lundi 31 décembre 2012

Bonne année 2013 et meilleurs voeux à tous Happy new year 2013.

Un incendie tue un père et son fils

Un homme de 31 ans et son fils de 18 mois sont morts ce soir dans un incendie, vraisemblablement d'origine accidentelle, qui aurait pris devant leur maison au Bignon-du-Maine (dans la Mayenne) , a-t-on appris de source judiciaire.

Selon les premières constatations, l'incendie se serait déclaré en début d'après-midi dans un fourgon utilitaire garé devant la maison familiale, où le feu se serait ensuite propagé, a indiqué le procureur de la République à Laval, Raphaël Sanesi.

Un enfant de cinq ans, également présent sur les lieux, a pu sortir de la maison et a été hospitalisé en état de choc, ainsi que sa mère, qui se trouvait sur son lieu de travail au moment du drame.

Un expert devrait se rendre sur place demain pour déterminer les conditions exactes dans lesquelles le feu s'est déclaré, a précisé Raphaël Sanesi


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/31/97001-20121231FILWWW00399-un-incendie-tue-un-pere-et-son-fils.php

Un chauffard positif au test d'alcoolémie tue une conductrice de 35 ans

Un dramatique accident est survenu ce lundi en début d'après-midi, entre Bourg-en-Bresse et Péronnas, dans l'Ain. Un conducteur de 24 ans n'a pas respecté un stop. Il conduisait avec une quantité d'alcool dans le sang supérieure au taux autorisé. La jeune femme qu'il a percutée n'a pas survécu à ses blessures

Double collision mortelle cet après-midi route de Seillon, en limite de Péronnas et Bourg-en-Bresse. Il était un peu plus de 14h30 lorsque l’accident s’est produit, au niveau du carrefour des Coupes Blanches.
Un utilitaire Peugeot qui arrivait de Péronnas a grillé le stop, et percuté de côté une 309 Peugeot, projetée contre un Nissan Note, arrêté au stop de l’autre côté de la route.
Les secours n’ont rien pu faire pour sauver la conductrice de la 309 Peugeot, une femme âgée de 35 ans. La conductrice du Nissan Note, 77 ans, légèrement blessée, a été hospitalisée, de même que le chauffeur du fourgon, âgé de 24 ans, transporté à la clinique Convert. Le contrôle d’alcoolémie effectué sur lui s’est avéré positif.

http://www.leprogres.fr/ain/2012/12/31/un-chauffard-ivre-tue-une-conductrice-de-35-ans

Béziers : un cycliste entre la vie et la mort après une chute

Lors d'une banale randonnée dominicale, un cycliste originaire de Nizas a chuté lourdement au sol samedi. Âgé de 54 ans, son pronostic vital est engagé...
Un cycliste était, samedi en fin d’après-midi, entre la vie et la mort après une chute. L’homme, un habitant de Nizas, est âgé de 54 ans.
Comme souvent, il participait à une randonnée dominicale avec son club local. Hier, il était dans un peloton d’une vingtaine de coureurs. D’après ses compagnons de course, l’accident, qui s’est produit sur la route départementale 128, dans la commune de Lieuran-Cabrières, a eu lieu dans une descente.

Bien équipé
La victime a chuté après avoir roulé sur une bosse dans la chaussée de cette route de campagne. Bien que porteur d’éléments de sécurité - il avait notamment son casque -, le cycliste a été grièvement blessé à la tête et souffre de traumatismes.
À leur arrivée, les pompiers du secteur ont constaté que le Nizaçois était en arrêt cardio-ventilatoire. Il a été réanimé très longuement par les secouristes. Son état a cependant nécessité une hospitalisation à Montpellier, à l’hôpital Gui-de-Chauliac.
Héliporté à Montpellier
Le Dragon 34, l’hélicoptère de la sécurité civile, a été déployé pour assurer le transport. Les gendarmes de la brigade de Murviel-lès-Béziers, dépêchés sur les lieux, ont ouvert une enquête.

http://www.midilibre.fr/2012/12/31/un-cycliste-se-blesse-gravement-en-chutant,620050.php

Lorraine : une mère de famille happée par un train

C’est peu avant midi, hier, qu’un accident mortel s’est produit sur la voie de chemin de fer reliant Metz à Strasbourg, au niveau de Lemud. Le train Bruxelles-Bâle, qui s’arrêtait également en gare de Luxembourg et Metz, a percuté une femme.
Selon les premiers éléments de l’enquête, diligentée par les gendarmes de la communauté de brigades de Verny et Rémilly, il semblerait que la mère de famille, âgée de 42 ans, se trouvait au milieu du passage à niveau lorsque le train est arrivé à une vitesse avoisinant les 150 km/h. Sa voiture était stationnée à quelques mètres de la barrière.
En dépit des tentatives du conducteur pour stopper la rame, celle-ci ne s’est arrêtée que 300 mètres plus loin. Durant près de deux heures, le train et ses 350 passagers ont été immobilisés sur la voie, en rase campagne.
La circulation a été totalement interrompue pour permettre aux enquêteurs de mener leurs investigations. Encadrés par le lieutenant-colonel Le Nézet, patron de la compagnie, les militaires de Verny et Rémilly étaient secondés par leurs homologues de la brigade de recherches de Metz. Un gendarme spécialisé en identification criminelle était également présent sur place. Selon les premiers éléments, l’habitante de Rémilly, âgée de 42 ans et maman de deux petites filles, aurait laissé un écrit laissant présager de son funeste dessein. Toutefois, l’enquête, confiée conjointement à la brigade territoriale de Verny et à la brigade de recherches de Metz, devra faire toute la lumière sur ce drame.
La bande graphique papier qui enregistre la vitesse mais aussi toutes les manœuvres de sécurité liées à la circulation du train a été saisie par les gendarmes.
Quant au train, il est arrivé à Bâle avec un retard de plus de deux heures.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/12/31/une-mere-de-famille-happee-par-un-train

Morcenx (40) : une jeune landaise de 29 ans tuée dans une collision frontale

Un mort et une personne grièvement blessée. C'est le lourd bilan d'un choc frontal mortel déploré ce matin, peu après 9 heures, sur la départementale 27, entre Morcenx et Rion-des-Landes, à hauteur du pont qui enjambe de la voix ferrée.
Pour des raisons encore indéterminées (les seuls témoins sont arrivés après la collision, NDLR), la Volkswagen Polo d'une jeune fille de Morcenx âgée de 19 ans est allée percuter sur la voie de gauche le véhicule Renaut Clio conduit par une jeune femme de 29 ans. Le choc n'a laissé aucune chance à cette dernière. Originaire de Rion-de-Landes, sa famille avait semble-t-il déjà été endeuillée par un drame de la route.

La victime de Morcenx, grièvement blessée mais dont le pronostic vital n'était pas engagé ce matin à 11 heures, avait dû être désincarcérée. Elle a été évacuée par les Samu vers 11 heures direction le centre hospitalier Layné de Mont-de-Marsan.
Jean-Claude Deyres, le maire de Morcenx, mais aussi deux adjoints de Rion-de-Landes, s'étaient immédiatement transportés sur place. Les opérations de secours ont été prises en charge par les pompiers de Morcenx et de Rion-des-Landes. L'enquête a été confiée aux gendarmes de la communauté de brigades de Morcenx.
Afin de sécuriser la zone, les militaires de Morcenx ont été renforcés par leurs collègues de la compagnie de gendarmerie de Parentis-en-Born, de la brigade de Mimizan et du peloton autoroutier de Labouheyre. La circulation sur la D 27 est toujours interrompue. Des déviations sont mises en place à hauteur des communes de Morcenx et de Rion-des-Landes.

http://www.sudouest.fr/2012/12/31/morcenx-40-une-jeune-femme-de-29-ans-tuee-dans-une-collision-frontale-922435-3457.php

Deux morts dans un incendie à La Crau (Var)

Deux morts sont à déplorer dans un incendie qui s'est déclaré peu après 19 heures ce dimanche au foyer ouvert Les bois Saint-Joseph, à La Crau (Var).
Cinquante pompiers, la gendarmerie, l'unité de recherches de la police judiciaire et la police municipale étaient encore sur place vers 22h.
Aucune information n'a pour l'heure filtrer concernant les circonstances de cet événement. Toutes les personnes qui étaient présentes dans ce centre psychiatrique accueillant des jeunes de 18 à 35 ans ont été évacuées vers le gymnase de la ville.
Les deux blessés légers ont été transportés à l'hôpital d'Hyères.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/deux-morts-dans-un-incendie-a-la-crau-var.1098079.html

Varilhes. Un drame au passage du train

La circulation des trains a été fortement perturbée hier, en milieu de journée, à la suite d'un drame qui s'est produit sur la ligne Toulouse-Latour de Carol, à la hauteur de Varilhes. Un homme âgé de 70 ans, en effet, s'est donné la mort en se couchant sur la voie au passage du train, vers 12h30. Le septuagénaire se trouvait assis sur le ballast, à côté des rails, lorsque le train est arrivé, puis il s'est couché sous les roues. L'accident n'a pas pu être évité.
Les passagers du train ont été évacués et ont terminé leur trajet dans deux bus affrétés par la Sncf. Le train est demeuré à l'arrêt pendant plus de deux heures et demi, en attendant qu'un conducteur remplaçant, venu de Toulouse, prenne le relais.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/31/1526078-varilhes-un-drame-au-passage-du-train.html

