mercredi 29 février 2012

Drame de la rupture en Seine-Maritime : un père tue son enfant de deux ans et se pend

Un père et son fils de 2 ans ont été retrouvés pendus dans la salle de bains de leur domicile à Déville-lès-Rouen (Seine-Maritime) aujourd’hui, mercredi 29 février, vers 3h du matin. D’après les premiers éléments de l’enquête, il s’agit d’un assassinat suivi d’un suicide. Un crime, donc, qui ne devrait aboutir à aucune mise en examen ni procès, l’auteur présumé des faits étant décédé.

« C’est le drame de la rupture qui implique des gens extrêmement jeunes et sans histoire », résume-t-on au parquet de Rouen, qui a missionné un magistrat sur les lieux durant toute la nuit pour tenter de comprendre le scénario de cette macabre affaire qui nécessitera tout de même des investigations de la police, pour confirmer cette thèse privilégiée.

Deux lettres à la famille

Il est 3h du matin lorsque le frère de Pascal B., 22 ans, arrive, inquiet, route de Dieppe et rentre dans l'appartement qu’occupe le jeune paysagiste, dans un immeuble de trois étages. Il découvre l’horreur. Dans la salle de bains, deux corps sont suspendus au plafond. Immédiatement, les secours sont sollicités mais ils ne peuvent plus rien pour les victimes. La police investit les lieux à son tour, comme l’un des membres du parquet. « On découvre deux courriers que le jeune homme a semble-t-il laissés à sa famille », confie une source proche du dossier, qui se voit raconter « l’histoire » de Pascal B.

Il y a une semaine, ce jeune homme vit l’un des moments les plus douloureux sans doute de son existence : sa compagne et mère de leur garçon lui annonce son départ du foyer. « Elle aurait rencontré quelqu’un d’autre », explique une source judiciaire. Pascal B. accueille très mal la nouvelle : « Il était très épris de cette jeune femme, âgée de 20 ans ». Il déprime et malgré le soutien de sa famille... il envisage le pire.

« Dans les lettres qu’il a laissées, il écarte toute responsabilité de son ex-amie dans son acte. C’était « sa » décision. Il ne souhaitait pas qu’on la considère comme fautive. »

La mère hospitalisée

Inquiète elle aussi de ne pas avoir de nouvelles de son ancien concubin ni de son fils, cette jeune femme « débarque » route de Dieppe, deux heures après la découverte, à 5h du matin, sans que, a priori, personne ne l’ait prévenue. « Elle est arrivée spontanément sur les lieux pour récupérer son fils. La police et les secours... tout le monde était là... Elle a été hospitalisée », poursuit la même source.

Pour l’heure, l’enquête n’a pas permis de déterminer si l’enfant avait laissé à la garde de son père depuis une semaine ou s’il était route de Dieppe pour la seule journée de mardi. Les autopsies des deux corps seront pratiquées à l’Institut médico-légal (IML) du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Rouen avant la fin de la semaine, ne serait-ce que pour établir la cause exacte et l’heure approximative des décès. Les résultats des analyses complémentaires (toxicologiques et des organes) devraient tomber, eux, d’ici à quelques semaines, pour consolider - ou non - l’hypothèse criminelle.

http://www.ledauphine.com/france-monde/2012/02/29/un-pere-tue-son-enfant-de-deux-ans-et-se-pendhttp://www.paris-normandie.fr/article/faits-divers/drame-de-la-rupture-en-seine-maritime-un-pere-tue-son-enfant-de-deux-ans-et-se-

Mort de la petite Emma : information judiciaire ouverte à Compiègne

C’est à 16 heures aujourd’hui que sont célébrées les obsèques de la petite Emma David, 2 ans et demi, à l’église de La Croix-Saint-Ouen, près de Compiègne (60). Son décès survenu la semaine dernière a suscité un grand sentiment de tristesse et d’injustice dans la famille. La petite fille est morte dans la nuit de mercredi à jeudi dernier, trente-six heures après avoir été conduite, souffrante, aux urgences pédiatriques de l’hôpital de Compiègne. Ses parents, des habitants de Saint-Etienne-Roilaye, ont porté plainte contre l’hôpital pour homicide involontaire.

Résultats des nombreux examens dans un mois

L’enfant, de
fragile, avait été renvoyée chez elle sans examen approfondi. Le lendemain, quand sa santé s’était dégradée, sa mère avait appelé la pédiatre qu’elle avait vue la veille. Elle lui aurait répondu de la laisser dormir. Emma décédait quelques heures plus tard. L’affaire est sensible.
Ulrika Delaunay-Weiss, procureure de la République de Compiègne, le sait, et c’est pour cela qu’elle a ordonné l’ouverture d’une information judiciaire destinée à rechercher les causes exactes de la
, avec l’audition du personnel hospitalier. « Nous avons des investigations scientifiques complexes à réaliser qui ne pouvaient pas se faire dans le cadre d’une préliminaire. Le juge d’instruction sera l’unique interlocuteur pour l’enquête et pour la famille. On part sur des semaines de procédure », précise la magistrate. « Nous avons demandé des examens bactériologiques, virologiques, toxicologiques et en anatomo-pathologique. Je pense que dans un mois l’ensemble des résultats devrait être connu. »
D’après le premier rapport rendu par le médecin légiste de l’unité médico-judiciaire d’Amiens, Emma serait décédée des suites d’une gastro-entérite additionnée d’une déshydratation, et d’une pneumopathie. En colère, le grand-père de la petite fille, Avelino Da Silva, voudrait savoir pourquoi l’hôpital n’a pas diagnostiqué cette infection pulmonaire. « Elle était suivie depuis sa naissance au centre hospitalier. Les médecins avaient son dossier, nous avions précisé que c’était une enfant fragile. Rien n’y a fait. Aujourd’hui Emma est morte et je leur en veux. »
http://www.leparisien.fr/oise-60/mort-de-la-petite-emma-information-judiciaire-ouverte-a-compiegne-29-02-2012-1883184.php

Décès d'une fillette de 7 ans d'une méningite

Une fillette de 7 ans scolarisée à Bénagues est décédée d'une méningite de type C. Une trentaine de personnes en contact avec l'enfant ont été traitées avec des antibiotiques et devraient être vaccinées. Une cellule d'écoute a été mise en place à l'école.
C'est un terrible drame qui vient de frapper une famille ariégeoise. Une fillette de 7 ans, scolarisée à Benagues, a succombé à une méningite.
Elle aurait contracté la maladie pendant les vacances scolaires. Ses obsèques ont été célébrées, hier après-midi, à La Tour du Crieu.
Dès que le signalement a été fait, l'agence régionale de santé (ARS) a ouvert une enquête. Dans un premier temps, les équipes de l'ARS ont identifié une trentaine de personnes dites contact (familles, personnes proches) qui ont reçu un traitement antibiotique. Des analyses réalisées à la demande de l'ARS ont permis de préciser qu'il s'agissait d'une méningite de type C.
Ces personnes contact se sont vues proposer une vaccination contre ce type de méningocoque.
« Il s'agit de les protéger et d'empêcher la propagation de la bactérie » explique le docteur Fabre de la cellule de veille sanitaire de l'ARS Midi-Pyrénées qui précise aussitôt : « La bactérie ne survit pas dans le milieu extérieur. La contamination peut se faire au cours de contacts rapprochés par l'intermédiaire, par exemple, de toux, postillons. Les activités scolaires standards ne sont, par exemple, pas considérées comme des cas contacts. »
Par ailleurs, cette bactérie est considérée comme contagieuse pendant 10 jours. Dans le cas de la petite fille, elle serait intervenue pendant les vacances scolaires.
C'est le troisième cas de méningite de type C relevé en Ariège depuis le début de l'hiver.
« Nous avons eu un cas à Saint Girons, un cas à Pamiers », ajoute le docteur Fabre. Seul le cas recensé à Benagues a connu une issue malheureusement fatale. « Ce sont des cas isolés, détaille le docteur Fabre. Nous n'avons pas établi de lien entre ces trois personnes. »

http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/29/1294628-la-tour-du-crieu-deces-d-une-fillette-de-7-ans-d-une-meningite.html

Dordogne : le nouveau-né a été noyé par sa mère

Les murs du Palace, à Périgueux ont déjà été le théâtre de tragédies. Mais pas de pièce en cinq actes cette fois-ci. Depuis hier, c'est un drame bien réel que doit juger la cour d'assises de la Dordogne, exceptionnellement installée en ce lieu le temps des travaux de rénovation du palais de justice.
La cour et ses désormais six jurés en première instance, seront amenés à se prononcer ce soir sur la culpabilité ou non de Cécile L., une Sarladaise de 26 ans, sous curatelle, accusée d'avoir tué son bébé après avoir accouché seule à son domicile, et de s'être débarrassée du corps en le jetant dans un bac à ordures en novembre 2007.

