vendredi 31 mai 2013

Pyrénées-Orientales : une chômeuse meurt lors d'une saisie de Pole Emploi

Une femme de 51 ans a succombé à un malaise jeudi après-midi à Canet-en-Roussillon (Pyrénées-Orientales) alors qu’un huissier venait effectuer une saisie à son domicile pour le compte de Pole , révèle ce vendredi après-midi Midi libre.

 Selon le quotidien régional, l'huissier venait recouvrer une dette de 1790 € qu’elle avait auprès de Pôle Emploi. Un trop perçu d'indemnités suite à un litige avec son ex-employeur, précise de son côté L'Indépendant.

Selon les deux journaux, l'huissier n'a pas été accueilli à bras ouverts par la famille de la quinquagénaire, le ton est monté l'obligeant à battre en retraite et à revenir un peu plus tard en compagnie des gendarmes. C'est alors que le drame serait survenu.

La malheureuse, qui souffre de problèmes de , aurait été victime d'un malaise et se serait effondrée avant de décéder. Une autopsie a été ordonnée par le parquet de Perpignan, afin de déterminer les causes de la , selon les deux quotidiens.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/pyrenees-orientales-une-chomeuse-meurt-lors-d-une-saisie-de-pole-emploi-31-05-2013-2853899.php

Il tue son épouse

Un homme âgé de quarante-deux ans a tué son épouse au cours de la nuit de mardi à mercredi. Les faits se sont produits à l’intérieur de l’appartement du couple, dans le quartier du Marais à Schiltigheim.
Les circonstances exactes du drame sont encore incertaines, d’autant que l’autopsie du corps de la victime n’a pas encore été pratiquée. L’homme aurait étranglé son épouse dans la nuit de mardi à mercredi, à leur domicile de la rue de Bretagne à Schiltigheim. Il pourrait avoir agi sous l’emprise de l’alcool.
Après avoir constaté que sa femme, avec laquelle il était marié depuis six ans, était décédée, il aurait téléphoné à son ex-concubine. C’est elle qui aurait alerté les forces de l’ordre.

Une crise de folie ?

Placé en garde à vue mercredi matin dans les locaux de la sûreté départementale du Bas-Rhin, le quadragénaire aurait reconnu les faits devant les enquêteurs de la brigade criminelle. Il aurait indiqué avoir cédé à une crise de folie.
Le suspect a été présenté aujourd'hui en fin de matinée à un juge d’instruction qui l’a mis en examen du chef de meurtre sur époux. Un crime qui lui fait encourir la réclusion criminelle à perpétuité.
Le juge des libertés et de la détention l'a placé sous mandat de dépôt cet après-midi

http://www.dna.fr/actualite/2013/05/31/il-tue-son-epouse

Ils ne pourront jamais oublier

Familles et amis d'Alexis et Allyssia, deux Brazéens tragiquement décédés dans un accident de voiture en juillet dernier, ont organisé une journée hommage mercredi à Dijon.
Sur un écran géant du palais des Sports de Dijon, défilent les photos de visages juvéniles, souriants, insouciants. Ceux d’Allyssia et Alexis, deux jeunes Brazéens disparus l’été dernier, alors qu’ils venaient d’avoir 18 ans. Sur le bord du terrain, une dame peine à contenir ses larmes, tandis qu’une jeune femme de Brazey-en-Plaine, interprète la chanson Pour que tu m’aimes encore de Céline Dion. Les dernières photos s’affichent dans un silence de cathédrale. Des personnes ferment les yeux, un père console sa fille.
Dans les gradins, les amis les plus proches des deux victimes n’ont pas attendu la fin du diaporama pour quitter les lieux quelques instants, submergés par l’émotion. Les yeux rougis, Matthias, ami d’enfance d’Alexis, explique : « On a vu des photos qui font remonter beaucoup de souvenirs. Il y avait même des images qu’on n’avait jamais vues. Mais il fallait le faire ce diaporama, pour rappeler pour qui cet événement a été organisé. »
La journée hommage organisée mercredi à Dijon par l’association Allyssia et Alexis avait pour but de rendre hommage aux deux jeunes qui ont disparu tragiquement, mais aussi de sensibiliser les participants à l’importance de la prévention routière. Divers ateliers ont ainsi été installés aux différents niveaux du palais des Sports, avant la projection du diaporama.
Un simulateur de conduite, des démonstrations de secourisme ou encore une “voiture tonneau” ont accueilli un public jeune pendant tout l’après-midi. Une cinquantaine de jeunes, amis d’Allyssia et d’Alexis pour la plupart, se sont impliqués dans l’organisation de l’événement. Parmi eux, Dan, Eugénie, Marine ou encore Steven, des amis proches des deux jeunes gens.

« Ça peut arriver à n’importe qui »

« Depuis l’accident, on sait ce que représente la perte d’un être cher, on se rend compte que ça peut arriver à n’importe qui. Notre but, en étant là aujourd’hui, c’est qu’un maximum de gens soient sensibilisés », lance Dan, 16 ans.
Le drame a laissé des traces indélébiles dans le cœur et la mémoire des jeunes Brazéens. Plusieurs avouent « qu’ils ne réalisent toujours pas qu’ils ne sont plus là ». Steven, 20 ans, se souvient : « Pendant deux semaines, je n’ai pas pu prendre ma voiture ».
Le visage grave, Marine, une amie d’Alexis, lâche : « En voyant les photos, j’ai peur d’avoir mal. Le fait qu’elles soient dévoilées, comme ça, en public… Aujourd’hui, c’est une journée plutôt festive, qui s’est très bien passée, mais il nous reste un poids, qui nous rappelle pourquoi on est là. Il va falloir apprendre à vivre avec. »
Sur le terrain du palais des Sports, Jordan, le cousin d’Alexis, effectue la première passe décisive du match et marque le deuxième but de son équipe. Comme un symbole, comme un hommage.

http://www.bienpublic.com/region-dijonnaise/2013/05/31/une-emotion-restee-tres-vive

Wattrelos: l’enterrement des quatre jeunes morts au Saint-Liévin a lieu samedi

Les funérailles religieuses d’Azzedine, Mounir, Yacine et Ludovic, décédés le week-end dernier dans la filature désaffectée du Saint-Liévin auront lieu demain samedi: à la mosquée pour trois d’entre eux, et à l’église pour le dernier
Une cérémonie est organisée samedi midi à la mosquée de Wattrelos – située rue Stalingrad – pour Azzedine, Mounir et Yacine. La « Salat Janaza » (prière mortuaire) doit débuter à 13h. Mais les organisateurs conseillent à ceux qui veulent y participer de venir bien en avance, à partir de 11 h 30. La prière doit démarrer à midi.
Mounir et Yacine seront ensuite inhumés dans la foulée au carré musulman du cimetière de Roubaix, situé place Chaptal. Azzedine, lui, doit être enterré en Algérie.
Les funérailles religieuses de Ludovic, elles, se dérouleront à l’église St Maclou de Wattrelos, située place Jean Delvainquière. La cérémonie doit débuter à 9h30. Le jeune homme sera ensuite enterré au cimetière communal.

http://www.lavoixdunord.fr/region/wattrelos-l-enterrement-des-quatre-jeunes-morts-au-ia24b58801n1290947

Lespinasse. Des parents jugés après la mort de leur fillette, noyée dans le canal

Des peines de 1 an de prison avec sursis et une amende de 700 € avec suspension du permis de conduire ont été requises à l'encontre de deux parents après la mort de leur fillette de deux ans et demi au cours d'une terrible sortie de route dans le canal, à Lespinasse, en octobre 2010.
C'était leur première sortie depuis deux ans. Céline et Benjamin, jeune couple de Toulousains, se rendent à un anniversaire, à Castelginest, avec leurs fillettes de deux ans et demi, deux jumelles, Emma et Sarah. Pas de solution de garde ce soir-là. Mais le retour de cette soirée festive, ce 3 octobre 2010, vire au cauchemar. Au drame absolu dans le silence glacé d'une nuit noire, entre Lespinasse et Saint-Jory. Alcoolisé, le couple se dispute. Benjamin sort de la voiture et abandonne sa compagne et ses deux fillettes attachées à l'arrière, sur un siège auto. Céline prend le volant. Apeurée, en colère et perdue, elle ne sait pas conduire et s'engouffre dans un chemin cabossé, sans éclairage. L'Opel tombe dans le canal latéral. La conductrice se dégage et détache Emma de son siège. Les deux rescapées rejoignent la berge. Mais Sarah ne peut être récupérée. Cinq heures plus tard, les pompiers extraient le petit corps inanimé prisonnier de son siège. Sarah était une fillette pleine de vie, remuante de joie et de bonheur. Hier, devant le tribunal correctionnel, Céline, 30 ans et Benjamin, 29 ans, militaire engagé au Mali, ont tenté, malgré le poids de la culpabilité, d'expliquer à la barre ce terrible enchaînement des faits. Depuis cette tragédie, le couple s'est séparé. Poursuivie pour homicide involontaire, Céline, enceinte et vêtue de noir, arrive à peine à parler. Contre son ex-compagnon, la justice retient une conduite en état d'ivresse. Son taux d'alcoolémie au moment des faits a été estimé à plus de 1 gr. d'alcool par litre de sang.

