lundi 30 novembre 2015

Un homme de 48 ans fauché par une voiture sur la VRU de Chambéry

Le drame est arrivé vers 15h40, ce dimanche 29 novembre, sur la Voie Rapide Urbaine de l'agglo de Chambéry. Un homme de 48 ans a été fauché par une voiture, juste après le Tunnel des Monts. Il a été tué sur le coup. 
A l'origine, l'homme qui a été tué conduisait une voiture, dans le sens Grenoble-Aix. Il a reçu un appel téléphonique et s'est arrêté sur la bande d'arrêt d'urgence. Sans mesurer le risque, l'automobiliste est descendu, son portable à l'oreille. Il a alors marché sur la route et a été fauché par une voiture qui arrivait. Même à 90km/h, le choc aura été fatal. Son fils, âgé de 16 ans, qui a assisté à la scène, était en crise de panique à l'arrivée des secours. L'adolescent a dû être transporté en urgence à l'hôpital de Chambéry. C'est une famille de Saint-Alban-Leysse qui est meurtrie par ce drame.

L'accident a engendré la fermeture de deux voies de la VRU, le temps de l'intervention des pompiers. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/savoie/chambery/un-homme-de-48-ans-fauche-par-une-voiture-sur-la-vru-de-chambery-865853.html

Meuse : un corps découvert dans l’incendie d’une habitation à Ribeaucourt

Il était un peu plus de 23 h 20, samedi, lorsque le centre de traitement de l’alerte (CTA) du Service départemental d’incendie et de secours de la Meuse a été informé qu’un corps de ferme était la proie des flammes au cœur de la petite commune de Ribeaucourt (110 habitants), à hauteur du 6 rue Ruotte.
Sur place, une quarantaine de sapeurs-pompiers venus des centres de Ligny-en-Barrois, Montiers, Dammarie, Gondrecourt, Stainville, Vaucouleurs, Commercy, Pierrefitte, Lacroix-sur-Meuse (PC) et Ancerville (infirmier), coordonnés par le commandant Benoît Lebrun, chef de colonne du Sud meusien, ont lutté contre cet incendie en déployant la grande échelle et cinq lances, certaines alimentées par l’Orge, un affluent de la Saulx bordant le quartier.
« Toute l’habitation était embrasée à notre arrivée. On a réussi à stopper la propagation du feu à une maison mitoyenne et on a débuté nos reconnaissances. Pour l’heure, une personne manque à l’appel dans l’habitation, on va regarder jusqu’où on peut aller », indiquait vers 1 h du matin l’officier de permanence. Dotés d’appareils respiratoires isolants, les soldats du feu ont débuté leur délicate progression au milieu des décombres en déblayant au fur et à mesure des poutres calcinées et un nombre impressionnant de rails métalliques, formant un monticule de tôle sur le côté de la maison.

Un corps retrouvé dans les gravats

La terrible nouvelle est arrivée vers 3 h 20 avec la découverte d’un corps dans une chambre située à l’arrière de l’habitation. Le corps d’un homme extrait des gravats vers 5 h pour être transporté à l’hôpital de Verdun où il doit être examiné par le médecin légiste en vue d’une identification formelle.
Le corps de ferme était habité par un homme de 62 ans qui venait de prendre sa retraite d’une entreprise de bâtiment installée dans la localité. « Il y a travaillé quand j’étais gérant, puis quand mon fils a repris la société. Il aimait bricoler la mécanique », témoigne le maire de Ribeaucourt, Luc Breuil, présent sur les lieux. La voiturette du propriétaire se trouvait stationnée devant la maison, une caravane garée dans la grange.
L’enquête, menée par les gendarmes de la communauté de brigades de Ligny-en-Barrois, tentera d’établir l’origine du sinistre, pour l’heure indéterminée. Des techniciens en investigation criminelle de Bar-le-Duc doivent se rendre sur place dans la journée pour procéder à différents relevés qui pourraient éclairer les circonstances exactes de ce drame.

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-bar-le-duc/2015/11/29/meuse-un-corps-decouvert-dans-l-incendie-d-une-habitation-a-ribeaucourt

dimanche 29 novembre 2015

Estrée-Blanche : accident mortel Chaussée Brunehaut

Un Estrée-Blanchois de 27 ans a trouvé la mort ce dimanche, peu avant 4 h 30, dans un accident de voiture, alors qu’il remontait la Chaussée Brunehaut

Les sapeurs-pompiers d’Aire-sur-la-Lys, puis de Saint-Omer, sont intervenus ce dimanche, à 4 h 22, Chaussée Brunehaut, à Estrée-Blanche pour un accident de voiture. Pour une raison encore inconnue, le conducteur, un Estrée-Blanchois de 27 ans, a perdu le contrôle de son véhicule, et en a été éjecté. À l’arrivée des secours, il était en arrêt cardiaque. Les sapeurs-pompiers n’ont malheureusement pas réussi à le ranimer.
http://www.lavoixdunord.fr/region/bruay-la-buissiere-et-ses-environs/estree-blanche

Belfort : un bébé gravement blessé dans une collision entre une voiture et le vélo de sa maman

Un bébé qui serait âgé de 2 ans et demi, a été gravement blessé avec sa maman cet après-midi, aux alentours de 16 h après avoir été heurté par une Peugeot 106 conduite par un jeune homme immatriculé dans le Doubs.
L’enfant et la maman circulaient sur un vélo et les circonstances de l’accident, qui s’est déroulé place Corbis, en plein centre de Belfort alors que beaucoup de passants étaient présents, ne sont pas totalement déterminées.
Le bébé et sa mère ont été pris en charge par les pompiers de Belfort Nord et les services du Smur et ont été transportés au Centre hospitalier.
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2015/11/28/belfort-un-bebe-gravement-blesse-dans-une-collision-entre-une-voiture-et-le-velo-de-sa-maman

samedi 28 novembre 2015

Un jeune rugbyman de 23 ans se tue dans une sortie de route

Vendredi matin, un conducteur de 23 ans a perdu la vie dans une sortie de route, sur la route reliant Pujols à Sainte-Colombe. C'est la 37e victime de la route en 2015.
La sortie de route mortelle qui a eu lieu dans la nuit de jeudi à vendredi, sur la commune de Pujols, porte à 37 le nombre de personnes tuées sur la route en Lot-et-Garonne depuis le début de l'année. Il est aux environs de 3 heures du matin lorsque les sapeurs-pompiers et les policiers sont appelés à intervenir sur la RD 118, qui relie Pujols à Sainte-Colombe-de-Villeneuve, juste après la Maison familiale et rurale. Une voiture, qui a fait plusieurs tonneaux, est sur la chaussée. À l'intérieur du véhicule, le conducteur, Yann Robert, 23 ans, habitant à Madaillan et dont les parents résident à Sainte-Livrade-sur-Lot, est décédé. Les secours tenteront de le réanimer, en vain. Selon les premières constatations, la voiture, qui circulait en direction de Sainte-Colombe-de-Villeneuve, a effectué une sortie de la route dans un virage à droite. Elle a continué sa course dans un profond fossé. Là, le véhicule entre en collision avec une souche d'arbre. Sous la violence du choc, il fait plusieurs tonneaux et finit sur le toit sur la RD 118.

«Effondrés»

L'enquête ouverte par les policiers tentera de déterminer les causes exactes de ce nouveau drame de la route. Le troisième accident mortel sur la circonscription de Villeneuve-sur-Lot depuis le début de l'année. Yann Robert était joueur de rugby, demi d'ouverture au club quinziste de Sainte-Livrade-sur-Lot. «Nous sommes effondrés, confiait, hier matin, le président Guy Chaveroux avec des sanglots dans la voix. C'est une grande perte pour le club. C'est très, très dur. C'est plus qu'un choc. Yann était un gosse adorable. Son frère joue avec lui dans l'équipe. Yann est au club depuis l'école de rugby. C'était un enfant du pays. C'est le deuxième jeune rugbyman que nous perdons dans un accident de la route en presque trois ans». Le 31 mars 2013, Jimmy Chabail perdait la vie à l'âge de 22 ans, dans une collision sur la RD 911 (l'accident avait fait une autre victime, un Templais de 62 ans). «C'est une hécatombe. Je suis au stade Trussant, les joueurs arrivent les uns après les autres. Nous sommes ensemble pour parler, pour se recueillir. Tout le monde pleure. Nous devions aller jouer ce week-end à Saint-Astier, en Dordogne. Je viens d'avoir le président de Saint-Astier, qui compatit à notre peine. Le match est reporté».
 

vendredi 27 novembre 2015

Lot-et-Garonne : un jeune homme de 23 ans tué dans un accident de la route

L'accident a eu lieu ce vendredi, vers 3 heures du matin, sur la commune de Pujols. Depuis le début de l'année, 37 personnes ont été tuées sur les routes du département
Un accident de la route a eu lieu ce vendredi matin, vers 3 heures, sur la commune de Pujols. Un automobiliste, qui circulait sur la départementale 118, en direction de Sainte-Colombe-de-Villeneuve, a, pour une raison inconnue, perdu le contrôle de son véhicule avant de faire plusieurs tonneaux et de s'immobiliser en contrebas de la Maison familiale rurale.
C'est un autre automobiliste qui l'a découvert et a prévenu les sapeurs-pompiers. A leur arrivée, le conducteur, un jeune homme de 23 ans habitant à Madaillan et dont la famille est originaire de Sainte-Livrade-sur-Lot, était piégé dans la voiture. Il est décédé sur place. 
Cet accident porte à 37 le nombre de tués sur les routes du département depuis le début de l'année. 

http://www.sudouest.fr/2015/11/27/lot-et-garonne-un-jeune-homme-de-23-ans-tue-dans-un-accident-de-la-route-2199421-3807.php

Hommage national : "Quand on a que l'amour" de Brel par Camelia Jordana, Yaël Naïm et Nolwenn Leroy

jeudi 26 novembre 2015

Attentats à Paris: Trois choses à savoir sur la cérémonie d'hommage national de vendredi

Deux semaines après les attentats du 13 novembre, qui ont fait 130 morts et 352 blessés à Paris et Saint-Denis, une cérémonie d’hommage national présidée par François Hollande aura lieu vendredi à Paris, dans la cour de l’hôtel national des Invalides, dès 10 h 30.

