vendredi 31 janvier 2014

A 85 ans, elle meurt sous les coups de son fils

Une femme de 85 ans, qui vivait dans une grande misère, est morte hier soir sous les coups de son fils de 65 ans, chez elle à Drancy (Seine-Saint-Denis), a appris aujourd'hui l'AFP de sources concordantes. Les pompiers ont été prévenus par un voisin, qui a vu par sa fenêtre la vieille dame allongée "sans connaissance sur la table" de la cuisine, du sang à proximité, a relaté une source proche du dossier. Le fils, présent, a reconnu qu'il avait tué sa mère, a-t-elle ajouté.

La femme avait le visage tuméfié et "le Samu a précisé que la mort était due à un traumatisme crânien bilatéral", a précisé une source judiciaire. Le fils, qui a vu sa femme mourir d'une cirrhose et son propre fils devenir alcoolique, aurait "tabassé sa mère parce qu'il trouvait qu'elle mangeait mal", a relaté une source policière, précisant qu'il n'était pas évident qu'il ait eu l'intention de la tuer.

"Ce sont de pauvres gens, du très grand Zola", qui n'étaient pas particulièrement suivis par les services de la municipalité, a ajouté une troisième source. Son logement faisait l'objet d'une procédure pour insalubrité, a ajouté cette source.
Le service départemental de police judiciaire de Seine-Saint-Denis a été chargé de l'enquête


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/31/97001-20140131FILWWW00326-a-85-ans-elle-meurt-sous-les-coups-de-son-fils.php

Accident de la circulation: un mort et trois blessés dont un grave, les deux conducteurs en garde à vue

Un jeune homme de 21 ans, assis à l'arrière de l'un des véhicules, est décédé.
Lors de la publication de cet article hier soir peu après 22 h, il n'était pas possible de déterminer si le pronostic vital était engagé pour deux passagers qui étaient grièvement touchés selon les premières informations recueillies auprès des secours.
Deux autres personnes ont été plus légèrement blessées dont l'un des conducteurs. Tous ont été transportés par les pompiers au CHU de Strasbourg-Hautepierre. Ils sont âgés d'une vingtaine d'années.
L'un des conducteurs n'était plus dans son véhicule à l'arrivée des secours mais à proximité du lieu de l'accident qui se situe au niveau de l'arrêt de tram "Le Marais", à l'intersection de la rue du Marais et de la rue de Bretagne.
Les deux conducteurs sont actuellement en garde à vue. Les policiers cherchent à déterminer les circonstances de la collision qui restent pour l'heure indéterminées.

http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2014/01/30/accident-de-la-circulation-quatre-blesses-dont-deux-graves

Un homme tué par une explosion à Andon

Un homme est mort dans une explosion, jeudi en fin d'après-midi, dans le quartier des Bécassière à Andon.
Selon les premières informations, l'homme était en train de travailler dans son garage quand l'explosion a eu lieu.
A leur arrivée, les secours n'ont pu que constater le décès de la victime.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de ce drame.

http://www.nicematin.com/andon/un-homme-tue-par-une-explosion-a-andon.1602066.html

Seine-Maritime : suicide d'un salarié à l'usine Renault Cléon

Selon le syndicat CGT, un salarié s'est suicidé mercredi sur le site de Renault Cléon (Seine-Maritime). Il s'agirait d'un ouvrier de l'atelier d'usinage. C'est le deuxième suicide en neuf mois sur ce site.
L'information a été dévoilée par la CGT. Un salarié s'est suicidé mercredi sur le site de Renault Cléon en Seine-Maritime. "Hier, un salarié s'est suicidé en journée sur le site. C'est le deuxième suicide en neuf mois sur ce site", a déclaré à l'AFP Pascal Le Manach, délégué syndical CGT à Renault-Cléon.

La personne décédée "était ouvrier dans un atelier d'usinage. Il travaillait à l'usine depuis plusieurs années", a indiqué le délégué syndical qui s'est refusé à donner de plus amples précisions pour le moment.
Conformément à la loi, un Comité d'hygiène et de sécurité (CHS) extraordinaire devait se tenir en fin de matinée sur le site en présence de l'inspecteur du travail, a-t-il ajouté. La direction de l'usine n'était pas joignable dans l'immédiat
 

Morte dans un incendie

Nancy. L’alerte a été donnée vers 2 h 30 par un groupe de jeunes gens, qui voyant les flammes depuis la chaussée ont hurlé pour réveiller les habitants endormis de cette rue paisible proche du Clos de Médreville et de la place des Ducs de Bar, relayés par certains locataires de l’immeuble qui prenait feu par le haut. Les pompiers du SDIS de la caserne Joffre sont rapidement intervenus 13, rue Lavigerie, avec deux fourgons-pompe-tonne, la grande échelle et une ambulance. Les hommes du feu ont attaqué le sinistre qui prenait au dernier des trois étages de cet immeuble Arts Déco.

D’énormes flammes sortaient surtout du côté jardin de l’appartement, où les secours trouvèrent une jeune femme inanimée, qui se révéla très vite être en arrêt cardio-respiratoire. Les hommes du lieutenant Chanson, officier de garde et le Samu, malgré tous leurs efforts ne purent ramener la victime à la vie. Celle-ci n’avait pas encore été formellement identifiée, même si les forces de police, en nombre également pour sécuriser la rue et les opérations sur place estiment qu’il s’agit très vraisemblablement de la locataire de l’appartement.
Le feu, à 3 h 30 du matin était circonscrit et les opérations de déblaiement de l’appartement et des combles, le détuilage du toit pouvaient commencer, pour éviter une reprise des flammes. Tous les locataires, au nombre de trois avaient été évacués.
L’adjoint à la Ville de Nancy Jean-Louis Thiébert arrivé sur place a organisé avec la brigade de nuit de la police le relogement provisoire des locataires, sachant que l’immeuble n’avait plus d’électricité, donc plus de chauffage possible.
Une enquête de police a été ouverte pour connaître les causes de la mort de la jeune femme née en 1986, ainsi que celles du sinistre, sachant que la piste accidentelle est privilégiée. Une autopsie sera pratiquée lundi.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/01/31/morte-dans-un-incendie

jeudi 30 janvier 2014

Perpignan: émoi au lycée Arago après le décès accidentel de leur camarade

Le jeune lycéen de 16 ans, dont le corps a été retrouvé dimanche, n'a pas été victime de violences.
L'examen médico-légal pratiqué mardi sur le corps d'Adrien, ce lycéen retrouvé immergé dans un ruisseau dimanche après-midi, a confirmé que le décès était consécutif à un tragique accident. L'autopsie a en effet conclu à une mort par noyade et a également permis de confirmer l'absence de toute trace de violence volontaire sur le corps du jeune homme de 16 ans.

Adrien avait participé vendredi soir à une fête entre amis dans un mas de Corneilla. Le lendemain, ne le voyant pas revenir, ses parents s'étaient inquiétés et avaient alerté les autorités. Après une première journée de recherches, c'est finalement au cours d'une battue que le corps d'Adrien a été retrouvé dimanche, par ses camarades de classe.
Un drame qui a profondément bouleversé les élèves et les enseignants du lycée Arago de Perpignan, où le jeune homme était scolarisé. Au point que certains parents d'élèves déplorent que la Direction académique des services de l'Éducation nationale n'ait pas mis en place une 'vraie' cellule psychologique. "Adrien, c'était le meilleur ami de mon fils. Lundi, je l'ai accompagné au lycée, m'attendant à rencontrer un professionnel dépêché pour la prise en charge des élèves : trois jours plus tard, il n'a toujours rencontré personne…". .
Obsèques vendredi
Jean-Luc, comme d'autres parents des camarades d'Adrien, a depuis lundi tenté de forcer l'Éducation nationale à mettre en place une cellule d'urgence médico-psychologique (CUMP). "Entendons-nous bien, le lycée Arago a fait tout ce qui était en son pouvoir. Mais tout ce qu'a mis en place la Direction académique des services de l'Éducation nationale, c'est un point d'écoute à l'infirmerie du lycée…".
Virginie, de son côté, s'avoue choquée par le manque de réactivité de l'administration. "Nous avons la chance d'avoir des enfants qui verbalisent, mais ce n'est pas le cas de tous. Alors, nous dire que cela s'était passé hors du cadre scolaire pour justifier qu'il n'y ait pas eu de CUMP, c'est instaurer une échelle des valeurs qui n'est pas acceptable". Laurent, un autre papa s'inquiète lui aussi. "C'est mon fils qui a retrouvé le corps d'Adrien. Et il n'a pas voulu parler de ce qu'il a vu… C'est pourquoi je me disais que les professionnels de la cellule psychologique pourraient l'aider, tout comme ils pourraient aider les professeurs qui sont aussi effondrés que les élèves…".
Comme Jean-Luc, Laurent a décidé de prendre ses dispositions afin que son fils puisse parler, et surtout écouter les conseils d'un psychologue. Les obsèques d'Adrien auront lieu vendredi. 
http://www.lindependant.fr/2014/01/30/l-autopsie-confirme-la-mort-par-noyade-d-adrien-la-procedure-habituelle,1841408.php

Béziers : trois voitures accidentées, un mort, une relaxe

En août 2012, à Béziers, le conducteur d’une voiture décédait sur la route de Vendres. Un autre a été jugé lundi en correctionnel. 
"Ce n’est pas un accident qui laisse indifférent", lance la présidente Claire Ougier, en s’adressant au prévenu. Celui-ci comparaissait devant le tribunal correctionnel de Béziers, lundi, pour homicide involontaire par conducteur d’une voiture. Il a été relaxé.
Août 2012, un terrible accident se produit à Béziers, sur la route de Vendres. Il laisse une victime, un homme de 32 ans. Alors que le véhicule 4x4 du prévenu circule sur la chaussée, celui du malheureux, une Citroën ZX se situe devant. À l’arrêt quasiment. Ce dernier avait visiblement l’intention de tourner sur sa gauche. C’est à ce moment précis qu’il a été percuté par le 4x4. Un premier choc selon les expertises et les constatations techniques. Car la Citroën ZX s’immobilise perpendiculairement, avant d’être percutée par un troisième véhicule venant d’en face. Elle subit un second choc. Cette version réfutée par le prévenu prouve techniquement que c’est bien le 4x4 qui est entré en collision avec la victime.


