lundi 29 février 2016

Accident du travail mortel à la station de Cauterets (Hautes-Pyrénées)

Un salarié de la station qui executait une opération de maintenance est mort accidentellement ce lundi matin
Cet agent de maintenance était un salarié expérimenté. Il semblerait que l'accident soit survenu au cours de travaux sur un tapis roulant.
Le drame a été confirmé par Vincent Doutres, Responsable commercial .

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/hautes-pyrenees/accident-du-travail-mortel-la-station-de-cauterets-hautes-pyrenees-939898.html

Charente : un jeune motard se tue sur la route

Un jeune homme d'une vingtaine d'années a perdu la vie dimanche soir au lieu-dit "Fontblanche" à Saint-Romain dans un accident de la circulation
Les pompiers ont reçu l'appel à 20h22 dimanche : un accident de la circulation impliquant un motard seul vient de se produire au lieu-dit "Fontblanche", sur la commune de Saint-Romain.
 
Dépêchés sur place, huit secouristes des casernes de Chalais, Saint-Séverin et Montmoreau constatent que la victime, un jeune homme d'une vingtaine d'années, est en arrêt cardio-respiratoire. Malgré les soins prodigués, l'intervention du médecin Smur, le motard est déclaré décédé sur place.
http://www.sudouest.fr/2016/02/29/charente-un-jeune-motard-se-tue-sur-la-route-2287140-813.php

Vosges : un deuxième homme découvert sans vie à Pouxeux

Une dame qui marchait rue Haute à Pouxeux, ce dimanche, a fait une macabre découverte. Un homme gisait sur le bas-côté de la chaussée. Alertés, les sapeurs-pompiers d’Eloyes, renforcés par l’équipe médicale du Smur (Service mobile d’urgence et de réanimation) de Remiremont, n’ont rien pu faire pour sauver la victime âgée de 66 ans et demeurant à Pouxeux. Son identité n’a pas été révélée.
Le médecin ayant constaté le décès a signalé l’existence d’un obstacle médico-légal. Les techniciens en identification criminelle de la gendarmerie se sont rendus sur place afin de procéder à un examen plus précis et à des analyses du corps. Après ces investigations, le Parquet d’Epinal devrait décider, ce lundi matin, si une autopsie doit ou non être effectuée pour connaître les causes exactes de la mort du Péxéen.

Pure coïncidence ?

Vingt-quatre heures plus tôt, à une centaine de mètres de là, rue d’Arches, un homme de 79 ans avait été lui aussi découvert par un passant (Vosges Matin du 28 février). La victime, qui habitait à Arches, revenait de son jardin. Il gisait sans vie au bas d’un escalier, en contrebas de la route. Le médecin avait conclu à une mort naturelle.
L’enquête, confiée aux gendarmes de Remiremont, dira si la mort de ces deux personnes, retrouvées à 24 heures d’intervalle à Pouxeux dans des conditions quasi identiques, est une pure coïncidence.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2016/02/28/vosges-un-deuxieme-homme-decouvert-sans-vie-a-pouxeux

dimanche 28 février 2016

Finistère : deux morts, cinq blessés dans un accident de la route

L'accident s'est produit vers 16h30 au lieu-dit Kermaria, à Tréflaouénan, dans le Nord-Finistère. Trois véhicules sont entrés en collision. Un jeune homme et une jeune femme de 23 ans ont été tués sur le coup, selon les pompiers. Deux autres âgés de 26 et 28 ans sont gravement blessés. Ils ont été conduits au CHU de Brest. Ils étaient dans la même voiture que les victimes.
Trois autres personnes ont été plus légèrement blessées, il s'agit d'une femme de 38 ans et de son enfant de 11 ans, qui étaient dans une seconde voiture. Le troisième blessé léger était le conducteur d'un véhicule qui transportait plusieurs enfants. Ces derniers ont été remis à leurs parents. Ils devront être auscultés par un médecin.
Près de 30 pompiers et des gendarmes sont intervenus sur les lieux de l'accident.
On ne connaît pas les causes de la collision.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/finistere-deux-morts-cinq-blesses-dans-un-accident-de-la-route-938682.html

Il fauche mortellement une septuagénaire à Lougres : le test d’alcoolémie est positif

Montbéliard. Le drame s’est joué, ce samedi vers 14h30, sur une portion de la RD 460 reliant Sainte-Marie à Lougres dans le pays de Montbéliard, dans un secteur connu sous le nom de combes Sainte-Marie. Lorsqu’une voiture qui, selon les témoins, roulait à vive allure, a brusquement dévié de sa trajectoire, allant percuter de plein fouet, dans le sens inverse de circulation, un piéton. En l’occurrence, une dame de 79 ans, laquelle venait de descendre de la voiture de son amie pour cueillir des fleurs sur le bas-côté.
La victime, projetée à une vingtaine de mètres, n’a pas survécu au choc, en dépit de l’intervention des secours. En premier lieu, des deux témoins de la scène, lesquels seront auditionnés ce dimanche, qui ont vainement tenté des massages cardiaques avant que les pompiers ne parviennent sur les lieux.
Le conducteur, un garçon âgé de 33 ans et demeurant à Anteuil (Doubs) manifestement très choqué, s’est révélé positif au test de dépistage d’alcoolémie. Les résultats de l’analyse de sang à venir viendront ou non confirmer l’hypothèse qu’il circulait ivre au volant de son véhicule. Hier soir, il était en garde à vue.
Quant à la défunte, Lise Becker, elle était une personnalité très connue à Lougres, sa commune d’habitation où l’émotion est grande. Fille de l’ex-député UNR du Doubs Georges Becker, qui fut parlementaire entre 1958 et 1967, elle était la présidente du club du 3e âge du village et membre actif du Centre communal d’action sociale. Son défunt frère, Jean-Marc Becker, fut un pilier de l’équipe municipale de Louis Souvet, l’ancien sénateur-maire de Montbéliard.
http://www.estrepublicain.fr/

samedi 27 février 2016

Doncourt : un jeune de 17 ans retrouvé pendu

Ce vendredi à 16h, un enfant a fait une découverte macabre en rentrant de l’école. La scène s’est passée dans la traversée de Doncourt-lès-Conflans, petit village voisin de Jarny en Meurthe-et-Moselle. Le regard de ce garçonnet d’une dizaine d’années s’est arrêté sur une cordelette accrochée au garde-corps d’un ponton surplombant le ruisseau du Tagnon. Cordelette qui retenait le corps inanimé d’un jeune homme. L’enfant a prévenu sa mère qui s’est rendue sur les lieux du drame. Celle-ci a aussitôt poussé la porte d’un restaurant voisin pour faire appeler les secours.
Les gendarmes de la brigade de Mars-la-Tour ont rapidement identifié le défunt. Il s’agit d’un Doncourtois à la porte de la majorité, âgé de 17 ans. Avant de passer à l’acte, ce lycéen avait pris soin de déposer son sac et ses effets personnels sur une berge du cours d’eau. Son père a appris la terrible nouvelle alors qu’il se trouvait dans les locaux de la gendarmerie pour signaler l’absence de son fils de son établissement scolaire.
En soirée, les hommes de la cellule d’identification criminelle de Nancy ont procédé à des relevés sur les lieux. La brigade de recherches de la gendarmerie de Briey attendait les conclusions de ces experts pour ouvrir une enquête afin d’éclaircir les circonstances de cette mort violente.
http://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-briey/2016/02/26/doncourt-un-jeune-de-17-ans-retrouve-pendu

A Lescheraines (Savoie), une nonagénaire meurt dans l'incendie de son lit électrique médicalisé

Ce vendredi 26 février vers 11 heures, une femme de 90 ans environ a été retrouvée morte alors que son lit se consumait. La scène s'est passée à Lescheraines, en Savoie.  
C'est une aide à domicile qui a fait la macabre découverte au rez-de-chaussée d'une maison. De la fumée se dégageait du lit de sa cliente et elle a aussitôt alerté les pompiers. A leur arrivée, ils n'ont pu que constater le décès de la nonagénaire dont le matelas se consumait lentement, sans flamme.

Dans l'après-midi, la gendarmerie a envoyé des techniciens en identification criminelle pour déterminer les causes du sinistre. Le lit de la retraitée était électrique. Il n'est pas impossible qu'il soit à l'origine du drame. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/savoie/lescheraines-savoie-une-nonagenaire-meurt-dans-l-incendie-de-son-lit-electrique-medicalise-937902.html

Accident sur la RN20 : la personne évacuée à Purpan est décédée

La personne évacuée à Purpan est décédée. La personne grièvement blessée, hier, dans un accident sur la RN 20 et évacuée par hélicoptère, vers l'hôpital Purpan à Toulouse est décédée. Une fuite de gasoil sur le réservoir d'un bus serait à l'origine du dramatique accident de la circulation survenu, jeudi, vers 9 h 40, à hauteur de Mercus-Garrabet… Neuf personnes ont été blessées, dont deux très grièvement. Une d'elles n'a pas survécu. Sur place, d'importants moyens de secours ont été dépêchés : six ambulances, deux véhicules de secours routier, ainsi que deux équipes médicalisées du Samu de l'Ariège et l'hélicoptère du détachement aérien de la gendarmerie (DAG) de Pamiers-Les Pujols. À cause de l'accident, la RN20 a été fermée pendant plusieurs heures. Idem pour la route qui monte au plateau de Beille, destination du bus, originaire de Plaisance-du-Touch (31). Les skieurs présents, hier, à Beille n'ont pu repartir qu'à 17 heures après l'intervention des engins du conseil départemental pour nettoyer la route. «La société de bus est une société sérieuse, a déclaré Karline Bouisset, procureur de la République de Foix. Les premiers éléments de l'enquête (menée par la brigade de Tarascon-sur-Ariège NDLR) semblent montrer qu'il n'y a pas eu de manquement sur l'entretien du véhicule.» Ce nouveau décès porte à six le nombre de morts sur les routes ariégeoises depuis le début de l'année. Un triste bilan quand on sait que sur toute l'année 2015, le même nombre de victimes a été recensé
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/27/2285484-accident-rn20-personne-evacuee-purpan-est-decedee.html

vendredi 26 février 2016

Goetzenbruck : il égorge sa femme et se suicide avec un couteau

«Les propriétaires ne répondaient pas à l’appel de l’un de leurs proches, et nous avons dû intervenir pour ouvrir la porte », raconte un sapeur-pompier, bouleversé. Macabre découverte hier matin, à Goetzenbruck, commune du Pays de Bitche. Nathalie née Stein, 46 ans, et Serge Eschenbrenner, 49 ans, ont été retrouvés morts, dans leur coquet pavillon du 58, rue de Bitche. Ils gisaient dans leur sang, à côté de leur lit, dans une chambre fermée à clé.

