoint d'Evry. "Son état est stabilisé mais son pronostic vital reste engagé". La garde à vue de l'adolescente de 15 ans soupçonnée de l'avoir projetée sur les rails vers 16h40 a été prolongée jusqu'à samedi après-midi. Une information judiciaire devrait alors être ouverte.

"Elle est très marquée par ce qu'elle a fait", explique le magistrat. "Ses capacités d'explication sont amoindries. C'est quelqu'un qui a une histoire familiale et personnelle lourde à porter". Selon le magistrat, la jeune fille était placée depuis plusieurs années en famille d'accueil. "Selon les premiers actes d'enquête, les deux jeunes filles ont eu un accrochage verbal dont nous ignorons l'origine", explique Gilles Charbonnier. "L'une d'elles s'est dirigée vers la rame qui arrivait et a été poussée par l'autre". Une version étayée par des images de vidéo surveillance de la gare et l'audition des témoins.

Selon le magistrat, les deux jeunes filles avaient été placées dans la même famille d'accueil. "Elles ne s'étaient pas bien entendues et la victime avait été placée dans une autre famille", complète Gilles Charbonnier. Cette dernière n'était pas scolarisée.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/11/23/97001-20121123FILWWW00678-essonne-la-victime-amputee-des-2-jambes.php