lundi 30 avril 2012

Nord: un enfant de 2 mort dans un bassin

Un enfant de 2 ans a été retrouvé mort dans un bassin, aujourd'hui à Camphin-en-Carembault (Nord), un village situé entre Lille et Lens, vraisemblablement noyé après avoir échappé à la vigilance de ses parents, selon les premiers éléments de l'enquête, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

Alertée dans l'après-midi de la disparition du garçonnet par ses parents, la gendarmerie a mobilisé une quinzaine d'hommes ainsi qu'un hélicoptère et un chien pour effectuer les recherches.

L'enfant a été retrouvé au fond du bassin, situé à proximité immédiate de la maison et qui avait été vidé par les gendarmes, environ une heure et demie plus tard. Une enquête pour rechercher des causes de la mort a été ouverte


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/30/97001-20120430FILWWW00554-nord-un-enfant-de-2-mort-dans-un-bassin.php

Ivry-sur-Seine : le petit garçon tombé du 4e étage avec sa mère est décédé

Il n’a pas survécu à la terrible chute. Le petit garçon de deux ans, tombé dimanche après-midi avec sa mère du quatrième étage du 57, rue Jean-Le Galleu à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), est décédé tôt lundi matin à l’hôpital Necker à (XVe).
Sa maman est toujours dans le coma à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre avec un pronostic vital engagé. Une autopsie aura lieu mercredi matin pour définir exactement les causes de la de l’enfant, même s’il fait peu de doutes qu’elle est due à la chute de plusieurs mètres.

Le drame s’est noué hier aux alentours de 13h30 dans cette petite résidence privée du haut d’Ivry. Selon plusieurs sources concordantes, la femme, prénommée Nathalie et âgée d’une trentaine d’années, est tombée par la fenêtre de son appartement avec son fils né en 2010 dans les bras. «Vers 14 heures, j’ai vu les pompiers, le Samu et la police. Il y avait beaucoup de monde», témoignait hier un employé de la pizzéria attenante à l’immeuble. Les premiers éléments montrent que la jeune femme s’était enfermée dans sa chambre avec son garçon suite à une énième dispute avec son mari. «Ils avaient des problèmes familiaux, la police avait déjà été appelée plusieurs fois», assure une voisine. Le dernier conflit dans le couple remonte à samedi. La mère de famille a alors quitté le domicile conjugal pour se réfugier pour une nuit chez ses parents à Yerres (Essonne), avant de revenir à Ivry dimanche midi.

«Une demie-heure après, elle se serait enfermée avec son enfant dans une chambre, tandis que son mari était dans le salon», détaille une source judiciaire. La porte était fermée de l’intérieur, et les pompiers ont dû la casser pour y rentrer». La clef était engagée dans la serrure côté chambre, ce qui semble exclure toute implication directe du mari dans la défenestration. Ce dernier a été entendu dimanche par le service d’accueil et d’investigation de proximité (Saip) du commissariat d’Ivry et remis en liberté dans la soirée. Le Saip a été saisi dans le cadre d’une
préliminaire pour déterminer les circonstances de cette double défenestration, et notamment si la maman a voulu se suicider en emmenant son enfant avec elle. «Seule la mère, si elle survit, pourra expliquer exactement ce qui s’est passé», souligne une source judiciaire.

Ivry-sur-Seine : elle tombe du 4e étage avec son enfant

Que s’est-il passé exactement hier après-midi au 57, rue Jean-Le Galleu à Ivry? Selon plusieurs sources concordantes, une femme d’une trentaine d’années est tombée par la fenêtre de son appartement situé au quatrième étage avec son garçon de 2 ans dans les bras. Les deux ont été hospitalisés avec un pronostic vital engagé, l’enfant étant transporté vers l’hôpital Necker à (XVe).
« Il était aux alentours de 13h30-14 heures », raconte l’employé d’une pizzeria jouxtant cette petite résidence privée bien tenue du haut d’Ivry. « J’ai vu les pompiers, le Samu et la police. Il y avait beaucoup de monde. Des voisins m’ont dit que cette dame s’était jetée par la fenêtre avec son gosse. Je les voyais régulièrement tous les deux, toujours avec la poussette. » « Une femme s’est défenestrée avec son enfant », confirme sans en dire plus une locataire visiblement affectée qui promène son chien.

Les voisins ne connaissent pas les circonstances exactes du drame, mais plusieurs font état de conflits réguliers entre la victime et son mari. « C’était connu dans l’immeuble qu’ils avaient des problèmes familiaux, raconte une locataire. La police a été appelée plusieurs fois ces derniers temps, mais la dame ne voulait pas porter plainte. » Une de voisinage a eu lieu dans l’après-midi et le mari a été emmené dans les locaux du commissariat d’Ivry afin d’y être entendu par le service d’accueil et d’investigation de proximité (SAIP). D’après les dernières informations dont disposaient les habitants de cette résidence de dix étages, la maman et son fils étaient toujours dans un état grave hier soir.
http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/elle-tombe-du-4e-etage-avec-son-enfant-30-04-2012-1978303.php

Un père de famille décède dans l'incendie

J'ai entendu un énorme bruit comme si un camion venait de percuter quelque chose. J'ai regardé par la fenêtre et j'ai vu de la fumée qui s'échappait de la maison d'en face. J'ai appelé les pompiers. Il était 8 h 55 »… Cette riveraine de la route de Montbartier habite la maison située juste en face du n° 296, lieu du drame. Choquée, elle assiste au déploiement des secours qui investissent cette impasse en cul-de-sac à un jet de pierre de la zone Albasud à Montauban.
Une vingtaine de pompiers montalbanais renforcés par les centres de secours de Montech, Albias, Monclar et Corbarieu, attaquent immédiatement le sinistre. Les flammes sont vives, la chaleur intense. Les soldats du feu munis d'appareils respiratoires se heurtent à un brasier intense. Deux heures seront nécessaires pour maîtriser le feu. À travers les épaisses fumées blanches, ce qui fut une jolie villa de plain-pied laisse entrevoir des ruines …

Une explosion avant l'incendie

Il est alors temps pour les pompiers de fouiller les décombres avec une inquiétante interrogation à la clé : La maison était-elle vide ? « Nous avons un instant espéré que les occupants de la maison, un couple et ses deux enfants, étaient absents. Les voisins avaient vu partir un peu plus tôt le C3 Picasso rouge de la famille, explique le major Ruiz du CSP Montauban. Puis nous avons réussi à joindre la mère de famille qui est finalement arrivée sur les lieux avec ses deux filles ». Le père n'était pas avec elles. L'incendie circonscrit, la fouille de la maison débutait. Rapidement, le corps inanimé du père était découvert sous les décombres.
Les policiers du commissariat et de l'identité judiciaire entamaient alors leurs investigations. Il s'agira pour eux de déterminer les causes du sinistre. L'explosion entendue par le voisinage pourrait provenir d'une bouteille de gaz. Mais à ce stade des investigations, aucune certitude sur les causes du drame ne peut être établie.
Les services de la mairie, également présents sur les lieux, hier, ont proposé une solution de relogement à la famille.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/29/1342053-un-pere-de-famille-decede-dans-les-decombres.html

dimanche 29 avril 2012

Béziers: une fillette tombe du 3e étage

Une fillette de 16 mois est décédée dimanche après-midi, après avoir chuté de l'appartement familial situé au 3e étage d'un immeuble du quartier du Pont-Neuf à Béziers (Hérault), ont indiqué à l'AFP les pompiers.

"Nous avons été appelés vers 14H et nous avons porté secours à la fillette, inanimée au pied de l'immeuble", a indiqué à l'AFP le commandant Jérôme Bonnafoux, chef des pompiers de Béziers. "Nous avons pu la ranimer et nous avons demandé le concours d'un hélicoptère. Mais, à 15h10, alors que l'enfant était évacué vers l'hélicoptère, il a fait un arrêt cardiaque fatal", a-t-il poursuivi.

Selon le parquet de Béziers, l'hypothèse accidentelle est privilégiée: la fillette jouait avec sa soeur dans l'appartement familial, lorsqu'elle a fait cette chute d'une hauteur de 12 mètres, dans des circonstances qui devront être établies par l'enquête confiée aux policiers du commissariat central de Béziers. Le procureur a ordonné une autopsie.



http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/29/97001-20120429FILWWW00117-beziers-une-fillette-tombe-du-3e-etage.php

Une famille du Bas-Rhin décimée en Allemagne

Une famille originaire d’Allenwiller, près de Marmoutier dans le Bas-Rhin, a été décimée dans un dramatique accident de la route, jeudi en Allemagne, dans le Land de Bade-Wurtemberg.
D’après les informations de la police d’Offenburg, le couple et ses deux enfants circulaient sur l’autoroute A5, qui longe la frontière avec l’Alsace, quand leur Citroën a été percutée par l’arrière par une BMW. Le choc a été extrêmement violent, une partie du coffre a été arrachée.
La mère de famille de 36 ans et sa fille de 4 ans ont été tuées sur le coup. Le père, âgé de 38 ans, est décédé des suites de ses blessures à l’hôpital. La fille aînée, âgée de 10 ans, a été blessée mais est hors de danger. La police d’Offenburg a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de la collision.

La mère originaire du Pays de Bitche

La nouvelle de cet accident mortel a suscité l’émoi à Gœtzenbruck, car une des victimes est un enfant du village. La mère de famille, Marianne Koffler, était en effet originaire de cette commune du Pays de Bitche, où sa famille réside encore. Avec son époux Stéphane Thiébaut-George, ils étaient installés dans le Bas-Rhin, où ils travaillaient tous les deux.

http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers

Saint-Didier-sur-Chalaronne : nouvel accident mortel de bûcheronnage

Samedi en fin d'après-midi, un habitant de Saint-Didier-sur-Chalaronne et son beau-père sont occupés à couper du bois au lieu-dit le Bois de Vanans. Un arbre tronçonné entraîne dans sa chute une grosse branche voisine. Elle s'écrase sur le plus jeune des abatteurs, un homme de 35 ans, originaire de Saint-Didier. Son beau-père déclenche immédiatement les secours. En vain. Touché à la colonne vertébrale, le blessé décède sur place, malgré les soins prodigués par les sapeurs-pompiers de Thoissey et le Samu de Villefranche.
Le défunt était père de trois enfants. Ce sportif accompli pratiquait le rugby au club de Pont-de-Veyle.


 http://www.leprogres.fr/ain/2012/04/29/saint-didier-sur-chalaronne-nouvel-accident-mortel-de-bucheronnage

Mont-Blanc: mort d'un skieur norvégien emporté par une avalanche

Un skieur de randonnée norvégien, emporté par une avalanche samedi dans le massif du Mont-Blanc, est décédé des suites de ses blessures dans la nuit de samedi à dimanche, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. L'homme a été emporté par une coulée de neige d'environ 300 mètres de dénivelé alors qu'il skiait sur le glacier d'Argentière à 3.400 mètres d'altitude. Gravement blessé, l'homme a été secouru par d'autres randonneurs à ski, témoins de l'accident, qui l'ont transporté jusqu'à un refuge situé 700 mètres plus bas. En raison des fortes rafales de vent dans la vallée de Chamonix, l'hélicoptère des secours en montagne n'a pas pu décoller et a rendu impossible la progression d'une caravane terrestre, selon la gendarmerie. L'homme est décédé dans la nuit, au refuge.