De chaque côté du lit

C’est le père de l’épouse qui donne l’alerte. « Il était inquiet car la maison était toujours fermée au petit matin, les volets clos », raconte Jean-Luc Jaeg, procureur de la République, qui a donné une conférence de presse hier soir au tribunal de grande instance de Sarreguemines. Les sapeurs-pompiers de Goetzenbruck et Lemberg interviennent rapidement. Il est 9h25. Ils passent par l’arrière de la maison, montent à l’étage, remarquent que la chambre à coucher est fermée de l’intérieur. Ils défoncent la porte et découvrent Nathalie et Serge Eschenbrenner sans vie, de chaque côté de leur lit conjugal, sur un sol entièrement recouvert de sang. A côté de l’homme, un couteau de cuisine.
Les secours s’organisent. Les sapeurs-pompiers de la commune appellent en renfort leurs collègues de Montbronn et Enchenberg. Le commandant Armand Jung, responsable de la caserne bitchoise, arrive à la rescousse. Plusieurs véhicules de gendarmerie sont aussi dépêchés dans cette commune du Pays de Bitche d’ordinaire paisible. Ils se garent au bord de la route départementale 37. Les hommes de la communauté de brigades de Bitche effectuent les premières constatations, sous le commandement du lieutenant Michaël Gobert. Ils reçoivent ensuite le soutien de leurs collègues de la compagnie de Sarreguemines, placés sous les ordres du commandant Laurent Sadler. Ils poursuivent leurs investigations avec la brigade de recherches. Des techniciens en identification criminelle, venus de Metz, arrivent aussi. Un périmètre de sécurité est mis en place autour de la maison.

Couteau de cuisine

Selon les premières investigations, il s’agit clairement d’un « drame familial », a annoncé Jean-Luc Jaeg. Entre mercredi et hier matin (l’heure du drame n’est pas encore connue), l’homme aurait égorgé son épouse, avec un «simple» couteau de cuisine, avant de se donner la mort de la même façon, et avec la même arme, retrouvée à côté de son corps. « Aucun élément ne laisse penser qu’une tierce personne était présente », indique le procureur de la République.
L’enquête doit encore se poursuivre pour déterminer les circonstances précises de ce drame. Les gendarmes de la brigade de Bitche et de la section de recherches de Sarreguemines devront entendre les proches de ce couple connu. Une autopsie des corps de Nathalie et Serge Eschenbrenner sera pratiquée, en début de semaine prochaine, à Strasbourg

http://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-sarreguemines-bitche/2016/02/26/il-egorge-sa-femme-et-se-suicide-avec-un-couteau

Cussey-sur-l’Ognon : mort en tentant de sauver son chien

Ce jeudi matin, à Cussey-sur-l’Ognon (Doubs), la grosse bâtisse fume encore, tristement dévastée au milieu du parc parsemé de jonquilles et des débris de l’incendie de la veille. Les sapeurs-pompiers arrosent encore des points chauds qui dégagent une abondante fumée blanche.
Il est 9 h 38 lorsque les choses s’accélèrent. Le commandant Freidig, qui dirige les opérations depuis mercredi, s’élance et gravit en courant l’escalier central de la maison jusqu’au 2e étage, là où le feu a démarré. Il vient d’être prévenu par ses hommes qui fouillent les déblais : un corps a été retrouvé.
Les mines se font graves. Il s’agit très probablement de celui de Yannick Charensol, le fils de la maison, porté manquant depuis le début du sinistre. Âgé de 25 ans, il serait retourné dans la grande maison en flammes pour aller chercher un de ses trois chiens, dont la dépouille calcinée a déjà été retrouvée par les pompiers. L’un des deux autres a été pris en charge par des voisins. Le second, un berger allemand, erre dans le parc, désorienté.
Jusqu’à cette minute, les pompiers entretenaient l’espoir sur la disparition du jeune homme. « On aimerait bien le voir débarquer la tête enfarinée après avoir fait la fête pour lui offrir un café », soufflait un pompier désabusé quelques instants auparavant. Les recherches dans les décombres, entreprises avec une équipe cynophile spécialisée, venue d’Alsace, avaient débuté la veille vers 21 heures, avant de s’interrompre sur le coup d’une heure du matin, en raison d’un effondrement.
L’alerte avait été donnée mercredi vers 15 h 30, par des voisins qui s’étaient portés au secours des occupants de cette maison bourgeoise, sise au 2, de la rue du Château (nos éditions du 25 février 2016). La mère de Yannick Charensol, qui a dû être évacuée en état de choc, avait indiqué la présence au domicile de son fils. Sans une certitude absolue toutefois. Mais les recherches entreprises n’ont pas permis de le localiser ailleurs. Et il se trouve que sa chambre était située dans les combles, là où le sinistre a débuté pour une raison encore indéterminée, combles sur lesquelles le toit s’est effondré.

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2016/02/26/cussey-sur-l-ognon-mort-en-tentant-de-sauver-son-chien

jeudi 25 février 2016

Plésidy (22) : l'incendie d'une maison fait un mort

À Plésidy (22), au lieu-dit Goascaradec, cette nuit, un homme âgé de 60 ans est décédé dans l'incendie d'une habitation. Les 21 pompiers, arrivés sur place à la suite de l'alerte donnée par un voisin, ont trouvé la maison entièrement embrasée. Issus des casernes de Guingamp, Saint-Nicolas-du-Pélem, Quintin et Bourbriac, ils sont venus à bout des flammes à l'aide de deux lances à eau. Certains d'entre eux sont encore sur place pour éviter une éventuelle reprise de l'incendie.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/cotes-d-armor/plesidy-22-l-incendie-d-une-maison-fait-un-mort-936321.html

Un couple retrouvé mort à son domicile en Moselle

Un couple d'une quarantaine d'années a été retrouvé mort ce jeudi dans son pavillon cossu de Goetzenbruck, en Moselle, selon nos confrères du Républicain Lorrain. Ce sont les proches des victimes, inquiets d'être sans nouvelles, qui ont donné l'alerte. Les sapeurs-pompiers sont intervenus et ont fait la macabre découverte.
Meurtre? Suicide? Pour l'heure, aucune hypothèse n'est privilégiée. Le mari était employé civil au sein du 16e bataillon de chasseurs de Bitche. Il œuvrait notamment à la ciblerie. Son épouse était aide-soignante à l’hôpital d’Ingwiller. Ensemble, ils avaient un fils, âgé d’une vingtaine d’années, qui est étudiant et sapeur-pompier volontaire.
Le village de 1600 habitants est situé dans le parc naturel des Vosges du Nord aux confins de l’Alsace et de la Lorraine.
http://www.dna.fr/actualite/2016/02/25/un-couple-retrouve-mort-a-son-domicile-en-moselle

P.-O. : la vieille dame tombe du brancard et décède cinq jours après

L e brancard tombe sur la droite. La vieille dame pousse un cri de douleur : fracture du fémur, du genou, du coude et de deux côtes. Elle décédera cinq jours plus tard.
Alors qu'il veut placer en position basse le brancard sur lequel se trouve la cliente qu'il vient de ramener à la maison de retraite, la civière chancelle. Il tente de retenir la patiente mais, seul, il n'a pas la force d'éviter le pire. Le brancard tombe sur la droite. La vieille dame pousse un cri de douleur : fracture du fémur, du genou, du coude et de deux côtes. Elle décédera cinq jours plus tard.
Mardi, après de multiples renvois, l'affaire qui remonte au 21 juin 2013, était enfin audiencée. D'emblée, le président rappelle solennellement qu'au-delà du deuil de la famille, il faudra parler de droit, que les débats pourront leur être difficiles à entendre. Le jeune brancardier, apprenti au moment du drame, est mis en cause pour homicide involontaire, tout comme l'entreprise qui l'employait.
"Comment reprocher une imprudence par manipulation à une personne morale ?"
Le procureur résume parfaitement la situation d'un point de vue juridique : "La première expertise médicale nous dit que la pneumopathie pourrait être en lien avec le décès. Pourrait !" souligne-t-il. "L'autopsie indique quant à elle que 'les lésions ne sont pas à l'origine directe du décès'. Nous avons donc un lien de causalité indirect. Dans ce cas pour montrer la faute, il faut qu'il y ait un manquement délibéré à l'obligation de sécurité. Or, il n'existe aucun règlement spécifique du maniement d'un brancard. Mais… a-t-il commis une faute caractérisée en exposant quelqu'un à un risque dont il connaissait la gravité ? Oui, car lors de sa formation, il a appris qu'il faut être deux pour manipuler ce brancard."
Il requiert une peine avec sursis et une amende contre l'entreprise d'ambulances. "Comment reprocher une imprudence par manipulation à une personne morale ? s'insurge Me Capsié, défenseur de la société d'ambulances. Il faudrait un acte fautif d'un représentant de l'entreprise. Ce que ne peut être un apprenti". Il demande donc la relaxe pure et simple.