Elle sauve une de ses filles

«Je suis parti de la voiture pour prendre l'air. On venait de se disputer pour trois fois rien. Mais je n'avais pas l'intention de rentrer chez moi à pied. Je ne pensais pas qu'elle pouvait prendre le volant», dit le militaire, qui, au bout de cette nuit a marché durant quatre heures pour regagner son domicile, avenue Saint-Exupéry, à Toulouse, avant d'apprendre la terrible nouvelle. «Il est déjà condamné à la peine la plus terrible, celle de perdre un enfant», ajoute son avocate, Me Coralie Soliveres. L'origine de la dispute ? Un mystère encore aujourd'hui. Sur le chemin du retour, vers 1 heure, le couple se perd en voiture. Les sept verres de whisky avalé par Benjamin n'arrangent pas les choses. Il claque la portière de l'Opel et s'en va. «Je croyais qu'il allait revenir, ajoute Céline. J'ai attendu vingt minutes. J'avais peur de rester là, au milieu de nulle part.» Elle prend le volant de l'Opel, perdue sur le chemin de Peyrailles, mal éclairé et caillouteux. Elle roule à 30 km/h, avec un taux d'alcool de 1,19 gr. Céline ne sait pas conduire mais suit une petite lumière qui jaillit un peu plus loin après un léger dénivelé. La voiture tombe brusquement dans le canal. Vers 4 heures, Benjamin est déjà proche de la barrière de péage, à Sesquières. Il appelle une vingtaine de fois Céline dont le téléphone est hors service. Il joint un copain de régiment qui le récupère au petit matin et le conduit chez lui. Ne voyant personne à la maison, il se rend à la gendarmerie de Saint-Jory. Les enquêteurs de la brigade de recherche de Toulouse Saint-Michel sont appelés par des riverains qui viennent de récupérer à Lespinasse, une mère et sa fille, pieds nus, trempées, errantes dans la nuit. Les deux rescapées sont hospitalisées, traumatisées. «Je veux honorer le courage de cette mère de famille qui a réussi à sauver une de ses filles», assène pour sa défense, son avocat Me Eric Zapata. Tragédie liée à «une accumulation de facteurs accidentogènes», précise l'expert. «Mais avec aussi une suite de mauvais comportements», assure, pour le ministère public, Brigitte Lanfranchi, sans accabler un couple déjà largement éprouvé. Des réquisitions de 1 an de prison avec sursis à l'encontre de Céline et une peine d'amende de 700 € assortie d'une suspension du permis, durant au moins 6 mois, sont demandées contre Benjamin. Délibéré le 20 juin.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/31/1638923-lespinasse-parents-juges-apres-mort-fillette-noyee-canal.html

Accident mortel de Gerland : le passager avoue être le véritable conducteur

Dimanche matin, un accident dramatique de la circulation s’était produit sur l’avenue Tony-Garnier, dans le quartier de Gerland. Vers 6h30, une Ford focus avec deux personnes à son bord avait percuté des échafaudages à la sortie d’un virage.
A leur arrivée, les secours avaient découvert un homme de 28 ans, habitant La Boisse dans l’Ain, mort derrière le volant, ainsi qu'un autre homme domicilié à Bron, qui était plus légèrement blessé.
Placé en garde à vue mercredi, celui-ci a finalement avoué aux enquêteurs de le Brigade des accidents et des délits routiers du commissariat des 3e et 6e arrondissements de Lyon qu’il conduisait le véhicule au moment de l’accident. Conduisant sous l’emprise de l’alcool et des stupéfiants, il pourrait avoir agi de la sorte afin d’échapper aux poursuites.

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/05/30/accident-mortel-de-gerland-le-passager-avoue-etre-le-veritable-conducteur

jeudi 30 mai 2013

Agression d'un couple de viticulteurs : l'homme dans le coma

Mercredi matin, un couple de viticulteurs a été violemment agressé dans sa propriété de Faverolles-et-Coëmy par un inconnu dont le mobile reste à déterminer. Le mari est dans le coma, l'auteur en fuite.
Un viticulteur de 65 ans est dans le coma, son épouse moins sérieusement blessée, un homme activement recherché après une violente agression commise mercredi matin à Faverolles-et-Coëmy, petite commune du Tardenois située à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Reims.
Domiciliés au centre du village, Jean-Michel Pongnian et son épouse disposent d'une autre maison en travaux sur le site de leur cuverie, rue de la Montagne. Rendez-vous y avait été pris ce mercredi, avec deux entrepreneurs, pour une réunion de chantier.
Vers 10 heures, alors que le groupe se trouvait à l'étage, M.Pongnian s'est absenté pour se rendre au rez-de-chaussée. Inquiète de ne pas le voir remonter, sa femme est allée à sa rencontre. C'est alors qu'elle l'a découvert allongé au sol, inanimé, avec une profonde blessure au crâne provoquée par un objet indéterminé (peut-être un outil).
Frappé au crâne
L'agresseur était toujours là. Il a frappé la viticultrice, lui occasionnant diverses contusions et plaies saignantes. Ses cris ont alerté les deux entrepreneurs, mais l'homme a eu le temps de s'enfuir. Plutôt grand, tout vêtu de noir, il avait le visage dissimulé par un bonnet ou une cagoule (les versions divergent). S'échappant de la maison, il a grimpé le talus de la cuverie avant de rejoindre la rue de la Cense-Flancourt et de dévaler une ruelle qui aboutit sur la route principale traversant le village. De là, il aurait pris un autre chemin qui se perd vers l'étang communal et les bois.
Tandis qu'une chasse à l'homme s'organisait, les pompiers et une antenne mobile du Samu portaient les premiers soins aux victimes. Si l'état de santé de Mme Pongnian n'inspire pas d'inquiétude, il en va différemment de son mari évacué dans le coma au centre hospitalier de Reims. Son pronostic vital, hier soir, restait engagé.
Pendant toute la journée, une quarantaine de gendarmes ont interrogé les 520 habitants et quadrillé le terrain pour tenter de retrouver l'agresseur. Deux équipes cynophiles ont participé aux recherches : un chien pisteur mais aussi un chien d'intervention dressé pour réagir en cas de confrontation avec un individu hostile. Un hélicoptère de la section aérienne de Metz a survolé la zone, mais tous ces moyens n'ont hélas pas permis de débusquer le fuyard.
Pourquoi ?
Etait-il seul ou avait-il des complices qui attendaient à proximité dans un véhicule ? Pour quelle raison s'est-il introduit dans la maison ? L'une des hypothèses est celle d'un cambrioleur surpris par le viticulteur, mais les gendarmes n'excluent pas les autres pistes, comme celle du déséquilibré ou d'une personne venue chez les exploitants à la suite d'un différend.
La brigade et la section de recherches de Reims sont chargées de l'enquête. Pendant de longues heures, les techniciens en identification criminelle ont passé au crible la propriété, à la recherche du moindre indice susceptible de confondre l'agresseur

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/agression-dun-couple-de-viticulteurs-lhomme-dans-le-coma

Suicide d'un jeune sur les voies SNCF

Un jeune homme de 18 ans a mis fin à ses jours hier midi, en s'introduisant sur la ligne à grande vitesse (LGV), où circulent les trains de la ligne Paris-Strasbourg.
Étudiant et résidant à Reims, le garçon était apparemment originaire du département des Ardennes.
C'est un automobiliste circulant sur l'autoroute A4 qui a signalé son corps sur la voie ferrée, et un véhicule garé le long de la LGV vers 12 h 30. Les secours, les forces de l'ordre puis les services de la SNCF se sont rendus sur place.
Il a fallu un certain temps avant de localiser la victime, dont le corps se trouvait à hauteur de la commune de Lucy-le-Bocage, et d'effectuer les constatations d'usage. La circulation des trains a donc dû être interrompue durant près de deux heures.
Le jeune homme était recherché par ses proches depuis plusieurs jours. Il avait apparemment fait part à un ami du désir d'attenter à sa vie. La brigade de Charly-sur-Marne a été chargée de l'enquête visant à préciser les circonstances de ce drame.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/suicide-dun-jeune-sur-les-voies-sncf

Brest. Une femme tuée d’un coup de fusil

Une femme a été tuée d’un coup de fusil à Brest, mercredi soir.
Un seul coup de feu a retenti dans cet immeuble du quartier de Bellevue. Au 2, rue du Gâtinay, à Brest, une femme de 34 ans est morte sur le coup après avoir reçu un coup de fusil.
Il était peu avant minuit mercredi soir. Le concubin de la victime, âgé d’une trentaine d’années, a été interpellé sur les lieux et placé en garde à vue. Selon le parquet de Brest, « le rôle exact de ce monsieur reste à déterminer ».
Deux enfants sur place
Les deux enfants de la victime, deux garçons de 8 et 10 ans, ont assisté au drame. Ce sont eux qui sont allés chercher des secours auprès des voisins.
Dans l’immeuble, c’est la consternation. Les disputes étaient fréquentes, souvent sur fond d’alcool, semble-t-il. L’homme est chaudronnier, il vit dans cet immeuble depuis de nombreuses années.
La femme faisait des ménages. Elle vivait dans cet appartement depuis environ deux ans, mais résidait déjà dans le quartier auparavant.
« A partir de 20 h, j’ai entendu des cris », témoigne un voisin. « Puis plus rien pendant deux heures ». Jusqu’au coup de feu. Sur place, le Samu et les pompiers n’ont pu que constater le décès.
 

Paris : une adolescente grièvement blessée après une chute dans le vide

Une adolescente de 13 ans a fait une chute dans le vide, ce jeudi 30 mai, vers 1 heure du matin, depuis l’appartement de ses parents, situé dans un immeuble du XIIe arrondissement à . La jeune victime, qui est tombée du 6 e étage mais qui était consciente au moment de l’arrivée des secours, a ensuite été plongée dans le coma.
Elle a été évacuée dans un état grave vers l’hôpital Necker (XVe). Son pronostic vital est engagé. Pour l’heure, les circonstances de sa chute n’ont pas été établies. Une a été ouverte.

http://www.leparisien.fr/paris-75

Un agent d'une société autoroutière tué par un poids-lourd

Un agent de 62 ans travaillant pour la société autoroutière Escota a été tué mercredi soir sur l'autoroute A8 à hauteur de Beausoleil, près de Menton alors qu'il posait un balisage.