Fragile psychologiquement, l'accusée, une petite femme brune à l'épaisse chevelure, comparaît libre, installée aux côtés de son avocate Me Emmanuelle Arcis-Fayat. Submergée par l'émotion depuis l'ouverture de son procès, l'accusée parle peu et donne des bribes de réponses, entre deux reniflements, en chiffonnant ses mouchoirs de papier.
Stopper les pleurs de bébé
Que s'est-il passé le 7 novembre 2007 dans l'appartement de Cécile ? Seule cette dernière le sait vraiment, et la vérité doit se situer quelque part entre les quatre versions qu'elle a relatées de cet accouchement et les analyses des experts.
Une chose est sûre, Cécile, qui affirme qu'elle ne savait pas qu'elle était enceinte, a donné naissance à un bébé dans son appartement ce matin-là. Quand les gendarmes ont perquisitionné son domicile, huit jours après, ils ont découvert sur le balcon, dans un sac jaune de tri sélectif, un placenta en putréfaction mais aussi des vêtements souillés de sang et des toilettes bouchées par différentes matières organiques.
En revanche, aucune trace du bébé, ni du cordon ombilical (lire l'encadré). Dans son agenda, à la date du 7, la jeune femme a écrit « J'ai accouché d'une fille à 10 h 10 ».
Hier, Cécile a affirmé à la cour qu'elle avait mis au monde une fillette qui s'était mise à pleurer. Elle a alors paniqué. Pris le nourrisson, l'a noyé dans la baignoire puis à mis le corps dans un sac jaune. Elle s'est ensuite débarrassée de l'enfant en le jetant dans une poubelle, en traversant sa résidence, de nuit.
Une version que l'accusée semble vouloir désormais maintenir après avoir raconté aux enquêteurs avoir accouché dans les bois, puis sous X à l'hôpital de Sarlat, ou encore avoir été délivrée avec l'aide de ses parents qui auraient fait adopter le bébé.
Bien qu'elle notât la date de ses règles sur un calendrier et avait remarqué qu'elle ne les avait plus, elle maintient qu'elle ne pensait pas être enceinte. D'autres témoins disent qu'elle aurait parlé de cette grossesse à des proches. Aucun vêtement, ni équipement en vue de l'arrivée d'un bébé n'ont été découverts au domicile, et tous les témoins ont répété qu'ils n'avaient pas deviné cette grossesse.
« Je regrette. C'est à cause de mon père. J'avais peur qu'il me fâche, qu'il me tape. J'étais pas prête à avoir un enfant. J'étais pas dans mon état normal, c'est pour ça que j'ai tué mon bébé », explique la jeune femme, qui a l'âge mental d'une enfant d'une dizaine d'années et ne semble pas comprendre par moments l'horreur de son geste.
Des incohérences
Avec une incroyable naïveté, elle affirme à la présidente Katell Couhé qu'elle n'a pas ressenti de douleurs à l'accouchement, qu'elle s'est levée de son lit et que le bébé est tombé sur le sol. Toujours aussi sûre d'elle, elle répète qu'elle n'a pas coupé le cordon ombilical du nourrisson, mais maintient avoir noyé l'enfant avant d'expulser le placenta, un scénario bien extravagant. Cependant, les experts sont formels : un objet tranchant a sectionné le cordon du placenta.
La personnalité de Cécile sera exposée ce matin avec les dépositions des experts psychologues. Certains témoins l'ont décrite comme une jeune femme « en souffrance », élevée dans un contexte familial carencé. Elle a été placée en famille d'accueil dès 12 ans, puis a fait l'objet d'une mesure de curatelle.
« Timide », « influençable » et « parfois incohérente », beaucoup lui reprochent de fabuler et de porter de fausses accusations, comme son ex-compagnon.
Mais ce sont ses deux curateurs successifs qui ont apporté hier l'éclairage le plus intéressant sur l'accusée. « Cécile n'était pas dans l'être mais dans le paraître. Elle occultait la réalité, note son premier curateur. Je me suis toujours demandé si elle était seule. Au regard de son niveau intellectuel, je pense qu'elle n'était pas assez organisée et il a fallu lui faire un dessin pour lui expliquer le cordon et le placenta pendant la reconstitution. » Quelques minutes plus tard, c'est sa seconde curatrice qui lance quasiment la même interrogation. « Je n'ai pas compris comment Cécile avait pu accoucher seule, paniquer et ensuite tout si bien ranger et nettoyer dans l'appartement. »
Autant de zones d'ombres et d'incohérences que devrait soulever aujourd'hui la défense de Cécile L, qui, pourtant à fleur de peau, maintient qu'elle a tué son bébé et qu'elle regrette son geste
http://www.sudouest.fr/2012/02/29/le-nouveau-ne-a-ete-noye-par-sa-mere-645963-1980.php

Drame familial de Saint-Jean-de-Boiseau : le père et son fils écroués

Le père et le frère du jeune homme de 24 ans tué dimanche à Saint-Jean-de-Boiseau, dans la maison familiale, ont été mis en examen pour assassinat à Nantes. Ils ont été placés en détention hier soir, vers minuit, par le juge. Quelques heures plus tôt, le parquet avait requis cette mesure.
Dans la nuit de dimanche à lundi, le corps sans vie d’un jeune homme de 24 ans était découvert, gisant dans son sang. Il venait d'être tué par balles. À ses côtés, le père de 54 ans et le frère de la victime, âgé de 17 ans. Une violente altercation sur fond d’alcool avait éclaté peu de temps avant le drame. Des billets déposés sur la table par le père pourraient être à l'origine de la dispute.

mardi 28 février 2012

Drame de Montaner (64) : le mari est "prêt à collaborer"

Depuis vendredi dernier, jour de la découverte du corps de Sandra Pouts-Angely dans l'incendie de sa maison, à Montaner, Me Isabelle Fitas défend Xavier Angely, le mari de la défunte mis en examen pour meurtre sur conjoint et tentative de meurtre par ascendant et écroué dimanche.
Trois jours après le drame, qui suscite toujours une très vive émotion dans la petite commune de l'est du Béarn, où la victime, native du village, était très appréciée, l'avocate prend la parole pour son client. Un homme « profondément abattu et en très grande souffrance », explique-t-elle. Et l'avocate de revenir sur le comportement de ce dernier, lors de sa garde à vue, puis devant la juge d'instruction Nathalie Lacaule, en charge de cette affaire.

« Contrairement à ce que certains ont indiqué, il n'a pas gardé le silence, mais a répondu à chacune des questions qui lui ont été posées par les enquêteurs. La seule à laquelle il n'a pas répondu fut la dernière : il s'est alors évanoui », relate Me Fitas. Les gendarmes venaient d'indiquer à Xavier Angely que son ADN avait été découvert sous les ongles de la victime. Rappelons que depuis le début des investigations, le suspect nie son implication dans les faits.
« Il est prêt à collaborer avec la justice et sera totalement disposé à participer à toutes les expertises qui pourraient être ordonnées », poursuit son conseil, qui se refuse toutefois à en dire davantage sur la position de son client.
Lequel pourrait être à nouveau entendu par le juge Lacaule dans les prochains jours, une fois que les résultats des prélèvements pour recherche de traces de sang dans le véhicule de Xavier Angely seront connus. Ils devaient l'être hier, mais ne le seraient finalement qu'aujourd'hui.
D'autre part, il est désormais établi que le meurtrier présumé de Sandra Pouts-Angely n'était sous l'emprise ni d'alcool, ni de stupéfiants au moment de son interpellation, plus de sept heures après la mort de son épouse dont il venait de se séparer.
http://www.sudouest.fr/2012/02/28/il-est-tres-abattu-645156-4299.php

Retrouvé mort sous sa voiture

Un drame s'est produit hier matin à Fismes. Il a coûté la vie à un habitant de la commune, Christophe Suret, 31 ans, retrouvé mort allongé sous sa voiture.
La victime habite chaussée Brunehaut, dans le quartier de Fismette, où sa maison située en hauteur est accessible par une allée pentue de 10 %. Un terrain plat sur lequel sont garés les deux véhicules du couple donne sur la descente.
Vers 7 h 30, l'épouse fut intriguée d'apercevoir la voiture de son mari immobilisée en contrebas de l'allée, à cheval sur le chemin et le bas-côté, alors qu'il était sorti quelque temps auparavant pour prendre le volant. Le moteur tournait toujours.


Aucun témoin
La dame n'a vu personne autour de la voiture. Elle est montée dedans pour la déplacer et ce n'est qu'après qu'elle a découvert le corps de son conjoint, qui était caché à sa vue par l'arrière du véhicule. Alertés, les pompiers n'ont pu que constater le décès.
Les premières constatations ont laissé croire à un malaise cardiaque mais des examens complémentaires communiqués en fin de journée accréditent la thèse selon laquelle l'automobiliste aurait été mortellement emporté par sa voiture dévalant la pente.
Le frein à main n'était pas serré lorsque sa femme a repris le véhicule. Son époux a-t-il été accroché par la portière au moment de monter dans l'habitacle ? A-t-il tenté d'arrêter la voiture en la voyant descendre l'allée ? L'absence de témoins ne permet pas de répondre à ces questions.
Ce dramatique accident domestique a mobilisé les gendarmes pendant une bonne partie de la matinée. Ils ont notamment fait intervenir les spécialistes de l'identification criminelle pour tenter de reconstituer les faits.
La chaussée Brunehaut est restée fermée à la circulation pendant toute la durée des constatations.

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/retrouve-mort-sous-sa-voiture

Finistère: un agriculteur retrouvé mort

Le corps sans vie d'un agriculteur de 55 ans a été découvert hier matin sous la roue d'un de ses tracteurs à Dinéault (Finistère), selon les sapeurs-pompiers et la gendarmerie.

Les secours ont été alertés à 8h10 par un témoin qui a découvert le corps de l'homme coincé sous la roue d'un de ses tracteurs dans son exploitation située au lieu-dit Kerouet à Dinéault, ont indiqué les sapeurs-pompiers.

Une enquête de gendarmerie est en cours pour déterminer les circonstances du drame.



http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/02/27/97001-20120227FILWWW00390-finistere-un-agriculteur-retrouve-mort.php

lundi 27 février 2012

Une fillette de sept ans retrouvée morte un foulard autour du cou

Ce matin au domicile familial à Sanilhac-Sagriès, vers 7 heures 30, une jeune fille de 7 ans a été découverte morte un foulard autour du cou. Le parquet de Nîmes n'a pas confirmé avec certitude la thèse du jeu du foulard. Les gendarmes gardois sont sur les lieux pour déterminer les circonstances exactes du drame.


http://www.ledauphine.com/vaucluse/2012/02/27/une-fillette-de-sept-ans-retrouvee-morte-un-foulard-autour-du-cou

La Mongie. Un employé chute du toit de la gare

La série noire continue à La Mongie, avec un nouvel accident grave, cette fois à la gare du téléphérique du pic du Midi. Un employé de la régie du pic a été chargé, hier en début d'après-midi, de nettoyer le toit de la gare, afin de le débarrasser du surplus de neige qui aurait pu tomber sur la tête des utilisateurs du téléphérique. Cet employé de 54 ans, très expérimenté, a entrepris une manœuvre habituelle pour lui : il s'agissait, avec une longue échelle adossée au mur de la gare, de faire tomber à la pioche, par petites touches, la neige accumulée. Mais avec les redoux le jour et coups de froid successifs pendant la nuit, la neige s'est glacée et compactée. Au premier coup de pioche, c'est tout un bloc qui s'est brusquement détaché, entraînant l'employé dans une dégringolade inéluctable et violente. Le malheureux a fait une chute de près de 4 mètres et est tombé très brutalement sur la tête. En un premier temps, il a été secouru par l'équipe des sapeurs-pompiers de La Mongie, puis médicalisé sur place, vu son état, et enfin évacué par l'hélicoptère de la gendarmerie vers le CHU de Purpan à Toulouse, où son état était jugé très sérieux et préoccupant.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/27/1293002-la-mongie-un-employe-chute-du-toit-de-la-gare.html