Le rapport du médecin légiste

Me Halimi, avocat du jeune prévenu, ne compte pas être en reste : "Un stagiaire travaille sous le couvert d'un professionnel. Il a manœuvré la civière d'après les instructions données par l'ambulancier diplômé qu'il secondait et qui était allé chercher un fauteuil roulant. Il a appelé des secours, on a redressé le brancard, amené la dame dans sa chambre. Le médecin de l'établissement ne l'a examinée que 30 minutes plus tard et on ne l'a amenée à l'hôpital que deux heures après la chute".
Et là, l'avocat marque un court silence avant d'assener : "Le médecin légiste affirme que la fracture des côtes n'a pas entraîné de lésion pulmonaire. La patiente était sous dialyse, amputée des deux jambes et était affectée de troubles cardiovasculaires. Elle souffrait d'une pneumopathie depuis 2008. Par trois fois, les médecins de l'hôpital, en signant le certificat de décès, ont coché la case 'mort naturelle'." Et de demander par conséquent la relaxe.
(SOURCE  : L'INDÉPENDANT)

http://www.midilibre.fr/2016/02/24/p-o-la-vieille-dame-etait-decedee-apres-avoir-chute-du-brancard,1290863.php

mercredi 24 février 2016

Vienne : un homme de 55 ans chute d'un toit et décède au CHU

Ce sont nos confrères de la Nouvelle République qui ont appris la nouvelle par le beau frère de la victime : un artisan de 55 ans est décédé après avoir chuté d'un toit et s'être écrasé sur une dalle en béton.
Il travaillait sur une stabulation dans une ferme à Dissay.
Il a succombé à ses blessures dans la nuit de vendredi à samedin au CHU de Poitiers. Alain Forget était gérant d'une entreprise de maçonnerie.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/vienne/vienne-un-homme-de-55-ans-chute-d-un-toit-et-decede-au-chu-935571.html

Les Sancey: le prêtre décède dans un accident de la route

Le père Jean-Marie Dufay, prêtre de la commune des Sancey près de Baume-les-Dames est mort hier soir dans un accident de la route. L'homme âgé de 70 ans aurait été victime d'un malaise au volant de son véhicule.
Le prêtre des Sancey - dans le bourg de Sancey-le-Long- rentrait d'une réunion de préparation d'obsèques. Il était au volant de sa 207 lorsqu'au niveau de la basilique des Sancey, il a quitté la route.
Il a vraisemblablement été pris d'un malaise. La voiture a glissé dans la rivière la Baume,  en contre- bas de la route. A cet endroit il n'y a pas de protection. La voiture s'est retournée dans l'eau. L'habitacle a été immergé.
Des riverains ont entendu un bruit et le klaxon de la voiture qui s'est bloqué. Ils ont aussitôt appelé les secours. Le prêtre était âgé de 70 ans. Natif de Lanans il était revenu aux Sancey en septembre dernier.
https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice

Vosges : un pompier volontaire se suicide dans son centre de secours de Fraize

C’est en prenant leur service ce mardi matin, au sein du centre de secours de Fraize, que des soldats du feu ont trouvé le corps sans vie d’un de leurs collègues.

Agé de 48 ans, ce Fraxinien d’origine a été retrouvé pendu au sein de la caserne. D’après les premiers éléments recueillis sur les lieux, le quadragénaire aurait décidé de mettre fin à ses jours. Il a d’ailleurs laissé un courrier qui ne laisse aucun doute sur ses intentions. A priori, il aurait commis son geste au cours de la nuit de lundi à mardi.
Suite à cette triste découverte, le parquet du procureur d’Epinal a décidé d’ouvrir une enquête pour définir les causes de sa mort. « Cette enquête a pour but de comprendre le contexte qui a amené cet homme à commettre cet acte » , déclare le procureur Etienne Manteaux qui, pour ces investigations, a sollicité la brigade de recherches de Saint-Dié.
Le colonel Hugues Deregnaucourt, directeur du Sdis (Service départemental d’incendie et de secours) s’est rendu dans le centre de secours ce mardi matin afin de s’adresser aux personnels de l’infrastructure. « J’ai demandé aux sapeurs-pompiers de faire preuve de cohésion et de discrétion au regard de l’investissement de leur camarade, présent dans nos rangs pendant pendant de nombreuses années » , déclare le colonel.
Pompier volontaire depuis 1984, le quadragénaire était employé à la société APRR, au sein du tunnel Maurice-Lemaire. Il laisse derrière lui deux garçons et une fille, ainsi qu’une épouse.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2016/02/23/vosges-un-pompier-volontaire-se-suicide-dans-son-centre-de-secours-de-fraize

mardi 23 février 2016

Avalanche à Ceillac : une des trois randonneuses blessées est décédée

Une plaque à vent a emporté trois randonneuses ce mardi en début d'après-midi dans le massif du Queyras, sous la Pointe de la Font Sancte. Une femme de 59 ans, partie avec le Caf d'Albertville, est décédée
17h30: Les auditions de témoins ont débuté à la caserne de gendarmerie de Briançon. Une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Gap du chef d'homicide involontaire. Cette enquête confiée au Peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de Briançon a pour finalité de déterminer avec le plus de précisions possibles les circonstances dans lesquelles cette randonnée a été organisée et s'est déroulée, " et s'ils se dégagent d'éventuelles responsabilités pénales des éléments ainsi recueillis. Cette enquête prendra plusieurs semaines, voire plusieurs mois" précise le procureur de la République Raphaël Balland.
17 heures: la victime ensevelie est malheureusement décédée à l'hôpital de Briançon. Âgée de 59 ans, elle avait été découverte en arrêt cardio-respiratoire.
16h45: En état de choc, le mari de la randonneuse en arrêt cardio-respiratoire a été pris en charge par les sapeurs-pompiers puis transporté à l'hôpital de Briançon. La caserne des pompiers a d'ailleurs été ouverte aux rescapés pour qu'ils puissent y trouver un temps de répit.
16h15: Présent sur place avec les secouristes et les maîtres chiens du PGHM, l'adjudant-chef des sapeurs-pompiers de Ceillac, Pascal Fournier, livre un premier témoignage sur les circonstances de l'accident: « Le groupe du Caf d’Albertville était parti pour faire une randonnée vers le col de la Cula ce matin malgré la mise en garde des pisteurs-secouristes de la station de Ceillac qui ont déconseillé cette sortie. Ils sont quand même partis en direction des Heuvières où ils ont été emportés par une plaque à vent".
16 heures: La préfecture des Hautes-Alpes vient de publier un communiqué concernant l'avalanche qui s'est déclenchée aujourd'hui en début d'après-midi dans un secteur hors-piste de la station de Ceillac, dans le massif du Queyras.
"Trois personnes ont été impliquées. Immédiatement, les secours ont été mobilisés pour rechercher et prendre en charge les victimes. Deux d’entre elles sont indemnes et une femme, en arrêt cardio-respiratoire, a été évacuée vers le centre hospitalier de Briançon. Météo France avait classé en niveau 3 (niveau marqué) sur une échelle de 5 l’ensemble des massifs des Hautes-Alpes au regard du risque d’avalanche. En conséquence, Philippe Court, préfet des Hautes-Alpes, lance un nouvel appel à la vigilance à tous les usagers et déconseille toute sortie en-dehors du domaine skiable".
15h30: Les secouristes et les maitres chiens du PGHM sont sur place. Il y aurait bien une randonneuse grièvement blessée. En arrêt cardio-ventilatoire, son pronostic vital serait engagé. Les deux autres personnes ensevelies seraient choquées mais pas blessées. Ils évoluaient avec un groupe d'une vingtaine de randonneurs à ski du Club alpin français (Caf) d'Albertville.
15h26: Une avalanche s'est produit vers 13 heures à Ceillac, dans un couloir sous la Font Sancte. Les secours s’organisent. Des sapeurs-pompiers sont déjà sur place. Les militaires du Peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de Briançon viennent d’embarquer à bord de l’hélicoptère EC-145 du détachement aérien de la gendarmerie.

http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2016/02/23/avalanche-a-ceillac-quatre-personnes-auraient-ete-ensevelies

Charente-Maritime : le véhicule chute dans le canal, un jeune décède

La voiture transportant quatre jeunes a percuté un arbre, ce lundi, avant de tomber à l’eau. L’un d’eux est décédé
Un terrible accident de la route a fait un mort et grièvement blessé deux autres personnes, lundi après-midi, vers 15 h 30, sur le territoire de la commune de Saint-Cyr-du-Doret, dans le nord de la Charente-Maritime, à un quart d'heure de route de Marans.
Publicité
Le véhicule transportant quatre jeunes gens d'une vingtaine d'années à travers le marais de Choupeau, entre Taugon et Saint-Jean-de-Liversay, a en effet brutalement quitté sa trajectoire pour aller percuter une haie d'arbres sur l'accotement, avant de plonger dans le canal.
La chaussée est assez large et sans courbe, à cet endroit. Mais elle est également en mauvais état quasi-permanent. "C'est une vraie route de marais, expliquait ce lundi Ghislaine Got, première adjointe de permanence à Saint-Cyr-du-Doret. Il y a déjà eu des accidents sur cette route, mais comme celui-là, ça reste rare. C'est dramatique."

22 sapeurs-pompiers

Quand elle se rend sur place, alertée par les gendarmes, l'élue découvre un véhicule entièrement sous l'eau, des plongeurs en action, une personne en réanimation sur la berge et deux autres passagers du véhicule à côté.
22 sapeurs-pompiers des centres de secours de la région sont alors mobilisés pour porter secours aux victimes.
En fin d'après-midi, on apprendra que l'un des occupants de la voiture n'a malheureusement pas survécu à ses blessures. Un autre devait être transporté au centre hospitalier universitaire de Poitiers, via l'hélicoptère Dragon 17 de la Sécurité civile. Son diagnostic vital était alors engagé.
Les deux autres personnes présentes dans le véhicule n'ont été que plus légèrement blessées. Tous seraient originaires des communes environnantes ou y seraient domiciliées .
Il revient désormais aux enquêteurs de la communauté de brigades de gendarmerie de Marans, présents sur le site hier après-midi, de déterminer les causes exactes et les circonstances de cet accident.
http://www.sudouest.fr/2016/02/23/chute-mortelle-d-un-vehicule-dans-le-canal-2281589-1523.php

Dans le Doubs : transformé en torche humaine par un collègue de travail

Les faits se sont déroulés dans une entreprise du Doubs en janvier. La victime, qui vient de sortir du centre des grands brûlés de Metz, accuse son collègue de s’être entendu avec les témoins pour faire croire à un accident du travail…
Alexandre Lornet se souviendra longtemps de l’anniversaire de ses 23 ans, le 22 janvier dernier.
Il est 4 heures du matin, dans une entreprise de mécanique de la zone industrielle d’Orchamps-Vennes (Doubs), où le jeune homme est opérateur de nuit sur machine à commandes numériques. Un peu agacé que son poste ne soit pas rangé, il donne un coup de pied dans un seau. « Il contenait encore un peu d’eau et d’huile, mon collègue a été arrosé. Et je ne sais pas pourquoi, il a pété un câble. Pourtant, on travaille un peu dans la saleté… »