1. Un programme « sobre »

La cérémonie, qui se veut « très sobre », débutera par les honneurs militaires. Puis les noms des victimes seront lus. Le chef de l’Etat prononcera ensuite un discours. « A travers son hommage aux victimes, il rendra aussi hommage à une génération », celle du Bataclan et des terrasses des cafés de l’Est de Paris mitraillés par les terroristes où la moyenne d’âge était de 35 ans, précise l’entourage de François Hollande.
Enfin, la cérémonie s’achèvera par une Marseillaise.
Certains internautes ont interrogé la Police nationale via Twitter, tandis que d’autres ont créé des pétitions pour qu’un hommage soit également rendu à Diesel, la chienne du Raid tuée lors de l’assaut de Saint-Denis. Cela ne sera pas le cas lors de cette cérémonie, a précisé l’Elysée à 20 Minutes.

2. Un public nombreux

Les proches des 130 victimes ont été conviés ainsi que les 352 blessés. Parmi ces derniers, ceux dont l’état de santé le permet feront le déplacement. Tous seront installés dans une longue tribune érigée dans la cour dhonneur des Invalides.
>> A lire aussi : Dix jours après les attentats, comment vont les blessés ?
Des représentants des forces de sécurité et de secours mobilisés sur les lieux des attaques terroristes le 13 novembre ont aussi été invités.
En outre, « l’ensemble des autorités de l’Etat prévues par le protocole de la République, le corps diplomatique et l’ensemble des dirigeants des partis politiques » seront présents, selon la présidence.
Au total, « plus d’un millier de personnes seront présentes aux Invalides », a précisé mercredi le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll. Comme « tout le monde ne pourra pas venir aux Invalides », François Hollande a indiqué lors du Conseil des ministres « que chaque Français pourrait participer aussi [à la cérémonie] en ayant la possibilité de pavoiser son lieu d’habitation avec un drapeau bleu blanc rouge, les couleurs de la France ».

3. Des familles de victimes boycottent la cérémonie

Si « la très grande majorité » des familles des victimes et des rescapés des attentats assisteront à l’événement, selon l’Elysée, des proches ont annoncé publiquement qu’ils boycotteraient la cérémonie. Emmanuelle Prévost, la sœur de François-Xavier Prévost, l’une des 90 personnes tuées au Bataclan, a publié lundi un appel au boycott de l’événement. Mercredi, le père d’Aurélie de Peretti, 33 ans, abattue dans la salle de concert parisienne, a également annoncé qu’il ne se rendrait pas à l’hommage national.
La cérémonie sera filmée par les caméras du ministère de la Défense et ces images seront retransmises par plusieurs chaînes de télévision. Vous pourrez bien sûr suivre cet hommage national en direct sur 20 Minutes, grâce à notre journaliste sur place

http://www.20minutes.fr/societe/1738419-20151126-attentats-paris-trois-choses-savoir-ceremonie-hommage-national-vendredi

Mort d'un soldat français des forces spéciales au Mali

Un sergent-chef du Commando Parachutiste de l'Air numéro 10 a succombé à des blessures subies le mois dernier, dans la nuit de mercredi à jeudi, a annoncé l'Elysée dans un communiqué.

Il avait été grièvement touché avec deux soldats "alors que son véhicule avait sauté sur une mine posée par des groupes terroristes" le 13 octobre. Un sergent-chef du Commando Parachutiste de l'Air N°10, basé à Orléans-Bricy, a succombé à ses blessures dans la nuit de mercredi à jeudi, a annoncé l'Elysée dans un communiqué. Un décès que François Hollande a appris "avec une grande tristesse".
 
Le président "exprime son profond respect pour le sacrifice de ce sous-officier des forces spéciales" et souligne "le courage" et "l'efficacité" des soldats français engagés aux côté de l'armée malienne et des forces de l'Onu. L'opération Barkhane compte 3.500 militaires français, dont environ 1300 au Mali. Elle est concentrée sur la lutte, notamment transfrontalière, contre les groupes jihadistes.

 
Elle a succédé à l'opération Serval, lancée en janvier 2013 pour traquer les groupes islamistes armés liés à Al-Qaïda qui occupaient depuis plus de neuf mois le nord du Mali. Le décès de ce soldat porte à dix le nombre de soldats français morts aucombat au Mali dans ces opérations. Fin août, un soldat de 23 ans était par ailleurs décédé à la suite d'un "tir accidentel" effectué par l'un de ses camarades dans l'enceinte d'un campde la force Barkhane, à Gao.
 

mercredi 25 novembre 2015

Deux-Sèvres : une conductrice décède dans un accident de la route

L'accident mortel s'est produit hier soir vers 21h30 sur la départementale 949 bis, au lieu-dit "La peupleraie" sur la commune du Tallud dans les Deux-Sèvres. Une conductrice âgée de 53 ans a quitté la route pour aller s'encastrer dans un arbre.
Chaussée glissante ou erreur de conduite ? Les gendarmes de Parthenay ne peuvent expliquer les raisons qui ont conduit cette automobiliste qui habitait dans la commune du Tallud (79) à sortir de la route la nuit dernière.

Selon leur constatation, le véhicule, une Peugeot 406, circulait dans le sens Parthenay/Le Tallud lorsqu'il a mordu sur le bas-côté droit de la route avant d'aller percuter plusieurs balises en bois et finir sa course contre un arbre.

Sur place, les sapeurs-pompiers de Parthenay ont dû désincarcérer le corps de la conductrice qui a été déclarée décédée par les médecins urgentistes

http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/deux-sevres/deux-sevres-une-conductrice-decede-dans-un-accident-de-la-route-862509.html

Accident mortel route du pré Saint-Yrieix à Condat-sur-Vienne

Les secours sont intervenus ce mercredi matin vers 8 heures route du pré Saint-Yrieix à Condat-sur-Vienne pour un accident de la circulation qui a fait une victime. 
Un jeune homme d'une vingtaine d'années qui est décédé des suites de l'accident, ont indiqué les pompiers du SDIS de la Haute-Vienne.
Selon les premières éléments, la victime roulait à vive allure. Sa voiture s'est encastrée dans un arbre. Aucun autre véhicule n'est impliqué.
La route, qui se situe entre la départementale 11 et la rue de Solignac, est actuellement coupée dans les deux sens à la circulation.

Nancy : vos hommages à Marie, victime des attentats

Les attentats de Paris ont suscité une émotion immense, avec un fort retentissement à Nancy d’où était originaire Marie Mosser, 24 ans, tuée au Bataclan. Vous étiez nombreux à vouloir lui rendre hommage et, à travers elle, à toutes les victimes de la barbarie.
L’Est Républicain avait décidé en fin de semaine dernière de vous ouvrir ainsi ses colonnes et d’abord sa page Facebook Nancy pour exprimer vos hommages. Vous avez été près de 1300 à saluer la mémoire de la jeune femme. Vous avez été plus de 400 à écrire des messages d’adieu à Marie, des témoignages de solidarité avec ses proches.
Ces « posts » multiples attestent du choc provoqué par ces attentats. Dès le 13 novembre des milliers de messages avaient circulé sur les réseaux pour tenter d’obtenir des informations sur Marie dont on était sans nouvelle.
La suite, on la connaît. Tragique. Si le cas de Marie Mosser, dont les obsèques ont été célébrées à Nancy lundi, a ému au-delà des frontières, c’est que la jeune fille était belle, pétillante, pleine d’avenir, passionnée de musique, de communication digitale. Et elle symbolise, bien malgré elle, une génération meurtrie par des assassins aveugles dont la folie n’a pas de limite.
Nombre d’entre vous l’ont d’ailleurs écrit : Marie, « on ne te connaissait pas. Mais on a l’impression de t’avoir toujours connue ». Et l’on comprend bien que chacun partage le chagrin des familles des 129 autres victimes des attentats et la souffrance des blessés.
Vous trouvez tous injustes ces jeunes vies fauchées trop tôt. Vous trouvez terrifiant la perte d’un enfant. Et vos condoléances à la famille sont fortes en émotion.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2015/11/25/nancy-vos-hommages-a-marie-victime-des-attentats