Crançot : retrouvé mort dans son véhicule tombé en contrebas de la route

Ce samedi en milieu de matinée, un jeune homme de 19 ans, domicilié à Granges-sur-Baume, a été retrouvé sans vie dans son véhicule retourné, en contrebas de la RD471 à hauteur de Crançot.
Une enfant qui se trouvait dans le véhicule de sa mère sur la RD471 a eu son attention attirée par ce qui semblait être une voiture sur le toit. Le véhicule se trouvait en contrebas de la chaussée, à l'orée d’un bois, au niveau de la commune de Crançot.
Alertés, les pompiers ont découvert, à l’intérieur du véhicule, le corps sans vie d’un homme de 19 ans. La sortie de route s’est selon toute vraissemblance produite durant la nuit ou très tôt ce samedi matin.
Le jeune automobiliste était originaire de Granges-sur-Baume, commune située à seulement quelques kilomètres.

http://www.leprogres.fr/jura/2012/02/25/crancot-retrouve-mort-dans-son-vehicule-tombe-en-contrebas-de-la-route

dimanche 26 février 2012

Elle meurt d'une infection à méningocoque

Une lycéenne de 15 ans de Seine-Maritime est morte samedi matin d'une infection invasive à méningocoque sous sa forme la plus grave, le purpura fulminans, a-t-on appris dimanche auprès de l'Agence régionale de santé (ARS) de Haute-Normandie.
Prise en charge vendredi, la lycéenne a été transportée d'urgence dans la nuit de vendredi à samedi dans la Somme. Elle a succombé samedi matin au centre hospitalier d'Amiens.
Elle a été foudroyée par "la forme la plus grave d'infection invasive à méningocoque, le purpura fulminans", a dit à l'AFP un médecin de l'ARS. Dimanche le type d'infection (B ou C) à qui a coûté la vie à la lycéenne n'était pas encore connu, "les examens prennent du temps" et devraient être connus en début de semaine prochaine.
La jeune fille, habitant à Blangy-sur-Presle en Seine-Maritime, était scolarisée dans un lycée à Eu. "Une trentaine de personnes" qui ont approché la jeune fille les jours précédant son décès, au lycée et dans sa famille, ont été identifiées et traitées préventivement avec "une prophylaxie par antibiotiques".
Une vaccination sera éventuellement réalisée en fonction des résultats des analyses en cours pour déterminer le type d'infection.

Une fillette malentendante renversée par une voiture

L'accident s'est produit vers 16h30 dans la traversée du village de «Ranchoux» situé au nord de la commune de Craponne-sur-Arzon. L’enfant a dû être secourue par une équipe médicale du Samu. Son pronostic vital ne serait toutefois pas engagé.
Il était 16h35, lorsque l’alerte est tombée au centre des appels du Samu au Puy-en-Velay. Une fillette de 6 ans venait d’être renversée par une Peugeot 107 dans la traversée du village de «Ranchoux» situé au Nord de la commune de Craponne-sur-Arzon, un peu à l’écart de la RD611 qui file sur Sauvessanges dans le Puy-de-Dôme.
La fillette, originaire du village et malentendante, était secourue et médicalisée à bord d’une ambulance. Elle était ensuite évacuée par la route sur les urgences du centre hospitalier Emile-Roux dans un état jugé sérieux mais qui, selon nos informations, ne serait pas de nature à mettre ses jours en danger. Une enquête de gendarmerie est en cours pour connaître les circonstances exactes de l'accident.
http://www.leprogres.fr/faits-divers/2012/02/25/une-fillette-malentendante-renversee-par-une-voiture

La vieille dame périt dans l'incendie de sa maison

Appelés pour un feu de maison, rue des Maquisards, à Figeac, les pompiers ont découvert, hier, le corps sans vie d'une septuagénaire.
Au pied de cette petite maison de ville, aux volets verts, la grande échelle est déployée. « A notre arrivée, vers 15 h 20, il n'y avait plus aucun dégagement de fumée et de flammes, expliquent les pompiers. Une combustion s'est produite à l'intérieur de l'habitation, probablement en fin de nuit ou début de matinée. Elle a dégagé d'importantes fumées, qui seraient à l'origine de l'asphyxie de l'occupante », indiquait le capitaine Philippe Vieules, commandant les opérations.
C'est une dame âgée de 75 ans, vivant seule, qui a trouvé la mort, semble-t-il, dans sa chambre à coucher. Colette Savoy aurait succombé suite à un incendie accidentel. Une enquête est ouverte pour connaître l'origine du feu et les circonstances de ce drame.
Et tandis que les badauds s'approchaient pour savoir s'ils devaient évacuer le quartier, s'il y avait un danger, le technicien d'investigation criminelle de la gendarmerie procédait aux premières constatations. Dans les combles, caméra thermique en main, les sapeurs pompiers s'assuraient qu'aucun départ de feu ne couvait.
Ce sont les enfants de la victime qui venant prendre de ses nouvelles ont donné l'alerte. « Ils ont tout de suite remarqué les traces de fumée sur les murs de la maison et senti l'odeur. Lorsque l'on a ouvert la porte, il y avait de la suie partout, tout était calciné », expliquent les secours. Ils étaient d'ailleurs 22 sapeurs-pompiers présents sur les lieux, venus de Figeac, de Capdenac-Gare et de Bagnac. D'importants moyens liés à l'étroitesse des rues et à l'imbrication des maisons du centre ville de Figeac qui rendent les interventions complexes et le risque de propagation des incendies plus élevé.
Christiane Sercomanens, adjointe au maire, s'est aussi rendue sur place, pour rencontrer cette famille figeacoise dans la peine.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/25/1291424-la-vieille-dame-perit-dans-sa-maison.html

samedi 25 février 2012

Drame de La Mongie. "La collision était inéluctable"

La reconstitution de la terrible collision, mardi, entre une dameuse et une luge d'enfant, ordonnée par la procureur de la République, révèle des conclusions sans appel.
Le drame épouvantable qui a endeuillé la station de La Mongie, mardi soir dernier, a soulevé et soulève encore bien des interrogations. C'est pour répondre à toutes ces questions et pour cerner les circonstances exactes du drame, que la procureur de la République, Chantal Firmigier-Michel, a ordonné, dès mercredi soir, à 17 heures (la même heure que l'accident), une reconstitution sur place, avec tous les acteurs et témoins présents lors de la collision.
Le conducteur de la dameuse, qui avait été placé en garde à vue dès mardi soir à 23 heures, a lui aussi participé à la reconstitution : « J'ai levé la mesure de garde à vue à l'issue de la reconstitution, précise Chantal Firmigier-Michel. Cet homme était terriblement choqué à ce moment-là et les médecins ont estimé que son état n'était pas compatible avec une mesure de garde à vue. Il a donc été dirigé vers un hôpital ».

Son jumeau tente de la sauver

La reconstitution a permis d'établir les circonstances avec exactitude : « Cette reconstitution a été très importante : elle a permis de constater que la collision était inévitable et que compte tenu de la configuration des lieux, aucune des parties, ni la petite victime ni le chauffeur de la dameuse, ne pouvait respectivement se voir suffisamment à l'avance pour éviter la collision. Quand ils sont entrés dans leur champ commun de vision, derrière la cabane, à peine quelques mètres les séparaient l'un de l'autre, et compte tenu de la vitesse prise par la luge qui avait démarré en haut de la piste, la fillette n'a pas pu s'arrêter, pas plus que le dameur n'a eu le temps de freiner. Nous avons pu établir les circonstances exactes et le caractère inéluctable de cette collision. »
La fillette était sur sa luge avec son frère jumeau : si le garçon a eu la vie sauve, c'est qu'il était en fait à cheval entre la luge de sa sœur et une petite luge-pelle qu'il tenait à la main. Il a pu dévier sa propre trajectoire, tout en essayant, selon les témoins présents, d'agripper sa sœur pour tenter de la sauver. En vain.
« J'ai pu établir, poursuit la procureur, les raisons pour lesquelles les dameuses se trouvaient là : pour des raisons techniques de damage des pistes en hauteur, vu la grande étendue du domaine skiable, les dameuses sont obligées de partir dès la fermeture des pistes. Mais à l'issue de ce drame, je pense que la station tirera des conclusions quant à une meilleure sécurité. »
Si la reconstitution a permis de fermer plusieurs portes, l'enquête se poursuit : « Pendant la garde à vue du dameur, nous avons bien entendu procédé aux vérifications qui s'imposent. Néanmoins, les investigations se poursuivent dans l'attente de témoignages complémentaires et dans l'attente des résultats des tests de stupéfiants effectués sur le dameur ». Ces résultats seront connus la semaine prochaine.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/25/1291396-la-collision-etait-ineluctable.html

Choc frontal mortel à Campsegret (24)

A la tombée de la nuit, hier, deux voitures qui circulaient sur la RN 21 se sont violemment heurtées dans un choc frontal. L'accident s'est produit un peu avant 19 heures, au sommet d'une côte sinueuse débouchant sur un plateau, au lieu dit Maison Neuve, à Campsegret. L'automobiliste qui circulait dans une Laguna en direction de Périgueux est mort sur le coup. Il s'agit donc de Jean-Pierre Rayé, âgé de 68 ans. D'après les premières constatations, le sexagénaire se serait déporté sur la gauche en abordant un virage. Le conducteur de la voiture qui arrivait en face, roulant en direction de Campsegret dans un Audi 4, a été très grièvement blessé. Le toit de sa voiture a dû être découpé pour l'extraire de l'habitacle. Cet homme d'une quarantaine d'années a été transporté dans un premier temps à l'hôpital de Bergerac, mais son état pourrait nécessiter un transfert vers le centre hospitalier de Bordeaux.