Un agent de 62 ans travaillant pour la société autoroutière Escota a été tué mercredi soir sur l'autoroute A8 à hauteur de Beausoleil, près de Menton (Alpes-Maritimes), après avoir été happé par un poids-lourd alors qu'il posait un balisage, a-t-on appris jeudi auprès des gendarmes et d'Escota. L'accident a eu lieu vers 20H00 dans "des circonstances pas encore totalement établies", selon une porte-parole d'Escota. L'employé posait des cônes sur la chaussée pour signaler des travaux quand un camion immatriculé au Portugal l'a percuté.
"Malgré leurs efforts, les sauveteurs n'ont pu ranimer" cet agent "expérimenté" qui "travaillait depuis plusieurs années" pour la société d'autoroute, selon la même source. Une enquête a été confiée au peloton de gendarmerie autoroutier de Nice pour tenter d'éclaircir les circonstances de l'accident.
En 2012, sur 98 accidents provoqués par le trafic routier, les sociétés d'autoroutes ont eu à déplorer un mort parmi leur personnel, comme les deux années précédentes, selon des données publiées par l'Association des sociétés françaises d'autoroutes. Le réseau Escota (459 km) s'étend d'Aix-en-Provence à la frontière italienne. Le dernier accident mortel sur ce réseau avait eu lieu en 2004 dans le Var.
 

Saint-Priest : une marche blanche en mémoire de Matthew et Carla

A l'initiative d'un groupe de mamans de l'école Edouard-Herriot, une marche blanche partira, ce vendredi à 9 heures, de l'établissement San Priot où était scolarisé le petit Matthew de la maternelle au CP. L'enfant, âgé de 9 ans, et sa petite sœur de 5 ans sont tragiquement décédés il y a dix jours, égorgés par leur père dans son appartement de Saint-Priest.
A l'école Edouard-Herriot de Saint-Priest, on a été très choqué par le double infanticide survenu le samedi 18 mai dans un appartement de la rue Aristide-Briand. Il faut dire que le petit Matthew, 9 ans, était scolarisé dans cet établissement avant le divorce de ses parents. Une cellule de soutien psychologique y avait d'ailleurs été mise en place au surlendemain du drame.
Alors qu'une première marche blanche a eu lieu mercredi dernier à Charantonnay, village du nord Isère où Matthew et Carla vivaient désormais avec leur mère, un second rassemblement aura lieu ce vendredi à Saint-Priest. Le défilé de soutien, initiative d'un groupe de mamans, partira à 9 heures de l'école Edouard-Herriot.

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/05/29/saint-priest-une-marche-blanche-en-memoire-de-matthew-et-carla

mercredi 29 mai 2013

Mauvaises conditions météo: Mort d'un plaisancier au large du Finistère

Un plaisancier d'une cinquantaine d'années est mort mercredi après être tombé de son voilier au large du Finistère, où les conditions météorologiques étaient difficiles, a annoncé mercredi la préfecture maritime de l'Atlantique.
A 10h44, le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) de Corsen est prévenu qu'un homme d'une cinquantaine d'années est tombé de son voilier à proximité de la pointe de Penmarc'h, indique la préfecture maritime dans un communiqué.
Ce sont les deux personnes restées à bord qui donnent l'alerte par téléphone, alors que «les conditions météorologiques sont difficiles», selon la préfecture, qui précise que les vents soufflaient à 50 kmh et la mer était forte. Le CROSS-Corsen déroute un hélicoptère Caïman de la Marine nationale, déjà en mission avec une équipe médicale du service de santé des armées à son bord.
Il envoie également un hélicoptère de la sécurité civile et une vedette de la Société nationale de sauvetage en mer (SNSM). L'homme est hélitreuillé à 11h46, inconscient, et évacué vers l'hôpital de Quimper. «Malgré la rapidité de l'alerte et des secours, la personne est décédée», indique la préfecture dans son communiqué.

http://www.20minutes.fr/article/1164401/20130529-mauvaises-conditions-meteo-mort-plaisancier-large-finistere

Une grand-mère et sa petite-fille, originaire de Charente-Maritime, tuées en Gironde

Une grand-mère et sa petite-fille ont été tuées hier matin dans un accident de la route sur la D 137, au lieu dit Ferchaud, à Saint-Caprais-de-Blaye. Les deux victimes étaient originaires d’Allas-Bocage, en Charente-Maritime. La conductrice de la voiture, Anne-Marie Babot, âgée de 71 ans, et la passagère, une adolescente qui venait d’avoir 13 ans, sont mortes sur le coup.
Selon des témoins, la voiture, une Citroën C4, s’est d’abord arrêtée au stop de la D 23 puis s’est avancée et a été percutée par un poids lourd qui arrivait sur sa droite, sur la D 137. Le chauffeur n’a pu éviter le choc qui a violemment poussé le véhicule.

Une déviation a été mise en place entre 8 h 30 et 10 h 45 par les gendarmes de la brigade de Saint-Ciers-sur-Gironde, soutenus par le peloton motorisé de Saint-Aubin-de-Blaye, pour permettre aux secours d’intervenir. L’hélicoptère Dragon 33 de la Sécurité civile s’est rendu sur place mais les secouristes et les pompiers n’ont rien pu faire pour sauver les deux victimes.
L’intersection de la D 23 et de la D 137 est particulièrement accidentogène. Des travaux d’aménagement du carrefour doivent être mis en œuvre l’an prochain avec la création de deux tourne-à-gauche.
« La sécurisation de la 137 il y a dix ans n’avait pas pris en compte cette zone pourtant dangereuse », regrette le député maire de Saint-Caprais-de-Blaye, Philippe Plisson, qui se dit « effondré » par le drame.
La reconfiguration de l’intersection de Ferchaud a été lancée il y a trois ans, depuis que le Département a pris en charge la D 137, qui va de Blaye à Mirambeau. « Mais les travaux ont été retardés pour des questions d’expropriation car une maison doit être détruite », explique Philippe Plisson.
Au carrefour du Pas-des-Fenêtres, avant Saint-Aubin-de-Blaye, « tout aussi dangereux », selon l’élu, un grand rond-point sera créé à la fin de l’année.

http://www.sudouest.fr/2013/05/29/une-grand-mere-et-sa-petite-fille-tuees-1067265-3084.php

Grand Prix de Monaco: un ouvrier écrasé par une caisse pendant le démontage

Un accident de travail "très sérieux" a eu lieu ce mercredi matin dans le cadre du démontage des installations du Grand Prix sur le port Hercule de Monaco.
"Un ouvrier manipulait son engin élévateur, lorsqu'il a été écrasé par une caisse, de 2 mètres 40 x 5 mètres qui, à cause des rafales de vent, est tombée d'une hauteur de plusieurs mètres depuis la tribune T1" a fait savoir le gouvernement princier.
Le blessé, transporté au Centre Hospitalier Princesse Grace souffre de diverses fractures. "Son état est stable et le pronostic vital n'est pas engagé" confirme le gouvernement.
Par mesure de précaution, les travaux de démontage de la tribune T1 ont cessé dès l'accident et ne reprendront pas dans l'immédiat en raison des rafales de vent.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/grand-prix-de-monaco-un-ouvrier-ecrase-par-une-caisse-pendant-le-demontage.1276495.html

Marseille : une lycéenne se suicide dans la cour de son lycée

Une élève de terminale à Marseille, s'est donné la mort par pendaison mardi dans l'enceinte de son lycée, rapporte La Provence.

Une élève de terminale du lycée Lacordaire, à Marseille, s'est donné la mort par pendaison mardi dans la nuit dans l'enceinte de l'établissement, rapporte La Provence.La jeune fille de 18 ans était pensionnaire et avait quitté sa chambre pour se rendre dans le parc dans la soirée. Les secours ont été alertés vers 6h45 mais la lycéenne, en arrêt cardio-respiratoire, n'a pu être ramenée à la vie par le médecin du Samu.
Les élèves de l'établissement ont été accueillis mercredi matin, mais les cours ne sont pas assurés, indique le quotidien local. Une cellule psychologique a été mise en place. La victime était suivie pour des troubles psychologiques, mais "on ne pouvait pas imaginer qu'elle était prête à se suicider", selon le directeur cité par La Provence.
 

Accident mortel à Mensignac : tout un village sous le choc

De la boulangerie au salon de coiffure, en passant par le supermarché et le tabac-presse : tout le monde parle de l'accident de Benjamin. Le jeune homme de 17 ans qui devait fêter son anniversaire la semaine prochaine était connu des commerçants. Tant pour sa passion de l'agriculture (il devait passer son BAC au lycée agricole de Coulounieix-Chamiers) que pour sa gentillesse et son tempérament calme. "Quand je l'ai appris j'ai eu froid dans le dos" confie Sonia, celle qui le coiffait régulièrement. Plus bas, au Spar, à quelques mètres de la maison familiale de Benjamin, une vendeuse a même éteint la musique dans le magasin, en signe de soutien et de deuil. Les clients du tabac-presse de Marie-José aussi parlent beaucoup de l'accident. "J'ai moi même des filles qui conduisent, je leurs dit toujours de faire attention à ce carrefour". Un carrefour où la visibilité est réduite et considéré comme dangereux par plusieurs habitants.
Les obsèques de Benjamin auront lieu vendredi matin à Mensignac.
"Il faut qu'on parle aux jeunes des accidents mortels de la route pour qu'ils comprennent"
Paroles de Georges Martin, un père de famille qui a perdu son fils de 17 ans en janvier 2007. Son fils rentrait de boîte de nuit avec deux autres amis. Tous les trois sont morts dans l'accident. Ensuite, Georges Martin a décidé d'intervenir auprès des lycéens pour leurs faire prendre conscience "qu'il ne s'agit pas de ne pas faire la fête, mais de la faire en toute sécurité"
Dans le département, Benjamin est la deuxième victime de moins de 24 ans à perdre la vie sur la route.