Virage meurtrier pour une skieuse à Ax-3-Domaines

Le drame s'est produit samedi, en fin d'après-midi, alors que la victime, débutante à skis, effectuait la descente d'une piste verte, sur la station d'Ax-3-Domaines. Elle a violemment percuté un poteau qui soutient des filets de sécurité, pourtant porteur de protections.
La jeune femme, étudiante à Toulouse, d'origine brésilienne, n'avait que 23 ans, et débutait sur les pistes de ski. Elle a trouvé la mort dans un dramatique accident qui s'est produit ce samedi, en fin de journée, sur une piste verte de la station d'Ax-3-Domaines. Selon les premiers témoignages recueillis sur place, la jeune skieuse et son compagnon descendaient le boulevard de la Griole, une très longue piste sans grande déclivité, qui permet de regagner le bas de la station depuis le plateau de Bonascre. L'accident s'est produit au niveau de l'intermédiaire du télésiège de l'ours, lorsqu'un skieur aurait coupé la voie à la jeune femme, l'obligeant à négocier un large virage. Un virage meurtrier: la skieuse a perdu le contrôle de ses planches et a violemment percuté un poteau qui soutient les filets de protection, dans une zone où les skieurs sont invités à ralentir.
Les pisteurs ont alors été prévenus, et ont porté secours à la jeune femme, qui était consciente, mais se plaignait de son bras gauche, ainsi que de douleurs aux côtes. Elle était alors placée dans une coquille, et descendue jusqu'au poste de secours, une descente de plusieurs kilomètres. Durant le trajet, son état empirait rapidement, minute après minute, devenant particulièrement inquiétant. Le médecin de la station demandait alors un transport d'urgence, par hélicoptère, jusqu'au centre hospitalier du Val d'Ariège. La jeune femme devait y décéder, des suites de ses blessures, en tout début de soirée. Une enquête a été ouverte sur les circonstances de ce décès tragique. Une procédure habituelle. Hier, les premières auditions ont eu lieu, menées par les enquêteurs du peloton de gendarmerie de haute-montagne, à Savignac-les-Ormeaux. Du côté de la station, ce drame a jeté un voile de consternation. «Nous sommes sous le choc, et solidaires des amis et des proches de la victime, confie Fabrice Esquirol, directeur d'Ax-3-Domaines. L'ambiance, ici, est à la tristesse et au recueillement. Analyser les causes de l'accident, nous le ferons certainement, nous avons même commencé à le faire: à la première lecture, il semble que l'ensemble des procédures ait été respecté. C'est toujours très difficile, dans un cas aussi douloureux, mais on peut parler de fatalité. On ne pouvait pas penser qu'un tel drame pouvait survenir à cet endroit».

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/31/1526300-virage-meurtrier-pour-une-skieuse.html

Béziers : un quadragénaire périt happé sous un train, entraîné par son chien

Un quadragénaire a périt, samedi vers 19 h, à Béziers près de la gare, happé par un train en tentant de retenir son chien apeuré. La bête désorientée, en raison de l’obscurité du lieu, est passé sous le wagon qui arrivait à une vitesse élevée, entraînant son maître qui a été percuté à son tour. Il est mort sur le coup.
Un terrible accident s’est produit samedi soir, vers 19 h, à Béziers. Un homme est décédé, percuté accidentellement par un train, à deux pas de la gare. Selon les premiers éléments de l’enquête, ouverte par les hommes du commissaire Jos, il semblerait que le Biterrois, âgé de 40 ans, ait été fauché alors qu’il tentait de maintenir son chien près de lui.
Happé sous un train, entraîné par son chien

L’animal, tenu en laisse, a vraisemblablement été effrayé par un train. Sans doute désorienté, en raison de l’obscurité du lieu, il est passé sous le wagon qui arrivait à une vitesse élevée. L’homme a alors été happé sous la motrice, entraîné par la bête. Il est mort sur le coup. Le chien n’a pas survécu non plus.

Découvert qu’après une heure et demie de recherches

C’est le conducteur du train qui a donné l’alerte. Il aurait aperçu la victime s’engager sur la voie ferrée avant d’entendre un bruit violent, consécutif au choc. Les sapeurs-pompiers de Béziers sont rapidement intervenus sur les lieux mais les recherches ont été difficiles, compte tenu de l’obscurité. Le malheureux n’a été découvert qu’après une heure et demie de recherches, à une distance importante de l’impact.

Le train devait rejoindre Marseille

Le choc s’est déroulé peu après la sortie de la gare de la ville, à hauteur du garage Renault. Le train devait rejoindre Marseille. Aucun wagon n’a pu rouler pendant environ trois heures, le temps de l’intervention des secouristes et des forces de l’ordre. Le parquet de Béziers a demandé que le corps de la victime soit autopsié, ce qui sera fait mercredi prochain à l’institut médico-légal de Montpellier.

http://www.midilibre.fr/2012/12/30/le-quadragenaire-mortellement-fauche-par-un-train-pres-de-la-gare,619752.php

2 morts dans un accident dans la Drôme

Deux personnes ont trouvé la mort et cinq ont été blessées, dont une gravement, dans la collision frontale de deux véhicules ce matin près de Saillans (Drôme), dont un transportait quatre religieuses, a-t-on appris auprès des gendarmes de la Drôme. Les deux véhicules roulaient en sens inverse sur la D 93 près de Saillans quand, pour une raison indéterminée, l'un d'entre eux, une 405 avec trois hommes à bord, s'est déporté sur la gauche venant percuter de plein fouet la voiture des religieuses.

Le conducteur de la 405, un homme âgé de 71 ans, est mort sur le coup, de même que le passager arrière, dont le corps a dû être désincarcéré. Le 3e passager a été hospitalisé. Les occupantes de l'autre véhicule, quatre soeurs appartenant à la congrégation de Notre-Dame de la Sallette en Isère, ont également été blessées dans l'accident, dont une gravement, et conduites à l'hôpital.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/30/97001-20121230FILWWW00056-2-morts-dans-un-accident-dans-la-drome.php

dimanche 30 décembre 2012

Landes : un cadavre dans une voiture brûlée à Meilhan

Que s'est-il passé, dans la nuit de samedi à dimanche, à Meilhan, sur un chemin parallèle à la RD 824, voie rapide entre Mont-de-Marsan et Dax ? Là où a été découvert, vers 4 h 30 ce matin, un véhicule incendié avec un cadavre carbonisé au volant.
Les premiers éléments de l'enquête, confiée aux équipes de la compagnie de gendarmerie de Dax, ont permis d'établir que cette Peugeot 306, retrouvée sur le bas-côté, aurait été conduite par un homme né en 1957, travaillant en région parisienne mais ayant des attaches dans le département.

Le drame serait survenu à l'issue d'une soirée que la victime aurait passée en compagnie d'amis.
Les constatations relevées sur place n'ont donné aucun élément qui permet de penser à une thèse criminelle. Afin de confirmer l'origine accidentelle de ce décès, le parquet de Dax a néanmoins demandé une autopsie sur le cadavre.

http://www.sudouest.fr/2012/12/30/landes-un-cadavre-dans-une-voiture-brulee-a-meilhan-921778-3442.php

Lorraine : choc frontal fatal à un père de famille

Un père de famille a perdu la vie, vendredi soir, suite à une collision avec un autre véhicule, à l’entrée de Merten, près de Creutzwald. Âgé de 47 ans et habitant de Creutzwald, Jean-Claude Welter est décédé dans l’ambulance qui devait le conduire à l’hôpital Central de Nancy.
L’accident s’est produit peu avant 18 h 45, avenue de la République. La Renault Clio de la victime et une Ford Focus conduite par un homme de 30 ans, habitant de Villing, circulaient chacune sur sa voie avant d’entrer en collision, subissant un violent choc frontal. Le véhicule de Jean-Claude Welter s’est retrouvé en position latérale. L’autre voiture est restée sur ses roues. À leur arrivée sur place, les sapeurs-pompiers de Creutzwald, Bouzonville et Saint-Avold ont procédé à une désincarcération de la victime totalement bloquée dans l’habitacle de sa Renault. Elle présentait de graves lésions traumatiques sur l’ensemble du corps. L’autre conducteur se plaignait de douleurs au dos et à la poitrine. Pris en charge par le Samu de Forbach, Jean-Claude Welter a été dirigé vers Nancy. Malheureusement, ce père de famille, séparé, n’a pas survécu à ses blessures. L’autre victime, a été prise en charge à la clinique ADK de Sarrelouis en Allemagne, son pays natal. Ses jours ne seraient pas en danger.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/12/30/choc-frontal-fatal-a-un-pere-de-famille

Camiers : un piéton percuté décédé, un gendarme et une femme blessés dans un sur-accident

Vers 5h30, un piéton qui marchait sur le bord de la route a été fauché par une voiture, à la hauteur du cimetière militaire. Cet homme de 45 ans résidant à Dannes a été tué sur le coup.
Peu après, un véhicule de la gendarmerie qui barrait la circulation au niveau de l'intersection de Camiers a été percutée par une voiture.
La conductrice ne l'aurait pas vu, malgré les signaux des gendarmes. Elle a été légèrement blessée, ainsi que le militaire qui se trouvait dans le véhicule.


http://www.lavoixdunord.fr/region/camiers-un-pieton-percute-decede-un-gendarme-et-une-ia0b0n931072

Deux personnes meurent carbonisées dans un accident de la route à Marseille

Deux personnes, dont le véhicule avait quitté la chaussée, ont péri carbonisées dimanche matin à Marseille. L'accident, dont les causes ne sont pas encore connues, s'est produit vers 3 h dans les quartiers nord de la citée phocéenne.
Six véhicules de secours et 19 marins-pompiers ont été dépêchés sur place mais les militaires n'ont pu que constater le décès des occupants du véhicules après l'extinction de l'incendie.

http://www.midilibre.fr/2012/12/30/deux-personnes-meurent-carbonisees-dans-un-accident-a-marseille,619619.php

Plogastel-Saint-Germain. Un mort et deux blessés dans l'accident

Un jeune passager décédé, deux autres blessés dont un grièvement. C'est le premier bilan d'un accident de la route survenu ce matin, peu après 8 h, sur une petite route de campagne du Pays bigouden. Cinq jeunes avaient pris place dans ce véhicule dont le conducteur a perdu le contrôle alors qu'il circulait sur la D 240, la route de Tréméoc à
Plogastel Saint-Germain. Un important dispositif de secours est en place au lieu-dit Saint-Germain.


http://www.letelegramme.com/local/finistere-sud/ouest-cornouaille/plogastelstger/plogastelstger/plogastel-saint-germain-un-mort-et-deux-blesses-dans-l-accident-30-12-2012-1959412.php

