jeudi 31 mai 2012

Accident mortel de Sadirac (33) : "il ne faut pas oublier Kris"

Ils étaient 17, hier après-midi, dans la salle des pas perdus du tribunal de grande instance de Bordeaux, à avoir revêtu le même T-shirt à la mémoire de Kris. Parce qu'elle avait 17 ans le jour où elle est morte, le 14 janvier 2010, à Sadirac, sur le CD 14. Elle venait de descendre du bus et rentrait chez elle, à quelques centaines de mètres. La nuit était tombée et il pleuvait. Le chauffeur du fourgon qui survenait au même moment est un artisan qui rentrait lui aussi chez lui à l'issue d'une journée de travail.
Hier, à la barre du tribunal correctionnel, présidé par Frédérique Gayssot, le chauffeur du fourgon a assuré avoir été ébloui par des voitures venant en sens inverse puis avoir été tétanisé lorsqu'il a senti un choc et vu un corps passer par-dessus son véhicule.

« J'étais tétanisé »
La présidente l'a longuement questionné sur ce qui s'était passé dans les minutes qui ont suivi le drame. « J'étais tétanisé, j'ai crié, j'ai appelé ma femme pour qu'elle vienne tout de suite. »
Mais il ne s'était pas immédiatement arrêté et n'était revenu sur place qu'une quarantaine de minutes plus tard pour être interpellé par les gendarmes.
Ce qui lui a valu d'être poursuivi pour homicide involontaire et pour délit de fuite. Pour conduite sous l'empire d'un état alcoolique aussi. L'analyse de sang a fait apparaître un taux de 2,30 g par litre.
« C'était le début de l'année. Avec un collègue artisan, on a fait notre repas annuel. Habituellement, on mange à la gamelle sur les chantiers. Ce jour-là, on a bu deux apéritifs, deux bières et du vin. » Mais l'homme maintient qu'après 14 h 30 il n'avait rien bu.
Son avocat, Me Ferrand, a également défendu que les conditions de circulation ce soir-là étaient mauvaises et que la jeune fille était habillée de noir avec des écouteurs sur les oreilles.
L'intention de fuite
On a senti, à ce moment-là, une certaine tension dans la salle d'audience. On arrivait au terme du procès, et jusque-là les nombreux proches de la jeune fille, avec ou sans T-shirt, n'avaient rien manifesté, laissant le soin à leurs avocates respectives, Me Sylvie Robert pour la mère et Me Pauline Soubrié pour le père, d'exprimer la douleur que, deux ans après, ils ressentent encore. « Il ne faut pas oublier Kris, déclarait Me Robert. C'est le message que veulent faire passer ses parents et ses proches. Elle était un rayon de soleil. »
Pour le vice-procureur Frédéric Clot, cet accident s'est déroulé dans des circonstances qualifiées de très particulières. « Ce qui avait conduit le parquet à ouvrir une information judiciaire deux jours plus tard », rappelait-il en soulignant que le prévenu avait collaboré avec les enquêteurs, « mais quarante minutes après l'accident » : « Que s'est-il passé entre-temps ? »
Selon le représentant du parquet, il ne fait pas de doute qu'il y a eu une intention de fuite. Ce que conteste fermement Me Ferrand. Mais pour Frédéric Clot, qui reprenait l'alcoolémie de 2,30 g, « l'état de conscience dans lequel il se trouvait faisait de son camion une arme projetée sur la route ».
Il a demandé l'annulation du permis de conduire de l'artisan et deux ans de prison, une durée susceptible d'être aménagée.
Le jugement est mis en délibéré jusqu'au 13 juin.

http://www.sudouest.fr/2012/05/31/ne-pas-oublier-kris-729619-2780.php

Roissy: gravement blessé dans une chute

Le pronostic vital était engagé aujourd'hui pour un passager américain de 81 ans grièvement blessé après avoir chuté de la passerelle d'un avion qui venait de se poser à l'aéroport Roissy-Charles de Gaulle, a-t-on appris de source aéroportuaire et de source proche de l'enquête.

L'avion, un Boeing 747 de la compagnie Air France en provenance de Miami, venait de se poser sur le tarmac, sur une aire de stationnement éloignée de l'aéroport, selon une source aéroportuaire. Le passager a chuté lors de sa descente de la passerelle-escalier. Il portait deux bagages à main et s'est visiblement emmêlé les pieds dans les marches de la passerelle, selon une source proche de l'enquête.

Le pronostic vital de cet Américain, accompagné de sa famille, était engagé lorsqu'il a été transporté à l'hôpital de la Salpêtrière à Paris. L'enquête a été confiée à la section de recherche de la gendarmerie des transports aériens (SR GTA).


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/05/31/97001-20120531FILWWW00684-roissy-gravement-blesse-dans-une-chute.php

Drame rue de Neufchâtel Il s'amuse à la fenêtre et se tue 12 m plus bas

Dans la nuit de dimanche à lundi, vers 1 h 30, un Rémois de 34 ans est mortellement tombé d'un immeuble de la rue de Neufchâtel (l'union de mardi). L'enquête de police a révélé qu'il ne s'agissait pas d'un suicide mais d'un dramatique accident survenu lors d'une soirée trop arrosée.
Trois amis festoyaient dans l'appartement situé au quatrième étage. Alors que le repas était bien avancé, l'un d'eux a eu la malheureuse idée d'escalader la rambarde de la fenêtre pour s'amuser à gesticuler au-dessus du vide.
Il a perdu prise, percutant le sol une douzaine de mètres plus bas. La mort a probablement été instantanée. Arrivés sur place, les secours n'ont pu que constater le décès du jeune homme tandis que ses deux camarades étaient retrouvés en état de choc.
L'autopsie pratiquée dans la journée de mardi a confirmé la chute accidentelle, sans aucune trace d'intervention d'un tiers (toutes les pistes, au départ, étaient envisagées).
Seule la victime était à la fenêtre. Ses deux amis se trouvaient en retrait dans l'appartement, éloignés d'elle, lorsqu'ils l'ont vu tomber dans le vide.


http://www.lunion.presse.fr/article/marne/reims-drame-rue-de-neufchatel-il-samuse-a-la-fenetre-et-se-tue-12-m-plus-bas

Un prof décède après avoir fait un malaise devant ses élèves

Un enseignant d'un collège de Flers (Orne) est décédé mercredi matin, quelques minutes après avoir fait un malaise devant ses élèves.
L’enseignant du collège Saint-Thomas-d’Aquin de Flers (Orne) a été pris d’un malaise, ce mercredi matin vers 10 h, alors qu’il faisait cours à un petit groupe d’élèves de 4e.
Rapidement pris en charge hors de la vue des élèves par les secours, le professeur de 51 ans n’a pu être réanimé.
La victime enseignait dans trois établissements de l'Orne
Il était arrivé dans l’établissement à la dernière rentrée, et partageait son temps entre l’établissement flérien, le collège Notre-Dame de Briouze et le lycée Jeanne-d’Arc d’Argentan.

Une femme de 72 ans tuée à son domicile par son locataire

Une femme de 72 ans a été découverte morte à son domicile du Carla-Bayle, hier après-midi. Elle portait de nombreux coups sur le corps. Et à côté d'elle son locataire, auteur possible du meurtre.
Il est des endroits qui ne sont pas faits pour parler de la mort : tel est Borde-Blanque-Bas, au Carla-Bayle sur la route de Sainte-Suzanne, un lieu-dit enchanteur, serré d'arbres au creux d'un vallon, où conduit une route de vacances faite pour les cyclotouristes. C'est pourtant là qu'hier, dans la matinée ou en début d'après midi s'est déroulé un drame, avec au bout la mort violente d'une femme de 72 ans. C'était là que vivait une retraitée dynamique, très appréciée au Carla, Monique Burkler qui pendant longtemps a accueilli ici des touristes dans ses chambres d'hôtes. Depuis quelques années elle avait cessé cette activité et louait la dépendance de sa maison. Son dernier locataire a été trouvé prostré, hier, vers 15 h 30, en état de choc, devant le cadavre de sa propriétaire ! Tout porte à croire qu'il est l'auteur de se meurtre bien que les analyses effectuées par les gendarmes doivent valider cette thèse. Ce sont aussi les gendarmes qui ont découvert le meurtre. La propriétaire s'était plainte auprès d'eux du comportement devenu violent de son locataire, E.B.

De multiples contusions et un coup à la tête

Aussi, mercredi, vers 15 h 30, la patrouille de gendarmerie du canton décide de passer sur place pour voir ce qu'il en est exactement des récriminations de la propriétaire. Personne pour l'accueillir, la porte est ouverte, une vitre est cassée, et là ils découvrent le drame : E.B devant le corps sans vie de Monique Burkler. Elle porte sur le corps de multiples contusions, et en particulier un coup semble-t-il violent à la tête. L'homme, totalement muet, refuse de répondre aux questions, mais ne fait aucune obstruction à l'enquête de gendarmerie. Il est évident qu'il n'est pas dans son état normal et l'enquête de personnalité va révéler un personnage réellement perturbé mentalement. Il est d'ailleurs dans un tel état qu'une décision de placement d'office en milieu psychiatrique a été décidée dès hier soir, par le maire du Carla, après avis d'un médecin du SAMU 09 du CHIVA. En fin de soirée il allait être conduit à Saint-Girons. Même si l'on doit aujourd'hui être prudent quant aux responsabilités dans ce meurtre, il est fort probable qu'E.B en soit l'auteur, et qu'il ait agi sous l'emprise de la folie.
L'enquête de gendarmerie, placée sous la conduite du juge fuxéen, est menée par la brigade de recherche de Pamiers, les brigades du Fossat, de Lezat, et aussi le PSIG. On ne connaît rien des circonstances de ce drame sinon sa terrible conclusion. À peine peut-on supposer qu'il s'est produit hier soit dans la matinée, soit en début d'après-midi.
Hier soir, le corps de la victime a été emporté et transporté pour autopsie à l'institut médico-légal de Toulouse.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/31/1366138-une-femme-de-72-ans-tuee-a-son-domicile.html

