Les corps de deux quinquagénaires, apparemment morts de froid, ont été découverts mardi en fin d'après-midi par un vacancier près d'une résidence de la station de Tignes-le-Lac en Savoie, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. Les deux corps, celui d'un homme et d'une femme, gisaient dans la neige sur un chemin pentu fréquenté par des vététistes et des randonneurs, à 25 mètres seulement d'une résidence située en bordure de pistes, près des remontées mécaniques, a précisé la gendarmerie, confirmant une information du Dauphiné Libéré.
http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Tignes-2-corps-retrouves-pres-des-pistes-572564
mercredi 31 octobre 2012
Guy Cellier est mort fauché par une voiture
Guy Cellier, personnalité de l'Argonne, ancien artisan plombier-électricien, a été fauché par une voiture alors qu'il traversait la rue devant son domicile, lundi soir. Il est mort sur le coup.
« Il sortait de la maison de sa mère », raconte presque mécaniquement Bruno Cellier. Lundi soir, à Moiremont, non loin de Sainte-Ménehould, son père Guy a perdu la vie en traversant la rue principale du village. Il se rendait vraisemblablement vers son atelier qui lui servait lorsqu'il était artisan plombier-électricien succédant à ses aïeuls, forgerons de la commune.
Il est 18 heures ce lundi soir. « Entre chien et loup », selon la gendarmerie qui s'interroge sur la puissance de l'éclairage public. Guy Cellier, qui venait d'avoir 79 ans, sort de la maison de sa maman et traverse la rue Basse du village de Moiremont, la D83 qui coupe le village en deux. A-t-il emprunté le passage piéton qui est matérialisé à cet endroit ?
« L'enquête est en cours », explique la gendarmerie. Toujours est-il que son corps atterrit à une dizaine de mètres du passage protégé, le long de son atelier. Une 207 arrivant de Sainte-Ménehould vient de le percuter. Le pompier et le Samu ne peuvent que constater le décès à 18 h 30.
La conductrice, une femme de 68 ans habitant à Vienne-le-Château mais originaire de la commune, ne l'a-t-elle pas vu en raison de la pluie ? Roulait-elle trop vite ? L'enquête devrait le déterminer. Hier, la gendarmerie ne s'avançait pas.
« Il faudrait mettre un dos-d'âne pour que les voitures ralentissent et que les gens ne roulent plus comme des fous », pestait une des petites filles de la victime, hier matin. De fait, si un radar pédagogique indique votre vitesse à l'entrée du village, il est aisé de rouler à plus de 50 km/h dans cette descente. Et Guy Cellier ne connaissait que trop bien ce risque. « Voilà dix ans, il s'était déjà fait renverser par une voiture au même endroit », rappelle Bruno, son fils. « Il s'en était sorti après quatre mois d'hôpital car il était costaud. Pas cette fois…- »
Si la conductrice de la 207 a été aussitôt mise en garde à vue dans les locaux de la brigade de gendarmerie de Sainte-Ménehould, elle a retrouvé la liberté dans la soirée sur décision du procureur de la République dans l'attente des conclusions de l'enquête.
Avec la disparition de Guy Cellier, c'est un pan de l'histoire de l'Argonne qui s'en va. « Tout le monde le connaissait », souligne son fils Bruno. « Il a été plombier-électricien-sanitaire toute sa vie, la 3e génération d'artisan installée à Moiremont. Les communes faisaient aussi appel à lui pour leurs travaux d'adduction d'eau. »
Voilà trois ans, la commune avait racheté la forge traditionnelle de Guy Cellier et l'ouvre au public dans le cadre de la route des expos qui se tient actuellement. Elle date du début du siècle, créée par son grand-père Rémy et reprise ensuite par son père Gaston. « Mais vous savez, c'était une personne très humble. Il m'avait prévenu qu'en cas de malheur, il ne voulait pas d'hommage spécial, pas de photo… », souligne son fils Bruno.
« C'est toute la commune qui est traumatisée », avouait le maire Patrick Desingly au moment d'évoquer hier la mémoire du défunt. « Au-delà du rôle d'ancien conseiller municipal, Guy Cellier était unanimement apprécié tant il rendait de services à la commune. C'est un drame pour les deux familles. »
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/guy-cellier-est-mort-fauche-par-une-voiture
« Il sortait de la maison de sa mère », raconte presque mécaniquement Bruno Cellier. Lundi soir, à Moiremont, non loin de Sainte-Ménehould, son père Guy a perdu la vie en traversant la rue principale du village. Il se rendait vraisemblablement vers son atelier qui lui servait lorsqu'il était artisan plombier-électricien succédant à ses aïeuls, forgerons de la commune.
Il est 18 heures ce lundi soir. « Entre chien et loup », selon la gendarmerie qui s'interroge sur la puissance de l'éclairage public. Guy Cellier, qui venait d'avoir 79 ans, sort de la maison de sa maman et traverse la rue Basse du village de Moiremont, la D83 qui coupe le village en deux. A-t-il emprunté le passage piéton qui est matérialisé à cet endroit ?
« L'enquête est en cours », explique la gendarmerie. Toujours est-il que son corps atterrit à une dizaine de mètres du passage protégé, le long de son atelier. Une 207 arrivant de Sainte-Ménehould vient de le percuter. Le pompier et le Samu ne peuvent que constater le décès à 18 h 30.
La conductrice, une femme de 68 ans habitant à Vienne-le-Château mais originaire de la commune, ne l'a-t-elle pas vu en raison de la pluie ? Roulait-elle trop vite ? L'enquête devrait le déterminer. Hier, la gendarmerie ne s'avançait pas.
« Il faudrait mettre un dos-d'âne pour que les voitures ralentissent et que les gens ne roulent plus comme des fous », pestait une des petites filles de la victime, hier matin. De fait, si un radar pédagogique indique votre vitesse à l'entrée du village, il est aisé de rouler à plus de 50 km/h dans cette descente. Et Guy Cellier ne connaissait que trop bien ce risque. « Voilà dix ans, il s'était déjà fait renverser par une voiture au même endroit », rappelle Bruno, son fils. « Il s'en était sorti après quatre mois d'hôpital car il était costaud. Pas cette fois…- »
Si la conductrice de la 207 a été aussitôt mise en garde à vue dans les locaux de la brigade de gendarmerie de Sainte-Ménehould, elle a retrouvé la liberté dans la soirée sur décision du procureur de la République dans l'attente des conclusions de l'enquête.
Avec la disparition de Guy Cellier, c'est un pan de l'histoire de l'Argonne qui s'en va. « Tout le monde le connaissait », souligne son fils Bruno. « Il a été plombier-électricien-sanitaire toute sa vie, la 3e génération d'artisan installée à Moiremont. Les communes faisaient aussi appel à lui pour leurs travaux d'adduction d'eau. »
Voilà trois ans, la commune avait racheté la forge traditionnelle de Guy Cellier et l'ouvre au public dans le cadre de la route des expos qui se tient actuellement. Elle date du début du siècle, créée par son grand-père Rémy et reprise ensuite par son père Gaston. « Mais vous savez, c'était une personne très humble. Il m'avait prévenu qu'en cas de malheur, il ne voulait pas d'hommage spécial, pas de photo… », souligne son fils Bruno.
« C'est toute la commune qui est traumatisée », avouait le maire Patrick Desingly au moment d'évoquer hier la mémoire du défunt. « Au-delà du rôle d'ancien conseiller municipal, Guy Cellier était unanimement apprécié tant il rendait de services à la commune. C'est un drame pour les deux familles. »
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/guy-cellier-est-mort-fauche-par-une-voiture
Une cycliste de 73 ans tuée par un tracteur
Un accident mortel s'est produit ce matin entre un cycliste et un tracteur peu avant 10 heures à Suippes. Une cycliste de 73 ans est morte. Une information France Bleu Champagne.
Il était 09h58 lorsque le drame s'est produit au carrefour de la RD 977 et de la RD 931 à l'entrée de Suippes. Une femme âgée de 73 ans est morte. L'accident implique la victime qui circulait au guidon d'une bicyclette et un tracteur. Les circonstances de l'accident restent mystérieuses. L'enquête de gendarmerie devrait permettre d'expliquer comment le drame à pu se produire.
La dame est décédée sur le coup. Les sapeurs pompiers de Suippes et le Smuur étaient sur place. Ils n'ont malheureusement rien pu faire.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/une-cycliste-de-73-ans-tuee-par-un-tracteur
Il était 09h58 lorsque le drame s'est produit au carrefour de la RD 977 et de la RD 931 à l'entrée de Suippes. Une femme âgée de 73 ans est morte. L'accident implique la victime qui circulait au guidon d'une bicyclette et un tracteur. Les circonstances de l'accident restent mystérieuses. L'enquête de gendarmerie devrait permettre d'expliquer comment le drame à pu se produire.
La dame est décédée sur le coup. Les sapeurs pompiers de Suippes et le Smuur étaient sur place. Ils n'ont malheureusement rien pu faire.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/une-cycliste-de-73-ans-tuee-par-un-tracteur
Frontignan. Un jeune de 18 ans meurt, happé par un train
Un terrible drame s’est noué ce mardi soir vers Frontignan, dans l’Hérault. Un jeune de 18 ans a été tué alors qu’il traversait les voies ferrées. Il a été happé par un TGV dans le sens Montpellier-Béziers, alors que le train franchissait sans s’arrêter la gare de Frontignan.
Le jeune homme a été tué sur le coup, sous le regard de ses amis. Apparemment, il n’aurait pas vu le TGV arriver, comme le précise l’état-major de la Sécurité publique de l’Hérault : « La victime se trouvait avec eux quand, sans raison, elle a traversé les voies derrière un train express régional (TER) qui quittait la gare en direction de Montpellier et qui cachait le passage du TGV dans l'autre sens ». Une enquête a été ouverte.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/31/1478943-frontignan-un-jeune-de-18-ans-meurt-happe-par-un-train.html
Le jeune homme a été tué sur le coup, sous le regard de ses amis. Apparemment, il n’aurait pas vu le TGV arriver, comme le précise l’état-major de la Sécurité publique de l’Hérault : « La victime se trouvait avec eux quand, sans raison, elle a traversé les voies derrière un train express régional (TER) qui quittait la gare en direction de Montpellier et qui cachait le passage du TGV dans l'autre sens ». Une enquête a été ouverte.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/31/1478943-frontignan-un-jeune-de-18-ans-meurt-happe-par-un-train.html
Accouchement dramatique sur l'A20 : les services de soins hors de cause
L'accouchement dramatique qui a eu lieu sur l'autoroute A20 le 19 octobre dernier n'est pas imputable à l’organisation des soins dans le département du Lot, selon les conclusions d'un rapport de l'Agence Régionale de Santé, rendu ce lundi.
L'ARS précise dans un communiqué que "le rapport du décès du nouveau-né au bord de l'autoroute A20 le 19 octobre dernier ne fait pas apparaître de problèmes en terme d'organisation de la prise en charge des parturientes ni de problèmes lié à la désertification médicale. Il n'appelle donc pas de mesures de la part de l'ARS Midi-Pyrénées".
Le 19 octobre, une jeune femme de 35 ans avait prématurément perdu son bébé à 7 mois de grossesse alors qu'elle se rendait à Béziers pour accoucher, soit à plusieurs dizaines de kilomètres de son domicile, à Lacapelle-Marival. François Hollande avait vivement réagi à ce drame, affirmant vouloir lutter contre les déserts médicaux et réclamant une enquête administrative.
Le rapport de l'ARS ne sera pas rendu public, au nom de la protection de la vie privée mais a été transmis "à l'Ordre des médecins et au procureur de la République, autorités auxquelles il appartient de donner suite ou non".
La mère du nourrisson décédé avait déjà la semaine dernière réfuté la thèse selon laquelle le manque d'infrastructures médicales dans son département et le comportement du gynécologue avaient contribué au drame.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/30/1478198-accouchement-dramatique-sur-l-a20-les-services-de-soins-hors-de-cause.html
L'ARS précise dans un communiqué que "le rapport du décès du nouveau-né au bord de l'autoroute A20 le 19 octobre dernier ne fait pas apparaître de problèmes en terme d'organisation de la prise en charge des parturientes ni de problèmes lié à la désertification médicale. Il n'appelle donc pas de mesures de la part de l'ARS Midi-Pyrénées".
Le 19 octobre, une jeune femme de 35 ans avait prématurément perdu son bébé à 7 mois de grossesse alors qu'elle se rendait à Béziers pour accoucher, soit à plusieurs dizaines de kilomètres de son domicile, à Lacapelle-Marival. François Hollande avait vivement réagi à ce drame, affirmant vouloir lutter contre les déserts médicaux et réclamant une enquête administrative.
Le rapport de l'ARS ne sera pas rendu public, au nom de la protection de la vie privée mais a été transmis "à l'Ordre des médecins et au procureur de la République, autorités auxquelles il appartient de donner suite ou non".
La mère du nourrisson décédé avait déjà la semaine dernière réfuté la thèse selon laquelle le manque d'infrastructures médicales dans son département et le comportement du gynécologue avaient contribué au drame.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/30/1478198-accouchement-dramatique-sur-l-a20-les-services-de-soins-hors-de-cause.html
Pont-Saint-Esprit Une dame happée par un train sur un passage à niveau
Hier matin, peu avant 10 h, un train de marchandises qui circulait à destination de Lyon, a percuté une piétonne sur le passage à niveau de Villa-Clara, à l’entrée de Pont-Saint-Esprit.
La dame, vraisemblablement d’un âge avancé, a été tuée sur le coup. Selon nos informations, elle aurait franchi les barrières de sécurité qui étaient abaissées.
Les gendarmes et les pompiers sont actuellement sur les lieux. La circulation est bloquée entrainant d'importants retards
http://www.midilibre.fr/2012/10/30/dma-une-dame-happee-par-un-train-sur-un-passage-a-niveau,586208.php
La dame, vraisemblablement d’un âge avancé, a été tuée sur le coup. Selon nos informations, elle aurait franchi les barrières de sécurité qui étaient abaissées.
Les gendarmes et les pompiers sont actuellement sur les lieux. La circulation est bloquée entrainant d'importants retards
http://www.midilibre.fr/2012/10/30/dma-une-dame-happee-par-un-train-sur-un-passage-a-niveau,586208.php
mardi 30 octobre 2012
Sarreguemines : une dame en chaussons percutée par un camion
Les chaussons de la femme ont été retrouvés au niveau du point d’impact, à 150 mètres de l’endroit où le poids lourd s’est arrêté, hier peu avant 20h, entre Sarreguemines et Bitche, en pleine campagne. Le corps de la malheureuse est resté accroché sous la remorque. Les circonstances dans lesquelles cette dame a trouvé la mort étaient extrêmement floues hier soir. On ne sait pas si elle marchait, ou si elle était couchée sur la chaussée au moment où le camion l’a percutée. L’absence de traces d’impact sur le carénage du poids lourd semble appuyer cette version des faits livrée par un témoin. Le camion n’a semble-t-il pas quitté sa voie. Le fait que la victime était en pantoufle dans la nuit, loin de toute agglomération, pose de nombreuses questions. Ni son identité ni son âge n’ont pu être établis. On n’a retrouvé aucun document sur la défunte, ni aucun véhicule à proximité.
Un important dispositif de sécurité a été mis en place. Plus de vingt sapeurs-pompiers de Sarreguemines et Rohrbach-lès-Bitche ont été mobilisés. Extrêmement choqué, le chauffeur qui travaille pour une société de transport sarregueminoise a été conduit à l’hôpital Robert-Pax. Les résultats des dépistages de stupéfiants et d’alcool seront connus ultérieurement. Les gendarmes de la compagnie de Sarreguemines devront faire la lumière sur les circonstances mystérieuses de ce drame.
Sur les lieux, la circulation des véhicules a été totalement interrompue jusqu’à 20h50, pour répandre de la poudre absorbante. Car sous le choc, le réservoir du camion s’est perforé : environ 200 litres de carburant se sont répandus sur la chaussée.
http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2012/10/30/une-dame-en-chaussons-percutee-par-un-camion
Un important dispositif de sécurité a été mis en place. Plus de vingt sapeurs-pompiers de Sarreguemines et Rohrbach-lès-Bitche ont été mobilisés. Extrêmement choqué, le chauffeur qui travaille pour une société de transport sarregueminoise a été conduit à l’hôpital Robert-Pax. Les résultats des dépistages de stupéfiants et d’alcool seront connus ultérieurement. Les gendarmes de la compagnie de Sarreguemines devront faire la lumière sur les circonstances mystérieuses de ce drame.