mardi 24 novembre 2015

Témoignage des parents de Grégory tué à Echirolles

Grégory Baharizadeh, 18 ans, presque 19, a été tué de quatre coups de couteau à la gorge. C'était le 5 novembre dernier, à Echirolles. Son agresseur, un adolescent, a été écroué. Les parents de Grégory évoquent aujourd'hui un soulagement après cette arrestation, mais parlent aussi de leur douleur. 
"Tout ça pour un mauvais regard", Bahram Baharizadeh, le père de Grégory reprend les mots de la chanson de Calogero quand il évoque le massacre de son fils. Il compare même sans cesse la mort de son fils à celles de Kevin et Sofiane. "Il faut que ça s'arrête, des gamins qui se promènent avec des flingues, des couteaux, et qui les sortent pour un oui, pour un non, qui prennent la vie à un jeune homme", ajoute le père meurtri.
Christine Ballanza, la mère, parle, elle, d'une douleur incessante au bas du ventre. "On m'a arraché mon fils", lance la femme dans un sanglot. Puis c'est l'éducatrice de profession qui reprend le dessus. Dans son métier, elle dit croiser de nombreux délinquants et avoue "qu'elle n'a pas de haine parce que c'est un enfant, et je le plains même, parce qu'il va souffrir encore plus que nous, parce que moi je me raccroche aux 19 années de bonheur que mon fils m'a procuré."
Christine a eu chaud au coeur quand elle a vu Echirolles se lever pour se souvenir de Grégory. Une marche blanche qui a réconforté la famille entière, car "Grégory était un enfant irréprochable". Dans un dernier élan, la mère se souvient: "il a fait de moi la maman la plus heureuse, c'est grâce à lui que je suis devenue mère." A leurs côtés, il reste Alexis, un adolescent qui semble soutenir ses parents de toutes ses forces. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/isere/grenoble/temoignage-des-parents-de-gregory-tue-echirolles-861421.html

Nancy : l'émouvant adieu à Marie, victime des attentats

Intense émotion ce lundi matin à Nancy où étaient célébrées à la Basilique du Sacré-Coeur les obsèques de Marie Mosser, tuée au Bataclan lors des attentats de Paris. Plus de 800 personnes ont rempli l'édifice religieux, certains n'hésitant pas à rester debout pendant 1 h 45 pour rendre un hommage poignant à la jeune Nancéienne de 24 ans dont la jeunesse et l'enthousiasme, fauchés par la folie terroriste, témoignent d'une génération touchée en plein cœur.
Signe fort de la compassion de toute une ville, le bourdon de la Basilique du Sacré Coeur, la plus grosse cloche de Nancy, a sonné à la fin de la cérémonie, lors de la sortie du cercueil. Ce "bourdon" ne résonne que pour des événements exceptionnels comme la mort ou la nomination d'un pape.
La foule, parmi laquelle avaient pris place plusieurs personnalités, était en tout cas émue aux larmes lors de cette cérémonie célébrée par le père Michel Sebald. Une cousine de Marie a lu un poème, des amies ont parlé du "sourire et de l'amour de la vie" de la jeune femme, des collègues d'Universal ont souligné sa "douceur et son caractère pétillant" avant que des luminions ne soient posés sur son cercueil.
 La maman de la "petite Marie", comme beaucoup l'ont appelée, a, dans les larmes, tenu à parler de son "ange" qui avait fait sienne la devise chère à tous les Nancéiens : "Le bonheur consiste à faire des heureux". Son papa a également pris un instant la parole : "Je ne pourrai jamais pardonner à ceux qui t'ont assassinée. J'espère que le bonheur que tu m'as apporté, Marie, me permettra de ne pas sombrer dans la colère et la haine, de trouver le chemin de la paix".
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2015/11/23/nancy-l-emouvant-adieu-a-marie-victime-des-attentats

lundi 23 novembre 2015

Nord : cinq adolescents drogués percutent mortellement une fillette de huit ans

Un terrible drame s’est produit samedi après-midi à Saint-Pol-sur-Mer, près de Dunkerque (Nord), rapporte La Voix du Nord. Une petite fille de 8 ans est morte percutée par une voiture alors qu’elle traversait la route avec sa mère. Elle a été emmenée en urgence à l’hôpital mais n’a pas survécu à ses blessures.

Sous l'emprise de stupéfiants

Le conducteur de la voiture, âgé de 17 ans, s’est rendu à la police alors que les quatre occupants, dont trois mineurs, prenaient la fuite. Ils ont été interpellés peu de temps après par les forces de l’ordre et placés en garde à vue. Selon la Voix du Nord, les cinq jeunes hommes étaient tous sous l’emprise de la drogue au moment des faits. Le conducteur aurait perdu le contrôle de son véhicule dans un rond-point et aurait heurté la petite fille. Il a été mis en examen pour « homicide involontaire sous l’emprise de stupéfiants », alors que ses amis vont être jugés pour « non-assistance à personne en danger ».
http://www.ladepeche.fr/article/2015/11/23/2223052-nord-cinq-jeunes-voiture-tuent-fillette-huit-ans.html

Montpellier : il tue son gendre à l'arme blanche

D rame familial dimanche soir dans la rue à La Paillade. La victime avait 31 ans.
Un drame familial a fait un mort, dimanche soir, en pleine rue à Montpellier. Vers 17 h 45, une altercation a éclaté sur la dalle du Grand Mail, dans le quartier populaire de La Paillade, entre un homme de 31 ans et son beau-père, qui serait âgé d'une cinquantaine d'années. Devant un commerce, le ton s'est envenimé entre les deux protagonistes, tous deux du quartier, et le quinquagénaire aurait alors porté un coup de couteau à son gendre. Mais ce seul coup de lame dans le thorax a frôlé ou touché le myocarde.
La victime évacuée vers le Dar
Les sapeurs-pompiers de la caserne voisine sont rapidement arrivés sur les lieux. Ils ont procédé à des massages cardiaques avant d'évacuer la victime vers le DAR (département d'anesthésie et de réanimation) de l'hôpital. Le Montpelliérain, ouvrier dans la pose de rails ferroviaires, a succombé à sa blessure peu avant 20 h. Les policiers ont rapidement interpellé le suspect numéro un ainsi que son fils, un des principaux témoins.

"C'est un père honnête, il a défendu sa famille"

"Un homme est mort, un père et son fils sont en garde à vue, l'enquête commence", a commenté hier soir, Christophe Barret, le procureur de Montpellier. Que s'est-il passé ? Selon divers témoignages recueillis au Grand Mail, les relations n'étaient pas bonnes entre le défunt et sa compagne avec qui il avait deux enfants ; ils étaient même séparés selon certains. D'autres évoquent un comportement violent de la victime contre son ex-compagne. Ce que n'aurait pas supporté le mis en cause, un grutier sans histoire : "On n'arrive pas à y croire, c'est un père honnête, y'a pas plus travailleur que lui, il a défendu sa famille", avance un jeune du Grand Mail.

http://www.midilibre.fr/2015/11/22/il-tue-son-gendre-d-un-coup-de-couteau,1246301.php

dimanche 22 novembre 2015

Finistère: 3000 personnes pour un hommage

Près de 3000 personnes ont défilé aujourd'hui à Concarneau (Finistère) pour rendre hommage à Estelle Rouat, 25 ans, tuée dans l'attentat du Bataclan le 13 novembre à Paris, originaire de la commune.

En tête de cortège, des cousins portaient une grande photo de la jeune femme, souriante. Le défilé a été marqué par plusieurs salves d'applaudissements, et quelques notes de musique bretonne. Des livres de condoléances avaient été disposés sur une table, près de la mairie.

"Voir autant de monde, ça prouve que la vie continue, et qu'il faut se battre, il ne faut pas laisser la barbarie gagner, il faut continuer à vivre, que l'on sorte, que l'on continue à écouter de la musique", a déclaré à la presse un oncle d'Estelle, qui avait pris l'initiative de ce rassemblement. "Bien sûr qu'il y a de la haine", a-t-il ajouté, "mais il ne faut pas laisser la haine prendre le dessus".

"Estelle aimait rire, s'amuser", a expliqué une participante qui défilait avec un nez rouge de clown: "C'est pour cacher ma tristesse, qu'Estelle voie que l'on est souriants, pas tristes, et on va continuer à vivre pour elle." Estelle Rouat, originaire de Concarneau, était professeure d'anglais dans un collège de Colombes (Hauts-de-Seine).