Rixe de Denain : le jeune homme de 25 ans est entre la vie et la mort

Le Denaisien, âgé de 25 ans, agressé violemment avec une batte de baseball vendredi soir, à Denain, est actuellement entre la vie et la mort au CHR de Lille.

Les trois agresseurs ont été interpellés et placés en garde à vue au commissariat de Denain.
Ce samedi, une photo de la victime ainsi que des bouquets de fleurs et des bougies ont été déposés à l'endroit où l'agression s'est produite.

http://www.lavoixdunord.fr/actualite/L_info_en_continu/Hainaut/2012/04/28/article_rixe-de-denain-le-jeune-homme-de-25-ans.shtml

Un jeune de 17 ans se tue au volant à Arlay

Vers 3 heures du matin, dans la nuit de vendredi à samedi, un jeune de 17 ans, sans permis, s'est tué au volant d'une Citroën ZX dans la commune d'Arlay dans le canton de Bletterans.
Le choc, contre un arbre de la rue Rigole, a été d'une extrême violence. Son passager, lui aussi mineur, a été grièvement blessé et transporté à l'hôpital de Lons le Saunier. Une troisième personne, témoin des faits choquée, a également été hospitalisée.
C'est le 8e mort déploré cette année sur les routes du Jura.


http://www.leprogres.fr/jura/2012/04/28/un-jeune-de-17-ans-se-tue-au-volant-a-arlay

samedi 28 avril 2012

Pétard: un bébé gravement brûlé

Un nourisson de six mois a été grièvement brûlé ce soir après un jet de pétard dans sa poussette dans une rue du centre ville de Rive-de-Gier, dans la Loire, a-t-on appris auprès des pompiers.

"L'accident s'est produit rue de l'hôtel de ville, aux alentours de 20H30", ont précisé les pompiers à l'AFP, ajoutant que la police et les secours étaient actuellement sur place.

Pour l'heure, la gravité de ses brûlures n'est pas encore déterminée. D'après les premières informations des pompiers, le nourrisson est blessé "à la poitrine, la jambe et le cuir chevelu". On ignore les circonstances exactes de l'accident.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/28/97001-20120428FILWWW00445-petard-un-bebe-gravement-brule.php

Hautes-Alpes: un mort dans une chute

Un jeune homme est décédé et son compagnon de cordée, un aspirant guide de 22 ans, a été grièvement blessé, samedi, en chutant d'une paroi d'escalade dans les Hautes-Alpes, a-t-on appris auprès des secouristes en montagne.

Les deux hommes faisaient de l'escalade sur le site du gouffre du Goufouran, à Freissinières (Hautes-Alpes) samedi après-midi, lorsque le premier de cordée a mortellement chuté d'une soixantaine de mètres pour une raison encore inconnue.

La victime a "arraché les points d'ancrage" sur lesquels elle était assurée et a entraîné dans sa chute la personne qui l'accompagnait, un aspirant guide de la région, a expliqué une secouriste de la CRS de Briançon. Grièvement blessé, cet aspirant guide, dont le pronostic vital n'était pas engagé, a été transporté à l'hôpital. Une enquête est en cours pour connaître les circonstances de l'accident.



http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/28/97001-20120428FILWWW00419-hautes-alpes-un-mort-dans-une-chute.php

Doubs : une famille décimée sur la D9

Trois morts, membres d’une même famille demeurant en Vendée, et deux personnes grièvement blessées, tel est le très lourd bilan de l’effroyable accident qui s’est produit hier après-midi sur une route départementale du Doubs.
Il était juste un peu plus de 16 heures quand les pompiers ont été alertés par des témoins visuels de la collision frontale, qui s’est produite sur la départementale 9, entre les communes d’Épeugney et de Cléron, à quelque 25 km de Besançon.
Au volant d’une Peugeot 306, un automobiliste âgé d’une quarantaine d’années, demeurant à Chenecey-Buillon, autre village du secteur, circulait en direction d’Épeugney. Aux dires des témoins, ce dernier était lancé dans une manœuvre de dépassement et abordait une côte en ligne droite, lorsqu’il s’est trouvé face à une voiture arrivant en descente et en sens inverse, une Clio, à bord de laquelle se trouvait une famille de Vendée.
Sous l’extrême violence du choc, les deux voitures se disloquaient littéralement. À leur arrivée sur les lieux, les pompiers d’Amancey, bientôt rejoints par ceux d’Ornans et de Besançon, se retrouvaient face à des amas de ferraille. Il leur a fallu désincarcérer toutes les victimes.
Au final, les trois personnes décédées sont toutes de la famille vendéenne. Il s’agit d’un couple, un homme et une femme de 40-45 ans qui se trouvaient à l’avant de la Clio et, de la mère de l’un d’eux, une femme septuagénaire. Celle-ci avait pris place sur le siège arrière avec son époux, qui a été grièvement blessé.
De son côté, le conducteur de la 306 souffre de très graves fractures et est polytraumatisé. Les victimes ont toutes été transportées au CHU de Besançon.
L’enquête ouverte par les gendarmes de la communauté de brigades de Saint-Vit permettra d’établir les circonstances exactes de l’atroce choc frontal.
Le secrétaire général de la préfecture du Doubs, Pierre Clavreuil, s’est rendu hier sur les lieux de l’accident. À l’écart des grands axes, cette route départementale 9, parfois sinueuse, est souvent empruntée par des touristes car elle dessert maints sites patrimoniaux.

Treize morts depuis janvier

Cet accident porte à treize le nombre de tués sur les routes du département du Doubs depuis le début de l’année, contre huit en 2011 à la même période.
Le dimanche 8 avril dernier, un accident survenu à Vuillecin, avait coûté la vie à une personne.
Policiers et gendarmes indiquent qu’ils notent « un relâchement du comportement des conducteurs depuis plusieurs semaines et que les principales causes des accidents restent la vitesse et l’alcool

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/04/28/une-famille-decimee

Ils veulent donner un toit à Marlène et son bébé

Marlène, enceinte de 7 mois, a perdu son compagnon terrassé par une crise cardiaque à 40 ans. Ses amis se mobilisent pour achever les travaux de leur maison restée en plein chantier. Et pourquoi pas un «Tous ensemble» sur TF1 ?
Il y a des situations où l'expression «Il pleut toujours sur les gens mouillés» prend tout son sens. Les épreuves que vient de vivre Marlène, une jeune femme Castraise âgée de 29 ans sont ainsi à la hauteur de la mobilisation de ses proches et amis pour l'aider à s'en sortir. Début mars, Marlène a perdu son compagnon dans des circonstances terribles. Décédé d'une crise cardiaque dans sa voiture sur un parking à Castres à l'âge de 40 ans, il a laissé derrière lui une compagne enceinte de 7 mois et un entourage complètement effondré: «On était ensemble depuis 13 ans. On s'est toujours contentés de ce qu'on avait. On ne demandait jamais d'aide et on se satisfaisait de peu. Celui qui se contente de peu ne manque de rien» raconte Marlène.
Ainsi depuis 2001, le couple retapait petit à petit une vieille maison à Saint-Affrique. Mais depuis quelques mois, il a fallu mettre les bouchées doubles afin de bien aménager la chambre et la salle de bain pour l'arrivée du bébé.
Marlène n'a plus de boulot et se retrouve seule et démunie avec une maison en chantier sur les bras. Parmis les amis du couple, Christel Fortin a pris les choses en mains: «Il faut absolument qu'on trouve le moyen de finir cette maison. On a contacté l'émission «Tous ensemble» et on attend leur réponse. Je prépare aussi un courrier pour les magasins de bricolage qui accepteraient de faire une liste de matériaux à laquelle les gens pourraient contribuer par dons.» Il manque de la laine de verre, du placo, des peintures, du carrelage et quelques matériels pour finir la salle de bains. Par contre, le groupe d'amis ne manque pas de bras. «On est tous prêts à se mettre au boulot pour permettre à Marlène de rentrer chez elle avec son bébé.»
Pour contacter ou contribuer: christelfortin@yahoo.fr

http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/26/1339823-castres-ils-veulent-donner-un-toit-a-marlene-et-son-bebe.html

vendredi 27 avril 2012

Il décède après le vol de sa 2 CV

Un retraité de 90 ans, Roger Brioult, est mort quelques jours après le vol de sa 2CV. Mais pas n’importe quelle 2CV: la dernière voiture sortie des usines Citroën de Levallois-Perret, en 1988. Le Parisien qui relate le drame précise que le véhicule, dérobé en mars, est estimé à 110.000 euros.

“La voiture n’avait jamais été immatriculée, les voleurs n’ont d’ailleurs emporté qu’elle parmi les 16 autres véhicules de collection et les 14 deux-roues anciens de Roger Brioult" ajoute quotidien.

"Ce modèle est inestimable et invendable sur le marché. Celui qui l’a volé savait ce qu’il venait chercher. Le collectionneur avait passé commande dès 1974 pour s’assurer qu’il serait bien le propriétaire du dernier modèle produit en France", témoigne dans Le Parisien Alan Blondeau, expert de la marque Citroën.

Roger Brioult est décédé le 24 mars, une semaine après le vol de sa voiture "à qui il avait consacré son âme". C’est son épouse, Jeanine, 95 ans, qui a découvert le vol et a déposé plainte



http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/27/97001-20120427FILWWW00366-il-decede-apres-le-vol-de-sa-2-cv.php

Un gendarme se suicide dans la Drôme

Un gendarme s'est suicidé ce matin dans les locaux de sa gendarmerie dans la Drôme, indique la gendarmerie, confirmant une information de France Bleu Drôme-Ardèche. "Il a été retrouvé ce matin dans un local de service" de la communauté de brigades de Saint-Vallier, a indiqué la gendarmerie.