"Je n'ai pas senti le choc"
À la barre, le conducteur, confus et hésitant dans ses propos, ne se souvient pas de ce moment précis. "Je n’ai pas senti le choc avec ma voiture", dit-il. Et d’ajouter qu’il est "sûr de ne pas avoir freiné". Alors que des traces de frein ont été relevées par les enquêteurs, à plus de 34 mètres avant ladite intersection. L’expertise prouve également que le conducteur roulait à une vitesse excessive, à savoir 110 km/h, ce que conteste le prévenu. "Je roulais tranquille", affirme-t-il avec quelques hésitations.
Pour Jean-Louis Sire, le procureur de la République, le dossier est pourtant simple et les expertises le confirment. Tout comme l’état des voitures et l’allure excessive du conducteur. "Le choc frontal est clairement établi", martèle-t-il. Selon lui, le 4x4 roulait vite, a freiné et n’a pas pu dépasser le véhicule de la victime. En perdant le contrôle de sa voiture, il a percuté l’arrière-droit de la Citroën qui a pris de plein fouet l’automobile qui arrivait en face. "Mécaniquement, c’est un jeu de boules de billard", poursuit le procureur de la République. Devant cet accident "malheureux", ce dernier requiert une peine symbolique, c’est-à-dire dans ce cas, deux ans d’emprisonnement avec sursis.
Une autre version sème le doute
Pour la défense, Me Teissedre demande la relaxe de son client, arguant du fait que "ce dernier n’a pas entendu de choc". Il s’appuie notamment sur des témoins qui affirment que la collision s’est d’abord produite entre la victime et le véhicule venant de la chaussée opposée. Une autre version de l’accident qui sème le doute.
À l’issue des délibérations, le tribunal a d’ailleurs ordonné la relaxe. Le parquet se réserve le droit de faire appel.

http://www.midilibre.fr/2014/01/28/trois-voitures-accidentees-un-mort-une-relaxe,814728.php

mercredi 29 janvier 2014

Marche blanche à Rouen en mémoire de l'adolescente écrasée par le tram

Plusieurs dizaines de lycéens de Rouen ont organisé mercredi une marche blanche en mémoire d'une adolescente de 15 ans écrasée la veille par le métro-tramway.

Ils avaient rendez-vous devant la mairie à 14h. Les élèves du lycée Corneille de Rouen ont organisé ce mercredi une marche blanche en mémoire de la jeune-fille de 15 ans morte mardi soir sous une rame du métro-tramway de la ville. Les lycéens, au nombre d'une petite centaine, selon des témoins, ont emprunté plusieurs rues de la ville et se sont rassemblés devant l'Hôtel de Ville pour rendre hommage à Charlotte, qui était élève en seconde.

En tête du groupe, tenant un grand carton sur lequel étaient collées plusieurs photos de la jeune fille, figurait le père de la victime. "Pourquoi ils n'ont pas freiné (...) le klaxon du métro n'est pas assez puissant", a-t-il déclaré au site 76actu, précisant que son épouse allait contacter un avocat pour porter plainte contre la compagnie de transport TCAR qui exploite le métro-tram.
 
Le freinage d'urgence n'a pas suffi

La jeune fille qui revenait d'une séance de révision avec d'autres camarades a été happée alors qu'elle traversait la voie à une station de la rive gauche de Rouen. Selon certains témoignages, elle avait des écouteurs sur les oreilles et n'aurait peut-être pas entendu le signal sonore de la rame.
 
Le procureur de la République adjoint Jean-Claude Belot a déclaré qu'après avoir actionné son système sonore, le conducteur avait "immédiatement actionné le freinage d'urgence mais il était trop tard". La jeune fille s'est retrouvée coincée entre le dessous de la rame et le quai. Outre le fait qu'elle portait ou non des écouteurs, l'enquête devra déterminer aussi si elle a traversé la voie sur un passage protégé ou non.
 
La TCAR a dans un communiqué exprimé son "émotion face au drame".
 

Aveyron : une femme de 28 ans se tue accidentellement sur la RN 88

L'accident s'est produit, ce matin, peu après 8 heures, non loin du giratoire des Molinières dans le sens Rodez - Baraqueville.
Les routes aveyronnaises ont fait une nouvelle victime, ce matin peu après 8 heures. Il s'agit d'une femme de 28 ans, qui conduisait une Renault Clio grise immatriculée dans l'Aveyron, et dont l'identité n'a pas été communiquée pour l'heure.
L'accident a impliqué plusieurs véhicules, et il semble qu'il se soit déroulé en deux temps. Le drame s'est produit vraisemblablement quelques minutes après une première perte de contrôle sur cette portion de route à 2x2 voies, quelque 500 mètres avant d'arriver au giratoire des Molinières, dans le sens Rodez - Baraqueville.


L'enquête, diligentée par les gendarmes de la brigade de Pont-de-Salars devra en déterminer les circonstances exactes. Très vite sur les, lieux, les pompiers du centre de secours de Rodez ainsi qu'une équipe du Smur n'ont pu que constater le décès de la jeune femme, dont la voiture s'est encastrée contre le rail de sécurité.
Les occupants des deux autres véhicules impliqués, un fourgon et une Renault Twingo, n'ont pas été blessés, selon les secours.

http://www.midilibre.fr/2014/01/29/luc-une-femme-de-28-ans-se-tue-accidentellement-sur-la-rn-88,814911.php

Mystère autour d'un infanticide

Dans le petit village de Saint-Christophe à Berry, près de Soissons, l'affaire a stupéfié toux ceux qui connaissaient un peu la discrète famille Olier.

Séverine était une jeune femme de 31 ans. Elle vivait en couple avec son mari et leurs deux enfants, une existence sans histoire.

Au printemps 2009, elle a été enceinte de son troisième enfant. Son entourage n'en a rien su. Le 9 décembre, elle a accouché, seule, dans la salle de bains de la maison.

Lorsqu'il est rentré, son mari l'aurait trouvée dans un état d'extrême faiblesse. Elle lui aurait dit que l'enfant était mort, sans précision. Elle lui aurait demandé de nettoyer le sang et de mettre le bébé dans le garage pour que les deux autres enfants ne le voient pas.

Sous le coup de multiples émotions, il se serait exécuté, avant de secourir son épouse qu'il a fallu hospitaliser, suite à de violentes hémorragies.

Le médecin légiste a établi que le nourrisson - une petite fille - était né viable et à terme. Il a relevé de nombreuses plaies mortelles sur son corps, qui auraient pu être faites avec des ciseaux.

La maman aurait déclaré n'avoir gardé que peu de souvenirs de l'évènement. Elle aurait pu être victime d'un malaise au moment de la délivrance ; son bébé aurait pu heurter le sol avec force. Mais comment expliquer les autres traces de coups et lequel a-t-il provoqué le décès du bébé ?

Face à un déni de grossesse, doublé d'un déni de naissance, la cour d'assises de l'Aisne aura un choix délicat à faire : juger sur les faits ou sur la personnalité de l'accusée.

Après le drame, des mesures d'assistance éducative ont été prises pour éloigner les deux enfants de leurs parents. Elles ont été rapidement levées et ils ont pu réintégrer le domicile familial.

Dans un premier temps, le père a été poursuivi pour recel de cadavre avant de faire l'objet d'une ordonnance de non-lieu.


Seule, son épouse, placée sous contrôle judiciaire, comparaît, libre, pendant trois jours. Le verdict sera rendu le vendredi 31 janvier.


http://www.courrier-picard.fr/region/mystere-autour-d-un-infanticide-ia0b0n303025

Voiture dans la Vire à Saint-Lô. La thèse du suicide privilégiée

Une voiture est tombée dans la Vire mardi soir à Saint-Lô, avec un homme à son bord. La thèse du suicide est privilégiée.

L'automobiliste qui se trouvait dans le véhicule est, selon le substitut du procureur Pierre-Yves Marot, "un homme d'une cinquantaine d'années suivi pour des problèmes psychologiques. Un témoin l'aurait vu seul emprunter le chemin avec son véhicule et se jeter dans la Vire".
A ce stade de l'enquête, c'est donc la thèse du suicide qui est privilégiée. Des prélèvements toxicologiques seront réalisés sur le corps de la victime.

http://www.ouest-france.fr/voiture-dans-la-vire-saint-lo-la-these-du-suicide-privilegiee-1889894

Melun : une femme meurt dans un feu d'appartement

Une femme d'une cinquantaine d'années est décédée dans le feu de son appartement, dans la nuit de mardi à mercredi, à Melun (Seine-et-Marne). Le sinistre s'est déclaré vers une heure du matin dans un petit immeuble de la rue Saint-Barthélémy, situé en centre-ville, à quelques encablures de la préfecture.