Sur les lieux, la circulation des véhicules a été totalement interrompue jusqu’à 20h50, pour répandre de la poudre absorbante. Car sous le choc, le réservoir du camion s’est perforé : environ 200 litres de carburant se sont répandus sur la chaussée.
http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2012/10/30/une-dame-en-chaussons-percutee-par-un-camion
Rochefort : noyé à 25 ans après un malaise
Il se promenait avec deux amis dans la zone des Pêcheurs d'Islande, samedi vers 21 h 30, quand il a glissé accidentellement avant de tomber dans un canal. Tony Rambau, 25 ans, souffrait d'épilepsie. Ses copains ont aussitôt appelé les secours pour venir en aide au malheureux qui était inconscient. Aussitôt sur les lieux, un policier a plongé dans l'eau glacée pour repêcher la victime toujours dans le coma. Puis le Smur et les pompiers sont arrivés pour les gestes d'usage : bouche à bouche, massage cardiaque. Le jeune homme a été transporté à l'hôpital. Certainement victime d'une hypothermie et peut-être d'une noyade, il y est décédé vers 23 heures. Tony Rambau vivait chez sa maman à Rochefort. Il allait fêter ses 25 ans le jour de Noël.
http://www.sudouest.fr/2012/10/30/noye-a-25-ans-apres-un-malaise-864903-1504.php
http://www.sudouest.fr/2012/10/30/noye-a-25-ans-apres-un-malaise-864903-1504.php
Saint Cyr : décès d'un élève officier
Un jeune élève officier est mort noyé dans la nuit de lundi à mardi à Saint-Cyr Coëtquidan, l'école de formation des officiers de l'armée française, selon les informations obtenues par Europe 1. Agé de 24 ans et issu de l'Institut d'Etudes politiques, l'élève en question s'appelait Jallal Hami et était qualifié d'élève "exemplaire" par ses formateurs.
Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense a adressé ses condoléances à la famille et a réclamé l'ouverture d'une enquête de commandement pour savoir dans quelles conditions ce jeune élève officier a pû se noyer. Cette enquête visera également à déterminer "les responsabilités éventuelles" dans cette mort, poursuit le ministère dans un communiqué.
Trois morts à Arras : après le drame de la rue Millet, un soutien psychologique mis en place à la mairie /Mise à jour
Hier soir, peu après 19 h, trois corps sans vie étaient découverts dans un appartement, dans un immeuble de la rue Millet, dans le quartier de l'Hippodrome. Trois personnes abattues par arme à feu : un couple, et leur fille âgée de 48 ans, Cathy Moroy, connue à Arras pour être hôtesse d'accueil à la mairie. La thèse du drame familial est celle privilégiée par les enquêteurs.
Peu après 19 h, trois corps sans vie étaient découverts dans un appartement, dans un immeuble de la rue Millet, dans le quartier de l'Hippodrome. Trois personnes abattues par arme à feu : un couple, et leur fille âgée de 48 ans, Cathy Moroy, connue à Arras pour être hôtesse d'accueil à la mairie. La thèse du drame familial est celle privilégiée par les enquêteurs.
Hier soir, peu avant 19 h, les services de police reçoivent un appel à l'aide. Au bout du fil, la voix d'une femme. La conversation est interrompue, mais l'appel est localisé. Une patrouille de la brigade anti-criminalité est envoyée sur place, mais les policiers ne peuvent que constater le décès des trois occupants de l'appartement. L'homme aurait tiré sur son épouse et sa fille, avec un fusil de chasse, et se serait ensuite suicidé, avec la même arme. Le parquet d'Arras va ouvrir aujourd'hui une information judiciaire pour recherche des causes de la mort, et un juge d'instruction sera saisi. Il s'agit d'étudier toutes les hypothèses. Si la piste du drame familiale est confirmée, "il s'agit de savoir comment il a pu arriver à une telle extrémité", signale Adam Chodkewiecz, substitut du procureur. La famille Moroy n'était apparemment pas connue des services de police et de la justice.
Elle ne laissait pas apparaître de quelconques difficultés. Ce matin, une cellule de soutien psychologique a été installée à la mairie d'Arras, où travaillait depuis une quinzaine d'années une des victimes, Cathy Moroy, âgée de 48 ans. Le maire d'Arras, Frédéric Leturque, a informé le personnel municipal par messagerie interne, et les agents qui le souhaitaient pouvaient être écoutés par une psychologue de l'AVIJ 62, présente sur place.
Par ailleurs, le service d'accueil de la mairie a été provisoirement réorganisé : les hôtesses, aujourd'hui, ne sont pas seules en poste, mais en équipe. "Je suis allé voir les personnes chargées de l'accueil. C'est assez déroutant. Elle travaillait encore hier soir, explique Frédéric Leturque. C'était une dame appréciée, souriante, avenante. Elle était connue des services. Elle faisait le lien entre le courrier et les différents services". Cathy Moroy était aussi connue dans les quartiers ouest d'Arras, puisqu'elle assurait les roulements de l'accueil dans des équipements de proximité, comme la Maison de services Marie-Thérèse-Lenoir. La cellule d'aide psychologique a été déplacée, en fin de matinée, dans un point de service Pas-de-Calais Habitat, près de la rue Millet, pour venir en aide aux locataires qui le souhaitent. La psychologue de l'AVIJ 62 sera de retour cet après-midi à la mairie d'Arras, auprès des agents municipaux.
http://www.lavoixdunord.fr/region/trois-morts-a-arras-apres-le-drame-de-la-rue-millet-un-ia29b0n794257
Peu après 19 h, trois corps sans vie étaient découverts dans un appartement, dans un immeuble de la rue Millet, dans le quartier de l'Hippodrome. Trois personnes abattues par arme à feu : un couple, et leur fille âgée de 48 ans, Cathy Moroy, connue à Arras pour être hôtesse d'accueil à la mairie. La thèse du drame familial est celle privilégiée par les enquêteurs.
Hier soir, peu avant 19 h, les services de police reçoivent un appel à l'aide. Au bout du fil, la voix d'une femme. La conversation est interrompue, mais l'appel est localisé. Une patrouille de la brigade anti-criminalité est envoyée sur place, mais les policiers ne peuvent que constater le décès des trois occupants de l'appartement. L'homme aurait tiré sur son épouse et sa fille, avec un fusil de chasse, et se serait ensuite suicidé, avec la même arme. Le parquet d'Arras va ouvrir aujourd'hui une information judiciaire pour recherche des causes de la mort, et un juge d'instruction sera saisi. Il s'agit d'étudier toutes les hypothèses. Si la piste du drame familiale est confirmée, "il s'agit de savoir comment il a pu arriver à une telle extrémité", signale Adam Chodkewiecz, substitut du procureur. La famille Moroy n'était apparemment pas connue des services de police et de la justice.
Elle ne laissait pas apparaître de quelconques difficultés. Ce matin, une cellule de soutien psychologique a été installée à la mairie d'Arras, où travaillait depuis une quinzaine d'années une des victimes, Cathy Moroy, âgée de 48 ans. Le maire d'Arras, Frédéric Leturque, a informé le personnel municipal par messagerie interne, et les agents qui le souhaitaient pouvaient être écoutés par une psychologue de l'AVIJ 62, présente sur place.
Par ailleurs, le service d'accueil de la mairie a été provisoirement réorganisé : les hôtesses, aujourd'hui, ne sont pas seules en poste, mais en équipe. "Je suis allé voir les personnes chargées de l'accueil. C'est assez déroutant. Elle travaillait encore hier soir, explique Frédéric Leturque. C'était une dame appréciée, souriante, avenante. Elle était connue des services. Elle faisait le lien entre le courrier et les différents services". Cathy Moroy était aussi connue dans les quartiers ouest d'Arras, puisqu'elle assurait les roulements de l'accueil dans des équipements de proximité, comme la Maison de services Marie-Thérèse-Lenoir. La cellule d'aide psychologique a été déplacée, en fin de matinée, dans un point de service Pas-de-Calais Habitat, près de la rue Millet, pour venir en aide aux locataires qui le souhaitent. La psychologue de l'AVIJ 62 sera de retour cet après-midi à la mairie d'Arras, auprès des agents municipaux.
http://www.lavoixdunord.fr/region/trois-morts-a-arras-apres-le-drame-de-la-rue-millet-un-ia29b0n794257
Meurtre de Saint-Laurent: pour le père de la victime, "Yannick était juste parti danser"
Le père de Yannick, abattu d’une balle dans la tête dans un restaurant de la zone industrielle, revient sur cette soirée cauchemar au cours de laquelle il a perdu un fils
Il oscille entre une incommensurable peine et une immense colère. C'est dimanche matin que le père de Yannick, cet homme de 32 ans abattu d'une balle dans la tête lors d'une soirée Halloween à Saint-Laurent, a appris la triste nouvelle. « Mes proches ne voulaient pas me l'annoncer, ils savent les liens forts que j'ai avec mes enfants. Ils me l'ont finalement dit dans la matinée, avec toutes les précautions que vous imaginez »raconte ce père effondré qui réclame aujourd'hui la vérité et la justice.
Un homme recherché
Le film de cette affreuse soirée Halloween organisée au restaurant Les Jardins dans la zone industrielle de Saint-Laurent, il se l'est passé de nombreuses fois : « Tout est parti d'une altercation entre deux personnes. Il n'y avait pas de bandes. Yannick était juste parti danser avec sa compagne, il y est allé pour s'amuser. »
Yannick, surpris en train de « fumer » dans les toilettes, a d'abord une explication avec un agent de sécurité de cette soirée privée. « Ce vigile était calme, mon fils lui a répondu poliment » rapporte encore le père. « Mais un second vigile est ensuite intervenu, avec violence. Il l'a empoigné, a agressé sa compagne. Mon fils ne s'est pas laissé faire et lui a donné un coup de poing. »C'est alors que ce second vigile serait allé chercher un pistolet avant de tirer sur le jeune homme, papa d'une fillette de trois ans. « Mon fils ne connaissait pas son agresseur » jure le père de la victime. Son deuxième fils, apprenant la mort de son frère, a tenté de se rendre sur les lieux dans la nuit : «Mais la police ne l'a pas laissé entrer. »
C'est après le coup de feu, qu'une grosse pagaille a agité le premier étage du restaurant, vers deux heures du matin, où de nombreuses dégradations ont été faites.
Cette mort « pour rien » de Yannick a aussi plongé dans l'incompréhension ses amis, notamment dans son quartier niçois des Moulins, où il est présenté comme « une icône ». « Comment une simple rixe peut dégénérer en meurtre avec arme ? » interroge l'un d'eux. « Repose en paix ».
Un homme, lié à cette affaire, serait recherché par la police du côté de la région cannoise.
http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/meurtre-de-saint-laurent-pour-le-pere-de-la-victime-yannick-etait-juste-parti-danser.1036651.html
Il oscille entre une incommensurable peine et une immense colère. C'est dimanche matin que le père de Yannick, cet homme de 32 ans abattu d'une balle dans la tête lors d'une soirée Halloween à Saint-Laurent, a appris la triste nouvelle. « Mes proches ne voulaient pas me l'annoncer, ils savent les liens forts que j'ai avec mes enfants. Ils me l'ont finalement dit dans la matinée, avec toutes les précautions que vous imaginez »raconte ce père effondré qui réclame aujourd'hui la vérité et la justice.
Un homme recherché
Le film de cette affreuse soirée Halloween organisée au restaurant Les Jardins dans la zone industrielle de Saint-Laurent, il se l'est passé de nombreuses fois : « Tout est parti d'une altercation entre deux personnes. Il n'y avait pas de bandes. Yannick était juste parti danser avec sa compagne, il y est allé pour s'amuser. »
Yannick, surpris en train de « fumer » dans les toilettes, a d'abord une explication avec un agent de sécurité de cette soirée privée. « Ce vigile était calme, mon fils lui a répondu poliment » rapporte encore le père. « Mais un second vigile est ensuite intervenu, avec violence. Il l'a empoigné, a agressé sa compagne. Mon fils ne s'est pas laissé faire et lui a donné un coup de poing. »C'est alors que ce second vigile serait allé chercher un pistolet avant de tirer sur le jeune homme, papa d'une fillette de trois ans. « Mon fils ne connaissait pas son agresseur » jure le père de la victime. Son deuxième fils, apprenant la mort de son frère, a tenté de se rendre sur les lieux dans la nuit : «Mais la police ne l'a pas laissé entrer. »
C'est après le coup de feu, qu'une grosse pagaille a agité le premier étage du restaurant, vers deux heures du matin, où de nombreuses dégradations ont été faites.
Cette mort « pour rien » de Yannick a aussi plongé dans l'incompréhension ses amis, notamment dans son quartier niçois des Moulins, où il est présenté comme « une icône ». « Comment une simple rixe peut dégénérer en meurtre avec arme ? » interroge l'un d'eux. « Repose en paix ».
Un homme, lié à cette affaire, serait recherché par la police du côté de la région cannoise.
http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/meurtre-de-saint-laurent-pour-le-pere-de-la-victime-yannick-etait-juste-parti-danser.1036651.html
L'adieu au gendarme tué dans le Lauragais
Les obsèques du maréchal-des-logis chef Serge Cuq seront célébrées ce mardi à 14h15 en l'église d'Arthès, commune d'où est originaire son épouse Sandrine et où résident ses beaux-parents M. et Mme Fuerte. Le gendarme tarnais, âgé de 44 ans, avait ses attaches familiales à Rabastens. Il était père de deux enfants. Affecté jusqu'en 2001 à Puylaurens, le chef Cuq avait rejoint la brigade de Lanta, en Haute-Garonne. C'est dans ce secteur du Lauragais qu'il a été tué dans des circonstances tragiques jeudi dernier, lors d'un accident de la route survenu à Maureville. N'étant pas en service ce jour-là, le chef Cuq circulait à bord d'un Renault Scenic conduit par un de ses collègues Patrick Paillac, 48 ans, lui-même grièvement blessé. En voulant éviter une Jaguar qui effectuait un dépassement dangereux au sommet d'une côte, la voiture des deux gendarmes a percuté de plein fouet un autre véhicule.
Le conducteur responsable de la collision a abandonné sa Jaguar à Balma et pris la fuite dans l'Indre. C'est dans ce département, près de Châteauroux que le chauffard, un maçon âgé de 35 ans, a été interpellé vendredi par les gendarmes de Villefranche-de-Lauragais. Ramené en Haute-Garonne, l'homme a été déféré dimanche au parquet de Toulouse et présenté à un juge qui l'a mis en examen pour «homicide et blessures involontaires aggravés par le délit de fuite et la violation délibérée d'une obligation de sécurité», en l'occurrence le franchissement d'une ligne continue. Il a été placé en détention provisoire.
Une importante délégation de la gendarmerie est attendue cet après-midi à Arthès. Le maire de la commune, Pierre Doat, sera aussi présent, tout comme sans doute de nombreux élus du Lauragais, terroir où le chef Cuq était très apprécié. Le maire d'Arthès ne connaissait pas le gendarme mais il compatit au chagrin de sa famille. Il condamne surtout le comportement du conducteur responsable de l'accident. «Quand on commet une faute au volant, il faut assumer ses responsabilités. C'est trop facile de fuir, sans se soucier de la vie des autres.»
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/30/1477857-puylaurens-l-adieu-au-gendarme-tue-dans-le-lauragais.html
Le conducteur responsable de la collision a abandonné sa Jaguar à Balma et pris la fuite dans l'Indre. C'est dans ce département, près de Châteauroux que le chauffard, un maçon âgé de 35 ans, a été interpellé vendredi par les gendarmes de Villefranche-de-Lauragais. Ramené en Haute-Garonne, l'homme a été déféré dimanche au parquet de Toulouse et présenté à un juge qui l'a mis en examen pour «homicide et blessures involontaires aggravés par le délit de fuite et la violation délibérée d'une obligation de sécurité», en l'occurrence le franchissement d'une ligne continue. Il a été placé en détention provisoire.
Une importante délégation de la gendarmerie est attendue cet après-midi à Arthès. Le maire de la commune, Pierre Doat, sera aussi présent, tout comme sans doute de nombreux élus du Lauragais, terroir où le chef Cuq était très apprécié. Le maire d'Arthès ne connaissait pas le gendarme mais il compatit au chagrin de sa famille. Il condamne surtout le comportement du conducteur responsable de l'accident. «Quand on commet une faute au volant, il faut assumer ses responsabilités. C'est trop facile de fuir, sans se soucier de la vie des autres.»
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/30/1477857-puylaurens-l-adieu-au-gendarme-tue-dans-le-lauragais.html
Lyon : il s’impose dans une voiture puis se suicide à la vue de la police
C’est un drame pour l’heure inexplicable qui s’est déroulé dimanche soir dans le 7 e arrondissement de Lyon, à hauteur du numéro 204, de la Grande rue de La Guillotière. Vers 23 h 40, un jeune homme âgé d’une vingtaine d’années s’est suicidé d’une balle dans la tête à la vue d’un équipage de police. Il est décédé sur place. Avant cela, il s’était imposé, sans violence, dans la voiture d’un automobiliste du côté de Mions.