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/11/22/97001-20151122FILWWW00143-finistere-3000-personnes-pour-un-hommage.php

Accident mortel à Schiltigheim : une marche blanche en hommage à la cycliste tuée


Accident mortel à Schiltigheim : une marche blanche en hommage à la cycliste tuée

Saint-léon: un motard tué sur la route

Un homme de 39 ans a perdu la vie, hier en début d'après-midi, à Saint-Léon, sur la D19. L'accident s'est produit peu après 13 heures. Cet homme dont l'identité n'était pas connue aurait perdu le contrôle de sa moto qui a fini sa course en contrebas d'un fossé. Le pilote est décédé sur le coup.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/11/22/2222446-saint-leon-un-motard-tue-sur-route.html

Attentats : Louis, 5 ans, a survécu au drame du Bataclan

Louis n'oubliera jamais cette soirée du 13 novembre 2015. Comme de nombreux spectateurs, le petit garçon était au Bataclan pour assister au concert des  Eagles Death of Metal lorsque des terroristes ont ouvert le feu dans la salle. Accompagné par sa maman Elsa Delplace, âgée de 35 ans, et sa grand-mère Patricia San Martin, 61 ans, le petit garçon a été retrouvé sain et sauf à l'hôpital de Vincennes dans le Val-de-Marne recouvert du sang de sa mère qui lui a servi de bouclier humain a rapporté Le Point. Les deux femmes en revanche n'ont pas survécu à l'attaque : "Il nous a dit avoir entendu des coups de feu et s'être caché avant de s'échapper" a confié Maria Eliana, la sœur de sa grand-mère avant de donner plus de détails sur la maman du petit garçon, petite-nièce de l'ambassadeur du Chili au Mexique : "Elle était française, mais elle aimait le Chili, elle disait qu'elle voulait venir au Chili, qu'elle était française par accident, mais qu'elle était aussi chilienne".
Pour Sihem Souid, une de ses amies également journaliste au Point, "Elsa était une personne joyeuse qui gardait toujours le sourire aux lèvres, même dans les moments difficiles et elle s'est toujours souciée du bien-être des autres. Elle était engagée dans le monde associatif, culturel et artistique. Elle jouait brillamment du violoncelle. Elle était toujours vent debout contre toutes les formes d'injustice".
Patricia quant à elle officiait en tant que fonctionnaire de la ville de Sevran, en plus de ses activités à la CGT : "Elle était passionnée et convaincante, c'est une page de presque vingt ans qui se tourne, je n'arrive pas à y croire" a confié Baptiste Talbot l'un des ses amis de la CGT de Sevran.
http://www.telestar.fr/

samedi 21 novembre 2015

Accident sur l'A10 à Châtellerault : 1 mort et 3 blessés dont un grave

Vers 19h15 vendredi 20 novembre, un accident a eu lieu sur l'A10 au niveau de Châtellerault dans la direction de Paris. Un seul véhicule qui transportait 4 personnes est impliqué. L'un d'entre eux était incarcéré dans le véhicule et les 3 autres ont été éjectés. L'accident a fait 1 mort et 3 blessés dont un grave.

Selon La Nouvelle République, il s'agit d'une famille originaire de Villeneuve-Saint-Georges en région parisienne. Une jeune fille de 20 ans est décédée dans l'accident. Son père, lui, est grièvement blessé. Les deux autres passagers : le fils du conducteur âgé de 12 ans et une amie de la victime âgée de 18 ans, sont blessés mais sains et saufs.

La voiture aurait fait plusieurs tonneaux.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/vienne/chatellerault

Pertes de contrôle : un bébé et un retraité tués dans 2 accidents

Deux nouveaux accidents dramatiques se sont produits, hier, sur les routes de Haute-Garonne. Il était aux alentours de 13 h 15, sur la route départementale 8, à Huos, entre Martres-de-Rivière et le rond-point de Seilhan, lorsqu'un homme de 87 ans a perdu le contrôle de sa voiture alors qu'il circulait en direction de Gourdan-Polignan.
Le véhicule s'est encastré dans un platane situé le long de la route. Malgré leur arrivée rapide et leurs efforts, les sapeurs-pompiers n'ont malheureusement pas pu ranimer la victime.
Selon les premiers éléments, il semble que le conducteur soit mort sur le coup. Il était seul à bord de sa voiture.
Les hommes de la gendarmerie se sont rendus sur place où ils ont procédé aux constatations d'usage. La victime a-t-elle été prise d'un malaise ? S'agit-il d'une défaillance technique ? Un événement extérieur est-il à l'origine de cette perte de contrôle ? L'enquête de gendarmerie devra le déterminer. Hier, l'identité de la victime n'avait pas été communiquée.
Par ailleurs, nous avons appris hier soir la mort d'une fillette d'un an et demi, suite à un accident de la circulation, route de Tournefeuille à Cugnaux. Pour une raison inconnue, sa mère a perdu le contrôle de sa voiture vendredi matin et a heurté une buse en béton. Transporté à l'hôpital, l'enfant n'a pas survécu malgré les soins prodigués. La mère avait dû être désincarcérée du véhicule.
Ces nouveaux drames portent à quarante-sept le nombre de victimes d'accidents depuis le 1er janvier sur les routes de Haute-Garonne. En 2014, 51 personnes avaient perdu la vie dans des circonstances similaires.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/11/21/2222019-pertes-controle-bebe-retraite-tues-2-accidents.html

vendredi 20 novembre 2015

Landes : une mère de famille tuée sur la route

L'accident s'est produit vers 20h30, à Estibeaux, en Chalosse.  Sa fille, âgée de 12 ans, a été très légèrement blessée au coude
Une femme de 49 ans, domiciliée à Saint-Paul-lès-Dax, a perdu la vie dans un accident de voiture, jeudi soir, sur la commune d'Estibeaux, en Chalosse. Pour une raison qui reste à déterminer, vers 20h30, elle a  perdu le contrôle de son véhicule au niveau du rond-point de Pomarez sur la RD947 (la route qui relie Dax à Orthez).
Le véhicule a fait plusieurs tonneaux. Les pompiers d'Habas et de Dax qui sont intervenus sur place ont dû la désincarcérer mais n'ont pu que constater son décès.
Sa fille, âgée de 12 ans, présente également à bord, a été très légèrement blessée au coude. Elle a malgré tout été conduite au centre hospitalier de Dax.
http://www.sudouest.fr/2015/11/20/estibeaux-40-une-mere-de-famille-tuee-sur-la-route-jeudi-soir-2191974-3452.php

Nouveau drame au pont de Normandie. Un corps repêché

Un corps a été repêché par les sauveteurs de la SNSM d'Honfleur (Calvados) dans la Seine, à proximité du pont de Normandie, jeudi 19 novembre 2015
Encore une chute mortelle du pont de Normandie, jeudi 19 novembre 2015. Le corps sans vie d’un homme a été repêché dans la Seine, en milieu d’après-midi. L’hélicoptère de la Sécurité civile, Dragon 76, et la SNSM d’Honfleur ont été mobilisés. Deux vedettes ont participé aux recherches.
Un corps avait été retrouvé par un ornithologue au pied du pont de Normandie,
côté Seine-Maritime, lundi 9 novembre 2015. Il s’agirait d’un homme qui avait chuté le 26 octobre.
Dans la soirée du vendredi 2 octobre 2015,
un jeune homme âgé d’une vingtaine d’années était mort après avoir chuté du pont.
http://www.normandie-actu.fr/breves/nouveau-drame-au-pont-de-normandie-cet-apres-midi-un-corps-repeche_168133

jeudi 19 novembre 2015

L'incendiaire de la place Brisset s'est pendu

Découverte macabre faite par une passante hier matin entre 7 h 15 et 7 h 30. Elle a vu un homme pendu au pont situé près de la rue Pasteur. La gendarmerie a été prévenue aussitôt.
Âgé de 48 ans, le suicidaire est le coupable des trois incendies successifs survenus dans la nuit du 8 au 9 juin dernier à Hirson : celui de la place Brisset qui avait totalement détruit une habitation, l’autre dans un garage de la rue Dumas, un feu de poubelle devant l’hôpital. Les sinistres n’avaient pas fait de blessés.
Le pyromane avait été condamné début septembre par le tribunal de Laon à un an de prison avec sursis et il devait indemniser le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS). Les juges avaient tenu compte de ses troubles psychologiques. Il était suivi depuis lors par le Centre médico-psychologique d’Hirson.
http://www.lunion.com/node/599258

Pontarlier : il s’endort et meurt chez un autre

Un homme de 71 ans était porté disparu depuis la mi-octobre à Pontarlier. Signalé par sa famille qui habite à l’étranger, il n’avait plus donné signe de vie. La police a multiplié les recherches en surveillant son téléphone qui ne répondait plus et en interrogeant le voisinage.
Il a été retrouvé hier en milieu d’après-midi à trois pâtés de maisons de son domicile, tout près de la Porte Saint-Pierre où vit une dame âgée, ancienne enseignante et particulièrement appréciée du quartier pour préserver une ancienne vitrine de magasin de jouets.
Lors d’une visite, une personne de la famille de la résidente a souhaité fermer l’eau et s’est rendue tout au fond du jardin dans un cabanon. Elle a buté contre un obstacle, dans la pénombre, croyant qu’il s’agissait d’un mannequin. Elle a toutefois compris qu’il s’agissait d’un corps sans vie.
Il est probable que l’homme était décédé depuis près d’un mois au fond du cabanon.
Selon toute vraisemblance, étant en pleine confusion, il a confondu l’entrée de son domicile avec celle-ci. Il s’est dirigé tout au fond de la cour. Il aurait soigneusement disposé ses affaires avant de s’allonger. Il est certainement décédé d’un arrêt cardiaque au cours de la nuit.
Hier, les secours sont arrivés pour constater le décès. La police n’a relevé aucun élément permettant d’imaginer une autre piste que celle de la mort naturelle. Tout le quartier du centre-ville a été particulièrement ému de cette découverte macabre.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/11/18/pontarlier-il-s-endort-et-meurt-chez-un-autre

mercredi 18 novembre 2015

Il agresse ses voisins et trouve la mort sur la RN 83

Suicide ? Accident ? Les gendarmes du peloton de Sainte-Croix-en-Plaine tentent d’éclaircir les conditions dans lesquelles un sexagénaire de Bergheim a trouvé la mort lundi vers 21 h 30 sur la RN 83 à Guémar.
Quelques minutes plus tôt, l’homme âgé de 63 ans avait fait irruption chez ses voisins. Armé d’un maillet, il avait agressé sa voisine et son fils. Présentant une plaie au cuir chevelu, celle-ci a dû être transportée à l’hôpital.
Pour une raison inconnue, l’agresseur s’était présenté dans la cour des voisins. Il avait d’abord donné un coup de maillet à l’épaule du fils et a ensuite frappé la mère qui ouvrait la porte à ce dernier.