« Dans son regard… »

Selon Alexandre, ledit collègue empoigne lui aussi un seau et va le remplir de solvant. « Il m’a couru après jusqu’à l’extérieur de l’entreprise et il m’a arrosé à son tour. » Quand Alexandre rentre dans l’atelier, le collègue semble toujours aussi énervé. « Il a dit aux deux autres : ‘‘il fait moins le malin maintenant.’’ Dans son regard, j’ai vu qu’il n’était pas comme d’habitude. Pourtant, depuis un an qu’on se connaît, on rigolait bien ensemble. Ça nous arrivait même de chahuter, mais là… »
La leçon ne semble pas suffire au collègue d’Alexandre, qui sort alors un briquet et commence à faire des étincelles. « Il s’approchait de moi et je reculais de plus en plus. Et puis, tout d’un coup, il y a eu la flamme ! »
Les vêtements d’Alexandre s’embrasent subitement. Il sera brûlé sur 60 % du corps, principalement aux jambes, qui sont atteintes au 2e degré profond, les mains et les avant-bras, le visage et le ventre aussi, dans une moindre mesure.
Quand les gendarmes arrivent dans l’entreprise pour enquêter sur ce qui leur est présenté comme un accident du travail, Alexandre Lornet est déjà évacué. Il n’est ressorti du centre des grands brûlés de Metz que la semaine dernière… pour porter plainte.

Une entente avec les témoins ?

« Quand j’ai pris feu, un collègue a saisi un extincteur pour m’éteindre puis ils m’ont emmené sous la douche. Mais j’ai entendu mon agresseur dire aux deux autres qu’ils devaient se mettre d’accord sur une version des faits, que je rentrais de pause et que j’avais allumé une cigarette. »
En arrêt de travail pour plusieurs mois encore, Alexandre a toujours des difficultés à se mouvoir. « J’ai eu des greffes et j’ai encore du mal à plier la jambe. »
Du côté du parquet de Besançon, on confirme que cette version inédite des faits est à l’enquête. L’auteur présumé des violences doit être prochainement entendu par la brigade de Valdahon.

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2016/02/23/dans-le-doubs-transforme-en-torche-humaine-pas-un-collegue-de-travail

lundi 22 février 2016

Paris: un mort dans un incendie

Un incendie s'est déclenché vers 14h45 au 5e étage d'un immeuble situé au 26 rue de Ménilmontant, dans le XXe arrondissement de Paris.
Contactée par Le Figaro, la préfecture de police de Paris a déclaré que l'incendie était maîtrisé, depuis 15h30.
"Une personne est décédée", a indiqué l'officier de presse au Figaro. "Une autre a été blessée légèrement, sans doute victime d'une intoxication", a ajouté cette source, contrairement à la rumeur circulant d'un blessé grave sur les réseaux sociaux.
Les causes de l'incendie sont encore inconnues

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Un piéton tué sur l'autoroute A61 au péage du Palays

Un accident dramatique de la circulation s'est produit au cœur de la nuit de samedi à dimanche, hier vers 3 heures, à environ un kilomètre de la barrière de péage du Palays, à Toulouse. Un conducteur qui venait d'entrer sur l'A 61 et roulait vers Narbonne a violemment heurté un piéton. Malgré l'intervention des pompiers et d'une équipe du Smur 31, ce garçon de 19 ans n'a pas pu être ranimé.
Les gendarmes de l'escadron départemental de la sécurité routière sont chargés de l'enquête sur cet accident particulier. En effet, il est d'ores et déjà acquis que la victime, qui vivait à Tournefeuille, ne se déplaçait pas en voiture. En réalité, les gendarmes savent qu'il a été avec des amis assister à un concert au Bikini, à Ramonville Que s'est-il passé après ? Est-il parti seul, à pied ? A-t-il été déposé un peu plus loin ? «Nous avons beaucoup d'investigations à réaliser», explique un officier de l'escadron départemental de sécurité routière. Les amis de la victime devraient être rapidement auditionnés. Une expertise de la voiture est également prévue. Une autopsie du corps de la jeune victime, qui aurait eu 20 ans au mois de mars, a également été ordonnée par le parquet.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/22/2282165-un-pieton-tue-sur-l-autoroute-a61au-peage-du-palays.html

Hérault : un motard décède dans une sortie de route sur l'A9

L'accident s'est produit entre 23 h et minuit samedi 20 février sur l'A9 à hauteur de la commune de Saint-Aunès. Le pilote du deux-roues, âgé de 33 ans est mort sur le coup. 
L'accident mortel s'est produit samedi 20 février aux alentours de 23h, sur l'A9 à hauteur de la commune de Saint-Aunès dans le sens Nîmes-Montpellier, dans un secteur en travaux. Pour une raison encore indéterminée, un jeune homme âgé de 33 ans et domicilié à Lunel a perdu le contrôle de son deux-roues.
Selon les premiers éléments de l'enquête menée par le peloton autoroutier de Grand Gallargues, l'arrière du deux-roues aurait touché le terre-plein central, ce qui aurait engendré la chute.
L'homme était décédé à l'arrivée des secours. 
http://www.midilibre.fr/2016/02/21/herault-un-motard-decede-dans-une-sortie-de-route-sur-l-a9,1289512.php

dimanche 21 février 2016

Pas-de-Calais: Deux morts dans l'explosion d'une Ferrari

Nouveau drame de la route. Samedi, en fin de matinée, un père et son fils ont été victimes d’un terrible accident de la route à bord d’une Ferrari. Selon la Voix du Nord, le père, qui était aussi le conducteur du bolide, est mort sur place et son fils, sérieusement blessé, est mort dimanche à l'hôpital.
L’enquête ouverte par les gendarmes devrait permettre de déterminer les circonstances exactes de l’accident qui a coûté la vie à un homme de 61 ans, samedi matin. Cependant, une femme qui a assisté à la scène a expliqué ce dont elle a été témoin.

Le bolide explose suite au choc

Vers 11h du matin, samedi, le conducteur d’une Ferrari a perdu le contrôle de son véhicule alors qu’il circulait sur la D941 au niveau de Ramecourt, dans le Pas-de-Calais. Le bolide est sorti de la route, a percuté violemment le pilier d’un pont, effectuant plusieurs tonneaux avant d’exploser pour terminer sa course contre un gros rocher.
Les deux occupants de la sportive italienne sont restés prisonniers de l’habitacle alors que la voiture était en flammes. Les pompiers sont parvenus à extraire le fils du conducteur qui a été héliporté dans un état grave au CHRU de Lille. Le jeune homme est mort des suites de ses blessures, dimanche. Son père, lui, est décédé sur place. Les victimes sont originaires de Rebreuve-sur-Canche, dans le Pas-de-Calais
http://www.20minutes.fr/lille/1791015-20160221-calais-deux-morts-explosion-ferrari

Près de Rouen : un homme décède dans l'incendie de son appartement

Un homme âgé de 69 ans est décédé cette nuit dans l'incendie de son appartement situé route de Dieppe en limite des communes de Maromme et Déville-lès-Rouen. Une cigarette mal éteinte pourrait être à l'origine de cet incendie. 
 http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/pres-de-rouen-un-homme-decede-dans-l-incendie-de-son-appartement-933355.html

Etats-Unis : un tireur abat au moins sept personnes dans le Michigan

Samedi, un tireur a abattu au moins sept personnes dans le comté de Kalamazoo, dans le nord des Etats-Unis. Un suspect a été arrêté.

Sept personnes ont été tuées par balles samedi soir à Kalamazoo dans le Michigan, dans le nord-est des Etats-Unis, sans qu'aucun lien ne puisse être établi entre elles, rapportent les médias. "Il semble qu'on soit face au pire scénario, quelqu'un qui tire au hasard au volant de sa voiture", a déclaré le shérif adjoint du comté de Kalamazoo sur la chaîne NBC.
"Ce que je peux dire c'est qu'il s'agit vraiment d'un tueur en série", a estimé le shériff adjoint.
Sur le parking d'un restaurant

Le tireur serait un homme d'une cinquantaine d'années. Le shérif adjoint, Paul Matyas, a déclaré que la police avait d'abord été appelée après des coups de feu dans un appartement. Une femme y a été retrouvée grièvement blessée de plusieurs balles, avant de décéder peu après rapporte CNN.
Les policiers ont ensuite reçu un appel d'urgence d'une concession automobile où deux personnes ont été abattues, et une troisième a été blessée. Quatre personnes enfin ont été tuées sur le parking d'un restaurant, le Cracker Barrel. Une cinquième personne est dans un état critique.
 
Le suspect arrêté
Selon certains médias américains, le suspect qui avait pris la fuite aurait été arrêté. Selon le lieutenant Dave Hines, de la police du Michigan, la police a arrêté un suspect à 00h40." "Nous pensons que nous tenons le suspect".
Le suspect avait été identifié comme un homme blanc d'une cinquantaine d'années qui circulait dans un break Chevrolet bleu.
 

Un randonneur magrinol décéde

Un randonneur du club de Magrin est décédé hier, en début d'après-midi, à la suite d'un malaise cardiaque. Lui et ses acolytes avaient choisi de profiter du beau temps en allant marcher dans le vallon de Marcillac, au départ de Clairvaux. L'homme, âgé de soixante-dix ans, s'est écroulé dès le début. En arrivant sur place, les pompiers ont constaté qu'il se trouvait en situation d'arrêt cardiaque et leurs tentatives de réanimation se sont révélées infructueuses
En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/21/2281655-un-randonneur-magrinol-decede.html#UWKjvpIysB9LAYh1.99
 

samedi 20 février 2016

Onnaing : un jeune motard tué en percutant un poids lourd

Dramatique accident, vendredi soir avenue Georges Lesne à Onnaing près de l'usine Toyota. Il était 20 heures lorsqu'un jeune homme de 23 ans circulant à moto a percuté un poids lourd.