Chalmazel : mort sur le parking

Samedi, à 10h30, un homme de 63 ans était victime d’un malaise cardiaque sur le parking de la station de ski de Chalmazel.
Les pompiers de Chalmazel, St-Georges-en-Couzan et le SMUR de Montbrison prenaient longuement en charge la victime. Cachés derrière un grand drap vert, les secours ont tout tenté, sans pouvoir réanimer la victime. A 13h50, les pompiers repartaient. Les gendarmes de Noirétable, présents sur les lieux ont attendu la levée du corps par les pompes funèbres.

http://www.leprogres.fr/loire/2012/12/29/chalmazel-mort-sur-le-parking

Mèze : la suivre dans la mort, le dernier geste d’amour d’Henri à Elisabetha

Le jour de Noël au cimetière de Mèze, l'ostréiculteur s'est donné la mort sur la tombe de sa femme. Henri Pibou, 69 ans est allé rejoindre, dans un ultime geste d'amour, Elisabetha son épouse âgée de 84 ans.
L’attendait-elle ? Que s’étaient-ils promis ? Autant d’interrogations désormais nimbées d’éternité. Henri a choisi de rejoindre Elisabetha le 25 décembre. Le jour de Noël. Jour du cadeau dernier.
Par cette matinée ensoleillée, Henri Pibou, 69 ans, s’en est allé à pied, par la rue des Adieux qui monte vers le cimetière de Mèze. Comme tous les jours, depuis avril dernier et le décès de son épouse alors âgée de 84 ans, il s’est assis face à la tombe de son grand amour d’outre-Rhin, Elisabetha Schmidt.

"J’ai oublié le bonheur. La paix a déserté mon âme"
Henri sera retrouvé allongé sur le marbre dans lequel ils avaient gravé leur amour. Une arme à feu jetée au sol… Déflagration d’une vérité qui nous dépasse. Vendredi, en l’église du village, la famille, les proches et le petit monde des gens d’étang, encore sous l’onde de choc, sont venus dire au revoir à l’ostréiculteur. Dans le silence des larmes. "J’ai oublié le bonheur. La paix a déserté mon âme." C’est par cet extrait du Livre des Lamentations que le curé évoquait avec pudeur le suicide d’Henri.

Terminus en terre des ombres

Une mort aussi brutale qu’inattendue. Quelques jours avant Noël, Henri souriait encore pour la photo aux côtés de son arrière-petit-fils Tom, 4 ans, auquel il venait d’offrir un jouet. Parce qu’Henri avait averti qu’il ne serait pas là le jour de Noël. Qu’il partirait pour un long voyage au Brésil. Qu’il ne voulait pas non plus déranger et prendrait un taxi pour se rendre à l’aéroport. "Il avait tout préparé, résilié ses assurances et divers contrats. Nous ne pouvions pas aller contre sa volonté de partir…" Un voyage imaginaire avec terminus en terre des ombres.

Fusionnels malgré leurs 15 ans d’écart

Alain, le fils d’Elisabetha, qu’Henri considérait comme le sien, comme ses petites-filles Emmanuelle et Jennifer, savaient la douleur d’Henri face à l’insoutenable séparation de l’être aimé. "Ils étaient fusionnels, malgré leurs 15 ans d’écart. Ils ont longtemps travaillé ensemble au mas conchylicole. Il était à ses petits soins jusqu’à ce qu’elle soit emportée par la maladie." Un amour déraisonné, inconditionnel.
Les zones les plus sombres du cœur
Depuis le décès de celle avec qui il aura partagé quarante années de sa vie, Henri déjeunait face à son portrait. Et tuait ce temps devenu fardeau au cimetière. Emportant son café, sa couverture et au besoin son parapluie. Pour elle, pour eux deux, il avait voulu une plaque du plus beau marbre qu’il était même allé choisir dans le Tarn.
Croyant, Henri donnait beaucoup de son temps à la religion, dont il connaissait parfaitement les symboles forts. Noël, la Nativité, la famille. Le cimetière, cet entre-deux au parfum testamentaire infiniment troublant. Saisi par cette passion dévastatrice, Henri Pibou s’est aventuré dans les zones les plus sombres du cœur. Là où la mort rejoint l’amour. Ou l’inverse.

http://www.midilibre.fr/2012/12/29/le-dernier-geste-d-amour-d-henri-a-elisabetha,619406.php

Brens. Une jeune femme tuée sur la route

Une terrible collision a coûté la vie hier soir à une jeune femme de 30 ans. Ce drame de la route, survenu à Brens, endeuille le village de Montans d'où était originaire Jenny Lacassagne.
Il était 17 h 20 environ. La jeune femme venait de quitter le domicile de ses parents et circulait sur la RD 87 en direction de Gaillac au volant d'une Citroën Xsara. C'est au lieu-dit «Les Fiolles», à la sortie d'une courbe à gauche, que l'accident s'est produit. Un choc frontal entre la Citroën et un 4x4 arrivant en sens inverse, conduit par un homme âgé de 40 ans. Celui-ci, grièvement blessé aux jambes, sera extrait de son véhicule avec beaucoup de précaution par les sapeurs-pompiers de Gaillac. Médicalisé par le Smur, il sera acheminé en ambulance vers l'hôpital d'Albi. Hélas, pour Jenny Lacassagne, tout effort des sauveteurs était vain. La Montanaise est décédée sur les lieux de l'accident. Son corps devait être déposé dans une chambre funéraire des Pompes funèbres Dero.
Pendant les longues opérations de secours, la RD 87 a été coupée dans les deux sens. La compagnie de gendarmerie de Gaillac, sous les ordres du capitaine Arnaud Ricq, avait déployé des effectifs de Gaillac et Rabastens, et les motards de l'escadron départemental de sécurité routière commandé par le capitaine Régis Mourot. L'enquête, confiée à la brigade de Gaillac devra établir avec précision les circonstances de cet accident survenu à la tombée de la nuit, sur une chaussée détrempée. On se souvient qu'en septembre 2010, sur cette même portion de route, une collision entre un scooter et un 4x4 tractant une remorque avait coûté la vie à une mère de famille de 33 ans.
Quels mots pourraient décrire la souffrance de parents qui, au bord d'une route, dans une soirée d'hiver pluvieuse, apprennent la mort brutale de leur fille ? Jenny, qui travaillait à Barcelone, était venue leur rendre visite pour les fêtes de Noël et elle devait regagner la Catalogne aujourd'hui. Elle était la sœur cadette de Fanny Lacassagne, qui fut pendant des années correspondante de «La Dépêche» à Gaillac. Que Fanny et ses parents, M. et Mme Jean-Paul Lacassagne, très connus et estimés à Montans, trouvent dans ces quelques lignes l'expression de notre profonde sympathie.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/28/1524649-gaillac-une-jeune-femme-tuee-sur-la-route.html

samedi 29 décembre 2012

Émanations mortelles pour une octogénaire

Une dame de 80 ans est décédée hier, en fin d’après-midi, suite à une intoxication au monoxyde de carbone.
Vers 17 h 45, Josiane Pernot, adjointe aux affaires sociales de la commune d’Uriménil, est en train de faire sa tournée annuelle afin de remettre les traditionnels colis de Noël aux habitants du village. Arrivée au domicile de Mme Leclerc, rue de la Barre, l’adjointe aurait toqué à la porte de l’octogénaire mais personne ne lui aurait ouvert. Connaissant très bien cette habitante, qu’elle a l’habitude de côtoyer tout au long de l’année, l’élue serait alors rentrée dans l’habitation.

Un chauffage défectueux

C’est là qu’elle aurait découvert l’octogénaire allongée au sol en arrêt cardio-respiratoire. L’alerte a aussitôt été donnée. Le fils de la victime, qui lui avait rendu visite quelques heures auparavant, est également alerté et revient au domicile de sa mère pour prendre connaissance de son état.
Les sapeurs-pompiers d’Uriménil-Uzemain et de Xertigny, suivis par le SAMU d’Épinal, sont arrivés rapidement sur les lieux. Ils se sont alors chargés de la réanimation de l’octogénaire. Malheureusement, les secours ont dû se résoudre à constater son décès après de longues minutes de soins intensifs.
Selon les premières constatations, un chauffage défectueux serait à l’origine d’émanations de monoxyde de carbone au sein du pavillon. Dans ce contexte, les soldats du feu, placés sous la coupe du chef de groupe l’adjudant Christophe Lebrun, ont procédé à une ventilation des lieux.
Quant à l’adjointe de la commune et le fils de Mme Leclerc, tous les deux légèrement intoxiqués de par leur présence au sein de l’habitation, ils ont été transportés au centre hospitalier Emile-Durkheim pour une visite de contrôle.
L’enquête sur ce drame est menée par la gendarmerie de Xertigny. À noter aussi la présence sur place du maire de la commune Eric Garion.

http://www.vosgesmatin.fr/vosges/2012/12/29/emanations-mortelles-pour-une-octogenaire

Chute mortelle d’un toit aux Fours à Chaux à Dugny

L'accident s'est produit vendredi vers 11 h mais n'a été appris que ce samedi. Le chef d’équipe de la société CMI Maintenance Est de Belleville-sur-Meuse est en train de travailler sur un toit de l’entreprise des Fours à Chaux de Dugny.
CMI Maintenance Est est en effet chargée de la réfection de ce toit en tôle lorsque soudain, ce technicien âgé de 57 ans chute de la toiture haute d’une quinzaine de mètres.
Rapidement secourue par les sapeurs-pompiers de Dieue-sur-Meuse, la victime de cet accident du travail, a été transportée en ambulance au centre hospitalier de Verdun. Elle succombera malheureusement à ses blessures dans l’après-midi.