Après avoir éteint le violent
pendant la nuit, les sapeurs-pompiers ont dégagé des décombres le corps d'une femme âgée d'une cinquantaine d'années

 
Par ailleurs, cinq autres personnes ont été conduites à l'hôpital après avoir été légèrement intoxiquées par des fumées.

D'après une source policière, le feu est probablement d'origine accidentelle. Une
doit toutefois le confirmer et les techniciens de la police scientifique sont attendus sur les lieux dans la matinée de ce mercredi.   

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/melun-une-femme-meurt-dans-un-feu-d-appartement-29-01-2014-3538747.php

Un douanier du Nord meurt happé par un train

Le drame s'est produit mardi soir à hauteur d'un passage à niveau à Templemars, dans le Nord. Un douanier de 53 ans a été mortellement percuté par un TGV circulant sur la ligne Douai-Lille un peu avant 20h, selon les secours. Il était en filature dans le cadre d'une enquête sur un trafic de drogue, a indiqué la direction régionale des douanes de Lille. Il s'agissait d'un "agent aguerri, opérationnel, qui devait partir à la retraite dans deux ans", a précisé la direction.

Une enquête judiciaire est en cours, qui doit notamment déterminer la raison pour laquelle l'agent est sorti de son véhicule et s'est retrouvé à pied. Il semble que l'opération tablait sur le passage de deux trains à ce moment de la journée, et c'est vraisemblablement un troisième train, en retard, qui a heurté l'agent, a expliqué la direction qui attendait des éléments complémentaires et se disait "sous le choc". Cinq collègues du douanier décédé ont été hospitalisés en état de choc.


http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/un-douanier-du-nord-meurt-happe-par-un-train-8355655.html

mardi 28 janvier 2014

Une jeune fille écrasée par le tram à Rouen

Une jeune fille est morte écrasée par une rame du métro-tramway ce soir à Rouen, a appris l'AFP de source policière.

Dans des circonstances encore indéterminées, la victime, dont l'âge n'a pas été précisé, s'est retrouvée sous la rame, dans une station aérienne de la rive gauche de Rouen. Selon le
Paris-Normandie, la jeune fille avait des écouteurs sur les oreilles lorsqu'elle traversait les voies sur un passage piéton. Elle n'aurait pas vu la rame arriver.

Selon un témoignage recueilli par un correspondant de l'AFP, à la suite de cet accident la panique s'est emparée des voyageurs, qui ont évacué rapidement la rame.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/28/97001-20140128FILWWW00554-une-jeune-fille-ecrasee-par-le-tram-a-rouen.php

L’homme repêché dans le Rhône s’était suicidé dans l’Ardèche

Les policiers de la brigade de la sûreté urbaine de Villeneuve-lez-Avignon ont identifié le cadavre repêché dans le Rhône mercredi dernier. Le corps était pris dans les remous au niveau du barrage à Villeneuve-lez-Avignon. Le malheureux est un homme de 78 ans. Originaire de Bourg-Saint-Andéol, en Ardèche, il s’est jeté dans la rivière en crue le 28 décembre. Son corps a ensuite dérivé plus de trois semaines. L’autopsie a révélé qu’il a succombé à une hydrocution

http://www.ledauphine.com/faits-divers

Une sexagénaire écrasée par un camion

Une femme de 64 ans a trouvé la mort ce mardi matin vers 10h30 à l'Escale Borély après avoir été renversée par un camion.
Les circonstances restent encore floues mais il semble que le conducteur du poids lourd, qui livrait des boissons, n'ait pas vu la victime lorsqu'il a reculé.
Les marins-pompiers ont tenté de ranimer la blessée durant une heure, mais son état était trop grave et elle est décédée sur place.
Une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances précises du drame.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2726714/une-sexagenaire-ecrasee-par-un-camion.html

Faits divers à Caen. Accident mortel sur le périphérique en pleine nuit

Un automobiliste de 25 ans a perdu le contrôle de sa voiture, dans la nuit du lundi 27 au mardi 28 janvier 2014, à Caen (Calvados).

L'accident est survenu à 1 h 50. Le jeune homme, habitant Démouville, près de Caen, roulait sur le périphérique intérieur quand sa voiture est allée percuter le rail de sécurité gauche, puis le rail de sécurité droit, près de la sortie Vallée des Jardins, dans des circonstances qui restent à déterminer. Le choc a été violent, le conducteur est décédé sur le coup.

http://www.ouest-france.fr/surtitre/faits-divers-caen

Beaumont-de-Lomagne. Décès brutal du jeune rugbyman Christophe Roucolle

Christophe Roucolle, joueur au centre de l’attaque du Brignemont Athlétic Club depuis cette saison est brusquement décédé. Ce jeune joueur talentueux a évolué à Colomiers, Grenade et Beaumont de Lomagne. Le BAC souhaite beaucoup de courage à sa famille, son père, qui est aussi entraîneur du club, son épouse et son enfant et tout son entourage. La famille du rugby est profondément attristée par cette disparition. Ses obsèques auront lieu ce mercredi 29 à 15 heures en l’église de Beaumont de Lomagne (82).

http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/28/1804342-montech-deces-de-christophe-roucolle.html

lundi 27 janvier 2014

Deux skieurs meurent dans une avalanche dans les Alpes

Leurs corps ont été retrouvés enfouis sous trois à huit mètres de neige dans la matinée de lundi. Ils évoluaient dans un secteur hors-piste de la commune d'Auris quand ils ont été pris dans une avalanche.


Deux skieurs danois d'une quarantaine d'années ont été retrouvés morts lundi, ensevelis sous une avalanche alors qu'ils skiaient dans un secteur hors-piste de la commune d'Auris (Isère), selon les secours en montagne. Leurs corps ont été retrouvés enfouis sous trois à huit mètres de neige dans la matinée de lundi, a indiqué la CRS Alpes, unité de police spécialisée dans les secours en montagne, confirmant une information du Dauphiné Libéré. Les deux hommes faisaient partie d'un groupe de quatre Danois arrivés samedi pour des vacances dans la station de sports d'hiver de l'Alpe d'Huez.

Dimanche, le groupe avait décidé de se séparer, deux des skieurs empruntant la piste vers l'Alpe d'Huez tandis que les deux autres s'engageaient sur un secteur hors-piste menant à la station d'Auris-en-Oisans. Les skieurs hors-piste, deux frères originaires de Nykøbing (Est du Danemark), ne sont jamais rentrés à leur  appartement de l'Alpe d'Huez. Constatant leur absence, leurs deux amis ont donné l'alerte lundi matin à l'office du tourisme. Une trentaine de CRS, pisteurs-secouristes et chasseurs-alpins ont été mobilisés pour tenter de les retrouver, aidés par l'hélicoptère de la sécurité civile. Les deux victimes ont été localisées peu de temps après grâce aux détecteurs de victimes d'avalanche dont elles étaient munies. "Le manteau neigeux est particulièrement instable cet hiver. Selon les pentes, il peut être très risqué de se hasarder en hors-piste", a mis en garde le capitaine Laurent Jaunatre de la CRS Alpes. Les avalanches ont fait au moins 12 morts dans l'Hexagone depuis le début de l'hiver, selon un décompte de l'AFP. L'hiver dernier, 36 personnes avaient trouvé la mort dans des avalanches.  

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/deux-skieurs-meurent-dans-une-avalanche-dans-les-alpes-8354308.html

Dieupentale. Un femme se jette sous le train

Hier, le train Paris Toulouse a été immobilisé pendant près de deux heures, au point 226, au niveau de la gare de Dieupentale, à la suite d’un tragique accident. En effet, un véritable drame de la vie, comme on en voit malheureusement trop souvent s’est déroulé aux environs de 14 heures, quant une femme d’une quarantaine d’années s’est jetée sous le train, au moment de son entrée en gare.
Arrivés rapidement sur les lieux, les pompiers du centre de secours de Grisolles n’ont pu que constater son dècès. Jean-Bernard Lacaze, le maire de Dieupentale était sous le choc de ce drame survenu dans sa commune.
Rapidement mobilisés, les agents de la SNCF ont tout mis en œuvre pour permettre aux passagers du train de rejoindre leur destination. Les 70 passagers du train 3613 étaient rapidement transbordés par bus de Dieupentale à Toulouse, mais le trafic ferroviaire a été fortement perturbé, avec des retards conséquents sur la ligne. 10 trains dont 3 TGV et des trains intercités ont subi entre 30 minutes et 2 heures de retard.
Ce n’est qu’aux environs de 17 heures, que la circulation des trains revenait enfin à la normale. Gisèle Dos Santos

dimanche 26 janvier 2014

Drame familial en Seine et Marne

C’est une dispute conjugale qui a tourné au bain de sang. L’ épouse du défunt, placée en garde à vue, a reconnu les faits.