http://www.francebleu.fr/personnes/france-bleu-perigord-152971

Un agriculteur meurt écrasé sous son tracteur

Hier vers 17h30, un homme de 86 ans a malheureusement fini sa vie sous son tracteur, dans son champ près de la D7N. Selon nos informations, l'engin qu'il conduisait aurait basculé dans un fossé avant qu'il ne se retrouve tragiquement écrasé en dessous

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2376162/un-agriculteur-meurt-ecrase-sous-son-tracteur.html

Vazeilles-Limandre : le corps d'un sexagénaire partiellement dévoré par ses chiens

Dimanche le corps en partie dévoré d'un homme de 64 ans a été découvert au centre du bourg de Vazeilles-Limandre. Décédé de mort naturelle depuis une quinzaine de jours, les chiens enfermés dans la maison ont attaqué la dépouille à la tête et aux jambes
C'est suite à un appel du maire de Vazeilles-Limandre, Yves Tafin, que les sapeurs-pompiers et les gendarmes ont forcé dimanche, l’entrée de cette maison située au centre du boug, juste en face l’église.
Ils ont découvert le corps du seul occupant de la maison,
un marginal arrivé de Rouen depuis 13 ou 14 ans, âgé de 64 ans, 
décédé de mort naturelle depuis environ une quinzaine de jours.Deux bergers allemands, qui se trouvaient également à l’intérieur de la maison, affamés, auraient dévoré une partie du corps à savoir le crâne et des jambes. L’homme serait décédé de mort naturelle, d’après les enquêteurs et vivait dans un dénuement certain.Très excités, les chiens ont été endormis puis confiés à la SPA du Puy-en-Velay où ils devaient être normalement euthanasiés.

http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/05/28/vazeilles-limandre-le-cops-d-un-cadavre-devore-par

mardi 28 mai 2013

Metz: un homme tué par balle

Un homme de 29 ans a été tué par balles hier soir sur le parking d'un hypermarché très fréquenté de Metz, a-t-on appris aujourd'hui auprès du parquet.

"Plusieurs coups de feu ont été tirés à 20H40 sur le parking du supermarché Cora situé dans le quartier de Metz-Borny", a précisé le procureur de Metz, Pierre-Yves Couillaud. "Connue des services de police, la victime est décédée dans la nuit à l'hôpital. Une autopsie sera faite dans les prochains jours, mais à cet instant, toutes les pistes sont exploitées", a ajouté le magistrat.

Selon Le Républicain Lorrain, le passé judiciaire de la victime laisserait supposer un règlement de compte sur fond de trafic de stupéfiants. Une source proche de l'enquête a par ailleurs précisé que la victime était identifiée comme un intermédiaire dans le trafic de drogue sévissant dans ce quartier de la banlieue de Metz.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/28/97001-20130528FILWWW00609-metz-un-homme-tue-par-balle.php

Isère : un enfant de 2 ans noyé

Un enfant de deux ans et demi s'est noyé hier soir dans la piscine familiale en Isère, après avoir échappé à la vigilance de ses parents, a-t-on appris aujourd'hui de source proche de l'enquête.

L'enfant a été trouvé inconscient vers 20h30 dans la piscine qui était dépourvue de protection, alors que son père effectuait du bricolage à l'extérieur de la maison, a précisé la même source.

Les secouristes, arrivés au domicile situé sur la commune de Le Mottier, n'ont pu que constater la mort de l'enfant.

Une enquête de gendarmerie a été ouverte.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/28/97001-20130528FILWWW00411-isere-un-enfant-de-2-ans-noye.php

Vosges : une nonagénaire meurt carbonisée

On ignore comment le feu a pris chez Raymonde Morniroli, 90 ans, vivant seule au 29 de la rue du 22-Novembre à Senones, depuis de nombreuses années, dans un petit appartement au premier étage d’une habitation collective.
Peu après 16 h, une habitante d’un des 5 appartements de la maison a senti des odeurs de fumée. S’apercevant que de la fumée sortait de chez sa voisine, elle a prévenu un autre habitant domicilié dans le même immeuble. Celui-ci s’est introduit dans l’appartement enfumé pour en extraire la personne âgée. Il était accompagné de son fils, tous deux sont sapeurs pompiers bénévoles au centre de secours de Senones. À leur arrivée, les sapeurs pompiers du centre de secours de Senones étaient rapidement renforcés par les centres de Moussey, Raon-l’Étape et Saint-Dié. Le SMUR de Saint-Dié prodiguait les premiers soins à la personne brûlée. Son état étant jugé très sérieux, il était fait appel à un hélicoptère du SAMU. Malheureusement quelques minutes après l’atterrissage, Mme Morniroli décédait de ses très graves brûlures.

Le feu d’appartement était maîtrisé par les pompiers munis d’appareils respiratoires, le reste de l’habitation a été préservé. Les deux sapeurs pompiers qui n’étaient pas en service et qui sont intervenus courageusement ont été hospitalisés.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/05/28/vosges-une-nonagenaire-meurt-carbonisee

Une jeune fille meurt dans un accident de la route

La nuit dernière vers 1h45, un violent accident de la route s'est produit avenue Émile Lachaux à Bollène. Le véhicule, seul en cause, emportait à son bord trois passagers. Une jeune fille de 18 ans a été tuée dans l'accident. Deux garçons de 19 et 26 ans ont été grièvement blessés et pris en charge a l'hôpital d'Orange.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2376169/une-jeune-fille-meurt-dans-un-accident-de-la-route.html

Il meurt électrocuté accidentellement

Un employé d'une entreprise qui intervenait pour des travaux de gaz chez un particulier hier, vers 17 h 15, rue Gallieni, à Toulouse a été victime d'une électrocution. Malgré l'arrivée rapide des secours, l'homme de 36 ans n'a pas eu être ranimé.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/28/1636284-il-meurt-electrocute.html

Rieux-Minervois. Décès tragique et mystérieux d'une petite fille

Les faits remontent à mercredi dernier, à Rieux-Minervois, où une mère de famille a alerté les gendarmes quant à la découverte de son enfant, une petite fille âgée de 18 mois, qu'elle avait découverte morte à son domicile. Rien de suspect a priori mais beaucoup d'émotion autour de ce décès inexpliqué dont la cause n'est pas formellement établie pour l'instant. Le fait est que sur instruction du parquet, une autopsie du corps de l'enfant a été pratiquée vendredi à Montpellier et n'a rien révélé de particulier contrairement aux rumeurs qui courent dans le Minervois. D'ailleurs, la malheureuse fillette a été inhumée et aucune procédure particulière n'est engagée. Ses parents ont été entendus par les forces de l'ordre comme la procédure légale l'exige et ce, sans qu'aucun ne soit mis en cause. Pour autant, par acquit de conscience, les enquêteurs de la gendarmerie comme le procureur de la République attendent les résultats d'examens complémentaires afin de connaître les causes exactes de la mort de cet enfant qui plonge dans la douleur toute une famille et l'ensemble d'une communauté.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/28/1636253-rieux-minervois-deces-tragique-et-mysterieux-d-une-petite-fille.html

Suisse: un homme battu à mort

Le corps sans vie d'un homme a été retrouvé au fond de son garage, dans la banlieue de Genève en Suisse, comme le rapporte Le Dauphiné Libéré.

L'homme de 37 ans n'avait pas donné signe de vie depuis vendredi soir, au moment où il s'était rendu dans sa cave et son garage. La disparition ayant été jugée inquiétante, les proches de la victime ont prévenu les gendarmes. Ce sont eux qui ont retrouvé le corps.

Les enquêteurs avancent la piste criminelle. L'homme aurait succombé à plusieurs coups. L'entourage de la victime a été entendu par la police, mais aucune interpellation n'a eu lieu.

Il s'agit du second homicide perpétré à Genève depuis le début de l'année, relève Le Dauphiné Libéré.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/28/97001-20130528FILWWW00293-suisse-un-homme-battu-a-mort.php

lundi 27 mai 2013

Choc contre un camion

Un motard est mort ce lundi après midi (27 mai ) sur une route départementale, à quelques kilomètres de l’accident qui a fait deux morts vendredi dernier
Un motard est mort ce lundi après avoir heurté l’arrière d’un poids-lourd. L’accident  s’est produit sur la route départementale 5 entre Hautot-le Vatois et Yvetot. Contactés par la rédaction de France 3 Haute-Normandie, les Sapeurs-Pompiers de Seine-Maritime indiquent qu’une déviation a été mise en place pour permettre aux gendarmes de débuter leur enquête.
C’est à quelques kilomètres seulement, à Cliponville, qu’une autre collision faisait deux morts vendredi dernier.
Le lendemain,  c'est sur un autre axe routier de Seine-Maritime, que deux personnes âgées décédaient percutées par l'arrière par un 4x4 près du Havre.


http://haute-normandie.france3.fr/2013/05/27/encore-un-accident-mortel-pres-d-yvetot-seine-maritime-258803.html

Saint-Hilaire-de-Lusignan. Un jeune perd le contrôle de son véhicule et se tue

Dimanche, juste après 5 heures, la route a encore tué. Des marques oranges symbolisent la trajectoire du véhicule, qui s'est déportée sur la gauche de la RD 813 en direction d'Agen et qui s'est encastrée dans la façade de ce que les plus anciens des habitants de Saint-Hilaire- de-Lusignan se souviennent comme ayant été une épicerie.
À leur arrivée sur place, les secours ne pouvaient déjà plus rien pour Arnaud Layrac, 21 ans, un jeune Tonneinquais. Tué sur le coup le jour de la fête des Mères, au volant de la voiture prêtée par ses parents. Le mur d'angle avec la route départementale a explosé, un trou béant permet de voir l'intérieur du bâtiment, inoccupé depuis des années. Un voisin passait hier matin, regardait les traces. Pour le week-end, il habite à deux pas. «Nous n'avons absolument rien entendu».
Selon les gendarmes, l'automobiliste rentrait à Tonneins, quand il a fait demi-tour pour des raisons encore inexpliquées. Il portait l'un de ces bandanas qu'on peut voir lors des fêtes de bandas mais ce n'est qu'une hypothèse.
Sur place hier matin, les mains sur les hanches, le propriétaire de la maison dévastée découvrait les dégâts. La maison pourrait être détruite.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/27/1635286-saint-hilaire-lusignan-perte-controle-virage-facade-mort.html

Deux-Sèvres : une fillette de 21 mois se noie

Une petite fille de 21 mois a péri noyée dimanche, après être tombée dans une piscine privée dans le village d'Argenton-l'Eglise, dans les Deux-Sèvres.