Un choc très violent
Sous la violence du choc, l'avant des deux véhicules s'est totalement écrasé et le bitume était jonché de débris métalliques. Toutes les personnes - automobilistes arrivés juste après l'accident, sapeurs-pompiers et gendarmes - qui ont vu l'état de chacun des véhicules ne pouvaient qu'être impressionnées par la violence de l'impact. La vitesse à laquelle roulaient les automobilistes sera peut-être déterminée par l'enquête.
« C'est un endroit qui n'est pas particulièrement dangereux. C'est un petit virage sur la RN 21, qui ne pose pas problème si on le prend en restant sur sa voie », explique Gérard Malaubier, le maire de Campsegret, qui s'est rendu sur les lieux, à trois kilomètres au nord du bourg.
Enquête sur place
Une heure après l'accident, les secours étaient encore sur place et les gendarmes, encadrés par le commandant de la compagnie de Bergerac Christophe Vanderplancke, procédaient à l'enquête. Ce n'est qu'ensuite que les voitures accidentées devaient être déplacées pour dégager la voie.
Route coupée, puis déviée
Sur cet axe qui relie Périgueux à Bergerac, très fréquenté en cette fin de journée tant par les voitures que par les camions, la circulation est restée bloquée dans les deux sens plus d'une heure. Les automobilistes ont peu à peu fait spontanément demi-tour, une manœuvre plus délicate pour les poids lourds. Mais la situation des voitures accidentées, qui occupaient quasiment toute la chaussée, et les nécessités de l'enquête ont amené les autorités, vers 20 heures, à donner l'ordre à tous les véhicules de rebrousser chemin. Les manœuvres ont été effectuées avec l'aide des gendarmes.
Une déviation a été mise en place par Saint-Georges-de-Monclar et la circulation a été coupée jusqu'à près de 23 heures, le temps de dégager les voitures accidentées et de procéder au nettoyage de la chaussée.
http://www.sudouest.fr/2012/02/24/la-rochelle-un-corps-decouvert-pres-du-mail-642352-1391.php

Syrie : journalistes à évacuer "au plus vite"

Alain Juppé, le chef de la diplomatie française, a appelé solennellement les autorités de Damas à permettre l'évacuation des journalistes coincés à Homs, particulièrement la Française Edith Bouvier, blessée, qui doit être "évacuée le plus vite possible".
"J'en appelle très solennellement aux autorités syriennes pour que le plus vite possible Mme Bouvier puisse recevoir les soins nécessaires", a déclaré Alain Juppé en faisant part de son "inquiétude pour les journalistes emprisonnés à Homs", et précisant que des discussions étaient en cours avec le Croissant Rouge et la Croix rouge pour leur évacuation.

vendredi 24 février 2012

Toul (54) : un incendie fait cinq victimes cette nuit

Un incendie s'est déclaré cette nuit dans une habitation située 18 rue de Toul à Blénod-lès-Toul.

Prévenus aux alentours de 4 h du matin, une cinquantaine de pompiers, (provenant de Toul, Colombey-les-Belles, Blénod-lès-Toul, Uruffe et Nancy) et cinq ambulances sont arrivés rapidement sur les lieux.
Là, ils ont trouvé cinq victimes : un couple de Béléniens et ses deux filles de 8 et 10 ans, ainsi que leur nièce de 13 ans.
Le feu, qui aurait pris dans une extension du salon, était circonscrit aux alentours de 5h30.

La mère, une femme d'environ 35 ans employée chez Cora, a été la plus gravement touchée. Conduite à l'hôpital central de Nancy, elle a été évacuée en milieu de matinée au centre des grands brûlés de Lyon. Les secours se sont dits pessimistes face à son état.
Le père, chauffeur routier, conduit lui aussi à l'hôpital central a été transféré dans la matinée au centre chirurgical Emile-Gallé de Nancy. Il a été victime de brûlures très graves, notamment aux mains et à la cornée.
Les trois fillettes ont été conduites au centre hospitalier pour enfants de Brabois, spécialiste des grands brûlés de Brabois. La plus jeune aurait été simplement intoxiquée, mais son état n'était pas alarmant ce matin.
Sa cousine de 13 ans était, elle, dans un état grave. Quant à la fillette de 10 ans, son état a été jugé par les secours comme" critique, et très grave".
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/02/24/toul-un-incendie-fait-cinq-victimes-cette-nuit

Enquête après la mort de la fillette sous la dameuse

Au lendemain de la mort tragique d'une enfant de 12 ans, dont la luge s'est encastrée dans une dameuse, la vie avait repris son cours sur le domaine de La Mongie. Hier soir, une reconstitution du drame a eu lieu.
En contrebas du pont de neige, le flot de skieurs file sans discontinuer, avec légèreté et insouciance. Attisée par un soleil joueur, l'ardeur de ces milliers de vacanciers (La Mongie flirte avec les 12.000 journées-ski cette semaine) détone avec le malheur dans lequel la station a été plongée la veille. Un drame aux traces invisibles au lever du jour.
Pourtant, mardi soir, à 17 h 48, une fillette de 12 ans, originaire d'un village de Loire-Atlantique, a trouvé la mort dans des circonstances tragiques. Alors que le domaine était fermé, la fillette, accompagnée de son jumeau et d'amis, faisait de la luge à proximité de la piste du secteur débutants. Mais lorsqu'elle s'engage sur la pente du Turon, la jeune fille ne peut maîtriser la structure plastique ronde sur laquelle elle dévale et termine sa descente dans la fraise d'une des dameuses qui partaient, en convoi, prendre leur poste sur le Tourmalet. « Les véhicules remontaient le plat en direction du pont de neige, relate le directeur général du Grand Tourmalet, Henri Mauhourat. Les dameuses circulaient à très faible vitesse (9 km/h). La fillette a débouché de derrière la cabane du téléski et a heurté l'arrière de l'engin, au niveau de la fraise. » L'enfant, dont le père médecin-urgentiste est arrivé sur les lieux, est décédée sur le coup. Son jumeau a, lui, réussi à s'éjecter à temps. « Habituellement, à cette heure-là, je fais de la luge avec mes enfants, raconte cette maman vendéenne, témoin de la scène. Là, on est arrivés un peu plus tard. On a vu les dameuses arrêtées, l'agitation tout autour. On leur dit aux nôtres de faire attention, mais après, ça va très vite. En tout cas, pour nous, la luge c'est fini. »
Une enquête a été confiée à la compagnie de gendarmerie de Bagnères-de-Bigorre. Hier soir, une reconstitution était organisée sur les lieux du drame. « Le but est de cerner les circonstances de l'accident pour établir les responsabilités éventuelles, sachant que le domaine skiable était fermé », expliquait le procureur de la République Chantal Firmiger-Michel. Le GPS de la dameuse a été saisi tandis que son conducteur était entendu par les gendarmes. « C'est un agent d'expérience, un père de famille, qui travaille ici depuis plusieurs années et emprunte ce passage tous les jours, précisent les responsables de la station. C'est forcément très dur pour lui, comme pour les équipes qui répondent présent malgré cette semaine très difficile. Même si ce n'est rien à côté de la peine de la famille. »
Après les deux avalanches du week-end dernier, dont une mortelle, plusieurs agents (les dameurs mais aussi du personnel technique qui travaillait sur le téléski voisin) ainsi que les pompiers, choqués, ont été pris en charge psychologiquement. Quant aux agents, ils étaient très tôt sur le pied de guerre pour garantir le meilleur accueil au public et faire comme si… « On a fini quelques minutes avant l'accident, témoigne ce perchman du téléski du Turon. Du coup, on l'a tous appris ce matin. » Avec la même émotion. «C'est le genre d'accident qui n'arrive jamais. Et puis voilà… » se lamentait Jean-Michel Aguirre, le responsable de la communication de la station. Un drame qui ne manque pas d'interroger sur le partage du domaine skiable, même fermé.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/24/1291116-enquete-apres-la-mort-de-la-fillette-sous-la-dameuse.html

Labéjan. A 58 ans, il meurt écrasé par son tracteur

L'émotion a été vive, hier soir, lorsque la nouvelle de la mort de Michel Coutens s'est répandue dans le village. Ce Labejanais âgé de 58 ans était parti pour labourer un champ au lieu-dit « Laubarie », vers midi. Personne ne s'était inquiété, jusqu'à ce qu'on découvre son corps, écrasé par son tracteur, dans la soirée, vers 18 heures. Un accident survenu assez tôt dans l'après-midi selon les enquêteurs, puisqu'il avait labouré moins de 500 m2 au moment du drame. Selon les premières constatations, le tracteur s'est renversé dans le premier virage, en montant. Michel Coutens a-t-il fait une fausse manœuvre ? Un malaise est-il à l'origine de l'accident ? On ne le saura jamais. En apprenant la nouvelle, Patrick Yvernes, le maire du village, est venu soutenir l'épouse de Michel, qui est aussi conseillère municipale. Ce drame la laisse dans la peine, elle et ses deux filles, dont la plus jeune, âgée de 16 ans, vit toujours à la ferme. Patrick Yvernes a tenu à saluer la mémoire de Michel, « un bon vivant connu et apprécié de tout le monde, qui s'était impliqué dans le passé au comité des fêtes ».

http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/23/1290215-labejan-a-58-ans-il-meurt-ecrase-par-son-tracteur.html

jeudi 23 février 2012

SOS Syrie : la journaliste française blessée demande une évacuation «au plus vite»

Si on ne la sort pas de là....elle va mourir !!!

La Mongie. Une enfant tuée par une dameuse

Une enfant d'une dizaine d'années est morte hier à La Mongie, à la suite un accrochage fatal avec une dameuse. L'accident s'est produit à 17h45, sur le secteur Baby, alors que le domaine skiable était fermé et que les équipes de la station commençaient leur activité d'entretien nocturne. Malgré l'intervention des secours, appuyés par un hélicoptère, la fillette, qui pratiquait la luge sur ce front de neige, est décédée sur place. « C'est la première fois qu'un tel accident dramatique se produit à La Mongie » déplorait Jean-Michel Aguire, responsable de la communication de la station. Cet accident tragique survient quelques jours après un week-end noir sur le domaine de La Mongie, marqué par deux avalanches dont une mortelle.
Hier soir, les circonstances qui entouraient ce drame restaient encore à établir. Une cellule psychologique a été mise en place. A.B.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/23/1290392-une-enfant-tuee-par-une-dameuse.html

Mont-de-Marsan : morte à son domicile « depuis plusieurs mois »

Voilà plusieurs mois que personne n'avait aperçu en ville la silhouette frêle de Rolande Cazenave, une femme de 56 ans qui demeurait boulevard d'Auribeau, quartier des Arènes. Certains, en fouillant bien leurs souvenirs, datent sa dernière apparition à « six mois », d'autres à « au moins deux mois ». Toujours est-il que le décès de cette quinquagénaire, qui remonte « à plusieurs mois », selon le commissariat de police de Mont-de-Marsan, est passé totalement inaperçu parmi le voisinage de la défunte. Ce n'est qu'hier qu'André, l'un des trois locataires de la résidence, incommodé par l'odeur qui se dégageait de l'appartement de la quinquagénaire, a alerté les pompiers, qui ont procédé à l'enlèvement du corps dans l'après-midi.
« Je passe tous les jours devant sa porte pour aller acheter le journal ou le pain, témoigne André. J'ai senti l'odeur et quand j'ai regardé par la fente de la boîte aux lettres, sur sa porte, il y avait au moins un millier de mouches dans l'appartement. »