Une femme a été placée en garde à vue ce dimanche pour le meurtre de son mari, tué de 70 à 80 coups de couteau samedi soir à Nangis (Seine-et-Marne).
L’homme de 42 ans a été tué vers 22 h, lors d’une violente dispute au domicile conjugal, pour une raison encore inconnue.
D’après les premiers éléments de l’enquête, de nombreux coups auraient été échangés, dans plusieurs endroits de la maison. Selon le rapport du médecin légiste, la victime aurait reçu entre 70 et 80 coups de couteau.
La meurtrière présumée, âgée de 35 ans, a été placée en garde à vue. Entendue par les enquêteurs, elle a reconnu les faits, sans toutefois apporter d’explications sur son geste.
La jeune femme « sera examinée demain par un psychiatre », a précisé la source judiciaire. Une information judiciaire pour « homicide volontaire » devrait être ouverte lundi soir.

http://www.ledauphine.com/france-monde/2014/01/26/un-homme-tue-de-70-a-80-coups-de-couteau

Alpes : deux morts dans des avalanches

Une skieuse de 41 ans est morte samedi soir après avoir été ensevelie par une avalanche qui s'est déclenchée à 2.400 mètres d'altitude dans le massif de Belledonne, en Savoie. La victime, qui pratiquait le ski de randonnée, évoluait en descente sur une arête en compagnie de son frère, âgé de 43 ans, lorsqu'une coulée de neige de 100 mètres de large s'est déclenchée à leur passage dans un couloir à forte inclinaison, les emportant tous deux sur 400 mètres.
Grièvement blessé au genou, le quadragénaire n'a pas été en mesure de dégager sa soeur, dotée d'un appareil de recherches de victimes d'avalanches. Alertés, les secours en montagne ont dépêché sur place deux hélicoptères, une dizaine d'hommes et un chien d'avalanche pour retrouver la jeune femme. Dégagée en arrêt cardio-vasculaire puis ranimée, la skieuse est finalement décédée à l'hôpital de Grenoble, où elle avait été héliportée. Souffrant d'une fracture du fémur et de plaies à la cuisse, son frère a été transporté à l'hôpital de Chambéry. Ses jours ne sont pas en danger.
Dans les Alpes-Maritimes, c'est un skieur hors piste de 48 ans qui est décédé. L'homme, dirigeant d'un commerce de la station d'Auron, avait décidé de descendre avec un autre skieur un couloir de neige hors piste démarrant à 2.400 mètres d'altitude. Il a été emporté par une avalanche qui s'est déclenchée sur un dénivelé de 300 mètres. Secouru dans les 30 minutes par des pisteurs et le peloton de gendarmerie de haute montagne assistés d'un hélicoptère, il n'a pas pu être réanimé. Le deuxième skieur qui se trouvait en contrebas a pu s'écarter et n'a été que partiellement enseveli. Les deux hommes disposaient de tout le matériel de sécurité pour pratiquer le hors-piste, dont un détecteur de victimes d'avalanches, qui n'a pas toutefois pas fonctionné.
 

Le corps d'une femme repêché quai de la Daurade

Les sapeurs-pompiers sont intervenus, hier matin, quai de la Daurade à Toulouse, afin de repêcher le corps flottant d’une personne dans la Garonne. Rien n’a pu être fait pour la victime, une femme a priori âgée d’une quarantaine d’années, décédée avant leur intervention.
Hier, les services de police ont ouvert une enquête afin de déterminer à la fois l’identité de cette victime et les circonstances de son décès. Les enquêteurs s’attachaient notamment à recouper la description de cette femme avec les disparitions inquiétantes signalées dans le secteur. S’agit-il d’une personne qui a mis fin à ses jours ? Est-ce une victime de la spectaculaire crue de la Garonne ? Depuis combien de temps séjournait-elle dans le fleuve ? Les circonstances de la mort restaient floues hier.
Une autopsie devrait être pratiquée dans les prochaines heures afin d’y voir plus clair.

Un étudiant toujours recherché

Les nombreux badauds venus constater le débordement du fleuve hier matin ont assisté aux opérations de secours. Beaucoup d’entre eux évoquaient la disparition, dans la nuit du 10 au 11 janvier, d’Antoine Magny, 22 ans, un étudiant perpignanais. Ce jour-là, il avait passé la soirée dans un restaurant proche du Pont Neuf à Toulouse. Après 1 heure du matin, plus personne ne l’avait revu. Ses proches avaient lancé un appel à témoin qui n’a rien donné. Des témoins auraient vu une personne correspondant à son signalement tomber dans la Garonne. Pour l’heure, malgré les recherches, son corps n’a pas été retrouvé.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/26/1803592-le-corps-d-une-femme-repeche-quai-de-la-daurade.html

Accident mortel sur la route du Cap corse

Un enfant de 3 ans tué et deux femmes grièvement blessés dans un véhicule qui a fait  une sortie de route ce samedi 25 janvier à 3 heures du matin sur la Départementale 80 entre Sisco et Brando

L'accident survenu dans la nuit n'a été connu qu'a 7 heures 20 du matin.

Aussitôt alertés, d'importants moyens de secours ont été immédiatement déployés sur la zone de la sortie de route du véhicule sur la D 80 entre Brando et Sisco.

Une équipe de recherche du GRIMP, trois ambulances et des moyens de désincarcération étaient à l'oeuvre.

Les deux adultes, deux femmes sérieusement blessées, ont été transportés à l'hôpital de Bastia.



http://corse.france3.fr/faits-divers

samedi 25 janvier 2014

Décès d'un skieur à la Vallée Blanche

Un skieur est décédé à la mi-journée après avoir chuté dans une crevasse dans la Vallée blanche, située dans le massif du Mont-Blanc, a-t-on appris auprès des secours en montagne. Vers 12h00, un groupe de six personnes, encadré par un guide, skiaient dans la Vallée Blanche, quand deux d'entre eux ont fait une chute d'une quarantaine de mètres dans une crevasse, suite à la rupture d'un pont de neige.

Un homme âgé d'une quarantaine d'années est mort sur le coup, tandis qu'un second skieur, blessé à la jambe, a été transporté par hélicoptère à l'hôpital de Sallanches (Haute-Savoie), ont précisé les secours.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/25/97001-20140125FILWWW00364-deces-d-un-skieur-a-la-vallee-blanche.php

Martigné-Ferchaud. Mort d'un jeune homme de 18 ans dans un accident

Ce samedi matin, un accident impliquant un seul véhicule a fait un mort sur la commune de Martigné-Ferchaud (35), située en limite avec le département de la Loire-Atlantique. Un jeune homme, âgé de 18 ans et domicilié à Soulvache (44), qui rentrait chez lui après le travail, circulait sur l’axe La Guerche-de-Bretagne - Martigné-Ferchaud, lorsqu’il a perdu le contrôle de son véhicule pour des raisons qu’il reste à déterminer. Après avoir effectué des tonneaux, la voiture a fini sa course sur le toit et dans un fossé. C’est un automobiliste qui passait à la hauteur de l’accident qui a donné l’alerte vers 1 h 15. Le conducteur qui a été retrouvé coincé dans l’habitacle était décédé à l’arrivée des secours. Une enquête de gendarmerie a été ouverte par la brigade de La Guerche-de-Bretagne.

http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/ille-et-vilaine/martigne-ferchaud-mort-d-un-jeune-homme-de-18-ans-dans-un-accident-25-01-2014-2380800.php

Happée par un train sur la ligne Roanne / Saint-Étienne

Une femme a été happée par un train de marchandises ce samedi matin, sur la ligne Roanne Saint-Etienne, au niveau de la commune de Chambœuf. Actuellement le trafic est totalement interrompu dans les deux sens de circulation.
Agée de 46 ans, la femme dont l’identité n’est pas encore connue, est décédée. Les enquêteurs privilégient la thèse du suicide.
Deux trains ont été supprimés, un au départ de Roanne, l'autre au départ de Saint-Étienne. Des cars de substitution ont été mis en place.
Il s’agit du deuxième accident sur les lignes SNCF de la Loire cette semaine.
Mercredi soir, un jeune homme a également trouvé la mort alors qu’il traversait les voies à Saint-Étienne, rue Barrouin, alors que le passage à niveau était fermé. Il a été percuté par un TER.

http://www.leprogres.fr/loire/2014/01/25/happee-par-un-train-sur-la-ligne-roanne-saint-etienne

Carcassonne : mortellement agressé par sa compagne

Un homme de 36 ans a été retrouvé mort vendredi soir dans son appartement. Sa compagne, qui a prévenu la police, a été interpellée.
C’est peu avant 21 h, vendredi, qu’une femme de 29 ans a alerté le poste de police, signalant qu’il venait de se passer quelque chose de terrible, dans un appartement situé au 52, rue du 4-Septembre.
Rapidement sur les lieux, les policiers vont découvrir le corps d’un homme inanimé et portant, apparemment, les traces d’au moins un coup de couteau. L’homme, âgé de 36 ans n’a pas survécu à ses blessures, et son décès a été constaté sur place, avant que son corps ne soit évacué par les services funèbres vers 22h30.