Appel à témoins

L’homme au maillet est ensuite parti au volant de sa Peugeot 206, retrouvée sur la bretelle de Guémar. Son corps sera retrouvé sur la voie rapide de la RN 83 en direction de Strasbourg.
Plusieurs véhicules l’ont heurté. La circulation a dû être neutralisée avant d’être rétablie sur une voie. Les gendarmes invitent les témoins à les contacter au ✆ 03 89 29 50 61.
Le sexagénaire devait comparaître hier devant le tribunal correctionnel de Colmar. Une autopsie doit être pratiquée dans les prochains jours
http://www.dna.fr/faits-divers/2015/11/18/il-agresse-ses-voisins-et-trouve-la-mort-sur-la-rn-83

La légende des All Blacks Jonah Lomu s'éteint à 40 ans

L 'ancien ailier néo-zélandais est décédé subitement ce mercredi à Auckland.
L'ancienne star du rugby Jonah Lomu, joueur légendaire des All Blacks dont la carrière a été interrompue par une maladie rénale, est décédé soudainement mercredi à Auckland (Nouvelle-Zélande) à l'âge de 40 ans, selon sa famille.
"Jonah Lomu est mort ce matin (...). C'était totalement inattendu, Jonah et sa famille étaient revenus du Royaume-Uni la nuit dernière", a déclaré à la chaîne TV3 le porte-parole de la famille, John Mayhew, avant de fondre en larmes.

63 sélections, 37 essais

Lomu avait honoré 63 sélections pour 37 essais entre 1994 et 2002 avec les Blacks. En Coupe du monde, il avait inscrit 15 essais en deux éditions, un record seulement égalé par le Sud-Africain Bryan Habana lors de la dernière édition, en Angleterre.
http://www.midilibre.fr/2015/11/18/la-legende-des-all-blacks-jonah-lomu-s-eteint-a-40-ans,1243671.php

mardi 17 novembre 2015

Bataclan : la fille de l'homme qui avait interpellé Valls est décédée

Dimanche, le père de Nathalie Jardin, sans nouvelles de sa fille depuis l'attentat contre la salle de concert, avait interpellé le Premier ministre devant les caméras. Le décès de la jeune femme a été annoncée par les médias lundi.
Elle était régisseuse lumière au Bataclan...  Nathalie Jardin, 31 ans, fait partie des 89 personnes décédées après les terribles attaques du Bataclan. "Nathalie Jardin, dont le père sans nouvelle avait interpellé Manuel Valls dimanche figure sur la liste des tués au Bataclan", a indiqué sur son compte Twitter, un journaliste de l'AFP. Selon La Voix du Nord, le père de la victime a reconnu le corps sa vie de sa fille dans la nuit de dimanche à lundi.
Dimanche, sans nouvelles de sa fille, Patrick Jardin avait interpellé Manuel Valls alors que celui-ci saluait les forces de l'ordre à la Gare du Nord. "Depuis deux jours, je ne peux même pas avoir de nouvelles de ma fille, qui était au Bataclan. Il n'y a personne qui soit capable de me donner des nouvelles de ma fille. C'est inadmissible !" avait-il déclaré. Après une discussion rapide en aparté, Manuel Valls a demandé à un de ses conseillers de prendre les coordonnées du père en vue de l'aider.
Page Facebook en mémoire

Originaire de Marcq-en-Baroeul, dans le Nord, Nathalie Jardin avait auparavant travaillé pour "Marcel et son orchestre" et les Fatals picards. Sur une page Facebook créée en sa mémoire, on voit une jeune femme blonde en tenue de plongée avec trois étoiles tatouées à l'avant-bras gauche.

"Nath tu me disais que Foo Fighters et Byffy Clyro, c'étaient des groupes qui chantaient comme des pédés, je cherchais des arguments et au final je n'en cherche plus", a par exemple écrit sur cette page Lou Sirkis, fille de Nicolas Sirkis, le leader du groupe Indochine. "Tu m'as pris sous ton aile pendant deux semaines au Bataclan pour les lumières et c'était génial", ajoute-t-elle.
 

Ychoux (40) : une vieille dame meurt écrasée par sa voiture

Ce lundi, peu avant midi, à Ychoux, une dame âgée de 78 ans a été tuée, écrasée contre un mur par son véhicule.
Arrivées sur les lieux, les sapeurs-pompiers de la commune n'ont rien pu faire pour sauver la vieille dame. Son décès a été constaté par le médecin du Service mobile d'urgence et de réanimation (Smur), lui ausi appelé sur les lieux du drame.
Selon les premières constations des gendarmes, la conductrice n'aurait pas serré son frein à main à la descente de son véhicule. L'accès au garage étant en légère pente, elle se serait retrouvée coincée par sa voiture contre un mur

http://www.sudouest.fr/2015/11/17/ychoux-40-une-vieille-dame-meurt-ecrasee-par-sa-voiture-2188404-3452.php

Un collégien tué par balle en Alsace

C’était l’heure de sortie des cours au collège d’Hégenheim, commune de 3.265 habitants située à quelques kilomètres de Saint-Louis, à la frontière suisse non loin de Bâle, dans le sud du Haut-Rhin. Comme tous les jours, une partie des collégiens était montée dans le bus devant se rendre dans le secteur de Ranspach. 35 jeunes se trouvaient à bord lorsqu’une déflagration a retenti. Au départ, tout le monde a cru à l’explosion d’un gros pétard dont le souffle aurait jeté une personne au sol. Les secours et les gendarmes ont immédiatement été alertés.

Élève de 5e

Sur place, dans le car, gisait un garçon de 12 ans. Élève de 5e dans l’établissement, il était en arrêt cardio-respiratoire. Les secours n’ont rien pu faire. Le collégien est décédé sur place. Un projectile se serait logé dans la partie supérieure de la cage thoracique.
Immédiatement toutes les mesures ont été prises afin de sécuriser les élèves dans le bus, mais aussi ceux présents dans l’établissement. Quasiment toutes les brigades de gendarmerie de la compagnie de Mulhouse, les brigades canines et l’ensemble des PSIG du Haut-Rhin ont été mobilisés. Un vaste périmètre de sécurité a été mis en place. L’objectif, comme l’a expliqué le procureur de la République de Mulhouse, Dominique Alzeari, était de préserver au maximum tous les éléments pouvant permettre de comprendre ce qu’il s’est passé dans le bus, de retrouver l’auteur du coup de feu et l’arme, d’éviter toute fuite mais également de s’occuper des parents qui commençaient à affluer au collège à la recherche de leur enfant.

Ménager les enfants

« Il faut les ménager, ce sont de tout jeunes enfants. »

Rien n’a filtré sur ce qui a pu se passer. Les gendarmes spécialisés examinent la scène de crime, recueillent un nombre très important de témoignages et examinent un certain nombre d’éléments, cherchant à savoir notamment si des enfants auraient pu voir quelque chose ou non. « Il faut les ménager, ce sont de tout jeunes enfants. Mais pour l’heure je suis dans l’impossibilité de confirmer ou d’infirmer quoi que ce soit », a déclaré Dominique Alzeari, le procureur de la République.
Aucune hypothèse n’a été avancée par le magistrat. « Je n’ai à ce stade de l’enquête aucun élément permettant de dire s’il s’agit de fait volontaire, involontaire, s’il s’agit d’un accident
Il a en revanche confirmé « qu’un autre élève, âgé de 13 ans, a été trouvé en possession d’une arme à feu lors des fouilles pratiquées par les gendarmes. Le jeune a été placé en garde à vue pour être entendu par les enquêteurs. » Là encore, le procureur s’est voulu très réservé : « Il est encore trop tôt pour dire si c’est bel et bien l’arme qui a été utilisée. »
Reste que le procureur a tout de même voulu, dans un contexte très tendu, souligner que « nous sommes clairement mais malheureusement dans un fait isolé, commis aux abords du collège mais sans relation avec toute autre forme d’excès ou de dérapage ou d’atrocités ». Des mots choisis pour dire que les faits, aussi dramatiques soient-ils, restent circonscrits au plan local.

Une cellule en place dès aujourd’hui au collège

L’inspectrice départementale de l’Éducation nationale, Anne-Marie Maire, également sur place, a indiqué qu’une cellule médico-psychologique était mise en place. « Il s’agit d’accueillir les enfants qui sont concernés par ce drame. Demain matin à la fois au collège et dans l’école de la sœur de la victime, nous mettrons en place avec nos équipes médico-sociales une cellule d’urgence pour échanger avec les enfants, pour pouvoir absorber les émotions et les aider à surmonter ce drame ».

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/11/17/un-collegien-tue-par-balle

lundi 16 novembre 2015

Hugo, 23 ans, abattu au Bataclan

Bien dans sa peau, bien dans sa vie, comme le disent ses proches, Hugo Sarrade avait 23 ans.
«Il avait à peine deux ans quand j'ai écrit ma thèse : il était sur mes genoux. Je lui ai donné le virus de l'informatique. Depuis, il m'avait dépassé. C'est dans la logique des choses qu'un fils dépasse le père. Pas qu'un père enterre son fils», souffle son papa, Stéphane Sarrade, 50 ans, directeur de recherche au CEA (commissariat à l'énergie atomique) à Saclay, en région parisienne, joint par Midi Libre. «Hugo avait une autre passion, le rock, malheureusement, puisque ça l'a amené au Bataclan. Il parcourait les festivals en France et en Europe. Hugo jouait lui-même de la guitare.»