Ouverture d’une information judiciaire

L’enquête a été confiée aux gendarmes de la communauté de brigades de Verdun.
Lesquels tenteront avec l’inspection du travail de déterminer les causes exactes de cet accident et si des fautes ont été commises.
Afin de faciliter le bon déroulement de cette enquête, une information judiciaire sera ouverte par le parquet la semaine prochaine

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2012/12/29/chute-mortelle-d-un-toit-aux-fours-a-chaux-a-dugny

Epernay: une marche blanche après le meurtre de Bernon

Une marche blanche aura lieu cet après-midi à Bernon en hommage à Zaccharia, l'adolescent tué dimanche, d'une balle dans la tête.
Le meurtre de Zaccharia, un Sparnacien de 17 ans, tué dimanche dernier sur un parking du quartier a déclenché une véritable onde de choc à Bernon. Certains habitants ont décidé d'organiser une marche blanche à sa mémoire.
Le défilé, dans les rues de ce quartier populaire d'Epernay débutera vers 15 heures. Une manifestation qui a reçu l'aval des services de la préfecture sous la forme d'un arrêté préfectoral. De son côté, la municipalité sparnacienne avait émis un avis favorable à cette initiative.
Le meurtre de ce jeune homme, originaire de Bernon est encore dans toutes les mémoires. Ce dimanche, le mineur est vu pour la dernière fois vivant peu avant 8 heures. Il sortait de la boulangerie du quartier avec plusieurs sandwiches dans les mains. L'enquête de police déterminera qu'il avait passé la soirée entre amis, dans une boite de nuit de la région sparnacienne.
Vers 8 heures, deux coups de feu claquent, Zaccharia s'écroule, mort sur le coup, sur le parking situé allée de Lalo, juste derrière le centre commercial.
Deux hommes en détention provisoire
L'autopsie pratiquée dès lundi après-midi sur le corps de la victime a permis de montrer que le projectile, « plutôt de type plomb » était entré par l'arrière de la nuque et qu'il avait été tiré à très courte distance.
L'enquête confiée à la police judiciaire a rapidement abouti à une première interpellation dès dimanche après-midi. Les témoignages et les investigations ont permis de montrer que le tireur avait bénéficié d'une complicité qui lui aurait permis de fuir juste après les faits. L'homme interpellé chez lui ce jour-là, est âgé d'une vingtaine d'années et est originaire de Bernon. On le soupçonne d'avoir transporté le tueur en voiture.
Quelques heures plus tard, un 2e homme est arrêté à proximité de l'aéroport d'Orly alors qu'il s'apprête à fuir à l'étranger, sans doute vers un Etat du Maghreb. Les policiers sont persuadés qu'il s'agit du tireur. Résidant également dans le quartier Bernon, le jeune homme âgé de 21 ans gardera le silence durant le temps de sa garde à vue. Présenté le 24 décembre à un juge d'instruction de Reims, il sortira alors de son mutisme et avouera être le porteur de l'arme.
En revanche, la suite de ses déclarations au magistrat instructeur ira à l'encontre des éléments découverts sur place par les policiers et avec les différents témoignages recueillis dans le cadre de l'enquête. Il a été placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention. Une information judiciaire a été ouverte à son encontre pour homicide volontaire.
Son complice présumé a également fait l'objet d'une incarcération.

Aujourd'hui, la famille devrait être présente dans le cortège mais elle devrait, selon une source proche, ne prendre place qu'à l'arrière du défilé.

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/epernay-une-marche-blanche-apres-le-meurtre-de-bernon

Ardèche: mort d'un chasseur

Un chasseur de 57 ans blessé accidentellement à la tête par un tir de son collègue à Prades (Ardèche) est mort jeudi à l'hôpital de Montpellier, a-t-on appris de source judiciaire. Les deux hommes tentaient d'achever un sanglier blessé mercredi lorsque l'un d'eux a tiré sur l'autre.

Un autopsie sera pratiquée lundi, a indiqué au Dauphiné libéré le procureur de la République de Privas, Dominique Sénéchal. L’auteur du coup de feu, dont la garde à vue a été levée jeudi, n’a pour l’instant pas été mis en examen et sera réentendu ultérieurement.



http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/29/97001-20121229FILWWW00283-ardeche-mort-d-un-chasseur.php

Peyremale (Gard) : 3 morts dans un véhicule qui loupe le pont et chute dans la rivière

Dans la nuit de jeudi à vendredi, une fourgonnette, dans laquelle se trouvait trois hommes, a continué tout droit au lieu de s’engager sur le pont. Le véhicule s’est écrasé 20 m plus bas dans la rivière. Les victimes seraient décédées sous la violence du choc.
Trois hommes circulant à bord d’un même véhicule ont trouvé la mort dans un accident de voiture dans la nuit de jeudi à vendredi, à Peyremale.
Deux habitants du village, Ophélie Clément, 28 ans, et Christopher Mendes, 21 ans, n’ont pas hésité à se mettre à l’eau, la nuit en plein hiver, pour tenter de porter secours aux victimes : "Nous ne dormions pas encore et nous avons entendu un grand bruit, comme un coup de tonnerre, racontent-ils, nous sommes sortis, il était aux alentours de 2 heures du matin. Nous avons regardé ce que c’était et on a vu que c’était une voiture qui avait sauté dans la rivière. Nous sommes allés directement sur le lieu tout en prévenant les pompiers. Nous n’avons pas hésité à nous jeter à l’eau tous les deux pour secourir les passagers."

"Je suis rentré par le pare brise pour sortir une personne."
Christopher Mendes

"Quand je suis rentrée dans la rivière au niveau de la taille ça allait, mais quand l’eau a recouvert mon torse, le froid m’a saisi", précise la jeune femme. Christopher, lui, a "plongé la tête la première, je suis rentré par le pare-brise pour sortir une personne". Malheureusement il était trop tard. "Elle était déjà décédée, couchée côté conducteur."
Les deux jeunes gens courageux apprennent d’un pompier qu’il y avait non seulement une deuxième personne dans le véhicule mais aussi une troisième victime à l’arrière. "Le conducteur apparemment gisait sous les pédales et le volant. C’est la raison pour laquelle nous ne l’avons pas aperçu. D’après les renseignements qu’on nous a fournis, les trois personnes seraient décédées sous la violence du choc.

http://www.midilibre.fr/2012/12/28/lourd-bilan-apres-un-accident-a-peyremale-trois-hommes-morts,618978.php

Seine-Saint-Denis : un homme aurait tué sa femme et ses deux enfants

Un père de famille aurait tué vendredi sa femme et ses deux enfants de 4 et 7 ans au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis), "puis se serait suicidé", a indiqué la préfecture de ce département alors que le drame semblait remonter à plusieurs jours.
"Un père de famille a tué sa femme, ses enfants de 4 et 7 ans, puis se  serait suicidé", a indiqué la Préfecture, sans plus de précisions. Une arme a été retrouvée près du corps du père de famille, a précisé le préfet de Seine-Saint-Denis, Christian Lambert, qui s'est rendu sur place. Une source proche de l'enquête s'est toutefois montrée plus prudente sur l'hypothèse du suicide du père. "Il faut faire venir les experts en balistique pour vérifier si c'est lui qui a tiré, on attend les laboratoires et on doit faire des prélèvements. Pour l'instant personne n'est rentré : la scène du crime est sous étude", a-t-elle expliqué.
"Une mare de sang"
"La découverte date de ce vendredi, mais les faits remontent à avant", a ajouté cette source. Selon une autre source proche du dossier, les victimes ont été retrouvées "dans une mare de sang" par un proche de la famille qui s'inquiétait de ne plus avoir de nouvelles. "Etant donné la raideur cadavérique, les faits devraient remonter à plusieurs jours", a-t-elle précisé.
Selon le parquet de Bobigny, "les constations n'ont pas encore été faites et viennent de commencer en début de soirée". "Il est beaucoup trop tôt pour tirer des conclusions, on n'a même pas l'identité des victimes, uniquement les  déclarations du frère" qui les a retrouvées, selon cette source. "Il faut prendre les informations avec une grande prudence, on n'a encore aucun élément d'enquête, c'est beaucoup trop tôt", a ajouté le parquet. Un périmètre de sécurité a été mis en place autour de cet immeuble de cinq étages, dans lequel vivait la famille au rez-de-chaussée.
Un couple "très gentil", selon une voisine
Une voisine, contactée par l'AFP et souhaitant garder l'anonymat, a décrit un couple d'une trentaine d'années "très gentil". Selon elle, le père de famille "ne travaillait pas". "Comme il était là dans la journée, il faisait office de gardien et se rendait disponible auprès de ses voisins pour leur rendre service", a-t-elle poursuivi. "Cela faisait deux jours que toutes les lumières étaient allumées pendant toute la nuit dans leur appartement, cela nous avait interpellés", a-t-elle  ajouté, se disant "sous le choc de cette nouvelle". L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne.