Chute mortelle à Tarbes : "Notre fille n'était pas SDF"

chute mortelle du haut de la statue de Danton

Les parents et l'oncle de Gwenola Le Floch, qui s'est tuée en chutant du haut de la statue de Danton, sont venus dire qu'elle n'était pas marginale, que ce soir-là, elle faisait la fête avec des copains et avait voulu relever un challenge.
Dans la nuit du 23 au 24 mai, à 0 h 45, une jeune femme âgée de 26 ans, qui avait entrepris d'escalader la statue de Danton, trônant face à la mairie de Tarbes, a fait une chute fatale. Grièvement blessée, elle est décédée deux heures plus tard, au centre hospitalier.
Ces faits, relatés dans notre édition du vendredi 25 mai et relevant d'une actualité particulièrement dramatique, ont plongé toute une famille dans le deuil. Ghislaine et Jean-Pierre Le Floch, les parents de Gwenola, domiciliés à Pau, accompagnés de son oncle, Dominique Le Floch, sont venus témoigner. « Notre fille n'était pas SDF, s'indignent-ils. Elle s'occupait d'enfants dans différents organismes : centres aérés, accueil périscolaire dans une mairie. Il y avait des bulletins de salaire à l'appui. »

"Parler de SDF, c'est stigmatiser une population"

Les obsèques se sont déroulées mardi et les parents, éprouvés par ce tragique événement, n'ont pas supporté qu'on utilise le vocable précité. Car ils trouvent que le terme SDF est discriminatoire. « Elle allait s'engager dans une formation de moniteur éducateur », indiquent le père et la mère.
Depuis le décès de leur fille qui, tiennent-ils à préciser, « était indépendante et avait son appartement à Billières », le couple se plaint de recevoir de « nombreux coups de fil de personnes attirées par les ragots ». De plus, des gens appellent aussi de Nantes, la ville dont la famille est originaire.
Cette famille éplorée tient aussi à faire la lumière sur les circonstances : « Elle avait fait la fête avec des copains, ils avaient un peu bu. Le challenge était d'enlever le bouquet fané qui était dans la main de Danton ». Cependant, ils trouvent que l'expression « quelque peu avinée » n'était pas appropriée.
Tout en reconnaissant que leur fille « aimait le mouvement punk », les parents de Gwenola, soulignent qu'elle s'habillait comme tout le monde quand elle gardait les enfants. « Être vestimentairement différent, ce n'est pas être à la marge, martèlent-ils. Parler de SDF, c'est stigmatiser une population. »
De plus, Jean-Pierre Le Floch, guide de haute montagne en vallée d'Ossau, ajoute, pour corroborer ces propos, qu'il travaille avec des associations et des gens en difficulté. C'est pourquoi, estime-t-il, « la valeur humaine ne se juge pas à l'aspect extérieur ».

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/31/1366076-notre-fille-n-etait-pas-sdf.html

Victime de Molinges : le conducteur qui l’a écrasée avait les clés du camion

Les investigations menées par les gendarmes de Saint-Claude ont, hier, permis de déterminer, avec davantage de précisions, les circonstances du décès de Jean-Claude Gamonet. Le camion de dépannage automobile qui a écrasé le sexagénaire, lundi soir, dans une petite rue de Molinges faisait, en réalité l’objet d’un litige de propriété. L’individu qui s’en est emparé peu avant 20 h 30, alors même que la victime l’a surpris, a affirmé vouloir récupérer son bien. Il en avait les clés, tout comme Jean-Claude Gamonet. Reste que c’est bien en cherchant à s’opposer au départ du camion que la victime s’est retrouvée sous les roues du véhicule. L’autopsie ayant confirmé que c’est ce qui a entraîné sa mort.
« D’après les éléments aujourd’hui en notre possession, la qualification pénale que nous pouvons retenir est celle de la violence volontaire avec arme (en l’occurrence un camion) ayant entraîné la mort, sans intention de la donner », indique Virginie Deneux, procureur de la République auprès du parquet de Lons-le-Saunier. Des faits criminels qui sont passibles de la cour d’Assise.
Il est avéré que l’auteur et la victime se connaissaient. « Ils étaient en effet opposés dans cette affaire complexe de litige de propriété du véhicule, depuis longtemps », précise la procureur de Lons-le-Saunier.
Le conducteur (seul au moment des faits) était hier encore placé en garde à vue à la gendarmerie de Saint-Claude. Il devait être déféré au pôle de l’instruction de Besançon, aujourd’hui même. L’affaire, devenant criminelle, n’étant plus du ressort de Lons-le-Saunier.

http://www.leprogres.fr/jura/2012/05/31/victime-de-molinges-le-conducteur-qui-l-a-ecrasee-avait-les-cles-du-camion

Trois morts dans trois accidents, en trois heures

Terrible loi des séries sur les routes du Narbonnais dans la nuit de lundi à mardi ? Toujours est-il qu' en trois heures, trois dramatiques accidents ont fait trois victimes. Un premier accident qui s'est déroulé sur le CD 6009, vers 21 heures, commune de Sigean, qui a fait une victime, un Tarnais, lire en bas de page). Un second sur le CD 6113, il était alors un peu plus de 22 heures sur commune de Villedaigne qui fait une autre victime, un motard de 36 ans et un troisième accident, une perte de contrôle, sur la route de Mandirac aux environs de minuit. Jamais, sans doute les routes du Narbonnais n'ont connu une telle tragédie routière en l'espace de trois heures. La circulation était particulièrement intense lundi, en fin d'après-midi et en soirée, sur les routes du littoral en raison de la fin du week-end de Pentecôte. Des milliers d'automobilistes quittaient le littoral audois pour rentrer chez eux, Haute-Garonne, Tarn... provoquant sur l'ancienne nationale 113 et sur l'autoroute A 61 des bouchons et des ralentissements.
À Villedaigne, c'est un motard de 37 ans demeurant Conilhac des Corbières qui a perdu la vie.

Il marque le stop et redémarre

Un automobiliste de 74 ans, demeurant également Conilhac Les Corbières, arrivant de Canet d'Aude s'arrête au stop de l'ex-nationale 113.
Puis redémarre au moment où le motard.
Le choc est inévitable et d'une extrême violence et le motard est tué sur le coup.
Les pompiers, une fois encore ne pourront que constater le décès du conducteur du deux roues.
L'expert en accidentologie a été mandaté pour recueillir les premiers éléments pour son enquête.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/30/1365373-trois-morts-dans-trois-accidents-en-trois-heures.html

mercredi 30 mai 2012

Paris : un homme poussé dans la Seine se noie

Un homme, âgé d’une quarantaine d’années, est décédé après avoir été poussé dans la Seine à , dimanche vers 8 heures. L'agression s'est produite à hauteur du quai de Seine, au niveau du bassin de la Villette, dans le XIXe arrondissement.

Quelques instants plus tôt, une bagarre avait éclaté entre trois hommes, dont la victime.
Un des protagonistes avait pris le dessus sur les deux autres avant de les pousser dans les eaux du fleuve. Un des deux hommes avait pu remonter sur les berges. Le second s’est noyé.

L’auteur des faits, d’origine tchèque, a été interpellé en état d’ivresse, puis placé en garde à vue dans les locaux du 3ème district de police judiciaire (DPJ)

http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-un-homme-pousse-dans-la-seine-se-noie-30-05-2012-2024424.php

Un enfant retrouvé mort dans la Seine

Le corps d'un petit enfant a été repêché mercredi dans la Seine à hauteur du pont du Garigliano (Paris XVe) et il s'agit "probablement" du garçonnet qui avait disparu vendredi dernier de la péniche de ses parents, a-t-on appris de source proche de l'enquête.
La source a expliqué qu'il s'agissait "probablement" de l'enfant de trois ans qui avait échappé à la vigilance de ses parents, des bateliers, dont la péniche était amarrée à quai entre les ponts National et Tolbiac (XIIIe). Le garçonnet a probablement chuté accidentellement dans la Seine, mais ses parents ne l'avaient pas vu tomber à l'eau, selon une source proche de l'enquête vendredi dernier.

Un pêcheur emporté par le courant de la Moselle

Un homme de 35 ans, originaire de Thaon-les-Vosges, a été admis hier au service des soins intensifs du centre hospitalier Emile-Dürkheim d’Epinal après être tombé dans la Moselle.
Amateur de pêche, Bernard Rambaux a passé sa matinée sur les bords de la rivière à Nomexy, juste en amont de la sablière de la Héronnière. C’est au moment de repartir, en voulant remonter le talus, peu avant midi, que l’homme a trébuché sur un caillou. Le pêcheur a alors basculé en arrière et s’est retrouvé assis au milieu de l’eau. Malheureusement, le fort courant à cet endroit l’a emporté. Selon le témoignage d’un ouvrier de la sablière nomexéenne, c’est le père du pêcheur, présent au moment du drame, qui est venu prévenir le personnel de l’entreprise afin d’alerter les pompiers. En attendant l’arrivée des secours, des employés se sont chargés d’extirper le trentenaire de l’eau, environ 150 mètres en aval du lieu où il avait trébuché.
Sur place, les pompiers ont procédé à une réanimation de près de 20 minutes sur le pêcheur. Ce dernier a alors retrouvé une activité cardiaque instable.
L’homme a ensuite été transporté à Epinal. Le pronostic vital était à ce moment-là engagé.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/05/30/un-pecheur-emporte-par-le-courant-de-la-moselle

Douarnenez. Le corps d’un marin découvert en face de l’île Tristan

Vers 9 h ce mercredi matin, un promeneur a fait une macabre découverte. Le corps d’un homme a été repéré, dans l’eau, en face de l’île Tristan à Douarnenez (Finistère).
Aussitôt, le promeneur a alerté les pompiers après avoir repéré un corps flottant dans l’eau. Ce dernier a été transporté à la cale du guet, en face de l’île Tristan.
Un marin travaillant pour Intermarché
Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agirait d’un marin d’une cinquantaine d’années, originaire de Saint-Malo et travaillant sur l’Arya, un bateau de pêche appartenant à la flotte des magasins Intermarché.
Le patron du bateau aurait alerté la gendarmerie ce mercredi matin pour signaler la disparition de l’un de ses marins. Le corps a été transféré à Quimper où il sera autopsié dans l’après-midi.
Pour l’heure on ne connaît pas l’origine de la mort. A-t-il fait une mauvaise chute ? Pour la gendarmerie, toutes les hypothèses sont privilégiées