«Il avait trouvé sa voie»

Abattu au Bataclan, Hugo fait partie des 132 victimes des attentats de Paris. Le jeune homme était étudiant en master en intelligence artificielle à la faculté des sciences de Montpellier. Ses parents sont divorcés. Sa mère, assistante maternelle, vit à Montpellier. Ses grands-parents maternels vivent à Grabels dans l'Hérault également.
Vendredi, Hugo a pris le train pour passer le week-end chez son père et entamé son week-end par le concert des Eagles of death metal. «Il n'était pas prévu que je le rejoigne ce soir-là car il se faisait un plaisir de revoir son père et son jeune demi-frère qu'il adorait. Mais on devait se voir samedi»… Son ami d'enfance Victor avec qui il fut un temps en colocation et qui habite à 200 mètres du Bataclan s'effondre en pleurs. Avant de reprendre : «Avec Hugo, on est des amis d'enfance. Il est arrivé à six ans à Montpellier avec ses parents d'Orange, où son père faisait sa thèse. Les Sarrade se sont installés à Montpellier en 1988. Ado, c'est collège et lycée Joffre. On n'est pas natifs de Montpellier mais on se sent Montpelliérains, raconte Victor qui décrit avec émotion son ami : «C'est un gars adorable, sans embrouille, à l'écoute des gens, très calme. Il y a 15 jours, on était revenus d'une semaine à Tokyo ensemble, au Japon, un pays qu'il aimait pour ses habitants, polis, attentionnés et cordiaux. Comme lui. Hugo avait une copine, Lise, avec laquelle il avait une vraie relation».
Stéphane Sarrade reprend : «Hugo avait beaucoup d'humour et de tendresse. C'était un garçon sans histoires, extrêmement ouvert sur les autres et les autres cultures ; il aimait les discussions, les débats. Il avait trouvé sa voie. Un équilibre. Lui et moi nous étions très proches».
Père et fils avaient parfois abordé la question du jihadisme, du terrorisme. «Il était persuadé que l'obscurantisme est notre pire ennemi. Au-delà du fait que cela maintient les gens dans la pauvreté, ça vous amène à la barbarie.»
«Les attentats de janvier à CharlieHebdo et à l'Hyper cacher l'avaient beaucoup affecté, se souvient le père d'Hugo. Il avait participé à la marche à Montpellier. À cette occasion, il avait compris que Charlie était jadis le creuset de réflexion de la jeunesse comme le sont les réseaux sociaux aujourd'hui. Comment aurait-il réagi à ces attentats ? Il aurait eu beaucoup de tristesse et de compassion. Il m'aurait dit : «Comment peut-on en arriver là ?» Et s'agissant des terroristes français qui y ont participé «Comment la France a-t-elle pu engendrer cela ?»
http://www.ladepeche.fr/article/2015/11/16/2218145-hugo-23-ans-abattu-au-bataclan.html

Attentats du 13 novembre : le visage des victimes à la Une de la presse mondiale

dimanche 15 novembre 2015

Attentats de Paris: l’hommage mondial aux victimes

A1 : accident mortel dans l'Oise, trois personnes sont décédées

L'accident a eu lieu ce matin vers 9h00 sur l'autoroute A1 dans le sens Lille-Paris, à hauteur de la commune de Brasseuse (60). Les trois personnes qui se trouvaient à bord du véhicule sont décédées
Un dramatique accident a eu lieu ce matin sur l'autoroute A1, à hauteur de la commune de Brasseuse (60). Les trois occupants du véhicule sont décédés. La voiture circulait sur l'autoroute A1 en direction de Paris, elle a percuté le rail avant de retomber plus bas sur une route départementale. 
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/a1-accident-mortel-trois-personnes-sont-decedees-853847.html

Attentats: Marie, Nancéienne de 24 ans est morte au Bataclan

Congrats @Emeahofficiel pour ton premier #EP ! Une vraie pépite à découvrir d’urgence ». Ce tweet c’est l’un des derniers de Marie Mosser, 24 ans, une passionnée de musique… Cette jeune femme, originaire de Nancy, est au rang des victimes fauchées par la folie terroriste lors du concert au Bataclan.
Depuis les attentats, les avis de recherche et les photos s’étaient multipliés sur les réseaux sociaux car Marie n’avait pas manifesté de signe de vie après l’assaut des forces de l’ordre qui ont neutralisé les assaillants. Des centaines de personnes s’étaient ainsi mobilisées sur Twitter pour relayer cet appel inquiétant.

Sans nouvelles au fil des heures

Dans la nuit, le site Celebrities in Paris pour lequel travaillait Marie avait diffusé l’avis sur les réseaux sociaux avant de le relancer au matin : « Nous sommes très inquiets pour notre collègue @mariemosser qui était au Bataclan hier soir, nous espérons qu’elle va bien ».
Le site, spécialisé dans l’actualité des stars de la capitale, se montrait au fil des heures de plus en plus préoccupé, d’autant que trois de ses collaborateurs se trouvaient au Bataclan. Le décès de l’un d’eux était annoncé un peu plus tard. Puis celui d’un second. Tous les amis de Marie voulaient encore croire au miracle : « Le cauchemar continue. Ce n’est pas un mais des collègues que nous perdons aujourd’hui. Nous gardons encore espoir concernant Marie ».
Mais la nouvelle est tombée, tragique, en fin d’après-midi. Ce décès éprouve une famille de Nancy où Marie avait fait ses études, notamment au lycée Poincaré. Ses amies de l’époque parlent d’elle comme « d’une jeune fille très souriante, avec beaucoup de caractère, incroyablement pétillante ». Et une ancienne lycéenne, effondrée, d’ajouter : « Elle était sublime ».
L’émotion est forte à Nancy. La jeune femme conservait de nombreuses amitiés dans la cité ducale où son papa est cadre à la Ville. Son enthousiasme lui avait permis d’intégrer le prestigieux label Mercury Music Group qu’elle avait quitté il y a quelques mois. Spécialiste en communication et marketing digital, elle collaborait à Celebrities in Paris. Samedi soir, des centaines d’internautes lui rendaient un hommage poignant.

http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2015/11/14/attentats-marie-nanceienne-de-24-ans-est-morte-au-bataclan

samedi 14 novembre 2015

Attentats à Paris: «Les Français vont devoir sacrifier des libertés individuelles»

Après les attaques terroristes qui ont frappé Paris vendredi soir, Vincent Desportes, haut gradé de l’armée de terre, répond à 20 Minutes. Ce Saint-Cyrien, auteur du récent livre La Dernière Bataille de France, est particulièrement critique vis-à-vis de la baisse du budget des armées.

Comment réagissez-vous à l’état d’urgence instauré en France ?

Nous sommes en guerre et le président de la République doit prendre les moyens conformes à cet état de guerre. Avec l’état d’urgence, les autorités ont plus de possibilité pour contrôler, assigner à résidence ou encore autoriser des perquisitions à domicile de jour et de nuit. Les Français doivent être conscients qu’avec ces attentats, ils vont devoir sacrifier une partie de leurs libertés individuelles.
EN DIRECT. Attentats à Paris: Le corps d'un assaillant français identifié au Bataclan

Comment jugez-vous les efforts mis en place après les attentats de Paris ?

Les moyens de sécurité ne sont pas à la hauteur de la menace. Là encore, des sacrifices sont à prévoir pour augmenter ces moyens. On ne peut revenir sur 25 ans de perte dans les armées en un claquement de doigt. La croissance des effectifs est mécaniquement lente et longue.

L’Elysée a annoncé la mobilisation de 1.500 militaires supplémentaires…

Les armées sont aujourd’hui au-delà de ses capacités. Elles ne sont plus ce qu’elles étaient, tant en capacité qu’en volume et c’est un drame. Elles sont surengagées à l’étranger et les matériels sont usés. Les militaires ne s’entraînent plus dans de bonnes conditions. La mobilisation de 1.500 militaires supplémentaires est ainsi un nouveau coup dur pour les armées. Il faudrait donc débloquer des moyens d’urgence pour elles…

Des militaires devraient-ils être rapatriés des opérations extérieures pour assurer la sécurité en France ?

La France ne peut renoncer aux opérations extérieures. Elle doit aller détruire à l’extérieur les sources des menaces intérieures. Le problème est que les armées fonctionnent déjà a minima. Environ 3.500 militaires déployés au Sahel et ce dispositif est déjà en deçà des besoins.

Pensez-vous que les politiques décisionnaires vont mettre le grand braquet ?

Les responsables politiques français doivent changer de politique extérieure et arrêtent de tergiverser avec le groupe terroriste Daesh. Ils doivent sortir d’une position morale. Ce ne sont ni le président syrien Bachar Al-Assad, ni le président russe Vladimir Poutine qui sont les ennemis, mais bien Daesh. C’est Daesh l’ennemi de la France et de la liberté.

Selon vous, comment l’Europe devrait-elle réagir après ces attaques ?

L’Europe doit enfin réagir et se mettre ensemble pour combattre le mal, car c’est dans son intérêt commun. Le problème est qu’aujourd’hui, il y a une divergence des intérêts et des sentiments différents sur l’origine de la menace. Quand les pays du nord de l’Europe pensent que le danger vient de l’est, les pays méditerranéens savent qu’il vient du sud. La France, comme porte-étendard de l’Europe, a été touchée vendredi. Il faut désormais que l’Europe se réveille car la vague de violences ne s’arrêtera pas et elle est liée à la crise des migrants.