Brens. Une jeune femme tuée sur la route

Une terrible collision a coûté la vie hier soir à une jeune femme de 30 ans. Ce drame de la route, survenu à Brens, endeuille le village de Montans d'où était originaire Jenny Lacassagne.
Il était 17 h 20 environ. La jeune femme venait de quitter le domicile de ses parents et circulait sur la RD 87 en direction de Gaillac au volant d'une Citroën Xsara. C'est au lieu-dit «Les Fiolles», à la sortie d'une courbe à gauche, que l'accident s'est produit. Un choc frontal entre la Citroën et un 4x4 arrivant en sens inverse, conduit par un homme âgé de 40 ans. Celui-ci, grièvement blessé aux jambes, sera extrait de son véhicule avec beaucoup de précaution par les sapeurs-pompiers de Gaillac. Médicalisé par le Smur, il sera acheminé en ambulance vers l'hôpital d'Albi. Hélas, pour Jenny Lacassagne, tout effort des sauveteurs était vain. La Montanaise est décédée sur les lieux de l'accident. Son corps devait être déposé dans une chambre funéraire des Pompes funèbres Dero.
Pendant les longues opérations de secours, la RD 87 a été coupée dans les deux sens. La compagnie de gendarmerie de Gaillac, sous les ordres du capitaine Arnaud Ricq, avait déployé des effectifs de Gaillac et Rabastens, et les motards de l'escadron départemental de sécurité routière commandé par le capitaine Régis Mourot. L'enquête, confiée à la brigade de Gaillac devra établir avec précision les circonstances de cet accident survenu à la tombée de la nuit, sur une chaussée détrempée. On se souvient qu'en septembre 2010, sur cette même portion de route, une collision entre un scooter et un 4x4 tractant une remorque avait coûté la vie à une mère de famille de 33 ans.
Quels mots pourraient décrire la souffrance de parents qui, au bord d'une route, dans une soirée d'hiver pluvieuse, apprennent la mort brutale de leur fille ? Jenny, qui travaillait à Barcelone, était venue leur rendre visite pour les fêtes de Noël et elle devait regagner la Catalogne aujourd'hui. Elle était la sœur cadette de Fanny Lacassagne, qui fut pendant des années correspondante de «La Dépêche» à Gaillac. Que Fanny et ses parents, M. et Mme Jean-Paul Lacassagne, très connus et estimés à Montans, trouvent dans ces quelques lignes l'expression de notre profonde sympathie.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/28/1524649-gaillac-une-jeune-femme-tuee-sur-la-route.html

vendredi 28 décembre 2012

Seine-Saint-Denis : un père tue sa femme et ses deux enfants

Le Blanc-Mesnil : quatre morts dans un appartement

Deux enfants de 4 et 7 ans et deux adultes ont été retrouvés morts dans un petit immeuble du Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis) ce vendredi en fin d’après-midi. C’est un membre de la famille qui a fait la macabre découverte en rentrant dans l’appartement.

Parmi les hypothèses envisagées, celle du drame familial est privilégiée : le père aurait pu tuer sa femme et ses enfants avant de se suicider.
 
D’autres pistes sont aussi étudiées par les enquêteurs toujours sur place.
 

Savoie: un jeune russe se tue au ski

Un surfeur russe, âgé d'une vingtaine d'années, est décédé aujourd'hui après avoir heurté un rocher sur le domaine skiable d'Orelle, en Savoie, a-t-on appris auprès du peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de Modane.

Le jeune homme, qui a "volontairement" quitté la piste balisée, a percuté un rocher situé à une quinzaine de mètres, alors "qu'il semblait aller assez vite", a rapporté la gendarmerie. "Selon les premiers éléments de l'enquête, la vitesse pourrait être une explication à ce tragique accident", a indiqué le lieutenant Guillaume Mainguy. La victime ne portait pas de casque. Le jeune homme, en vacance dans la station avec des amis, était originaire de Saint-Pétersbourg.

Hier, un skieur de 14 ans s'était tué en percutant un arbre à la suite d'une sortie de piste dans la station de Saint-Pierre-dels-Forcats.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/28/97001-20121228FILWWW00499-savoie-un-jeune-russe-se-tue-au-ski.php

Un père écrase son fils avec son tracteur

Un garçonnet de deux ans est mort écrasé par le tracteur de son père, ce matin à Brion-près-Thouet, dans les Deux-Sèvres.

L'enfant était installé sur l'aile du tracteur quand son père, qui conduisait, a reculé. Le garçon est tombé et a été écrasé par l'engin, a précisé la gendarmerie, comme l'a indiqué le Courrier de l'ouest.

Appelés sur place vers 11 heures, les pompiers ont longuement tenté de ranimer l'enfant en pratiquant un massage cardiaque, sans succès.

La gendarmerie a été saisie d'une enquête qui devrait rapidement conclure à "un tragique accident", a-t-on ajouté de même source.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/28/97001-20121228FILWWW00457-un-pere-ecrase-son-fils-avec-son-tracteur.php

Marseille: un octogénaire tue sa femme

Un octogénaire a tué sa femme puis s'est donné la mort à leur domicile de Marseille, aujourd'hui dans les quartiers nord, a-t-on appris de source proche de l'enquête. D'après les premiers éléments de l'enquête, l'homme a tiré sur sa femme avec une carabine, avant de retourner l'arme contre lui. Les premiers secouristes ont été impressionnés en voyant les corps inanimés du couple "avec beaucoup de sang sur les murs". "C'est un drame en cette période de fêtes, qui a beaucoup surpris les proches des octogénaires", a ajouté cette source.

L'alerte avait été donnée dans la matinée par un proche, inquiet de ne pas avoir de nouvelles de ce couple d'octogénaires résidant au hameau du mitan dans le quartier de la Batarelle, dans le 13e arrondissement de Marseille. L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la sûreté départementale.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/28/97001-20121228FILWWW00367-marseille-un-octogenaire-tue-sa-femme.php

Ploufragan. Un mineur meurt après un coma éthylique

Un jeune homme âgé de 17 ans est mort, dimanche, àl'hôpital deSaint-Brieuc. La nuit précédente, àPloufragan, ilavait ingurgité une très grande quantité d'alcool, en peu detemps. Unphénomène répandu chez les jeunes Bretons.
«Ce week-end, sur le ressort denotre Tribunal de grande instance, j'ai été informée detroisdécès, directement liés àl'alcoolisme. Des personnes âgées de 30 à 50 ans, toutes retrouvées chez elles». Ce bilan alarmant, c'est celui dressé parAnnie Bonneau, le procureur degarde, àSaint-Brieuc, samedi et dimanche. Un bilan aggravé, au cours de cette même permanence, par un quatrième décès, lié à l'alcool: celui d'un jeune homme, âgé de17ans, originaire de l'ouest dudépartement. Samedi soir, l'adolescent, deuxde ses amis et le père de l'un de ces derniers dînent en ville. Lerepas n'est pas particulièrement arrosé.

Environ 4g/l de sang

C'est plus tard, dans une maison de
Ploufragan, que le mineur va consommer énormément d'alcool fort, en très peu de temps. Lorsque ses hôtes s'aperçoivent qu'il ne va pas bien, il est déjà trop tard. Avertis peu après 4h30, les secours ne peuvent réanimer le jeune homme, dont l'alcoolémie avoisine les 4g/l de sang. Son décès est constaté quelques heures plus tard, à l'hôpital Yves-Le-Foll, à Saint-Brieuc.

Pas de plainte mais une
enquête en cours

«Une
enquête, confiée au commissariat de Saint-Brieuc, a été ouverte et les trois personnes qui se trouvaient avec le mineur ont été entendues librement par les policiers», explique Annie Bonneau. Lors de leurs auditions, tousauraient déclaré ne pas avoir poussé la victime à boire. Quant à la famille du mineur, ellen'avait pas déposéde plainte, hier. «Pour l'heure, jen'ai pas décidé sij'allais ouvrir une information judiciaire pour non-assistance àpersonne en danger», complète lamagistrate.

«Un coma éthylique est une overdose d'
alcool»

Au centre d'addictologie de Saint-Brieuc, ce phénomène d'alcoolisation massive en un temps réduit (appelé «binge drinking») est également bien connu. Comme un peu partout en Bretagne. «Notre région est plus concernée que d'autres. Il s'agit d'une consommation d'
alcool plus festive que régulière», éclaire un des intervenants du centre. «S'il n'induit pas de risque dedépendance, lebinge drinking entraîne, en revanche, des violences routières, urbaines et des risques sanitaires pour celui qui le pratique. Notamment l'overdose. Un coma éthylique n'est rien d'autre qu'une overdose d'alcool».

Les jeunes Bretons s'enivrent davantage

Ce phénomène d'alcoolisation des jeunes s'observe également dans les statistiques de l'Association d'information régionale sur les drogues, les dépendances et le Sida (AIRDDS). Dans son «Tableau de bord sur les addictions en Bretagne», elle souligne ainsi que «l'ivresse régulière est une pratique deux fois plus fréquente dans notre région qu'en France». «En 2011, à 17 ans, 31% des garçons et 15% des filles, en Bretagne, déclarent avoir été ivres au moins dix fois au cours de l'année. Au niveau national, ils ne sont respectivement que 15% et 6%».


http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/cotesarmor/ploufragan-un-mineur-meurt-apres-un-coma-ethylique-28-12-2012-1957401.php

Lorient. Renvoyés de leur résidence après le décès d'un étudiant

Cinq étudiants, locataires d’une résidence à Lorient, ont été renvoyés. L’association diocésaine, qui gère l’établissement, leur reproche d’avoir organisé une soirée, le 6 décembre, sans autorisation. Soirée à laquelle participait un étudiant de l’IUT, porté disparu durant douze jours et retrouvé mort dans le port de Lorient le 19 décembre.
« Injuste »
« On a reçu une lettre de l’association diocésaine (évêché de Vannes), qui gère notre résidence à Lorient. Nos contrats de location sont résiliés, avec effet lundi 7 janvier 2013. On est obligé de déménager nos effets personnels d’ici cette date ». Locataire de la résidence de l’aumônerie, à Lorient, cet étudiant est sous le choc. Il trouve la décision de l’association diocésaine « injuste ».
« Contexte d’alcoolisation massive »
Pour justifier le renvoi des sept étudiants, l’association évoque la soirée du 6 décembre, organisée à la résidence sans l’accord du responsable des lieux. Une soirée qui s’est déroulée « dans un contexte d’alcoolisation massive et de consommation de cannabis » (dixit le procureur de Lorient), alors que le règlement intérieur de la résidence stipule qu’alcool et stupéfiants y sont interdits.
Porté disparu puis retrouvé mort
Une soirée à laquelle participait François, 20 ans, originaire de Landéda (Nord-Finistère) et étudiant à l’IUT de Lorient. Le jeune homme avait quitté les lieux vers 1 h et n’avait plus donné de nouvelles. Le corps du Finistérien a été retrouvé dans le port de Lorient, le 19 décembre.
 

La Rochelle: une noyée dans le port

Une Charentaise de 26 ans a péri, vraisemblablement noyée, et une autre a été hospitalisée en état de choc vendredi matin après la chute accidentelle de leur véhicule dans le Vieux port de La Rochelle, en centre-ville, a-t-on appris auprès des secours et de source policière.

Vers 8h ce matin , la voiture pour une raison indéterminée a, semble-t-il, mal négocié un virage, franchi un trottoir, puis a basculé dans les eaux du Vieux port depuis une hauteur d'environ un mètre, par une marée encore assez haute, a-t-on précisé de même source.