Le capitaine de la gendarmerie de Saint-Vallier avait 46 ans. Aucune précision n'était connue pour l'heure. Une enquête a été ouverte.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/27/97001-20120427FILWWW00433-un-gendarme-se-suicide-dans-la-drome.php

Lyon: un homme se tue en tombant d’un escalier, un témoin en garde à vue

Que s’est-il passé hier en fin de matinée, dans cet immeuble modeste du quartier de la Guillotière à Lyon (7 e) ? Un homme de 57 ans a été trouvé mort dans la petite cour intérieure du bâtiment situé 13 rue Passet.
Il a succombé à une chute de plusieurs mètres, depuis l’escalier extérieur de l’immeuble où il était locataire d’un petit appartement. Le seul témoin est un marginal, que la victime hébergeait à son domicile, et qui a été placé en garde à vue dans l’après-midi au commissariat du 7 e. Il a expliqué qu’ils venaient de sortir de l’appartement et qu’il était en train de verrouiller la porte, tandis que son ami commençait à descendre l’escalier.
Selon ses déclarations, il n’a pas vu dans quelles circonstances le quinquagénaire a basculé par-dessus la rambarde, peut-être à cause d’un faux pas ou d’un malaise. Accident, comme l’affirme cet homme, ou homicide, aucune hypothèse n’est privilégiée et des investigations sont en cours pour vérifier les déclarations de ce témoin.
Les premières constatations n’ont pas mis en évidence de traces de lutte dans l’appartement, ni sur le corps de la victime. Une autopsie doit être pratiquée aujourd’hui, pour déterminer les causes du décès. Des analyses toxicologiques seront également réalisées, afin de déterminer si la victime était sous l’emprise de l’alcool.

http://www.leprogres.fr/rhone/2012/04/26/un-homme-se-tue-en-tombant-d-un-escalier-un-temoin-en-garde-a-vue

jeudi 26 avril 2012

perte de contrôle, un mort

Un accident s’est produit ce matin entre 5 h et 5 h 30 sur la départementale 400, à hauteur de la commune de Vitrimont. Un jeune homme de 22 ans, originaire de Lunéville et militaire à Draguignan, a perdu le contrôle de son véhicule pour une raison indéterminée, alors qu’il circulait dans le sens Dombasle-Lunéville. Son passager, du même âge, né à Lamath, et lui-même militaire dans le Sud de la France, a été blessé et transporté à l’hôpital de Lunéville par les sapeurs-pompiers. Les gendarmes de la brigade de Lunéville étaient sur les lieux pour les constats d’usage.

http://www.estrepublicain.fr/fil-info/2012/04/26/vitrimont-perte-de-controle-un-mort

Une femme fauchée sur une autoroute près de Grenoble

Une femme de 49 ans est morte dans la nuit de mardi à mercredi percutée par un automobiliste alors qu'elle marchait sur l'autoroute A 41 dans l'agglomération grenobloise, a-t-on appris auprès de la police.

L'accident s'est produit sur la commune de Meylan mardi vers 23h30, a-t-on appris de même source, confirmant une information du Dauphiné Libéré.

L'automobiliste, qui roulait sur la voie de droite, a percuté la victime dans une zone non éclairée de l'autoroute A 41 en direction de Chambéry. Plusieurs voitures ont ensuite roulé sur le corps.

Deuxième décès dans l'accident de Mauvezin

La collision survenue lundi peu avant midi à Mauvezin a fait une deuxième victime. Après Bernard Corjeon, le conducteur de la voiture percutée par un camion chargé de céréales, c'est son épouse Meike qui est décédée hier matin à l'hôpital, à Toulouse. Trois médecins du Samu 32 et deux infirmières s'étaient penchés sur son sort et l'avait médicalisée pour être transportable par l'hélicoptère du Samu 31. Mais la jeune femme âgée de 34 ans était dans un état désespéré. Elle est morte des suites de ses blessures. Ce drame porte à six le nombre des victimes sur les routes du Gers, depuis le début de l'année.
Rappelons que les beaux-parents du conducteur ont également été blessés dans cet accident. Ils sont toujours hospitalisés à Auch.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/25/1338171-deuxieme-deces-dans-l-accident-de-mauvezin.html

mercredi 25 avril 2012

Un chauffeur se tue dans un accident à Luscan

Hier soir aux environs de 20 heures, un accident mortel s'est produit à Luscan sur la RN 125. Alors qu'il circulait sur l'axe Montréjeau/Espagne, un chauffeur de poids lourd est décédé après avoir perdu le contrôle de sa semi-remorque dans une courbe à droite à l'entrée nord du village. Le 38 t espagnol, qui transportait une cargaison de graines de tournesol, s'est déporté sur la voie opposée à son sens de circulation, venant finir sa course à une dizaine de mètres en contrebas de la route. Le camion s'est couché sur le flanc gauche provoquant dans sa chute un écrasement de la cabine où se trouvait le conducteur. Au point que le Samu n'a pu intervenir faute d'accès jusqu'à la victime. A l'heure ou cet article a été rédigé, le chauffeur n'était toujours pas identifié. Il faudra en effet attendre plusieurs heures aux services de secours pour parvenir à extraire l'homme de la cabine, le temps que des grues puissent évacuer l'engin de son abîme. Sur place, les gendarmes de Montréjeau ont mené les opérations, soutenus par leurs collègues de Barbazan et Saint-Gaudens, en présence du capitaine Yann Lefloc'h, de gendarmes du PSIG et du peloton autoroutier, des pompiers de la caserne de Montréjeau ainsi que des agents de la Dir Sud ouest. Dans un premier temps, la circulation a été régulée sur une voie, puis déviée, avant de retrouver son trafic normal. Hier soir, des villageois, spectateurs de ce nouvel accident, ont déploré ce drame et le fait que les services publics n'aient toujours pas pris plus au sérieux le caractère très dangereux de cette route. « On nous a répondu que cette route n'était pas plus accidentogène qu'ailleurs ! Ils attendent quoi pour réagir. Un radar pédagogique, à quoi bon… Que de vraies mesures soient enfin prises »

http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/25/1338687-saint-gaudens-un-chauffeur-espagnol-se-tue-a-luscan.html

Un mort et trois blessés dans une terrible collision

Hier, peu avant midi à Mauvezin, une voiture transportant quatre personnes est entrée en collision avec un camion transportant des céréales. Le conducteur est décédé.
Hier, peu avant midi, une violente collision entre une voiture et un camion a fait un mort et trois blessés graves. L'accident s'est produit alors qu'un camion de céréales de la coopérative Qualisol a semble-t-il dévié de sa trajectoire, heurtant légèrement une première voiture roulant en sens inverse avant de percuter de plein fouet le véhicule qui suivait. Poussée dans le fossé, la voiture a été écrasée par la cabine du camion qui s'est renversé sur la chaussée. Le conducteur de la voiture, Bernard Corjeon, un habitant de Bajonnette, a été tué. La passagère avant, son épouse Meike, très grièvement blessée, a dû être évacuée par hélicoptère dans un état critique. A l'arrière du véhicule se trouvaient deux autres personnes, les beaux-parents de monsieur Corjeon. La passagère arrière droite, plus légèrement blessée, a été évacuée au centre hospitalier d'Auch. Il a fallu plusieurs heures d'efforts aux secours pour extraire le père de Meike, coincé sous le poids du camion. Une opération très délicate en raison de la disposition des deux véhicules.
Le conducteur du camion, très choqué, a été entendu à la gendarmerie de Mauvezin. Aucune trace d'alcool n'a été décelée après test. Il aurait cherché à éviter un camion blanc venant en sens inverse, qui venait de faire un écart. Cinq centres de secours ont été mobilisés : Mauvezin, Gimont, Auch, Fleurance et Cologne, ainsi que la brigade de Mauvezin, les brigades motorisées d'Auch et de L'Isle-Jourdain, et le Peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie.
Bernard Corjeon, 55 ans, s'était installé à Bajonnette il y a plus d'une dizaine d'années, avec sa première femme et ses enfants. D'origine malgache, il s'était remarié il y a quelques années avec Meike, jeune allemande de 34 ans. De son premier mariage, Bernard Corjeon avait eu deux enfants, aujourd'hui étudiants à Toulouse. Le couple est connu à Bajonnette, notamment par son implication dans la vie locale qui en fait une famille très appréciée, selon la fille du maire Denis Begue. Appelé sur les lieux de l'accident, ce dernier n'a pu que confirmer l'identité des occupants.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/24/1337901-mauvezin-un-mort-et-trois-blesses-dans-une-terrible-collision.html

mardi 24 avril 2012

Deux jeunes âgés de 18 et 20 ans trouvent la mort dans un accident à Bourbourg

Hier vers 15 h, sur une route étroite et sinueuse bordée d'un watergang, dans la campagne de Bourbourg, près de Dunkerque, le conducteur d'une Opel Corsa a raté son virage. ...

Quatre jeunes âgés de 17 à 20 ans qui se rendaient à la piscine se trouvaient dans le véhicule qui a terminé sa course sur toit, à moitié immergée, au milieu du watergang.
Les deux Bourbourgeois qui ont survécu, se trouvant dans l'impossibilité de s'extraire de la voiture ont crié, appelant de l'aide.
Une personne a fini par apercevoir l'Opel Corsa dans l'eau et entendre les appels au secours. N'arrivant pas à dégager les victimes par lui même, il a contacté les secours.
Les deux adolescents de 17 ans qui ont pu être extraits vivants du véhicule, très choqués et en état d'hypothermie, ont été conduits à l'hôpital.
En revanche, les deux jeunes hommes de 18 et 20 ans, qui sont restés coincés dans la voiture, à la renverse, la tête dans l'eau, n'ont pas pu être réanimés par le SMUR et sont décédés sur place. Une enquête de gendarmerie est en cours pour tenter d'élucider les circonstances exactes de cette sortie de route

http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2012/04/24/article_deux-jeunes-ages-de-18-et-20-ans-trouven.shtml

Un enfant de 3 ans tué et trois blessés graves

Hier, sur la D935, entre Andrest et le rond-point menant à Camalès, une collision frontale a fait plusieurs victimes : un garçonnet de 3 ans est mort, une fillette, très grièvement blessée, a été transportée par hélico. Et deux adultes ont été sérieusement touchés. Cette famille est d'Aureilhan.
Un effroyable accident a endeuillé le département, hier après-midi, sur la D 935. Un petit garçon de 3 ans a été tué lors d'une collision frontale entre deux voitures, survenue à 17 heures, entre la commune d'Andrest et le rond-point de Camalès.
Une fillette de 6 ans, qui se trouvait également à l'arrière de l'Opel Corsa appartenant à une famille d 'Aureilhan, a été très sérieusement touchée. Son état a nécessité un transport par hélicoptère, au centre hospitalier de Pau. Le Dragon 64 de la sécurité civile s'est posé à 18 heures au milieu de la chaussée où s'étaient déjà déployés de nombreux véhicules de secours. Le père des deux enfants, ainsi qu'un autre homme, qui avaient pris place à l'avant, ont été, eux aussi, grièvement blessés et transportés en ambulance à Pau.
Complètement défoncé, l'avant droit du véhicule témoigne de la violence inouïe du choc. Il restait un biberon dans l'habitacle de la voiture qui se dirigeait vers Maubourguet. Les sièges baquets, posés sur le bas-côté, témoignent que les enfants étaient sanglés. Malheureusement, cette protection n'a pas suffi. Un caniche qui se trouvait à bord du véhicule a été blessé et transporté à la clinique vétérinaire de Vic.