Une petite fille de 21 mois a péri noyée dimanche, après être tombée dans une piscine privée dans le village d'Argenton-L'Eglise, dans les Deux-Sèvres, d'après les secours. Les pompiers ont été alertés vers 13h40 par le père. Sa petite fille a échappé à sa vigilance alors qu'il l'avait amenée avec lui pour déjeuner au domicile d'un ami.
Selon les premiers éléments, l'enfant aurait apparemment réussi à se glisser sous la bâche recouvrant la piscine. La fillette était en arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée des secours. Les efforts pour la ranimer, pratiqués pendant plus de 45 minutes sur place, se sont avérés vains. Une enquête de gendarmerie est en cours pour déterminer les circonstances précises du drame, tandis qu'une cellule d'aide psychologique a été mise en place pour la famille
 

Voiture à contresens sur l'A9 : un mort, deux blessés graves

Une personne est morte et deux autres ont été gravement blessées dans un accident survenu dimanche soir sur l'autoroute A9 entre Montpellier et Nîmes impliquant une voiture roulant à contresens.

La voiture roulait à contresens. Une personne est morte et deux autres ont été gravement blessées dans un accident survenu dimanche soir sur l'autoroute A9 entre Montpellier et Nîmes, ont indiqué des gendarmes.
L'accident, une collision frontale entre la voiture qui roulait à contresens depuis 9 km et un autre véhicule, s'est produit à Valergues (Hérault), a-t-on appris auprès du peloton d'autoroute de Grand-Gallargues (Gard). Selon les premiers éléments, la victime est un homme de 83 ans qui se serait trompé en sortant d'une aire de repos avant de s'engager à contresens sur l'autoroute. Les deux blessés graves sont un couple de 25 et 26 ans.
"Dès l'alerte donnée vers 21 heures, nous avons dépêché une patrouille pour stopper la course du véhicule signalé par des témoins, tandis que les Autoroutes du Sud de la France (ASF) ont diffusé des messages d'alerte sur les panneaux lumineux", a expliqué un officier de gendarmerie à l'AFP. Par ailleurs, a-t-il ajouté, "nous avons volontairement créé un bouchon qui a permis de limiter le nombre de voitures en circulation dans le sens Nîmes-Montpellier, mais d'autres étaient déjà passées sans être informées de l'obstacle".
 

dimanche 26 mai 2013

Un 4e mort dans l'incendie du Nord

Le 4e jeune homme blessé dans l'incendie d'une ancienne usine à Wattrelos (Nord) dans la nuit de vendredi à samedi est décédé cet après-midi, selon une source policière.

Le jeune homme, hospitalisé à Lille, avait été intoxiqué par les fumées dégagées par un incendie probablement accidentel, tout comme trois de ses amis, âgés de 19 à 21 ans, décédés eux aussi pendant le week-end, a indiqué cette source à l'AFP.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/26/97001-20130526FILWWW00210-un-4eme-mort-dans-l-incendie-du-nord.php

La voiture finit dans les échafaudages : un mort et un blessé

Un accident de la route s’est produit, ce dimanche peu avant 7 heures, sur l’avenue Tony Garnier, à Lyon (7e). Le conducteur, un homme de 28 ans habitant La Boisse, dans l’Ain, est décédé, alors que le passager, âgé de 27 ans et domicilié à Bron, a été blessé et transporté à l’hôpital Edouard-Herriot.
La voiture, une Ford focus bleu, a percuté les échafaudages dans un virage de l’avenue, après la halle Tony-Garnier, en direction du stade de Gerland. Les échafaudages se sont alors effondrés sur la voiture. Aucun autre véhicule n’a été heurté.
L’enquête est en cours et déterminera les circonstances de l’accident.

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/05/26/la-voiture-finit-dans-les-echafaudages-un-mort-et-un-blesse

Saint-Hilaire-de-Lusignan (47): un étudiant tonneinquais de 21 ans se tue sur la route

L'accident s'est produit ce dimanche matin à 5h08, sur la RD 813, sur la commune de Saint-Hilaire-de-Lusignan.
Selon les premières constatations, Arnaud Layrac, étudiant de 21 ans, domicilié à Tonneins, a perdu le contrôle de sa voiture qui a dérapé, traversé la chaussée et a fini sa course contre le mur d'une habitation privée, non habitée, à la sortie du bourg.

Le jeune homme était seul dans le véhicule. Il est décédé sur le coup.

http://www.sudouest.fr/2013/05/26/saint-hilaire-de-lusignan-47-un-etudiant-tonneinquais-de-21-ans-se-tue-sur-la-route-1064847-3603.php

Nord : mort de 3 jeunes dans un incendie

Trois jeunes hommes sont morts asphyxiés dans l'incendie d'une ancienne usine à Wattrelos, près de Lille, dans le Nord,dans la nuit de vendredi à samedi, a-t-on appris dimanche de sources concordantes.
Deux des jeunes gens, âgés de 19 à 21 ans, sont morts samedi, tandis que le troisième a succombé dans la nuit de samedi à dimanche, a indiqué à l'AFP le parquet de Lille. Un quatrième garçon est toujours hospitalisé à Lille avec un "pronostic vital engagé", selon une source policière, qui ajoute que la piste accidentelle est privilégiée.
 

Arles : Khoren, deux ans après l'hommage

Khoren Grimaldi aurait eu 12 ans, ce 6 juin. Il est mort, le 30 mai 2011 à l'hôpital de Marseille, suite à un accident dans son école de Trinquetaille, quatre jours avant. Son corps avait été retrouvé, pendu à un portemanteau du couloir, et une procédure devant le tribunal correctionnel de Tarascon est en cours. Le 26 mai est la date qu'ont décidé de retenir Laure et Nicolas, ses parents, pour se souvenir de sa pétillance, honorer sa mémoire et, au-delà échanger sur un drame qui a dépassé, très largement, le seul cadre de leur famille heureuse.
Pour le premier anniversaire de sa disparition, l'an passé, Laure et Nicolas s'étaient rendus, avec leurs proches, leurs amis, leurs soutiens, devant l'école Benoît-Frank. L'idée était de rester là, 45 minutes... le même temps que celui que Khoren avait passé dans le couloir, en dehors de sa classe, avant que le drame ne se produise. "On voulait dire que 45 minutes c'était très long à gérer pour un enfant de 10 ans, tout seul, surtout qu'il venait d'être puni..."
Mais les parents, nourris du juste désir de faire vivre l'image de leur enfant, étaient conscients qu'ils ne pourraient pas, chaque année, se rendre devant l'école.
Nicolas Koukas, adjoint au maire d'Arles Hervé Schiavetti sur le quartier de Trinquetaille, a alors fait une belle proposition. Si la famille était d'accord, Khoren pourrait avoir, avec le soutien logistique de la ville, une plaque, dans le parc du Grand Gallègue où il aimait jouer.
Laure et Nicolas ont aimé l'idée qu'ils caressaient aussi, d'autant que leur fils aîné a été incinéré, qu'ils ont répandu ses cendres, pour que son âme vive librement.
Ils ont donc adhéré à l'idée de cet hommage. Ce sera demain, dimanche, jour de la fête des mères. Jour aussi du second anniversaire de son accident.
Au-delà de la souffrance d'une famille digne et qui souhaite par-dessus tout que la disparition de Khoren éclaire les esprits sur ce qui est permis d'imposer et de dire à des enfants, en tenant compte de leur état d'esprit de gosses, c'est tout un quartier, une ville, qui avait été choqué par l'événement.
Avec la plaque, la plantation d'un chêne vert, Laure et Nicolas veulent maintenant "offrir un espace de recueillement", non loin de leur domicile.Car ces parents, aujourd'hui encore, font l'objet de messages bienveillants, et que les petits copains de Khoren, comme eux, ne l'oublient pas.
Demain, dimanche, la Ville sera aux côtés des parents, de la famille, pour une cérémonie à 10 h 30, entre le gymnase du collège Morel et la piscine Tournesol, en plein parc
http://www.laprovence.com/article/edition-arles/2370602/dans-le-parc-de-trinquetaille-une-plaque-pour-khoren.html

Douarnenez. Un enfant percuté par une voiture en courant après un ballon

Un enfant âgé de 5 ans a été grièvement blessé, hier soir vers 19 h, sur l'axe Quimper-Douarnenez, au lieu-dit Landanet. La conductrice d'une Peugeot 206, une Concarnoise âgée de 51 ans, circulait en direction de Douarnenez sur cet axe limité à 90 km/h, lorsque l'enfant qui jouait dans une cours a surgi, derrière un ballon. Elle n'aurait pas eu le temps de freiner, percutant le petit garçon.
Peu avant 20 h, Dragon 29 , l'hélicoptère de la Sécurité civile s'est posé sur la D765 coupée à la circulation pour prendre en charge la victime, médicalisée par le Smur. Il devait être transporté à l'hôpital Morvan de Brest. Choquée, l'automobiliste a été prise en charge par les pompiers pour être transportée au centre hospitalier de Douarnenez.

http://www.letelegramme.fr/local/finistere-sud/ouest-cornouaille/douarnenez/douarnenez-percute-par-une-voiture-un-enfant-grievement-blesse-25-05-2013-2114554.php

Drame à Sète : une femme fait une chute mortelle de plusieurs mètres

Les faits se sont produits au théâtre de la mer avant 11 h hier matin. Les pompiers n'ont pas pu sauver cette femme âgée de 46 ans.
Accident ou suicide ? Une femme âgée de 46 ans a fait une chute mortelle de plusieurs mètres vers 10 h 40 ce matin au niveau du théâtre de la mer. La victime s'est écrasée sur le trottoir, en contrebas, sur un axe très fréquenté. La circulation a été déviée. Les secours, très rapidement sur place, n'ont rien pu faire. Le décès a été constaté quelques minutes après 11 h.
 

samedi 25 mai 2013

Un couple âgé se noie dans la Charente

Un couple d'octogénaires a péri noyé dans la Charente,près d'Angoulême, après le probable suicide de la femme, que le mari aurait en vain tenté de secourir. Les pompiers ont été alertés samedi vers 10H30 par la fille du couple, qui a retrouvé au domicile de ses parents, situé à proximité de la Charente, à La Chapelle, à 20 km environ d'Angoulême, une lettre de sa mère indiquant sa volonté de mettre fin à ses jours.