L’étrange périple de ce jeune homme né en 1992 a semble-t-il débuté quelques heures plus tôt, à Chatonnay, dans le Nord Isère. Habitant sur la commune, il décide pour une raison encore indéterminée de quitter le domicile familial en empruntant la voiture de sa mère et un fusil de chasse. Selon les premiers éléments recueillis, il parcourt plusieurs kilomètres avant d’immobiliser son véhicule sur le bas-côté de la route, à hauteur de la commune de Mions. Là, il actionne les warnings de sa voiture et se positionne sur la chaussée.
Arrivé à bon port, le jeune homme sort sans broncher du véhicule. Selon les premiers éléments de l’enquête, il ne s’est montré à aucun moment menaçant.
Soulagé par le départ de son passager, l’automobiliste en profite pour appeler la police. Un équipage se met alors à la recherche du jeune Isérois et le localise dans la Grande rue de la Guillotière. Il est environ 23 h 40. Les policiers n’auront pas le temps de l’interpeller avant qu’il ne retourne le fusil contre lui.
L’enquête en cours devra éclaircir les zones d’ombre qui planent encore autour de cette affaire. Et notamment tenter de comprendre ce qui a poussé ce jeune homme à mettre ainsi fin à ses jours.
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/10/30/il-s-impose-dans-une-voiture-puis-se-suicide-a-la-vue-de-la-police
L’étrange périple de ce jeune homme né en 1992 a semble-t-il débuté quelques heures plus tôt, à Chatonnay, dans le Nord Isère. Habitant sur la commune, il décide pour une raison encore indéterminée de quitter le domicile familial en empruntant la voiture de sa mère et un fusil de chasse. Selon les premiers éléments recueillis, il parcourt plusieurs kilomètres avant d’immobiliser son véhicule sur le bas-côté de la route, à hauteur de la commune de Mions. Là, il actionne les warnings de sa voiture et se positionne sur la chaussée.
Il saute dans le véhicule en marche
Quelques instants plus tard, un automobiliste qui rentre d’une fête familiale arrive à sa hauteur. Il ralentit pour voir si le jeune homme a besoin d’une aide quelconque. Mais, en une fraction de seconde, ce dernier saute dans le véhicule encore en marche. Sans violence, mais avec la menace implicite du fusil, il demande à être conduit dans le quartier de La Guillotière, dans le 7 e arrondissement de Lyon. Le conducteur obtempère.Arrivé à bon port, le jeune homme sort sans broncher du véhicule. Selon les premiers éléments de l’enquête, il ne s’est montré à aucun moment menaçant.
Soulagé par le départ de son passager, l’automobiliste en profite pour appeler la police. Un équipage se met alors à la recherche du jeune Isérois et le localise dans la Grande rue de la Guillotière. Il est environ 23 h 40. Les policiers n’auront pas le temps de l’interpeller avant qu’il ne retourne le fusil contre lui.
L’enquête en cours devra éclaircir les zones d’ombre qui planent encore autour de cette affaire. Et notamment tenter de comprendre ce qui a poussé ce jeune homme à mettre ainsi fin à ses jours.
http://www.leprogres.fr/rhone/2012/10/30/il-s-impose-dans-une-voiture-puis-se-suicide-a-la-vue-de-la-police
Arras : un couple et leur fille retrouvés mort /Mise à jour
Ces trois personnes sont décédées aux environs de 19H00, a
précisé le parquet d'Arras. "A priori, on est
plus dans l'hypothèse d'un drame
familial", a-t-on indiqué de même source. L'épouse, se sentant
menacée, a prévenu la police, mais lorsque les secours sont arrivés, il était
déjà trop tard, selon cette source.
Selon les premiers éléments de l'enquête, il semble que l'homme ait tué sa femme et sa fille avant de retourner l'arme contre lui. La fille n'habitait apparemment pas chez ses parents, mais passait leur rendre visite régulièrement. L'enquête a été confiée au commissariat d'Arras.
Selon les premiers éléments de l'enquête, il semble que l'homme ait tué sa femme et sa fille avant de retourner l'arme contre lui. La fille n'habitait apparemment pas chez ses parents, mais passait leur rendre visite régulièrement. L'enquête a été confiée au commissariat d'Arras.
Une jeune de Lebreil tuée
Il était aux alentours de 14 heures dimanche après-midi lorsqu'un drame est survenu sur la RD2, près de Durfort-Lacapelette dans le Tarn-et-Garonne. Dans une courbe située à environ un kilomètre du village, en direction de Lafrançaise, un véhicule a quitté la route pour finir sur le toit, en contrebas de la chaussée. À son bord, trois jeunes lotois d'une vingtaine d'années, originaire de Lebreil, un village qui ne se trouve qu'à quelques kilomètres du lieu de l'accident.
L'enquête déterminera les circonstances précises de l'accident, encore inconnue hier soir. Sur place, les pompiers de Lauzerte et le Samu de Castelsarrasin se sont occupés de donner les premiers soins, tandis que les gendarmes de la Cob de Lauzerte procédaient aux premières constatations.
A Lebreil, l'émotion est vive. La victime, Johanna Crouzet-Roussel, 23 ans, av ait fait ses études à Montcuq et dans d'autres établissements du Lot. « C' est un drame terrible. Johanna faisait comme beaucoup de jeunes des stages à la recherche d'un emploi» indique le maire Bernard Roux.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/29/1476822-une-jeune-de-lebreil-tuee.html
Une passagère tuée sur le coup
La passagère assise à l'arrière du véhicule a été tuée sur le coup, tandis que son amie qui avait pris place à l'avant souffrirait d'une fracture du bassin. Le conducteur, un homme de 20 ans, aurait pour sa part de nombreuses plaies et contusions. Si les deux blessés ont été conduits vers des centres hospitaliers, leur pronostic vital n'est pas engagé.L'enquête déterminera les circonstances précises de l'accident, encore inconnue hier soir. Sur place, les pompiers de Lauzerte et le Samu de Castelsarrasin se sont occupés de donner les premiers soins, tandis que les gendarmes de la Cob de Lauzerte procédaient aux premières constatations.
A Lebreil, l'émotion est vive. La victime, Johanna Crouzet-Roussel, 23 ans, av ait fait ses études à Montcuq et dans d'autres établissements du Lot. « C' est un drame terrible. Johanna faisait comme beaucoup de jeunes des stages à la recherche d'un emploi» indique le maire Bernard Roux.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/29/1476822-une-jeune-de-lebreil-tuee.html
lundi 29 octobre 2012
Drame familial à Arras, trois morts
Un couple âgé d'une soixantaine d'années et leur fille ont été retrouvés morts ce soir à Arras (Pas-de-Calais), après un probable drame familial.
Ces trois personnes sont décédées aux environs de 19H00, a précisé le parquet d'Arras.
Ces trois personnes sont décédées aux environs de 19H00, a précisé le parquet d'Arras.
"A priori, on est plus dans l'hypothèse d'un drame familial", a-t-on indiqué de même source. L'enquête a été confiée au commissariat d'Arras.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/29/97001-20121029FILWWW00597-drame-familial-a-arras-trois-morts.php
Trois personnes ont été retrouvées mortes lundi en début de soirée à Arras, dans le Pas-de-Calais, a-t-on appris auprès de la préfecture. Les corps ont été découverts vers 19h par les pompiers. «Il s'agit de deux femmes et d'un homme, vraisemblablement tués par arme à feu», a précisé la directrice de cabinet du préfet. Les policiers d'Arras ont été chargés de l'enquête
http://www.20minutes.fr/ledirect/1032180/couple-fille-retrouves-morts-arras-probable-drame-familial
Trois personnes ont été retrouvées mortes lundi en début de soirée à Arras, dans le Pas-de-Calais, a-t-on appris auprès de la préfecture. Les corps ont été découverts vers 19h par les pompiers. «Il s'agit de deux femmes et d'un homme, vraisemblablement tués par arme à feu», a précisé la directrice de cabinet du préfet. Les policiers d'Arras ont été chargés de l'enquête
http://www.20minutes.fr/ledirect/1032180/couple-fille-retrouves-morts-arras-probable-drame-familial
Var: un mort dans un accident d'ULM
Un homme est mort aujourd'hui dans l'accident de son ULM bi-place après que l'appareil eut percuté une ligne à moyenne tension au dessus du Var, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.
Parti de Fayence (Var) à 14h30, l'homme se trouvait au-dessus d'un massif forestier, au lieu-dit Les plaines du Rouet, quand son appareil a percuté la ligne à moyenne tension, prenant feu instantanément. C'est un agent ERDF qui a donné l'alerte. L'enquête a été confiée à la brigade de gendarmerie des transports aériens de Nice.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/29/97001-20121029FILWWW00482-var-un-mort-dans-un-accident-d-ulm.php
Parti de Fayence (Var) à 14h30, l'homme se trouvait au-dessus d'un massif forestier, au lieu-dit Les plaines du Rouet, quand son appareil a percuté la ligne à moyenne tension, prenant feu instantanément. C'est un agent ERDF qui a donné l'alerte. L'enquête a été confiée à la brigade de gendarmerie des transports aériens de Nice.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/29/97001-20121029FILWWW00482-var-un-mort-dans-un-accident-d-ulm.php
Accident de moto à La Bastide-Clairence (64) : la blessée entre la vie et la mort
Le jeune femme de 21 ans, très grièvement blessée dimanche après-midi à La Bastide-Clairence lors d'un accident de moto a été transférée à l'hôpital de Bordeaux dans la nuit après avoir été prise en charge par le Samu de Bayonne qui a assuré des soins de réanimation très lourds. Souffrant de traumatismes crânien et thoracique, la victime est dans le coma. Le pronostic vital est engagé.
Un automobiliste rémois se tue en percutant un arbre
Hier midi, un automobiliste rémois de 21 ans s'est tué en percutant un bosquet de sapins entre Boult-sur-Suippe et Roizy. L'origine de la perte de contrôle reste inexpliquée.
LA route a encore tué dans le canton de Bourgogne, au nord-est de Reims. Une semaine après la mort d'un cyclomotoriste de 14 ans entré en collision avec une voiture à Warmeriville, c'est un automobiliste qui a perdu la vie, hier midi, à seulement sept kilomètres du précédent accident. Il a percuté de plein fouet un bosquet de sapins alors qu'il circulait entre Boult-sur-Suippe et la commune ardennaise de Roizy.
Aucune information n'a été communiquée sur le conducteur, si ce n'est qu'il s'agit d'un Marnais de 21 ans domicilié à Reims. Il était seul à bord.
Au volant d'une Peugeot 207, l'automobiliste venait de quitter Boult-sur-Suippe par la RD74, une départementale rectiligne à travers champs. Après deux kilomètres en ligne droite, alors qu'il approchait de l'intersection avec la route de Bazancourt, près de la ferme de Bertaucry, son véhicule s'est déporté sur la droite et a roulé une trentaine de mètres sur l'accotement herbeux puis dans un champ de luzerne avant de percuter de plein fouet le bosquet de sapins implanté au carrefour.
Mort instantanée
Il n'y a pas eu de témoin visuel de l'accident. Le seul témoignage est auditif, celui d'un cycliste qui avait passé le carrefour et a cru entendre une « explosion » derrière lui tant la collision fut violente. Intrigué, il a fait demi-tour et découvert la voiture encastrée dans le bosquet.
Les pompiers ont été prévenus mais à leur arrivée, il n'y avait hélas plus rien à faire pour la victime, manifestement tuée sur le coup.
Moment d'inattention ? Malaise ? Assoupissement ? Les gendarmes de la communauté de brigades de Witry-lès-Reims ont ouvert une enquête pour tenter de déterminer les causes de l'accident. D'après les traces relevées au sol, la voiture s'est brutalement déportée vers la droite de la chaussée.
Terrible malchance pour l'automobiliste, qui a percuté les seuls arbres présents au bord des deux kilomètres de cette longue ligne droite.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-automobiliste-remois-se-tue-en-percutant-un-arbre
LA route a encore tué dans le canton de Bourgogne, au nord-est de Reims. Une semaine après la mort d'un cyclomotoriste de 14 ans entré en collision avec une voiture à Warmeriville, c'est un automobiliste qui a perdu la vie, hier midi, à seulement sept kilomètres du précédent accident. Il a percuté de plein fouet un bosquet de sapins alors qu'il circulait entre Boult-sur-Suippe et la commune ardennaise de Roizy.
Aucune information n'a été communiquée sur le conducteur, si ce n'est qu'il s'agit d'un Marnais de 21 ans domicilié à Reims. Il était seul à bord.
Au volant d'une Peugeot 207, l'automobiliste venait de quitter Boult-sur-Suippe par la RD74, une départementale rectiligne à travers champs. Après deux kilomètres en ligne droite, alors qu'il approchait de l'intersection avec la route de Bazancourt, près de la ferme de Bertaucry, son véhicule s'est déporté sur la droite et a roulé une trentaine de mètres sur l'accotement herbeux puis dans un champ de luzerne avant de percuter de plein fouet le bosquet de sapins implanté au carrefour.
Mort instantanée
Il n'y a pas eu de témoin visuel de l'accident. Le seul témoignage est auditif, celui d'un cycliste qui avait passé le carrefour et a cru entendre une « explosion » derrière lui tant la collision fut violente. Intrigué, il a fait demi-tour et découvert la voiture encastrée dans le bosquet.
Les pompiers ont été prévenus mais à leur arrivée, il n'y avait hélas plus rien à faire pour la victime, manifestement tuée sur le coup.
Moment d'inattention ? Malaise ? Assoupissement ? Les gendarmes de la communauté de brigades de Witry-lès-Reims ont ouvert une enquête pour tenter de déterminer les causes de l'accident. D'après les traces relevées au sol, la voiture s'est brutalement déportée vers la droite de la chaussée.
Terrible malchance pour l'automobiliste, qui a percuté les seuls arbres présents au bord des deux kilomètres de cette longue ligne droite.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-automobiliste-remois-se-tue-en-percutant-un-arbre
Un trentenaire tué lors d'une partie de chasse
Hier matin, Jim Pano, un habitant de Changy de 32 ans, a perdu la vie lors d'un accident de chasse à Heiltz-l'Évêque, près de Vitry-le-François.
JIM PANO faisait partie des huit traqueurs désignés à l'occasion de cette partie de chasse qui réunissait vingt-deux personnes. Membre de la société de chasse de Changy, il avait été invité par un de ses cousins à participer à cette sortie avec la société d'Heiltz-l'Évêque.
Dans un bois situé en bordure de la RD14 entre Outrepont et Heiltz-l'Évêque, au lieu-dit la Bordava, il a été mortellement touché par la balle d'un de ses compagnons.
Le passage d'un chevreuil a déclenché une première salve. L'animal a ensuite disparu, et les traqueurs ont repris leur marche en ligne. Un autre cervidé est alors apparu, entraînant une seconde série de tirs. C'est à ce moment-là que l'homme, âgé de 32 ans, s'est effondré sans que personne ne s'en rende compte.
Arrivés au bout du secteur qu'ils avaient à ratisser, les chasseurs ont réalisé qu'un des leurs manquait à l'appel. Après avoir tenté de le joindre sur son téléphone portable, ils ont rebroussé chemin et découvert leur camarade qui gisait, une balle dans la poitrine.
Les pompiers et le Smur de Vitry-le-François n'ont rien pu faire pour sauver la victime, qui est décédée sur place. Une enquête a été ouverte pour homicide involontaire. Les gendarmes de la communauté de brigade de Thiéblemont ont rapidement été rejoints sur les lieux par une équipe de techniciens en identification criminelle. Avec les chasseurs concernés, ils ont essayé de comprendre le déroulement de la traque et ce qui a pu conduire à ce dramatique accident.
Le tireur identifié
Selon nos informations, le tireur a déjà été identifié. Il aurait pris de l'avance sur la ligne de traque, et se serait retourné en direction des autres chasseurs pour viser l'animal. Une attitude imprudente qui a conduit au décès de Jim Pano.
Les analyses balistiques et les auditions des traqueurs, dont les armes ont été confisquées, viendront probablement confirmer les hypothèses des enquêteurs. La victime n'était pas mariée et n'avait pas d'enfant. Il avait grandi à Changy, et était élu au conseil municipal. Formé à la chaudronnerie et à la recherche d'un emploi, « il se montrait très disponible pour rendre service à la commune », selon le maire Jean-Claude Manfé.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-trentenaire-tue-lors-dune-partie-de-chasse
JIM PANO faisait partie des huit traqueurs désignés à l'occasion de cette partie de chasse qui réunissait vingt-deux personnes. Membre de la société de chasse de Changy, il avait été invité par un de ses cousins à participer à cette sortie avec la société d'Heiltz-l'Évêque.
Dans un bois situé en bordure de la RD14 entre Outrepont et Heiltz-l'Évêque, au lieu-dit la Bordava, il a été mortellement touché par la balle d'un de ses compagnons.