Accident de Joué-lès-Tours : un an après le drame

N ous souhaitons un moment de recueillement solennel en mémoire de Mélanie et de ses camarades encore blessés physiquement ou psychologiquement : dans un communiqué, les parents d'élèves de l'école Mignonne annoncent l'organisation, cet après-midi, d'une marche blanche, un an après le dramatique accident du 30 mai 2011.
L'émotion est encore très présente lorsqu'on évoque les événements terribles de ce jour-là. Rappelons qu'une classe de CM1/CM2 de l'école Mignonne de Joué-lès-Tours revenait d'une sortie au terrain de rugby tout proche lorsque, vers 15 h, le groupe a été fauché par une camionnette blanche. Le véhicule venait du rond-point de la Gitonnière. Il s'agissait en fait d'un fourgon conduit par un gendarme.La petite Mélanie, 10 ans, trouvait la mort dans ce terrible accident. Onze autres enfants ont été blessés dont certains grièvement.
Dès le lendemain du drame, deux ministres,
Claude Guéant et Luc Chatel, s'étaient rendus sur place et au chevet des enfants hospitalisés à l'hôpital Clocheville.
Dans le même temps, l'enquête sur les circonstances du drame a débuté. Un an après les événements, l'information judiciaire est toujours en cours. Quelques éléments ont été rendus publics concernant certains aspects du dossier.
Une expertise technique – diligentée dans le cadre de l'instruction – a révélé l'existence, sur l'un des pneus du fourgon blanc,
d'une crevaison lente. Ce rapport, qui faisait aussi état d'une fuite de gasoil (le bouchon du réservoir était mal fermé), n'a pas satisfait les familles des victimes qui ont réclamé et obtenu une contrexpertise technique dont les résultats devraient bientôt être connus.
Autre élément de l'enquête : si aucune trace d'alcool n'a été trouvée dans les analyses réalisées sur le gendarme, il s'est avéré qu'il était, au moment de l'accident, sous l'influence d'un mélange de médicaments (antihistaminique et anxiolytique).
Pour établir avec certitude la manière et la vitesse avec laquelle le fourgon avait abordé le rond-point de la Gitonnière, la juge d'instruction a également lancé, il y a quelques mois, un appel à témoins. Les conclusions de l'enquête devraient bientôt être connues.
En attendant, l'heure est au recueillement en mémoire de Mélanie et de ses camarades. La marche partira cet après-midi, à 15 h, de l'école Mignonne.


http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/Actualite

Libourne : après l'incendie meurtrier, toute une ville est en deuil

La petite Saïda a succombé à ses blessures. Elle a rendu son dernier soupir dans la soirée de lundi à l'hôpital des enfants à Bordeaux où elle avait été transportée dimanche après-midi dans un état désespéré, après l'incendie de l'appartement familial de Libourne dans lequel ses deux petits frères, Aaron, 5 mois, et Aurélien, bientôt 4 ans, avaient trouvé la mort, intoxiqués par la fumée (lire nos éditions des 28 et 29 mai).
Les sauveteurs, les pompiers libournais qui avaient bravé les flammes pour sortir les corps du brasier, n'avaient pu les ranimer.

« Détecteur de fumée »
L'enquête des gendarmes destinée à établir les circonstances dans lesquelles le feu s'est propagé dans ce petit appartement situé au second étage de la résidence Garderose, se poursuit. L'hypothèse d'un incendie accidentel est désormais quasi certaine (lire ci-contre).
La mère des enfants, Zaya Nognaga, 27 ans, qui a donné l'alerte, avait pu quitter l'immeuble avec l'aide du voisin du dessus, mais pour les enfants, dans l'appartement en proie aux flammes, il était déjà, sans doute, trop tard. Seule certitude, confirmée par le parquet de Libourne : la responsabilité du bailleur Domofrance est à écarter. Hier, son directeur général Philippe Déjean, confronté pour la première fois à un tel drame, expliquait : « Tous les ans, tous les logements font l'objet d'une vérification technique concernant les différents branchements électriques, les portes, les fenêtres… Nous allons étudier les moyens de les équiper d'un détecteur de fumée. »
La société qui a pu reloger le voisin du dessus dans un appartement situé dans la même résidence, prendra le relais de la mairie, concernant le relogement des quatre autres familles toujours privées d'électricité.
« La douleur des Libournais »
Par ailleurs, hier, le maire Philippe Buisson, témoignait de « la douleur des Libournais, d'une ville en deuil, traumatisée par la mort de ces trois jeunes enfants ». Tous les drapeaux de la ville ont été mis en berne. Une cellule psychologique à l'école Garderose a permis aux camarades de classe des petites victimes et aux enseignants d'exprimer leurs ressentis. Ce soir, le match international de football des U 16 entre la France et l'Allemagne au stade Moueix sera dédié à la mémoire des victimes.
Le corps des enfants autopsiés devrait être remis aujourd'hui aux parents. Les obsèques pourront alors être célébrées dans les jours qui viennent. Et peut-être en présence des grands-parents qui se trouvent en Centrafrique et que la mairie cherche à rapatrier. Les enfants seront alors inhumés au cimetière de Quinault. Dans le Carré dédié aux enfants.

http://www.sudouest.fr/2012/05/30/toute-une-ville-en-deuil-728584-2966.php

Un adolescent fait une chute mortelle

Un garçon de 13 ans est mort mardi après avoir fait lundi une chute de six mètres dans une usine désaffectée, à Elbeuf, près de Rouen, où il jouait avec une bande de camarades, a indiqué mercredi une source proche de l'enquête.

Selon les premiers éléments de l'enquête de police, l'adolescent est tombé d'un mur, a traversé un toit en fibrociment avant de s'écraser sur une dalle de béton. Il a été transporté dans un état critique au CHU de Rouen où il est décédé mardi.

Selon le voisinage, cette usine de chaudronnerie, fermée depuis plusieurs années, est devenue un terrain de jeu pour les jeunes et un refuge pour les squatters. Pour pénétrer à l'intérieur, il suffirait de passer par des trous dans la clôture puis de franchir une porte défoncée.

Une Salhersienne se tue sur la route

Il y avait des années que l'on n'avait connu sensable tragédie à cet endroit-là autrefois connu pour être accidentogène.Il était 16h 40, hier, quand une violente collision frontale s'est produite, sur l'ancienne RN 113, quelques centaines de mètres après le restaurant Le moulin Vert. Une collision inexpliquée entre un véhicule conduit par deux jeunes gens originaires du Tarn et une dame âgée de 81 ans, Mme Cabrol, demeurant Salles-surl'Hers. Sous la violence du choc la voiture de cette dernière a terminé sa course dans le fossé. Il semblerait, selon les premiers témoignages, que la malheureuse soit décédée sur le coup. Les jeunes gens s'en sortent avec des blessures légères.Les policiers et les sapeurs-pompiers chauriens étaient sur les lieux.C'est le premier accideent mortel sur la commune depuis au moins un et demi.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/30/1365043-une-salhersienne-se-tue-sur-la-route.html

Le mari de la 1ère adjointe tué dans un accident à Sigean

C'est la consternation à Aiguefonde. Lors d'une terrible collision lundi soir à Sigean dans l'Aude, Robert Blanc a trouvé la mort et son épouse Marie-Françoise, 1re adjointe au maire, est blessée.
« Quelle catastrophe ! », se désole une habitante de Port-la-Nouvelle. « C'est terrible », s'émeut en écho Vincent Garel, maire d'Aiguefonde. Un drame de la route a coûté la vie lundi soir à Robert Blanc, l'époux de Marie-Françoise Blanc, 1re adjointe au maire de la commune sud-tarnaise. Le couple tarnais revenait d'un week-end prolongé dans les Pyrénées-Orientales, lorsque l'accident est survenu, sur la départementale 6009, qui relie Sigean à Port-la-Nouvelle, à 50 mètres à droite du rond-point situé après la sortie de l'autoroute. Au volant d'un Renault Trafic immatriculé dans l'Aude se dirigeant vers Port-la-Nouvelle, un conducteur a perdu le contrôle. Le fourgon audois a mordu le bas-côté et en se déportant a percuté de plein fouet la Citroën C4 de M. et Mme Blanc arrivant en face. Les sapeurs-pompiers de Sigean et la gendarmerie ont été appelés à 21 h 04. Les 19 pompiers mobilisés ont mis plus de trois heures, jusqu'à 0 h 30, pour désincarcérer les victimes de l'épave broyée sous le choc extrêmement violent. Hélas, ils n'ont pu que constater le décès sur le coup de Robert Blanc, conducteur de la C4. Il avait 59 ans. Son épouse âgée de 54 ans, gravement blessée, a été dirigée en ambulance vers le centre hospitalier de Narbonne, ainsi que le chauffeur du fourgon. Marie-Françoise Blanc, dont les jours ne sont pas en danger, a été transférée hier à l'hôpital Purpan de Toulouse, pour de la microchirurgie faciale notamment.

Un expert requis

Après les constatations d'usage, la gendarmerie a réglé l'importante circulation due au retour de ce week-end de Pentecôte.
Roger Combes, maire de la commune audoise, s'est aussi déplacé sur les lieux. Un expert d'accidentologie a été requis dans le cadre de l'enquête ouverte par la gendarmerie pour déterminer les causes exactes de cette collision mortelle.
Vincent Garel, le maire d'Aiguefonde, et son adjoint Jean-Luc Romero, se sont rendus auprès de la famille éplorée, pour lui témoigner leur soutien « après ce coup dur. Le conseil municipal est comme une grande famille. La douleur est encore plus prégnante, quand la 1re adjointe est concernée. Nous allons essayer de les aider, elle et ses trois grands enfants, Jérémy, Claire et Pierre, avec les moyens que nous avons, c'est-à-dire l'amitié. »

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/30/1365419-le-mari-de-la-1ere-adjointe-tue-dans-un-accident-a-sigean.html

Landes : un mort et quatre blessés dans un suraccident

Tout a commencé par un accident matériel on ne peut plus classique. Vers 0 h 15, dans la nuit de lundi à mardi, un poids lourd qui circulait sur la RN 10 dans le sens Espagne-France heurte une glissière en béton armé située sur un tronçon en travaux de la 2 x 2 voies, à hauteur d'Escource, dans le nord des Landes. Le semi-remorque est contraint de s'immobiliser sur la voie de droite. Le trafic est ralenti mais tout se passe sans encombre jusqu'à 1 heure du matin environ.
Les choses se compliquent gravement lorsque la cabine d'un camion portugais vient s'encastrer dans la remorque d'un autre poids lourd arrêté 800 mètres environ en amont de l'accident matériel, sur le tronçon Laharie Cap de Pin. Non seulement le choc est violent mais les véhicules s'embrasent. Cette fois la circulation est entièrement coupée. Le bouchon s'allonge. Trois heures et demie plus tard, le même scénario se répète en queue de bouchon du côté d'Onesse-et-Laharie, soit 15 kilomètres avant le premier accident.