4 blessés légers dans la Scenic, des Vicquois

Dans l'autre voiture, une Scenic, qui se dirigeait vers Tarbes, avait pris place une famille de Vicquois, les parents et leurs deux enfants, respectivement âgés de 12 et 6 ans. Légèrement blessés, ils ont été transportés au centre hospitalier de Tarbes par les sapeurs-pompiers. Des soldats du feu au nombre de 18, venus de Vic, Andrest, Tarbes, Bordères et Lourdes, et placés sous le commandement du capitaine Guillaumot. D'importants moyens ont été déployés : 4 ambulances, 1 véhicule de désincarcération, un autre pour la signalisation et deux du Smur. Également sur place, les gendarmes de Vic-en-Bigorre qui mènent l'enquête. L'accident ayant eu plusieurs témoins, des auditions vont être menées pour en déterminer la cause.
Le commandant Dard, qui dirige la compagnie de gendarmerie départementale de Tarbes, s'est lui aussi déplacé. Ainsi que le capitaine Meuland, commandant de l'escadron départemental de sécurité routière.
Jean Bordères, le maire de Vic-en-Bigorre, s'est rendu à son tour sur les lieux de la tragédie. Tout comme la première magistrate de Camalès, Nadine Sempé, elle aussi bouleversée par cet accident meurtrier.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/23/1336841-un-enfant-de-3-ans-tue-et-trois-blesses-graves.html

lundi 23 avril 2012

93: une ado retrouvée morte brûlée

Une jeune femme de 17 ans a été retrouvée morte à Villemomble (Seine-Saint-Denis), le torse et la tête carbonisés, et son petit ami a été incarcéré.

Les pompiers ont découvert la victime lors d'une intervention pour un incendie dans un pavillon le 12 avril, a indiqué une source policière, confirmant des informations du Journal du Dimanche. La jeune femme, recroquevillée près d'un lit, était décédée, les poignets liés. Aspergée d'un liquide inflammable, sa tête et son torse ont été carbonisés.

Dix-sept personnes, membres de la communauté pakistanaise, se trouvaient dans le pavillon et ont été interpellées, mais seul un homme de 22 ans est resté en garde à vue. Il s'agit du petit ami de la victime, de nationalité française comme elle. D'après plusieurs témoignages, celle-ci essayait de se séparer de lui, notamment après avoir subi des violences de sa part.

Le jeune homme, qui a indiqué qu'ils avaient eu un rapport sexuel consenti peu de temps avant sa mort, nie avoir tué sa petite amie et affirme l'avoir laissée vivante dans la chambre.

Il a été mis en examen pour assassinat et incarcéré.



http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/23/97001-20120423FILWWW00643-93-une-ado-retrouvee-morte-brulee.php

Un mort et deux blessés grave dans une collision

Une collision entre un poids-lourd et une voiture ce lundi a fait un mort et deux blessés graves.
L'accident s'est produit sur la D654, sur la route de Monfort, selon Sud-Ouest. Le camion, transportant des céréales, a, pour des raisons encore inconnues, percuté une voiture, dans laquelle se trouvaient quatre personnes. Celle-ci aurait terminé sa route dans le fossé, avant que le poids-lourd ne se renverse dessus.
Un occupant de la voiture a été tué, deux autres ont été très grièvement blessés.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/23/1337198-mauvezin-un-mort-et-deux-blesses-grave-dans-une-collision.html

Marche blanche en mémoire de Léa

Plus de 400 personnes, selon la police, ont effectué, hier, dans le centre-ville de Montpellier une marche blanche en hommage à Léa, une lycéenne de 17 ans qui a été violée et tuée dans la nuit du 31 décembre 2010 au 1er janvier 2011 à Montpellier. En tête de cortège avait été déployée une banderole sur laquelle on pouvait lire «Léa, violée, assassinée le 1er janvier 2011, elle a droit à un procès équitable».
La mère et le père de la victime se soutenaient lors de cette marche qui est partie du quartier de l'Ecusson, dans le centre-ville de Montpellier, jusqu'à la cour d'appel.
Jeudi prochain, la cour d'appel de Toulouse doit étudier la demande des avocats de Gérald Seureau, mis en examen et placé en détention provisoire pour le viol et le meurtre de la lycéenne, de faire annuler les gardes à vue de leur client et tous les actes d'enquête qui en ont découlé.
Gérald Seureau, qui avait 24 ans au moment des faits, avait dans un premier temps reconnu avoir violé et tué la lycéenne, décrivant «avec des détails et des précisions étonnantes» les faits, avait indiqué le procureur de la République du tribunal deMontpellier, Brice Robin

http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/22/1336514-marche-blanche-en-memoire-de-lea.html

dimanche 22 avril 2012

Naufrage mortel contre la digue de l'aéroport de Nice

Un peu avant la nuit, les secours ont retrouvé en mer le corps d'un plaisancier dont le voilier s'était échoué contre les rochers de la digue de l'aéroport. D'importants moyens ont été mobilisés.
"Un corps repéré en mer, hélicoptère en stationnaire au dessus ». Il était 20 h 20, hier soir, quand la (mauvaise) nouvelle a été communiquée par radio au Cross Med et à l'ensemble des sauveteurs déployés en baie des Anges. Après quatre heures de recherches le plaisancier, dont le voilier s'était échoué contre la digue sud de l'aéroport de Nice un peu après 16 heures, était retrouvé. Mais sans vie. Quand le plongeur l'a récupéré, il n'y avait déjà plus rien à faire.
Qui est cet homme ? Et pourquoi son embarcation a-t-elle fini sa course contre la digue de l'aéroport ? Hier soir, les gendarmes responsables des enquêtes maritimes n'avaient pas encore rassemblé tous les éléments.
L'alerte a été donnée un peu après 16 heures. Des personnes qui se trouvaient sur la plage, à Saint-Laurent, ont signalé une embarcation à la dérive. « Un petit voilier blanc, qui était ballotté aux grés des vagues » explique un témoin. À ce moment de la journée le vent soufflait très fort et la mer était agitée.
Trois vedettes et deux hélicoptères
Le Cross Med a alerté les stations de sauvetage en mer du Cros-de-Cagnes, de Nice et d'Antibes, cette dernière coordonnant les actions des trois bateaux de secours.
« Quand l'équipage de Marguerite, notre vedette, est arrivé sur place, le voilier était déjà disloqué. Il ne restait plus que quelques débris et un gilet de sauvetage qui flottait, mais vide » témoigne un sauveteur du Cros-de-Cagnes. Malheureusement, aucune trace d'un marin en mer, ou sur les rochers.
Très vite, les trois vedettes de sauvetage ont quadrillé la baie des Anges, depuis Le Cap d'Antibes jusqu'à l'aéroport. Dragon 06 et Dragon 83, les hélicoptères de la sécurité civile ont aussi été engagés sur l'opération.
Le corps a finalement été repéré à une centaine de mètres de l'endroit où le voilier s'était échoué. Juste en face de l'aéroport. Un plongeur s'est mis à l'eau pour l'hélitreuiller et ensuite le déposer à l'arrière du bateau des secours d'Antibes. Le malheureux plaisancier a été ramené au port Vauban. Cet homme, âgé d'une cinquantaine d'années, n'avait pas de papier d'identité sur lui. Apparemment, il était seul à bord et n'aurait pas envoyé de signal de détresse.
Hier soir, les enquêteurs comptaient sur les débris repêchés par la SNSM pour identifier le voilier et son occupant. L'annexe du bateau a été récupérée. Elle était éventrée mais ne portait aucune indication sur le nom du voilier, ou son immatriculation.

http://www.nicematin.com/faits-divers/naufrage-mortel-contre-la-digue-de-laeroport-de-nice.850864.html

Dole : un homme se tue au volant de sa voiture en tombant dans le canal

Hier vers 19 h 10, un accident mortel s’est produit au centre-ville de Dole, au bas de la rampe du Cours. Un homme d’une cinquantaine d’années, circulait avenue de Lahr et allait aborder le pont qui enjambe le canal du Rhône au Rhin, en bas de la rue Jean-Jaurès, quand il a perdu le contrôle de son véhicule. Le conducteur, au lieu de prendre le virage à gauche, a continué tout droit, percuté la barrière maintenue par deux énormes plots en pierre et fini sa course dans le canal. Deux policiers municipaux, présents à ce moment-là, ont immédiatement plongé mais n’ont rien pu faire. Ce sont les plongeurs des pompiers de Dole, arrivés sur les lieux, qui ont pu extraire la victime de son véhicule. Elle a été prise en charge par l’équipe du SMUR, mais en vain, l’homme est décédé. Les pompiers ont transporté à l’hôpital Pasteur les deux policiers en état d’hypothermie ainsi qu’une troisième personne, témoin de la chute du véhicule, très choquée.
Les policiers du commissariat de Dole devront faire la lumière sur les circonstances de cet accident. Selon les premiers témoignages, l’hypothèse d’un malaise est avancée. L’homme aurait fait un arrêt sur le bord de la route, juste avant de repartir et de chuter dans le canal.
Hier soir, le conducteur n’était pas identifié, il ne portait aucun papier sur lui. Les enquêteurs ont tout de même réussi à établir qu’il venait d’acheter ce coupé Mercedes au volant duquel il s’est tué. La transaction avait eu lieu dans l’après-midi.

http://www.leprogres.fr/jura/2012/04/22/dole-un-homme-se-tue-au-volant-de-sa-voiture-en-tombant-dans-le-canal

Lille : un sans-abri retrouvé mort Porte de Valenciennes

C'est un jeune homme de 20 ans qui l'a découvert ce matin vers 11 h. « Il y avait d'autres personnes autour de lui qui buvaient. Lorsque je suis entré dans la station, ils m'ont dit va le voir, il ne va pas très bien », raconte l'intéressé nommé Rémy.
Selon son témoignage, les lèvres et le visage du sans-abri étaient bleus. Il a immédiatement donné l'alerte. Ce jeune homme connaissait bien la victime appelée Gérald, qui se trouvait dans la rue depuis de nombreuses années. Il avait l'habitude de passait la nuit dans cette station de métro. Selon les premiers éléments, sa mort pourrait être dûe au froid.