Selon nos informations, le couple, issu d’un milieu plutôt marginal, serait habitué à se disputer. L’auteure présumée du coup mortel a été interpellée par les policiers, et transportée en état d’ébriété au centre hospitalier

http://www.midilibre.fr/2014/01/25/carcassonne-mortellement-poignarde-par-sa-compagne,813108.php

vendredi 24 janvier 2014

Nice: Un enfant mort et quatre blessés dans une explosion dans un appartement

Un enfant, âgé de 3 ou 4 ans, est mort et quatre personnes ont été blessées ce vendredi matin dans une explosion survenue dans un appartement à Nice, a-t-on appris auprès des pompiers.
L'explosion, dont l'origine n'était pas connue dans l'immédiat mais est a priori «accidentelle», s'est produite à 10H18, occasionnant de gros dégâts dans un immeuble de plusieurs étages, selon les pompiers. La toiture a été soufflée et le bâtiment a perdu de larges pans de sa façade, a constaté un correspondant de l'AFP.

Mère grièvement touchée

Parmi les quatre blessés, la mère de l'enfant, grièvement touchée, a été évacuée par hélicoptère. Deux voisins, qui vivaient à côté l'appartement soufflé, ont été légèrement atteints.
«J'ai cru à un tremblement de terre, le souffle a été très important», a expliqué une autre voisine.
Les sapeurs-pompiers ont déployé de gros moyens, 65 hommes en tout, avec des équipes cynophiles.
Selon le maire (UMP) Christian Estrosi, qui s'est rendu sur place, les habitants des dix appartements de l'immeuble sont en cours de relogement. 

http://www.20minutes.fr/societe/1280146-20140124-nice-enfant-mort-quatre-blesses-explosion-appartement

Landes: Une femme tuée par un train alors qu'elle traversait les voies

Une femme âgée est décédée ce vendredi matin après avoir été happée par un train express régional (TER) alors qu'elle traversait les voies près de Dax (Landes), a-t-on appris auprès des pompiers, confirmant une information du journal Sud Ouest.
La femme, dont l'âge n'est pas immédiatement connu, a été heurtée peu avant 10h par un TER reliant Pau à Dax, et a été traînée «sur environ 300 mètres», souligne le site de Sud Ouest.
La thèse de l'accident serait privilégiée.

http://www.20minutes.fr/societe/1280206-landes-une-femme-tuee-par-un-train-alors-qu-elle-traversait-les-voies

Isère: une adolescente fait une chute mortelle

Une adolescente de 15 ans recherchée depuis cet après-midi en Isère, a été retrouvée morte au pied d'une barre rocheuse, selon la gendarmerie, confirmant une information du Dauphiné Libéré.

La jeune fille a été retrouvée dans la matinée, non loin de son domicile, par le peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) qui survolait la zone en hélicoptère. La thèse de l'accident est privilégiée. Des investigations vont être entreprises sur la cause de sa chute. La jeune fille avait disparu en allant promener son chien, sur la commune de Cognet, près de La Mure, à une quarantaine de kilomètres au sud de Grenoble.

La disparition avait été signalée hier à 18h50 par ses parents. La gendarmerie avait déployé d'importants moyens en vue de la retrouver, avec notamment des équipes cynophiles et un hélicoptère de la Sécurité civile. Les sapeurs-pompiers ont aussi participé aux recherches. Interrompues à 01h00 du matin, les recherches avaient repris aujourd'hui à 08h00, avec des renforts venus des compagnies de gendarmerie de Grenoble et Meylan.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/24/97001-20140124FILWWW00342-isere-une-adolescente-fait-une-chute-mortelle.php

Fleury-en-Bière: accident mortel sur l'A6

Un homme de 38 ans est décédé ce vendredi matin dans un accident survenu sur l'autoroute A6 en direction à hauteur de Fleury-en-Bière, en Seine-et-Marne. Le drame s'est produit vers 6h15. Un conducteur âgé de 75 ans circulait seul à bord de sa voiture en direction de la province lorsqu'il a percuté l'arrière d'un véhicule qui - semble-t-il - roulait à faible allure. 

 
Les enquêteurs ne savent pas encore si cette seconde voiture se trouvait sur la voie de droite ou la bande d'arrêt d'urgence. A son bord, la victime, née en 1976.

Dans un premier temps, l'autoroute a été coupée pour permettre à un hélicoptère des secours de se poser pour évacuer rapidement l'homme très grièvement blessé. Mais il est finalement décédé sur place et la venue de l'hélicoptère a été annulée. Quand au conducteur de 75 ans, il est légèrement blessé.

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77

Belfort : trois personnes tuées par balles, l'ex-mari de l'une des victimes se rend

Les corps de trois personnes tuées par balles ont été découverts jeudi à Belfort. Des crimes pour lesquels un homme d'une quarantaine d'années, l'ex-mari de l'une des victimes, s'est rendu à la police. Le mobile du crime reste encore inconnu.

Un homme d'une quarantaine d'années s'est rendu au commissariat de Belfort jeudi soir, en s'accusant d'avoir tué trois personnes dont les corps ont été retrouvés. Les corps d'une femme et de deux hommes tués par balles ont été découverts dans deux endroits différents de la ville par les policiers à Belfort sur les indications du suspect, qui a été placé en garde à vue vers 19h30.
"Les circonstances et le mobile du crime ne sont pas déterminés pour l'instant. Nous avons gelé les lieux pour mener les constatations techniques (...) et le travail d'audition et de témoignage", a déclaré le procureur de Belfort Alexandre Chevrier. Le quadragénaire s'est rendu au commissariat avec une arme de 9 millimètres qui pourrait être l'arme du crime. Il devait être auditionné dans la nuit, a précisé une source proche du dossier.
"Il n'était pas dans un état normal"
La première victime, un homme d'une quarantaine d'années, a été découverte à son domicile. Une victime qui pourrait vraisemblablement être l'amant de l'ex-femme du tireur présumé, également tuée par balle. La troisième vicime, un psychiatre également âgés d'une quarantaine d'années, a été trouvés dans le même immeuble que l'ex-femme de l'auteur des coups de feu. Le procureur de Belfort s'est refusé à commenter toute hypothèse sur le mobile du crime pour le moment.
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La femme tuée était "l'ex-femme du meurtrier, elle habitait le même immeuble que le psychiatre", a précisé de son côté le maire de Belfort, Etienne Butzbach (PS). "L'important pour la population c'est de savoir que le meurtrier s'est rendu. Il n'était pas dans un état normal", a ajouté le maire, faisant part de sa "compassion" pour les familles des victimes.
Le procureur a conjointement saisi les services de la sécurité publique de Belfort et de la police judiciaire de Besançon. Il a prévu de donner une conférence de presse vendredi
 

jeudi 23 janvier 2014

Île de Ré : un piéton meurt fauché par une voiture

Mercredi soir, aux alentours de 18h40, un piéton de 70 ans a été renversé sur la route départementale 735 à La Couarde-sur-Mer dans l'île de Ré par une voiture.
Malgré l'intervention du Smur et des sapeurs-pompiers de Saint-Martin-de-Ré et Ars-en-Ré, l'homme est décédé. 
La conductrice, elle, a été choquée par l'accident

http://www.sudouest.fr/2014/01/23/la-couarde-sur-mer-17-un-pieton-fauche-par-une-voiture-1438618-1391.php

Inondations à La-Londe-les-Maures : un artisan sinistré se suicide, le village sous le choc

C'est la stupéfaction pour les habitants de La-Londe-les-Maures. A peine remis des inondations de ce week-end, qui ont fait un mort dans la commune, ils ont appris mercredi le suicide d'un entrepreneur âgé de 52 ans, très connu dans la ville.
Sa maison avait été dévastée par les inondations
Selon le journal Var-Matin, l'homme n'aurait pas laissé de lettre afin d'expliquer son geste. Le lien entre son suicide et la situation dans laquelle se trouvent actuellement les commerçants sinistrés n'est donc pas strictement établi. Ce père de famille avait en tout cas payé le prix fort suite aux violentes intempéries.
Une commerçante londaise a effectivement déclaré à Var-Matin que la maison, où se trouvait également l'entreprise et tout le matériel de ce quinquagénaire, avait été dévastée après le passage des inondations dimanche. L'homme aurait d'ailleurs reçu mardi la visite d'un expert ayant jugé son matériel trop ancien. Une source proche de l'affaire a expliqué que tous ces éléments pourraient être à l'origine de son geste. 
Une cellule psychologique a été mise en place
Plusieurs centaines de bénévoles ont continué mercredi les opérations de nettoyage des maisons à La-Londe-les-Maures. "Au total ce mercredi, ce sont plus de 1000 personnes qui sont mobilisées au plus près des sinistrés pour les opérations de nettoyage et de levage des bateaux au port Maravenne", écrit la municipalité sur son site internet.
Une cellule de soutien psychologique a également été ouverte mercredi par la mairie pour les sinistrés, dont certains "peuvent se révéler fragile et se retrouver en détresse psychologique".
 