Le bilan est très lourd. Une personne d'origine brésilienne est décédée dans la collision d'Escource et quatre autres ont été blessées. L'une d'entre elles a été très grièvement touchée aux membres inférieurs lors du choc d'Onesse-et-Laharie. Désincarcérée par les pompiers de Castets, Lesperon, Rion-des-Landes et Dax, puis prise en charge par les médecins urgentistes du Samu 40, ce ressortissant espagnol devra être amputé quelques minutes plus tard.
Pouvait-on l'éviter ?
Face à ce nouveau drame de la route, une question s'invite inévitablement. Était-il ou non possible d'éviter une telle issue ? La réponse est évidemment non. Mais en ce lendemain de week-end prolongé de Pentecôte il était en revanche possible de le redouter. « Il s'agit de périodes propices aux accidents durant lesquelles le moindre écart ne pardonne pas », témoignait ainsi hier le commandant de l'Escadron départemental de sécurité routière des Landes, Renaud Benne.
Sauf dérogations spécifiques, la loi impose en effet aux véhicules de transport de marchandises une interdiction générale de circuler sur l'ensemble du réseau routier du samedi 22 heures, au dimanche, même heure. Par expérience, les autorités savent parfaitement que la conséquence directe de la réouverture des grands axes est l'apport d'un lot très important de véhicules de fret, notamment sur l'A 63 et la RN 10 qui accueillent en moyenne 20 000 véhicules chaque jour, dont 10 000 camions.

Les autorités savent aussi très bien que cette « densité » exceptionnelle va de pair avec la constatation de nombreux comportements délictuels, au premier rang desquels l'augmentation des vitesses qui doit permettre de rattraper d'éventuels retards. La surveillance est renforcée mais les risques d'accidents, et plus encore de suraccidents, sont plus que jamais présents.

« La situation était d'autant plus propice à de tels incidents qu'il s'agissait d'une fin de Pentecôte qui est un week-end de fête particulièrement suivi du côté de l'Espagne et du Portugal », insistait le capitaine Renaud Benne. Les travaux actuellement en cours sur la RN 10 ne faisaient qu'ajouter au risque déjà existant…
35 gendarmes mobilisés
Outre quelques accidents matériels sans conséquence déplorés sur le tracé des différentes déviations mises en place dès le matin, la mobilisation immédiate de 35 gendarmes a permis d'éviter que le bilan vienne s'alourdir au cours de la journée. Un élément positif qui n'a pas pleinement convaincu le député et président du Conseil général des Landes davantage marqué par les fortes perturbations du trafic (lire par ailleurs).
« J'écris une lettre au préfet dans laquelle je m'étonne des itinéraires de déviation après ces deux accidents. Il faut être vigilant, que se passerait-il si ce type d'accidents se produit au mois d'août ? J'attire son attention sur ce fait, même si les travaux sur l'A 63 seront interrompus. J'ai l'impression que les itinéraires de délestage choisis ne sont pas à la hauteur des enjeux », estimait Henri Emmanuelli, hier après-midi.
Bonne réaction ou pas, ce nouvel accident mortel de la circulation porte à 11 le nombre de personnes décédées sur les routes landaises depuis le début de l'année 2012.

http://www.sudouest.fr/2012/05/30/landes-un-mort-et-quatre-blesses-dans-un-suraccident-729210-3.php

Ain : un jeune homme décède d'une méningite de type C

L'agence régionale de santé (ARS) de Rhône-Alpes vient de confirmer le décès d'un jeune homme suite à une infection à méningocoque de groupe C. Il s'agit d'un homme de 26 ans, qui est décédé le 26 mai des suites de cette infestion invasive.
Selon l'ARS, "les personnes ayant été en contact rapproché avec ce cas ont été identifiées et un traitement antibiotique
préventif ainsi qu’une vaccination leur ont été prescrits".

Le jeune homme résidait à Garnerans, dans le département de l'Ain.

http://www.leprogres.fr/ain/2012/05/29/un-jeune-homme-decede-d-une

Incendie de Libourne. Un troisième enfant succombe à ses blessures

Une fillette de 5 ans, hospitalisée depuis dimanche dans un "état très grave", est décédée ce lundi, portant à trois le nombre de morts dus à l'incendie d'un appartement à Libourne, ont annoncé des sources concordantes.
"La petite fille est décédée hier (lundi soir) à 20h20", a indiqué le maire de Libourne, Philippe Buisson. "Elle était maintenue en vie de manière artificielle, le diagnostic était plus que pessimiste", a-t-il ajouté. La gendarmerie de Libourne a confirmé le décès de la fillette hospitalisée depuis dimanche au CHU de Bordeaux. La petite fille avait été intoxiquée après avoir respiré des fumées.
L'origine de l'incendie, qui s'était déclaré dimanche vers 16 heures dans un appartement situé au premier étage d'un immeuble de la résidence Garderose, n'est toujours pas connue. Les deux jeunes frères de la victime étaient morts dans l'incendie qui s'était déclaré alors que les trois enfants étaient dans l'appartement avec leur mère. Le plus jeune, âgé d'à peine 6 mois, serait mort carbonisé, l'autre, qui aurait eu 4 ans en juin, aurait succombé après avoir inhalé des fumées, selon la gendarmerie.
Leur mère, âgée de 27 ans, a pu s'échapper du sinistre mais aurait également respiré des fumées. Elle a été brièvement admise à l'hôpital de Libourne en état de choc. Selon les premiers éléments de l'enquête de gendarmerie fournis par le maire, "la piste accidentelle est privilégiée", même "s'il y a une certitude : ce n'est pas un problème électrique et le bailleur social ne semble pas devoir être mis en cause".
Une cellule psychologique devrait être mise en place mardi matin au sein de l'école où étaient scolarisés les enfants, a précisé Philippe Buisson, qui a indiqué que les drapeaux de la ville étaient en berne.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/29/1364598-incendie-de-libourne-un-troisieme-enfant-succombe-a-ses-blessures.html

mardi 29 mai 2012

Val-de-Marne : un ouvrier meurt écrasé par des échafaudages

Un ouvrier de 62 ans est mort mardi midi, écrasé par des structures d'échafaudages qui se sont déversées d'un camion sur un chantier à Limeil-Brévannes (Val-de-Marne), rapporte une source policière. Ce camion appartenant à la société Berto Nord, responsable du démontage des échafaudages de ce chantier, avait été chargé lorsque la chaîne qui contenait

les tubes métalliques et les planches de bois a cédé. Un employé d'une autre entreprise opérant sur ce chantier, MCAP, passait alors à côté. "Il a été recouvert par les tubes", a expliqué la source policière. Le conducteur du camion a tenté de le dégager et de lui prodiguer les premiers soins mais le Samu et les pompiers ont constaté le décès de la victime par arrêt cardiaque vers 13H00, a-t-on précisé.

Suicide d’un postier à son domicile en Ille-et-Vilaine

Le syndicat SUD PTT a annoncé mardi le suicide à son domicile d’un postier de Noyal-sur-Vilaine (Ille-et-Vilaine), en évoquant des difficultés au travail ainsi que des problèmes personnels.
Le postier, âgé d’une quarantaine d’années et qui travaillait depuis six ans au centre du courrier de Noyal-sur-Vilaine, près de Rennes, « s’est suicidé par pendaison à son domicile » ce week-end, a indiqué SUD PTT dans un communiqué.
« Si ce collègue pouvait avoir des difficultés personnelles et familiales, nous savons aussi qu’il avait des difficultés dans sa vie au travail », poursuit le syndicat, en mentionnant des « refus de lui accorder les congés auxquels il avait droit » et une demande de changement de service « qui s’éternisait sans raison apparente ».
« Il a eu des soucis à Noyal sur ses prises de congés, il en avait marre », a indiqué Serge Bourgin, secrétaire départemental SUD PTT, en précisant toutefois que le postier se trouvait « a priori dans une situation familiale pas très bonne ».
La direction du courrier Haute-Bretagne a de son côté affirmé que le suicide de cet homme de 43 ans avait des « raisons d’ordre privé » et qu’il n’avait « aucun lien avec le domaine professionnel ».
Un jeune cadre de La Poste de 28 ans, Jérémy Buan, s’était défenestré le 29 février en sautant du dernier étage de La Poste République à Rennes.
A ce sujet, SUD PTT a par ailleurs regretté que « ce n’ait que très tardivement (le 20 mai dernier) que l’enquête du CHSCT sur le suicide de Jérémy Buan a commencé, retardée par l’obstruction systématique du directeur de la direction opérationnelle territoriale courrier ».
Le « Grand dialogue social », annoncé le 19 mars par le PDG du groupe Jean-Paul Bailly après le suicide de deux cadres, « sera une réalité » à partir du moment où la direction « respecte la législation du travail en matière de RTT, congés annuels […], les instances représentatives du personnel, […], la réglementation en matière de régimes de travail », ainsi que l’arrêt des « réorganisations incessantes », écrit également le syndicat.

http://www.bienpublic.com/faits-divers/2012/05/29/suicide-d-un-postier-a-son-domicile-en-ille-et-vilaine

Un Haut-Saônois mort au volant du fourgon

Le Haut-Saônois de 54 ans n’a pu être réanimé. De quoi le conducteur est-il décédé ? Une crise cardiaque est-elle à l’origine de l’accident ? Pour l’heure, ni les pompiers ni le médecin du Samu n’expliquent les causes de la sortie de route, et du décès du quinquagénaire de ce village de Haute-Saône.
Hier, en milieu de journée, Jean-Pierre Cunin circulait alors à Lomont, au lieu-dit Lomontot. Il était seul à bord de son véhicule. L’utilitaire a vraisemblablement mordu l’accotement de la chaussée, avant de finir sur le flanc à une centaine de mètres de là. Un voisin a peu après donné l’alerte. En vain.
Selon les premiers éléments de l’enquête de gendarmerie, le Haut-Saônois présentait des problèmes cardiaques.
Comme dans tout accident mortel, des dépistages d’alcoolémie et de stupéfiants ont été effectués. Les analyses sanguines sont en cours.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/05/29/mort-au-volant-du-fourgon

Un enfant de 8 ans se noie dans une piscine

Un enfant de 8 ans est décédé lundi en fin d'après-midi après s'être noyé dans une piscine gonflable à Miramas, à 60 km au nord-ouest de Marseille, a-t-on appris mardi auprès des pompiers des Bouches-du-Rhône, confirmant une information du site du journal La Provence.
Les secours ont été alertés à 17h31 et ont découvert l'enfant en arrêt cardio-respiratoire, a indiqué à l'AFP un porte-parole du Codis 13. "Les pompiers de Miramas et les moyens du Samu 13 n'ont pu ramener l'enfant à la vie malgré les soins prodigués", a précisé la même source. Selon les premiers éléments de l'enquête, "l'enfant jouait depuis deux heures dans l'eau lorqu'il a été retrouvé, par ses proches, au fond de la piscine", a indiqué le vice-procureur d'Aix-en-Provence, Denis Vanbremeersch.
L'enquête pour rechercher les causes de la mort s'oriente vers "un malaise du jeune garçon", a ajouté le magistrat, précisant qu'une autopsie, dont les résultats pourraient être connus "aujourd'hui ou demain", avait été demandée.