« Fragile »
Au bar des Sports, situé juste en face de la résidence, on s'était quand même inquiété de ne plus voir Rolande. « Ce n'était pas une cliente, mais on la voyait passer régulièrement devant le restaurant, témoigne Éric Renaudot, le patron. On s'est inquiété et on a signalé son absence : c'était il y a au moins trois mois, mais rien ne s'est passé. »
Selon les différents témoignages recueillis sur place, la défunte aurait été « psychologiquement fragile et perturbée ». « Parfois, elle parlait toute seule, ajoute un voisin. On ne la voyait plus, mais on se disait qu'elle avait peut-être été internée ou qu'elle était chez sa sœur, qui habite Mont-de-Marsan. Même si on était ses voisins, on n'avait pas forcément d'affinités. C'est malheureux qu'elle ait terminé comme ça. Elle aurait pu être aidée, même si les cachets, ça ne règle pas tout. »
D'aucuns évoquent aussi des « problèmes d'alcool ». Pourtant, personne ne connaissait vraiment cette femme : tout au plus sait-on qu'elle avait entretenu une relation - terminée il y a environ six mois - avec un homme, présent hier lors de l'enlèvement du corps par les pompiers. Ce serait même à partir de ce moment que Rolande aurait cessé de sortir de chez elle, d'après André.
Pourtant, dans sa vie d'avant, la défunte aurait exercé en tant « qu'aide-soignante ou infirmière », avant de basculer doucement dans la catégorie des personnes « un peu asociales », comme l'indique un témoin.
Quel que fût, ces dernières années, le mode de vie de la défunte, il était vraisemblablement connu du médecin qui la suivait, et qui est venu hier après-midi établir un certificat de décès : un acte qui coupe court à toute exploration médico-légale plus approfondie, qui aurait pu donner quelques précisions sur les circonstances de la mort de cette femme que personne ne semblait côtoyer.
http://www.sudouest.fr/2012/02/22/morte-a-son-domicile-depuis-plusieurs-mois-639807-3452.php

mercredi 22 février 2012

Saint-Savinien (17) : un mort dans une défenestration au collège

Le collège Robert-Cellerier de Saint-Savinien a été le théâtre d'un drame ce mercredi peu après 12 heures. Une femme âgée d'une cinquantaine d'années, agent d'entretien dans cet établissement, s'est défesnestrée depuis le deuxième étage d'un bâtiment du collège. Elle a malheureusement été tuée dans sa chute. Une enquête de gendarmerie est ouverte. D'après les premiers éléments, cette personne aurait mis fin à ses jours.
Cette défenestration s'est déroulée alors que les cours du mercredi matin étaient terminés et que tous les élèves avaient quitté le collège pour regagner, eu bus, leur domicile.

Une cellule psychologique a été mise en place, avec le concours de l'antenne du Smur du Centre hospitalier de Saintonge, afin de porter assistance aux personnels du collège qui en manifesteraient le besoin.
A l'heure de ce drame, Francis Oellers, le principal du collège, se trouvait en réunion pédagogique à Saintes avec d'autres directeurs d'établissements et l'inspecteur d'académie Guy Stievenard. MM Oellers et Stievenard se sont rendus aussitôt sur les lieux de cette défenestration de même que le sous-préfet de Saint-Jean-d'Angély, Frédéric Brassac.
http://www.sudouest.fr/2012/02/22/saint-savinien-17-un-mort-dans-une-defenestration-au-college-640454-1391.php

Un jeune homme se jette sous un camion

Un terrible drame s’est déroulé lundi, vers 13 h 15, le long de la route départementale D 1006, sur la commune de Saint-Quentin-Fallavier, peu après le radar et un restaurant.
Un camion d’un transporteur local circulait en direction de Grenay quand, soudain, le chauffeur a aperçu une forme se précipiter contre son véhicule. Il a eu néanmoins le réflexe de freiner mais n’a pas pu éviter le choc qui a projeté le piéton à une dizaine de mètres plus loin.
Rapidement sur les lieux, les gendarmes de la brigade de La Verpillière ont recueilli plusieurs témoignages, alors que les sapeurs-pompiers s’affairaient autour du piéton, un jeune homme de 19 ans, allongé sur la chaussée et gravement blessé.

Dissimulé entre les voitures

Selon plusieurs témoins, il s’avère que la victime semblait se dissimuler entre les voitures garées, guettant la circulation des véhicules comme s’il cherchait à traverser, mais renonçant à plusieurs reprises. Apercevant un camion, il se serait précipité au-devant du véhicule.
Le jeune homme a été transporté le plus rapidement possible à l’hôpital Édouard-Herriot de Lyon, mais il devait décéder vers 15 h 25, malgré les soins d’urgence prodigués.
Tous les témoignages concordant, la thèse du suicide serait avérée. Né à Villeurbanne et demeurant à Saint-Georges-d’Espéranche, le jeune homme travaillait dans une entreprise de logistique de la zone industrielle de Chesnes. Lundi matin, au travail, il ne paraissait pas aller très bien, sans que ses collègues ne puissent se douter cependant du drame qui se tramait
http://www.ledauphine.com/isere-nord/2012/02/21/un-jeune-homme-se-jette-sous-un-camion

Cleppé : chercher le drame humain derrière le problème sanitaire

Une dramatique affaire s’est conclue par la mort de 36 bovins et trois chevaux dans une exploitation agricole située à Cleppé. Les bêtes sont mortes de malnutrition.
« Si on l’avait su avant, on aurait pu intervenir», explique le lieutenant Reisch, de la compagnie de gendarmerie de Montbrison. «On aurait pris les mesures adaptées pour sauver les bêtes et on aurait ouvert une enquête d’initiative ».
Didier Perre, de la DDPP (Direction départementale de la protection des populations) rapproche ces faits d’une histoire un peu similaire qui s’est déroulée en Haute-Loire il y a deux semaines. « Il ne faut pas hésiter à nous signaler ces observations. Si le signalement n’est pas anonyme, nous le prenons en compte. C’est rendre service à l’agriculteur. Ce type d’affaire est rare, tous les quatre ou cinq ans en moyenne ».
Pour M. Perre, « ces problèmes sanitaires cachent souvent un drame humain que ce soit dans une dimension sociale, psychologique ou financière ». Un signalement auprès de la caisse d’assurance-maladie du monde agricole permet aussi de prendre en charge l’éleveur.
En ce qui concerne l’affaire de Cleppé, il reviendra au Parquet de qualifier les faits après l’enquête menée par les gendarmes de Feurs. L‘éventail est large : privation de soins, abandon de cadavres, actes de cruauté…
Hier déjà un équarrisseur s’est rendu sur place pour enlever les cadavres. Les 19 bêtes toujours vivantes sont désormais correctement nourries.
http://www.leprogres.fr/loire/2012/02/22/cleppe-chercher-le-drame-humain-derriere-le-probleme-sanitaire

Suicide d'un cadre dirigeant d'Olympus

Tsutomi Omori, 49 ans, qui dirigeait la filiale d'équipement médical d'Olympus en Inde, a été retrouvé pendu dans un parc de la périphérie de New Delhi, rapporte le Times of India, citant la police.

Le groupe d'optique japonais est empêtré dans un gigantesque scandale financier depuis la mi-octobre. La direction d'Olympus a reconnu à l'automne dernier avoir maquillé les comptes depuis la fin des années 1990, pour dissimuler un passif de 134,8 milliards de yens (1,35 milliard d'euros au cours actuel) issu d'investissements financiers effectués dans les années 1980 et qui ont viré au fiasco.

Les irrégularités avaient été rendues publiques par l'ex-PDG du groupe, le Britannique Michael Woodford, limogé en octobre pour avoir exigé des explications sur des opérations obscures. Au total, pas moins de 19 anciens ou actuels administrateurs ont été désignés comme impliqués ou au moins clairement au courant des manipulations par un rapport interne d'Olympus


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/02/21/97002-20120221FILWWW00244-suicide-d-un-cadre-dirigeant-d-olympus.php

mardi 21 février 2012

Méningocoque. Décès brutal d’une jeune femme à l’hôpital de Dinan

La jeune fille décédée dimanche, à l’hôpital de Dinan, dans les Côtes-d’Armor, a succombé à une infection invasive.
« Une évolution rapide et dramatique »
« On a fait tout ce qui était en notre pouvoir. Rien ne laissait présager cette évolution si rapide et dramatique. » Lundi, le directeur Marc Taillandier et le personnel du centre hospitalier de Dinan étaient encore choqués. Dans la nuit de samedi à dimanche, une jeune fille de 19 ans, habitant à Saint-Maden (Côtes-d’Armor), est décédée brutalement à l’hôpital.
Les résultats de l’autopsie pratiquée lundi confirment que le décès est dû à une infection invasive à méningocoque. « Il s’agit d’un germe présent dans le nez et dans le fond de la gorge qui infecte les méninges », explique le Dr Walid Daoud, médecin inspecteur à l’agence régionale de santé (ARS).
Maladie contagieuse et mesures de prévention
Contagieuse et dangereuse, cette maladie proche de la méningite nécessite des mesures de prévention. L’ARS a donc listé « toutes les personnes ayant eu un contact de plus d’une heure et à moins d’un mètre, dans les dix jours précédant l’hospitalisation de cette jeune fille », poursuit le responsable de la veille sanitaire. Une quinzaine de proches de la victime prendront un traitement antibiotique par précaution.
La préfecture des Côtes-d’Armor, qui coordonne ces mesures sanitaires, précise que, « le germe étant très fragile dans le milieu extérieur, aucune mesure complémentaire de désinfection des lieux fréquentés par la patiente décédée n’est justifiée. ».
Cependant, une vaccination est proposée par les autorités sanitaires aux proches qui ont côtoyé la victime. Une vingtaine d’agents hospitaliers de Dinan ont aussi pris un traitement préventif.

drame de pamiers "Il ne supportait pas qu'elle parle plus fort que lui"