Si le corps a été découvert vers 11h, la mort remonterait à 8 h du matin

http://www.nordeclair.fr/Actualite/Depeches/2012/04/20/nef-1562575.shtml

samedi 21 avril 2012

Un gendarme se tue avec son arme à Metz-Queuleu

Peu après 9h, hier matin, un drame s’est produit au sein du groupement de gendarmerie, situé à Metz-Queuleu. Dans ses bureaux, un gendarme, rattaché à la Cellule d’investigations criminelles (C ic) a retourné son arme de service contre lui.
Grièvement blessé, le sous-officier a été pris en charge par les sapeurs-pompiers et le Samu qui lui ont prodigué les premiers soins sur place. En vain. En dépit de leurs efforts conjugués, ils n’ont pu sauver ce militaire, âgé de 51 ans et père de trois enfants.
En milieu de matinée, peu après le départ de l’ambulance des sapeurs-pompiers, Pierre-Yves Couilleau, le procureur de la République de Metz, s’est rendu sur place. Une enquête sur les circonstances du décès de ce major sera ouverte comme le veut l’usage.
Ce geste désespéré a causé un vif émoi parmi les collègues et les proches de cet enquêteur, connu dans le milieu sportif local. En effet, ce père de famille participait fréquemment à des épreuves de course à pied.

http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers

Toul : accident mortel sur la Nationale 4

Un grave accident de la circulation s'est produit ce samedi en début d'après-midi sur la Nationale 4, dans le sens Paris-Toul à hauteur de Lay-Saint-Rémy/Foug. Le conducteur d'un 4x4 a perdu le contrôle de sa voiture en voulant visiblement doubler un autre véhicule de petite cylindrée. Il aurait été victime d'aquaplaning suite aux très fortes chutes de pluie.
La voiture est alors sortie de la route et a basculé dans un fossé sur un chemin forestier longeant la route après avoir fait plusieurs tonneaux.
Dans le 4x4 se trouvaient trois personnes. Le conducteur et un passager ont été légèrement blessés. Par contre, une autre personne se trouvant à l'arrière a du être désincarcérée par les secours. Elle se trouvait en arrêt cardio-respoiratoire à l'arrivée des pompiers.
Ces derniers ont tenté de la ranimer pendant plus de trois quart d'heure. En vain. Le jeune homme, âgé de 33 ans, natif de Bruyères (Vosges) est décédé des suites de ses blessures.

Des tests ont été effectués par les gendarmes sur le conducteur. Ces derniers se sont révélés négatifs pour l'alcool mais positifs pour le cannabis.


Dans la voiture percutée par le 4x4 se trouvaient deux jeunes filles d'une vingtaine d'années. Elles n'ont pas été blessées.
Les pompiers de Toul, Pagny-sur-Meuse et les gendarmes de Foug étaient sur place. La circulation ne s'effectuait que sur une voie pendant toute la durée de l'intervention.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/04/21/toul-accident-mortel-sur-l-a-4

Pakistan: 127 personnes périssent dans un accident d'avion

Un avion de ligne d'une compagnie pakistanaise privée, transportant 127 personnes, s'est écrasé vendredi près d'Islamabad après avoir été pris dans un violent orage. Le Boeing 737 de la compagnie Bhoja en provenance de Karachi (sud) a explosé au sol en début de soirée dans un champ alors qu'il s'apprêtait à atterrir à l'aéroport d'Islamabad, situé à Rawalpindi, dans les faubourgs de la capitale. "Il n'y a aucune chance qu'il y ait des survivants, sauf miracle. L'avion est totalement détruit", a déclaré un responsable de la police locale, sur les lieux de l'accident. Jusqu'à présent 110 corps ont été récupérés sur le site de l'accident, a indiqué aux journalistes le général de brigade Sarfraz Ali, qui dirige les opérations de recherche. "Nous ne pouvons pas les identifier parce que certains corps ne sont pas reconnaissables" a-t-il ajouté. L'avion s'est écrasé près du village de Hussain Abad, dans une zone agricole.

"Le temps était très mauvais, il y avait de la grêle et des éclairs. Le pilote a perdu le contrôle de l'avion qui a percuté le sol. L'appareil a explosé sous le choc et s'est transformé en une boule de feu", a raconté un responsable de l'armée pakistanaise, le capitaine Arshad Mahmood. Sur place, des restes humains, des taches de sang et divers objets (vêtements, chaussures, bijoux) appartenant aux passagers étaient éparpillés dans un rayon d'environ deux kilomètres, selon le général de brigade Sarfraz Ali. "Nous allons continuer notre travail dans la nuit et espérons en avoir terminé d'ici 24 heures", a déclaré le général Ali dans la soirée, alors que l'armée bouclait la zone imprégnée d'une forte odeur de brûlé. L'avion devait atterrir à 18h50 à l'aéroport d'Islamabad. "La tour de contrôle a perdu le contact avec lui à 18h40, et l'accident a eu lieu peu après", a indiqué une source aéroportuaire. L'appareil "s'est écrasé dans un énorme fracas", a déclaré un témoin des faits. Selon lui, "le pilote a peut-être tenté d'atterrir dans un champ", mais "l'avion a percuté des arbres et a explosé". "Je me suis enfui en courant. Lorsque je me suis retourné, l'avion était en feu", a expliqué ce témoin.

A l'aéroport d'Islamabad, les proches des passagers étaient sous le choc et en pleurs. "J'étais venu chercher mon fils Sajjad et ma belle-fille Sania qui se sont mariés il y a dix jours", a raconté un vieil homme secoué par des sanglots. Aucaun Français ne se trouvait parmi les passagers, a précisé un responsable de l'ambassade de France à Islamabad. Bhoja Air avait repris en mars ses vols intérieurs entre Islamabad et Karachi avec plusieurs Boeing 737 et prévoyait de desservir prochainement d'autres grandes villes du pays telles Sukkur (sud), Multan (centre) et Lahore (est). La compagnie avait été contrainte par l'autorité pakistanaise de l'aviation civile à suspendre ses vols en 2000 en raison de difficultés financières. En juillet 2010, un Airbus A321 de la compagnie privée locale Airblue s'était écrasé sur les collines de Margalla, à proximité d'Islamabad, causant la mort des 152 personnes à bord, alors qu'il pleuvait et que la visibilité sur la capitale était très réduite. L'accident d'avion de ligne le plus meurtrier de l'histoire de l'aviation pakistanaise remonte à 1992, lorsqu'un Airbus A300 de la compagnie publique Pakistan International Airlines (PIA) s'est écrasé dans des collines à l'approche de Katmandou, la capitale népalaise, faisant 167 morts.

Un jeune motard de 23 ans tué sur le périph

Un dramatique accident de circulation a coûté la vie, mercredi, à un jeune garçon de Bessières, Nicolas Blanc, tout juste âgé de 23 ans. Il était au guidon de sa moto sur le périphérique toulousain lorsqu'il en a perdu le contrôle. Nicolas est mort sur le coup.
Il était un peu plus de 17 heures, hier, lorsque le jeune pilote roule en direction de Tarbes sur l'A64. À hauteur de l'embranchement vers Le Chapitre et Saint-Simon et sur une ligne droite, le jeune homme aurait fait une chute fortuite pour une raison encore inconnue.
Un choc violent qui le propulse sur le terre-plein central alors que sa moto s'immobilise quelques mètres plus loin sur l'une des voies de circulation. Très vite, pompiers et policiers se rendent sur les lieux. Il est malheureusement trop tard pour sauver Nicolas qui décède à la suite du choc. Une enquête a été ouverte pour comprendre les circonstances de ce drame.
La mort accidentelle et brutale de ce jeune garçon a semé l'effroi à Bessières, commune où il résidait, dans le Nord-Est toulousain. Issue d'une famille honorablement connue dans cette localité, Nicolas travaillait avec son père, artisan plombier. Il était également très engagé dans la vie associative puisqu'il était bénévole dans l'organisation de l'omelette de Bessières, célèbre manifestation annuelle. Décrit comme « jovial » et toujours prêt à aider, Nicolas Blanc va laisser un grand vide.
Samedi soir, un autre jeune de 22 ans avait perdu la vie au guidon de sa moto, à Lapeyrouse-Fossat, au Nord de Toulouse.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/19/1334427-un-jeune-motard-de-23-ans-tue-sur-le-periph.html

vendredi 20 avril 2012

Un sapeur-pompier volontaire disparue dans un incendie en Seine-et-Marne

Un banal court-circuit a viré à l'épouvantable dans un appartement de Voulx (77), mardi matin. Le logement était occupé par un couple de Mervillois, Alexia Delautel, 20 ans, et Gaëtan Gaucher. ...

Tous les deux avaient quitté le Nord il y a quelques mois et emménagé dans ce village de la Brie pour motif professionnel.
Alexia Delautel était seule lorsque le feu, d'origine accidentelle, a pris au premier étage de l'appartement, vers 6 h 15. Le transformateur d'un ordinateur portable serait en cause. À l'arrivée des secours, l'aide-soignante a été retrouvée sans vie au deuxième étage, asphyxiée par les fumées.
À Merville, le berceau de la famille Delautel, les habitants sont sous le choc. La jeune femme était « la joie de vivre incarnée », rapportent ceux qui l'ont côtoyée. Et ils sont nombreux.

Pompier dès 12 ans

Petite-fille du capitaine Didier Delautel, ancien chef du centre de secours, fille de Franck, lieutenant, actuel adjoint à l'arsenal, Alexia Delautel avait embrassé la carrière de jeune sapeur-pompier en 2004, à l'âge de 12 ans.
Comme volontaire, dès 2007, son implication était exemplaire : « Elle s'engageait à 100 % dans sa mission. Elle était passionnée, comme tout le monde dans la famille », rapporte Pierre Degroote, le chef de centre.
Ses obsèques seront célébrées demain, à 10 h 30, à l'église Saint-Pierre.