Une dame de 75 ans périt dans l'incendie de sa maison boulevard Victor-Hugo

D'importants moyens ont été déployés hier soir boulevard Victor-Hugo pour circonscrire le violent incendie qui s'est déclaré au numéro 50 de la rue.

Le sinistre a fait une victime. Une dame âgée de 75 ans, Lucienne Decocq, qui a péri dans l'incendie de sa maison. Les voisins ont donné l'alerte aux alentours de 18 h. La maison était en proie aux flammes. Une épaisse fumée se dégageait de la demeure où la victime de l'incendie vivait seule.
Des témoins ont rapidement tenté de porter secours à l'habitante, qui, expliquent des voisins, avait du mal à se déplacer. C'était sans compter l'ampleur des flammes à peine pousser la porte d'entrée : le séjour était déjà largement incendié. Les sapeurs-pompiers de Calais et Marck, la police de Calais ainsi qu'une ambulance d'Ardres ont été dépêchés sur les lieux. Les secouristes ont déployé la grande échelle pour venir à bout des flammes qui léchaient la toiture. Il aura fallu plus de deux heures aux pompiers pour éteindre l'incendie. L'intérieur de la maison a été ravagé par le feu qui, néanmoins, a été maîtrisé avant que les habitations mitoyennes ne se soient touchées. L'incendie se serait déclaré dans la pièce principale du rez-de-chaussée de la maison avant d'embraser l'ensemble de la demeure. Le boulevard Victor-Hugo a été coupé à la circulation pendant plusieurs heures hier soir. La fumée était visible de loin, l'intervention a attiré de nombreux curieux qui ont assisté à ce dramatique feu de maison.

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Calais/actualite/Secteur_Calais/2012/05/29/article_une-dame-de-75-ans-perit-dans-l-incendie.shtml

Mortellement percuté alors qu’il tentait d’arrêter les voleurs de son véhicule

Lundi, peu avant 20h30, un homme d'une soixantaine d'années est décédé des suites de ses blessures après avoir été renversé par un véhicule à Molinges.
Les faits se sont déroulés rue des Ecoles.
Des malfrats venaient de dérober l'utilitaire de la victime lorsque celle-ci a, semble-t-il, essayé de s'interposer. C'est à ce moment que le sexagénaire aurait été heurté. A l'arrivée des secours, il était en arrêt cardio-ventilatoire. Les sapeurs-pompiers et le Smur de Saint-Claude ont tenté de le réanimer, en vain.

http://www.leprogres.fr/jura/2012/05/29/mortellement-percute-alors-qu-il-tentait-d-arreter-les-voleurs-de-son-vehicule

Lyon : le corps d’un homme retiré du Rhône

Le corps d’un homme a été retiré des eaux du Rhône, lundi matin. Des pêcheurs ont repéré le cadavre à hauteur du pont Poincaré, qui relie Villeurbanne à Caluire-et-Cuire, et ont donné l’alerte. Les sapeurs-pompiers plongeurs du Rhône ont localisé le corps après de longues recherches. L’enquête a été confiée au commissariat du 3 e/6 e qui tentait d’identifier la victime et effectuait des rapprochements avec la disparition d’un homme signalée il y a moins d’une semaine.

http://www.leprogres.fr/rhone/2012/05/29/le-corps-d-un-homme-retire-du-rhone

Un retraité tué par 1 500 piqûres d'abeilles

C'est un accident rarissime qui s'est produit mardi dernier en fin d'après-midi à Saint-Marcel Paulel, près de Verfeil. Pour une raison encore inexpliquée, un éleveur retraité de 82 ans a subi les assauts d'un grand nombre d'abeilles. L'homme a été retrouvé par son épouse alors qu'il était étendu sous un arbre et recouvert de piqûres. Pris en charge par les pompiers et immédiatement hospitalisé, le vieil homme n'a pas survécu. Après deux jours de lutte, il est décédé jeudi soir d'un arrêt cardiaque.
Pas moins de 1 500 piqûres auraient été relevées sur le corps de l'apiculteur amateur. Lorsqu'il a été secouru par le Samu avant d'être évacué par hélicoptère vers l'hôpital Purpan, le retraité était encore conscient mais ne parvenait pas à s'exprimer, le visage déformé par le nombre impressionnant de piqures.
Si les abeilles sont des insectes pacifiques, leur réaction lorsqu'elles se sentent menacées peut se révéler très agressive. Elles piquent pour défendre leur colonie et la survie de leur espèce. Contrairement à la reine, l'ouvrière meurt après avoir enfoncé le dard dans la chair de son ennemi : elle ne peut le dégager et déchire alors son abdomen. Acte sacrificiel puisque l'insecte meurt pour défendre son territoire. Néanmoins, aucun des apiculteurs contactés ne s'explique une telle attaque et le nombre excessivement élevé de piqûres constaté sur le visage du malheureux. Le seul fait de s'éloigner suffit à stopper leur agressivité. Par prudence et afin de tranquilliser le voisinage, le fils de la victime souhaite maintenant faire retirer la ruche de son terrain, même si rien ne permet de dire qu'elle est véritablement à l'origine de l'accident.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/29/1364542-verfeil-un-retraite-tue-par-1-500-piqures-d-abeilles.html

Drame sur l’A6 : un mort et cinq blessés dans un carambolage

Le bilan d’un mort et de trois blessés graves est lourd, mais cela aurait pu être un véritable carnage. C’est le constat d’une des personnes chargées des secours, hier après-midi, en découvrant les circonstances de l’accident.
Pour tous, c’est en effet un miracle si ce bilan n’est pas plus lourd, compte tenu de la circulation, dense, hier, sur l’autoroute A6, et du scénario catastrophe qui s’est joué avec un poids lourd. L’engin a traversé les glissières séparant les deux sens de circulation pour aller heurter une voiture, en sens opposé, alors que d’autres n’ont pu éviter le choc avec le châssis du camion ou la caisse qui s’est désolidarisée.

Cinq voitures impliquées dans l’accident

C’est peu avant 16 heures que le chauffeur du semi-remorque immatriculé dans la Drôme et transportant des fruits a perdu le contrôle du camion, suite à un éclatement d’un pneu à l’avant. L’ensemble est alors subitement parti sur la gauche de l’autoroute, ne laissant aucune chance au pilote d’une moto, qui se trouvait sur les voies de droite en train de dépasser. L’homme, âgé de 53 ans, domicilié à Paris, est mort sur le coup, coincé dans les glissières.
Mais le camion se serait élevé en même temps qu’il traversait les deux glissières, tout en se retrouvant dans le sens Paris/Lyon. Dans le même temps, il s’était retourné, le châssis et les roues en l’air, avec la caisse qui s’était décrochée pour s’éventrer quelques mètres plus loin.

L’autoroute n’a rouvert que dans la nuit

Plusieurs voitures qui arrivaient à cet instant n’ont pu éviter le choc, mais leurs occupants n’ont pas été sérieusement blessés, certains étant indemnes. Trois blessés graves sont à déplorer. Ce sont surtout les deux occupants de la voiture encastrée sous le camion qui sont gravement atteints, leurs deux enfants à l’arrière n’ayant pas été touchés.
La collision a finalement impliqué cinq voitures, en plus du poids lourd et de la moto. D’importants moyens ont été mobilisés sur les lieux avec les sapeurs-pompiers de Mâcon, Tournus et Feillens. L’enquête a été confiée aux gendarmes de Saône-et-Loire qui ont mobilisé un hélicoptère afin de mieux établir..... LIRE LA SUITE SUR CE LIEN ...........
http://www.leprogres.fr/france-monde/2012/05/29/drame-sur-l-a-6-un-mort-cinq-blesses-dans-un-gros-carambolage

Un jeune Rémois se noie dans la Marne

Hier, un jeune Rémois s'est noyé alors qu'il se baignait dans la Marne à Bisseuil. Son corps a été repêché en fin de soirée.

La journée qui avait débuté comme une fête pour une famille rémoise, s'est achevée tragiquement hier par la mort d'un jeune homme de 18 ans. Son corps a été repêché vers 21 h 30 dans les eaux de la Marne sur la commune de Bisseuil.
Pour échapper à la chaleur et profiter des rayons de soleil, une vingtaine de membres d'une même famille de Reims a décidé de mettre à profit ce week-end de la Pentecôte pour s'offrir une petite balade. Direction Bisseuil, une petite commune de 640 âmes située sur le canton d'Aÿ, près d'Epernay. Ils décident de s'installer au bord de la Marne, à proximité du pont. Faisant fi du panneau, pourtant bien visible signalant l'interdiction de se baigner, ils décident de se jeter à l'eau par un plongeon improvisé.