Vittel : un gendarme se suicide chez lui avec son arme de service

C’est la consternation générale à la gendarmerie de Vittel depuis avant-hier. En fin d’après-midi, un coup de feu éclate dans un logement de fonction, à quelques mètres des bureaux militaires. Quelques instants plus tard, la famille et des collègues de travail découvrent le corps sans vie de Philippe Veillon qui s’est tué avec son arme de service. C’est un gendarme âgé de 46 ans bénéficiant d’états de service exemplaires durant 27 années de carrière. Depuis, chacun s’interroge sur les motivations d’un tel geste. Intransigeant dans son métier, il ne laissait apparaître aucun sentiment de lassitude ces derniers jours, toujours prêt à s’investir dans des enquêtes difficiles.
Tout au long de sa carrière, il a fait preuve d’une extrême pugnacité. En 1986, le jeune Vittellois Philippe Veillon devenait gendarme auxiliaire à Luxeuil avant d’entrer l’année suivante à l’école de gendarmerie à Chaumont. Nommé ensuite à Fraize, le militaire se révélait un gendarme efficace et intransigeant.
« Son dossier laisse apparaître une note de 10 sur 10. À sept reprises, il a été cité pour son efficacité exemplaire », indique le commandant de la compagnie Benoit Dufaug, et il a reçu la médaille d’or de la Défense, le 1er janvier 2000.
Rien n’explique donc ce geste irréparable. En cet après-midi tragique, il avait demandé l’autorisation à ses supérieurs de quitter plus tôt son service, une doléance immédiatement acceptée. Que s’est-il passé dans son esprit après ? Les questions demeurent en suspens. Une autopsie est en cours et devrait confirmer la thèse du suicide.

« Des états de service remarquables »

Jusqu’à sa disparition brutale, le gendarme Veillon a contribué à la bonne marche de la brigade. « Vittel, où il exerçait depuis 2001, perd un pilier de son organisation. Toujours de bon conseil pour les plus jeunes, il apportait sa clairvoyance et son expérience sur les dossiers », confie l’adjudant-chef Philippe Fatet, commandant de la Cob Vittel. Brillant dans ses fonctions, Philippe Veillon avait également construit une vie familiale. De son union avec Laurence en 1986 sont nés une fille et un fils âgés de 18 et 23 ans. Au cours de ses moments de loisirs, il aimait rejoindre sa maison à Monthureux-sur-Saône héritée de ses parents. Il prenait ainsi le temps de jardiner, faire son bois et entretenir la demeure. Ce Vittellois d’origine trouvait là le temps de se ressourcer.
« Il a effectué toute sa carrière comme gendarme, car il ne souhaitait pas être muté malgré des états de service remarquables », indique le commandant Dufaug.
Gendarme de terrain, il excellait dans les missions routières classiques. « Toutefois, il s’est distingué dans des affaires moins conventionnelles. Je pense notamment en août 2013 à la résolution difficile d’un dossier concernant du travail dissimulé sur les cantons de Darney, Monthureux et Lamarche. Grâce à son opiniâtreté, il est parvenu à faire tomber un réseau écoulant de la viande avariée. Très travailleur, il apportait aussi son esprit de camaraderie », enchaîne l’adjudant-chef Fatet.
La brigade de Vittel et ses 20 gendarmes accusent un nouveau coup du sort. Cette mort brutale fait suite au décès du major Patrice Brenot, commandant de la brigade, suite à une maladie implacable en juillet 2013.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/01/23/un-gendarme-se-suicide-chez-lui

Mulhouse: mort mystérieuse d'une riche veuve

Sa mort interpelle les enquêteurs mulhousiens. Une enquête criminelle a été ouverte après la découverte mardi, dans sa propriété de Pfastatt, dans le Haut-Rhin, du corps d'une riche sexagénaire suisse. La victime présentait des blessures à la tête, a-t-on appris mercredi auprès du parquet de Mulhouse.
Le jardinier alerte les policiers. Le corps de Michèle Röthlisberger-Zaugg - veuve de l'artiste, historien et critique d'art suisse Rémy Zaugg - a été retrouvé lundi par la police dans une dépendance de son domicile. Elle était âgée de 69 ans. Le 16 janvier dernier, son jardinier avait donné l'alerte, en indiquant être sans nouvelles d'elle depuis quelques jours. Pompiers et policiers municipaux s'étaient rendus sur place, dans la grande maison de maître, où elle vivait seule depuis la mort de son mari en 2005. Mais ils n'avaient rien trouvé. Son corps a finalement été retrouvé mardi par la police judiciaire de Mulhouse. Le cadavre gisait dans une des nombreuses dépendances de la propriété.
La victime en conflit avec sa fille. "Aucune hypothèse n'est pour l'instant écartée", a dit la magistrate, précisant que la victime "présentait plusieurs blessures à la tête". Une autopsie devait être pratiquée jeudi à Strasbourg. La victime était en conflit avec sa fille concernant la succession de son mari, et également avec son voisin, qui était aussi son locataire, selon le parquet. La maison de ce voisin a par ailleurs été mise sous scellés par les policiers.
Un mari visionnaire. Souvent qualifié de "visionnaire " dans les milieux artistiques, Rémy Zaugg était une référence dans l'art contemporain. Peintre, sculpteur et critique, il avait mis en scène la rétrospective consacrée à Giacometti à Paris en 1991, et collaboré avec de nombreux architectes de renommée, dont les Bâlois Herzog et de Meuron, qui avaient d'ailleurs réalisé son atelier de Pfastatt.
 
 
 

mercredi 22 janvier 2014

Sa petite amie lui dit non, il s'immole par le feu

Un homme de 25 ans a tenté aujourd'hui de s'immoler par le feu à son domicile à Templeuve (Nord), visiblement après s'être vu refuser de se marier sur décision de justice, a appris l'AFP auprès du parquet de Liile, confirmant une information de La Voix du Nord.

Le jeune homme a tenté de se suicider en s'immolant à son domicile en milieu d'après-midi et a été transporté à l'hôpital de Lille avec de graves brûlures, ont indiqué les gendarmes. "Il s'est immolé en s'aspergeant d'un liquide inflammable en présence de son amie", a précisé le parquet de Lille. "On suppose que c'est en relation avec une décision d'opposition à un mariage qui lui a été signifiée", a-t-on ajouté de même source.  "Il n'a pas pu être entendu compte tenu évidemment des blessures, ni elle parce qu'elle était choquée", a expliqué le parquet.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/01/22/97001-20140122FILWWW00555-sa-petite-amie-lui-dit-non-il-s-immole-par-le-feu.php

Crosmières. Accident mortel entre un poids lourd et un utilitaire

Ce mardi, vers 15 h 40, une collision s’est produite sur la route de Sablé à l’entrée de la commune de Crosmières dans le sens La Flèche-Sablé.

Un véhicule utilitaire a heurté un poids lourd qui arrivait en sens inverse. Le conducteur du véhicule, un homme âgé de 57 ans et résidant à Mansigné, est décédé. Celui du poids lourd immatriculé en Roumanie est indemne. Les pompiers de Malicorne et de La Flèche étaient toujours sur place à 16 h 45, pour désincarcérer le conducteur de l’automobile. Une circulation alternée a été mise en place.
Hier, trois personnes avaient été blessées dans une collision impliquant trois véhicules, sur cette même route.

http://www.ouest-france.fr/surtitre/crosmieres

A 88 ans, il se suicide à l'aube de son procès d'assises

Il voulait "faire sa fête" à son voisin, le jour même de la Fête des voisins… à coups de 22 long rifle cependant. Un retraité de 88 ans, résidant à Saint-Laurent-du-Var, devait être jugé mercredi aux assises des Alpes-Maritimes, à Nice, pour tentative d'assassinat. Mais il n'y aura pas de procès : l'homme s'est suicidé dimanche, deux jours avant la première audience, rapporte Nice-Matin mercredi.
Deux coups de fusil sur Marcel. Le 28 mai 2010, Henri Roemer, 84 ans à l'époque, avait vu rouge. En ce jour de Fête des voisins, l'homme avait tenté de tuer le sien, Marcel, en tirant à deux reprises avec sa carabine 22 long rifle. Un coup de sang venant solder une altercation et plusieurs années de tensions entre les deux hommes. Marcel, atteint au visage et à l'épaule, avait cependant survécu.
 

Arras : un homme s'immole aux urgences de l'hôpital

Dimanche vers 21h30, un homme, âgé d’une cinquantaine d’années, s’est immolé par le feu alors qu’il se trouvait dans la chambre pour patients agités aux urgences du centre hospitalier d’Arras (Pas-de-Calais).
Le quinquagénaire, qui avait été admis aux urgences pour son comportement suicidaire, a mis le feu au matelas de son lit, rapporte la site de "La Voix du Nord".
Très grièvement blessé, le patient a été évacué vers le service de réanimation des grands brûlés du CHRU Roger-Salengro, à Lille. Son pronostic vital est actuellement engagé.

http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/

Rhône. Après la mort de son mari, elle veut retrouver des témoins d’une bousculade dans le métro

Lyon 7e /Nord-Isère. Le 8 mars 2005, Yves Mancini était écrasé lors d’un mouvement de foule dans le métro, après un match de l’OL. Aujourd’hui, sa femme recherche des témoins
Le 8 mars 2005, l’Olympique Lyonnais battait 7 à 2 à domicile les Allemands du Werder Brême, accédant ainsi aux quarts de finale de la Ligue des Champions. Mais ce n’est pas ce match d’anthologie de l’OL, le club favori d’Yves, son mari, dont Jocelyne Mancini se souvient. Pour cette habitante de Villette-d’Anthon, dans le Nord-Isère, cette date sonne comme le début d’un cauchemar interminable.