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Dunkerque/actualite/Secteur_Dunkerque/2012/04/20/article_un-sapeur-pompier-volontaire-disparue-da.shtml

Le corps repêché dans le Var était celui de l'ouvrier disparu

Le chef d'équipe avait disparu lors de la chute d'un tractopelle le 9 novembre dernier.
Le corps de l'homme découvert le lundi 2 avril dernier dans les eaux du Var à hauteur de Lingostière a été formellement identifié. Comme l'indiquaient les premières investigations, il s'agit bien de Michel Fuentes, l'ouvrier de 52 ans porté disparu après avoir été emporté par les eaux du Var, le 9 novembre dernier à Castagniers, après la chute d'un tractopelle.
Son corps a été restitué à sa famille et ses obsèques ont été célébrées à Drap mardi.
Les enquêteurs du groupe d'appui judiciaire n'ont pas eu besoin d'avoir recours à des comparaisons d'ADN afin de l'identifier formellement. C'est par le biais de sa dentition qu'un expert en odontologie du pôle de médecine légale de Nice l'a identifié.
Ce chef d'équipe, employé par la société Cari pour le compte du conseil général des Alpes-Maritimes, avait basculé dans le fleuve en crue, en même tant qu'un tractopelle. Le conducteur de l'engin de chantier était, lui, parvenu à s'agripper au bord et avait été secouru par les pompiers. C'est un promeneur qui a vu son corps enchâssé entre des rochers en se promenant sur les berges du fleuve. À quelques centaines de mètres seulement des lieux du drame.
http://www.nicematin.com/nice/le-corps-repeche-dans-le-var-etait-celui-de-louvrier-disparu.849068.html

INFO LE FIGARO - Paris: le chauffard venait de consommer du cannabis

Le chauffard qui a renversé et un tué un garçonnet de 11 ans hier à Paris venait de consommer du cannabis, dans les heures qui ont précédé l’accident. C’est ce qu’indiquent les résultats de la prise de sang communiqués ce matin.
Par ailleurs, le casier judiciaire du chauffard porte trace de deux condamnations liées à la circulation routière. En 2008, il avait fait l’objet d’un défaut de permis de conduire et en 2010, il avait l’objet d’une procédure pour refus d’obtempérer, après avoir tenté de se soustraire à un contrôle routier.
Après sa première annulation du permis en 2008, le chauffard l’avait récupéré en le repassant. Mais au moment de l’accident, il avait de nouveau perdu tous ses points.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/20/97001-20120420FILWWW00395-info-le-figaro-paris-le-chauffard-venait-de-consommer-du-cannabis-avant-laccident-mortel.php

jeudi 19 avril 2012

Mort d'un enfant renversé à Paris

Le conducteur d'une camionnette qui a renversé et tué ce matin un enfant de 11 ans à Paris n'avait plus son permis de conduire à la suite d'une annulation et a été placé en garde à vue. Le jeune garçon a été renversé alors qu'il traversait sur un passage pour piétons l'avenue Gambetta dans le XXe arrondissement de Paris. Il est décédé des suites de ses blessures.

Selon les premiers éléments de l'enquête confiée au service de traitement judiciaire des accidents (STJA), le chauffard venait de doubler une file de voitures ralentie par un camions-poubelles jusqu'à se trouver en contre-sens. Il s'est alors rabattu au moment où deux enfants étaient en train de traverser l'avenue. "L'un des enfants a réussi à se réfugier sur le trottoir, l'autre a été percuté", a précisé une source proche de l'enquête. L'alcoolémie du chauffard s'est révélée négative, "mais des examens toxicologiques doivent encore être pratiqués", selon cette source.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/04/19/97001-20120419FILWWW00549-mort-d-un-enfant-renverse-a-paris.php

Peyrusse-Vieille. Mort dans les Landes, pleuré dans le Gers

Jean-Philippe Garroussia, le patron d'une petite entreprise d'élagage basée à Peyrusse-Vieille, a passé une bonne partie de la nuit de mardi à mercredi à Mont-de-Marsan pour soutenir la maman de son plus jeune salarié, Kévin Cappel, décédé à l'âge de 19 ans dans un tragique accident de la route survenu lundi dans les Landes. « Je l'avais pris en CDD il y a trois mois, soupire ce patron accablé. En deux semaines, je l'avais déjà passé en CDI. Il était toujours souriant, toujours à l'heure, et très motivé. Je n'avais pas besoin de lui dire les choses deux fois. Ce qui m'étonne, c'est qu'il ne roulait pas vite. Il faisait vraiment attention en voiture. Je ne comprends pas. » Les obsèques seront célébrées vendredi dans les Landes.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/19/1334173-samatan-mort-dans-les-landes-pleure-dans-le-gers.html

Macabre découverte à Saint-Nicolas-de-la-Grave

Hier matin dans le quartier de l'ancienne cité EDF de Saint-Nicolas-de-la-Grave, un riverain a fait une macabre découverte. Surpris de voir le garage et le camion de son voisin ouvert, il se rendait sur les lieux. Là, il découvrait le corps inanimé de son voisin. Âgé de 61 ans, l'homme qui avait été aperçu la vieille en train de sortir de meubles volumineux, aurait perdu connaissance au terme de ce déménagement et a été retrouvé sans vie à l'intérieur de son camion. Les techniciens en identification criminelle (TIC) ainsi qu'un enquêteur de la brigade de recherche (BR) de Castelsarrasin ont réalisé les constatations d'usage. En début d'après-midi, le corps a été rendu à la famille. En l'espace de 24 heures, c'est le deuxième corps qui est retrouvé sur le secteur. En effet, lundi après-midi, c'est le cadavre d'un Castelsagratois de 53 ans qui avait été découvert à son domicile. Là aussi, le médecin a confirmé qu'il s'agissait d'une mort naturelle

http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/18/1333608-macabre-decouverte-a-saint-nicolas-de-la-grave.html

mercredi 18 avril 2012

Savoie: un surfeur meurt emporté par une avalanche

Un surfeur de 32 ans, originaire de la Vienne, est mort mardi soir après avoir été emporté par une avalanche dans un secteur hors-piste de la station savoyarde de Val-Thorens. Le jeune homme faisait partie d'un groupe de trois surfeurs qui descendaient le Mont du Borgne, sur le commune de Saint-Martin-de-Belleville, après avoir effectué l'ascension en raquettes. Il a été emporté aux alentours de 19 heures par une coulée de neige de 100 mètres de large sur 300 mètres de dénivelé. L'alerte a été donnée par un groupe de randonneurs à ski qui passaient à proximité.

C'est un chien d'avalanche qui a retrouvé le surfeur inanimé peu avant la tombée de la nuit, à 2800 mètres d'altitude. Les secouristes ont pratiqué un massage cardiaque puis ont évacué l'homme en hélicoptère vers l'hôpital de Grenoble, où il a été déclaré décédé.

Mont-de-Marsan : deux morts et un blessé grave dans un accident de la route

Difficile d'évoquer à chaud les circonstances précises du terrible accident de la circulation déploré hier, vers 17 heures, à la sortie immédiate de Mont-de-Marsan, sur la route sinueuse de Canenx. Le bilan établi hier soir faisait état de deux morts de 19 et 16 ans et d'un blessé grave de 19 ans. L'importance du traumatisme crânien constaté du côté de la victime survivante évacuée d'urgence vers le service de soins intensifs du Tripode, à Bordeaux, soulevait toutefois de vives inquiétudes.
Le bilan et les images de ce choc frontal opposant une Citroën Saxo et un poids lourds de la société de travaux public Laurent Baptistan permettent tout juste d'imaginer l'immense peine des familles endeuillées. Des familles effondrées qui étaient unies hier soir sur le bord de la route, à quelques mètres à peine du lieu où elles résident, au camp du Carré, une zone habitée par des personnes issues de la communauté des gens du voyage.

Pronostic vital réservé
D'après les premiers éléments recueillis sur place, la voiture qui transportait les trois jeunes victimes venait de quitter le campement. Le conducteur de 19 ans aurait décidé de doubler une fourgonnette dans une courbe à droite.
Un poids lourd arrivait dans le sens inverse. Son chauffeur avait fini sa journée de travail. Il se dirigeait comme chaque jour vers son entreprise. « Il n'avait aucune visibilité et il n'a d'ailleurs rien vu. Il n'a été que légèrement blessé à l'épaule mais il est sous le choc », parlait en son nom, hier soir, son employeur, Laurent Baptistan.
L'arrivée extrêmement rapide des sapeurs-pompiers du centre de secours principal de Mont-de-Marsan a permis de venir en aide à l'un des passagers qui avait été éjecté du véhicule. Immédiatement pris en charge par une équipe de médecins urgentistes du Samu, celui-ci a été transporté vers le centre hospitalier Layné avant d'être redirigé vers Bordeaux. D'après les informations montoises, son pronostic vital était réservé. Restés prisonniers de l'habitacle, les deux autres impliqués avaient dû être désincarcérés.
Un devoir de vigilance
Dépêché sur place, le directeur de cabinet du préfet des Landes, Loïc Obled, a adressé en priorité ses pensées émues aux familles des victimes. Le représentant de l'État a également tout mis en œuvre pour qu'une aide médico-psychologique soit proposée à tous ceux qui souhaiteraient en bénéficier.
Affecté par ce drame comme pouvaient évidemment l'être sur place l'ensemble des membres de la chaîne de secours et de sécurité, Loïc Obled a rappelé l'ensemble des conducteurs landais à leur devoir de vigilance extrême, et ce encore plus particulièrement avec l'arrivée des beaux jours et durant cette période sensible de vacances scolaires.
Alors qu'à l'image de la situation française actuelle le bilan de la sécurité routière dans les Landes était plutôt encourageant depuis le début de cette année 2012, ce nouveau drame de la route a lourdement inversé la donne.
Jusqu'à la journée d'hier, tous les compteurs du département étaient ainsi à la baisse avec 49 accidents constatés (moins 25 % par rapport à la même période en 2011), 57 blessés (moins 20 %) et 6 tués (moins 10 %).
http://www.sudouest.fr/2012/04/17/deux-morts-et-un-b-lesse-grave-690406-3452.php

mardi 17 avril 2012

Un retraité découvert mort de froid dans la neige ce mardi matin

C'est un automobiliste de passage qui a trouvé le corps du septuagénaire. Les secours n'ont rien pu faire pour le réanimer. L'homme est probablement mort de froid.
Il s'agit d'un habitant du village, atteint de la maladie d'alzheimer selon les premiers éléments recueillis, ce mardi matin, auprès du groupement départemental de gendarmerie de la Haute-Loire.
Le septuagénaire aurait quitté son domicile dans la nuit, pour une raison encore inexpliquée. Il n'aurait alors pas retrouvé son chemin. Son corps a été découvert à quelques dizaines de mètres de son domicile Alors que le mercure, dans ce secteur du département, s'est abaissé autour de -5°c dans la nuit.