Pouvez-vous préciser ?

Il y a un lien direct entre cette vague de violence et la crise des migrants. Les guerres en Syrie et en Irak sont à l’origine de cette vague migratoire et tant que le problème posé par Daesh ne sera pas réglé, cela ne s’arrêtera pas. Ensuite, il est probable que des combattants aient profité du flux migratoire pour atteindre l’Europe et frapper la France.

Pensez-vous qu’après ces attaques, les dirigeants français vont changer de politique sécuritaire ?

Les démocraties doivent être au fond pour changer efficacement. Et je pense que nous sommes arrivés au fond. Il faut que les politiques français aient enfin une stature d’hommes d’Etat et prennent les moyens nécessaires pour assurer cette lutte. Cela se fera évidemment avec des sacrifices. Mais cela doit être fait de manière intelligente, et non pas comme cela a été mené aux Etats-Unis après les attentats de 2001. Les Etats-Unis ont surréagi et ont conduit deux guerres qu’ils ont finalement perdues.

http://www.20minutes.fr/societe/1730463-20151114-attentats-paris-francais-vont-devoir-sacrifier-libertes-individuelles

Attentats Paris 13 Novembre 2015 | Soutiens aux familles | HD

EN DIRECT. Attaques en série dans Paris : au moins 120 morts, 8 assaillants morts, l'état d'urgence décrété

Au moins 120 personnes ont été tuées vendredi soir lors d'attaques simultanées à Paris et plus de 200 blessées. Les attaques ont eu lieu à proximité du Stade de France -par un kamikaze, une première en France-, au Bataclan -où il y a eu une prise d'otages- et dans les Xe et XIe arrondissements de la capitale. François Hollande a annoncé la mise en place de l'état d'urgence.
  
"C'est une horreur", a déclaré François Hollande lors d'une allocution télévisée depuis l'Elysée dans la nuit de vendredi à samedi. Paris a été vendredi soir la cible de sept attaques, manifestement coordonnées. Ces attaques sont survenues dans le Xe et le XIe arrondissement de Paris et dans le secteur du Stade de France où se déroulait un match amical France-Allemagne auquel assistait le président François Hollande.
  Ce que l'on sait : >>> Le dernier bilan, encore provisoire, fait état d'au moins 120 morts dont au moins 80 au Bataclan (où une prise d'otages a eu lieu alors qu'il y avait 1500 spectateurs), et au moins 200 blessés dont 80 grièvement.  >>> Les attaques ont été menées notamment par plusieurs kamikazes (une première en France) au Stade de France, dans la salle de spectacle du Bataclan (XIe arrondissement), où une prise d'otages a eu lieu, ainsi que sur cinq axes de quartiers du centre de Paris très fréquentés le vendredi soir : boulevard Voltaire, au coin de de la rue Bichat et de la rue Alibert, avenue de la République, boulevard Beaumarchais et rue Charonne. >>>Huit assaillants sont également morts, dans la salle de concerts et près du Stade de France, où se jouait un match de football France-Allemagne. Cette dernière attaque a été menée par un kamikaze, une première en France. >>>François Hollande a décrété l'état d'urgence et la fermeture des frontières. Il s'agit du "rétablissement des contrôles" aux frontières mais pas de "fermeture", a finalement annoncé l'Elysée. "Un conseil de défense a été convoqué ce samedi à 9h. D'ores et déjà 1500 militaires supplémentaires ont été mobilisés", a ajouté l'Elysée. Les établissements scolaires et universités sont fermés samedi et les déplacements scolaires suspendus partout en France. La mairie de Paris a décidé la "fermeture de tous les équipements de la ville" de Paris. >>> Un numéro vert d'information a été mis en place : 0800 40 60 05, et un autre d'appels à témoins : le numéro court 197.
 

vendredi 13 novembre 2015

BEAUVAIS Suicide d’une fonctionnaire au palais de justice

Le personnel du palais de justice de Beauvais est sous le choc. Jeudi 12 novembre, une de leurs collègues s’est donné la mort sur son lieu de travail, dans le sous-sol du tribunal. Elle a été retrouvée dans une pièce où sont entreposés les scellés. Greffière aux affaires familiales depuis 2011, elle travaillait depuis une quinzaine d’années au palais de justice de Beauvais.
«  Tout le monde est effondré par ce drame. Personne n’avait vu la situation se profiler  », témoigne le procureur de la République de Beauvais, Jean-Philippe Vicentini. Une enquête est ouverte. «  Tout le personnel a reçu la visite ce matin du sous-directeur des greffes, venu de la Chancellerie, ainsi que du procureur général et du premier président de la Cour d’Appel d’Amiens. Mme Taubira nous a fait part d’un message de soutien  », précise le procureur.
Une cellule de soutien psychologique a également été mise en place.
http://www.courrier-picard.fr/region/beauvais-suicide-d-une-fonctionnaire-au-palais-de-justice-ia201b0n672720

Allemagne : «probablement» sept corps de bébés retrouvés dans un appartement

Les restes de « probablement » sept corps de bébés ont été retrouvés dans un appartement de Wallenfels, en Bavière, annoncé ce vendredi la police allemande.
« Vers 16 heures jeudi, un habitante de Wallenfels a découvert la dépouille d'un nourrisson et a appelé les services d'urgence. Les forces de police appelées (sur les lieux) ont découvert dans une pièce plusieurs corps de nourrissons. La police criminelle et le procureur de Coburg partent du principe qu'il y a probablement sept morts », a fait savoir la police dans un communiqué. « La précédente habitante des lieux à Wallenfels, une femme de 45 ans, n'a pas encore pu être appréhendée et interrogée », a-t-elle ajouté.
Une expertise médico-légale des corps est en cours depuis l’aube pour déterminer les dates et les causes des décès. Elle risque de prendre du temps en raison du « mauvais état » de certains corps. « Aucun résultat n'est à attendre avant le début de la semaine à venir », ont indiqué la police et le parquet.
Dans un premier temps, les enquêteurs avaient annoncé jeudi soir la découverte de « plusieurs corps de nourrissons » dans l’après-midi, la presse locale évoquant deux dépouilles
http://www.ladepeche.fr/article/2015/11/13/2216651-allemagne-probablement-sept-corps-de-bebes-retrouves-dans-un-appartement.html

Accident mortel à la centrale électrique de Cordemais : les circonstances du drame

Dans un communiqué publié sur son site, EDF explique que "deux salariés d'une entreprise prestataire à la centrale de Cordemais ont fait une chute d'une passerelle située sur un chantier de rénovation"
L'une des deux personnes est décédée malgré les efforts déployés par les équipes de secours mobilisées immédiatement. Le second salarié, actuellement dans le coma, a été pris en charge par les secours et évacué par hélicoptère"
Extrait du communiqué d'EDF, après l'accident mortel survenu à la centrale de Cordemais (Loire-Atlantique)

L'accident est survenu mardi après-midi vers 16h45. Les deux hommes ont chuté d'une passerelle située à une hauteur de huit mètres, selon les pompiers. L'ouvrier qui est décédé suite à la chute était âgé de 51 ans. Le second a été transporté au CHU de Nantes et est âgé de 47 ans, précise également EDF dans son communiqué, qui indique que "la direction de la centrale ainsi que l'ensemble des salariés travaillant à Cordemais sont profondément attristés par ce décès et adressent leurs plus sincères condoléances à sa famille et à ses collègues".

Une cellule de soutien psychologique à été mise en place par EDF à la suite de cet accident dramatique.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique

jeudi 12 novembre 2015

Double attentat suicide dans le sud de Beyrouth : au moins 37 morts

Deux explosions simultanées ont secoué jeudi en fin d'après-midi la banlieue sud de Beyrouth, un fief du Hezbollah, a annoncé la chaîne Al-Manar du mouvement chiite libanais. Le ministère libanais de l'Intérieur fait état d'au moins 37 morts et de nombreux blessés.
Au moins 37 personnes ont été tuées jeudi, en fin d'après-midi, dans un double attentat suicide dans un quartier du sud de Beyrouth, selon le ministère libanais de l'Intérieur. La Croix-Rouge libanaise indique par ailleurs que de nombreux blessés sont à déplorer.
Selon la police, deux hommes à pied ont fait détoner leurs ceintures explosives devant un centre commercial du quartier de Bourj al-Barajné,, fief du Hezbollah.
Le Hezbollah est engagé dans le conflit syrien aux côtés des forces du président Bachar al Assad. Les quartiers de Beyrouth-Sud ont été le théâtre de plusieurs attentats revendiqués par des mouvements extrémistes sunnites ces dernières années

Beauziac (47) : une septuagénaire retrouvée morte noyée

Une habitante de Beauziac, âgée de 70 ans, est décédée accidentellement mercredi en fin d'après-midi, au lieu dit Bidon.