Le motard a été tué sur le coup. Le chauffeur du poids lourd en est sorti indemne mais très choqué.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/onnaing-un-jeune-motard-tue-en-percutant-un-poids-lourd-932817.html

Orne : 4 jeunes se tuent sur la route

Quatre jeunes gens âgés de 20 à 26 ans ont trouvé la mort dans la nuit dans un accident de la route, près de la Ferté-Macé dans l'Orne, a-t-on appris auprès des pompiers. Vers 23H00 vendredi, le véhicule dans lequel avaient pris place les quatre jeunes est allé heurter de plein fouet, dans une ligne droite, un camion de transport de lait arrivant sur la voie opposée, au niveau de la commune de Magny-le-Désert sur la RD 908.

Les quatre occupants, tous originaires des environs, sont décédés sur le coup. Le chauffeur du poids-lourd est ressorti indemne.
Selon les premières constatations, une perte de contrôle serait à l'origine de l'accident. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie.

Depuis le début de l'année, 8 personnes ont trouvé la mort sur les routes de l'Orne, ont précisé les pompiers. En 2015, ce département avait déjà connu une année particulièrement noire pour la sécurité routière avec 32 décès pour 192 accidents, soit 11 morts de plus que l'année précédente

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Choc frontal : une Biarnaise de 32 ans perd la vie

La collision frontale s'est déroulée presque devant le site du Syded de Saint-Jean-Lagineste, sur la route départementale 807 qui relie Saint-Céré à Gramat. Hier matin peu après 8 heures, une voiture qui semble-t-il doublait un camion a percuté de plein fouet un véhicule arrivant en sens inverse. Au volant, une jeune conductrice de 32 ans, Emeline Lecamp, résidant à Biars-sur-Cère, est décédée sur le coup suite à la violence du choc. Les pompiers de Saint-Céré et de Gramat ainsi qu'une équipe du SAMU, rapidement arrivés sur les lieux, n'ont rien pu faire pour sauver cette jeune maman, employée de la société La Quercynoise à Gramat. L'autre conducteur, un homme de 34 ans, a été légèrement blessé et transporté à l'hôpital de Saint-Céré. Le conducteur du troisième véhicule impliqué dans l'accident, s'en est sorti indemne. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes exactes de l'accident.
En plus des secours, les gendarmes de Saint-Céré et de Bretenoux se sont rendus sur place ainsi que la maire de Saint-Jean-Lagineste, Monique Martignac qui ne cachait pas son émotion hier matin. Le service des routes du conseil départemental est également intervenu pour installer une déviation provisoire vers Saint-Médard-de-Presque et Mayrinhac-Lentour. La route a été coupée dans les deux sens de circulation pendant une bonne partie de la matinée. Ce dramatique accident porte à deux le nombre de personnes tuées sur les routes du Lot depuis le début d'année 2016.
http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/20/2280695-choc-frontal-une-biarnaise-de-32-ans-perd-la-vie.html

vendredi 19 février 2016

Un cycliste décède à Bruyères-et-Montbérault, dans le Laonnois

hebergement d'image
Après un choc frontal avec une voiture en plein centre de Bruyères-et-Montbérault, vers 17 heures ce vendredi 19 février, le conducteur du vélo a succombé à ses blessures.
Un cycliste est décédé ce vendredi 19 février, après un choc frontal avec une voiture, en plein centre de Bruyères-et-Montbérault, place des Leups. Les deux véhicules se sont croisés en sens inverse, dans une rue étroite et en légère pente. L’enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes de l’accident. L’homme de 23 ans au volant de la voiture n’avait ni bu ni consommé de stupéfiants, d’après les premiers examens.
La victime, âgée de 60 ans, était inconsciente à l’arrivée des secours, qui ne sont pas parvenus à le ranimer. Le conducteur de la voiture, indemne mais en état de choc, a été conduit à l’hôpital.
En moins d’une semaine, cet accident est le quatrième mortel du département.
http://www.lunion.fr/node/665664

Recherches dans la Somme à Amiens : un plongeur hospitalisé, pronostic vital engagé

Alors qu'ils recherchaient une potentielle troisième victime de l'accident présumé survenu mercredi soir à Amiens (une voiture était tombée dans la Somme et deux personnes avaient été secourues en hypothermie) les plongeurs de la gendarmerie de Noyon ont vécu un grave incident vendredi matin.

Dans des circonstances qui restent à préciser, l'un des plongeurs a dû recevoir un massage cardiaque. Il a ensuite été transporté au centre hospitalier d'Amiens. Son pronostic vital est engagé

Le conducteur poursuit sa garde à vue
Le corps d'une troisième victime, vraisemblablement un homme d'une vingtaine d'années, était de nouveau recherché depuis 9h ce matin par les plongeurs de la gendarmerie de Noyon. Seule la voiture a été localisée. A la mi-journée, les recherches étaient manifestement suspendues.

Le commissariat de police d'Amiens, en charge de l'enquête, a par ailleurs révélé les résultats des tests opérés sur le conducteur de la voiture. Le jeune homme avait un taux d'alcoolémie d'1,8 grammes par littre de sang et était sous l'emprise de stupéfiants. Sa garde-à-vue, démarrée à la sortie de l'hôpital jeudi midi, a été prolongée jusqu'à samedi 12h45 maximum.

Incendie à Verdun : le pronostic vital de la victime est engagé

Il était parti se coucher, vers 3 h, ce jeudi matin. « Puis tout à coup j’ai entendu les voisins descendre dans la cour, en hurlant qu’il y avait le feu, et qu’il fallait appeler les pompiers », raconte Matthieu, 22 ans, qui habite cet immeuble situé rue Saint-Sauveur. Avec un autre voisin, il repère de la fumée qui se dégage d’un appartement, situé au premier étage, en haut d’un petit escalier. Matthieu sait qui habite derrière cette porte.
Il ne le connaît pas plus que ça, il le croise de temps en temps, mais ne le voyant pas sortir dans la cour comme les autres habitants de l’immeuble cette nuit-là, il s’inquiète. « Je me suis dit, il faut qu’on aille voir ». Il monte avec un autre voisin jusqu’à l’entrée de l’appartement. « On a toqué comme des malades ! Mais on n’entendait rien, personne n’a répondu ».

« Comme un rideau noir de fumée »

Alors sans plus réfléchir, Matthieu donne un grand coup dans la porte, qui s’ouvre aussitôt. « Et là, une énorme fumée noire est sortie, mais alors plus noire que noire, ça faisait comme un rideau noir », raconte-t-il. « Le monsieur est sorti, il a déboulé à toute vitesse dans les escaliers jusque sur le petit palier. J’ai essayé de lui demander ce qu’il s’était passé, et si je pouvais commencer à mettre de l’eau ou quoi… ». La victime est un homme âgé de 49 ans.
Les pompiers de Verdun sont arrivés sur les lieux, « très vite, en cinq ou dix minutes », rapporte le jeune homme. Ils ont tout de suite pris en charge l’occupant de l’appartement, qui était brûlé aux avant-bras et avait inhalé une quantité importante de fumée. Il a été transporté au centre hospitalier de Verdun, avant d’être emmené à Metz, au centre de traitement des grands brûlés. Son pronostic vital est engagé ce jeudi après-midi.
Le commissariat de Verdun est chargé de l’enquête, la police scientifique était sur les lieux ce jeudi matin. D'après les premiers éléments, la cause de l'incendie semble être accidentelle. Le feu aurait démarré dans la chambre, et serait dû à une cigarette mal éteinte.

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-verdun/2016/02/18/verdun-un-blesse-grave-dans-un-incendie-son-voisin-vole-a-son-secours

jeudi 18 février 2016

Drame familial à Neuville-aux-Bois : un soutien psychologique mis en place pour les voisins

Après la découverte macabre lundi par la gendarmerie d'un couple et de ses deux enfants à leur domicile de Neuville-aux-Bois dans le Loiret, le bailleur social de l'immeuble a mis en place un soutien psychologique pour les voisins
Les gendarmes de Neuville-aux-Bois sont intervenus dans la nuit de lundi à mardi chez une famille dans un immeuble au 2, rue Louis-Gurlie. Un jeune couple d'une vingtaine d'années, ainsi que leurs deux enfants âgés de six ans et de six mois, ont été retrouvés morts.

Le père, Rémi Taudin, âgé de 26 ans aurait tué à l'arme blanche sa femme et ses deux enfants avant de se suicider dans les caves de l'immeuble. Il aurait appelé la gendarmerie avant de mettre fin à ses jours en se tranchant la gorge avec une scie circulaire.

L'hypothèse du triple homicide et du suicide est privilégiée. Rémi Taudin a laissé deux écrits, dans l'appartement et dans la cave disant qu'il n'avait pas pu se retenir, qu'il les aimait et qu'il leur demandait pardon. Il aurait été victime de délire anti-islam.

Le procureur adjoint de la République d'Orléans Alain Leroux, a ouvert deux enquêtes judiciaires. L'une pour triple homicide aggravé et l'autre en recherche des causes de la mort.