Jérôme Sobraques, 31 ans, n'aurait pas supporté que sa compagne, Céline Bertrand, 28 ans, élève la voix devant lui : « Il ne supportait pas qu'elle parle plus fort que lui, confie une source proche du dossier. Il avait placé un couteau en haut d'un placard, dans la cuisine, au cas où il y aurait un cambriolage. Quand le différend s'est produit, il s'en est saisi. Elle voulait qu'il se fasse soigner et menaçait de s'en aller ». Devant les enquêteurs du commissariat de Pamiers, qui l'ont interpellé quelques heures après le drame, Jérôme Sobraques a reconnu avoir frappé la malheureuse victime à deux reprises au moins. L'un des deux coups de couteau, porté à la gorge de la victime, s'est avéré fatal. Jérôme Sobraques, avant de s'enfuir, aurait alors poussé la porte de la chambre où dormait la petite fille de Céline Bertrand, âgée de 6 ans, lui disant : « Dors, ta maman dort aussi ». Plus tard, Jérôme Sobraques a pris contact avec des amis de son club de pétanque, puis avec son ancienne compagne, leur expliquant avoir « fait une c…. et qu'ils ne le reverraient pas de sitôt ». Ses proches le ramenaient chez sa mère, à Ramonville, où le jeune homme était interpellé dans la nuit. Céline Bertrand, née à L'Hay-les-Roses, était installée en Ariège depuis de longues années. Après des études au collège de Saverdun, elle avait rejoint le lycée Notre-Dame de Pamiers. Elle avait notamment travaillé au Mc Do appaméen, avant de rejoindre une grande surface spécialisée dans le sport. Passionnée de pétanque, elle était licenciée au club de Saverdun. La jeune femme y comptait de très nombreux amis, bouleversés par la nouvelle de la tragédie qui s'est nouée ce vendredi soir, à Pamiers.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/21/1288707-il-ne-supportait-pas-qu-elle-parle-plus-fort-que-lui.html

Auch. Brûlé lors de l'incendie de vendredi, il n'a pas survécu

Joël Devallez n'a pas survécu. Cet Auscitain, quinquagénaire, avait été grièvement blessé vendredi après-midi, dans l'incendie de son appartement situé au second étage de la résidence Aramis, rue Louis-Aucoin, à Auch. A leur arrivée les pompiers l'avaient découvert, seul dans l'appartement, en arrêt cardio-ventilatoire et présentant diverses brûlures aux jambes et au torse. Après sa longue et délicate réanimation, il fut transporté au centre hospitalier avant son transfert, par hélicoptère, à l'hôpital des grands brûlés de Bordeaux où il est décédé hier matin. Le jour du drame, Joël Devallez, qui selon des voisins était très amaigri et présentait ces derniers temps des signes dépressifs, avait déjeuné dans le restaurant situé en face de la résidence. En partant, il avait déclaré qu'il allait faire la sieste. L'enquête de police se poursuit pour tenter de déterminer les causes de ce dramatique incendie

http://www.ladepeche.fr/article/2012/02/20/1288322-auch-brule-lors-de-l-incendie-de-vendredi-il-n-a-pas-survecu.html

lundi 20 février 2012

Hommage à Lille : quatre ans après, le souvenir de Clélia

Une marche silencieuse a honoré hier la mémoire de Clélia Médina, de Lille à Lambersart. La jeune fille de 18 ansavait été retrouvée morte en 2008 au bord de la Deûle. Le procès en assises de son petit ami doit reprendre en mai
Parents, amis, connaissances et anonymes ont défilé hier après-midi dans les rues de Lille et Lambersart pour rendre hommage à Clélia Médina. Dans le silence, environ 130 personnes ont parcouru les deux kilomètres qui séparent la discothèque Le Flib' du ponton jouxtant le restaurant Le Colysée, au bord de la Deûle. C'est à cet endroit que Clélia avait été retrouvée morte il y a quatre ans, après une sortie en boîte.


Roses blanches à la main, le cortège a honoré la mémoire de la jeune fille. À l'arrivée sur le ponton, la famille s'est recueillie un instant. Puis, la procession a lentement fleuri le lieu du drame, en signe de soutien. « Nous sommes très touchés de voir que vous êtes encore tous là cette année » , a balbutié Carole Salomé, la mère de Clélia, devant la foule. « Vous n'avez pas oublié Clélia et ça fait chaud au coeur. » Chacun à sa manière, tous se sont rappelé la vie de la jeune fille. Celle d'une adolescente de 18 ans, épanouie, coquette, pleine de gaieté, qui venait de s'inscrire au permis de conduire. Clélia aimait danser, sortir, s'occupait de ses quatre frères et soeurs et démontrait un fort caractère.

« Elle ne se sentait pas en danger, et elle a eu tort » a regretté sa mère, qui a découvert après la mort de Clélia que sa fille avait échangé des coups avec son petit ami. « Il ne faut pas banaliser ce qui lui est arrivé », insiste Caroline, qui espère sensibiliser d'autres jeunes filles.
Procès mouvementé à venir

Le 17 février 2008, Clélia Médina sort du Flib' Club et confronte son petit ami, Julien Sailly, qui la trompe. Le jeune homme la ramène en voiture, accompagnée d'une amie à elle. Quelques heures plus tard, Clélia est retrouvée morte étranglée et défigurée par un objet contondant aux abords de la Deûle.

Principal suspect de l'enquête, Julien Sailly a comparu en cour d'assises en juin 2011. Mais au terme d'une audience houleuse et délétère , l'avocat Eric Dupond-Moretti avait obtenu un report du procès en demandant un supplément d'information. Épuisée et convaincue de la culpabilité du jeune homme, la famille « attend la vérité au prochain procès » qui aura lieu du 21 au 25 mai. http://www.nordeclair.fr/Locales/Lille/2012/02/20/quatre-ans-apres-le-souvenir-de-clelia.shtml

Deux enfants et leur mère retrouvés morts à Livry-Gargan

Une femme a été retrouvée morte lundi matin auprès de ses deux enfants, tous les trois tués par arme à feu au domicile familial à Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis), dans ce qui apparaît comme un double homicide, suivi d'un suicide, a-t-on appris auprès de la préfecture.

Le mari a prévenu les secours lundi matin après avoir découvert les corps sans vie de ses deux enfants de 10 et 14 ans et de leur mère. La mère de famille, qui était comptable, a laissé une lettre où elle déclare "avoir détourné de l'argent à son employeur", ce qui serait le mobile de son acte, selon la même source.

Une jeune fille de 21 ans tuée dans un accident de la route

La commune de Sarrians a été samedi soir, vers 19 h 45, le théâtre d’une nouvelle tragédie de la route, qui a coûté la vie à une jeune fille de 21 ans. L’accident s’est produit sur la route d’Orange (D950), en direction de Jonquières.
Pour une raison encore inconnue hier soir, la jeune fille, seule à bord d’une Polo, et qui roulait en direction de Sarrians, a coupé la route à un 4x4 Hyunday qui arrivait en face, comme pour s’engager dans le chemin qui se trouve à gauche de la chaussée, en direction de Sarrians. Le choc a été d’une extrême violence. Il a été frontal pour le 4x4 et latéral pour la Polo, qui a été percutée par le côté droit. Le couple de quadragénaire qui se trouvait à bord du 4x4 n’a été que légèrement blessé. Mais la conductrice de la Polo, une jeune Sarriannaise, était en arrêt cardio-respiratoire à l’arrivée des sapeurs-pompiers. Ces derniers ont dû utiliser leur matériel de désincarcération pour l’extraire de son véhicule.
Les secours ont tenté de la ranimer, en vain
Ils avaient essayé en vain de la ranimer alors qu’elle se trouvait encore dans sa voiture. Ils ont essayé à nouveau une fois qu’elle fut dégagée, relayés par une équipe médicale du Smur de Carpentras, mais toujours en vain hélas.
Michel Bayet, le maire de Sarrians, s’est rendu sur place, visiblement ému d’apprendre que la victime était une jeune Sarrianaise.
Une vingtaine de sapeurs-pompiers en tout étaient hier soir sur les lieux, et six véhicules. La plus grande incertitude régnait hier soir quant aux circonstances de ce drame. La jeune fille a-t-elle voulu tourner à gauche pour prendre le chemin en question ? Cela semblait peu probable. A-t-elle perdu le contrôle de son véhicule ? Et, si c’est le cas, pourquoi ? C’est à ces questions que tentaient de répondre hier soir les gendarmes de la communauté de brigades de Beaumes-de-Venise/Carpentras, renforcés par une équipe du Psig. La route a été coupée à la circulation, hier soir, et des déviations mises en place de part et d’autre du lieu du drame.
http://www.ledauphine.com/vaucluse/2012/02/18/une-jeune-fille-de-21-ans-perd-la-vie

dimanche 19 février 2012

Pyrénées : le skieur girondin emporté par une avalanche est décédé

Le skieur girondin emporté par une avalanche alors qu'il évoluait en hors-piste, hier, à La Mongie, est décédé dans la nuit à l'hôpital de Toulouse, vient-on d'apprendre du parquet de Tarbes.
La victime, un homme de 36 ans père de trois enfants en bas-âge, était originaire d'Andernos-les-Bains. Il était en vacances à La Mongie avec sa famille.