Du courant et des remous
Ce sont deux témoins qui alerteront les secours vers 19 heures. Ils ont aperçu le jeune homme qui éprouvait des difficultés à nager avant de couler à pic. Hier, le courant et les remous étaient particulièrement importants de ce côté de la Marne. Sur place, les moyens pour tenter de retrouver la victime se mettent en place. Les plongeurs d'Epernay sont dépêchés sur place, mais il y a pourtant peu de chance de retrouver le jeune homme vivant. Les membres de sa famille sont pris en charge par les sapeurs-pompiers d'Epernay. Rapidement, c'est un corps que les secours recherchent. C'est vers 21 h 30 que le corps du jeune Rémois a été vu flottant entre deux eaux avant d'être récupéré par les plongeurs. Si les circonstances de ce drame semblent ne poser aucune vraie difficulté pour les gendarmes de la brigade de Dizy. L'enquête, diligentée par le major Calais se poursuivra aujourd'hui par l'audition des membres de la famille et des témoins afin de comprendre comment le Rémois, qui savait visiblement nager a pu se noyer. L'examen du corps par un médecin légiste devrait également apporter quelques explications sur ce drame.
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-jeune-remois-se-noie-dans-la-marne-0

Bécon-les-Granits. Un plongeur de 60 ans se noie à la carrière

Pas une année sans de graves accidents de plongée. Ce dimanche, dans les anciennes carrières de Bécon-les-Granits, à une quinzaine de kilomètres d’Angers, les pompiers ont été appelés pour secourir un plongeur, qui n'était pas remonté.
Les pompiers-plongeurs d’Angers et Saumur ont retrouvé son corps à 50 mètres de profondeur. Immédiatement, ils ont alerté les plongeurs de la gendarmerie pour effectuer des relevés.
La victime, un homme de 60 ans, avait profité du long week-end pour effectuer un stage avec un groupe. Il ne serait pas domicilié dans le Maine-et-Loire.

lundi 28 mai 2012

Loiret: quatre morts dans un accident

Quatre personnes sont mortes et deux enfants ont été gravement blessés, cet après-midi, dans un accident de la route survenu sur une route départementale à Villamblain (Loiret), selon les pompiers. L'accident, survenu vers 15 heures sur la D955, entre Orléans et Châteaudun, a impliqué trois voitures, une Picasso C4, une Opel Astra et une Peugeot 307, ont indiqué les pompiers, sans plus de précisions sur les circonstances exactes du drame.

Parmi les quatre adultes qui ont trouvé la mort dans l'accident, "un couple est décédé sur le coup", selon la même source. Une fillette de 10 ans et un bébé de 18 mois, gravement blessés, ont été transportés à l'hôpital d'Orléans. Une jeune femme de 24 ans a été légèrement blessée dans l'accident.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/05/28/97001-20120528FILWWW00450-loiret-quatre-morts-dans-un-accident.php

Haute-Saône : un homme écrasé par son tracteur

Un accident a coûté la vie aujourd'hui à un homme de 58 ans. Cet habitant de Aillevillers, une commune située près de Fougerolles en Haute-Saône, était parti ce matin faire du bois au lieu-dit Le Grand Fahys.
Sa famille, inquiète de ne pas le voir rentrer, est partie à sa recherche dans l'après-midi. Ils ont alors fait une macabre découverte en retrouvant l'homme écrasé sous son tracteur.
Selon les premiers éléments de l'enquête, l'engin se trouvait sur un terrain pentu quand il aurait reculé et se serait alors renversé sur son conducteur. L'engin s'est alors retrouvé les quatre roues en l'air, ne laissant aucune chance à cet homme.


http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/05/27/haute-saone-un-homme-ecrase-par-son-tracteur

Terrible sortie de route meurtrière

A la frontière de l’Aisne et de la Somme sur la D 332, un effroyable accident a coûté la vie vendredi midi à un jeune homme du Ronssoy (Somme).

Anthony Carpentier âgé de 23 ans, militaire au 7e hussard de Metz, est décédé à quelques kilomètres d'Hargicourt, tout près de son village natal du Ronssoy. Il rentrait en permission chez ses parents adoptifs. Vers 12 h 45, au volant de sa Ford, il roulait vers le Ronssoy, depuis Bellicourt. Il venait de passer l'intersection qui mène à Bony ou Hargicourt, lorsqu'il s'est tué.
A cinq cents mètres du panneau marquant la limite de l'Aisne, en descendant une légère côte, il s'est déporté sur la gauche. Il a atterri dans un espace de verdure. Il a évité les deux premiers arbres. Mais a percuté de plein fouet un troisième.
Le choc a dû être d'une rare violence. Le véhicule a explosé en mille morceaux. Des pièces ont été retrouvées à des centaines de mètres de là. Lorsque les pompiers de Péronne, renforcés par la caserne d'Epehy (une douzaine d'hommes au total), sont arrivés au secours de l'accidenté avec les médecins du SMUR de Péronne, ils ont découvert le corps du garçon sans vie, coincé sous le tableau de bord.

La voiture s'enflamme
Ils ont dû procéder à une désincarcération, après avoir éteint les flammes. Le capitaine Zwaracki, commandant de la communauté de brigades de Péronne, et ses gendarmes n'ont pu que constater ce nouveau drame de la route. Une enquête est en cours. Selon les premiers éléments, on constate une absence de traces de freinage.
http://www.aisnenouvelle.fr/article/faits-divers-%E2%80%93-justice/terrible-sortie-de-route-meurtriere

Gard : une femme décède percutée par un train

Cette nuit aux alentours d'une heure du matin, au niveau d'un passage à niveau proche de Manduel, une voiture à été percutée par un train. Le conducteur a perdu la vie.
Un vaste dispositif a été déclenché pour tenter de porter secours à la malheureuse mais le Samu et les pompiers n'ont pu que constater le décès de cette personne. Dans le train, une centaine de passagers ont été pris en charge par un autocar pour assurer leur transfert.
Les gendarmes ont ouvert une enquête pour déterminer les causes de l'accident.


Meurtre dans une maison de retraite de Cannes

Principal suspect de ce drame, le mari, 89 ans, qui partageait la chambre, a été retrouvé prostré à côté du corps. Son état mental nécessite une expertise psychiatrique avant une garde à vue
Que s'est-il passé dans cette paisible maison de retraite qui borde l'avenue Michel-Jourdan à Cannes-La Bocca ? Dimanche, en milieu de matinée, une octogénaire a été retrouvée morte, le corps lacéré et lardé de coups de couteau, dans sa chambre de la résidence du Midi, établissement médicalisé pour personnes âgées dépendantes. Ce sont des aides soignantes qui auraient fait la macabre découverte.
À côté de la dépouille, le mari de cette femme âgée de 85 ans, qui partage l'espace avec elle, se tenait prostré. Rapidement alertés, les policiers de la sûreté urbaine de Cannes se sont rendus sur place pour procéder aux premières constatations et auditions. Sur les lieux du crime, ils auraient retrouvé un couteau et de nombreuses projections de sang.
Dans l'après-midi, le mari âgé de 89 ans, principal suspect, a été placé en garde à vue médicalisée. Son état psychologique très instable nécessite une expertise psychiatrique, a-t-on appris de source judiciaire. À ce stade de l'enquête, on ne sait s'il est l'auteur des coups mortels portés à son épouse et les enquêteurs de la brigade criminelle de Cannes, a qui ont été confiées les investigations, sont restés muets sur le déroulement de l'affaire.
Acte de folie ?
Du côté du parquet de Grasse, si on ne veut écarter aucune piste, la thèse du drame familial semble être privilégiée. « Il est encore très tôt pour se prononcer. À l'heure où je vous parle, le mis en cause doit faire l'objet d'une expertise psychiatrique pour déterminer si son jugement est altéré et s'il est apte à être entendu dans le cadre d'une garde à vue. Dans une affaire criminelle de cette importance, il est prématuré d'avancer à chaud des conclusions, mais l'acte de folie parait assez clair. Il est malheureux de faire ce constat », a déclaré, hier en fin de journée, Jean-Michel Cailliau, procureur de la République de Grasse. Ce drame aurait suscité un vif émoi auprès du personnel de la résidence cannoise.
Contactée au téléphone, hier, la direction parisienne du groupe Domus Vi, qui gère l'établissement, n'a pas souhaité commenter les faits. « La direction de la résidence du Midi et toute son équipe sont très affectées par ce décès. L'encadrement et la psychologue sur place se mobilisent pour soutenir le personnel et écouter les familles de résidents. Une réunion sera organisée dans la semaine, à l'attention des familles, pour les tenir informer de l'évolution de l'enquête », a communiqué, hier soir, le groupe Domus Vi.
Drame passionnel ? Crise de démence suivie d'un geste de folie ? Il est encore trop tôt pour se prononcer et les heures à venir permettront aux enquêteurs d'y voir plus clair.
Ironie du calendrier, ce drame intervient le jour où le réalisateur Mickael Haneke obtient la palme d'or du Festival de Cannes pour son film Amour ou la triste fin d'un couple âgé, dont le mari préfère tuer sa femme plutôt que la voir dépérir.

http://www.nicematin.com/faits-divers/meurtre-dans-une-maison-de-retraite-de-cannes.883760.html

Mayenne. Un mort dans l’incendie d’une ferme à Azé

Une personne est morte cette nuit dans l’incendie d’une ferme d'habitation au lieu-dit Les Beuniches à Azé, près de Château-Gontier, dans le Sud de la Mayenne.
Selon les premières constatations, l’incendie se serait déclenché vers peu avant 3 h du matin. On ignore pour l’instant les causes du sinistre. À 9 h 30, les pompiers étaient encore sur place.