Une des occupantes du véhicule, âgée de 23 ans, est parvenue à s'en extraire seule et a été transférée à l'hôpital de La Rochelle, dans un état de choc tel qu'elle n'avait pu être entendue à la mi-journée.

L'autre occupante, restée prisonnière de la voiture, en a été extraite par les secours, qui n'ont pu la ranimer.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/28/97001-20121228FILWWW00321-la-rochelle-une-noyee-dans-le-port.php

Macabre découverte dans le canal d'amenée de Golfech

Les techniciens de la centrale hydroélectrique de Golfech ont réalisé une bien macabre découverte, jeudi aux alentours de midi. En effet, alors qu'ils réalisaient des travaux de nettoyage sur le site, l'un d'eux a trouvé le corps d'un homme flottant dans le canal d'amenée tout près des grilles de l'installation. Il donnait aussitôt l'alerte.
Sur place, les militaires de la communauté de brigades (COB) de Valence-d'Agen, rejoints par l'équipe de techniciens en identification criminelle (TIC) de Montauban, ont, une fois le corps extrait du canal à l'aide d'une grue, réalisé les constatations d'usage. Des prélèvements devant leur permettre de confirmer l'identité du cadavre. Hier en fin de journée, la compagnie de gendarmerie de Castelsarrasin confirmait bien la piste privilégiée par les enquêteurs: celle du septuagénaire disparu depuis une semaine à Valence-d'Agen. En effet, depuis le 17 décembre dernier (nos éditions des 18 et 19 décembre), les militaires valenciens étaient mobilisés pour retrouver Maurice Pradillon, 70 ans, un pensionnaire de la maison de retraite de Valence-d'Agen. Ce dernier avait quitté l'établissement en laissant un message téléphonique inquiétant à sa famille et n'avait pas réapparu depuis. Le corps du retraité a été rendu, en soirée, à la famille.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/28/1524216-macabre-decouverte-dans-le-canal-d-amenee-de-golfech.html

Mortellement blessée par une voiture en pleine rue

Il était environ 17 h 50, mercredi, lorsqu’une septuagénaire a été renversée par un automobiliste circulant sur la RD 434, Grande-Rue à Vauvillers.
Elle était apparemment vêtue de sombre et le conducteur, un homme âgé de 40 ans et domicilié à Berthelange dans le Doubs, a déclaré ne l’avoir vue qu’au dernier moment, selon Michel Eble, le maire du chef-lieu de canton.
Deux véhicules se croisaient au moment où Marie-Thérèse Remy, âgée de 75 ans et résidant en face de la place de la Libération à Vauvillers, rentrait chez elle, lorsque le choc s’est produit. Elle a été happée par l’aile droite de la voiture conduite par Frédéric Bouvrat, 40 ans.
Souffrant d’un traumatisme crânien, elle a été transportée inconsciente par hélicoptère au Centre hospitalier universitaire Jean-Minjoz à Besançon où elle est décédée dans la nuit de mercredi à jeudi.
Mme Remy, qui avait passé Noël chez l’un de ses deux enfants, revenait d’une visite à sa voisine, chez qui elle se rendait régulièrement. Elle empruntait toujours le même itinéraire.
Marie-Thérèse Remy était très connue à Vauvillers, où elle avait longtemps tenu l’hôtel-restaurant du Château. Activité qu’elle avait cédée au décès de son mari, voici quelques années. Lequel était lui aussi très connu sur le secteur, et notamment dans les fermes, exerçant la profession de hongreur.
Mme Remy était par ailleurs très active au CCAS (Centre communal d’action sociale). Un drame de la circulation qui affecte particulièrement le maire.
Sur les lieux de l’accident, de nombreux moyens ont été déployés : pompiers de Vauvillers, de Passavant-la-Rochère, SMUR de Luxeuil ainsi que les gendarmes de la Communauté de brigades de Saint-Loup, qui ont réalisé le dépistage d’alcoolémie, qui s’est avéré négatif.
Avec l’accident mortel survenu le soir du réveillon de Noël, cette nouvelle victime porte à 18 le nombre des décès survenus sur les routes de Haute-Saône cette année.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/12/28/mortellement-blessee-par-une-voiture-en-pleine-rue

Un père tué suite à un conflit que sa fille aurait eu sur Facebook

Un commerçant ambulant de 55 ans, dont la fille aurait tenu des propos désobligeants sur Facebook à l'égard d'une de ses cousines, est mort mardi à Dieppe en Seine-Maritime après avoir reçu un coup de poing du père de celle-ci, nous apprend jeudi une source proche de l'enquête.
Les deux cousines âgées de 25 et 26 ans s'étaient querellées à la suite de  propos désobligeants que l'une aurait tenus sur Facebook à l'égard de l'autre. Les deux jeunes femmes en étaient venues aux mains et la supposée victime des  propos contestés avait été griffée au visage dans l'altercation. Elle était revenue une demi-heure plus tard avec plusieurs membres de sa famille, dont son père âgé de 48 ans, et une bagarre générale s'en était suivie. Le père de la jeune femme, qui aurait tenu les propos contestés, a reçu alors de l'autre père un coup de poing au visage et est tombé inanimé sur le sol.

Quint-Fonsegrives. 3 blessés graves dans l'incendie d'une maison

Trois personnes ont été gravement blessées ce jeudi dans l'incendie de leur maison à Quint-Fonsegrives près de Toulouse. L'une d'entre elle se trouve entre la vie et la mort, selon les gendarmes.
Le sinistre s'est déclaré vers 6h30 dans une maison à deux étages. Trois des sept occupants de l'habitation ont été grièvement blessés, dont le fils du propriétaire de la maison, âgé de 22 ans, pour lequel le pronostic vital est engagé. Deux autres personnes ont légèrement blessées.

Les causes de l'incendie ne sont pas encore connues. Le parquet de Toulouse a mandaté un expert pour déterminer les causes du sinistre, ont expliqué les gendarmes.
Information publiée sur La Dépêche Premium à 9h48.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/27/1524053-quint-fonsegrives-3-blesses-graves-dans-l-incendie-d-une-maison.html

jeudi 27 décembre 2012

Il meurt en mangeant une gaufre

Un homme âgé d’une cinquantaine d’années qui se déplaçait en fauteuil roulant est mort en fin d’après-midi étouffé, alors qu’il mangeait une gaufre près de la patinoire de Noël installée au centre-ville de Vannes, annonce Ouest-France.

Un témoin de la scène a tenté de le sauver en attendant l’arrivée des secours, en vain. Et les pompiers n’ont rien pu faire pour le réanimer.

Selon le quotidien, la police a dû intervenir à cause de l'émoi suscité par cette tragédie survenu dans un endroit très fréquenté.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/27/97001-20121227FILWWW00492-il-meurt-en-mangeant-une-gaufre.php

Tuerie du Triolet à Sète : à quand les obsèques des deux victimes ?

Près d'un mois après le drame, le permis d'inhumer des deux victimes n'a toujours pas été délivré. La date des obsèques ne peut être fixée tant que les dépouilles de Michel Pepe et Fabrice Reilles n’auront pas été rendues. Leurs familles n’ont pas pu leur dire adieu avant Noël. Doivent-elles attendre que le Nouvel An soit passé pour pouvoir enfin le faire ?
C’était dans la nuit du vendredi 30 novembre au samedi 1er décembre. Une nuit d’horreur dans cet immeuble de l’impasse Olympique, au Triolet, où un résident, excédé par le bruit émanant de l’appartement voisin, s’est subitement mué en meurtrier, faisant feu à plusieurs reprises. Terrible bilan : deux morts - Fabrice Reilles, 32 ans, dit Papou, et Michel Pepe, 42 ans -, deux blessés, trois rescapés dont une enfant.
Aujourd’hui hors de danger

L’enquête est allée très vite. Le tireur, Charles Pujol, 49 ans, a été aussitôt interpellé, rapidement mis en examen pour assassinats et tentative d’assassinats, et écroué. Les deux blessés, grièvement atteints, sont aujourd’hui hors de danger. Mais les deux victimes, dont les corps ont été autopsiés quelques jours après le drame, n’ont toujours pas quitté l’institut médico-légal de Montpellier. Car le parquet n’a pas encore délivré le permis d’inhumer. Soit près d’un mois après les faits…
Pourquoi donc un tel retard ? Difficile d’obtenir des explications, tant auprès du Parquet - le procureur de la République, Brice Robin, est en congé - que de l’avocat des parties civiles, lui aussi en vacances. Personne ne les en blâmera, bien entendu, en cette période de fêtes.
Les inhumations s’effectueront au cimetière Le Py
Mais pour les familles des victimes, l’attente est chaque jour plus pesante, alors que les préparatifs des obsèques sont bien avancés. L’appel aux à dons a permis de récolter suffisamment de fonds pour pouvoir les financer. Quant au déroulement, il est pratiquement arrêté. La cérémonie aura lieu au complexe funéraire, avec prises de parole. Elle pourrait être précédée d’une marche silencieuse depuis l’Île de Thau. Les inhumations s’effectueront au cimetière Le Py, dans les caveaux familiaux respectifs.
Tout est prêt, donc. Mais la date des obsèques ne pourra évidemment être fixée tant que les dépouilles de Michel Pepe et Fabrice Reilles n’auront pas été rendues. Leurs familles n’ont pas pu leur dire adieu avant Noël. Faudra-t-il attendre que le Nouvel An soit passé pour qu’elles puissent enfin le faire ? Et enfin se recueillir auprès de leurs disparus ?

http://www.midilibre.fr/2012/12/27/tuerie-du-triolet-a-quand-les-obseques-des-deux-victimes,618420.php

Caen - Le Mans. Un suicide près de Vendeuvre provoque des retards de trains

Aux alentours de 8 h ce matin sur la ligne Caen - Le Mans, un homme de 55 ans se serait donné la mort en plaçant son véhicule sur la voie SNCF entre Vendeuvre et Grisy, au sud-est de Caen entre Mézidon-Canon et Falaise. « C’est le train de 6 h 57 en direction de Caen qui a percuté le véhicule, précise un agent de la SNCF. Onze personnes étaient à bord. » Pour les besoins de l’enquête, l’officier de police judiciaire a interdit la circulation de quatre trains circulant sur la portion Caen - Le Mans, ce qui a provoqué des retards de circulation de 15 à 88 minutes. « Un autocar a été mis en place pour assurer la circulation entre Saint-Pïerre-sur-Dives et Argentan », informe l’agent. Véhicule évacué, le trafic a repris à 11 h 25 ce matin. « Nous devrions arriver à une résorption progressive du retard, pour un retour à la normale d’ici le début d’après-midi », assure-t-il.