Le passage d'un chevreuil a déclenché une première salve. L'animal a ensuite disparu, et les traqueurs ont repris leur marche en ligne. Un autre cervidé est alors apparu, entraînant une seconde série de tirs. C'est à ce moment-là que l'homme, âgé de 32 ans, s'est effondré sans que personne ne s'en rende compte.
Arrivés au bout du secteur qu'ils avaient à ratisser, les chasseurs ont réalisé qu'un des leurs manquait à l'appel. Après avoir tenté de le joindre sur son téléphone portable, ils ont rebroussé chemin et découvert leur camarade qui gisait, une balle dans la poitrine.
Les pompiers et le Smur de Vitry-le-François n'ont rien pu faire pour sauver la victime, qui est décédée sur place. Une enquête a été ouverte pour homicide involontaire. Les gendarmes de la communauté de brigade de Thiéblemont ont rapidement été rejoints sur les lieux par une équipe de techniciens en identification criminelle. Avec les chasseurs concernés, ils ont essayé de comprendre le déroulement de la traque et ce qui a pu conduire à ce dramatique accident.
Le tireur identifié
Selon nos informations, le tireur a déjà été identifié. Il aurait pris de l'avance sur la ligne de traque, et se serait retourné en direction des autres chasseurs pour viser l'animal. Une attitude imprudente qui a conduit au décès de Jim Pano.
Les analyses balistiques et les auditions des traqueurs, dont les armes ont été confisquées, viendront probablement confirmer les hypothèses des enquêteurs. La victime n'était pas mariée et n'avait pas d'enfant. Il avait grandi à Changy, et était élu au conseil municipal. Formé à la chaudronnerie et à la recherche d'un emploi, « il se montrait très disponible pour rendre service à la commune », selon le maire Jean-Claude Manfé.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-trentenaire-tue-lors-dune-partie-de-chasse
Avignon : 2 morts dans un incendie criminel
Deux hommes ont été découverts carbonisés dans l'incendie vraisemblablement criminel d'un appartement dimanche après-midi sur la commune du Pontet, dans le Vaucluse, une ville située à la périphérie d'Avignon, a-t-on appris lundi auprès du parquet.
Les deux hommes ont été découverts par les pompiers qui intervenaient peu avant 15 heures pour l'incendie d'un appartement de 20 m2 situé dans le centre-ville du Pontet, ont précisé les pompiers. "Pour l'instant, on privilégie l'hypothèse criminelle, beaucoup d'investigations médico-légales doivent encore être effectuées", a précisé le procureur de la République à Avignon, Bernard Marchal, ajoutant que les deux victimes avaient été identifiées.
Une enquête de flagrance a été ouverte par le parquet. Les investigations ont été confiées à la section de recherches et à la brigade de recherches de la gendarmerie d'Avignon.
Saint-Etienne-du-Bois : un mort dans une sortie de route
Il était un peu moins de 21 h 30 hier lorsque l’accident s’est produit, à la sortie du village de Saint-Etienne-du-Bois, en direction de Bourg-en-Bresse. Malaise au volant ou sortie de route inexpliquée, le défaut de maîtrise a causé la mort du conducteur, seul à bord.
Selon les constatations effectuées sur place par les gendarmes de la communauté de brigades de Ceyzériat, l’automobiliste, qui circulait sur la départementale 1 083, a perdu le contrôle de son véhicule dans la traversée du village, au niveau du 191 rue Centrale. Le Citroën Picasso s’est engagé tout droit sur le parking situé devant le restaurant Chez Babeth, a traversé un bosquet avant d’atterrir sur un véhicule stationné en contrebas, pour finir sa course contre le portail d’un garage, au pied d’un petit immeuble.
Inconscient à l’arrivée des secours, le conducteur a été déclaré décédé quelques instants plus tard. Il s’agissait d’un homme âgé de 80 ans, domicilié à Bourg-en-Bresse.
http://www.leprogres.fr/ain/2012/10/29/saint-etienne-du-bois-un-mort-dans-une-sortie-de-route
Selon les constatations effectuées sur place par les gendarmes de la communauté de brigades de Ceyzériat, l’automobiliste, qui circulait sur la départementale 1 083, a perdu le contrôle de son véhicule dans la traversée du village, au niveau du 191 rue Centrale. Le Citroën Picasso s’est engagé tout droit sur le parking situé devant le restaurant Chez Babeth, a traversé un bosquet avant d’atterrir sur un véhicule stationné en contrebas, pour finir sa course contre le portail d’un garage, au pied d’un petit immeuble.
Inconscient à l’arrivée des secours, le conducteur a été déclaré décédé quelques instants plus tard. Il s’agissait d’un homme âgé de 80 ans, domicilié à Bourg-en-Bresse.
http://www.leprogres.fr/ain/2012/10/29/saint-etienne-du-bois-un-mort-dans-une-sortie-de-route
Trois jeunes Lunellois victimes de la vitesse
Macabre découverte ce matin dans le Lunellois. Trois corps carbonisés ont été retrouvés dans un véhicule en feu sur la RN 113, à hauteur des établissements Next Auto, entre Baillargues et Lunel.
On dirait qu’un géant a pris cette voiture et l’a broyée dans sa main." Les yeux rougis, le gendarme soupire, après plusieurs heures passées sur les lieux d’un nouveau et terrible drame routier.
Un terrible accident de la route
Au cœur de la nuit de samedi à dimanche, trois jeunes Lunellois (deux garçons de 17 et 19 ans, d’une famille recomposée et l’un de leurs amis de 27 ans, employé à la régie des services de Lunel-Viel) ont trouvé la mort sur la RN 113, au niveau de Valergues et du magasin Next Auto, dans un terrible accident de la route.
Vers minuit, après un repas familial, un garçon de 19 ans prend le volant de l’Audi A3 blanche de son père et part pour aller dormir chez leur ami à Lunel-Viel. Trois heures plus tard, la voiture percute le terre-plein central, décolle, heurte successivement deux arbres à près de deux mètres de hauteur, retombe sur le côté, en contrebas de la route, et s’embrase.
Entièrement carbonisés
Les efforts des pompiers n’y pourront rien : la voiture et les trois corps étaient entièrement carbonisés à leur arrivée. Les gendarmes de Lunel feront venir sur place le médecin légiste et le magistrat du parquet de permanence, afin de ne négliger aucune piste.
Seule celle d’une vitesse excessive, et éventuellement d’une consommation d’alcool ou de stupéfiants permet d’expliquer le déroulement de cet accident que les familles, qui appartiennent aux Témoins de Jehovah, ont appris hier en début d’après-midi.
L’accident survient au terme d’une semaine noire dans l’Hérault, marquée par la mort mardi d’un adolescent montpelliérain de 12 ans, écrasé sur un passage piéton devant son collège.
http://www.midilibre.fr/2012/10/28/trois-jeunes-lunellois-victimes-de-la-vitesse,585378.php
On dirait qu’un géant a pris cette voiture et l’a broyée dans sa main." Les yeux rougis, le gendarme soupire, après plusieurs heures passées sur les lieux d’un nouveau et terrible drame routier.
Un terrible accident de la route
Au cœur de la nuit de samedi à dimanche, trois jeunes Lunellois (deux garçons de 17 et 19 ans, d’une famille recomposée et l’un de leurs amis de 27 ans, employé à la régie des services de Lunel-Viel) ont trouvé la mort sur la RN 113, au niveau de Valergues et du magasin Next Auto, dans un terrible accident de la route.
Vers minuit, après un repas familial, un garçon de 19 ans prend le volant de l’Audi A3 blanche de son père et part pour aller dormir chez leur ami à Lunel-Viel. Trois heures plus tard, la voiture percute le terre-plein central, décolle, heurte successivement deux arbres à près de deux mètres de hauteur, retombe sur le côté, en contrebas de la route, et s’embrase.
Entièrement carbonisés
Les efforts des pompiers n’y pourront rien : la voiture et les trois corps étaient entièrement carbonisés à leur arrivée. Les gendarmes de Lunel feront venir sur place le médecin légiste et le magistrat du parquet de permanence, afin de ne négliger aucune piste.
Seule celle d’une vitesse excessive, et éventuellement d’une consommation d’alcool ou de stupéfiants permet d’expliquer le déroulement de cet accident que les familles, qui appartiennent aux Témoins de Jehovah, ont appris hier en début d’après-midi.
L’accident survient au terme d’une semaine noire dans l’Hérault, marquée par la mort mardi d’un adolescent montpelliérain de 12 ans, écrasé sur un passage piéton devant son collège.
http://www.midilibre.fr/2012/10/28/trois-jeunes-lunellois-victimes-de-la-vitesse,585378.php
Accident rue Maillol : la victime est décédée
L'homme de 77 ans gravement blessé dans un accident, mercredi, aux environs de 17 h 45, à l'angle des rues Aristide-Maillol et Marsan à Toulouse, a finalement succombé à ses blessures à l'hôpital. Sa voiture, un Citroën Picasso, avait été violemment percutée alors qu'il effectuait une manœuvre pour sortir de son stationnement.
Sur place, une très longue trace de freinage attestait, mercredi soir, de la vitesse de la Volkswagen golf conduite par un Roumain de 41 ans. Ce dernier et son passager avaient été légèrement blessés dans la collision et transportés à l'hôpital Purpan. L'autre conducteur, M. Zamboni, n'a donc pas survécu.
Les policiers de la brigade des accidents de Toulouse ont lancé hier un appel à témoins. Toute personne ayant assisté à cet accident est priée de se faire connaître en composant le 05 61 12 74 68 ou 05 61 12 76 29.
Ce terrible accident s'est déroulé à quelques mètres seulement de l'endroit où Amza, 14 ans, avait trouvé la mort, le 13 octobre, au guidon de son scooter. Il avait été percuté par une voiture conduite par un homme sans permis.
Hier soir, l'émotion était forte dans ce quartier doublement touché. Les riverains demandent une nouvelle fois la mise en place de ralentisseurs «pour que ça n'arrive plus».
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/28/1476569-accident-rue-maillol-la-victime-est-decedee.html
Sur place, une très longue trace de freinage attestait, mercredi soir, de la vitesse de la Volkswagen golf conduite par un Roumain de 41 ans. Ce dernier et son passager avaient été légèrement blessés dans la collision et transportés à l'hôpital Purpan. L'autre conducteur, M. Zamboni, n'a donc pas survécu.
Les policiers de la brigade des accidents de Toulouse ont lancé hier un appel à témoins. Toute personne ayant assisté à cet accident est priée de se faire connaître en composant le 05 61 12 74 68 ou 05 61 12 76 29.
Ce terrible accident s'est déroulé à quelques mètres seulement de l'endroit où Amza, 14 ans, avait trouvé la mort, le 13 octobre, au guidon de son scooter. Il avait été percuté par une voiture conduite par un homme sans permis.
Hier soir, l'émotion était forte dans ce quartier doublement touché. Les riverains demandent une nouvelle fois la mise en place de ralentisseurs «pour que ça n'arrive plus».
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/28/1476569-accident-rue-maillol-la-victime-est-decedee.html
dimanche 28 octobre 2012
Une femme enceinte tuée sur l’A1
Un dramatique accident de la circulation a eu lieu jeudi soir, vers 21h15, sur l’autoroute A1, au Luxembourg. Les faits se sont déroulés dans le sens Trèves-Luxembourg, à hauteur du Senningerberg. Pour une raison encore inconnue, une voiture, avec à son bord une femme enceinte de plusieurs mois, s’est immobilisée sur une des voies de circulation de l’autoroute.
Un autre usager de la route, voyant la scène, a tenté de venir en aide à l’occupante. Il a voulu signaler la présence de cette voiture arrêtée en agitant une lampe torche au bord de l’autoroute pour prévenir les autres automobilistes.
Ses efforts sont restés vains car un véhicule est arrivé et a percuté à pleine vitesse l’obstacle.
Le choc a été très violent. La femme enceinte et l’enfant qu’elle portait ont été tués sur le coup. Le conducteur de la seconde voiture impliquée a été légèrement blessé et transporté à l’hôpital par les secours.
La police grand-ducale a ouvert une enquête
http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers
Un autre usager de la route, voyant la scène, a tenté de venir en aide à l’occupante. Il a voulu signaler la présence de cette voiture arrêtée en agitant une lampe torche au bord de l’autoroute pour prévenir les autres automobilistes.
Ses efforts sont restés vains car un véhicule est arrivé et a percuté à pleine vitesse l’obstacle.
Le choc a été très violent. La femme enceinte et l’enfant qu’elle portait ont été tués sur le coup. Le conducteur de la seconde voiture impliquée a été légèrement blessé et transporté à l’hôpital par les secours.
La police grand-ducale a ouvert une enquête
http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers
Froid: un SDF retrouvé mort à Paris
Un homme sans domicile fixe (SDF), dont l'âge n'a pas été précisé, a été découvert mort, probablement de froid, ce matin dans une rue du XVIIème arrondissement de Paris.
L'homme, un "familier" de ce quartier du nord de Paris, a été retrouvé mort sur un trottoir de la rue Jacques Kellner vers 08h20 après une nuit où des températures inhabituellement basses pour la saison ont été enregistrées dans la capitale.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/28/97001-20121028FILWWW00090-froid-un-sdf-retrouve-mort-a-paris.php
L'homme, un "familier" de ce quartier du nord de Paris, a été retrouvé mort sur un trottoir de la rue Jacques Kellner vers 08h20 après une nuit où des températures inhabituellement basses pour la saison ont été enregistrées dans la capitale.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/28/97001-20121028FILWWW00090-froid-un-sdf-retrouve-mort-a-paris.php
Un mort et deux blessés graves dans un accident à Lamothe-Montravel (24)
Un automobiliste de 36 ans est décédé samedi soir dans une sortie de route vers 19 heures, route du monument Talbot, à Lamothe-Montravel.
Ses deux passagers, âgés de 36 ans et 34 ans ont été grièvement blessés. L'un a été héliporté vers le CHU Pellegrin, à Bordeaux et l'autre évacué vers l'hôpital de Libourne.
http://www.sudouest.fr/2012/10/28/un-mort-et-deux-blesses-graves-dans-un-accident-a-lamothe-montravel-24-863637-1892.php
Ses deux passagers, âgés de 36 ans et 34 ans ont été grièvement blessés. L'un a été héliporté vers le CHU Pellegrin, à Bordeaux et l'autre évacué vers l'hôpital de Libourne.
http://www.sudouest.fr/2012/10/28/un-mort-et-deux-blesses-graves-dans-un-accident-a-lamothe-montravel-24-863637-1892.php
Une quinquagénaire se noie dans un étang
Vendredi, peu après 17 heures, une femme a perdu la vie, noyée dans un étang de Montigny-Lengrain, dans le canton de Vic-sur-Aisne.
Cette résidante d'un lotissement de la commune, partie promener son chien à pied, se serait arrêtée quelques instants le long du plan d'eau pour nourrir les canards et les oies, comme elle en a l'habitude.
Choc thermique
Pour une raison que l'enquête de gendarmerie devra déterminer, elle aurait glissé, des traces en attestent, et serait tombée dans l'eau, qui devait être glaciale. Ne sachant pas nager et sans doute tétanisée par le choc thermique, elle n'est pas parvenue à sortir de l'eau, pourtant peu profonde.
C'est une personne qui se charge de surveiller l'étang, où l'on pratique la pêche à la carpe, qui l'a trouvée inanimée. D'ordinaire, à cette heure-ci, il se promène déjà autour du plan d'eau. Malheureusement, vendredi il est arrivé un peu plus tard. À son arrivée, il a rapidement vu le corps dans l'eau. Il a extrait la malheureuse et a tenté un massage cardiaque, en vain. Les secours, arrivés quelques minutes plus tard, n'ont pas réussi à la ranimer non plus.
La victime, Hélène Menard, était âgée de 50 ans. Elle était mariée et mère de famille. Elle exerçait la profession d'assistante maternelle.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/une-quinquagenaire-se-noie-dans-un-etang
Cette résidante d'un lotissement de la commune, partie promener son chien à pied, se serait arrêtée quelques instants le long du plan d'eau pour nourrir les canards et les oies, comme elle en a l'habitude.
Choc thermique
Pour une raison que l'enquête de gendarmerie devra déterminer, elle aurait glissé, des traces en attestent, et serait tombée dans l'eau, qui devait être glaciale. Ne sachant pas nager et sans doute tétanisée par le choc thermique, elle n'est pas parvenue à sortir de l'eau, pourtant peu profonde.
C'est une personne qui se charge de surveiller l'étang, où l'on pratique la pêche à la carpe, qui l'a trouvée inanimée. D'ordinaire, à cette heure-ci, il se promène déjà autour du plan d'eau. Malheureusement, vendredi il est arrivé un peu plus tard. À son arrivée, il a rapidement vu le corps dans l'eau. Il a extrait la malheureuse et a tenté un massage cardiaque, en vain. Les secours, arrivés quelques minutes plus tard, n'ont pas réussi à la ranimer non plus.