Un ouvrier décédé après avoir chuté d'un toit

Un ouvrier de 42 ans est mort hier soir vers 21h après avoir glissé et chuté d'une dizaine de mètres alors qu'il effectuait une opération de désamiantage sur un toit, boulevard Romain Rolland (10e) à Saint-Tronc à Marseille. Il était décédé à l'arrivée des secours.
Une enquête de police a été ouverte pour éclaircir les circonstances de l'accident.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/un-ouvrier-decede-apres-avoir-chute-dun-toit
 

Incendie à Libourne : deux jeunes frères tués, leur soeur entre la vie et la mort

Le drame s'est noué hier, vers 16 heures, dans un appartement de la résidence Garderose, à Libourne (Gironde). Deux petits garçons, Aaron Skitt-Nognana, 18 mois, et son fère Aurélien, qui allait avoir 4 ans en juin, ont péri dans l'incendie de leur appartement. Leur grande sœur, Saïda, presque 5 ans, a été transportée à l'hôpital des Enfants de Bordeaux dans un état critique.
En plein après-midi, le voisin du deuxième étage, qui vit juste au-dessus, est intervenu le premier, alerté par les cris de la mère, Zaya, 27 ans. « Je l'ai entendue appeler au secours dans le couloir : "Il y a le feu chez moi ! Il y a les petits !" Il y avait déjà plein de fumée dans la cage d'escalier. J'ai essayé de rentrer dans l'appartement, mais c'était impossible. Il faisait trop chaud et les flammes avaient tout envahi. »

Le père arrive sur les lieux
En descendant avec la mère, sa compagne enceinte et ses deux enfants, le voisin a pu avertir les autres résidents de l'immeuble qui se sont mis à l'abri à l'extérieur du bâtiment. C'est après avoir rapidement maîtrisé l'incendie, quelques instants plus tard, que les sapeurs-pompiers de Libourne trouveront les deux aînés dans l'appartement, intoxiqués par les fumées. Ils tenteront de les réanimer pendant de longues minutes. Malheureusement en vain pour Aurélien. Les pompiers découvriront le corps sans vie du petit Aaron au cours d'une nouvelle opération de reconnaissance.
Absent au moment du drame, le père de famille est arrivé de Blaye en fin d'après-midi. Terrassé par le sort de ses enfants et de sa femme, il a été pris en charge par sa famille.
L'origine du feu indéterminée
Étant donné les circonstances, l'hélicoptère de la Sécurité civile avec à son bord une équipe du Samu, est intervenu en renfort, se posant sur l'espace vert, habituel terrain de jeu de la résidence. Vers 17 heures, les secouristes ont ainsi pu rapidement évacuer Saïda vers le centre hospitalier universitaire de Bordeaux.
Plus légèrement touchées, la mère ainsi qu'une voisine de 48 ans, qui ont aussi inhalé de la fumée toxique, ont été admises à l'hôpital de Libourne.
Peu avant l'arrivée des pompiers, Tristan et son copain partaient faire un tennis. « Il y avait une fumée de toutes les couleurs, et on voyait des flammes sur le balcon. » C'est d'ailleurs par là que le feu s'est propagé à l'appartement du dessus. En revanche, l'origine du sinistre était encore indéterminée hier soir.
La substitut du procureur de la République de Libourne, Sandrine Ballanger, présente sur les lieux, se refusait à avancer toute hypothèse. « Les premières constatations seront effectuées lundi matin par des experts en incendie. La maman, qui a pu échapper à l'incendie, a subi un énorme choc. Un travail de fond va être mené par les enquêteurs pour auditionner les voisins et la famille. »
Dans le cadre de l'enquête pour déterminer les circonstances exactes du drame, les corps des deux petits garçons seront autopsiés à l'Institut médico-légal de Bordeaux, aujourd'hui.
Plusieurs familles relogées
Le maire de Libourne, Philippe Buisson, s'est rendu sur place aux côtés du sous-préfet Patrick Martinez, de Stéphane Procédès, commandant de la compagnie de gendarmerie de Libourne, ainsi que du colonel Giraud, chef des opérations pour les pompiers.
La police municipale et les services techniques de la mairie ont également été mobilisés.
D'après Mme Tyssandier, la voisine du rez-de-chaussée, le couple avait emménagé dans la résidence avec ses trois enfants il y a un peu plus d'un an.
Une dizaine de logements du bâtiment B ont été atteints par l'incendie. La mairie de Libourne a procédé au relogement d'une dizaine de personnes jusqu'à demain. Une décision pérenne sera alors envisagée, en collaboration avec Domofrance, gestionnaire de cette résidence d'une centaine d'appartements dont les habitants semblaient particulièrement bouleversés par cette tragédie.

http://www.sudouest.fr/2012/05/28/deux-jeunes-freres-perissent-dans-un-incendie-727028-7.php

Accident de Vallauris: le conducteur du 4x4 reconnaît ses torts

Deux morts dont une adolescente du Cannet et six blessés : le bilan est lourd à la suite de l'accident mortel qui s'est produit samedi matin à Vallauris-Golfe-Juan.

Il ne subsiste aucun doute aujourd'hui sur les causes de ce drame : la Jeep a bien coupé la route à la Seat Ibiza qui n'a pas pu l'éviter. Des images de vidéosurveillance confirment cette version.

Le conducteur du 4x4, Sam Elai, 25 ans, était toujours, ce dimanche midi, en garde à vue au commissariat d'Antibes. Il a été entendu dans la matinée et a reconnu les faits invoquant "un trou noir au moment de l'accident."

Il conduisait sous l'emprise d'alcool, pour ramener du Palm beach à Cannes où il avait passé la nuit en discothèque, des amis dont la voiture était garée sur le parking à quelques mètres duquel s'est produit l'accident.

Ce dimanche midi, la grassoise Allisson Ibanez, 18 ans, était toujours dans un état préoccupant. Les médecins réservent leur avis quant à ses éventuelles séquelles

http://www.nicematin.com/derniere-minute/accident-de-vallauris-le-conducteur-du-4x4-reconnait-ses-torts.883006.html

Le corps d’un enfant repêché dans l’étang

Une infinie tristesse s’est abattue sur Montfermeil, et dans le quartier des Bosquets en particulier. C’est là que vivait l’enfant de 4 ans et demi, repêché dans un étang de l’arboretum, dans la nuit de samedi à dimanche. Sa maman, qui avait passé un moment au parc avec une amie et plusieurs enfants, a donné l’alerte samedi vers 19h30, ne voyant plus son fils. Ce n’est que près de huit heures plus tard que le pire a été découvert, après la mobilisation de la police, des pompiers, plongeurs et chiens de la gendarmerie. A 4 heures, le petit corps était repêché dans un des étangs.

Déjà une noyade en 2007

Le petit se trouvait à l’endroit des jeux pour enfants, clos par une barrière d’un mètre de haut environ. L’étang se trouve à quelques mètres, derrière une autre barrière d’un mètre environ. Policiers et pompiers sont intervenus avec les plongeurs de la brigade fluviale. Ils ont tenté d’obtenir des précisions d’un enfant du même âge qui accompagnait le petit. L’endroit exploré n’était pas le bon. Finalement, l’intervention d’un chien pisteur de la gendarmerie a été décisive. L’animal est parti de l’appartement où vit l’enfant et a flairé sa trace jusqu’au parc. Il s’est arrêté devant l’étang, à l’endroit où le corps a ensuite été découvert. Dans le voisinage, on se souvient des «
déchirants » qui ont percé la nuit, vers 4 heures. Ceux de la famille, des amis et des proches qui, toute la nuit, ont eux aussi cherché cet enfant. « On est tous très mal, c’est terrible ce qui arrive à cette maman, à cette famille », confie une habitante des Bosquets. Elle ne comprend pas pourquoi l’Alerte Enlèvement n’a pas été déclenchée. « L’alerte ne peut être donnée que si l’on voit un tiers intervenir, une voiture partir en trombe par exemple, que l’on suspecte un enlèvement », précise un policier. A Montfermeil, rien de tel. L’hypothèse la plus probable est que le petit a échappé à la vigilance des adultes. Et que personne d’autre dans le parc, peu avant l’heure de fermeture, n’a vu le petit garçon approcher de l’étang. La brigade des mineurs de la sûreté territoriale a été saisie de l’enquête.

Ce décès en rappelle un autre, survenu le 4 janvier 2007. Le petit Chakra, âgé de 7 ans, s’était noyé dans ce même étang. A cette époque, la zone était en travaux et interdite au public. Hier, la ville a fait fermer cette partie du parc. Des affiches étaient placardées rappelant aux visiteurs que les « enfants sont placés sous la responsabilité des adultes qui les accompagnent ». Le maire
Xavier Lemoine, très ému, était sur place hier avec ses services.

http://www.leparisien.fr/montfermeil-93370/le-corps-d-un-enfant-repeche-dans-l-etang-28-05-2012-2020628.php

Athis-Mons : UN DRAME TROP FRÉQUENT

Février 2010, à Limours, un enfant de 2 ans et demi était transporté à l’hôpital Necker ( XVe ) dans un état grave, après avoir chuté de la fenêtre de son pavillon.
Mars 2010, à Evry. un enfant de 5 ans était retrouvé au pied de son immeuble des Aunettes après avoir chuté du 6e étage en l’absence de sa mère.
Juin 2010, à Evry. c’est une fillette de 4 ans qui était tombée du 7e étage de son immeuble, une tour du Parc-aux-Lièvres.
Juillet 2010, à Viry-Châtillon. un garçon de 5 ans avait survécu à une chute du 4e étage de son immeuble à Viry-Châtillon. Il était sorti du coma quelques semaines plus tard, avant d’entamer un séjour en rééducation.
Août 2010, à Evry. Un frère et une sœur de 5 ans et 9 ans avaient survécu à une chute du 1er étage de leur immeuble, dans le quartier des Pyramides à Evry.
Novembre 2011, à Athis-Mons. Un bébé de 18 mois survivait à une chute de 3 m. Il était tombé par la fenêtre d’un immeuble de la résidence Jean-Jaurès à Athis-Mons.

http://www.leparisien.fr/actualites-informations-direct-videos-parisien

Drôme : un jeune tué à coups de chevrotines, le meurtrier présumé interné

L'affaire a été révélée par RTL. Un jeune de 16 ans a été tué à coups de chevrotines vendredi soir dans un appartement de Valence (Drôme). Le meurtrier présumé, un ami âgé de 18 ans, a été interné en hôpital psychiatrique, avec un autre ami également présent lors du drame, a précisé source judiciaire, confirmant un information de RTL.

Les deux jeunes avaient été retrouvés hagards dans la rue, vendredi peu après 23 heures et sur leurs indications, les policiers avaient découvert le corps de l'adolescent "baignant dans une mare de sang", a-t-on ajouté. Lors de sa garde à vue à l'hôtel de police de Valence, le jeune de 18 ans "a reconnu avoir tiré sur son camarade", mais il "affirme que c'est un accident", sans toutefois pouvoir expliquer les circonstances du drame, ni la provenance de l'arme, selon cette source.

Les deux jeunes "extrêmement choqués" et "présentant de gros risques de suicide pour aller rejoindre leur copain" ont été hospitalisés à Valence, dans un premier temps, puis internés samedi soir dans un établissement psychiatrique.