Après ce drame, le bailleur social gérant de l'immeuble a décidé de mettre en place un soutien psychologique pour les habitants du bâtiment. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/centre/loiret/drame-familial-neuville-aux-bois-un-soutien-psychologique-mis-en-place-pour-les-voisins-931351.html

Un agriculteur retrouvé mort dans la cour d'une ferme de Machault

Une macabre découverte a été faite mercredi matin, dans la cour d’une ferme du village de Machault. Un agriculteur retraité a en effet été retrouvé décédé. Pour l’instant, on ne sait pas grand-chose sur les causes de cette mort.
La gendarmerie qui a démarré une enquête ne souhaite pas en dire davantage, si ce n’est qu’il semblerait s’agir «  d’une mort naturelle  », selon les termes du capitaine Klein de la Compagnie de gendarmerie de Vouziers. De son côté, le maire de Machault, Chantal Pierot, n’a pas souhaité s’exprimer davantage. «  Je ne communique pas sur ce sujet  », a-t-elle dit. Les riverains, paraissent ne pas en savoir plus. Il semblerait néanmoins que l’agriculteur habite rue Hobette. Une autopsie devrait être pratiquée dans les jours qui viennent.
http://www.lunion.fr/node/664444

mercredi 17 février 2016

Turquie: Au moins cinq morts dans un attentat à Ankara

Une violente explosion s'est produite ce mercredi soir dans le centre d'Ankara en Turquie. Au moins cinq personnes seraient mortes, et il y aurait dix blessés
Selon le gouverneur de la capitale turque, Mehmet Ali Kiliçlar, il s'agirait d'un attentat à la voiture piégée. L'explosion se serait produite au passage d'un véhicule militaire, près de la place centrale de Kizilay.
Les chaînes d'information turques ont montré des images d'un violent incendie qui a embrasé des véhicules militaires après la très violente déflagration, entendue à plusieurs kilomètres à la ronde. De nombreuses ambulances ont été dépêchées sur place.
La Turquie est sur le qui-vive depuis une série d'attentats qui ont visé son territoire depuis l'été dernier, tous attribués par les autorités turques au groupe djihadiste de l'Etat islamique (EI). Le plus meurtrier, le 10 octobre dernier, avait tué 103 personnes devant la gare centrale d'Ankara alors qu'elles se rassemblaient pour participer à une manifestation.
http://www.20minutes.fr/monde/1789067-20160217-turquie-moins-cinq-morts-attentat-ankara

Hérault : tabassé à la prison de Villeneuve-lès-Maguelone, un détenu est entre la vie et la mort

Un homme de 19 ans a été pris à partie par un ou plusieurs prisonniers de la maison d'arrêt de Villeneuve-lès-Maguelone, près de Montpellier, dans l'Hérault.
Cette agression d'une extrême violence s'est produite samedi après-midi, dans la cour de promenade de la prison. Le jeune homme qui a été tabassé était incarcéré depuis mai 2015 pour tentative de braquage.

"Une affaire dramatique"

C'est une affaire dramatique. Tout est mis en oeuvre pour identifier le ou les auteurs et les présenter à la justice. Nous faisons le maximum pour aider les gendarmes avec les moyens dont nous disposons.", déclare le directeur de la prison
 
La gendarmerie de Castelnau-le-Lez a été chargée de l'enquête. Le détenu pris à partie est hospitalisé au CHU de Montpellier.
 http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/herault/montpellier/herault-agresse-la-prison-de-villeneuve-les-maguelone-un-detenu-est-entre-la-vie-et-la-mort-930307.html

Gray : un corps retrouvé dans un logement vacant lors d'un diagnostic immobilier

Gray. Rapidement donnée, l’alerte n’a pas tardé à éveiller les curiosités, dans le centre-ville graylois. Hier, à midi, la petite rue de Belfort se retrouve barrée par la gendarmerie de Gray, très vite rejointe sur place par la brigade de recherche de Vesoul, à qui a été confiée l’enquête.
Les spécialistes s’affairent à prélever tout indice potentiel, pour élucider les causes de cette découverte que ne sera pas près d’oublier cet agent immobilier graylois. Il était 10 h 50 quand, à l’occasion d’une visite dans cette maison mitoyenne présumée inhabitée, la triste vision apparaît. Les premiers éléments de l’enquête renvoient au corps d’une femme, visiblement assez âgée.

Lien avec une septuagénaire disparue ?

Ordonnée hier par le parquet, l’autopsie qui sera réalisée aujourd’hui, devra confirmer l’identité de la victime, dont le décès pourrait être relativement ancien. Alors qu’aucune information judiciaire n’a été ouverte en l’état, les recherches des causes de la mort délivreront des réponses essentielles. La première d’entre elles est le lien potentiel avec la disparition inquiétante de cette septuagénaire, remontant à la fin d’année dernière.
A cette époque, on évoquait que la malheureuse, qui avait quitté son domicile pendant l’absence de son mari, n’avait plus été revue depuis qu’une voisine l’avait aperçue s’éloigner de l’avenue de la Libération, en haut de la ville. Vaines, les recherches s’étaient effectuées dans un rayon de plus de 600 mètres. La rue de Belfort, située en centre-ville bas, se trouvant bien au-delà de ce périmètre.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-vesoul-haute-saone/2016/02/17/gray-un-corps-retrouve-dans-un-logement-vacant

mardi 16 février 2016

Drôme - Accident mortel sur la RN7 à hauteur de Porte-les-Valence

Un accident s'est produit ce mardi 16 février, en début d'après-midi, vers 13h10, sur la RN7, à hauteur de la commune de Portes-lès-Valence, dans la Drôme. Un camion, transportant des matériaux de construction, est entré en collision avec un véhicule léger. Un choc frontal très violent
La cabine du poids-lourds a pris feu en raison de la violence du choc. Le conducteur du poids lourd a cependant pu être extrait de son véhicule. Il a été dégagé par d'autres conducteurs. Il a été légèrement blessé. En revanche, la conductrice du de la voiture, une femme de 31 ans, n'a pas survécu.  En raison de cet accident, la RN 7 a été coupée à la circulation, dans les deux sens durant une heure. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-alpes/drome/drome-accident-mortel-sur-la-rn7-hauteur-de-porte-les-valence-929973.html

Il tue sa femme et ses enfants, et se suicide

La nuit dernière, à Neuville-aux-Bois, dans le Loiret, un homme s'est suicidé après avoir tué sa femme et ses deux enfants, rapporte FranceTVinfo. Âgé de 26 ans, il aurait tué sa compagne et ses enfants avec une arme blanche avant de mettre fin à ses jours dans une cave de l'immeuble où résidait cette famille.
Le jeune homme était bien connu des services sociaux de la mairie de la ville. Une autopsie est prévue au Centre Médico-légal de Tours.

 http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Montpellier / La Mosson : après sa chute, il meurt à l’hôpital

U n Montpelliérain âgé de 21 ans est décédé, samedi 13 février, des suites de ses blessures à l'hôpital.
Vendredi 12 février, il avait chuté du 4e étage d'un immeuble HLM du Grand-Mail, dans le quartier de La Paillade, vers 21 h 30. Sa chute avait été amortie par la devanture d'une boutique qui se situait au bas de l'immeuble.

Une enquête est ouverte

Transporté dans un état critique au CHU, il n'a finalement pas survécu. Il pourrait s'agir d'une tentative de suicide. Une enquête de police a été ouverte pour déterminer les causes exactes de sa chute
http://www.midilibre.fr/2016/02/15/montpellier-la-mosson-apres-sa-chute-il-meurt-a-l-hopital,1286581.php

lundi 15 février 2016

Egorgé par sa mère, retrouvé mort dans une valise

La mère de ce petit garçon de 8 ans a reconnu les faits. Elle a été déférée devant un juge d'instruction.

Une macabre découverte a été faite dimanche matin dans un parc du quartier de Schaerbeek, à Bruxelles (Belgique).
Le corps d'une petit garçon a été retrouvé dans une valise, qui avait été enterrée, rapporte RTBF.
La mère, âgée de 33 ans, l'aurait égorgée. Elle a reconnu les faits mais ses explications ne sont pas claires : elle souffre depuis plusieurs mois de troubles psychiatriques.
Son mari, radicalisé, est parti en Syrie il y a plus de deux ans.
Son autre garçon de 11 ans a été pris en charge par un juge de la jeunesse.
http://www.ledauphine.com/france-monde/2016/02/15/egorge-par-sa-mere-retrouve-mort-dans-une-valise

Eure : il tente de tuer sa femme avant de se donner la mort

Dimanche 14 février 2016 vers 12h00, les pompiers interviennent dans une résidence de Reuilly (Eure). Ils découvrent les corps inanimés d’un couple âgé de 84 ans. Le constat de décès sur l’homme est déclaré sur place. Sa femme est transportée au centre hospitalier d’Evreux. Son état est jugé désespéré.
Les investigations, conduites par la brigade territoriale de Gaillon avec l'appui de la brigade de recherches de Louviers et la cellule d’identification criminelle d'Evreux, permettent de supposer que l'homme a cherché à mettre fin aux jours de son épouse, avant de se donner la mort.
L'enquête se poursuit, sous l'autorité du parquet d'Evreux.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/eure/eure-il-tente-de-tuer-sa-femme-avant-de-se-donner-la-mort-928805.html

Château-l'Evêque (24) : un homme décédé dans l'incendie de sa maison

Un incendie s'est déclaré vers 6 heures ce lundi matin. L'occupant de la maison a été retrouvé dans les décombres
9 h 40. La victime était l'unique occupant de cette maison vétuste. Il s'agit d'un monsieur âgé de 86 ans, qui vivait seul depuis le décès de sa femme, et qui avait toujours refusé de quitter son logement, uniquement chauffé au feu de bois. La première hypothèse est celle d'un feu de cheminée qui s'est propagé à la bâtisse.
 
Quand les pompiers sont arrivés, la maison était entièrement embrasée. leur intervention a permis d'éviter la propagation de l'incendie à la maison mitoyenne.
Les sapeurs-pompiers doivent rester sur place une partie de la journée, pour déblayer et s'assurer qu'il n'y ait pas de reprise de feu. 
http://www.sudouest.fr/2016/02/15/chateau-l-eveque-24-une-maison-entierement-embrasee-2274102-1980.php

Baie du Mont Saint-Michel: Une femme retrouvée morte après une sortie pêche

Une femme âgée de 72 ans a été retrouvée morte dans la nuit de dimanche à lundi à Cherrueix (Ille-et-Vilaine), dans la baie du Mont Saint-Michel, rapporte Ouest-France. Partie en compagnie de son mari pour une sortie de pêche à pied, la septuagénaire avait visiblement quelques difficultés à regagner le rivage. Son mari aurait alors entrepris d’aller lui chercher de l’eau. A son retour, sa femme n’était plus là.