Elle doit déposer sa demande d’indemnisation avant la fin janvier

Ce soir-là, au sortir du stade de Gerland, à la station de métro Jean-Jaurès (Lyon 7e ), Yves Mancini est victime d’une bousculade. Cet agent de maîtrise à la retraite est écrasé par un flot de supporters, qui se ruent sur les quais pour monter dans le dernier métro. Victime, entre autres, d’une hémorragie cérébrale, il ne sortira du coma que 21 jours plus tard.
Après avoir multiplié les séjours à l’hôpital pendant huit ans, Yves Mancini est finalement décédé la veille de Noël 2013. Sa femme Jocelyne a d’abord assigné en justice l’exploitant du métro lyonnais, sans succès. Elle prend alors la décision de saisir la Civi (Commission d’indemnisation des victimes d’infractions), mais le délai de prescription de trois ans étant dépassé, sa demande est deboutée. C’est l’aggravation de l’état de santé d’Yves Mancini, ayant finalement entraîné sa mort fin 2013, qui a permis à sa femme de saisir à nouveau cette commission. Mais la Nord-Iséroise doit aujourd’hui apporter des preuves de la bousculade. « Deux attestations sur l’honneur suffiraient à mon dossier, en mémoire de mon mari… tous les supporters s’en souviennent forcément ! », explique Jocelyne Mancini, qui doit déposer sa demande d’indemnisation avant la fin du mois de janvier.
Les témoins de cette scène peuvent donc contacter Mme Mancini par mail à l’adresse jocelyne.mancini@hotmail.fr.

http://www.leprogres.fr/rhone/2014/01/22/apres-la-mort-de-son-mari-elle-veut-retrouver-des-temoins-d-une-bousculade-dans-le-metro

mardi 21 janvier 2014

Un homme tué à l'arme blanche

Le corps sans vie d'un homme de 35 ans a été découvert dimanche vers 19 heures, au bord de la D1045 non loin du petit village de Leuze, près d'Aubenton. L'homme a été victime d'un coup d'arme blanche dans le ventre.
Les secours, pompiers et Smur, ont été appelés sur place mais il était déjà trop tard. L'enquête a été rapide puisque dès hier matin, les gendarmes ont interpellé un jeune homme de 25 ans suspecté d'être l'auteur du coup mortel. Il était toujours en cours d'audition hier soir. On ignore donc les circonstances exactes de ce drame. Les faits se seraient passés sur la voie publique, a priori sans témoin. Les deux hommes se connaissaient.
L'hypothèse d'une rivalité amoureuse
La première hypothèse pourrait être celle d'une rivalité amoureuse car « l'un était avec l'ex-femme de l'autre », selon le procureur de Laon Olivier Hussenet. La suite de l'enquête a été confiée à la brigade de recherches de Vervins. Une autopsie était également prévue ce matin. Elle permettra notamment de définir combien de coups ont été portés et aussi préciser l'heure de la mort. A l'issue de sa garde à vue, le suspect pourrait être déféré dans la journée devant un juge d'instruction et mis en examen pour homicide volontaire.



  http://www.aisnenouvelle.fr/article/faits-divers-justice/un-homme-tue-a-larme-blanche

Après la mort dramatique de Loana, une éducatrice offre son aide

« Pareille misère me scandalise. J’avais dit que je ne voulais plus la voir quand j’ai quitté Paris. Je la retrouve finalement à Rethel. Une petite fille âgée de 17 mois est morte des suites de coups violents. Je ne veux pas laisser passer cela. Si on en est arrivé là, c’est qu’il y a eu un problème. J’attends beaucoup d’un questionnement sur l’affaire et des enseignements qui en seront tirés.  »
Marie-Jo Malcorps était éducatrice de jeunes enfants dans un foyer d’accueil. «  J’étais en contact avec des mamans qui venaient de la rue.  »
Touchée par le décès de Loana survenu dans la nuit du 26 au 27 décembre, elle a pris part à la marche blanche qui était organisée en son hommage. L’occasion d’entrer en contact avec le maire Guy Deramaix et de lui proposer ses services. «  J’offre mon expérience et mon temps, à l’écoute des mamans en détresse. Si celle de la petite Loana avait pu se livrer, trouver quelqu’un à qui demander de l’aide et expliquer qu’elle n’en pouvait plus, le drame ne se serait peut-être pas produit.  »
Attention, Marie-Jo Malcorps n’incrimine personne pour autant. «  Je cherche simplement à faire en sorte que cela ne se reproduise plus. Il ne faut pas que d’autres enfants meurent parce que leurs parents sont en détresse.  » Il y a deux ans de cela, précise-t-elle, vingt mineures scolarisées à Rethel étaient enceintes. Ce qui est édifiant.

http://www.lunion.presse.fr/region/video-apres-la-mort-dramatique-de-loana-une-educatrice-ia3b25n285721

Un marin tombé à la mer près du Havre

Des recherches ont été lancées pour retrouver un membre d'équipage d'un porte-conteneurs battant pavillon du Libéria, le Loa, tombé à la mer hier soir, à quelques kilomètres au large du Havre, les "chances de survie étant très limitées", selon la préfecture maritime de la Manche.

Le navire avait quitté le port du Havre et était dans le chenal de sortie quand la disparition du marin, dont la nationalité n'a pas été précisée, a été constatée, selon la même source. Le cargo se situait à 5 nautiques (soit 9 km) au large du Havre lorsque le porte-conteneurs a donné l'alerte.

Les recherches, lancées hier soir, mobilisaient ce matin un hélicoptère de la Marine nationale, une embarcation de la gendarmerie maritime du Havre et une vedette de la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM) basée au Havre. La préfecture maritime ne cachait pas aujourd'hui que les "chances de survie sont très limitées



L'ex-préfet Bernard Fragneau s'est donné la mort

"Il a mis fin à ses jours en début de soirée dans le bureau de son épouse", a indiqué une source policière sans plus de précisions, confirmant une information du Point. Bernard Fragneau, sorti de l'ENA en 1979, avait fait quasiment toute sa carrière dans la préfectorale. Il avait notamment été préfet du Jura, de l'Eure, de l'Essonne et du Pas-de-Calais, avant d'être nommé préfet de la région Poitou-Charentes, puis de la région Centre et du Loiret.

En 2010, le haut-fonctionnaire s'était senti désavoué par
Nicolas Sarkozy. Le préfet avait signé un arrêté d'expulsion contre une Marocaine de 19 ans, interpellée alors qu'elle s'était rendue chez les gendarmes afin de porter plainte pour maltraitance contre son frère. Cette expulsion avait provoqué un tollé et l'ancien chef de l'Etat avait ordonné le retour en France de la jeune femme.

Bernard Fragneau, personnalité au caractère bien trempé, avait alors demandé à être relevé de ses fonctions. Depuis cette affaire, le préfet avait été placé hors-cadre. Selon un proche cité par Le Point, il était en discussion avec le ministère de l'Intérieur pour retrouver une affectation


http://lci.tf1.fr/france/societe/l-ex-prefet-bernard-fragneau-s-est-donne-la-mort-8350670.html

lundi 20 janvier 2014

Saint-Georges-de-Didonne (17) : un incendie détruit une concession moto, un corps sans vie est découvert

Un incendie a ravagé une concession moto ce lundi, rue Arago. Les pompiers ont découvert un corps sans vie dans les décombres. Peut-être celui du propriétaire des lieux
n corps sans vie a été retrouvé ce lundi après-midi dans les décombres de la concession moto Pit Racing, à Saint-Georges-de-Didonne. Il pourrait s'agir du gérant de l'établissement, dont l'habitation se situe d'ailleurs à l'arrière du bâtiment, situé rue Arago.
Les sapeurs-pompiers ont été appelés vers 13 heures par des témoins, au début de l'incendie. Un important panache de fumée était visible de loin. A l'arrivée des pompiers, d'ailleurs, la partie de ce bâtiment, divisé en trois cellules, qui abritait la concession moto était déjà totalement embrasée. Le local voisin, occupé par le centre de contrôle technique Autosûr, n'a pas été endommagé par l'incendie. Les flammes et la forte chaleur ont toutefois fragilisé le mur en béton mitoyen, interdisant toute reprise d'activité pour Autosûr, où les trois membres du personnel devraient temporairement se retrouver au chômage technique.
Les pompiers ont également pu protéger le logement attenant. Ils ont néanmoins fait cette macabre découverte d'un corps sans vie une fois le sinistre circonscrit. L'enquête a été confiée à l'antenne rochelaise du service régional de police judiciaire, déjà chargée des investigations sur le décès suspect d'un nonagénaire, dimanche soir, à Royan, dans l'incendie partiel de son appartement.

http://www.sudouest.fr/2014/01/20/saint-georges-de-didonne-17-un-incendie-detruit-une-concession-moto-un-corps-sans-vie-est-decouvert-1435597-1391.php