Conditions extrêmes

Les sommets de Haute-Loire vivent actuellement l'un des épisodes neigeux les pus rudes de cet hiver. Les précipitations ont cessé mais le vent a causé d'énormes difficultés. La nuit dernière, la RD15 a été complètement fermée au-delà de"Boussoulet", en direction de l'Ardèche, en raison de la formation de congères.
La RN88 a également été interdite aux camions de 22h30 à 7 heures ce matin, au-delà du giratoire du "Fangeas" en direction du Sud. La circulation des véhicules sur cet axe était d'ailleurs très difficile tôt ce matin, ainsi que sur une partie du réseau secondaire d'altitude. Hier soir, un fourgon s'est couché sur la RN88 à hauteur de Saint-Paul-de-Tartas. Son chauffeur n'a pas été blessé mais la nationale a été fermée près d'une demi-heure pour permettre de remettre le véhicule sur la chaussée.

http://www.leprogres.fr/actualite/2012/04/17/un-retraite-decouvert-mort-de-froid-dans-la-neige-ce-matin

Deux collégiens tués : le dramatique accident d'Astis (64) toujours inexpliqué

Les causes du dramatique accident de la circulation qui a coûté la vie à Valentin et Thomas, deux adolescents de 14 et 15 ans originaires d'Astis et de Sévignacq, dans la nuit de samedi à dimanche sur la route de Morlaàs, à Astis, n'avaient toujours pas été éclaircies, hier.
Le conducteur de la Peugeot dont les deux victimes étaient passagères se trouvait toujours à l'hôpital de Pau. Légèrement blessé, ce jeune homme de 24 ans, demi-frère de Valentin, est profondément choqué. Il n'a donc pu être entendu par les gendarmes de la communauté de brigades de Thèze. Le dépistage d'alcoolémie réalisé quelques minutes après le drame s'est avéré négatif. Des analyses sanguines ont été ordonnées par le parquet. Les résultats devraient être connus dans les prochains jours.

La violente disparition des deux jeunes garçons suscite une très vive émotion à Astis, Sévignacq mais également à Garlin où Valentin et Thomas, des amis inséparables, étaient scolarisés au collège.
Hier, l'établissement a ouvert exceptionnellement ses portes pour permettre aux élèves de se retrouver dans cette épreuve. Une trentaine de jeunes ont participé à une cérémonie d'hommage, se recueillant devant des portraits de leurs deux camarades. Une cellule psychologique sera mise en place dans le collège dès la rentrée
http://www.sudouest.fr/2012/04/17/le-dramatique-accident-toujours-inexplique-690277-3987.php

L’appel du père de Louis pour retrouver les photos de son fils décédé

Il y a bientôt trois mois, le petit Louis, fils de Jean-Michel et Corinne Barin chutait d’une charette lors du défilé de la Saint-Vincent, à Jonquières-Saint-Vincent. Le garçon de 6 ans ne revenait pas à la vie malgré les efforts déployés par les secours. Le drame avait bouleversé Jonquières et Beaucaire, où réside la famille. Depuis, avec beaucoup de courage, ses parents ont entamé le difficile travail de deuil.
"Elles ont une très grande valeur sentimentale"

Mais dans la nuit de samedi à dimanche, entre 20 heures et 23 h 45, des voleurs s’en sont pris à la famille et à ses souvenirs. Alors qu’on constate ces derniers jours une recrudescence des cambriolages dans le secteur, les malfaiteurs ont pénétré chez les Barin, dans le quartier de Garrigues-Planes, non loin du stade de rugby Eric-Barka, en forçant une porte de service.
Ils se sont emparés de trois ordinateurs et d’un disque dur externe. Sur l’un des ordinateurs, un Packard Bell portable (mh36-U-087-fr), et sur le disque dur mobile, de la marque Western digital 2,5 (noir, 500 GO), se trouvaient énormément de photos familliales, sur lesquelles figurait le petit Louis. "Elles ont une très grande valeur sentimentale. J’avais justement acheté le disque dur externe pour les copier. Mais on a fait l’erreur de le laisser à côté de l’ordinateur...", déplorait hier Jean-Michel Barin.
Ce dernier a porté plainte auprès du commissariat de Tarascon et lance un appel. Il demande à toute personne qui pourrait lui permettre de retrouver l’ordinateur portable, le disque dur externe, ou, au moins leur contenu, d’entrer en contact avec lui via le commissariat de Tarascon. Pour cela, il faut appeler le 04 90 91 52 90.
http://www.midilibre.fr/2012/04/16/l-appel-du-pere-de-louis-pour-retrouver-les-photos-de-son-fils,487306.php

Le vice-procureur retrouvé pendu à Avignon

Jacques Robert, 64 ans, a été retrouvé mort à son domicile d’Avignon samedi soir à 21h30. Il s’est très vraisemblablement suicidé, par pendaison. Jacques Robert était vice-procureur de la République à Tarascon depuis 2007. Auparavant il avait exercé plusieurs années au parquet d’Avignon, en qualité de substitut du procureur, et résidait toujours dans la cité des papes.
Joint hier, le procureur de Tarascon Christian Pasta confiait : « L’ensemble du parquet est sous le choc, rien ne laissait présager ce passage à l’acte. C’était un homme discret et profondément humain, dont la disparition nous bouleverse. On perd un magistrat de valeur. »

http://www.ledauphine.com/vaucluse/2012/04/15/le-vice-procureur-retrouve-pendu-a-avignon

lundi 16 avril 2012

Un jeune motard tué dans un accident

Un terrible accident de la circulation s'est produit, hier soir, peu avant 20 heures à Lapeyrouse-Fossat, au Nord de Toulouse. Un jeune homme de 22 ans a perdu la vie dans une collision. Le drame s'est déroulé à l'intersection entre la départementale 61 et la départementale 20, au niveau de la route de Cépet. Pour une raison que l'enquête ouverte par la gendarmerie devra déterminer, une voiture et la moto conduite par le jeune homme sont entrées en collision au niveau de cette intersection. Très rapidement, les sapeurs-pompiers et les gendarmes de la compagnie Toulouse Saint-Michel se sont rendus sur les lieux mais les secouristes n'ont pu ramener à la vie le motard. Le conducteur de la voiture a été blessé mais ses jours n'étaient pas en danger hier soir.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/15/1331403-lapeyrouse-fossat-un-jeune-motard-tue-dans-un-accident.html

dimanche 15 avril 2012

La pluie et les larmes pour l’hommage à Nadège et Cyrille

Une fleur à la main, murés dans le silence, les habitants d’Epersy, petite commune de 260 âmes proche d’Aix-les-Bains, ont bravé la pluie par dizaines hier, en fin d’après-midi, pour répondre à l’appel de la famille Messageot. Nadège et Cyrille, 29 et 30 ans, avaient construit leur maison et leur avenir il y a trois ans dans cet écrin de verdure, où vivaient déjà les parents et le frère du jeune homme. Mais les jeunes gens, qui attendaient un deuxième enfant, ont été fauchés par un camion fou vendredi matin sur la VRU de Chambéry, laissant derrière eux un petit Jérémy âgé de 3 ans. Ce drame, qui laisse sans voix, a donc uni hier proches et anonymes dans une marche silencieuse d’amical soutien.

Garde à vue prolongée pour le chauffeur du camion

En parallèle, l’enquête s’est poursuivie hier. La garde à vue du chauffeur sénégalais du camion italien dont l’embardée a fait au total quatre morts, trois Savoyards et un Haut Savoyard, a été prolongée hier. Il devrait être présenté au parquet de Chambéry dans la journée et pourrait être mis en examen pour les motifs d’”homicide involontaire par imprudence” et “défaut de maîtrise”. Les analyses toxicologiques et d’alcoolémie se sont révélées négatives. Reste un camion roulant avec un chargement trop lourd selon le parquet.
http://www.ledauphine.com/savoie/2012/04/14/marche-silencieuse-en-memoire-du-jeune-couple-mort-sur-la-route

Collège de Florensac : deux versions du drame

Un périmètre autour du collège Voltaire complètement bouclé. Une scène du drame masquée par un jeu de voiles. Des collégiens en faction derrière les barrières : hier, de 13 h à 17 h, le village de Florensac a revécu cette fin de matinée tragique, du 20 juin 2011, jour où Carla, une collégienne de 13 ans, est décédée sous les coups portés par un adolescent de 15 ans. Il s’agissait pour le magistrat instructeur de Béziers de préciser la localisation et le nombre de coups portés par le garçon, en présence de ce dernier et d’une dizaine de témoins du drame.
À l’issue de cette reconstitution, les deux avocats avaient une lecture diamétralement opposée, des constatations. Pour le bâtonnier Josy-Jean Bousquet, avocat du mis en examen, la reconstitution n’a rien apporté de plus : "Les témoins ont donné chacun leur version. Certains ont fantasmé sur le nombre de coups portés mais au vu de cette reconstitution, la version de mon client correspond aux constatations du médecin légiste et à la réalité. Il a maintenu avoir donné deux coups. Dont un au moins mortel qui aurait provoqué la rotation de la tête et la section des vertèbres."

Le bâtonnier maintient sa position : "Je vais demander la remise en liberté de mon client. Cela va faire bientôt un an qu’il est enfermé et il a intégré la pleine mesure de son acte. Le maintenir plus longtemps en détention avant le procès ne servirait à rien."
Me Abratkiewicz, avocat de la famille de la victime, considère cette reconstitution comme un élément essentiel de l’instruction. Elle confirmerait la thèse qu’il défend depuis le début : "Le mis en examen dit qu’il n’a porté que deux coups de poing au visage, or quasiment tous les témoins ont vu trois, voire quatre coups portés, tant au visage qu’à la tempe et à l’arrière du crâne."
L’avocat maintient le caractère prémédité de l’agression : "La victime avait à peine posé un pied à la limite du collège, que le mis en examen lui a littéralement sauté dessus, asséné un crochet hyperviolent. Elle tente de s’enfuir mais il la rattrape et lui assène des coups en rafales. Il attendait sa proie." Pour lui, la nature des coups ne fait aucun doute sur leur dessein : "En tant que boxeur, il savait où porter les coups pour faire le plus de ravages possible. Le travail minutieux du magistrat instructeur confirme ce que disent les témoins qui ont entendu des craquements. Je pense qu’il avait l’intention de la tuer."
Les parents de Carla sont restés enfermés chez eux lors de cette reconstitution. "Je suis allé les réconforter. Ils sont révoltés car ils soutiennent qu’on aurait pu éviter tout cela", ajoute Me Abratkiewicz
http://www.midilibre.fr/2012/04/13/college-de-florensac-deux-versions-du-drame,485901.php

samedi 14 avril 2012

Policier tué à Chambéry : une minute de silence dans les commissariats

Une minute de silence a été observée ce samedi à 11H00 dans tous les commissariats de à la mémoire de Cédric Pappatico, le policier de la BAC tué lors d'une intervention dans la nuit de mardi à mercredi près de Chambéry, en Savoie.
Au même moment a eu lieu une cérémonie d'hommage à la préfecture de Savoie, en présence du ministre de l'Intérieur,
, selon une note du directeur général de la police nationale, Frédéric Péchenard. fonctionnaire âgé de 32 ans a été, par ailleurs, cité à l'ordre de la Nation par un texte paru samedi au Journal officiel.