Son téléphone déchargé

D’importants moyens ont été déployés par les secours qui ont fait appel à l’hélicoptère de la sécurité civile. La femme aurait même pu joindre brièvement son mari par téléphone vers 21h, avant que celui ne s’éteigne faute de batterie.
Le corps sans vie de la femme a été retrouvé dans la nuit sur la commune de Cherrueix.
http://www.20minutes.fr/rennes/1786827-20160215-baie-mont-saint-michel-femme-retrouvee-morte-apres-sortie-peche

Haut-Doubs : 1 500 personnes pour un ultime hommage à Laureen et Mathis

Malgré le froid, malgré les gros flocons, il ne l’a pas lâché un seul instant. Tout au long du trajet, Julien a brandi le portrait de son petit frère, Mathis. Dans son dos, près de 1 500 personnes ont silencieusement marché durant quelques kilomètres, hier à Pontarlier, dans une ambiance rendue feutrée par la neige. Peu de paroles, pas de sourire. Au fil du parcours, un dispositif de police régulait la circulation. La longue litanie de parapluies multicolores s’est stoppée devant le collège Aubrac, où étaient scolarisés Mathis Pourchet et Laureen Piguet. Tous deux sont décédés mercredi dans l’accident de leur car scolaire, à Montflovin. Émues par la vague de solidarité qui les a ainsi escortées, les deux mamans se sont étreintes. Proches comme anonymes, tous sont ensuite entrés dans l’enceinte de l’établissement.

Émouvants témoignages d’élèves

Les élèves avaient écrit et affiché sur un mur des centaines de messages, quelques mots pour certains, des textes plus élaborés pour d’autres. Petits, gros, rouges, bleus, jaunes, partout étaient dessinés des cœurs. Ci et là, on retrouvait des photos de Mathis ou Laureen. Longuement, les parents ont scruté ces morceaux de papiers, où étaient griffonnés ces adieux, ces anecdotes, ces preuves d’affection. « Gardez votre beau sourire là-haut », disait l’un d’eux.
« C’était très émouvant », confie le papa de Laureen. Des ballons blancs flottaient sous le plafond. De nombreuses bougies ont été allumées. Un océan de roses a afflué au pied d’un arbre à pensées.
C’était, hier, l’ultime hommage de tout un territoire, qui ressort intimement marqué par cette tragédie. « Je ne connaissais pas ces familles, mais on est tous attristés. Ces deux petits anges qui partent si tôt… J’ai des arrière-petits-enfants, je pense aussi à eux », explique Monique, qui a un avis tranché sur les circonstances du drame, par ailleurs toujours soumises à une enquête du parquet.
« On en demande trop aux conducteurs de cars, tout est trop minuté pour des questions d’argent. Il y a aussi des choses à revoir du côté du port de la ceinture pour les enfants », souffle-t-elle. Des propos qui, depuis mercredi dans le Haut-Doubs, resurgissent dans beaucoup de discussions. Le temps du débat et d’une réflexion, à la fois collective et constructive, viendra peut-être. C’est notamment le souhait des parents de Mathis. Mais hier, l’heure était encore à l’hommage, à l’émotion et à la sobriété.

http://www.estrepublicain.fr/edition-haut-doubs/2016/02/15/haut-doubs-1-500-personnes-pour-un-ultime-hommage-a-laureen-et-mathis

dimanche 14 février 2016

Cinq membres du groupe Viola Beach seraient morts dans un accident de voiture

Un accident tragique. Cinq Britanniques, très vraisemblablement les membres du groupe d’indie pop Viola Beach et leur manager, sont morts en Suède après la sortie de route de leur voiture sur un pont mobile, a-t-on appris dimanche auprès de la police.

La voiture ne s’est pas arrêtée alors que le pont mobile n’avait pas été remis en place

« Cinq personnes, toutes de nationalité britannique, sont mortes après un accident de voiture dans la nuit de vendredi à samedi », a indiqué à l’AFP une porte-parole de la police, Towe Hägg. L’accident s’est produit à Södertälje, au sud de Stockholm. La voiture dans laquelle se trouvaient les cinq hommes ne s’est pas arrêtée alors que le pont mobile sur lequel passe l’autoroute n’avait pas été remis en place.
« D’après les premiers éléments de l’enquête, les barrières et les signaux lumineux fonctionnaient correctement », a précisé Mme Hägg. Les autres véhicules étaient à l’arrêt, dans l’attente de la fin de la manœuvre. « Une voiture est arrivée à une vitesse folle (…) au moins 70-80 km/h. C'est très rapide quand tout le monde est arrêté », se souvient Jonny Alexandersson, un chauffeur routier présent au moment du drame, pour le quotidien Aftonbladet.

Les membres d’un groupe d’indie pop originaire du nord-ouest de l’Angleterre

Selon le journal, les passagers de la voiture étaient les membres du groupe d’indie pop Viola Beach, originaire de Warrington (nord-ouest de l’Angleterre) et leur manager. Les cinq hommes étaient nés entre 1983 et 1996. Le groupe s’était produit vendredi soir à Norrköping (centre) au festival « Where’s the music » et devait rentrer en Grande-Bretagne pour jouer le lendemain à Guildford, dans le sud de l’Angleterre
 C’était la première fois qu’ils jouaient en dehors de la Grande-Bretagne. Ils étaient plein d’espoir », a dit à Aftonbladet Folkert Koopmans, le programmateur du festival suédois. « Malheureusement il semble que (…) ce soit vrai que les quatre membres du groupe et leur manager soient morts dans l’accident. C’est terrible », a-t-il ajouté, précisant qu’il n’y avait pas, pour le moment, de confirmation officielle.
Sur les réseaux sociaux, fans et confrères faisaient part de leur tristesse. « RIP Viola Beach et son manager. Une nouvelle incroyablement tragique et triste », a écrit sur Twitter le groupe de rock The Enemy.
« Tellement affreux. Ils sont partis avant que quiconque ait la chance de voir ce qu’ils auraient pu devenir », déplorait une fan sur la page Facebook des Viola Beach

http://www.20minutes.fr/dossier/accident_de_la_route

Accident mortel près de Louviers (Eure)

C'est près de Vironvay, qu'une collision a eu lieu hier matin (samedi 13 février) sur la route D6015 qui longe l'A13 entre Louviers et la Seine.

Une Golf, qui circulait dans le sens de la montée, a changé de voie et est venue percuter un semi-remorque qui venait en face. Le choc a été extrêmement violent. Les secours ont tenté de sauver le conducteur de la voiture, un homme âgé de 44  ans, mais il est mort sur place, malgré les efforts de l'équipe médicale du SAMU.

Très choqué, le conducteur du camion a été entendu par les forces de l'ordre, dans le cadre de l'enquête qui est ouverte pour tenter de déterminer les circonstances exactes de cet accident.
Il n'est pas exclu que les enquêteurs fassent appel aux témoins

http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/eure/accident-mortel-pres-de-louviers-eure-928359.html

Risque d'avalanches très élevé dans les Alpes, un mort à Courchevel

Le risque de déclenchement d'une coulée, estimé à 4 sur une échelle de 5, est en hausse "dans les massifs intérieurs de Haute-Savoie, de Savoie, de l'Isère, ainsi que sur les massifs du nord des Hautes-Alpes et le massif du Haut-Var/Haut-Verdon"

Le Centre de prévision avalanches de Grenoble appelle les vacanciers à la vigilance contre un "risque fort" de déclenchements accidentels d'avalanche ce week-end dans les Alpes. Il souligne que le risque de déclenchement d'une coulée, estimé à 4 sur une échelle de 5, est en hausse "dans les massifs intérieurs de Haute-Savoie, de Savoie, de l'Isère, ainsi que sur les massifs du nord des Hautes-Alpes et le massif du Haut-Var/Haut-Verdon". Le centre appelle les skieurs à la plus grande prudence "pour la pratique des activités en montagne hors des pistes balisées et ouvertes", ajoutant que le "principal risque pour les pratiquants sera de déclencher une avalanche de plaque dans la couche de neige récente en tous versants".

Samedi, un skieur qui pratiquait le hors-piste sur un secteur situé entre les stations de Courchevel et de Méribel, en Savoie, est mort après avoir été emporté par une avalanche La coulée qui a coûté la vie à la victime, dont l'identité n'a pas été communiquée par les secours, s'est déclenchée peu avant 13H30 à proximité du Col de la Loze, qui culmine à 2.270 mètres d'altitude sur un secteur hors-piste de la station de La Tania. Selon Le Dauphiné Libéré, qui a révélé l'information, le dispositif de secours était toujours sur les lieux du drame à 15H30 pour lever le doute sur la présence d'éventuelles victimes supplémentaires.

«André Bamberski a fait d'un drame terrible une belle histoire d'amour»

se défend d'être un cinéaste justicier, mais après un film sur les affaires d'Outreau («Présumé coupable») et Clearstream («L'enquête»), Vincent Garenq a plongé dans la quête au long cours d'André Bamberski pour faire condamner le responsable de la mort de sa fille.
Vincent Garenq, qu'est-ce qui vous a mené vers cette histoire ?
J'ai lu le livre d'André Bamberski* en une nuit, et j'ai eu un coup de foudre pour cet homme, sa ténacité. C'est formidable de voir comment un individu seul et démuni peut se bagarrer contre les institutions de deux pays. L'objectif du film n'est pas de tailler un costard à la justice française ou allemande, c'est de raconter comment ce père finit par avoir raison. Son courage a permis que d'un drame terrible, il fasse une belle histoire, une histoire d'amour d'un père envers sa fille.
Kalinka, 14 ans, retrouvée morte chez son beau-père, ce dernier enlevé à la demande du père pour le présenter à la justice, une histoire compliquée ?
Non, après avoir tourné l'affaire Clearstream, celle-ci me paraît très simple, trop simple même, j'ai donc construit le film comme un policier qui dévoile au fur et à mesure la personnalité du coupable, Dieter Krombach. Là où l'affaire est compliquée, c'est qu'elle se déroule sur 30 ans.
Comment les protagonistes de l'affaire ont-ils été associés au film ?
On a rencontré André, brièvement, pour lui présenter le projet et il a accepté. Quand on lui faisait part de l'évolution du scénario, il n'était pas tellement d'accord avec nos choix, mais il nous laissait faire, et au final, il m'a dit que c'était du bon travail. Il est surtout content qu'on ait choisi Daniel Auteuil pour le rôle. Il nous a rejoints sur le tournage et ce qui était drôle c'est qu'il était intimidé de se trouver au milieu de ces gens du cinéma, alors que nous étions intimidés de rencontrer le vrai personnage du film.
Daniel Auteuil a accepté le rôle parce que vous ne vouliez pas faire du spectacle avec cette histoire...
J'ai la volonté de faire vraiment du cinéma, mais il n'y a aucun voyeurisme, j'essaie de raconter l'histoire sans être putassier dans les émotions, et André m'a dit après avoir vu le film qu'il le trouvait pudique. Au final, il y a une vraie émotion.
Le tournage vous -t-il permis de découvrir de nouveaux éléments ?
Non, parce que Krombach avait été jugé deux fois en France, mais en allant tourner au village de Lindau, en Allemagne, disons sur les lieux du crime, on a trouvé des gens qui, 30 ans après, disaient encore que le fou était Bamberski et que Krombach était innocent.
Votre prochain film sera-t-il encore d'après une histoire vraie ?
Oui, ça sera un biopic, plutôt déjanté mais sans un seul magistrat !
Pour que justice te soit rendue » (éd. Michel Lafon).
« Au nom de ma fille », de Vincent Garenq, sortie le 16 mars. Avant-première le 15 février à 20 h 30 au Gaumont-Wilson de Toulouse en présence de l'équipe du film.
 