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&frm=1&source=newssearch&cd=2&cad=rja&ved=0CDcQqQIoADAB&url=http%3A%2F%2Fwww.ouest-france.fr%2Fofdernmin_-Caen-Le-Mans.-Un-suicide-pres-de-Vendeuvre-provoque-des-retards-de-trains_40771-2148030-pere-bno_filDMA.Htm&ei=JHDcUJT7MK3Y0QX2uoHgDA&usg=AFQjCNFHtlglDbh6FYikTl1eIJWlHTp2Ng&sig2=_Jkfxv49ZAcwExmn-QXtnQ&bvm=bv.1355534169,d.d2k

Accident mortel à Rennes. Décès d'un chauffeur de bus

Un accident mortel s’est produit ce matin peu après 8 h au terminus Henri-Fréville, à Rennes. Un chauffeur de bus, a priori en pause, est décédé alors qu’il se trouvait à l’extérieur, à l’arrière de son bus.
Le conducteur, âgé de 27 ans, prenait sa pause entre deux services des lignes de bus 61 et 90. «Descendu de son bus, il se tenait à l’extérieur vers l’arrière de son véhicule. Celui-ci a reculé pour une raison encore inconnue et est venu heurter un autre bus à l’arrêt. A-t-il percuté le conducteur ? Aucun témoin n’a assisté directement à la scène», souligne Kéolis Rennes, dans un communiqué.
Les circonstances de l’accident restent donc à déterminer, les policiers toujours sur place espèrent en savoir davantage avec les caméras de surveillance.
Le jeune conducteur de 27 ans n’a pu être réanimé malgré les efforts des médecins du Smur. Il travaillait pour la TIV, Transports d’Ille-et-Vilaine, qui assure les lignes suburbaines, notamment vers le sud-Rennes.
 

Accident dans le Gers : un adolescent de 16 ans se tue sur la route

Vive émotion hier entre Condom et Ligardes, village dont l'adolescent était originaire, après le tragique accident qui a coûté la vie au jeune Nicolas Fernandez. Pris de convulsions, Paul Taris, l'exploitant agricole de 34 ans qui pilotait le tracteur impliqué dans la collision avec le cyclomoteur de la victime, a dû être transporté à l'hôpital de Condom par les sapeurs-pompiers et le Samu. Ils y ont également conduit les parents et la sœur de Nicolas, en état de choc.
En allant au travail

Que s'est-il passé hier matin, vers 8 h 15, sur cette portion de la route départementale 931, non loin du garage de tracteurs John Deere ? L'enquête de gendarmerie qui a été ouverte tâchera de le déterminer précisément. Mais on sait d'ores et déjà que Nicolas Fernandez, 16 ans, se rendait à Condom, à bord de sa mobylette, pour embaucher dans le magasin de cycles et motos où il était apprenti. L'adolescent aurait été surpris lorsque le tracteur qui le précédait, a viré sur sa gauche pour emprunter un petit chemin. Son deux-roues est alors allé percuter la roue arrière du tracteur, avant que Nicolas Fernandez ne chute lourdement sur le bitume.
En dépit de leurs efforts, les sapeurs-pompiers et les médecins du Samu n'ont rien pu faire pour réanimer le jeune homme.
Dépistages négatifs
Tous les dépistages, qu'il s'agisse d'alcool ou de drogue, effectués sur Paul Taris se sont avérés négatifs et ce dernier a soutenu aux gendarmes qu'il avait actionné son clignotant avant d'entreprendre de tourner à gauche. Une première remise en situation effectuée dès hier matin a permis de confirmer que le gyrophare et les feux clignotants étaient bien en état de marche. Reste à savoir s'ils étaient bien actionnés au moment du drame.

http://www.sudouest.fr/2012/12/27/a-16-ans-une-vie-fauchee-sur-la-route-919626-2362.php

Le chauffard a fait un mort

L'un des trois occupants du fourgon percuté par un chauffard, ce week-end à Reims, est mort hier matin de ses blessures. Il s'agit d'un père de famille de 24 ans. Le chauffard encourt désormais dix ans de prison.
Le chauffard de Reims a désormais une mort sur la conscience. Celle d'un jeune père de famille, conducteur du fourgon qu'il a violemment percuté avec sa BMW avant de prendre la fuite à pied, ce week-end avenue Farman.
Alexandre Meline avait 24 ans. Membre de la communauté des gens du voyage, il a succombé hier matin à ses blessures, en laissant un bébé de huit mois et une compagne de 19 ans, enceinte, toujours hospitalisés dans un état préoccupant.
Tous les trois occupaient la camionnette percutée de plein fouet par la BMW du chauffard, un militaire de 36 ans, pompier de l'Armée de l'air, dont l'identité n'a pas filtré. Ancien de la BA 112 muté en région lyonnaise après la fermeture de la base, le sous-officier conserve cependant des attaches dans la région, notamment à Reims où il dispose encore d'une adresse.
« 140-150 km/h »
L'accident s'est produit dimanche à 1 h 45, alors qu'il emmenait en discothèque une femme de 41 ans domiciliée à Suippes, rencontrée tout récemment. Il roulait vite, très vite. Doublé sur la RD 944 quelques instants avant la collision, dans la traversée de la zone industrielle, un automobiliste estime sa vitesse à « au moins 140-150 km/h ».
Après avoir franchi le rond-point, la BMW remontait à vive allure l'avenue Henri-Farman lorsqu'elle a percuté de plein fouet le fourgon C 25 des victimes qui venait de s'engager sur la chaussée, au carrefour de la rue Damide.
Sous le choc, la berline a été projetée contre le mur d'enceinte d'une habitation tandis que les trois occupants de la camionnette étaient éjectés. Indemne, l'automobiliste est allé voir les corps allongés sur la route, d'un pas tranquille, selon le témoin doublé par la BMW, avant de s'enfuir à pied en abandonnant sa propre passagère incarcérée dans le véhicule (elle n'est toutefois que légèrement blessée). Il a ensuite erré en ville pour finalement se livrer au commissariat de Reims dimanche en fin de matinée, dix heures après l'accident. Le sous-officier s'est révélé incapable d'expliquer son comportement.
Il encourt dix ans de prison
Il affirme qu'il n'était pas sous l'emprise de l'alcool. D'après son amie, tout juste aurait-il consommé « quelques bières » plus tôt dans la soirée. Faute d'éléments objectifs permettant de lui imputer cette infraction, le juge d'instruction ne l'a pas retenue lors de la présentation du fuyard lundi soir au palais de justice de Reims. Placé en détention, l'homme fut mis en examen pour « non-assistance à personne en péril » et « blessures involontaires avec les circonstances aggravantes de délit de fuite et de mise en danger de la vie d'autrui ». Il encourait sept ans d'emprisonnement et 100 000 € d'amende.
La mort du jeune père de famille change la donne. D'ici peu, le juge d'instruction va requalifier la mise en examen en « homicide et blessures involontaires ». La peine encourue passe à dix ans.

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/le-chauffard-a-fait-un-mort

Suicide d'une détenue à Nancy

Une détenue âgée de 33 ans s'est suicidée mercredi soir à la maison d'arrêt du centre pénitentiaire de Nancy-Maxéville, une première dans le quartier pour femmes de cette prison depuis son ouverture en juin 2009, a-t-on appris jeudi de source syndicale.

La jeune femme a été découverte pendue mercredi vers 21h30 par les personnels de nuit lors d'une ronde, a indiqué une responsable syndicale FO, Fadila Doukhi. "C'est la première fois qu'une femme détenue se suicide à Nancy dans ce quartier, qui est pourtant particulièrement sécurisé, avec une surveillance spéciale pour chaque détenue", a-t-elle expliqué.

La jeune femme n'a pu être ranimée par le SAMU et son décès a été constaté par le médecin légiste une heure après son geste, a encore expliqué Fadila Doukhi.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/27/97001-20121227FILWWW00305-suicide-d-une-detenue-a-nancy.php

Hautes-Alpes : un surfeur de 37 ans meurt dans une avalanche

L'homme évoluait seul en hors-piste à 2.200 mètres d'altitudes dans le massif du Queyras. Le père de la victime avait alerté les gendarmes de sa disparition mercredi.
A 37 ans, ce surfeur est décédé mercredi soir après avoir été emporté par une avalanche dans le massif du Queyras dans les Hautes-Alpes, a-t-on appris jeudi auprès du parquet de Gap.
La victime était originaire du département. L'homme évoluait seul en hors piste à 2.200 mètres d'altitude, a précisé la même source.
Suite à l'avalanche, son corps a été découvert partiellement enseveli sur le secteur du Pic de Chateaurenard vers 20H par les secouristes du Peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de Briançon, chargés des recherches.
L'alerte avait été donnée mercredi vers 18h00 par le père de la victime, inquiet de ne pas voir son fils rentrer.

Pyrénées : mercredi mortel pour deux skieurs

Un adolescent de 14 ans et un jeune homme de 26 ans se sont tués sur les pistes des Pyrénées-Orientales et Hautes-Pyrénées mercredi dans deux accidents distincts.
Deux drames ont eu lieu sur les pistes de ski des Pyrénées mercredi. Le premier a coûté la vie à un adolescent de 14 ans dans les Pyrénées-Orientales. Le jeune skieur s'est tué lorsqu'il a percuté un arbre, dans la station de Saint-Pierre-dels-Forcats. La jeune victime effectuait une descente sur une piste rouge. Pour des raisons encore indéterminées, l'adolescent est sorti de piste et est allé percuter un arbre. C'est un pisteur de la station de ski qui a retrouvé la victime, venue de Montpellier pour skier en compagnie de membres de sa famille, et a donné l'alerte.