La victime, Hélène Menard, était âgée de 50 ans. Elle était mariée et mère de famille. Elle exerçait la profession d'assistante maternelle.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/une-quinquagenaire-se-noie-dans-un-etang
Lorraine : un père de famille se tue sur la route
Falvien Kremer, 31 ans, né à Creutzwald, a perdu la vie, hier matin, sur la route qui relie Herny à Han-sur-Nied. On ignore encore comment s’est produite la terrible collision entre le véhicule de la victime et un camion, transporteur d’engin, venant des Vosges.
Il est 9 h 30 lorsque les sapeurs-pompiers de Rémilly et Herny sont appelés sur la route départementale 910. L’accident a eu lieu au sortir d’une courbe et au sommet d’une côte. Une Peugeot 205 grise est retournée dans le fossé. Un camion de convoi exceptionnel barre la chaussée. Dans la voiture, Flavien Kremer, sa compagne et leurs deux enfants, âgés de 4 et 12 ans, habitant actuellement à Les Lucs-sur-Boulogne, en Vendée.
Les sapeurs-pompiers de Rémilly et Herny, rapidement rejoints par ceux de Faulquemont et Saint-Avold désincarcèrent le conducteur, mort semble-t-il sur le coup et l’un des deux garçons. La mère, âgée de 31 ans est extrêmement choquée. Elle est prise en charge par les secours et le Samu, tout comme l’aîné des enfants, blessé à un membre. Le cadet semble hors de danger.
Le conducteur du camion, originaire de Bellefontaine dans les Vosges et âgé de 31 ans, est également en état de choc mais ne présenterait pas de blessures sérieuses. Son témoignage est recueilli par les gendarmes de Faulquemont qui dévient également la circulation à l’entrée d’Herny.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/10/28/voiture-contre-camion-un-mort
Il est 9 h 30 lorsque les sapeurs-pompiers de Rémilly et Herny sont appelés sur la route départementale 910. L’accident a eu lieu au sortir d’une courbe et au sommet d’une côte. Une Peugeot 205 grise est retournée dans le fossé. Un camion de convoi exceptionnel barre la chaussée. Dans la voiture, Flavien Kremer, sa compagne et leurs deux enfants, âgés de 4 et 12 ans, habitant actuellement à Les Lucs-sur-Boulogne, en Vendée.
Les sapeurs-pompiers de Rémilly et Herny, rapidement rejoints par ceux de Faulquemont et Saint-Avold désincarcèrent le conducteur, mort semble-t-il sur le coup et l’un des deux garçons. La mère, âgée de 31 ans est extrêmement choquée. Elle est prise en charge par les secours et le Samu, tout comme l’aîné des enfants, blessé à un membre. Le cadet semble hors de danger.
Le conducteur du camion, originaire de Bellefontaine dans les Vosges et âgé de 31 ans, est également en état de choc mais ne présenterait pas de blessures sérieuses. Son témoignage est recueilli par les gendarmes de Faulquemont qui dévient également la circulation à l’entrée d’Herny.
Tests et enquête
Cette partie de la route n’est pas connue comme étant accidentogène. Les gendarmes de la compagnie de Boulay ont ouvert une enquête pour déterminer les causes de cet accident et les responsabilités de chacun. Des analyses de sang seront pratiquées sur les conducteurs. La maman et ses deux enfants ont été transportés à l’hôpital de Mercy. Le conducteur du poids lourd a été évacué vers Hospitalor à Saint-Avold.http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/10/28/voiture-contre-camion-un-mort
Assier. La douleur mêlée à l'incompréhension
Le village d'Assier, traumatisé, essaie de panser sa douleur. jeudi soir deux drames se sont déroulés dans la commune à quelques minutes d'intervalle. La mort accidentelle d'un enfant et une tentative d'homicide suivie d'un suicide.
Deux drames ont profondément meurtri, jeudi soir, le village d'Assier. Vers 17 h 15, les sapeurs pompiers et le SMUR de l'hôpital de Figeac sont alertés pour porter secours à un enfant de 2 ans. Après avoir mangé un morceau de pomme, l'enfant se serait étouffé. Le petit garçon a été victime d'un arrêt cardio-respiratoire suite à une fausse-route alimentaire. Son transport a été organisé pour qu'il rejoigne le CHU de Toulouse. En cours de trajet, il sera victime d'un second arrêt respiratoire. Les manœuvres de réanimation seront reprises durant 40 minutes, en vain. Le petit garçon a été enterré hier après-midi au cimetière d'Assier.
À 19 h 40, dans un hameau du village «Le Pech d'Amont» désenclavé du bourg, les gendarmes sont saisis d'une tentative d'homicide contre des particuliers. Un sexagénaire a fait irruption chez ses plus proches voisins, un couple de sexagénaire.
Il casse la baie vitrée et tire à bout portant à deux reprises avec un fusil de chasse. L'épouse sera blessée à l'épaule, le deuxième coup de feu tiré en direction du mari n'atteindra pas sa cible. Le tireur prendra la fuite immédiatement. Il sera retrouvé, quelques heures plus tard à Egletons dans la Corrèze. Il s'est suicidé à côté de sa voiture en retournant l'arme contre lui. Selon les proches des victimes, il n'y avait pas de différent de voisinage. Le tireur et ses voisins se connaissaient depuis des années. L'incompréhension est totale. Un habitant se rappelle l'avoir vu passer devant chez lui «dès fois il disait bonjour, d'autres fois pas» confie-t-il. «Il habitait un peu l'écart du village. C'était un monsieur qui vivait seul, apparemment tranquille. Il n'appartenait pas à une association» indique Jacques Montal, conseiller municipal. Dans le village de près de 700 habitants, la douleur mêlée à l'incompréhension règne
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/28/1476561-assier-la-douleur-melee-a-l-incomprehension.html
Deux drames ont profondément meurtri, jeudi soir, le village d'Assier. Vers 17 h 15, les sapeurs pompiers et le SMUR de l'hôpital de Figeac sont alertés pour porter secours à un enfant de 2 ans. Après avoir mangé un morceau de pomme, l'enfant se serait étouffé. Le petit garçon a été victime d'un arrêt cardio-respiratoire suite à une fausse-route alimentaire. Son transport a été organisé pour qu'il rejoigne le CHU de Toulouse. En cours de trajet, il sera victime d'un second arrêt respiratoire. Les manœuvres de réanimation seront reprises durant 40 minutes, en vain. Le petit garçon a été enterré hier après-midi au cimetière d'Assier.
À 19 h 40, dans un hameau du village «Le Pech d'Amont» désenclavé du bourg, les gendarmes sont saisis d'une tentative d'homicide contre des particuliers. Un sexagénaire a fait irruption chez ses plus proches voisins, un couple de sexagénaire.
Il casse la baie vitrée et tire à bout portant à deux reprises avec un fusil de chasse. L'épouse sera blessée à l'épaule, le deuxième coup de feu tiré en direction du mari n'atteindra pas sa cible. Le tireur prendra la fuite immédiatement. Il sera retrouvé, quelques heures plus tard à Egletons dans la Corrèze. Il s'est suicidé à côté de sa voiture en retournant l'arme contre lui. Selon les proches des victimes, il n'y avait pas de différent de voisinage. Le tireur et ses voisins se connaissaient depuis des années. L'incompréhension est totale. Un habitant se rappelle l'avoir vu passer devant chez lui «dès fois il disait bonjour, d'autres fois pas» confie-t-il. «Il habitait un peu l'écart du village. C'était un monsieur qui vivait seul, apparemment tranquille. Il n'appartenait pas à une association» indique Jacques Montal, conseiller municipal. Dans le village de près de 700 habitants, la douleur mêlée à l'incompréhension règne
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/28/1476561-assier-la-douleur-melee-a-l-incomprehension.html
Hérault : trois corps calcinés dans une voiture en feu
Trois corps carbonisés ont été retrouvés dimanche matin vers
4h15 dans une voiture en feu entre Montpellier et
Lunel, dans l'Hérault. C'est un
automobiliste de passage qui a donné l'alerte en découvrant le véhicule dans un
fossé, à proximité d'un platane, au bord de la N113, au lieu-dit Le Relais, sur
la commune de Valergues. Les gendarmes et les techniciens en identification
criminelle se sont rendus sur les lieux.
Peu avant 8 heures, les pompiers étaient toujours sur place
pour sortir les cadavres calcinés de la voiture, avec un fourgon de
désincarcération. Les lieux ont été isolés par les gendarmes.
La thèse d'une sortie de route privilégiée
Le conducteur roulait en direction de Lunel quand il "a perdu
vraisemblablement le contrôle du véhicule et est allé percuter un arbre à une
hauteur de 80 cm", a déclaré Patrick Desjardins, procureur adjoint de
Montpellier, évoquant "un choc extrêmement violent". La voiture, qui appartient
à une famille de Lunel, est ensuite "retombée dans le fossé situé en contrebas
et s'est embrasée", a-t-il ajouté, soulignant que "les premiers éléments
orientent vers la thèse de l'accident".
Des analyses d'alcoolémie et toxicologiques devront toutefois
être effectuées pour confirmer cette piste. Les corps des victimes - "a priori
des jeunes gens", selon le procureur adjoint - étaient en cours d'identification
dimanche matin.
Porquerolles : un enfant de 12 ans disparaît en pleine tempête
Un enfant de 12 ans, parti à vélo samedi à 18 heures, est porté
disparu sur l'île de Porquerolles, balayée par de fortes rafales de vent.
Cette disparition survient alors que tout le département du Var
est placé en alerte orange par Météo France jusqu'à dimanche 22 heures en raison
de risques liés à des vents forts, un "genre de tempête qui se produit en
moyenne trois fois tous les 10 ans".
Dans toute la vallée du Rhône et sur l'ouest du Var, le mistral
souffle en tempête, une situation prévue pour durer jusqu'à dimanche soir. De
même, la tramontane s'annonce violente sur les Pyrénées Orientales avec des
rafales entre 110/130 km/h. On a relevé par exemple 158 km/h au Cap Cepet (83),
150 km/h à Murs (84), 126 km/h à Toulon, 114 km/h à Valence, et 107 km/h à
Aubenas.
Var : le jeune étudiant va être décoré
L'étudiant qui avait tenté vendredi de secourir l'une de ses camarades de l'Université de Toulon avant d'être emporté comme elle par les eaux dans un canal souterrain sur le campus, va être décoré à titre posthume, a annoncé samedi le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls.
"Pour rendre hommage à l'abnégation, au civisme et à l'altruisme de celui qui s'est porté au secours de la première victime et y a lui-même péri, Manuel Valls, en accord avec Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche, a décidé de décerner, à titre posthume, la médaille d'or des actes de courage et de dévouement à l'auteur de ce geste exemplaire de solidarité humaine", a annoncé le ministère dans un communiqué.
Toulon bouleversé par la mort de deux étudiants
L’université de Toulon était bouleversée hier par le drame qui a coûté la vie à deux de ses étudiants, emportés vendredi par les eaux dans un canal souterrain sur le campus. La ministre de l’Enseignement supérieur, Geneviève Fioraso, est venue dire son "émotion".
Le corps du jeune homme porté disparu a été retrouvé hier matin dans un ruisseau bordant un golf sur la commune de La Garde (Var), au lendemain de la découverte de celui de sa camarade. L’étudiant, qui avait eu 22 ans vendredi et était originaire de Dijon, a chuté vers 15 h 45 dans une canalisation d’évacuation des eaux de 60 cm de diamètre, en contrebas d’un parking de l’université.
"Un acte formidable"
Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur
Il voulait porter secours à une élève de sa promotion (Master 1 de sciences de l’information et de la communication), âgée de 25 ans. Glissant sur la chaussée inondée, elle avait chuté dans un ruisseau gorgé d’eau, redevenu hier un tranquille ru sous le soleil.
Sur les lieux, la ministre a salué "l’acte de courage du jeune homme qui, malheureusement, n’a pas réussi à sauver sa camarade et qui a péri de son acte formidable".
Dans un communiqué, le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a fait part de sa "tristesse" après ce "décès tragique". Mme Fioraso a "demandé à l’inspection générale de mandater une mission d’enquête", tout en se refusant à polémiquer sur la sécurité en ce jour de "deuil".
Plusieurs élèves s’étonnaient toutefois de l’absence de barrières autour du ruisseau traversant la faculté (9 000 étudiants).
http://www.midilibre.fr/2012/10/27/toulon-bouleverse-par-la-mort-de-deux-etudiants,584943.php
Le corps du jeune homme porté disparu a été retrouvé hier matin dans un ruisseau bordant un golf sur la commune de La Garde (Var), au lendemain de la découverte de celui de sa camarade. L’étudiant, qui avait eu 22 ans vendredi et était originaire de Dijon, a chuté vers 15 h 45 dans une canalisation d’évacuation des eaux de 60 cm de diamètre, en contrebas d’un parking de l’université.
"Un acte formidable"
Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur
Il voulait porter secours à une élève de sa promotion (Master 1 de sciences de l’information et de la communication), âgée de 25 ans. Glissant sur la chaussée inondée, elle avait chuté dans un ruisseau gorgé d’eau, redevenu hier un tranquille ru sous le soleil.
Sur les lieux, la ministre a salué "l’acte de courage du jeune homme qui, malheureusement, n’a pas réussi à sauver sa camarade et qui a péri de son acte formidable".
Dans un communiqué, le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a fait part de sa "tristesse" après ce "décès tragique". Mme Fioraso a "demandé à l’inspection générale de mandater une mission d’enquête", tout en se refusant à polémiquer sur la sécurité en ce jour de "deuil".
Plusieurs élèves s’étonnaient toutefois de l’absence de barrières autour du ruisseau traversant la faculté (9 000 étudiants).
http://www.midilibre.fr/2012/10/27/toulon-bouleverse-par-la-mort-de-deux-etudiants,584943.php
Mort d'un gendarme à Maureville : le chauffard à la Jaguar retrouvé
Un maçon de 35 ans, au volant d'une Jaguar à l'origine de l'accident qui a coûté la vie à un gendarme, jeudi, dans le Lauragais, a été interpellé hier. Les enquêteurs l'ont localisé dans l'Indre.
L'enquête après la mort d'un gendarme de 44 ans, tué dans un accident de la route à Maureville, dans le Lauragais, jeudi matin, à la suite du comportement dangereux d'un automobiliste en fuite a vite progressé.
Hier matin, les gendarmes ont retrouvé à Balma la Jaguar de couleur vert foncé à l'origine de la collision qui a coûté la vie au chef Serge Cuq de la brigade de Lanta. Cette voiture, un modèle ancien, était stationnée sur le parking du restaurant Mc Donald's.
Les investigations des enquêteurs de la brigade de recherches de Villefranche-de-Lauragais ont permis par la suite de remonter la piste d'un individu vraisemblablement au volant de cette voiture de luxe au moment des faits. Les appels à témoins et un travail minutieux des enquêteurs ont fini par localiser un maçon de 35 ans qui se serait réfugié chez des proches, dans le secteur de Chateauroux. Après les faits, ce suspect, domicilié dans le Lauragais, aurait abandonné la voiture à Balma avant de se rendre dans le département de l'Indre.
A-t-il paniqué à la suite de l'accident mortel ? En tout cas son comportement après le drame reste forcément suspect. Hier après-midi, les enquêteurs devaient se rendre dans l'Indre pour interpeller cet homme qui faisait l'objet d'un mandat d'arrêt. Il devait être conduit à Toulouse, dans la soirée pour être entendu. De nombreux témoins auraient confirmé le comportement dangereux au volant de cet artisan. Jeudi, peu avant 8 heures, entre Lanta et Caraman, la Jaguar dépasse en pleine ligne continue et au sommet d'une côte un automobiliste. En face, la Renault Scénic avec à son bord les deux gendarmes de la brigade de Lanta se déporte pour éviter le chauffard mais entre en collision avec la voiture dépassée. Passager de la Scénic, le chef Serge Cuq, marié et père de deux enfants, décède après le choc. Le conducteur, son collègue Patrick Pailhac, 48 ans, est grièvement blessé et toujours hospitalisé.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/27/1475638-le-chauffard-a-la-jaguar-retrouve.html
L'enquête après la mort d'un gendarme de 44 ans, tué dans un accident de la route à Maureville, dans le Lauragais, jeudi matin, à la suite du comportement dangereux d'un automobiliste en fuite a vite progressé.
Hier matin, les gendarmes ont retrouvé à Balma la Jaguar de couleur vert foncé à l'origine de la collision qui a coûté la vie au chef Serge Cuq de la brigade de Lanta. Cette voiture, un modèle ancien, était stationnée sur le parking du restaurant Mc Donald's.