samedi 13 février 2016

Adolescents tués à Rochefort: les habitants rassemblés pour un ultime hommage

Aisne: un piéton de 19 ans renversé par une voiture est décédé

Le jeune homme a été renversé sur la D54 à Besny-et-Loizy, au nord de Laon, vers 5 h 30 du matin ce samedi matin
Un jeune homme de 19 ans a perdu la vie au petit matin ce vendredi, vers 5 h 30, à Besny-et-Loizy, au nord de Laon. Alors qu’il marchait sur le bas-côté de la route,, il a été percuté par un véhicule sur la D54. L’obscurité aurait empêché le conducteur de voir la victime à temps.
L’accident a eu lieu non loin du hameau de Loisy. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes de l’accident.
http://www.lunion.fr/node/661242

Tombé d'une nacelle à Brognard : l’un des ouvriers, un habitant de Lepuix (90), est décédé

L’un des ouvriers, gravement blessé après un accident du travail à Brognard, est décédé au cours de la nuit de jeudi à vendredi. Cet habitant de Lepuix, dans le Territoire de Belfort, avait 38 ans. La deuxième victime, un Mulhousien de 19 ans, est toujours hospitalisée dans un état grave.
L’accident a eu lieu jeudi vers 17 h. Les deux hommes travaillaient en sous-traitance au sein de l’entreprise Metalhom, spécialisée dans la fabrication de pièces d’acier de grande dimension. Positionnés sur une nacelle à une dizaine de mètres du sol, ils s’affairaient à la réparation d’une porte. Soudain, la nacelle a basculé et les deux ouvriers sont tombés. « Ce que nous savons pour l’instant, c’est que la nacelle a percuté un pont roulant. Nous devons déterminer les causes de l’accident ; entendre les témoins et effectuer des constatations techniques avec le concours de l’Inspection du travail », informe le procureur de la République de Montbéliard, Carine Greff, qui a ouvert une information judiciaire pour blessures involontaires et homicide involontaire
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2016/02/12/brognard-l-un-des-ouvriers-est-decede

vendredi 12 février 2016

Belgique : une adolescente de 14 ans harcelée sur Facebook se suicide

Mardi 9 février, une adolescente belge de 14 ans s'est pendue dans sa cage d'escalier car elle était harcelée sur Facebook. Un drame qui suscite un fort émoi en Belgique, deux mois seulement après le suicide d'une autre adolescente de 12 ans pour les mêmes motifs.

Madison, 14 ans, a été retrouvée pendue mardi 9 février dans la cage d'escalier de son domicile à Herstal, en Belgique. Selon une de ses camarades interrogée par Sudpresse, l'adolescente était victime de harcèlement, et faisait régulièrement l'objet d'insultes et d'humiliations, notamment sur les réseaux sociaux Facebook et Instagram.
 
"Elle était gentille et joyeuse. Elle était heureuse. On n'aurait jamais pu croire qu'une chose pareille pouvait arriver" a déclaré son beau-frère Samy sur RTL-TVI. "J'ai eu beaucoup de petites filles qui sont venues me trouver sur Facebook suite au décès de ma petite sœur, a expliqué sa demi-sœur au même micro. Elles m'ont dit qu'elles étaient victimes de harcèlements, qu'elles avaient pensé comme ma petite sœur à se suicider." "Il faut que tout cela s'arrête, a déclaré son oncle dans Sudpresse. Madison est partie et pourtant des personnes continuent de lui envoyer des messages d'insultes sur les réseaux sociaux. C'est simplement honteux de leur part."
 
Les obsèques de la jeune fille auront lieu ce samedi. Ce suicide intervient deux mois après celui de Laura, 12 ans, elle aussi harcelée sur les réseaux sociaux. La jeune fille s'était pendue à son lit avec une ceinture début décembre

Un élu ardennais meurt au cours d'un accident de plongée en Belgique

Michel Jaunet et son épouse Michelle, tous deux licenciés du Subaquaclub de Charleville-Mézières participaient à une sortie avec quatre autres licenciés carolomacériens. Ce jeudi soir, le couple décidait de plonger dans une carrière de Philippeville, sur la route de Givet. Vers 20 h20, l’élu ardennais porte assistance à son épouse en difficulté et disparaît alors sous les eaux.
Sa femme était encore hospitalisée ce vendredi matin en Belgique lorsque le corps sans vie de Michel Jaunet a été repêché tôt par les plongeurs de Belgique. Michel Jaunet avait 59 ans et était un plongeur aguerri puisqu’il passait actuellement son brevet de moniteur de plongée. Les élus d’Illy et les membres du subaquaclub de Charleville-Mézières sont sous le choc.
http://www.lunion.fr/node/660934

L'Abergement-de-Cuisery : un arbre tombe sur une voiture et fait un mort

Un arbre est tombé sur la chaussée cet après-midi à L'Abergement-de-Cuisery en Saône-et-Loire. L'arbre est tombé de plein fouet sur une voiture, l'automobiliste est décédé
Un arbre est tombé ce vendredi 12 février sur la route départementale 975 en Saône-et-Loire à hauteur de L'Abergement-de-Cuisery. Sur une grande ligne droite, l'arbre, sans doute touché par les vents violents de ces derniers jours, est tombé sur une voiture.

L'automobiliste, un homme, a été frappé de plein fouet et est décédé. Huit pompiers s'étaient rendus sur place. Le drame s'est produit peu après 14h30.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/saone-et-loire/l-abergement-de-cuisery-un-arbre-tombe-sur-une-voiture-et-fait-un-mort-927333.html

Six adolescents tués dans un accident de car : la Charente-Maritime sous le choc

Jeudi matin, six adolescents ont été tués dans un accident de car à Rochefort, en Charente-Maritime. Une cellule de crise a été mise en place, ainsi qu'une chapelle ardente où les familles peuvent venir se recueillir. Dans le département, les élus, les secours et les proches des victimes sont tous accablés par la douleur et l'émotion.

Parents affolés encore dans l'incertitude, familles aux yeux rougis ayant appris le décès de leur enfant... Les cris de détresse des proches des six adolescents tués par un camion qui a éventré leur autocar, jeudi au petit matin, ont bouleversé Rochefort et la Charente-Maritime.
 
Les familles des 15 collégiens et lycéens qui se trouvaient dans le car ont convergé toute la matinée vers la caserne de pompiers de la ville, toute proche des lieux du drame. "Je veux savoir, je veux savoir!", crie une mère à son arrivée, au grand désarroi de la foule d'élus, responsables et journalistes présents sur place, qui tous peinent à réprimer leurs larmes.
 
Nul n'échappe à l'émotion. Un pompier s'éloigne, en pleurs, deux collègues lui tenant l'épaule. Un autre décrit "une scène de chaos, incroyable, indicible" à l'arrivée des secours devant le car, littéralement cisaillé sur tout le côté gauche par une ridelle du camion. Les visages sont fermés et les regards angoissés, quand un hurlement fait brutalement taire la rumeur de la foule. Un homme surgit dans la cour de la caserne, la tête entre les mains, et pousse encore un, puis deux cris glaçants. A l'abri des regards, la procureure de La Rochelle, Isabelle Pagenelle, vient d'annoncer aux familles les noms des jeunes victimes...

 
A Sud-Ouest, le maire de Rochefort a raconté que cette situation était très difficile à vivre. "C'est difficile à vivre à plusieurs titres en tant que maire de Rochefort, en tant que père de famille mais aussi à titre personnel : une dame que je connais vient de se jeter dans mes bras car son petit-fils est hélas dans la liste des victimes. (...) Hélas, la plupart des familles de victimes comprennent d'elles-mêmes la situation du fait qu'elles ne reçoivent pas de nouvelles de leur enfant quand elles cherchent à le joindre...."
 
"Les familles n'ayant pas de nouvelles de leurs enfants savaient à quoi s'en tenir"
 
Catherine Desprez, maire de Surgères, la commune où les jeunes se rendaient au lycée, qui s'est rendue sur les lieux du drame puis au Centre de secours avec les jeunes rescapés de l'accident, a assisté à l'arrivée des familles. Elle a également témoigné auprès de Sud-Ouest : "Elles avaient besoin de venir, de toucher leurs enfants, d'être rassurées. Les familles n'ayant pas de nouvelles de leurs enfants savaient à quoi s'en tenir. C'était terrible (...) Je ne pensais pas, en prenant ma fonction de maire, que je risquais d'avoir à vivre ce genre de situation. Le moment au centre de secours de Rochefort a été extrêmement touchant. Les enfants avaient du mal à dire leur émotion, ils avaient besoin d'être proches, comme s'ils ne voulaient pas se séparer."
 
En début d'après-midi, une chapelle ardente a été dressée dans le gymnase de Rochefort, près du port de plaisance où a eu lieu le drame. En l'absence des corps, transportés à l'institut médico-légal de Poitiers, de grands draps délimitent un espace où six tables sont symboliquement recouvertes d'un autre drap blanc. Les élus s'y relaieront pour l'accueil. Deux pupitres ont été installés pour ceux qui aimeraient laisser un mot et sera ouverte jusqu'à 20 heures ce jeudi.