Les secouristes ont rapidement récupéré dans le fleuve le corps de l'homme. Ils ont poursuivi, sans résultat jusqu'à samedi en fin de journée, les recherches de son épouse, à un endroit où la Charente, actuellement très haute, présente un fort courant, ont précisé les pompiers.

Les recherches devaient reprendre  ce matin avec des plongeurs de la gendarmerie. Selon l'hypothèse privilégiée à ce stade, l'épouse "un peu dépressive" en raison d'une maladie handicapante, aurait échappé à la vigilance de son époux pour aller se jeter dans le fleuve. Son mari aurait alors "tenté de faire quelque chose en entrant dans l'eau


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/25/97001-20130525FILWWW00447-un-couple-age-se-noie-dans-la-charente.php

Disparition en Charente-Maritime : le corps d'une fillette retrouvé

Selon une source proche de l'enquête, le corps de Sidney, 23 mois, aurait été retrouvé samedi après-midi. La fillette était portée disparue depuis vendredi après-midi à Moragne en Charente-Maritime.

Moins de 24 heures après sa disparition, le corps de la petite Sidney, 23 mois, aurait été retrouvé samedi après-midi, selon une source proche de l'enquête. Un important dispositif de recherche avait été déployés avec l'arrivée de militaires en renfort de la centaine de pompiers et gendarmes présents, épaulés depuis la veille au soir par un hélicopère à infrarouge et une brigade cynophile. Les habitants du village de Moragne, où a disparu la petite fille, ainsi que ceux des villages environnants avaient prêté main forte pour la recherche. 
Il était 16h30 lorsque l'alerte a été donnée, vendredi, après la disparition d'une enfant de 23 mois près de Rochefort, dans la Charente-Maritime. France 3 Poitou-Charente explique que la petite fille jouait devant la caravane de la famille, des gens du voyage sédentarisés, lorsque sa maman l'a laissée seule quelques instants. Selon France Bleu La Rochelle, la petite fille ne marchait que depuis deux-trois mois et n'était pas "une fugueuse". Elle aurait alors "quitté les lieux" par une barrière où les chiens des enquêteurs ont marqué un arrêt. Sidney a été aperçue par deux jeunes filles non loin d'un terrain de tennis. L'enfant a ensuite été perdue de vue par les deux témoins.
C'est une amie de la mère qui a prévenu la gendarmerie. La fillette portait un pyjama rose et des chaussons rouges. Elle serait sortie du terrain en direction d'un champ de colza.

Pas d'alerte enlèvement donnée

Un hélicoptère à infrarouge a survolé la zone de nuit, mais les recherches sont rendues difficiles car la zone est très vaste. Une centaine de gendarmes, des habitants du village, agriculteurs et même des membres de la famille venus de Poitiers ont battu la campagne jusqu'à 4h du matin. Les recherches ont repris samedi matin avec des militaires venus en renfort. Avec les basses températures, l'enfant risque l'hypothermie après une nuit passée dehors. Une brigade nautique sonde les zones d'eau à proximité du lieu de la disparition de la petite fille. Des agriculteurs devraient vider deux mares situées à 2-3km.
La procureure de la République de La Rochelle, Isabelle Pagenelle, exclut un enlèvement et évoque "une disparition qui peut paraître inquiétante". Aucune piste n'est cependant exclue et les enquêteurs s'intéressent aux personnes que l'enfant aurait pu croiser. Selon des habitants de la commune cités par France 3 Poitou-Charentes, une voiture suspecte aurait été aperçue vendredi dans le secteur.
Mais l'alerte enlèvement n'a pas été déclenchée car "aucun élément matériel ne permet de dire qu'il y a eu enlèvement", a précisé la procureure. Une conférence de presse est prévue en fin d'après-midi.
 

Montbéliard :le pompier menace de s’immoler par le feu

« Ça aurait pu très mal se terminer », confie Christophe Charles, le commissaire de police. Il est 11 h 30, hier, lorsque l’alerte est donnée à l’intérieur même de la caserne du faubourg de Besançon, à Montbéliard, là où sont regroupés les services de l’état-major. Un homme menace de s’immoler par le feu. Particularité du désespéré, il s’agit d’un pompier volontaire, âgé d’une quarantaine d’années. Les raisons de son geste ne sont pas éventées du côté des soldats du feu, le commandant ayant « négocié » avec le désespéré étant tout bonnement injoignable…
Le commissaire précise que ce Bethoncourtois avait fait l’objet d’une mise à pied pour une durée de quatre mois et qu’il a mal accepté la sanction de sa hiérarchie. Le quadragénaire, qui détenait un bidon d’essence d’une contenance de deux litres, s’est donc présenté sur les lieux dans le but d’y rencontrer un officier. N’obtenant manifestement pas l’écho escompté, il s’est en partie aspergé devant les garages, exhibant simultanément un briquet dans sa main. La menace a été prise au sérieux et la police a été appelée à la rescousse. Il a même été fait appel aux gendarmes de Bethoncourt, notamment au major de la brigade locale. Profitant de sa connaissance du pompier concerné, un dialogue constructif s’est instauré. D’abord pour faire retomber la pression puis pour tenter de le ramener à la raison. Après une trentaine de minutes de palabres, le quadragénaire a consenti à se défaire de son briquet et à être pris en charge, non pas par ses collègues, mais par la police qui l’a conduit à l’hôpital de Montbéliard. Son état psychique nécessitant une prise en charge sérieuse.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/05/24/le-pompier-menace-de-s-immoler-par-le-feu

Dramatique incendie à Wattrelos : un mort et trois blessés graves

Dans la nuit de vendredi à ce samedi, peu avant 2h30, un dramatique incendie s'est déclaré dans un bâtiment désaffecté de l'ancienne usine Saint-Liévin, rue des Abattoirs à Wattrelos.
Selon les premiers éléments de l'enquête, quatre jeunes garçons s'étaient réfugiés dans un hangar abandonné pour y passer une partie de la nuit de vendredi à samedi. A proximité de la porte d'entrée, ils auraient allumé un brasero, semble-t-il pour se réchauffer, mais ce dernier s'est emballé et a pris feu. Le sinistre a alors dégagé un important panache de fumée, asphyxiant les quatre occupants.
Arrivés rapidement sur les lieux, les sapeurs-pompiers sont venus facilement à bout des flammes. Ils ont alors découvert les quatre victimes, inconscientes. Médicalisées sur place par des équipes médicales du SMUR, trois d'entre elles ont été transportées dans un état extrêmement grave au CHR de Lille, escortées par plusieurs véhicules de police.

Coincé, il téléphone à son père

Vers 4 heures, on apprenait le décès du quatrième homme malgré tous les efforts des secouristes. Son corps a été transporté à l'institut médico-légal de Lille, tôt ce matin. Une enquête a été ouverte par le commissariat de police de Roubaix pour expliquer le scénario qui a conduit au drame. Des investigations extrêmement compliquées qui commençaient, ce samedi matin, par l'identification des victimes. Si un sac à dos contenant une carte d'identité a été découvert dans le hangar, trois des victimes étaient dépourvues de papiers officiels.
L'identité d'un quatrième ne faisait, hélas, pas de doutes. Coincé avec ses amis dans le bâtiment, il a eu l'idée d'appeler son père depuis son téléphone portable. C'est d'ailleurs ce dernier qui préviendra les sapeurs-pompiers.

http://www.lavoixdunord.fr/region/dramatique-incendie-a-wattrelos-un-mort-et-trois-ia0b0n1275191

L'Union. L'océan a emporté Jean Alamichel

«Tout espoir de retrouver le plaisancier est aujourd'hui vain». Ces quelques mots en guise de chute tragique d'un «papier» publié il y a quelques jours par le journal «Tahiti info» sont sans appel : l'Unionais Jean Alamichel a disparu corps est âme en plein Océan Atlantique. Toujours selon le journal, le skipper chevronné avait quitté l'Île de Pâques pour rejoindre les îles du Gambier qu'il n'a jamais pu atteindre. Son bateau, un sloop de 16 mètres de long, a été retrouvé vide, mais sans avarie qui aurait pu l'empêcher de continuer sa route. Ni le radeau de survie, ni le dinghy (petite embarcation) n'ont été mis à l'eau. Selon «Tahiti info», l'hypothèse d'une chute dans l'eau n'est pas écartée. Une enquête a été ouverte.
Installé depuis de longues années à L'Union, Jean Alamichel était âgé de 57 ans. Il était père de deux filles. Il avait également été sur le devant de la scène car candidat sans étiquette aux élections législatives de juin 2012. Dans son programme, il expliquait notamment «vouloir améliorer les infrastructures routières pour des raisons économiques et écologiques», «accorder plus d'importance à l'Éducation nationale» ou encore «ne pas dépenser l'argent qu'on n'a pas…».