Le second drame a coûté la vie à un Espagnol de 26 ans. Ce surfeur s'est tué en tentant d'effectuer un saut périlleux dans la station de ski du Tourmalet. Le jeune homme a tenté une figure acrobatique mais est retombé sur la tête, selon les témoignages recueillis par les enquêteurs. La victime, qui s'est brisé les vertèbres cervicales, évoluait sur une piste bleue qui ne présentait aucune difficulté particulière.

TGV. Perturbations après un accident mortel à Lanester

Un homme âgé d'une quarantaine d'années est décédé ce mercredi en fin d'après-midi, percuté par le TGV Quimper-Paris. L'accident s'est produit vers 18h30 sur le passage à niveau de Lanester (56), rue Marcel-Sembat. Alors que les barrières étaient fermées pour laisser passer le train, la victime aurait tout de même tenté de traverser la voie.
Selon les premiers témoignages, il était au téléphone lors du choc mortel. Le conducteur du TGV a bien tenté de freiner. En vain. Le train, qui venait de s'élancer de la gare de Lorient, roulait à près de 90 km/h.
Une enquête de police est en cours pour confirmer la thèse accidentelle. 182 passagers se trouvaient dans le TGV qui a été immobilisé jusqu'à 20h30. Cet accident a entraîné d'autres retards sur des TER et sur le TGV en provenance de Paris.

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/morbihan/index_morbihan.php

Villeneuve-de-Rivière. Très gravement blessée dans un accident de la route

Un terrible accident de la circulation s'est produit, hier matin, à Villeneuve-de-Rivière, une commune proche de Saint-Gaudens dans le Comminges.
Pour une raison indéterminée, une femme de 51 ans qui circulait sur la route départementale 21 au niveau du chemin de la Gravière a perdu le contrôle de son véhicule aux alentours de 8 h 30.

Dans un état critique

Sa voiture a fait une terrible sortie de route avant de terminer dans le fossé. Les sapeurs-pompiers de Saint-Gaudens ainsi que les gendarmes de Saint-Gaudens et Montréjeau, se sont portés au secours de la victime qui était seule dans son véhicule.
La conductrice était coincée dans son habitacle. Il a fallu aux secours plus d'une heure avant de pouvoir la désincarcérer. Sur place, les premiers soins lui ont été prodigués. Elle a ensuite été transportée par hélicoptère à l'hôpital Purpan de Toulouse. Hier soir, son état de santé était jugé critique et son pronostic vital était engagé.
On ignore les circonstances de cette sortie de route. Selon les premières informations, cette femme rentrait après une nuit de travail dans un établissement de soins. Elle serait domiciliée dans le Comminges. A-t-elle fait un malaise ? S'est-elle endormie ? A-t-elle été gênée par un autre véhicule ? L'enquête confiée à la gendarmerie devrait faire la lumière sur les événements.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/12/26/1523153-tres-gravement-blessee-dans-un-accident-de-la-route.html

mercredi 26 décembre 2012

Accident mortel ce matin, près de Rouen

Mercredi 26 décembre, à 10h45, un automobiliste âgé d’une soixantaine d’années a été retrouvé mort au volant de sa voiture, sur la route de Neufchâtel, à Isneauville. L’homme aurait été victime d’un malaise cardiaque et a quitté la route pour s’immobiliser sur le bas-côté. Les massages cardiaques prodigués par les sapeurs-pompiers n’ont pas suffit à réanimer le conducteur.

Cet accident porte à 74 le nombre de tués sur les routes en Seine-Maritime en 2012.

Notre article : Lien : http://www.76actu.fr/74-tue-sur-les-routes-de-seine-maritime_19011/


http://www.76actu.fr/breves/

Mèze : il se suicide sur la tombe de sa femme

Un Mézois de 69 ans s’est suicidé le jour de Noël dans le cimetière de ce village du bassin de Thau sur la tombe de son épouse, décédée depuis quelques mois.
L’homme s’est tiré une balle en plein coeœur.

http://www.midilibre.fr/2012/12/26/dma-il-se-suicide-sur-la-tombe-de-sa-femme,617948.php

Un handicapé en fauteuil tombe, se noie

Un homme de 43 ans, polyhandicapé de naissance, qui circulait en fauteuil motorisé avec son chien sur un quai de Port-Fréjus, dans la commune éponyme du Var, est tombé à l'eau et s'est noyé, a-t-on appris auprès de la police. Selon la même source, la scène s'est produite dans la marina de Fréjus vers 14h00 devant de nombreux témoins et c'est le chien de cet homme qui serait à l'origine de l'accident. En bloquant une roue du fauteuil avec sa laisse, le labrador, mort lui aussi, aurait provoqué la chute de son maître, avant d'être entraîné dans les eaux par le fauteuil auquel il était attaché.

Un témoin à plongé mais n'est pas parvenu à dégager le quadragénaire. Finalement secouru par les pompiers, il n'a pu être ramené à la vie malgré les soins prodigués sur place.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/12/26/97001-20121226FILWWW00369-un-handicape-en-fauteuil-tombe-se-noie.php

Veille de Noël tragique : une Haut-Saônoise de 37 ans tuée

La petite voiture rouge semble coupée en deux. Un choc terrible vient de se produire sur la RN 19, hors de l’agglomération de Calmoutier, lorsque les secours sont appelés lundi 24 décembre à 19 h 15. Alors que beaucoup s’apprêtent à réveillonner, les pompiers de Vesoul et Lure partent pour porter secours à cinq personnes impliquées dans un accident de la route. Un choc frontal particulièrement violent entre une citadine, une 106 conduite par Sandrine Nonotte, une femme âgée de 37 ans, et un monospace familial, un 5008 avec à son bord quatre personnes d’une même famille.
Le drame s’est produit presqu’en pleine ligne droite. « J’y suis retourné le lendemain matin », explique le maire de Calmoutier, Michel Jacquet. « C’est un léger virage qui se referme mais on passe aisément à 90 km/h. » Et le premier magistrat de la commune de relever « qu’il n’y avait pas le moindre coup de frein ».
Dans la première voiture, la 106 de Sandrine Nonotte qui circulait dans le sens Lure-Vesoul, il n’y a plus rien à faire. Malgré les efforts des secours, les blessures occasionnées à cette habitante de Vauchoux lui ont été fatales.
Dans le second véhicule, un couple et ses deux filles originaires de Gourgeon circulant dans le sens Vesoul-Lure, les quatre occupants ont été blessés à des degrés divers : la maman et une des fillettes ont été transportées au centre hospitalier de Besançon, les blessures paraissant assez graves. Le papa et la seconde fille ont été transportés au Centre hospitalier intercommunal de Vesoul.
Ce décès porte à 17 le nombre de tués sur les routes haut-saônoises depuis le début de l’année.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/12/26/veille-de-noel-tragique

Un Laonnois se tue sur la RN2

Un père de famille de 35 ans a perdu la vie, ce lundi matin. Un autre conducteur est venu percuter son véhicule en pleine face.
Le lieu-dit s'appelle « La cave du diable ». C'est un tronçon maudit. Chaque année, de nombreux accidents graves ont lieu sur la portion de RN 2 située sur le territoire de la commune de Coyolles. Cette grande ligne droite coupée par un virage avec peu de visibilité a encore piégé des automobilistes ce lundi, jour du réveillon de Noël.
Un Laonnois de 35 ans, Cyrille Dumetz a trouvé la mort lors d'un violent face-à-face. Originaire de la région parisienne, il était père d'un petit garçon.
La collision s'est produite vers 11 heures avant-hier. Cyrille Dumetz, roulait en direction de l'Oise au volant de sa Golf blanche. Il se dirigeait visiblement vers la Seine-Saint-Denis, où résident des proches, pour le réveillon de Noël. Son coffre était empli de cadeaux de Noël, un sac contenait des vêtements de rechange et la trousse de toilette. Le trentenaire roulait à allure modérée.
À la sortie du virage, il s'est trouvé face à une Renault Clio. Son conducteur, un Soissonnais âgé de 29 ans venait de l'Oise et a perdu le contrôle. Il s'est déporté et est venu à la rencontre du Laonnois. La raison pour laquelle il a quitté sa voie de circulation est indéterminée. Ce sera l'une des circonstances que l'enquête de gendarmerie visera notamment à déterminer. D'ores et déjà, l'hypothèse de la consommation d'alcool ou de stupéfiants est à écarter puis les dépistages se sont révélés négatifs pour les deux conducteurs.
Le choc fut d'une extrême violence. L'avant des deux voitures, notamment la Golf, fut complètement déformé par l'impact. Le Laonnois est décédé sur le coup. L'autre conducteur a survécu, légèrement blessé.
Après l'accident, de nombreux usagers de la RN 2 se sont arrêtés et ont alerté les secours. Un médecin qui passait à ce moment a commencé à secourir les victimes. Ensuite, les pompiers de Villers-Cotterêts et le Smur de l'Oise ont pris en charge le blessé.
Durant l'intervention des secours, les gendarmes de la brigade locale, épaulée par la brigade motorisée de Soissons et en présence du commandant de compagnie, ont procédé à la régulation du trafic. Les agents de la Dir-Nord ont également participé à la sécurisation des lieux du drame.
La circulation s'est effectuée en alternance sur une voie, le temps de s'occuper du blessé et de remorquer les épaves. Vers 13 heures, les voies de circulation ont été libérées.
Il s'agit du neuvième décès de l'année sur les routes soissonnaises. Le dernier accident grave sur ce tronçon de la RN2 remonte à juin dernier. La collision frontale entre deux voitures avait été fatale à un septuagénaire qui a été tué sur le coup.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-laonnois-se-tue-sur-la-rn2