Les investigations des enquêteurs de la brigade de recherches de Villefranche-de-Lauragais ont permis par la suite de remonter la piste d'un individu vraisemblablement au volant de cette voiture de luxe au moment des faits. Les appels à témoins et un travail minutieux des enquêteurs ont fini par localiser un maçon de 35 ans qui se serait réfugié chez des proches, dans le secteur de Chateauroux. Après les faits, ce suspect, domicilié dans le Lauragais, aurait abandonné la voiture à Balma avant de se rendre dans le département de l'Indre.
A-t-il paniqué à la suite de l'accident mortel ? En tout cas son comportement après le drame reste forcément suspect. Hier après-midi, les enquêteurs devaient se rendre dans l'Indre pour interpeller cet homme qui faisait l'objet d'un mandat d'arrêt. Il devait être conduit à Toulouse, dans la soirée pour être entendu. De nombreux témoins auraient confirmé le comportement dangereux au volant de cet artisan. Jeudi, peu avant 8 heures, entre Lanta et Caraman, la Jaguar dépasse en pleine ligne continue et au sommet d'une côte un automobiliste. En face, la Renault Scénic avec à son bord les deux gendarmes de la brigade de Lanta se déporte pour éviter le chauffard mais entre en collision avec la voiture dépassée. Passager de la Scénic, le chef Serge Cuq, marié et père de deux enfants, décède après le choc. Le conducteur, son collègue Patrick Pailhac, 48 ans, est grièvement blessé et toujours hospitalisé.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/27/1475638-le-chauffard-a-la-jaguar-retrouve.html
samedi 27 octobre 2012
La voiture part en tonneaux: deux jeunes dans un état critique
Un terrible accident de la route s'est produit, samedi un peu avant 14 heures, sur la RD27 près du village de "Tallobre" à Saint-Christophe-sur-Dolaizon. Une voiture est partie en tonneaux et a sectionné un poteau téléphonique. Le bilan est lourd : trois blessés dont deux très graves.
Le véhicule venait de Saint-Christophe quand il a échappé au contrôle de son conducteur. A l'arrivée des secours, ce dernier était en arrêt cardio-respiratoire. Âgé de 22 ans et demeurant à Vals-près-Le Puy, il a été évacué dans un état critique par hélicoptère sur Clermont-Ferrand.
Sa passagère, âgée de 21 ans et demeurant à Saint-Germain-Laprade, est également dans un état très grave. Elle a été héliportée sur l'hôpital Emile-Roux. Le frère du conducteur, âgé de 14 ans et installé à l'arrière, a été plus légèrement blessé.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2012/10/27/la-voiture-part-en-tonneaux-deux-jeunes-dans-un-etat-critique
Le véhicule venait de Saint-Christophe quand il a échappé au contrôle de son conducteur. A l'arrivée des secours, ce dernier était en arrêt cardio-respiratoire. Âgé de 22 ans et demeurant à Vals-près-Le Puy, il a été évacué dans un état critique par hélicoptère sur Clermont-Ferrand.
Sa passagère, âgée de 21 ans et demeurant à Saint-Germain-Laprade, est également dans un état très grave. Elle a été héliportée sur l'hôpital Emile-Roux. Le frère du conducteur, âgé de 14 ans et installé à l'arrière, a été plus légèrement blessé.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2012/10/27/la-voiture-part-en-tonneaux-deux-jeunes-dans-un-etat-critique
Une fillette de 4 ans grièvement blessée par un coup de sabot
Alors qu'elle se promenait dans le centre équestre de Saint-Chamond, dans la
Loire, samedi matin, une fillette de 4 ans a été grièvement blessée par le coup
de sabot d'un cheval.
Une fillette de 4 ans qui se promenait samedi matin avec sa
famille dans un centre équestre de Saint-Chamond dans la Loire a été grièvement
blessée à la tête par le coup de sabot d'un cheval, a-t-on appris de source
policière.
Alors qu'elle parcourait l'écurie du haras en tenant son père
par la main, la petite fille est passée à proximité d'un cheval attaché par une
corde à une barrière. Elle a reçu à ce moment là un coup de sabot à la tempe
gauche. Après le choc, la petite fille a alterné les phases de conscience et
d'inconscience et a été transportée dans un état jugée sérieux à l'hôpital Nord
de Saint-Etienne, selon la même source.
Collision mortelle : le chauffard condamné
Un habitant de Saint-Memmie âgé de 31 ans est mort dans la collision survenue le 6 septembre dernier. Le conducteur mis en cause a dû répondre de son acte jeudi, au tribunal de Châlons.
«ENCORE un peu de patience et tout finira mal ». Citant le poète latin Catulle, le procureur Christian de Rocquigny évoque le terrible accident survenu le 6 septembre sur la RD 944 comme un drame, doublé d'une tragédie. Un drame, bien entendu, pour la victime : Anthony Albaut, demeurant à Saint-Memmie, est décédé à l'âge de 31 ans. Une tragédie, car « il y avait malheureusement des signes avant-coureurs ».
L'accident est survenu le 6 septembre, peu avant 21 heures, sur la quatre voies entre les Grandes-Loges et la Veuve. Le chauffard, un Rémois âgé d'une quarantaine d'années, roulait en contre-sens en direction de La Veuve selon les éléments recueillis pendant l'enquête. Il est entré en collision avec une 206, dont le conducteur, père d'un enfant de deux ans, est décédé au cours de la nuit, malgré l'intervention rapide des secours. Un troisième automobiliste, résidant en Meurthe-et-Moselle et âgé de 21 ans, a également été légèrement blessé.
Échapper au contrôle d'alcoolémie
Abandonnant sur place son Chrysler, le chauffard aurait immédiatement pris la fuite à travers champs, ce qu'il contestait jusqu'à sa comparution jeudi devant le tribunal de Châlons. Les enquêteurs le soupçonnaient d'avoir ainsi tenté d'échapper au contrôle d'alcoolémie. De fait, bien que son identification et son interpellation aient été particulièrement rapides, les mesures d'alcoolémie n'ont pu être réalisées que 14 heures après la collision. Les auditions ont permis d'établir qu'il aurait consommé au moins cinq à six bières avant les faits, mais le délit, sur ce point précis, n'a pas été suffisamment caractérisé.
Le procureur souligne que l'homme a déjà été condamné deux fois pour conduite en état d'ivresse et une autre fois pour violence sur conjoint par personne en état d'ivresse.
Toutes les familles concernées ont assisté à l'audience. Poursuivi pour homicide involontaire, délit de fuite, et blessures involontaires, le chauffard a été reconnu coupable.
Il a été condamné à 5 ans de prison, dont deux ans de sursis, avec une mise à l'épreuve de deux ans, une obligation de soin, de travailler, et d'indemniser les victimes (cette dernière condamnation étant renvoyée à l'intérêt civil). Son permis de conduire est en outre annulé, il ne pourra en refaire la demande pendant huit ans. Ses véhicules ont été confisqués. L'automobiliste est désormais en détention à Châlons
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/collision-mortelle-le-chauffard-condamne
«ENCORE un peu de patience et tout finira mal ». Citant le poète latin Catulle, le procureur Christian de Rocquigny évoque le terrible accident survenu le 6 septembre sur la RD 944 comme un drame, doublé d'une tragédie. Un drame, bien entendu, pour la victime : Anthony Albaut, demeurant à Saint-Memmie, est décédé à l'âge de 31 ans. Une tragédie, car « il y avait malheureusement des signes avant-coureurs ».
L'accident est survenu le 6 septembre, peu avant 21 heures, sur la quatre voies entre les Grandes-Loges et la Veuve. Le chauffard, un Rémois âgé d'une quarantaine d'années, roulait en contre-sens en direction de La Veuve selon les éléments recueillis pendant l'enquête. Il est entré en collision avec une 206, dont le conducteur, père d'un enfant de deux ans, est décédé au cours de la nuit, malgré l'intervention rapide des secours. Un troisième automobiliste, résidant en Meurthe-et-Moselle et âgé de 21 ans, a également été légèrement blessé.
Échapper au contrôle d'alcoolémie
Abandonnant sur place son Chrysler, le chauffard aurait immédiatement pris la fuite à travers champs, ce qu'il contestait jusqu'à sa comparution jeudi devant le tribunal de Châlons. Les enquêteurs le soupçonnaient d'avoir ainsi tenté d'échapper au contrôle d'alcoolémie. De fait, bien que son identification et son interpellation aient été particulièrement rapides, les mesures d'alcoolémie n'ont pu être réalisées que 14 heures après la collision. Les auditions ont permis d'établir qu'il aurait consommé au moins cinq à six bières avant les faits, mais le délit, sur ce point précis, n'a pas été suffisamment caractérisé.
Le procureur souligne que l'homme a déjà été condamné deux fois pour conduite en état d'ivresse et une autre fois pour violence sur conjoint par personne en état d'ivresse.
Toutes les familles concernées ont assisté à l'audience. Poursuivi pour homicide involontaire, délit de fuite, et blessures involontaires, le chauffard a été reconnu coupable.
Il a été condamné à 5 ans de prison, dont deux ans de sursis, avec une mise à l'épreuve de deux ans, une obligation de soin, de travailler, et d'indemniser les victimes (cette dernière condamnation étant renvoyée à l'intérêt civil). Son permis de conduire est en outre annulé, il ne pourra en refaire la demande pendant huit ans. Ses véhicules ont été confisqués. L'automobiliste est désormais en détention à Châlons
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/collision-mortelle-le-chauffard-condamne
Vosges : ils volent deux motos et se tuent sur la route
Les drames s’enchaînent sur les routes du département des Vosges. En 96 heures, quatre personnes sont décédées dans des accidents.
Après le décès d’un motard à Florémont dimanche, d’un automobiliste mercredi à Chavelot, deux hommes ont perdu la vie dans la nuit de jeudi à vendredi, aux alentours de minuit sur une route communale de Liffol-le-Grand. La tragédie s’est produite sur une voie étroite, reliant Liffol-le-Grand à Bazoilles-sur-Meuse.
De nombreuses interrogations ont plané au-dessus de ce drame. Tout d’abord, les circonstances de l’accident ne sont pas encore clairement définies. Mais selon les premières investigations menées, l’hypothèse du choc frontal est privilégiée. À leur arrivée sur les lieux, les pompiers de Liffol et de Neufchâteau ont trouvé les deux corps au sol avec deux motocross, très abîmés, à quelques mètres. Mais une 3 e moto, intacte, était également sur place. Pourtant, aucune autre personne n’a été découverte, malgré les recherches menées avec la caméra thermique du centre de secours vittellois. Les pompiers ainsi que le SMUR de Neufchâteau, ont bien tenté de ranimer les deux victimes. Ces dernières étaient en arrêt cardio-respiratoire à leur arrivée. Après un quart d’heure de soins intensifs, les secours n’ont pu que constater le décès de ces deux hommes âgés d’une vingtaine d’années. Les deux victimes n’ayant aucun papier d’identité sur elles.
Les forces de l’ordre, présentes en force sur les lieux, ont pu regrouper les premiers éléments qui viennent à prouver que les trois motos retrouvées sur place étaient des engins volés quelques minutes avant le drame, dans une habitation du centre-ville de Liffol.
Au regard du contexte exceptionnel, un périmètre de sécurité a été délimité afin que les gendarmes de la brigade néocastrienne, en collaboration avec leurs collègues de la brigade de recherche de Neufchâteau, puissent prélever les premiers indices.
Un technicien de l’identification criminelle d’Épinal les a rejoints vers 2 h 30 du matin afin d’effectuer des prélèvements.
À noter également la présence sur les lieux du capitaine Petit, commandant de l’escadron départemental de sécurité routière. La substitut du procureur Sophie Couillaud s’est déplacée elle aussi. « Les premiers éléments laissent à penser que les deux hommes n’étaient pas porteurs de casques », glisse la substitut. Les investigations vont donc se poursuivre au cours de ces prochains jours. Cela concernera tout d’abord la détermination exacte des causes de ces deux décès. Les autopsies devraient se faire en tout début de semaine.
Une enquête judiciaire pour vol aggravé a été également ouverte. « Il y avait trois motos. Cela signifie qu’il avait probablement un 3 e auteur qui s’est certainement enfui », déclare le procureur Étienne Manteaux.
En cours de journée, les enquêteurs ont pu affiner leur recherche sur l’identité de deux motards décédés. Le plus jeune serait âgé de 26 ans et demeurerait à Gondrecourt-le-Château, dans la Meuse. La seconde victime serait, quant à elle, âgée de 28 ans et habiterait Liffol-le-Grand.
Toujours dans le cadre de cette enquête, un individu, originaire de Neufchâteau, s’est présenté aux gendarmes, ce vendredi matin, pour signaler une disparition. Il a été placé en garde à vue par les enquêteurs, afin de savoir s’il avait une éventuelle implication dans cette affaire de vol qui a viré au drame.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2012/10/26/le-vol-de-motos-vire-au-drame
Après le décès d’un motard à Florémont dimanche, d’un automobiliste mercredi à Chavelot, deux hommes ont perdu la vie dans la nuit de jeudi à vendredi, aux alentours de minuit sur une route communale de Liffol-le-Grand. La tragédie s’est produite sur une voie étroite, reliant Liffol-le-Grand à Bazoilles-sur-Meuse.
De nombreuses interrogations ont plané au-dessus de ce drame. Tout d’abord, les circonstances de l’accident ne sont pas encore clairement définies. Mais selon les premières investigations menées, l’hypothèse du choc frontal est privilégiée. À leur arrivée sur les lieux, les pompiers de Liffol et de Neufchâteau ont trouvé les deux corps au sol avec deux motocross, très abîmés, à quelques mètres. Mais une 3 e moto, intacte, était également sur place. Pourtant, aucune autre personne n’a été découverte, malgré les recherches menées avec la caméra thermique du centre de secours vittellois. Les pompiers ainsi que le SMUR de Neufchâteau, ont bien tenté de ranimer les deux victimes. Ces dernières étaient en arrêt cardio-respiratoire à leur arrivée. Après un quart d’heure de soins intensifs, les secours n’ont pu que constater le décès de ces deux hommes âgés d’une vingtaine d’années. Les deux victimes n’ayant aucun papier d’identité sur elles.
Les forces de l’ordre, présentes en force sur les lieux, ont pu regrouper les premiers éléments qui viennent à prouver que les trois motos retrouvées sur place étaient des engins volés quelques minutes avant le drame, dans une habitation du centre-ville de Liffol.
Au regard du contexte exceptionnel, un périmètre de sécurité a été délimité afin que les gendarmes de la brigade néocastrienne, en collaboration avec leurs collègues de la brigade de recherche de Neufchâteau, puissent prélever les premiers indices.
Un technicien de l’identification criminelle d’Épinal les a rejoints vers 2 h 30 du matin afin d’effectuer des prélèvements.
À noter également la présence sur les lieux du capitaine Petit, commandant de l’escadron départemental de sécurité routière. La substitut du procureur Sophie Couillaud s’est déplacée elle aussi. « Les premiers éléments laissent à penser que les deux hommes n’étaient pas porteurs de casques », glisse la substitut. Les investigations vont donc se poursuivre au cours de ces prochains jours. Cela concernera tout d’abord la détermination exacte des causes de ces deux décès. Les autopsies devraient se faire en tout début de semaine.
Une enquête judiciaire pour vol aggravé a été également ouverte. « Il y avait trois motos. Cela signifie qu’il avait probablement un 3 e auteur qui s’est certainement enfui », déclare le procureur Étienne Manteaux.
En cours de journée, les enquêteurs ont pu affiner leur recherche sur l’identité de deux motards décédés. Le plus jeune serait âgé de 26 ans et demeurerait à Gondrecourt-le-Château, dans la Meuse. La seconde victime serait, quant à elle, âgée de 28 ans et habiterait Liffol-le-Grand.
Toujours dans le cadre de cette enquête, un individu, originaire de Neufchâteau, s’est présenté aux gendarmes, ce vendredi matin, pour signaler une disparition. Il a été placé en garde à vue par les enquêteurs, afin de savoir s’il avait une éventuelle implication dans cette affaire de vol qui a viré au drame.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2012/10/26/le-vol-de-motos-vire-au-drame
Série noire sur les rails dans le Sud-Ouest
Coup sur coup, vendredi soir, deux drames ont provoqué deux
morts sur les lignes ferroviaires du Sud-Ouest, suivis de retards allant jusqu'à
plusieurs heures pour les trains. Le premier s'est produit dans la petite gare
d'Ambazac, à 20 km environ au nord de Limoges. Vers 20h30, un homme d'une
quarantaine d'années a été heurté par un train Intercités reliant Limoges à
Paris. Les circonstances de l'accident laissent penser à un suicide. Le train,
qui transportait près de 400 passagers, circulait à ce moment-là à plus de 150
km/h, au sortir de cette gare où il ne s'arrêtait pas. Selon les premiers
éléments, "la victime s'est immobilisée en pleine voie face au train qui
arrivait lancé à pleine vitesse", a indiqué la gendarmerie de la Haute-Vienne.