Immense émotion après l'accident mortel de Priaires

Week-end dramatique en Deux-Sèvres, où trois jeunes du Niortais âgés de 19 et 20 ans ont trouvé la mort dans un accident de la route, samedi matin.
Hier encore, le drame était sur toutes les lèvres. Immense émotion ce week-end en Deux-Sèvres, après le terrible accident de la route qui a coûté la vie à trois jeunes garçons âgés de 19 et 20 ans. La tragédie s'est nouée tôt samedi matin, sur la route départementale 115, à hauteur de la commune de Priaires, à une vingtaine de kilomètres au sud de Niort.
>> "Trois jeunes Deux-Sévriens se tuent dans un choc frontal"
Selon les premiers éléments de l'enquête, les trois amis, originaires d'Aiffres et de Niort, rentraient d'une soirée passée en discothèque lorsque, pour une raison encore indéterminée, leur véhicule, une Mini Cooper, se serait déporté en travers de la route avant de percuter une camionnette arrivant en face.
Choc violent
Le choc a été particulièrement violent. Les trois occupants de la Mini Cooper sont décédés sur le coup. Le conducteur de la camionnette, un chauffeur de la société « Taxi du Marais » qui allait récupérer des clients à la sortie de la discothèque d'où venaient probablement les trois jeunes victimes, a été transporté au centre hospitalier de Niort. Il en est ressorti dans la journée, indemne, mais extrêmement choqué.
Une enquête a été ouverte pour tenter de déterminer les circonstances exactes de l'accident, survenu de nuit mais en pleine ligne droite et sur une route sèche. Des analyses ont été diligentées pour déceler la présence éventuelle d'alcool ou de stupéfiants chez le conducteur décédé.
« Dramatique », « triste », « tragique », « effroyable »… Toute la journée de samedi et dimanche, le drame a suscité énormément d'émotion sur les réseaux sociaux, notamment parmi le cercle d'amis et de connaissances des trois garçons. Deux d'entre eux poursuivaient leurs études au lycée polyvalent Saint-André, à Niort. Le plus âgé avait soufflé ses vingt bougies il y a quatre jours.


http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres

Dannemarie Une marche silencieuse après le drame du 1er janvier

La mort dramatique de Daniel Weber, un père de famille de 48 ans, victime d’un coup de couteau lors d’une altercation à nouvel an à Dannemarie, doit nourrir la réflexion citoyenne. Les organisateurs voulaient dénoncer la hausse de l’insécurité dans ce village sundgauvien…
Deux cents personnes environ se sont rassemblées dimanche au centre-ville de Dannemarie pour rendre hommage à Daniel Weber qui avait été mortellement blessé d’un coup de couteau dans la nuit de la Saint-Sylvestre et pour dénoncer « la violence et l’insécurité qui règnent dans leur commune ».

http://www.dna.fr/faits-divers/2014/01/19/tout-un-village-se-mobilise

Moisdon (44). Une mère de famille fauchée par un conducteur ivre

Ce dimanche, à Moisdon, une maman de 43 ans a été blessée à la tête et aux jambes après avoir été percutée par un chauffeur qui avait 1,5 g.

On a frôlé le pire ce dimanche 19 janvier 2014, peu avant 17 h, à Moisdon-la-Rivière, à douze kilomètres de Châteaubriant (Loire-Atlantique). Une maman et sa petite famille marchaient le long d’une petite route de campagne au lieu-dit la Bazillais, à moins d’un kilomètre du centre-bourg. La mère a été percutée par un automobiliste « qui arrivait derrière elle », selon un officier de gendarmerie.

Les deux enfants placés en observation

Grièvement blessée à la tête et aux jambes, cette enseignante de 43 ans, conseillère municipale à Moisdon depuis 2008, a été héliportée vers le CHU de Nantes. Âgés de 10 et 12 ans, les deux enfants qui l’accompagnaient dans cette promenade dominicale, ont été légèrement blessés et placés en observation à l’hôpital de Châteaubriant.

Plus d'1,5 g d'alcool

Le conducteur a expliqué aux gendarmes qu’il avait été ébloui par le soleil. Cet homme de 28 ans conduisait sous l’emprise de l’alcool et en état de récidive légale. Il avait plus d’1,5 g. Il a été placé en garde à vue à Châteaubriant.

http://www.ouest-france.fr/moisdon-44-une-mere-de-famille-fauchee-par-un-conducteur-ivre-1864859

Charmes-sur-Rhône : retrouvé agonisant près d'une station service

Hier, aux environs de 4 h30 du matin, un automobiliste a découvert un jeune homme gisant sur le bord de la route départementale 86, à Charmes-sur-Rhône. Aussitôt alertés, les sapeurs-pompiers de La Voulte-sur-Rhône et le Smur de Valence se sont rendus sur place. Selon nos informations, la victime serait décédée une heure plus tard, des suites de ses blessures.
C’est plus précisément aux abords de la station-service de Charmes que le témoin a fait la terrible découverte.

Y a-t-il eu délit de fuite ?

D’après les premiers éléments de l’enquête, la victime serait un jeune homme, âgé d’entre 25 et 30 ans.
La piste d’un accident de la circulation avec délit de fuite est évoquée. « Des débris de carrosserie ont été retrouvés sur les lieux », a indiqué le parquet de Privas, qui assure également ne pas avoir identifié la victime. « À ma connaissance, ce n’est pas quelqu’un de la commune », a précisé de son côté le maire de Charmes-sur-Rhône, Thierry Avouac, qui s’est rendu sur place.
Beaucoup de questions restent donc en suspens dans cette affaire. La brigade de gendarmerie du Pouzin, chargée de l’enquête, devra faire toute la lumière sur les circonstances exactes de cet accident.

http://www.ledauphine.com/faits-divers/2014/01/19/quel-drame-s-est-joue-sur-la-rd-86-hier

dimanche 19 janvier 2014

Un mort dans un accident de la route sur l'A35 : les gendarmes lancent un appel à témoins

Une collision entre deux véhicules sur l'A35 a fait un mort ce dimanche après-midi, vers 16h50. Les deux voitures sont sorties de la route peu avant l'aire de repos de Battenheim, dans le sens Mulhouse-Colmar, elles ont franchi le fossé et le talus pour finir leur course dans un champ, arrachant au passage le grillage de sécurité.

La victime, une femme âgée d'une cinquantaine d'années, était passagère dans l'un des deux véhicules. Quant aux conducteurs, ils ont été légèrement blessés et transportés à l'hôpital pour des examens complémentaires.

La voie lente a été fermée à la circulation afin de permettre aux secours d'intervenir. Un bouchon de 4 kilomètres s'est formé.

Les pompiers, le Samu, les gendarmes du peloton de Sainte-Croix ainsi que la brigade rapide d'intervention sont actuellement sur place.
Un appel à témoins a été lancé afin de préciser les circonstances du drame. Toutes personnes ayant aperçu quelque chose peut contacter les gendarmes au 03.89.29.50.61

http://www.lalsace.fr/actualite/2014/01/19/grave-accident-sur-l-a35-a-hauteur-de-rixheim

Les parents de Natacha Mougel : "Comment peut-on imaginer que son enfant puisse subir ça ? "

Le procès d'Alain Penin, accusé d'avoir tué Natacha Mougel en septembre 2010 débute ce lundi. Les parents de cette jeune femme qui avait 29 ans ont accepté de témoigner : "Notre vie est détruite", disent-ils
C'était il y a 3 ans et demi. Vers 22h, le 5 septembre 2010, les parents de Natacha Mougel, 29 ans, reçoivent un coup de fil de son petit ami. Il est inquiet de ne pas avoir de nouvelles de Natacha, partie faire un jogging ce soir-là vers 19h30. Immédiatement, Yves et Annick Mougel comprennent qu'il s'est passé quelque chose.

Ce soir-là, la vie s'est presque arrêtée pour le couple. Natacha, leur "princesse", est retrouvée le lendemain à Attiches, à 28 km du parc du Septentrion de Marcq-en-Baroeul. Elle a été tuée et violée par un homme qui était en liberté conditionnelle, Alain Penin.

Comment cet homme a pu déverser sur elle une telle haine ?

Dans la salle à manger, en regardant une des nombreuses photos de sa fille, Annick Mougel, très émue, raconte : "Quand je la regarde je me dis... Comment cet homme a pu déverser sur elle une telle haine ? ... C'est inexplicable...."

"Ces 40 mois ont été extrêmement longs, affirme Yves Mougel. Mais personnellement, je les ai mis à profit pour essayer de comprendre."

La question de
la personnalité et du profil judiciaire d'Alain Penin, récidiviste, est évidemment au coeur de leur réflexion, de leur colère : "On l'a laissé partir parce qu'on a dit on verra bien. En fait, le doute a profité à l'assassin mais pas la victime. Et c'est toujours comme ça qu'on fait."

http://nord-pas-de-calais.france3.fr/affaire-natacha-mougel

Bagarre entre bandes au Kremlin-Bicêtre : l’adolescent est décédé

L’adolescent de 16 ans qui avait été grièvement blessé dans une bagarre entre bandes au Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) est décédé samedi midi, a-t-on appris de source judiciaire ce dimanche, en fin d’après-midi.
Vendredi soir, il avait été retrouvé, gisant dans son sang, boulevard du Général-de-Gaulle, alors que le quartier était agité par un affrontement entre deux bandes rivales. L’adolescent avait été frappé à coups de marteau.

Le soir même, la police avait procédé à huit interpellations mais toutes les personnes arrêtées ont depuis été relâchées. L’enquête devra déterminer si « le jeune décédé faisait partie des combattants », a précisé cette même source judiciaire.



L'annonce de ce décès intervient au lendemain de la visite du ministre de l’Intérieur aux policiers du commissariat du Kremlin-Bicêtre. Manuel Valls avait dénoncé «des violences entre jeunes, pour des motifs futiles, pas supportables (...) Il semblerait que ce drame soit lié à une précédente agression, ce qui rend ces faits encore plus absurdes. »
Ce dimanche midi, une minute de silence a été observée sur un stade de foot de la Poterne des peupliers, à , en hommage à l’adolescent décédé.
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/le-kremlin-bicetre-bagarre-entre-bandes-l-adolescent-est-decede-19-01-2014-3508707.php