Passionné de voile

Mais Jean Alamichel était surtout connu de ses proches et amis pour sa grande passion pour la voile. Voisine du disparu, Marie-Eve a régulièrement échangé avec lui sur ce thème, au hasard de brèves discussions. Elle confie : «C'était son hobby favori. Il ne parlait presque que de cela. Je garde le souvenir d'un homme sympathique qui adorait évoquer ses voyages en pleine mer. Il appréciait amener des gens à son bord pour partir à la découverte des océans. Lorsque nous discutions, il partageait avec plaisir ses projets toujours liés à la navigation. Il ambitionnait, me semble-t-il, de s'acheter un plus grand voilier. Cette nouvelle est très triste…».

http://www.ladepeche.fr/article/2013/05/25/1634257-l-union-l-ocean-a-emporte-jean-alamichel.html

VAR. Deux enfants de 7 et 8 ans et une femme meurent dans un incendie

Deux enfants âgés de 7 et 8 ans et une femme sont morts dans la nuit de vendredi à samedi dans l’incendie d’un chalet, dont l’origine reste à déterminer, à Carcès, près de Brignoles dans le Var.
L’incendie s’est déclaré vers 23h30 dans une habitation de structure légère de type chalet, selon les premiers éléments de l’enquête. Les pompiers ont été appelés par l’occupant des lieux, un homme de 45 ans qui a indiqué que les victimes étaient sa femme et ses deux enfants.
A l’arrivée des pompiers, le chalet était totalement embrasé. Ils ont découvert sur place les corps carbonisés.
Le père de famille est sorti sain et sauf de l’incendie et transporté à l’hôpital de Brignoles, a indiqué le chef d’escadron de Brignoles, Éric Lavagna.
«L’habitation de structure légère a été détruite extrêmement rapidement», a précisé le commandant.
Le feu a été maîtrisé vers 2 heures par une trentaine de pompiers.

http://www.leprogres.fr/france-monde

vendredi 24 mai 2013

Accident mortel : le conducteur ivre a été incarcéré

Le conducteur du véhicule responsable de la collision ayant entraîné, mardi à La Baume-d’Hostun, la mort de deux retraités, a été placé en détention provisoire hier soir à la maison d’arrêt de Valence.

1,80 gramme d’alcool par litre de sang, et positif au cannabis

Au moment des faits, l’homme de 38 ans conduisait une Opel Corsa, tout en ayant 1,80 gramme d’alcool par litre de sang. Il avait aussi consommé du cannabis.
Sur la RD 532, ce conducteur est à l’origine d’un carambolage impliquant trois voitures. Un accident qui a coûté la vie aux époux Laske (80 et 90 ans), originaires de Bésayes.
Présenté au parquet hier après-midi après avoir passé 48 heures en garde à vue, l’Isérois a été mis en examen pour “homicide involontaire aggravé par deux circonstances”, à savoir la conduite sous l’empire d’un état alcoolique et de produits stupéfiants, mais aussi “abus de confiance”, et “défaut de maîtrise du véhicule”.
Le parquet a ouvert une information judiciaire, et les investigations vont se poursuivre ces prochains jours pour tenter de déterminer, entre autres, les circonstances dans lesquelles le véhicule qu’il conduisait lui avait été prêté.

Accident mortel : le conducteur ivre a été incarcéré

http://www.ledauphine.com/drome/la-baume-d-hostun

Drame d'Oletta : l'auteure du coup de feu mise en examen et écrouée

Mise en examen pour tentative d'homicide sur ex-conjoint, l'auteure du tir a été incarcérée à la prison de Borgo ce jeudi soir. 
La femme de 53 ans qui a ouvert le feu mardi soir sur son ex-conjoint à Oletta a été mise en examen pour tentative d'homicide sur ex-conjoint par le juge d'instruction en charge de l'affaire. Elle a été placée en détention provisoire à la prison de Borgo.

Les faits se seraient produits dans un contexte de tensions et de violences à répétition entre les deux individus, agriculteurs dans la plaine d'Oletta. L'arme utilisée est un fusil de calibre 12. Plusieurs auditions sont menées par les enquêteurs pour tenter de connaître les circonstances exactes du drame.

La victime, touchée à la tête, est toujours hospitalisée à Bastia. 


http://corse.france3.fr/2013/05/23/drame-d-oletta-l-auteure-des-coups-de-feu-mises-en-examen-et-ecrouee-256692.html

Tué après être monté sur le toit du métro

Un jeune homme qui voulait, selon les tout premiers éléments de l'enquête, se filmer sur les toits du métro parisien s'est tué jeudi soir accidentellement, ce qui a provoqué la fermeture d'une ligne, a-t-on appris de source policière vendredi. Selon les tout premiers éléments de l'enquête policière, deux jeunes gens âgés d'une vingtaine d'années se sont arrimés peu après 22H00 jeudi à une rame de métro de la ligne 6 à la station Denfert-Rochereau. Durant le trajet l'un d'eux est monté sur le toit et, en se relevant, a percuté de plein fouet un tunnel peu avant la station Edgar Quinet.
Il est décédé quasiment sur le coup, a dit la source, tandis que son camarade a été hospitalisé "en état de choc". La ligne 6 a été momentanément fermée. La police a retrouvé une caméra. Elle pense, ce qui reste à vérifier pendant l'enquête, que les deux jeunes gens avaient l'intention de se filmer comme le font d'autres jeunes gens en Europe en postant sur YouTube des vidéos de leurs exploits sur des trains à grande vitesse, en Russie notamment. Un phénomène, selon des sources policières, qui commence à gagner la France mais, selon elles, de manière encore limitée.
 

Hérault : meurtre sanglant à Mèze sur fond de drame familial

La victime est une femme d’une cinquantaine d’années.
 

Le corps ensanglanté d’une femme âgée d’une cinquantaine d’années a été retrouvé hier en milieu d’après-midi jeudi, à son domicile situé dans un lotissement qui borde la route de Pézenas, à la sortie de Mèze. C’est la mère de la victime, inquiète de ne pas avoir de nouvelles depuis deux jours qui fait la macabre découverte.
Traces de coups, strangulation


La femme, qui reposait sur son lit, avait les mains attachées dans le dos et un lien autour du cou. Elle portait également de nombreuses traces de coups au niveau du crâne. Le corps était ensanglanté, comme si elle avait été blessée avec une arme blanche, ou frappée très violemment à la tête avec un objet contondant, peut-être un marteau.
Un mot du mari
Sur place, les gendarmes de la compagnie de Pézenas ont trouvé un mot qu’aurait laissé le mari. Mot dans lequel il "demande pardon à son fils" et affirme "qu’on ne le retrouvera jamais". Il aurait également indiqué son intention d’en finir. Selon plusieurs témoignages, le couple faisait face à des difficultés relationnelles régulières et était en instance de séparation.
Les investigations se poursuivent
Dès leur arrivée sur place, les techniciens de l’identification criminelle ont procédé à de nombreux relevés de traces, d’indices et d’empreintes. Des investigations longues et minutieuses qui devaient durer une partie de la nuit. Le vice-procureur de Montpellier, Patrick Desjardin s’est rendu sur place sitôt connue la découverte de ce crime. Le médecin légiste était attendu sur place dans la soirée.
Le mari recherché
Une autopsie de la victime doit avoir lieu prochainement dans le service de médecine légale de l’hôpital Lapeyronie. Dans le même temps, le mari était activement recherché. Il aurait pris la fuite à bord de son véhicule, une twingo de couleur violette. Dans ce lotissement paisible de la périphérie de Mèze, les voisins restaient très discretsjeudi soir. La rue était d’ailleurs surveillée étroitement par les gendarmes. Le mari de la victime n’était pas particulièrement connu dans la cité même s’il avait été brièvement engagé en politique il y a quelques années.

http://www.midilibre.fr/2013/05/23/meurtre-sanglant-a-meze-sur-fond-de-drame-familial,702558.php

jeudi 23 mai 2013

Béziers : le corps d'une femme retrouvé dans un bassin de rétention

La macabre découverte a eu lieu ce jeudi matin près du canal du Midi.
A 8 h 30, ce jeudi matin, un corps a été retrouvé au fond d'un bassin de rétention dans le quartier de Sauclières à Béziers, entre le canal du Midi et l'usine Placo.
Le procureur, les enquêteurs, les pompiers ont été rejoints sur place en fin de matinée par le médecin légiste. Selon les constatations, il s'agit du corps d'une femme, à moitié dénudé, qui serait immergé dans ce bassin depuis plusieurs jours.  