A la suite de l'accident, une dizaine de trains sur l'axe
Paris-Toulouse, des Intercités en majorité, ainsi que des TER et un TGV, ont
été immobilisés dans la gare la plus proche, le temps des premières
constatations des pompiers et gendarmes à Ambazac. Plus d'un millier de
voyageurs ont été affectés, selon la SNCF. Le
trafic ferroviaire a pu être rétabli après 23h15 dans le sens Nord-Sud, le plus
occupé en cette veille de vacances de Toussaint, et s'est rétabli dans le sens
Sud-Nord peu avant minuit, après la découverte du corps. La SNCF a indiqué avoir
mis des autocars à disposition pour les correspondances régionales manquées.
La voiture projetée par la violence du choc
Le deuxième drame de la soirée s'est produit à Podensac, à 30
km environ au sud-est de Bordeaux : une voiture a été heurtée par un TGV
Lyon-Bordeaux à hauteur d'un passage à niveau automatique peu avant 22H30. La
voiture a été projetée sous la violence du choc, avec le train qui circulait à
environ 130 km/h, et le passager a été tué sur le coup. Le passage à niveau
fonctionnait normalement, suggérant que le véhicule aurait pu tenter de forcer
le passage.
Aucun des 280 passagers n'a été blessé, mais le train a été
immobilisé pendant près de trois heures à Podensac le temps des constatations et
de l'inspection de la motrice. Il a pu repartir à allure réduite, atteignant
Bordeaux avec près de 4 heures de retard. Au moins trois autres trains, dont un
TGV, ont été retenus à la suite de l'accident, dans les gares de Bordeaux,
Toulouse et en Gironde, enregistrant au final des retards d'une heure et demie à
deux heures.
Un Mirandais tué dans une collision frontale à Barran
Hier peu avant 8 h 30, un conducteur mirandais a été tué dans une collision frontale qui a fait deux blessées: son épouse, passagère et la conductrice de l'autre véhicule
Hier matin sur la départementale 39 qui relie l'Isle-de-Noe à Saint-Jean-Poutge, une collision frontale entre deux voitures a coûté la vie à Ahmed Dahine. Ce Mirandais âgé de 79 ans se dirigeait vers Saint-Jean-Poutge avec son épouse âgée de 70 ans lorsqu'au lieu dit Le Pontic sur la commune de Barran, sa Peugeot 309 et une Renault Mégane circulant en sens inverse sont entrées en collision.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/27/1475724-un-mirandais-tue-a-barran.html
Hier matin sur la départementale 39 qui relie l'Isle-de-Noe à Saint-Jean-Poutge, une collision frontale entre deux voitures a coûté la vie à Ahmed Dahine. Ce Mirandais âgé de 79 ans se dirigeait vers Saint-Jean-Poutge avec son épouse âgée de 70 ans lorsqu'au lieu dit Le Pontic sur la commune de Barran, sa Peugeot 309 et une Renault Mégane circulant en sens inverse sont entrées en collision.
Chaussée boueuse
Selon les premiers éléments de l'enquête recueillis par les gendarmes sous les ordres du commandant Freulin de la compagnie d'Auch, la Mégane conduite par une Gersoise de 39 ans, serait partie en tête à queue avant de percuter la voiture du couple mirandais. A l'arrivée des pompiers, le conducteur qui a dû être désincarcéré, était décédé. A ses côtés, son épouse légèrement blessée, fut soignée par une équipe du SMUR d'Auch avant son évacuation vers le centre hospitalier. Choquée, la conductrice de la Mégane a également ététransportée à l'hôpital. Cet accident qui porte à 20 le nombre des personnes tuées sur les routes gersoises depuis le début de l'année, s'est produit par temps pluvieux. En cette période de ramassage du maïs, des dépôts de boue rendaient hier cette portion particulièrement glissante, notamment «la courbe» à partir de laquelle la Mégane a échappé au contrôle de sa conductrice. L'adjudant Jean Pérussan, chef de centre à l'Isle-de-Noé et le lieutenant Patrick Dubosc, officier de permanence venu de Fleurance, ont dirigé les opérations effectuées par les pompiers de l'Isle-de-Noé, Mirande et Auch. Une déviation a été mise en place pendant les opérations de secours et de nettoyage de la chaussée. Sur les lieux de l'accident où s'est rendu Jean-Pierre Baqué l'adjoint au maire de Barran Paul Fourès, étaient également mobilisés des agents du service départemental des routes.http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/27/1475724-un-mirandais-tue-a-barran.html
Accident sur l'A1, un mort
Une personne a été tuée lmors d'un accident de voiture entre deux véhicules sur l'autoroute A1, dans le sens Lille-Paris, à la hauteur de la sortie Carvin, relate la Voix du Nord.
Quatre personnes sont grièvement blessées et quatre autres ont des blessures plus légères. Elles ont toutes été transoprtées au CHR de Lille et aux hôpitaux de Lesquin et Lens.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/27/97001-20121027FILWWW00305-accident-sur-l-a1-1-mort.php
Quatre personnes sont grièvement blessées et quatre autres ont des blessures plus légères. Elles ont toutes été transoprtées au CHR de Lille et aux hôpitaux de Lesquin et Lens.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/27/97001-20121027FILWWW00305-accident-sur-l-a1-1-mort.php
Varennes. Un mort dans une BMW coupée en deux
C'est une vision effroyable qu'ont découvert hier matin vers 7 h 30 alors que la nuit était toujours présente, les pompiers et gendarmes qui avaient convergé sur la RD 999 entre Verlhac-Tescou et Varennes. En rase campagne cette route très fréquentée qui relie Montauban à Albi a vu son profil modifié par des travaux. Ainsi un ancien tronçon de cette route bordée par une haie n'est plus utilisé que comme zone de repos. Là quelques minutes auparavant un automobiliste s'arrête et à la descente de son véhicule il découvre un amas de tôles tordues, un poteau sectionné et il devine un autre morceau de voiture. C'est donc lui qui alerte les secours. Outre les pompiers de Villebrumier avec un VSAB leurs collègues de Villemur-sur-Tarn et de Montauban avec deux véhicules de secours routier (VSR) se retrouvent sur les lieux, tout comme le SAMU 82. Ils découvrent dans le champ non loin de l'habitacle de la voiture un corps sans vie. Et recherchent alentours au cas où il y aurait d'autres victimes….Puis ils débutent l'enquête à partir de l'immatriculation du véhicule. Ils établissent que cette BMW série 100 est propriété d'un habitant de Rouffiac-Tolosan. Mais que le conducteur était quelqu'un d'autre qui sera rapidement identifié comme étant son fils.
(1) Cet accident mortel est le deuxième de ce mois d'octobre. Il porte le bilan annuel à 26 tués (chiffre en légère augmentation par rapport au bilan 2 011 au même moment).
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/27/1475868-un-mort-dans-une-bmw-coupee-en-deux.html
Le réservoir retrouvé 125 mètres plus loin
Restait alors a expliquer le déroulement de cet accident. Mathieu Delpont 30 ans aurait donc pris le volant alors qu'il était sous cachets et ralliait depuis son domicile l'axe Albi-Montauban. Mais l'accident semble s'être déroulé quelques heures avant sa découverte. Des habitants de maisons isolées situées assez loin de là disent avoir entendu vers une heure du matin un grand bruit mais rien vu d'anormal par la suite au niveau de la route. La BMW roulait semble-t-il à vive allure vers Montauban. Dans ce virage elle a heurté une haie puis a percuté en hauteur un arbre. Elle s'est cassée en deux. L'avant a heurté un second arbre 20 mètres plus loin puis de l'autre côté un poteau téléphonique qu'elle a sectionné avant de terminer dans un champ. On a retrouvé le réservoir à 125 mètres de l'impact sur le premier arbre et de l'autre côté de la RD 999.u moment des chocs successifs personne ne passait sur la route.(1) Cet accident mortel est le deuxième de ce mois d'octobre. Il porte le bilan annuel à 26 tués (chiffre en légère augmentation par rapport au bilan 2 011 au même moment).
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/27/1475868-un-mort-dans-une-bmw-coupee-en-deux.html
Un militaire se noie dans le Gard
Un militaire de la base aérienne de Longvic (Côte-d'Or) est mort cette après-midi dans une cascade du Crespenou, à 20 km à l'ouest de Nîmes, lors d'une descente en canyoning avec deux amis, qui ont donné l'alerte vers 16h00, a-t-on appris auprès des pompiers du Gard. Le jeune homme de 22 ans, originaire de la Boissière (Hérault), s'est noyé dans cet affluent de la rivière le Vidourle, sur la commune de Sauve (Gard).
"Des plongeurs ont été envoyés sur place mais n'ont rien trouvé. Une inspection de la zone hors cours d'eau a été menée et, à 18h40, le corps du militaire a été découvert, allongé sur une berge du Crespenou", ont affirmé les pompiers. Le jeune homme, décédé des suites d'une noyade, "n'a pas pu être ranimé par le Samu", a précisé un officier des pompiers du Gard.
Une enquête a été ouverte.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/26/97001-20121026FILWWW00723-un-militaire-se-noie-dans-le-gard.php
"Des plongeurs ont été envoyés sur place mais n'ont rien trouvé. Une inspection de la zone hors cours d'eau a été menée et, à 18h40, le corps du militaire a été découvert, allongé sur une berge du Crespenou", ont affirmé les pompiers. Le jeune homme, décédé des suites d'une noyade, "n'a pas pu être ranimé par le Samu", a précisé un officier des pompiers du Gard.
Une enquête a été ouverte.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/26/97001-20121026FILWWW00723-un-militaire-se-noie-dans-le-gard.php
Accident en Meuse : un conducteur de scooter tué
La collision a eu lieu aux environ de 15 h, hier, au carrefour de la Calonne, sur la commune d’Haudiomont.
Mickaël Pastot, 40 ans, circulait sur un scooter avec comme passagère sa sœur, Magalie François, 39 ans, sur la D159, dans le sens Sommedieue-Haudiomont. Arrivé au carrefour de la Calonne, il est entré en collision avec un 4X4, qui venait d’une rue sur sa droite. Le conducteur, indemne, habitant Herbeuville a au départ été contrôlé positif à l’alcool. Il a été emmené à la brigade de gendarmerie de Fresnes-en-Woëvre pour des vérifications plus poussées, son taux était alors inférieur à 0,5 g d’alcool dans le sang.
Dans l’accident, le pilote du scooter et sa sœur, tous deux habitant à Haudiomont, ont été projetés sur la chaussée. Magalie François a été transportée par les pompiers à l’hôpital de Verdun : elle souffre de plusieurs traumatismes mais ses jours ne sont pas en danger.
Son frère, Mickaël, a succombé à ses blessures malgré l’intervention rapide des secours et la prise en charge du SAMU : les médecins ont tout fait pour le réanimer sur les lieux. En vain.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/10/25/accident-a-haudiomont-(55)-un-homme-entre-la-vie-et-la-mort
Mickaël Pastot, 40 ans, circulait sur un scooter avec comme passagère sa sœur, Magalie François, 39 ans, sur la D159, dans le sens Sommedieue-Haudiomont. Arrivé au carrefour de la Calonne, il est entré en collision avec un 4X4, qui venait d’une rue sur sa droite. Le conducteur, indemne, habitant Herbeuville a au départ été contrôlé positif à l’alcool. Il a été emmené à la brigade de gendarmerie de Fresnes-en-Woëvre pour des vérifications plus poussées, son taux était alors inférieur à 0,5 g d’alcool dans le sang.
Dans l’accident, le pilote du scooter et sa sœur, tous deux habitant à Haudiomont, ont été projetés sur la chaussée. Magalie François a été transportée par les pompiers à l’hôpital de Verdun : elle souffre de plusieurs traumatismes mais ses jours ne sont pas en danger.
Son frère, Mickaël, a succombé à ses blessures malgré l’intervention rapide des secours et la prise en charge du SAMU : les médecins ont tout fait pour le réanimer sur les lieux. En vain.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/10/25/accident-a-haudiomont-(55)-un-homme-entre-la-vie-et-la-mort
La Courneuve. Un mineur grièvement blessé dans une rixe
Un adolescent de 17 ans a été grièvement blessé d'un coup de couteau hier matin à La Courneuve, en Seine-Saint-Denis, a-t-on appris d'une source proche de l'enquête.
Les faits sont survenus vers 5 heures rue Danton, dans un campement de gens du voyage. Le mineur, dont l'état de santé est jugé sérieux, a été transporté dans un hôpital de Saint-Denis, où il "était en réanimation", selon cette même source. Une enquête a été ouverte pour déterminer les motifs de la rixe, toujours pas connus ce vendredi.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/26/1475232-la-courneuve-un-mineur-grievement-blesse-dans-une-rixe.html
Les faits sont survenus vers 5 heures rue Danton, dans un campement de gens du voyage. Le mineur, dont l'état de santé est jugé sérieux, a été transporté dans un hôpital de Saint-Denis, où il "était en réanimation", selon cette même source. Une enquête a été ouverte pour déterminer les motifs de la rixe, toujours pas connus ce vendredi.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/26/1475232-la-courneuve-un-mineur-grievement-blesse-dans-une-rixe.html
vendredi 26 octobre 2012
Var: un des étudiants retrouvé mort
Le corps de l'un des deux étudiants portés disparus ce soir sur le campus de l'université de Toulon à La Garde, où ils ont été emportés par les eaux dans un canal souterrain, après de fortes pluies dans la région, a-t-on appris auprès de la préfecture du Var.
"Une personne est décédée et une est, à l'heure actuelle, portée disparue (...). Le corps de la victime décédée a été retrouvé vers 19h20", affirme la préfecture dans un communiqué publié peu avant 20h.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/26/97001-20121026FILWWW00678-var-un-des-etudiants-retrouve-mort.php
"Une personne est décédée et une est, à l'heure actuelle, portée disparue (...). Le corps de la victime décédée a été retrouvé vers 19h20", affirme la préfecture dans un communiqué publié peu avant 20h.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/10/26/97001-20121026FILWWW00678-var-un-des-etudiants-retrouve-mort.php
Pluies : 2 personnes disparues dans le Var
Deux personnes étaient portées disparues vendredi à La Garde (Var) à la suite de fortes pluies qui se sont abattues sur le département, a-t-on appris auprès des pompiers. Ces personnes, activement recherchées, auraient pu être emportées par les eaux dans une bouche d'égout, selon la même source.
http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Pluies-2-personnes-disparues-dans-le-Var-571691
http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Pluies-2-personnes-disparues-dans-le-Var-571691
Beaune : un piéton tué dans un accident
Vers 7 heures, ce vendredi matin, un accident de la route est survenu rue du Faubourg-Saint-Nicolas. Une voiture Renault Scenic a percuté de plein fouet un piéton, décédé sur le coup. La victime, René Degrave, âgé de 52 ans et habitant Chalon-sur-Saône, se rendait à l'entreprise d'embouteillage Ninot, située rue Auguste-Dubois, où il travaillait. Les circonstances exactes de l'accident n'ont pas encore été établies. Une enquête de police a été ouverte. Une déviation a été mise en place jusqu'aux environs de 10 heures.
http://www.bienpublic.com/actualite/2012/10/26/beaune-un-pieton-decede-apres-avoir-percute-une-voiture
http://www.bienpublic.com/actualite/2012/10/26/beaune-un-pieton-decede-apres-avoir-percute-une-voiture
Gy : une assistante maternelle foudroyée à la sortie de l’école
Il était 11 h 45, hier, lorsqu’une assistante maternelle a été terrassée par un malaise cardiaque devant l’école, rue des Tanneries, alors qu’elle venait rechercher les trois enfants dont elle avait la garde.
Elle discutait avec une grand-mère qui, elle aussi, était venue récupérer des petits, quand elle s’est écroulée devant des enfants, assistantes maternelles et des mamans. L’une de ces dernières a même tenté de lui faire un massage cardiaque en attendant l’arrivée des pompiers. Pendant une heure, le SAMU a tenté de la ramener à la vie. En vain.
Les enfants qu’elle gardait ont été exceptionnellement accueillis au périscolaire.
Tous les enfants ont été choqués par la scène. Un des médecins de Gy a même demandé à ce que la cellule psychologique intervienne.
Assistantes maternelles, enseignants et parents ont également été bouleversés par cette triste nouvelle qui s’est répandue comme une traînée de poudre dans le bourg.
Isabelle Parret, 53 ans, était maman d’une fille de 14 ans et d’un fils de 20 ans.
Les gendarmes de Gy sont intervenus sur place pour s’assurer qu’il s’agissait bien d’une mort naturelle.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/10/26/gy-une-assistante-maternelle-foudroyee-a-la-sortie-de-l-ecole
Elle discutait avec une grand-mère qui, elle aussi, était venue récupérer des petits, quand elle s’est écroulée devant des enfants, assistantes maternelles et des mamans. L’une de ces dernières a même tenté de lui faire un massage cardiaque en attendant l’arrivée des pompiers. Pendant une heure, le SAMU a tenté de la ramener à la vie. En vain.