Le skieur a été emporté samedi en début d'après-midi par une avalanche tandis qu'il évoluait seul en hors-piste, dans le secteur du Pain de Sucre, à plus de 2 200 mètres d'altitude.
C'est un moniteur de ski, intrigué par une coulée de neige visible depuis les pistes, qui a donné l'alerte vers 13 h 30. Premiers arrivés sur les lieux, des pisteurs ont repéré un ski qui dépassait de la poudreuse.
D'abord hospitalisé à Tarbes, l'homme avait été transféré dans un second temps au CHU de Rangueil, à Toulouse, Au vu de son état jugé très préoccupant.
http://www.sudouest.fr/2012/02/19/pyrenees-le-skieur-girondin-emporte-par-une-avalanche-est-decede-637840-3.php

Une marche pour Marion

La maman de Marion, son beau-père, de nombreux membres de sa famille, des amis et des anonymes ont participé à la marche organisée pour Marion par ses proches. « Si vous savez quelque chose contactez le poste de police de Dijon », pouvait-on lire sur l’avis de recherche distribué aux passants. Sur ce tract Marion est d’ailleurs photographiée en compagnie de son chat, celui la même qui a été retrouvé dans l’appartement désert de la jeune femme, boulevard Pascal.
La maman de Marion épuisée, n’est pas été en mesure de retenir ses larmes qui coulent sous les lunettes noires. « Je n’ai qu’une fille (N.D.L.R. Marion est fille unique). Je voudrais que Marion nous donne des nouvelles, qu’elle nous fasse signe […]», murmure-t-elle.
A son côté, le beau-père de Marion se dit touché par la présence de nombreux anonymes venus soutenir la famille : « Nous les remercions de tout cœur de leur présence. » Le père de Marion n’est pas présent. « Il est très choqué, il n’est physiquement et moralement pas en mesure de venir », explique une proche de la famille.
Le dernier employeur de Marion, un restaurateur de la place Émile-Zola est là : « Marion et son ami ont travaillé au restaurant. C’est une fille gentille, très sensible. Elle pleurait quand un employé terminait un contrat. Nous avons été prévenus de sa disparition par la police. J’ai compris que c’était sérieux quand la PJ (police judiciaire) a repris l’affaire. J’espère qu’elle va bien […]». L’employeur ne donne pas davantage de détails en se retranchant derrière l’enquête en cours : « Je ne peux pas en dire plus, aujourd’hui. »
Pour Pauline, l’une des cousines de Marion, qui a ouvert un groupe facebook pour la jeune femme, la thèse d’une fuite est inconcevable. « Elle nous aurait appelés. Jamais elle ne nous laisserait sans nouvelle. C’est une fille qui ne cache rien, qui aime sa famille », explique la jeune femme en sanglotant.
Une ancienne camarade de lycée de Marion à Chamblanc, Alicia, est venue pour soutenir la famille : « Quand j’ai appris qu’elle s’était volatilisée, j’ai été très choquée. Cela fait un an que nous ne nous sommes pas vues. Mais je suis maman et je me mets à la place de sa mère. Je ne la vois absolument pas faire cela. »
« Je ne la connais pas, mais je me sens concernée. J’ai une fille de 20 ans. Je suis venue pour soutenir la famille », explique une femme légèrement en retrait.
Le petit ami de Marion, qui a également disparu et qui serait toujours activement recherché par la police, est à peine évoqué par la famille de Marion. « Nous le connaissions à peine. On le voyait aux fêtes de famille, il restait un peu à part et ne parlait pas beaucoup. Elle était très amoureuse de lui […]. », confie une proche de la jeune femme.
Le conseiller général PS, adjoint au maire, Laurent Grandguillaume est sur place : « Je suis venu en tant que citoyen et en tant qu’élu. Cette mobilisation est essentielle […] ».
« Nous allons tout mettre en œuvre pour la retrouver mais il faut qu’elle nous fasse signe », lance Pauline, rivée à l’espoir.
http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2012/02/19/une-marche-pour-marion

Accident de car: un mort, des blessés graves, le chauffeur en garde à vue

Un homme est mort et 24 personnes ont été blessées, dont quatre grièvement, dans l'accident d'un car qui transportait 47 Britanniques de retour de vacances au ski, tôt dimanche matin sur l'autoroute A26 près de Châlons-en-Champagne. Le pronostic vital d'une adolescente, hospitalisée à Reims, est engagé, et les trois autres blessés graves sont un adulte et deux adolescents, a déclaré lors d'un point de presse Francis Soutric, secrétaire général de la préfecture de la Marne. Selon le Centre régional d'information et de coordination routières (CRICR), la personne décédée dans l'accident est un homme de 61 ans.


Pour une raison qui reste à déterminer, le car, seul véhicule impliqué dans l'accident, a basculé dans un fossé peu avant 3H00 du matin alors qu'il circulait dans le sens Troyes-Calais, selon la préfecture. Selon les premiers témoignages recueillis, le car s'est déporté progressivement vers la droite, sans que le conducteur ne rectifie la trajectoire. Le chauffeur au volant du car au moment de l'accident, légèrement blessé, ne présente pas de traces de consommation d'alcool ou de produits stupéfiants selon le procureur de Châlons-en-Champagne, Christian de Rocquigny. Il a été placé en garde à vue. L'hypothèse d'un endormissement est privilégiée.

Plan rouge déclenché

Le car effectuait le trajet entre la vallée d'Aoste (Italie) et Birmingham (Grande-Bretagne), selon le secrétaire général de la préfecture. Il transportait une trentaine d'adultes et une vingtaine d'enfants. 22 passagers sont choqués mais indemnes et ont fait l'objet d'une prise en charge psychologique, selon la même source. Ils ont été regroupés dans une salle à Fagnières, commune proche des lieux de l'accident. Ils devaient repartir pour leur destination dans la journée. Un représentant diplomatique britannique devait se rendre auprès d'eux, selon la préfecture.

Après l'accident, des passagers ont pu s'abriter dans un autre car, également britannique, arrivé sur les lieux, selon la préfecture. L'autoroute a été coupée dans le sens Troyes-Calais pendant plus de quatre heures, mais la circulation a repris partiellement aux alentours de 7H30, selon le CRICR. La préfecture a déclenché le plan rouge, mobilisant 100 pompiers, 20 gendarmes et quatre équipes du SAMU.

Une vieille dame brûlée au troisième degré

Une dame âgée de 76 ans a accidentellement mis le feu à ses vêtements, alors qu’elle cuisinait, hier aux alentours de 14 h 30. Malgré de graves brûlures au visage et à la poitrine, la vieille dame, qui était seule au moment des faits, a trouvé la force d’alerter les pompiers. Arrivés sur les lieux quelques minutes après l’appel, les secours lui ont prodigué les premiers soins.
 Brûlée au troisième degré, la blessée a été héliportée en fin de journée vers le Centre hospitalier universitaire de Lille. Hier soir, son pronostic vital était toujours engagé.

http://www.leparisien.fr/yvelines-78/une-vieille-dame-brulee-au-troisieme-degre-19-02-2012-1867661.php

Metz: le n°2 de la Police judiciaire est décédé

La Police judiciaire de Metz a perdu l’un des siens. Après cinq semaines passées dans le coma, cinq semaines à lutter, Patrick Moll est décédé dans la nuit de jeudi à vendredi à l’hôpital. Le numéro 2 de l’antenne messine a succombé à ses blessures après un accident de la circulation sur l’A31, le 16 janvier au matin. Il se rendait, à Yutz, sur une scène criminelle. Scène criminelle : des mots intimement liés à la carrière de ce commandant de police à l’esprit fin et rusé, sous des attraits tout en rondeur le rendant si sympathique. Flic à l’ancienne, ce père de famille a traversé les époques en cultivant sa bonne humeur malgré la lourdeur des affaires judiciaires qui ont pavé son chemin. De Nancy, où il a passé la majeure partie de sa carrière, à Metz, l’homme, autant que le policier, a toujours fait l’unanimité. Passionné, attaché à son service dont il était, à la fois, un adjoint fidèle, l’ancien à qui l’on venait demander conseil, le confident, et le papa, Patrick Moll venait, à 58 ans, de rempiler pour une année supplémentaire alors que la retraite lui tendait les bras. Avec pour moteur, l’envie de faire éclater la vérité de certains dossiers et de rendre justice aux victimes. « Avant de m’arrêter, je compte bien livrer à la justice les individus qui ont monté le guet-apens mortel du fourgon blindé, à Metz-Nord », disait--il souvent, dans l’intimité de son petit bureau, au troisième étage de l’hôtel de police. Un espoir fauché brutalement.
Les obsèques seront célébrées mardi, à 10h, à la cathédrale de Nancy.
http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2012/02/18/metz-le-n-2-de-la-police-judiciaire-est-decede

samedi 18 février 2012

Le corps sans vie du bébé retrouvé dans la forêt

Une femme de 28 ans, soupçonnée d’avoir tué son nouveau né à Puy-Saint-Vincent, a été mise en examen pour “meurtre sur mineur de moins de 15 ans”. Très fragile psychologiquement, le juge des libertés et de la détention ne l’a pas placée sous mandat de dépôt. Risque de suicide
À l’issue de sa garde à vue, elle a été remise en liberté, sous contrôle judiciaire et avec obligation de soins. C’est ce qu’avait requis le procureur Pierre Becquet du parquet de Grenoble après l’avoir présentée à un juge du pôle de l’instruction criminelle au palais de justice de Grenoble.
« Il existe un réel risque de suicide chez cette jeune femme incompatible avec une mise en détention » commente le procureur Pierre Becquet.
Une analyse qui corrobore la version de M e Nicolas Charmasson du barreau de Gap, l’avocat de la mère soupçonnée d’infanticide. « Elle est extrêmement choquée. Il faut effectivement l’hospitaliser et pas l’incarcérer ».
Tué à la naissance
Habitant et travaillant à Puy-Saint-Vincent, cette femme a accouché seule chez elle dimanche dernier. Dès la naissance de l’enfant, elle l’aurait tué puis aurait laissé le corps dans une forêt à proximité immédiate de son domicile.
Pour le procureur Becquet, « c’est un infanticide classique. Mais il convient de rester évasif sur les lieux et les circonstances exactes pour ne pas qu’elle puisse être identifiable. Ce serait dramatique pour elle, étant donné sa fragilité psychologique ».
Car il s’agit vraisemblablement d’un déni de grossesse.
Elle montre l’endroit
En proie à des complications médicales après l’accouchement, elle a tout de même prévenu les secours qui l’ont transportée en ambulance au centre hospitalier des Escartons à Briançon.
Là, les professionnels de santé qui l’ont oscultée ont tout de suite compris qu’elle venait de mettre un enfant au monde. La jeune mère a alors avoué l’inavouable.
Les gendarmes ont immédiatement été prévenus et ce sont eux qui ont retrouvé le petit corps mort.
« Elle a montré l’endroit aux gendarmes » précise M e Charmasson qui doit s’entretenir ce matin avec sa cliente
http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2012/02/17/le-corps-sans-vie-du-bebe-retrouve-dans-la-foret

Le cadavre d'Adeline, la jeune pâtissière, retrouvé ligoté

Le corps d’Adeline Beau a été découvert en fin de journée hier dans le gouffre dit de l’Œil doux au milieu de la garrigue qui domine Saint-Pierre-la-Mer sur la commune de Fleury-d’Aude (Aude), selon le procureur de Béziers. Les policiers du SRPJ avaient lancé des investigations sur différents lieux sensibles qui pouvaient avoir une valeur symbolique pour le couple que formaient la jeune pâtissière disparue depuis vendredi soir et Mansour Larabi, un légionnaire déserteur de 36 ans, en garde à vue depuis le début de la matinée. Des plongeurs des sapeurs-pompiers de l’Aude ont détecté un corps ligoté et immergé, dont les pieds dépassaient d’un sac de type militaire, lesté et flottant entre deux eaux.
Hier soir encore, le légionnaire, qui avait tenté de se suicider mardi soir dans une chambre d’hôtel de Narbonne et qui avait rédigé une lettre très inquiétante dans laquelle il disait se destiner à rejoindre Adeline dans l’au-delà au soir de la Saint-Valentin, continuait, en garde à vue, à nier toute responsabilité dans la disparition de la jeune fille. Dès le début de son audition, il s’est muré dans le silence et a refusé de prendre un commis d’office. En début de journée, il était sorti d’un état inconscient après avoir ingurgité, dans un geste , des neuroleptiques et de l’alcool à forte dose.