«Le Premier ministre, sur la proposition du ministre de l'Intérieur, de l'Outre-Mer, des Collectivités Territoriales et de l'Immigration, cite à l'ordre de la Nation M. Cédric Pappatico, commandant de police à la brigade anti-criminalité de nuit de la circonscription de sécurité publique de Chambéry, policier dynamique, courageux, d'une haute conscience professionnelle et d'un dévouement exemplaire, décédé le 11 avril 2012, victime du devoir dans l'accomplissement de la mission qui lui était confiée», écrit le Journal officiel.

Cédric Pappatico avait été renversé délibérément par des cambrioleurs toujours en fuite, un acte qualifié «d'assassinat» par le candidat-
Nicolas Sarkozy.http://www.leparisien.fr/faits-divers/policier-tue-a-chambery-une-minute-de-silence-dans-les-commissariats-14-04-2012-1954772.php

Vaches et moutons abandonnés ont été abattus hier

Les services vétérinaires ont supervisé hier matin l'opération de transfert à l'abattoir et d'euthanasie du troupeau d'ovins et de bovins, laissé à l'abandon. Le propriétaire est convoqué en justice.
Au bas du pré délimité par une haie, le piège a été installé en début de matinée : un filet tendu en rond sur des piquets plantés dans le sol et un grand entonnoir matérialisé par un ruban blanc afin de canaliser au mieux le troupeau. Un peu plus haut, la vingtaine de vaches, veaux, taureau et taurillons paissent tranquillement l'herbe rase. Les gendarmes sont présents, quelques voisins aussi avec leurs engins agricoles, les services vétérinaires, le directeur adjoint de la direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations. Tout cet aréopage est là pour effectuer la saisie d'une vingtaine d'ovins et autant de bovins ordonnée par la préfecture (La Dépêche du Midi d'hier).

Les moutons euthanasiés

Ces animaux sans contrôle sanitaire, sans nourriture étaient depuis plusieurs années laissés à l'abandon, nombre d'entre eux étant déjà morts de faim ou de maladie. Il fallait donc agir. Enfin…
Le piège est maintenant prêt. C'est là qu'apparaissent cinq à six maquignons, drapés dans leur blouse caractéristique, tenant chacun dans la main leur canne aiguillon. C'est le moment de regrouper le troupeau affaibli par des mois de maltraitance. L'instant le plus crucial de la manœuvre, le plus dangereux aussi.
En cinq minutes, les bovins faméliques sont pris au piège. Il suffit de les faire monter dans les bétaillères qui les conduiront à l'abattoir. Quatre vaches seront euthanasiées sur place et directement évacuées dans le camion de l'équarrissage. Avant la capture des bovins, dans une grange du hameau, une vingtaine de moutons, eux aussi laissés à l'abandon depuis des mois, étaient euthanasiés. Vers 10 h 30, tout était fini. Le hameau de Bibel retrouvait son calme.

Le propriétaire laissé libre

Quant au propriétaire du cheptel, il a été laissé libre après 24 heures de garde à vue à la gendarmerie de Valdériès. Un ami l'a pris en charge pour les jours à venir. Il a fait l'objet d'une convocation en justice pour le 21 juin. Il devra répondre devant le tribunal correctionnel d'Albi pour des actes de cruauté et barbarie envers des animaux, abandons de cadavres sur sa propriété et absence de suivi sanitaire des animaux
http://www.ladepeche.fr/article/2012/04/13/1329595-vaches-et-moutons-ont-ete-abattus-hier.html

vendredi 13 avril 2012

Accident du travail en Beaujolais : il décède après une chute de 9 mètres

Tragique accident du travail, hier, vers 13 heures, à Saint-Jean-d’Ardières. Un homme de 55 ans était venu pour effectuer une simple visite de contrôle, dans une entreprise de fonderie beaujolaise, dans la zone industrielle du Gouchoux, en vue d’établir un devis.
Il a souhaité monter sur le toit de l’usine pour voir de plus près les extracteurs de fumée et évaluer les travaux à effectuer.Malheureusement, il est passé à travers le toit et a fait une chute mortelle de 9 mètres. Les soins prodigués, sur place, par les secours n’ont rien pu faire. A 13 h 30, il est décédé.
Originaire de Saône-et-Loire, ce quinquagénaire vivait à Mâcon. Il travaillait dans une agence de Saint-Priest, dépendant d’une entreprise bordelaise.
Une enquête a été ouverte par la brigade de gendarmerie. Son employeur et l’inspection du travail ont été informés du tragique accident. Une imprudence en serait à l’origine.

http://www.leprogres.fr/rhone/2012/04/13/accident-du-travail-en-beaujolais-il-decede-apres-une-chute-de-9-metres

Cadavre dans la cave : expertise psychiatrique du fils

Le jeune homme de 23 ans, qui vivait depuis un an avec le corps de sa mère dans la cave de son domicile, à Blain (Loire-Atlantique), a subi une expertise psychiatrique ce jeudi matin.
La garde à vue vient d’être prolongée. Le corps de sa mère a été découvert mercredi par les gendarmes, suite à une ouverture d’enquête par le parquet de Saint-Nazaire pour disparition inquiétante.
Le médecin légiste n’a pas constaté de signes indiquant une mort violente. Une autopsie du corps sera pratiquée vendredi.
On attend les résultats de l’expertise psychiatrique ce jeudi, probablement dans l’après-midi.

jeudi 12 avril 2012

Doubs : deux adolescentes se suicident à une demi-heure d’intervalle

Deux adolescentes du Pays de Montbéliard (Doubs) ont attenté à leurs jours ce mercredi en fin de journée, à une demi-heure et quelques kilomètres d’intervalle. La première, une jeune fille de 15 ans, s’est défenestrée du 4e étage à Audincourt. Consciente pendant l’intervention des pompiers d’Audincourt-Valentigney et du Samu de Belfort, l’enfant a été plongée dans le coma pour son transfert en hélicoptère à l’hôpital Pasteur de Colmar. L’adolescente, brillante élève de 3e au collège Jean-Bauhin d’Audincourt, se trouvait dans l’appartement familial avec sa sœur ainée, mais les deux jeunes femmes n’étaient pas dans la même pièce. Rien, selon les parents, ne permet d’affirmer que la jeune fille s’est volontairement jetée dans le vide. Des proches de la victimes ont été entendus par la police et le parquet du tribunal de grande instance de Montbéliard attend les conclusions de l’enquête avant de valider la piste du suicide, même si c’est aujourd’hui « l’hypothèse la plus probable », estime le magistrat de permanence. L’adolescente a été opérée dans la nuit. Ses jours ne seraient plus en danger, selon la famille.

Une demi-heure plus tard et quelques kilomètres plus loin, une autre adolescente a tenté de se donner la mort. La jeune fille a été retrouvée pendue dans un logement à Voujeaucourt. Une grosse réanimation a été entreprise sur le corps de la collégienne, dépendue mais inconsciente à l’arrivée des pompiers de Montbéliard. La ventilation artificielle et les massages cardiaques n’ont rien donné. Et au bout d’une heure, le médecin du Samu a prononcé son décès.

Les deux adolescentes ne fréquentaient pas le même collège et n’avaient a priori jamais été en contact dans un cadre scolaire. Toutes les personnes proches ou moins proches permettant d’expliquer le passage à l’acte seront entendues dans les deux cas, a précisé le parquet de Montbéliard. Procureur adjoint, Lionel Pascal a évoqué ce midi « une triste coïncidence ».

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/04/12/doubs-deux-adolescentes-se-suicident-a-une-demi-heure-d-intervalle

Sète pleure le policier tué en opération à Chambéry

Ils l’ont appris par la radio, sur les quais de l’île singulière et par les réseaux sociaux. Leur ami Cédric Pappatico est mort. A 32 ans, le brigadier-chef a été tué dans la banlieue de Chambéry, dans la nuit de mardi à mercredi, renversé par la voiture de cambrioleurs qui ont pris la fuite. Policier de la Bac de Chambéry, il avait écrit sur le site Copains d’avant : "Je suis satisfait de mon job et je ne souhaite pas en changer." Originaire de Sète, il avait, l’an passé voulu revenir dans son sud avant de remonter "au vert" comme il l’écrivait encore sur ce même site.
C’est à Sète, dans le quartier Château Vert que Cédric a passé son enfance. Effondré, pris par les sanglots, son ami David Dassé se souvient de leur scolarité commune à Michelet et Arago avant que Cédric ne rejoigne les bancs du collège-lycée Paul-Valéry jusqu’en 1997. Une de ses enseignantes en histoire-géographie se souvient d’un "élève très gentil, discret, qui se manifestait peu mais dont on ne peut oublier le nom de famille".

Mais c’est surtout dans le milieu sportif, et plus particulièrement sur les tatamis, que Cédric laisse le plus grand souvenir. Durant dix ans, il a en effet fréquenté le club sétois d’aikido. Michel Cayuela, son professeur, garde le souvenir ému "d’un jeune adorable, d’une grande gentillesse. Un gamin qui faisait partie de la famille, un enfant du club. Il était même venu me donner un coup de main lorsque j’ai construit ma goélette de 17 mètres. Je devais aller le voir chez lui pour skier l’hiver dernier, mais ça ne s’est pas fait..."
Le fils de Michel Cayuela, Jérémy, infirmier libéral, avait croisé Cédric et son épouse l’été dernier. "Ils étaient venus boire un coup à la maison avec leur fillette. Quand je pense à Cédric, je pense au Frontignanais Mickael Régis, policier lui aussi. Ils étaient inséparables. Avec Nathalie et Maud, leur petite bande, on faisait tous de l’aikido, on partait en stage les week-ends. C’était un sportif, grand gaillard, avenant, souriant, quelqu’un de bien dans ses pompes."
Cédric avait épousé Sandrine Coppolani, une jeune femme originaire du bassin de Thau. Ancienne élève à Paul-Va’, elle exerçait comme éducatrice spécialisée. Ensemble ils avaient eu eu une petite fille. Elle allait lui offrir un second enfant... Sur le site Copains d’avant, Cédric mentionnait que sa "vie personnelle était conforme à ses rêves de jeunesse". Lui, qui rêvait encore de partir découvrir la Tanzanie, l’Afrique du Sud, le Vietnam et la Thaïlande... Aujourd’hui, son île natale le pleure.

http://www.midilibre.fr/2012/04/11/sete-pleure-le-policier-tue-en-operation-a-chambery,485004.php