Aucune piste n'est exclue dans l'attente des conclusions du médecin légiste.  Il pourrait cependant s'agir du corps d'une personne disparue ces derniers jours.

http://www.midilibre.fr/2013/05/23/beziers-un-corps-retrouve-dans-un-bassin-de-retention,702314.php

Franche-Comté : deux hommes tués sur la ligne 4 la nuit dernière

Jussey et Évette-Salbert. Un train lancé à 140 km/h n’a pu s’arrêter, mardi soir à 20 h 10, alors qu’un homme âgé de trente ans a traversé la voie ferrée en empruntant le passage à niveau situé sur la commune de Jussey, à quelques encablures de la gare éponyme.
On imagine la vision du conducteur du train qui sortait d’un virage et n’a pas eu le temps de réagir. D’après un témoin de la scène, l’homme qui a été tué sur le coup, n’a semble-t-il pas vu arriver le convoi de voyageurs qui venait de Paris et à destination de Belfort. Ce dernier, qui est domicilié à Jussey, était sorti de la prison de Montbéliard le 17 avril dernier.
La piste d’un accident est privilégiée par rapport à l’éventualité d’un suicide, eu égard à la posture inhabituelle de l’individu en pareille affaire. Des prélèvements sanguins, afin de dépister alcool et stupéfiants, éclaireront peut-être les causes de cette collision. Stoppé selon une procédure d’urgence, le train qui convoyait 40 voyageurs s’est arrêté 800 m après la scène. Une mesure habituelle afin de laisser le temps aux enquêteurs de la gendarmerie de Jussey, aux pompiers et aux pompes funèbres, d’effectuer leur travail tandis que les voyageurs patientaient.
À 22 h 30, alors qu’un conducteur d’astreinte était sur les lieux, le 1747 reprenait sa course pour un terminus à Vesoul. Lieu du transbordement des derniers voyageurs à destination de Belfort.
C’est au même moment, et dans l’autre sens, Belfort/Lure, que le train n°4282 connaissait lui aussi la même mésaventure. Un homme de 44 ans, cette fois-ci assis sur la voie, a été percuté à son tour à hauteur de la commune d’Évette-Salbert. Un père de famille divorcé qui réside à Belfort et dont le véhicule a été retrouvé à proximité. Si les 110 voyageurs ont dû patienter jusque 3 h du matin avant de poursuivre leur voyage, l’explication du geste du quadragénaire se heurte à un obstacle médico-légal, peut-être l’absence de documents d’identité. Élément de procédure que les enquêteurs de la brigade de Châtenois-les-Forges auront à lever. La SNCF indique que les deux conducteurs des trains, dont la formation intègre ce type de risques, peuvent à tout moment contacter une cellule psychologique dédiée à la prise en charge particulière de ce type d’accident.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/05/22/deux-hommes-tues-sur-la-ligne-4-la-nuit-derniere

Barrage de la Potinais. 2 hommes chutent dans l'Oust, un mort, un blessé

Il était 21H21 hier soir lorsque deux hommes ont chuté dans l'Oust à la hauteur du barrage de La Potinais, commune de saint-Vincent-sur-Ouest. Les circonstances du drame sont encore méconnues, mais l'accident a fait une victime : un homme âgé de 48 ans s'est noyé. le plus jeune des deux, âgé de 23 ans, blessé léger ,a été transporté par les sapeurs-pompiers de Redon vers le centre hospitalier de la ville.

http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/ille-et-vilaine/barrage-de-la-potinais-2-hommes-chutent-dans-l-oust-un-mort-un-blesse-23-05-2013-2112064.php

Arles: la baigneuse retrouvée morte

Une baigneuse de 13 ans recherchée depuis lundi a été retrouvée sans vie jeudi matin, au large de la plage de Piemançon près d'Arles (Bouches-du-Rhône) où elle avait disparue.Selon les premiers éléments de l'enquête, c'est un promeneur qui a donné l'alerte en voyant un corps à la surface de l'eau.

D'importants moyens avaient été mobilisés lundi dont un hélicoptère de la sécurité civile, la vedette de la Société Nationale de Sauvetage en Mer de Port-Saint-Louis-du-Rhône, trois embarcations des sapeurs-pompiers et une vedette de la gendarmerie.

La plage de Piemançon s'étend sur plus de 25 kilomètres de long sur le littoral méditerranéen de Salin-de-Giraud à l'ouest de l'embouchure du grand Rhône.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/05/23/97001-20130523FILWWW00390-arles-la-baigneuse-retrouvee-morte.php

Accident mortel à Guiscriff. Il se dénonce deux ans après

Près de deux ans après un accident mortel sur une route de Guiscriff, un homme, suspecté d'en être responsable s'est livré aux gendarmes le week-end dernier. Les faits avaient suscité un vif émoi à l'époque : dans la nuit du dimanche 5 au lundi 6 juin 2011, un homme âgé de 37 ans avait trouvé la mort alors qu'il cheminait sur la rocade, au lieu-dit carrefour de Bonizac, à Guiscriff. La victime, Stéphane Cozic, domiciliée dans cette même commune, était le père d'une petite fille âgée de 5 ans. Le piéton quittait l'agglomération de Guiscriff en direction de Scaër (29) quand il avait été percuté par une voiture qui avait pris la fuite. L'alerte avait été donnée aux environs de 0 h 45, par un automobiliste. Malgré l'enquête ouverte par la brigade de gendarmerie du Faouët et l'appel à témoins, le conducteur du véhicule n'avait jamais été retrouvé. Probablement rongé par le remords, celui-ci s'est finalement dénoncé, il y a quelques jours. Lors d'un repas avec des proches, il aurait craqué et avoué avoir fait « une connerie ». L'homme, âgé d'une trentaine d'années, et qui demeure à Guiscriff, connaissait la victime. Il a été présenté au parquet de Lorient et mis en examen pour « homicide involontaire » et « délit de fuite ». Il sera jugé en juillet prochain.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/morbihan/index_morbihan.php

mercredi 22 mai 2013

Elle meurt écrasée par la remorque d'un forain

Une Ternoise de 48 ans a perdu la vie cet après-midi, vers 14 h 45, à Fargniers, mortellement heurtée par la remorque d'un forain.
Les investigations des policiers de Tergnier devraient permettre de faire toute la lumière sur ce tragique accident. 
Un convoi de forains se rendait du parc Sellier à Tergnier, vers Beautor, quand, à l'intersection avec la rue Jean-Jaures, juste après le pont, une remorque de plusieurs tonnes s'est détachée de son tracteur.
Elle a dévalé la rue Jean-Jaurès, en sens interdit, pour venir percuter violemment une mère de famille.
Cette dame est décédée sur le coup. 
Le conducteur de la remorque, un forain de l'Oise, a été dépisté négatif au contrôle d'alcoolémie.
La circulation a été coupée jusque 17 h 30.
La remorque et son tracteur ont été placés sous scellés

http://www.aisnenouvelle.fr/communes/Tergnier

Semur-en-Auxois : troisième suicide en sept mois

Une femme d’environ cinquante ans s’est pendue lundi à l’hôpital. Un adolescent et une jeune femme s’y sont également donné la mort ces derniers mois.
L’unité de soins psychiatriques de l’hôpital de Semur-en-Auxois a été le théâtre lundi soir d’un nouveau suicide. Il s’agit du troisième en à peine plus de six mois. Après Marvin Cotte, un adolescent de 17 ans, le 7 novembre dernier, et une jeune femme de 23 ans le 28 avril, c’est cette fois une femme d’une cinquantaine d’années qui s’est donné la mort par étranglement dans sa chambre aux alentours de 19 heures. Sollicités à plusieurs reprises, le directeur de l’hôpital et le chef de service n’ont pas été en mesure de répondre à nos questions sur les circonstances exactes du drame. Du côté de l’Agence régionale de santé (ARS), on indique que « dès le deuxième suicide, le centre hospitalier de Semur a élaboré un plan d’action d’accompagnement des équipes et de réflexion sur les pratiques professionnelles ». Un point doit d’ailleurs être fait dès ce matin avec la direction de l’hôpital. Surtout, l’ARS assure que « dans les trois cas évoqués, aucune défaillance des équipes soignantes n’a été mise en évidence ».
Reste que cette triste série, à laquelle s’ajoutent deux tentatives interrompues de justesse par le personnel soignant en février dernier, commence à susciter des interrogations. Car si, comme a tenu à le préciser l’ARS, « le suicide est un élément qui peut émailler le parcours d’un patient souffrant d’une maladie psychiatrique », une telle succession d’actes de ce genre dans un même service est très rare.

« Des difficultés de fonctionnement »

En interne, des témoignages rapportent qu’un médecin de l’unité, François Plantey, a démissionné en février parce qu’il ne voulait plus cautionner les pratiques qui y avaient cours. Par ailleurs, comme nous l’évoquions déjà dans notre édition du 4 mai dernier, la CGT avait alerté la direction de « difficultés de fonctionnements » à l’intérieur du service. Dans un courrier daté du 15 mai 2012, Denis Bétand, secrétaire général du syndicat, estimait qu’elles ne permettaient plus « d’assurer la sécurité des patients et des personnels » de l’unité psychiatrique. Selon le directeur, Marc Le Clanche, qui avait réagi dans nos colonnes aux événements du 28 avril, l’équipe devait rapidement travailler sur « l’évaluation des pratiques et sur la recherche de solutions en matière de prévention des risques suicidaires ». Il n’a semble-t-il pas été suffisant pour éviter ce troisième drame…

http://www.bienpublic.com/haute-cote-d-or/2013/05/22/semur-en-auxois-troisieme-suicide-en-sept-mois

Un jeune Doubien mort en Slovénie

Le jeune Adrien Ferry, 21 ans, de Saint-Juan, près de Baume-les-Dames, dans le Doubs, a perdu la vie sur une autoroute de Slovénie, vendredi dernier à 3 h 30 du matin.
« Il était parti la semaine dernière à Budapest, en Hongrie, pour participer à l’exposition canine mondiale », explique son père, Dominique. « C’est alors qu’une amie qui venait d’avoir un accident l’a appelé. Il a alors pris la route pour aller la chercher mais arrivé en Slovénie, il a eu un accident après s’être assoupi au volant. » Ce n’est pas cet accident qui lui a coûté la vie. Mais le fait que, son camion s’étant ouvert sous le choc, des chiens qu’il devait présenter au concours se sont enfuis. « C’est en allant les rechercher pour les secourir qu’Adrien s’est fait faucher sur l’autoroute par une voiture », explique Dominique Ferry.
Les chiens, « tous les chiens et tout particulièrement les lévriers whippet », étaient la passion du jeune homme. Il en avait d’ailleurs fait son métier puisqu’il était « handler », éleveur et présentateur de chiens de concours. Comme le précise Josiane, sa mère, « Adrien n’avait que 7 ans lorsqu’il a participé à son premier concours. »
Les obsèques d’Adrien Ferry seront célébrées ce vendredi 24 mai en l’église de Saint-Juan.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/05/22/un-jeune-doubien-mort-en-slovenie