Sortie se promener, la sexagénaire, souffrant de la maladie d'Alzheimer et présentant des difficultés pour conserver l'équilibre, a chuté dans un plan d'eau situé à proximité de son habitation.
http://www.sudouest.fr/2015/11/12/beauziac-47-une-septuagenaire-retrouvee-morte-noyee-2183050-3627.php

Décès d'une jeune cycliste percutée par une voiture: deux personnes interpellées

Un homme de 29 ans et une femme de 34 ans sont actuellement en garde à vue à l'hôtel de police de Strasbourg. Il s'agirait des occupants de la voiture qui a percuté mortellement  une jeune cycliste de 25 ans la nuit dernière.
Ils ont été interpellés à Schiltigheim vers 4h30 du matin, très peu de temps après la collision avec le deux-roues. Selon les premiers éléments de l'enquête, le véhicule roulait trop vite et l'automobiliste aurait consommé de l'alcool. L'enquête doit notamment déterminer qui des deux suspects était au volant de la voiture au moment du drame.
9h21. La collision a eu lieu dans la nuit de mardi à mercredi vers 3 h 15 du matin, route de Bischwiller à Schiltigheim, en face de la banque Société générale à proximité de la mairie. Une cycliste de 25 ans circulait au guidon d’une bicyclette, tout comme sa sœur qui l’accompagnait, quand elle s’est fait percuter par une voiture.
Le conducteur du véhicule ne s’est pas arrêté et a continué sa route. La jeune femme est décédée sur place. Quant à sa sœur, en état de choc, elle a dû être transportée aux Hospices civiles de Strasbourg en service psychiatrie.
Une enquête est en cours pour comprendre les circonstances du drame, mais aussi pour identifier l’automobiliste qui a pris la fuite.
http://www.dna.fr/actualite/2015/11/11/deces-d-une-jeune-cycliste-percutee-par-une-voiture

mercredi 11 novembre 2015

Nouvel accident mortel dans le Lot-et-Garonne

C'est peu avant midi, ce mercredi, qu'un choc entre une voiture et un train s'est produit dans la commune de Monsempron-Libos, dans le Fumélois. L'homme au volant du véhicule n'a pas survécu.
Il s'agit de la 36e victime sur les routes de Lot-et-Garonne depuis le début de l'année. Le précédent accident avait eu lieu le 27 octobre dernier à Tombeboeuf.
http://www.sudouest.fr/2015/11/11/nouvel-accident-mortel-dans-le-lot-et-garonne-2182143-3603.php

L'hommage à Sarah Wafflard-Walker, la conseillère municipale agressée mortellement

Un rassemblement sans discours officiels a eu lieu hier soir devant la mairie de Montlaur pour rendre hommage à Sarah Wafflard-Walker, la conseillère municipale mortellement poignardée samedi matin.
Ce n'était pas une minute de silence, mais une heure, jusqu'à ce que la cloche de l'église du village sonne l'Angélus, sur les coups de 19 heures. Un rassemblement sans ostentation, très digne, simple. Organisée ce mardi soir à l'initiative du maire et du conseil municipal de Montlaur en hommage à la conseillère municipale Sarah Wafflard-Walker, tuée de plusieurs coups de couteau samedi matin devant la mairie où elle travaillait par un de ses voisins – un geste toujours inexpliqué –, cette cérémonie sans cérémonial a réuni près de 300 personnes dans ce petit village des Corbières, sur la route entre Trèbes et Lagrasse, au sud de la montagne d'Alaric et au cœur du Val-de-Dagne.
Sans doute de nombreux habitants de ce territoire aux paysages magnifiques avaient-ils fait le chemin depuis loin pour partager un moment de recueillement et exprimer leur soutien aux proches de la victime. C'est que Sarah, son allure, sa personnalité, son engagement associatif, rayonnaient bien au delà d'un village aujourd'hui dans l'incompréhension.

«Sarah for Ever»

Au pied de l'Hôtel de Ville, tous drapeaux en berne en cette veille de 11-Novembre, une table avait été disposée avec un portrait de la jeune femme et un livre d'or sur lequel le public était invité à écrire un petit mot à sa mémoire. De l'autre côté de la chaussée, fermée à la circulation, des bougies et des fleurs ont été déposées au pied d'un platane. Tout autour de l'arbre, des affiches disent «Sarah for ever», Sarah pour l'éternité. C'est là qu'accompagnés par le maire Antonin Andrieu, soutenus par la conseillère municipale et traductrice Soisik Faulkner, les proches de Sarah Wafflard-Walker (sa mère, son mari, son beau-père, un oncle et une tante) se sont recueillis un moment avant d'adresser quelques mots aux personnes présentes : «Votre présence montre combien Sarah était considérée dans le village et le Val-de-Dagne. Merci, merci beaucoup».
Un nouvel hommage lui sera rendu lundi pour ses obsèques.
 

Un agriculteur de 42 ans mort broyé dans sa moissonneuse-batteuse

Vers 17 h 15, hier, un champ en contrebas d'une route départementale du Fumélois a été le théâtre d'un drame sans nom. La victime avait 41 ans, était salariée agricole et père de deux enfants.
Ce visage connu de Montayral, fils d'une famille d'agriculteurs connus dans le canton et dans les environs, est décédé dans sa moissonneuse-batteuse. Son corps a été découvert par des proches qui ont rapidement compris qu'un accident venait de se produire.
Que s'est-il passé ? C'est la question que se posaient dès hier soir les gendarmes de la compagnie de Villeneuve. Selon des renseignements sur place, la victime serait intervenue sur la vis sans fin de la trémie, qui se situe à l'arrière de l'engin agricole. Pourquoi, comment a-t-il été happé ? Vers 19 heures, les pompiers et les urgentistes du SAMU s'employaient à dégager le corps sans vie et broyé de la victime alors qu'il faisait déjà nuit. Un agriculteur explique que ce type d'accidents, sans atteindre cette gravité, est assez fréquent. «Le système des cueilleurs se bloque. On descend pour le débloquer d'un coup de pied.» Et le pire parfois arrive.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/11/11/2214896-mort-dans-sa-moissonneuse-batteuse.html

mardi 10 novembre 2015

Un accident grave fait 1 mort et 1 blessé grave à Saint-Genix-sur-Guiers

Le drame a eu lieu ce mardi 10 novembre au matin, vers 5h10. Une voiture a percuté un piéton qui est décédé à Saint-Genix-sur-Guiers, en Savoie. 
L'homme de 63 ans est décédé alors qu'il s'apprêtait à traverser la chaussée. Une voiture l'a percuté de plein fouet, le tuant sur le coup. Il était au bord de la route au moment de l'impact. La zone était mal éclairée et le véhicule a quitté la route.
Les pompiers ont dû également procéder à la désincarcération du chauffeur. Ce conducteur, âgé de 30 ans, est grièvement blessé. Il a été évacué par les pompiers vers le Centre hospitalier de Grenoble. Une enquête de gendarmerie est ouverte.
La circulation est restée perturbée plusieurs heures en sortie de Saint-Genix sur le RD916A. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/savoie/un-accident-grave-fait-1-mort-et-1-blesse-grave-st-genix-sur-guiers-848793.html

Marseille : deux morts dans une fusillade à proximité du Vieux-Port

Une fusillade a éclaté dans la nuit de lundi à mardi à proximité du Vieux-Port de Marseille faisant deux morts. L'un des deux hommes est mort sur le coup, le deuxième est décédé des suites de ses blessures. Selon les premiers éléments de l'enquête, il s'agirait d'un règlement de comptes.
Les faits se sont déroulés aux environs de minuit trente dans la nuit de lundi à mardi. Une fusillade a éclaté à la sortie du tunnel Prado-Carénage à Marseille faisant deux morts. L'un des deux hommes est mort sur le coup, le deuxième est décédé des suites de ses blessures. Ils étaient tous deux âgées d'une trentaine d'années. Un troisième homme a été légèrement blessé.
 
Selon le quotidien La Provence, tout a commencé par une course poursuite. Une berline blanche prend en chasse un second véhicule puis tente de l'immobiliser. C'est alors que les coups de feu retentissent. Une quinzaine de véhicules de police sont alors dépêchés sur les lieux et un large périmètre de sécurité est mis en place.
 
Selon les informations du journal, la piste d'un règlement de comptes sur fond de banditisme est privilégiée. Depuis le début de l'année, une dizaine de règlements de compte de ce type ont eu lieu dans la cité phocéenne.
 
http://lci.tf1.fr/france/societe/
 

lundi 9 novembre 2015

Un homme retrouvé mort dans l'incendie d'un entrepôt à Marseille

Il était 19h40 quand le Bataillon de marins-pompiers de Marseille a été appelé pour un feu d’entrepôts sur la zone d’activité de la Pomme dans le 11e arrondissement. Le feu s'est déclenché sur plusieurs foyers dans les locaux de l’entreprise Pom’Print, spécialisée dans la maintenance d’impression et s'est rapidement propagé à l'ensemble de l’entrepôt de 1000 m2. Les épaisses fumées qui se dégage du brasier, poussées par les vents, se font ressentir jusque dans le centre Ville de Marseille, à plus de 5 km du sinistre
Après plus de deux heures de luttes contre le feu, la soixantaine de marins-pompiers sont enfin parvenu à contenir les flammes en évitant une propagation généralisée aux autres entrepôts de la zone. Vers 22h30, le sinistre était totalement éteint. Ce n'est qu'à ce moment-là que les équipes d'investigation ont découvert dans les décombres du bâtiment entièrement détruit, le corps d'une victime carbonisée, sans doute piégée par les flammes. Une autopsie va être pratiquée pour déterminer les causes du décès. Une enquête a été ouverte.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/bouches-du-rhone/marseille/un-homme-retrouve-mort-dans-l-incendie-d-un-entrepot-marseille-847811.html