Tué d'un coup de fusil en plein visage à 16 ans

Vendredi vers 23 heures, ce sont les voisins qui ont alerté les secours entendant un coup de feu et voyant se précipiter dans la rue du Coq à Valence deux jeunes hommes hagards.
Leur copain, âgé de 16 ans, venait de recevoir un coup de chevrotine en plein visage alors que le trio quelques minutes auparavant dans un appartement de cette ruelle avait en sa possession un vieux fusil de chasse. L’adolescent de Saint-Jean-en-Royans est mort sur le coup.
Les deux autres jeunes gens, majeurs, n’ont pas encore pu être entendus par les policiers sur ce drame ayant été hospitalisés en raison de leur état psychologique.




dimanche 27 mai 2012

17 blessés graves dans un incendie à Paris, le plan rouge déclenché

Le sinistre s'est déclaré dans un immeuble de 7 étages situé cour Lesage, sur la rue de Belleville. Dix-sept personnes ont été grièvement ou très grièvement blessées dans un incendie survenu dimanche dans le XXe arrondissement de Paris.
Contactés, les pompiers donnent de plus larges détails : "Cinq personnes sont traitées en urgence absolue et 12 autres en urgence relative", déclare un porte-parole. "Une personne au moins s'est défenestrée, cinq personnes sont considérées comme très grièvement blessées et dix autres comme blessées graves", explique en outre un officier de communication de la Brigade des sapeurs-pompiers de Paris (BSPP). Par ailleurs, une vingtaine de résidents de l'immeuble ont été évacués et pris en charge par les secours.
Piste criminelle ?
Le feu s'est déclaré peu avant 14 heures dans le sous-sol de l'immeuble avant de se propager dans l'escalier jusqu'au dernier étage. L'incendie a été maîtrisé peu avant 16 heures, même si le feu n'est pas encore tout à fait éteint. "Très peu d'appartements ont été touchés, mais le feu, qui a démarré dans le sous-sol et est monté dans l'escalier, a bloqué plusieurs personnes. Si nous n'étions pas venus, 12 personnes seraient décédées", a affirmé un responsable des pompiers parisiens, dont les hommes ont dû déployer plusieurs grandes échelles. Au total, 234 pompiers de 27 casernes avec 64 engins sont mobilisés, épaulés par des secouristes de la Protection civile, de la Croix-Rouge, du Samu et des forces de police, selon la même source, ajoutant que le Plan rouge (plan d'urgence pour traiter un nombre élevé de victimes en un même lieu) a été déclenché.
On ignorait pour l'heure les causes du sinistre. Toutefois, selon une information du Figaro.fr, la piste criminelle est envisagée. Des "jeunes" au comportement suspect auraient été vus sortir du sous-sol de cet immeuble de six étages par des témoins qui ont pu en faire la description aux policiers. Pour sa part, Cécile Duflot, la ministre dy Logement, reste plus circonspecte : "Les policiers sont en train d'enquêter, on n'a pas de certitude sur l'origine de l'incendie", a-t-elle déclaré, ajoutant "qu'il y a entre 130 et 150 personnes à reloger. "L'ensemble des familles seront relogées d'ici à ce soir, le plus près possible de leurs logements", a assuré la ministre.

Grave incendie à Libourne : deux enfants morts, un troisième dans un état grave

Un incendie s'est déclaré cet après-midi vers 16h dans un appartement de la résidence Garderose dans le centre-ville de Libourne.
Les pompiers sont intervenus rapidement et les familles de l'immeuble ont été évacuées. Le bilan pourrait toutefois être important dans l'appartement concerné.

Un enfant d'un an a été retrouvé mort dans celui-ci.
Deux enfants de 3 et 4 ans, retrouvés dans un état grave, étaient en phase de réanimation. L'un d'eux est mort, le second est dans un état grave et le pronostic vital est engagé.
Une équipe du SAMU est arrivée par hélicoptère de Bordeaux. Le maire de Libourne, le sous-préfet mais aussi le Commandant de la gendarmerie et des représentants de la police municipale sont sur place.

http://www.sudouest.fr/2012/05/27/grave-incendie-a-libourne-a-la-residence-garderose-726699-2966.php

Nord: une fillette mordue au visage dans un état grave

Une fillette de 9 ans a été mordue au visage par un rottweiler, samedi à Gravelines (Nord), et transportée dans un état considéré comme grave à l'hôpital, a-t-on appris dimanche auprès des services de secours. La fillette a été mordue samedi vers 17H00 par l'animal et transportée à l'hôpital à Dunkerque (Nord).

L'enfant s'était rendue chez des voisins, dont le chien était attaché dans la cour. L'animal a toutefois réussi à atteindre la fillette, la mordant à la lèvre et à l'oreille, a indiqué de son côté la préfecture du Nord. Le pronostic vital n'était pas engagé et, dans l'immédiat, aucune plainte n'avait été enregistrée, selon la préfecture. Le chien, en règle, a lui été emmené chez un vétérinaire, selon la procédure habituelle.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/05/27/97001-20120527FILWWW00131-nord-une-fillette-mordue-au-visage.php

Un homme meurt écrasé entre deux wagons du métro

Courant pour rattraper une rame prête à partir, l'homme a glissé, et est tombé sur les rails entre les deux wagons, juste avant que le métro ne se remette en route. Un homme qui était tombé samedi soir sur les rails du métro parisien en courant pour rattraper une rame prête à partir est mort écrasé lorsque le convoi s'est ébranlé, a-t-on appris de sources policières.
Les faits se sont produits vers 22H30 à la station Bir Hakeim (XVe arrondissement), sur la ligne 6. Un homme, dont l'âge et l'identité n'ont pas été précisés, court pour rattraper le métro dont le signal de départ retentit.
Il glisse, tombe sur les rails entre deux wagons, avant d'être écrasé lorsque le métro se met en route, a expliqué une source policière.
La Régie autonome des transports parisiens (RATP) n'a pas souhaité fournir d'informations sur cet accident, sauf pour préciser que "le trafic a été interrompu sur la ligne 6, entre les stations La Motte Picquet Grenelle et Charles-de-Gaulle Etoile, jusqu'à 01H45" dimanche lorsque les métros ont cessé de rouler pour la nuit.
"Le trafic est normal aujourd'hui" dimanche, a-t-on ajouté à la RATP.


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Creuse: un orage fait un mort

Un sapeur-pompier volontaire de 37 ans est mort noyé dans la nuit de samedi à dimanche à Aubusson (Creuse) lors d'une intervention consécutive à de violents orages qui ont touché l'est du département, a-t-on appris auprès du ministère de l'Intérieur.

Cet adjudant-chef de 37 ans "est décédé noyé, lors d'une intervention de secours à une personne ayant sa maison inondée suite aux violents orages qui ont touché la région d'Aubusson", à une cinquantaine de km au sud-est de Guéret, indique le ministère dans un communiqué.

Selon les gendarmes, l'homme a sans doute été entraîné par les eaux alors qu'il tentait de franchir un ruisseau qui débordait. "C'est avec une profonde tristesse que Manuel Valls, ministre de l'Intérieur, a appris" ce décès, poursuit le communiqué.



http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/05/27/97001-20120527FILWWW00081-creuse-un-orage-fait-un-mort.php

Accident de Vallauris: des jeunes de Cannes, du Cannet et de Grasse parmi les victimes

Deux jeunes gens sont morts et six autres ont été blessés dans un accident de la circulation, samedi matin à Vallauris. Le drame s’est déroulé sur la D 6007, route du bord de mer qui relie Golfe-Juan à Cannes.
Au volant, Nicolas Frimaudeau, Cannois de 18 ans. À ses côtés, Alisson Ibanez, Grassoise de 18 ans ; à l’arrière Shainez, Cannettane de 17 ans, et Jérémy Pohu, Cannois étudiant à Aix-en-Provence, 18 ans.
Il est 5h30. Les quatre amis rentrent d’une soirée en boîte à Juan-les-Pins, où Jérémy travaille comme DJ. Et tandis qu’ils passent devant la station Total sur la D6007, au lieu-dit la Batterie, ils ne savent pas encore, qu’ils sont à quelques secondes d’un choc épouvantable.
Deux délicates désincarcérations
Car au même moment, une Jeep noire, immatriculée en Suisse, roule aussi sur l’ancienne RN7, dans le sens opposé. A son bord, quatre jeunes hommes, âgés de 25 à 35 ans, dont deux résident à Strasbourg. Le 4x4 s’apprête à tourner à gauche pour prendre le boulevard des Horizons qui mène sur les hauteurs de Super-Cannes. C’est à cet instant, au niveau de l’intersection, que les deux véhicules se percutent.
Avec une violence telle que deux des huit passagers sont éjectés et tués : l’un à l’arrière de la Jeep, 35 ans (dont l’identité hier soir n’a pas été révélée), meurt sur le coup. Dans la Seat, Shainez est en arrêt cardiaque quand les pompiers arrivent. Ils ne parviendront pas à la ranimer. Les six autres protagonistes de ce drame sont tous blessés à des degrés divers.
Mais ce sont les occupants de la Seat qui sont le plus touchés.Notamment la jeune Alisson que les pompiers mettent une heure à désincarcérer. Les secours craignent que sa colonne vertébrale n’ait été atteinte. La jeune fille ne ressent aucune douleur. Elle souffre pourtant de fractures ouvertes aux jambes. Elle est transportée vers l’hôpital Saint-Roch de Nice. Jérémy est lui aussi gravement blessé et désincarcéré des tôles tordues de la petite voiture blanche. Deux autres victimes plus légèrement atteintes sont, comme lui, dirigées vers le centre hospitalier Pierre-Nouveau à Cannes.
L’alcool en jeu?
Enfin, les conducteurs des deux véhicules, moins touchés, mais sous le choc, sont conduits à l’hôpital de la Fontonne à Antibes, où ils subissent des prélèvements sanguins pour contrôler leur alcoolémie. Le conducteur du 4x4, Sam Elai, 25 ans, révèle un taux de 0,6 mg par litre d’air expiré (1,2 g). Traumatisé et sous tranquillisants, il est incapable d’apporter un témoignage pour l’instant. Mais il est placé en garde à vue en raison des bandes de vidéosurveillance qui laissent à penser que la Jeep aurait coupé la route de la Seat.
Le conducteur de l’Ibiza, de son côté, a quitté l’hôpital dans la journée. Il a été entendu au commissariat d’Antibes, puis laissé libre. L’enquête débute. Reste aux policiers à faire la lumière sur les circonstances exactes et à entendre le conducteur de la Jeep.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/accident-de-vallauris-des-jeunes-de-cannes-du-cannet-et-de-grasse-parmi-les-victimes.881988.html