Les enfants qu’elle gardait ont été exceptionnellement accueillis au périscolaire.
Tous les enfants ont été choqués par la scène. Un des médecins de Gy a même demandé à ce que la cellule psychologique intervienne.
Assistantes maternelles, enseignants et parents ont également été bouleversés par cette triste nouvelle qui s’est répandue comme une traînée de poudre dans le bourg.
Isabelle Parret, 53 ans, était maman d’une fille de 14 ans et d’un fils de 20 ans.
Les gendarmes de Gy sont intervenus sur place pour s’assurer qu’il s’agissait bien d’une mort naturelle.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/10/26/gy-une-assistante-maternelle-foudroyee-a-la-sortie-de-l-ecole
Lot : un sexagénaire blesse sa voisine et se suicide
Un sexagénaire a tiré apparemment sans raison sur un couple de voisins jeudi soir à Assier (Lot), blessant sérieusement la dame à l'épaule. Il a mis fin à ses jours deux heures plus tard, à 150 km de là, à Egletons (Corrèze),selon les gendarmes.
Cet homme, qui vivait seul, «semblait avoir une personnalité difficile et était depuis quelques semaines en rupture avec son voisinage et son entourage familial», indique un officier de la gendarmerie du Lot.
L'homme s'était rendu vers 19h30 chez ses voisins et avait tiré deux coups de feu dans leur direction. La femme a été transportée à l'hôpital de Cahors, mais ses jours ne semblent pas en danger. Le sexagénaire a pris la fuite et s'est rendu à Egletons, en Corrèze, à environ 150 km au nord d'Assier. Vers 22h20, il a mis fin à ses jours sur la voie publique, dans le centre de cette bourgade située à une quarantaine de kilomètres à l'est de Tulle.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/lot-un-sexagenaire-blesse-sa-voisine-et-se-suicide-26-10-2012-2267951.php
Cet homme, qui vivait seul, «semblait avoir une personnalité difficile et était depuis quelques semaines en rupture avec son voisinage et son entourage familial», indique un officier de la gendarmerie du Lot.
L'homme s'était rendu vers 19h30 chez ses voisins et avait tiré deux coups de feu dans leur direction. La femme a été transportée à l'hôpital de Cahors, mais ses jours ne semblent pas en danger. Le sexagénaire a pris la fuite et s'est rendu à Egletons, en Corrèze, à environ 150 km au nord d'Assier. Vers 22h20, il a mis fin à ses jours sur la voie publique, dans le centre de cette bourgade située à une quarantaine de kilomètres à l'est de Tulle.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/lot-un-sexagenaire-blesse-sa-voisine-et-se-suicide-26-10-2012-2267951.php
Bain-de-Bretagne. Un mort dans une collision entre deux véhicules
Un tragique accident a eu lieu en fin de matinée, ce vendredi, sur la route reliant Bain-de-Bretagne à Lalleu, juste avant le village de la Robinière. Deux véhicules sont entrés en collision, l’un d’entre eux a pris feu après s'être retourné dans un fossé. Une personne est décédée et deux autres sont dans un état grave. La route est coupée sur l’axe Bain de Bretagne-Lalleu. Une déviation locale est mise en place.
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Bain-de-Bretagne.-Un-mort-dans-une-collision-entre-deux-vehicules_40823-2126825_actu.Htm
http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Bain-de-Bretagne.-Un-mort-dans-une-collision-entre-deux-vehicules_40823-2126825_actu.Htm
Un enfant se tue en mangeant une pomme
Un enfant de deux ans est mort jeudi soir dans le Lot : il s'est étouffé en mangeant une pomme, a-t-on appris vendredi auprès des gendarmes. L'enfant était chez lui avec ses parents, dans le petit village d'Assier, lorsque vers 19h30 il a été victime d'une fausse-route après avoir ingéré un morceau de pomme, un accident dû à l'absorption dans les voies respiratoires de particules alimentaires. Les pompiers, qui se sont rendus sur place, ont tenté en vain de le ranimer.
http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Un-enfant-se-tue-en-mangeant-une-pomme-571607
http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Un-enfant-se-tue-en-mangeant-une-pomme-571607
Marche blanche pour Khalil, le collégien renversé
Après le drame, les larmes. Et la dignité d’une mère. La mère du jeune Khalil, mort, à 12 ans, au petit matin, mardi, avenue Albert-Dubout qu’il traversait, tout près du collège Gérard-Philippe. Percuté par deux voitures.
"Il était si souriant, sensible et généreux. Khalil aimait partager. Et il est mort écrasé." Et puis : "Merci à tous d’être venus." Une maman très entourée, hier en début d’après-midi, sur les lieux de son cauchemar. Alors qu’un hommage était rendu à son fils par d’autres enfants du collège, des parents d’élèves, des voisins, des élus. Des dizaines de personnes pour une marche blanche juvénile et grave. Et ces quelques mots tout simples, d’un maternel bon sens, comme ceux que le gamin Khalil a sans doute entendu tant de fois avant de prendre l’un de ses chemins : "Faites toujours attention aux voitures."
"Faites toujours attention aux voitures" (La maman de Kahlil)
Et maintenant ? Aux alentours, hier, on parlait volontiers d’une imprudence de l’âge mais aussi d’une difficile cohabitation avec les automobiles. De feux grillés, de vitesse excessive. De comportements inadaptés. Le témoignage d’une riveraine : "Même s’ils passent au vert, beaucoup d’automobilistes accélèrent devant le collège, espérant passer également au vert aux deux feux suivants." Et chacun d’imaginer des solutions pour rendre plus sûr pour tous - scolaires et riverains - la traversée de cet axe majeur. Pour les uns, nécessité de construire une passerelle. Pour d’autres, celle de mettre en place des ralentisseurs.
Présente hier, Annie Benezech, adjointe déléguée au quartier, estime qu’une troisième solution serait plus appropriée : "On sait par expérience que les ados contournent souvent les passerelles. Et les ralentisseurs posent problème pour les nombreux véhicules de secours qui passent ici. Il conviendrait plutôt d’installer des radars. Avec affichage préalable de vitesse. À voir très vite avec l’État, donc avec la préfecture."
L’avenue Albert-Dubout, précisément à l’endroit ou s’est déroulé le drame, a fait l’objet de nombreux travaux de sécurisation ces dernières années : trottoirs élargis, éclairage, feu tricolore, barrières.
http://www.midilibre.fr/2012/10/25/marche-blanche-pour-khalil,583882.php
"Il était si souriant, sensible et généreux. Khalil aimait partager. Et il est mort écrasé." Et puis : "Merci à tous d’être venus." Une maman très entourée, hier en début d’après-midi, sur les lieux de son cauchemar. Alors qu’un hommage était rendu à son fils par d’autres enfants du collège, des parents d’élèves, des voisins, des élus. Des dizaines de personnes pour une marche blanche juvénile et grave. Et ces quelques mots tout simples, d’un maternel bon sens, comme ceux que le gamin Khalil a sans doute entendu tant de fois avant de prendre l’un de ses chemins : "Faites toujours attention aux voitures."
"Faites toujours attention aux voitures" (La maman de Kahlil)
Et maintenant ? Aux alentours, hier, on parlait volontiers d’une imprudence de l’âge mais aussi d’une difficile cohabitation avec les automobiles. De feux grillés, de vitesse excessive. De comportements inadaptés. Le témoignage d’une riveraine : "Même s’ils passent au vert, beaucoup d’automobilistes accélèrent devant le collège, espérant passer également au vert aux deux feux suivants." Et chacun d’imaginer des solutions pour rendre plus sûr pour tous - scolaires et riverains - la traversée de cet axe majeur. Pour les uns, nécessité de construire une passerelle. Pour d’autres, celle de mettre en place des ralentisseurs.
Présente hier, Annie Benezech, adjointe déléguée au quartier, estime qu’une troisième solution serait plus appropriée : "On sait par expérience que les ados contournent souvent les passerelles. Et les ralentisseurs posent problème pour les nombreux véhicules de secours qui passent ici. Il conviendrait plutôt d’installer des radars. Avec affichage préalable de vitesse. À voir très vite avec l’État, donc avec la préfecture."
L’avenue Albert-Dubout, précisément à l’endroit ou s’est déroulé le drame, a fait l’objet de nombreux travaux de sécurisation ces dernières années : trottoirs élargis, éclairage, feu tricolore, barrières.
http://www.midilibre.fr/2012/10/25/marche-blanche-pour-khalil,583882.php
Après la mort d'Amza, nouvel accident grave rue Aristide-Maillol
Un violent accident de la circulation s'est produit hier soir à l'angle de la rue Aristide-Maillol et de la rue Marsan, à Toulouse, à deux pas de l'endroit où, le 13 octobre, Amza, 14 ans, avait trouvé la mort.
Il était aux environs de 17 h 45, «lorsque j'ai entendu un long freinage, ça glissait. Puis, quelque chose a explosé», témoigne un riverain sur les lieux de l'accident.
Une Volkswagen golf vient de percuter avec fracas l'avant gauche d'un Citroën Picasso qui quittait son stationnement. À l'intérieur, un homme, un retraité de 77 ans, a été gravement blessé. Il a été secouru sur place par les sapeurs-pompiers avant d'être conduit à l'hôpital de Rangueil. Dans l'autre voiture, le conducteur, un Roumain âgé de 41 ans, et son passager ont été plus légèrement blessés. Ils ont été transportés à Purpan.
Selon les premières constatations sur place, la Golf a laissé une trace de freinage de près de quarante mètres avant de percuter le Picasso. Une vitesse excessive pourrait donc être à l'origine de cet accident. Selon nos informations, le conducteur de la Golf roulait, de plus, sans assurance. Hier soir, les policiers effectuaient encore des relevés.
Moins de quinze jours après la mort du jeune Amza, ce nouvel accident a provoqué la colère des riverains. «Les gens roulent toujours trop vite ici. Nous avons demandé à la mairie de mettre au moins trois ralentisseurs, s'emporte une voisine. Nous attendons, en espérant qu'il n'y ait pas une troisième catastrophe.»
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/25/1473750-nouvel-accident-grave-a-maillol.html
Il était aux environs de 17 h 45, «lorsque j'ai entendu un long freinage, ça glissait. Puis, quelque chose a explosé», témoigne un riverain sur les lieux de l'accident.
Une Volkswagen golf vient de percuter avec fracas l'avant gauche d'un Citroën Picasso qui quittait son stationnement. À l'intérieur, un homme, un retraité de 77 ans, a été gravement blessé. Il a été secouru sur place par les sapeurs-pompiers avant d'être conduit à l'hôpital de Rangueil. Dans l'autre voiture, le conducteur, un Roumain âgé de 41 ans, et son passager ont été plus légèrement blessés. Ils ont été transportés à Purpan.
Selon les premières constatations sur place, la Golf a laissé une trace de freinage de près de quarante mètres avant de percuter le Picasso. Une vitesse excessive pourrait donc être à l'origine de cet accident. Selon nos informations, le conducteur de la Golf roulait, de plus, sans assurance. Hier soir, les policiers effectuaient encore des relevés.
Moins de quinze jours après la mort du jeune Amza, ce nouvel accident a provoqué la colère des riverains. «Les gens roulent toujours trop vite ici. Nous avons demandé à la mairie de mettre au moins trois ralentisseurs, s'emporte une voisine. Nous attendons, en espérant qu'il n'y ait pas une troisième catastrophe.»
http://www.ladepeche.fr/article/2012/10/25/1473750-nouvel-accident-grave-a-maillol.html
jeudi 25 octobre 2012
Isère : un randonneur meurt dans une chute
Un randonneur de 77 ans, atteint de la maladie d'Alzheimer, a été retrouvé mort jeudi en contrebas d'une barre rocheuse dans le massif de la Chartreuse (Isère), a-t-on appris auprès des secours en montagne.
L'homme, recherché depuis mercredi soir, a chuté d'une centaine de mètres alors qu'il était parti se promener seul en montagne, à Quaix-en-Chartreuse, a précisé la CRS Alpes. La victime habitait la région.
Poigny-la-Forêt : le retraité disparu a été retrouvé mort
Le retraité de Poigny qui avait disparu depuis mardi, a été retrouvé mort. C'est une patrouille de gendarmes qui a découvert le corps du nonagénaire dans un fourré, ce jeudi vers 13 heures. Selon des nouveaux éléments, il s'agit d'une mort naturelle. L'intéressé se serait vraisemblablement perdu dans les bois. Aucune autopsie ne sera finalement réalisée.
D'importants moyens de recherches avaient été engagés depuis quarante huit heures suite à la disparition de cet homme de 92 ans d’une maison de retraite de Poigny-la-Forêt. François Faure, pensionnaire de l'établissement «La Cerisaie» - résidence de retraite médicalisée, située 31, rue d'Epernon à Poigny-la-Forêt, avait quitté sa structure d'accueil, mardi à 15 heures. Il est sorti de l'enceinte, à pied, et a emprunté la route départementale 107, en direction d'Epernon. Puis, personne n'avait plus eu de nouvelle.
http://www.leparisien.fr/yvelines-78/poigny-la-foret-un-retraite-a-disparu-25-10-2012-2264591.php
D'importants moyens de recherches avaient été engagés depuis quarante huit heures suite à la disparition de cet homme de 92 ans d’une maison de retraite de Poigny-la-Forêt. François Faure, pensionnaire de l'établissement «La Cerisaie» - résidence de retraite médicalisée, située 31, rue d'Epernon à Poigny-la-Forêt, avait quitté sa structure d'accueil, mardi à 15 heures. Il est sorti de l'enceinte, à pied, et a emprunté la route départementale 107, en direction d'Epernon. Puis, personne n'avait plus eu de nouvelle.
http://www.leparisien.fr/yvelines-78/poigny-la-foret-un-retraite-a-disparu-25-10-2012-2264591.php
Un enfant de 3 ans tué sur la RN4
La RN4 entre Héming et Blâmont n’en finit pas de compter ses morts. Hier soir, une famille de Brouderdorff, près de Sarrebourg, a été brisée à Hertzing, à la sortie d’une zone en 2 x 2 voies, sur un axe tristement célèbre pour ses graves accidents à répétition. Un petit garçon de trois ans a perdu la vie. Sa sœur de 6 ans et sa maman sont grièvement blessées, et son papa s’en sort, moins sévèrement atteint.
Vers 16h55, leur Fiat Stilo a été percutée de plein fouet par un Citroën Berlingo arrivant en face, et qui s’est décalé sur la gauche. Le choc a été terriblement violent. Une camionnette roulant derrière la voiture familiale n’a pu éviter le suraccident. L’alerte a été immédiatement donnée, et un important dispositif venu essentiellement de Moselle-Sud, mais aussi de Meurthe-et-Moselle et d’Alsace, a été déployé.
Les secours se sont employés auprès des six victimes : le conducteur de la camionnette, légèrement blessé, la conductrice du Berlingo, seule en cause et plus sérieusement atteinte, et les quatre occupants de la même famille, prisonniers de la carcasse broyée. Les sapeurs-pompiers et le Samu n’ont rien pu faire pour sauver le garçonnet : il est décédé quelques minutes plus tard malgré les soins prodigués pour le ramener à la vie.
La maman et sa fille ont été héliportées dans des hôpitaux strasbourgeois, les autres blessés ont été conduits à l’hôpital de Sarrebourg. Leurs vies ne semblaient pas en danger.
http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2012/10/25/un-enfant-de-3-ans-tue-sur-la-rn4
Vers 16h55, leur Fiat Stilo a été percutée de plein fouet par un Citroën Berlingo arrivant en face, et qui s’est décalé sur la gauche. Le choc a été terriblement violent. Une camionnette roulant derrière la voiture familiale n’a pu éviter le suraccident. L’alerte a été immédiatement donnée, et un important dispositif venu essentiellement de Moselle-Sud, mais aussi de Meurthe-et-Moselle et d’Alsace, a été déployé.
Les secours se sont employés auprès des six victimes : le conducteur de la camionnette, légèrement blessé, la conductrice du Berlingo, seule en cause et plus sérieusement atteinte, et les quatre occupants de la même famille, prisonniers de la carcasse broyée. Les sapeurs-pompiers et le Samu n’ont rien pu faire pour sauver le garçonnet : il est décédé quelques minutes plus tard malgré les soins prodigués pour le ramener à la vie.
La maman et sa fille ont été héliportées dans des hôpitaux strasbourgeois, les autres blessés ont été conduits à l’hôpital de Sarrebourg. Leurs vies ne semblaient pas en danger.
http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2012/10/25/un-enfant-de-3-ans-tue-sur-la-rn4
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