Le couple ne s’entendait plus

Les policiers du SRPJ de Montpellier ont été amenés à enquêter sur ce site du massif de la Clape, bien connu des habitants de la région, grâce à l’enquête de proximité auprès des deux familles, afin de déterminer les lieux que le couple affectionnait lorsqu’il partait en promenade.

Depuis la découverte du légionnaire, inconscient, dans une chambre d’hôtel, magistrats et enquêteurs avaient l’intime conviction que la disparition d’Adeline était liée au fait que le couple ne s’entendait plus. Mardi, Patrick Mathé, le procureur de la République de Béziers, avait ouvert une information judiciaire pour enlèvement et homicide.

Dans la nuit de vendredi à samedi dernier, Adeline, âgée 25 ans, avait mystérieusement disparu de son appartement sans prendre ses affaires personnelles. Au petit matin, Mansour avait remis la fille de sa compagne, Hanaé, à la nounou avant de disparaître à son tour, après avoir déposé ses effets personnels dans sa famille.


http://www.leparisien.fr/montpellier-34000/le-cadavre-de-la-jeune-patissiere-retrouve-ligote-17-02-2012-1865009.php

vendredi 17 février 2012

Un couple retrouvé mort à Reims

Les corps d'un couple d'une cinquantaine d'années ont été découverts aujourd'hui sans vie à leur domicile d'un quartier périphérique de Reims, a indiqué le parquet qui privilégie la thèse du drame familial. La macabre découverte a été faite par un membre de la famille qui s'inquiétait de ne pas avoir de nouvelles du couple.

Selon le parquet, l'homme a été retrouvé pendu alors que son épouse gisait au sol dans la même pièce. "Les médecins légistes doivent déterminer les causes de la mort de la femme, mais dès lors, la thèse d'un meurtre par le mari suivi de son suicide est privilégiée", a-t-on précisé au parquet. L'enquête a été confiée aux policiers de la direction départementale de la sécurité publique.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/02/17/97001-20120217FILWWW00630-un-couple-retrouve-mort-a-reims.php

Il percute un arbre et se tue

C'est aujourd'hui, à 14 heures, que les funérailles de Patrice Wulverycken seront célébrées en l'église décanale de Bouillon. Il était né le jeudi 24 décembre 1970, à Saint-Quentin, dans l'Aisne.
Ce Français de 42 ans était domicilié rue des Perlins à Alle-sur-Semois (entité de Vresse) Alle-sur-Semois (à côté de Bouillon), en Belgique, depuis 1992, avec sa compagne Peggy et sa fille Gaëlle, âgée de 18 ans.
Patrice travaillait comme garçon de salle au restaurant italien II Padrino à Bouillon, depuis son ouverture,
Ce Saint-Quentinois était très connu dans les Ardennes, notamment à Givonne dans le Sedanais où l'une de ses deux sœurs, Lydie Lubin, réside.
Cet homme, décrit comme joyeux et social, a perdu la vie, lundi soir, dans un accident de voiture alors qu'il revenait de chez des amis à Bouillon.
Il a perdu le contrôle de son véhicule, dans la bretelle de sortie de la N89, à hauteur de Menuchenet (Bouillon).
Les conditions climatiques étaient particulièrement difficiles.
La voiture a heurté plusieurs arbres avant de s'immobiliser sur la chaussée. Cette embardée a été fatale Patrice Wulveryck.
Les pompiers bouillonnais sont intervenus, avec le véhicule de désincarcération, pour sortir le corps du chauffeur de l'habitacle où il était emprisonné.
Une équipe d'intervention de la zone de police Semois et Lesse a procédé aux constatations d'usage. La dépouille a été prise en charge par les pompes funèbres Nollevaux tandis que l'épave de la voiture était emmenée par une dépanneuse de chez Semois Assistance (Sensenruth).
Comme Patrice Wulveryck était fort connu à Bouillon où il travaillait mais aussi dans le Sedanais où il avait de nombreux amis, la nouvelle de son décès accidentel a créé une grande émotion.
Lundi, jour de fermeture hebdomadaire du restaurant où il travaillait, le patron qui avait eu l'occasion de discuter avec Patrice était effondré. Il a déclaré au journaliste de « l'avenir » : « On a perdu un frère, un ami. Il faisait partie de la famille ».
Ses sœurs - Sandrine Wulveryck qui réside en Belgique, et Lydie Lubin, qui habite Givonne à côté de Sedan - ont été particulièrement marquées par la disparition tragique de leur frère.
http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/il-percute-un-arbre-et-se-tue

Cellieu: un octogénaire découvert mort dans l'incendie de son appartement

Un homme âgé de 80 ans a péri vendredi matin dans l'incendie de son habitation où il vivait seul dans le hameau de Salcigneux commune de Cellieu.
Il était 7h20 lorsque l'alerte a été donnée au Codis. Les sapeurs-pompiers de Saint-Chamond et de la Vallée du Gier se sont rapidement rendus sur place. A leur arrivée, ils ont découvert, l'occupant des lieux, Ben Tahar Hamad, 80 ans qui était décédé dans sa cuisine. Selon les premières constatations le feu aurait démarré dans la chambre voisine où il aurait trouvé son origine dans une literie.
La gendarmerie de Saint-Paul-en-Jarez a ouvert une enquête sur ce feu qui serait d'origine accidentel


http://www.leprogres.fr/actualite/2012/02/17/incendie-mortel-a-cellieu

Les collègues d’Adeline sont "anéantis"

C’est insoutenable, lâchait hier matin Laurent Carratié, l’employeur d’Adeline Beau, recherchée depuis samedi dernier. Il règne une pression inimaginable dans le laboratoire. Autant le dire, les filles n’en peuvent plus d’attendre la nouvelle. Mauvaise, on s’en doute. Il faut qu’on sache pour décompresser, pleurer un bon coup et, enfin, faire notre deuil."
Le corps retrouvé dans l'Oeil Doux

Adeline Beau était disparue depuis samedi. Son corps a été retrouvé hier soir au Gouffre de l’œil doux, près de Vendres. La jeune femme avait une petite fille de 2 ans et demi et travaillait chez Carratié depuis trois ans.
Dans la pâtisserie, depuis sa disparition, on faisait contre mauvaise fortune bon cœur. Les sourires étaient de circonstance, mais les esprits étaient ailleurs. Les clients eux, parlaient du drame, en touchaient quelques mots gentils aux vendeuses. Certains même ont envoyé des lettres de soutien au personnel très affecté par la disparition d’Adeline. "C’est épouvantable ce qui leur est arrivé, assure cette fidèle cliente. Cette petite, j’ai dû la voir une fois ou deux, elle travaillait surtout derrière, mais qu’est-ce qu’elle était souriante et agréable."
"On se raccrochait à un tout petit espoir"
"Tant qu’on n’a pas retrouvé le corps, on se raccroche à un tout petit espoir, voulait encore espérer hier Laurent Carratié, physiquement très marqué. C’est ridicule mais cette fille, c’était un boute-en-train. Elle avait toujours un mot pour rire, elle était toujours prête à rigoler. Ça manque à toute l’équipe."
Ne sachant plus que faire pour ses employés, le pâtissier avait demandé une aide psychologique pour aider les salariés à passer ce cap difficile. "Je le fais pour eux, mais aussi pour moi. Je n’en peux plus. C’est inimaginable ce qui vient de nous tomber dessus. Vous savez, nous vivons un peu comme une famille. Nous parlons beaucoup entre nous. Et là, plus personne ne communique, ni ne plaisante. Il faut mettre un terme à cette histoire pour que nous puissions avancer."
"C'est comme ça depuis mardi"
Une caméra d’une équipe de télévision passe la porte du commerce sans prévenir. "C’est comme ça depuis mardi, se plaint le patron, qui visiblement supporte de moins en moins bien ces intrusions permanentes. Eux aussi, ils mettent une pression terrible. Ils veulent des informations, savoir comment nous allons. C’était une employée modèle, nous sommes sur les dents. Une fois qu’on a dit ça, qu’on leur a assuré que nous faisions bloc en attendant la nouvelle, nous ne pouvons plus rien dire. Il faut attendre". Hier soir, ils ont appris la triste nouvelle. Fondant en larmes.
"Ils s’étaient rencontrés sur un site internet"

L’ensemble des salariés et amis d’Adeline étaient au courant des difficultés de couple qu’était en train de traverser leur amie. Ils étaient tous très solidaires et unis autour d’elle.
"C’est cette solidarité qui a joué. Samedi, dès 7 h du matin, ses amies prévenaient qu’il y avait un problème, précise Laurent Carratié. Cette fille, même avec sa petite malade, elle venait travailler. Pourtant, sa gamine c’était tout pour elle. Mais elle aimait son travail et respectait énormément ses collègues."
"C'était bizarre"
"Ils se sont rencontrés sur internet, relate Julie, une de ses collègues de travail. Sur le site Tiilt, m’avait-elle expliqué. Et lui, s’était rapidement installé chez elle, presque imposé. Il faut dire qu’elle avait le cœur sur la main. Et bien qu’elle ait décidé de ne plus vivre avec lui, elle ne voulait pas le jeter dehors sans rien. Il avait même laissé son chien et ses affaires chez elle. Comme nous étions très soudés entre nous, elle avait évoqué ses problèmes avec Mansour. Nous savions tout, même ses disputes, elle nous en avait parlé", continue-t-elle devant son employeur qui reprend la parole.
"À Noël, nous avons fait un repas chez elle. Nous avons tous eu l’impression d’aller chez lui. Il avait mis ses photos partout. On ne voyait que lui en uniforme. C’était bizarre. Et il y a à peu près un mois, elle lui a dit que c’était terminé. Il se mêlait de l’éducation de la petite et trouvait à redire sur son travail et ses horaires. Elle ne l’a pas supporté."
http://www.midilibre.fr/2012/02/17/les-collegues-d-adeline-sont-aneantis,459128.php